Newspaper Page Text
SAMÈI 13 FUMEIR 9 BUREAUX ET ATELIERS SAMEDI 13 FEVRIER 189. -Je-Bapste, rive drle, u ae et demi s«4essas de la alea de Cr. XVI AN NE E. - N 7. ANNONCES ATBONNEMENT I *Me CINQ PIASTRES les 10 liaeu (fnrimst la banteur PAR AN du f rdent carW) PMI& prea6re ldsrticrs 75 eue. lese se lea PAYAtBLS D'AVArNC JOURNAL DE LA PAROISSE ST-JEAN-BAPTISTE - LOUISIANE AaMMT À DOWALD5oNULL I I AOPrS A t.'novIr-oldaKAN E. DUMEZ & T. BELLOW REDACTEURS E.-C. WIARTON & Cle. Bonr.e des Marchands I. FELz ERTNAUD rue Commune, entre le* rues St Charles et Camp. MARIAGE DE X. PETER HARPE -40 M. P.ter Harpe-r, représentant de la partwee St Chtarles à li legisla ture de la Laiiifniane, vient de con tracter avec une femme de couleur, aiscietise enoiav um marlafe qu'il a fait sanctionner par la lui et con. sacrer par la religion. Get acte paseablemmet andseoies, su sgerd anux traditi.oni #t usages do pays, a ca6aeé siie vive sensation, disons même an grand ecandale. M. Pratt, représentant de Claibora, a invitd ironiquement la OChambre à s'ajour ner tout exprès pour porter ses compliamente de coadeléenoe a meibre qui jetait ainai son a bouet par-dessas les monuins, et la prsse de la No>avelle-Orlaos a dirige le feu do soi artillerie iar le oveveu couple, le couvrant d'uie nuéM de projectiles qui an'étalent pus préci. asément des hommages. Qtnt à sont, aprèes avoir Mea du droit de condamner un abuolutsme gali. taire menagçant pour la liberté, amoue regardonu comme un devoir d'ae blir équitablement la positio de M. Harperetde juger froldemst as conduite. Et d'aberd, qoel t ct person nage et qnuels eont mes antdeoédeaut M. Peter Barp"r, Anglais de nais. asoe, aturallud citoyes des ate Unis en 1866. a véo« e Austriue jusqa'au lendemain de la gorre dane one obscurite plofdwe, et if n'eat gabre sorti de ette obscerité as entrant dansa l législature le«. elanaime. An coliitinallar4 fleeto ral o les affranchbiâ délant cher* chaieiàades champiolnsiuatOans, il 'egst arrangé de fugaçon à leur tomber soue la main, et de là ea r"le poli. tique et esa notoriété radicale. N'éd. tait le mige de reprséentaut qu'il a gagné à la lkerie Trovltunal. re, nul ae 'oeepemrait d4e faiMe et geste«; hiss4 aur Vpeale des noire et our le paoles utoals, It acquiert ue etfBH- tave et momeessede. A la Chambre. M. Harper téot. go. su tqp ahM jpepsssala sauce £ ses omamettats par upe bals. vieleut. as Ieptemdle de la popefatio" bli jm pays. Il feint de voir partoet '&si retbelle il le. voit peut-être pr pu 1Ieti. de ft. aatiseM. D es l'as de eateure et des signataires de ce rapport sar la condition de l'iltfi la calomnie s'e deme à oeuer jeobur u vada ou et le opriaé. MWt @jet, tout prétexte sont saisle par lui avec une sauvage ardeur poor lan cer l'iojure et vomir l'outrage con tre lee blancs do la Looiane. C'eet as manière, & lai, de remplir idèle ment le mandat dont il et investi. Pourtant, aoa dietguoas oun trait rédempteur dam cette nature Acre et biliese s Harper combat lee mo nopoles qoe g partaent ee coll goes et e M jette pa suor la curée que déverat les ehieons radicaux. Il a été radversaire de plusieurs de oes bille qui s'arrétent un moment dans la gorge des législateurs vo races, euomme ue proie trop grosse à avaler, et a stigmatied par exem ple la spéculation du Omnal de Il'e aux