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SAMEDI 16 JUIN 1866. BUREAUX ET ATELIERS E No St-Jean-Baptiste, rive drote, mille et dea dssus de la Mfalsea de Cour. i------. *- 99f----- ABONNEMENT ABONNEMENT 4 CINQ PIASTRES CINQ PIASTRES _^_ LEMESFCACEB$ ____ PAR AN PIR PAYABLE8 AACE PAYABLES D'AVANCE JOURNAL OFFICIEL DE LA PAROISSE ST-JEAN-BAPTISTE - %b SIANE AOL - A DONALDUOI.LLE A A L ni-oB.« E. Và LL . -D---e- E. DUREZ & T. BELLOW, REDACTEURS AGC...E L ROI-IVELLEOReaN r. E. SUPERVIELLE, Editeurdmdu»rpam CHURCH & DRUILHET, 133, rue Gravier. BOITE 1850 à la poste de la Nouvelle-erlasm Li IlISSISSIrSI En présence du grand fleuve qui :" retire lentement et comme on nous me. not encore après avoir causd'Mtant de désastres; de ce Nil américain qui porte à la fois la fer tilité et la irine dans see eaux, on est saisi !ýffroi et on contemple l'avenir avec', anxiété. Il ne sufit pas, pour eI .iqner les calamitéd actuelles, d'acM iser la georre et se conséqqenoes, la dépopulation, la désertion du travail. Les ruptures des digues appeléee crevasses ont toujours étd. trquentes et parfois irrémédiables. En pleine paix, dei bras, nomibreu et bien disciplinds ,eraient, il feat bien le reoninatre, impuissants à contenir les eaux fa rieuses et .A garantii la Basse. Louisiane de leurs ravages, I ias forte raison dans la période de transformation que nou traver sons. " Il faut don viser promptement et chercher la solution ICun a6ssi redoutable probleme. On ferait des volumes avec le savantdes ,##Mp l. tions et les subtiles thdories des î~p gdaieuun hydrogr~ pes, q-i oiý obercl cette olnuton uans la trou. ver. Il résulte toutefble de leurs im poiuanil.tes adL. et des horribles désastres doantil ;t omr le s t.a moins et les victimes, que bi sys tème ded lev:or d o1ti IF échec. Quelques fait* le dontre rwatfacilew ». i . . t . On peut se repraeaterle Misuls aipi sot la flkare d'ldeuz grands e~toncoira s touciint par le col, 'est-ldtrela p.ti troie. I 4goot. te l'immnase Tdgioa da versut awridionla depait logrsih lsac - allant sa Sud, entre lms Alleghanie à l'est et les Kootaoes Roch~use Sl'oeMt Im rseoit p la partie va«e.d*-4g. entonnoir sperifeur et aer usoap imm meO a dneo.ra o la colonieio riernt ^b(I I q^et 6MibWe t eO tte<rÎCT bM <la vilde., tandis qditiWiwo k h se 4' àài ,tore ifens Ï1etf & on, mer l os pi a r4.mstapa Udilof fmur et: la RitU BQ«B ic odoJla ^r c dultei oa6 4 juivaite a pod e I la rive oriedtale juquos' t Nou -e~H-e e,·;r uc`t Ci(jà e-4tGo ap;d rit!1~1 : tu but mol..q.. u d'utU bu a iéi otI* b oryPtM *da &UMMe dia. yw -. mati -~w Matw .,.rsw M riiqi lm d0M là ob Iuuêanbu i u~ b Mu lot ~of velle-Orléans, ayant de chaque côté plus de cent cours d'eau dérivatifs, exutoires salutaires par où son trop plein s'écoulait au golfe do Mexique. L'art a dédaigné ou n'a pas com pris les indications de la nature: il a bouché les trous du crible et a construit les levées; de là des terres submergées et une agriculture com promise et inquiète. L'art a étran glé le fleuve au point de sa plus forte expansion; de là des revas sel périodiques et ruineuses. L'endiguement du Mississipi est une tAche