Vahseas. Rieu ne l'empê chait de solliciter et d'obtenir on deqesj.uraue*isl.l quigageut on pi1t4t tolent Pargent des con. bahWep au taux de $9000 et jisie qp'A $1000P par semaine. Il s'est détournéa do festin des harpies, uoise devons le eoaetater pour balancer ass satif et sou passif. A>eoard'bli, M. Harper se marie et choisit oae femme de soulear. Quie d*«esitr N* i'l pua dans la logiqe de Ma astatioa ! Noms reprechoes Mme les Jours ass radi caux de latter, de mépriser e de tromper le afirauchis; soos les I* nomO de ea point mettre es prati qu leam thécries d'dgaY t sociale; sea les dllae de se maer à la race atriaae, d'igaorer les Us» esa de la peau. ts voici un par haamd qui relèv le gant et montre une rfui agimsante. Si le troupeau radical ceivait oe premier monton de Panurge, la critique démocrati que et cancasienne 'perdrait an de s ;lew vigourex arguments. Mais Harper est senl jusqu'à prédeent, et montre Je poin4. au ciel comme Ajax. I oM. rappse, de petit as grand bien eatsnds, l'exemple de Oasees .OCsy qut.de la55à 18i1, préeblê ésis.ap.eM des soirs au Satacy. 8«r la remarque fort jte qui« denta tdo«er rexemple, Il afraehit eeeeelaes, as som* bre d' beasta eavlieoa; le e orulle c a, Ipe advesstra dem a iaé &etes bate-Uni à St-Paterebourg declarèret tram quils- que IL, ay 'ayaut plue 'eselave, la question se le regardait pm. i. Sarper met on a til taiderie galitaire, essme M. Otca aram appliqné les primelpes abonHiW-iss ha. Dies.smlâ M. HBrpew, pla. çone-nons plis haut et abordons le c côté moral de la question. OÙ est le crime, où est la honte d'une telle union? Est-oe dans le mariage civil et religieux? st-ce dane la simple cohabitation, dans le rapport sex el LA cohabitation a'existait que trop sos le régim diep"r, comme l'atteetent les nombreux produits de rapprochement illicite des deux races. Dans l'antiquité pale ne asei, le concubinage était né de l'eolavae. Part lei pri. sonBiers qu'avait faite l'armée grec que pendant la guerre de Troie, était Briedie, la fille du prêtre Chry @s. Agamemnon, la trouvant à son goût, la prit pour loi, et quand le 1 père vint le prier de la liui rendre moyennant raneçon : " Vieillard, lui dit-il, que je ne te voie plue par loi, ta fille m'appartient; elle me suivra, elle partagera mon lit, et je ne te la rendrai que quand elle ne seras plus jeune." Os pourrait mulatiplier les exemples. Si la femm était libre, par conséquent épouse, elle était condamnée à vivre sous le même toit que la concubine, lui Imposant M voloté daMs certains cas, sans doute, mals obligée de 'humilier devant l'empire de la jeuaseme, de la beauté, de la grèce, trop heureuse quand les faveurs du mari n'étalent pas exclusivement réervéde à M rivale. Agamemnon était marié à OClytemnestre. "J'eu. miserai Brietés Argos, diat-il, et je l'installerai dans mon palais, car jo la préfère & Clytemnestre; elle lui eut supérieure par le corpe et par l'esprit." La morale d'Aga memnon a été celle de toute ti. quité. Que de Briséis immoltL aux appétits sensels de Il'omf Que de Olytemetree dévoranea s si. lence la honte de se voir dédai* guées I gnOe4 1 De nos jor l'eeelavage a pro. dait de consqueaoes semblables. Il rampait dans l'embre, tyranni. sait le cour de maltre, eueait in. directement se- repréelee et - vengeanoes. Maint plster de Sud *'Inclina devant osé rele d'aleve, es devint le JoseL Parfotel, le Mano tsaire de la hmitle fMt *illé pur de hideusee amours et le domicile coejugal converti en harea. La femm légitime rougsult sons le regard efroaté4'1e6 sultone favo rite et efeallilt tristement dans les pleurs unejseesse jltrie. Oe n'était point, eme ae règle g4é sévts et u* coutume emiverselle que le concubinage dans le. Etats 1 du Sud, mais les cas n'en étaient point Bsci rares. An foyer domes-1 tique où se mêlaient dans leure jeux tu eoptants de toute couleur et de toute nuance, on voyait cet âge tenadre et malléable sanbir une école de vice et un niveau de perversité Digues épouses et vertueuses mères de famille, nos lectrices, regrettez vous le temps du droit du seigneur etdeladomination decescourtisanes qui ne vous étalent point supérieures comme Brieséia l'était à Olytemne tre, au dire d'Agamemoneu Est-ce' que l'abolition de l'esclavage n'a pas parlié la maisoc où vous jouis ses d'un légitime empire f Rst-ce ILe le mariage m'a pas reserré et moralisé les rapports des affranchis entre eux et posé nue barrière plusn solide que celle de la force contre la promiscouité des races ? Ne voyez vous efas aucus progrès dans la fidélité des éponx et dans la pureté des enfants f lon, Il ne faut pas prêter l'oreille à la voix des préjugéds et des raa cunes. La mariafe l'emporte à toun gards sur le concubinage, et a'il plait à an homme blanc d'unir son sort à celui d'une femme d'autre race que la sienne, laiesona-le user de a liberté. Nous avoas la notre, et sw poeuveas à otre gré nons élolgner « noue approcher de ini. Cet boome est l'artisan do sa des tiede, et s'il commet misne erreur ea bravant l'opinion puLlique et en aspirant à descendre, il xpiera cette erreur dans l'amertume de l'isolement et das les regrets inaé parables dn'an existeace déclasée. Mials ai nous avonus des trésor@ d'in. digas&, et de mépris, ne lee dé. peao., pas contre un radical dévot et on fanatique pratiquant tel que M. Harper,'grdons-les pour les 1 eÈea, les hypoorites et les re eégats qui trompent et pillent à la m tek de rae et, so«nsles mas que de r*alité, Varracheat cyui. quemen h. lau eas de b fortuee de Saud. I. ROMAN &Ce mmeAZ vui8 TABACS, &C. -i.tee Iraopatuw -.. .41 <ome efflsvao pet Pdm zOUViuLLE.O8L1AN8. MAISON BLANCHE 157 .....rue du Canal......157 No*velle-Orléans. L. GALLOT Imnportateur direct de Vina, Liqueurs, Epicerles, Conserves, cigares bela 4aeaue, *c. E Toujours pn maias an grand assortiment de vi de Xérès, de Madère et de Porto; Cognace, Rhum de la Jamatlque, Geoulvre, Wbiskeys Irlandais et Ecosalo, enanst eM deeka de Leademe. f. la. JOSEPH BRUGiUE E.T i!4roRTATEuit Dtp Vins. C3t.1ac, Abb.aihs sa!ete, Baolles, Eau%-de-v'e, Fruits, Ve-mouth, Champagne, &c., &o., &o. .... rue de la Deumue ....U s:eChe..e. e4et V eille Levée IXouvelle-oriéans. d26 la c>. :EXYEAà&mm~x II.... ru de mail ... .111 .wrat l ru. Rnai alUe Passq.