infernale, un labeur de Si syphe, le bloc roulé au huht du ro cher et retombant toujours. Le fleuve a quatre pouces de chute par mille, et Cairo est A O00 pieds au-dessus du golfe; à mesure qu'on le con tient, le fleuve s'éxcite, sirrite, awgmente de vdlocité et ne dépose q«au terme de son cours dé pbts sédimentares qui forment de nouvelles ries; la pente augmente et il btut exhausser les levéee du cour nspérieur. Blen qn'il n'y e6t pau de jourlna pour le constater, on a pu calculer qu'il y a environ mille. an, Pembouchure était à l'endroit mrm o s'élbre li ville de la iodvelUeOrldms. Le Miesiseipi s'est dono avanol de 126. mille dans la mer depuis cette époque et souI pmrgrl et, dit-o, infiniment plu rapide aujoerd'hl, on-sePlemint d'arréter oe progtss, de préveUir. e prolongement fnces. sat,, saiW de rectifier et rmoonsoir l-Mississfpt et/de ramener le Qfif. . la INtavelleOrléas, là ol il détaH y a dIx si es. CO'st, on le .oit, a m msesre radicalecomme euteolation de dbseil des quafse. Voii le plan, e qelques mots. On omanSacerart par ereuser un Oaal à & nil in o-aui&ssos de la Non eal-Omas entre lt Mlisistipt et per« t le eaM de m n or IL Mon. fitu, .oe n réaliti de li golfe, de Mexique iau poWst pm t0gé de t doW t C 04andeleur o dei l'ils na Vi .seuiTa, o atalit op d'esa potur va s fIt et ctat qu ,ée tBuatcdersion «MI.n où «kimi& OO dei4ps% u S po!tpil sersa auë* p.ednd à son embouphuae qfà la Pdi g " lo 1.iim Imm de I'dgergier tisa ernt Idgerg4 so tel Ti J «ifig tot taint - W s ; «.-te ftuMifNlrtr^wJ«~IC Ift k~r-mmoor Eo 6 J M ' Ï JlSBE'-r BJpddl.C^ pei SwlSiriiiMin îe bou..uw.f m O» >MiM . p h q io .b S.. '"111 as *Uum u dé m iu Nouvelle-Orléans, attendu que toun les fleuves qui pénètrent dans l'O céan par des ports protégés n'ont point de barre à leur embuachure, et qu'au eontraire tous les fleuves qui e'y engagent sur des points ex posée, tels que le Mississipi, le Nil, le Gange, sont barrés par le sable qu'apportent les vagues enflées de la mer, et que le dépbt du fleuve lui-même est indifférent à cette for mation, contrairement à l'opinion générale. Voilà un premier ct-of ou raccourci abaissant de 14 pieds le niveau du Mississipi à son ex trémité inférieure et produisant un vide considérable qui attire l'eau et en fait baisser la surface de plusieurs pieds à Vicksburg. On rouvrirait ensuite les issues qui ont, été successivement closes sur les deux rives de la Nouvelle Orléans à BAton-Rouge et à la Ri vière Bouge; puis on construirait nue écluse à la Rivière Rouge, de telle sorte que les eaux de cette rivière, des rivières Noire et Oua chita et de leurs tributaires des cendraient l'Atchafalays et se jet teraient dans le Golfe par la baie Berwlck. Alors toutes les isses naturelles et artifiielles seMaiei rovertes sur l'Akansas depuis Pine BlePf jusqau' Napoléon. Cet énorme videopéré, on porrait sans inconvénient rectifier le cours du Misesssipi et le raccourcir de 200 millei. augmenté et son cours diminué, la navigation de la Nouvolle-Orldeas à St-Lois réduirait s frais de 25 pour cent. Nono avons rapidement esquisaé le plan mis aujourd'hbi en disc.s sion. Sans doute il ne faut pa pro céder à la légbre et tenter sans réflexion an daagereu essai. Mais du moment où l'impuiuaace do sys tbme des loevd eot démontrée d'une prt, eto 4'artre part le gouver nwmeat gdldn parait devoir pren. dre i a i i'" 'entretien du Mis lempi, il t -arget de reoorir à de girdes tmoeore pour rendre la aéoorit aux intérêts agricoles du ba de la vallée du Mitluipi, inté r*ts ia timement lide A oeuz de poy tout entier. PAROISSES N Âdsipke 8enpur a reprit et au el mAedtu- de AeUdr ax i.,.'t..^T..^St...le Léi ~d .erW vê.a~ Le lItée àe pui prometv. <Ébot4 ou erése mwas répugnamo, etoeuIaIà o0 s iwmieMmt; il. vivent amou tse. hommes et kmm% JedP.m «èeoWe euz, n eu"Oi de pèr eu ik HUhm~iI'Oiud ,un, peu Ilohmum~il ma trIba:. Mbr« bua bt mudrih.out une dem gMIres de Pubi; le mSdé setieur, on n'en trouve pu qui approohet 'aupour ladeWrlkd. Deux minae éslur aqmeut Porm 'leu & ag ant> lm UM ad wmcl ý, Mi&*4 . um,/Oomd de bauw oeoe.tii. ma llm* OI. Z~e tWe mi m~000rd E t.eb oeuf de bide. few~ia eomm%à - de ueri qui f U i t bà ofIea fw 9cr expérience eonammée, int4grité de caractère, patrie' mnoe, dévouement, M. Soraparu posike au plus haut degré toutes les nobles qualités qui honorent une charge publique. En sduant le retour de notre vieil ami, nous ne sommes que le faible écho des senti ments de reconnaissance voués par tous nos soncitoyeas à ce fidèle et excellent serviteur, sentiments inaltdrables qui font le lui un fonctionnaire inamovible. Il na fallu rien moins qu'une guerre pour lui créer des loisirs. ?our rendre 6 chacun ce qui lui estdO, constatons que M. Léo Elfer a dignement rempli l'intérim de la place de recorder, qu'avant l'élection il a ofert à l'ancien titulaire de se retirer, a qu'enfin à l'élection, il s'est modes bment effacé devant lui. Léo Elfer et, lui aussi, un homme distingué dont a capacité et l'aptitude aux affaires ont reconnues, et qui jouit d'une es ime et d'une considération méritées. -Le bail du ferry de la paroisse t-Jean-BaptUte a été adjugé pour 2 ms à M. James B. Humphreys, ancien àérif, au prix de $420.00. Le tarif du sage a été publié avec les délibé rations du jury de polie. -Le docteu G. Chabaud tient àa pharmacie uo dépôt de sangsues hon rouis, de parfte qualité. Sou un olimat qui n'admet pas la saignée, et à cette époque d'affections morbides, ce renseignement eit bon à donner. Que nos leteurs s'adresent donc à l'habile pratimie, l pourront se procurer à la fois l'anélie aoour et la manière de 'en servir. -La docteur Lafon ne va pas i Plaquaeaine Tant mieux pour lui, il allait évenir la proie douloureuse des féroce moustiques de la paroMse nom m*e iupabrile, bY..dt en raison âJ ilà9t.* " p o Veust 6 w "* a ïafin mûlit pis pour Plaquemines *'Le journa de Plaquemines et St Bernard, dt la .RAnaiase Iwiia iaaw a réeiment manone aveo une juste atslio que le dooteur Pierre Lafon devait ler s'tablir comme mé. decin dans a localit. Le désir et la bienveillaun de notre confrère rural ont 4ét indai e errer : le docteur Lafon o'a ndle intuetion de quitter la Nouvelle.Oilaa, mas il a'en est pas moins reeciat anvers lee habi. tatu qui oet eprim le désir de le po-der pa-a euy." -Neu me0s mpreras de eotifier ne erreur oiamis dar notre dernier numéro, Le apitaine Dugas n'a pas l'intenti 6 prend le eomande ment du ýste e Er N e Er. Un lié indissolublek part rattacher an St. Nilar atul il rend des services appréciés & ar valeur. Nous praitons de rooaJdeqpc r eonstatr la prepé rit. e mi de &NiI.Jv ; le eapi. tains B Het at conm Libano, peu vent voir ds divaui, mas n'ont PU de mpérie~ da. la navigation du "aen pmr la p-tilit et Jear obligsMe. là Beudi ns apprend qe le »op de tem- de 8a a anvera él o unie. & p ergtu et pluoin «bane i 'iabiienii Luednauo aluai que les sucreries des habitations Pike Joues, Mme Thomas Pugh et Mme Moaot. La moitié de la récolte de perdue. IBERVILLR Plusieurs affranchis, employés par M. Grabert, ayant rompu leur contrat et dsoerté le travail, avaient été ren voyés chez lui par le Bureau. Par cs pril do vengeance, ils ont détruit une partie du coton qu'il cultivait. -La résidence do M. Survillo Blan chard a été abattue par l'ouragan du 3 juin. ETAT DE LA LOUISIANE Ooar Aouatr«ime istriotjudoiairA PAROISSE ST-JEA.I.BAPTISTE Succssion vacante de feu JEAN-BAP TISTE AUBERT -No. 230 A tous eux que cel peut concerner : Attendu que Jacques Aubert, de la pa. roime StJacques, a enregistré en cette cour le 11 du préeent mois deijuii une de mande dans le but d'être nommi curateur de la socesion vacante ci-daeus, Avis publio est préeentement donné à toutes les pemrDone que cela peut conces ner, de déduire par écrit au bureau du greaer sougné, dans les dix jour qui suivront la première publication dupréent vis les raions pour lesquellcs le pétion naire ne serait point nommé curateur con fornmément à ia demande. STémeoia ma main et lele sean de ladite oour, e la paroile de Saint Jemaiaptite, le 13 ,lJ o ldG pIUMA EB6PAGNIEE, 16J. reslr Le buia 'mseoit ror rde jabea d'ane maigreur telle quo 'ts lW tendonas periunat due ia llong &dequel odrrmet dM floell, le tout .eopP4 de p ohemio, nd eubb e e.. 15sia l<pea qu'en a ta aoupeur M tsouve »o6 sor le oMt la re ltUut that der genoug, qui mat dporms et L pitd.- s mtlmc, dtroit, somple; les doigat revnt le «avates so6 flexibles et longi comme oeau de sige. Le bras vons bllate et desrds; de traisrede boai, avesol qels le gaZespç guta rasMp ounlice de aonàmle sas a' basWer. jarow le Gualoe nr, e i pea6oqn i hdiuae, la police y prendmit p nrde umls U I dit lui.m.em, on lauesa le t sliter a rinsf @&e f porte se Àtotte oa pt nu m eofn ai, trolO. mir do g sbk isoat"; sm tats àst p A Mp, obaumeut l pid poor la form,; quand il mtO dan les Rawes, il e adoe *se qMpaoa de blooq:i pd tr blue, gqi fst petSt e blaobe et qui »a sn [a . Aux relas, hbe ceinture de «air, et daia oeistare l'eutaehk as aindb. Baron, dit roeiopr, ut lm iY s Nal Jm naul plue tiii wo a ri psrob oleab magi qui out gaj r pau mainss!. 3 . * Ilem fat pu toujaonur . .ds A*treui, mnormlsd rphs mweei o i*s tonu, e'Etlt 09. a tae -a'MlM oisuvant «fi pose ETAT DE LA LOUISIANE PAROISIir SI!Jft-ORARLUa Cour du Quatrième district-judiciaire Sucession de J.-A. PARET -No. 517 En vertu d'an ordre'de vente portant la date de 16 mai 1866, et à mol adresué par la susdite oour, dans la.iuccesaion cl-dessu intitulée, j'offrirai en vente publique sur les lieux MARDI LE 17 JUILLET 1866, à onze heures d matin, le quart indivis de la propriét ci-après de crite, à savoir: Une terre sitde dans la paroise St Jean-Baptiste, sur a rive gauche du feuve MissMip. mem ant trola arpent plus on moins de face audit leuve ur quatre-vingta périeure pr une terre appartenat Adol phe Boudownuol et lign infre~ire par une terre appartenant à UlgeA. ViJknair, ensemble toutes les bltisee et améliorations qui 7'y trouvent et en dépendent les trois autres quarts Indivis appartenant à Eungne F. Paret et Romain Bussires.l 'CONDITIo 01 [COMPTANT en billets du trdsordes Etat-Unis Paroise 9t-Jean-Baptlte, 15 Juin 1866. PIERRE LABAiBuB Minnnt^l \n\n tISTAT5 OF LOUISIANA! lbirth uddeloa DIaiat Oourt. PaRsa O/ sarT Jolt0 TED sArT.sa Vacant uccession of the le JEAN BAP. TISTE-AUBEBBT -No. 230- To all whom It may concern: Whereas Jacques Aubert of the pariah of 8tJames, bas fled in this court on the 11th june inst an application praying to be appointed ourator of the above vaoant succession. Publc notice is hereby given to all per sons whom it may concern to show eause, if any they have or can, by writing to the undersigned clerk,within ten days from the Arpt publication hereof the reasons why the petitiqugr shoeld not be appointed cu rator as aforesaid. SWitness my hadd and set of said c court, at the parish of 8t. John the Baptst june 13th 1866. NUUA TRIPAGNIER, clerk. STATE OF LOUISIANIA Pourth hdioil District Couct. PAR= O SANT CEAUu a efosiof J..A. PARET -No. 617-. 3y dem. of so ordr of. be a sts eIl dq of a 1966 d is diroldy the sbors uasid oau't,Iw above entitled succession, I shall offer at public auction, on the premisys, on TUESDAY, JULY THE 17th 1866, at 11 O'clock A M. he fllowing property, to wit: A tract of land situated in the parish of St. John the Baptist, on the left bank of the Mississipl river, measuring three arp ents more or lees front on said river by eighty arpcnts more or less in depth, bet ween converging lines, hounded on the upper line by the land belonging to Adol pbe Boudouslqruid and on the lower line by the land belonging to Ulcer A. Vlchknair, together with all the buildings and Impro vements thereon and thereto beling; the other three undivided fourths belong ing to Eughne F. Paret and Romain Bussib res. TERMS CASH. In U. S. Treasury Notes. Parish of St. John the Baptist, june 15th 1866. PIERRE LABARRE, junel6 auctioneer. DE BOW'S REVIEW. Volume 1,--No. 6.-Jane 1806. Contents: Life of Juliua Cuar. What's to be done with the negroea? by Geo. Fitzhugh, of Virgial.-Tho Federal Uniop-now and hereafter, by W. A. Carey, of Alabama.--Imp rovemoet of our rivers-the Appom aMtb of Va.n,by A. 8tsI, Ad. West India emanmipation,--ts prao. ticsl workipgs, by A. r.tton, of Santa Orus.-The lie days of the COobderaey.-The ameuean edlosy in Mexico.-Fragments of the .pas. American industry sad the approach. in French Estbition.-.,TbA future off J,. L.Ewell, of Tenn.-Joar the Confedrney, by the E p - artmea of .Agrteioire.-Dea nt of0ommeroe.-Editorial; fis..any. ·, n m mtm . 1 jj