âL àe ru Thoemoetreu, Esuaiomln. Qss I Intrumetgo@sd4iq..4 toutostts Iï 7-.. À&qVTE Le somigB privient le publi qu'il a ouvert, pr do la Maison de Cour, nu bureau desyDd, pour le 2e arroendime maent. SiJeun-Baptite, S1i octobre 1868. ACUIU.U *Assa. JEAN DUVIC Caffleasser---(«#er *es.esn*apeie, rive gamehe. Livrera mureommaude eaeouprmBptltude, à tstec le peeamne,-eau dbtiaetio de coulear, d'pe, do asse o d'opialoms politi. qaue,-qaul voudront bies l'hoaorer u leur patronage: BeWh n, assooe., Puaeeo*n. #r, de toua gesr , muai de or«au d Ie ulemet 1 Les EhaaurMes easteOBd ptr Dovic e -t-pr leur dWuge. vnliditd t boa arcih,-le -iple avantage de flatter notre vanitd, de r<oulr nos extrmitde tatdrieursse et.. d'dpanB naotre boura .l la Ba"ur.. 9 1, Was&«oe ito, N.iv-Yor auI Dis L'AMuIUUJr: Un ua,8f;-4aumoisSL 69 -Un MONDE ILLU~em NOUVEAU MONDE L un ce, 0;fzmows et &0 ;-.Tr*I mois, 02. 2.5. Fort: 20 cSta par an, pal"h Par Rablonni. No 144 rue Royale, prtela Maison deCoaur, Nlle- Orléanu. St JeanBaptiste. LOUQUE & DEPOORTER AVOCAT$ .Exerweront leuor profession dan les paroIsses Orlians. Jeferson. St-Charles, 8t JeanPBar tiste, St.Jacques et Ascension. iaen S9 NMILE LEOCJDSK, ÉfLIX P. PWiCCL Cmntrelle P. 0. Conwnt P. O. LEGENDRE & POCHÉ AYVOOATS. Buresux, aux rbidenea de E. LioeMDai et de F..P. Pocat, paroise St-JWeqe. Exerceront lear profession dans les parole se* Nt C.harlee. St -Jean Bantlite, 8tJaeqae, Ascension. Amomption et Iberysle. etdevant la Cour Suprnme de l'Etat. r'L'un des associe *se trouvmr tous les jauoiis la Maies de Cour de St-Jeaa Baptiste. JULIEN IIlI0L AVOCAT 12, Exebhange Place, NIie4rits (Boite 2526.-N. O.-P. 0.) Exererrase profoowio dans les paroisses StCharle. et RtJean Beptiste et pardnvaat la Cour Suprime de l'Etas. oo 13 ela HIRAM N. CARVKYR WILLIAM» 0O mwocat de dist., 4 disut.judre CARVER & 8M8 AVOCATS Exeroeront leur profemion et se chargeroat de tetes les taires qui leur *ereet oonaus dans les parolese St Cbarles, 8t Jean-Bap tiste, St-Jacques, Asoension et Assomption. FELIX REYNAUD AGENT GÉNÉRAL DB TR8ES ET AFFAIRES DoaIldomville, paroisse Ascaision, Le. Donnera *ne attention mpdeuale à I'.qualsi tion et la Vente d'habitatioe* mworum e* autre propridédt. Md. 3m P. K. JUDICE AIwfmlvu' et lmg*îmler Clvii Arp.jrtbr.g d'habitations. tracé plazua et d-vnstous d'haabitations, etc., dc. Agent@ à luj.s..SaptaIm s UV. DCUNE: & BZLLOW, Wteuv dit CrL.m pesontieu dêq1rant faire exdnuterdes t-avftnx sont t'-itei de laisser aux bureaux de MaAkuhmdi le. InA:.ruetions à e.: em~, le plus tôt poésihàle. &afi que Oes travaux pis muet dire exdestéa avec plu de empif. et fi uuolu de fraie. 1l mal la m. LABOVQIbits LOM DUPLUI IL FP. ObaIlmatK la LABUSQUIHUI & elle UatIuAN COUNIUUNAUS 1i,-mi STPUWN-17 .Pý* kadU du«= deu~ àfi dei NOUVLOn*N ACNAT ET POI$D f VotialIIu, Redents, Suavez, 8 ic (Refé,a mm% X, no de Coton. les hu, ie truiqu 03000 Co %rde,01g>., Cotone, corn euwe.1 .. se. 9f" ou i vhs L 9NIic, l 0 3 ru mum vm& tu ~ T -r", P *Z e .mia 1 cCiTS;â ala#~j ;' » &7b».M - l - Uv. a~&P 1 qd»UiW r iI* duubuuilIImwammg liUm b u~. M ewM- a@gposMuta 86-* tue & *do dsvisfe e.pp osA odhe~u 8 s.t ab4 u.quuo *M àos boxs Pb w*êqse L» jems dpoimoogo b dit: do M. I. MMl..ohoo lsume. -!ý 1-14ON1 am redoUs j- e Vobu Wbi ùw.....a 'e. u , eRhgmmun , Jo M uu Ne.e.don 8m.mol.s queý a. =og peu hbe Srae L. et hi Umem la sommes Mx L joudues p..egmavmb itm qsons devoir. Le père de Loi% b d de dqwet de se ile avait ombé lise euleeus- de la mies de m te.,,,. um âmaduib e disparu le cesils mim après que Leu gq le i4laeg. L'ebergWub, plue malade, Pie I@mpoiesi »»s Lmis g vo 0 8`.." regret me l&a iaw~a~nD fli¶~éil ,seHdoulc dieawlle a seCdduesse. Dolli"eto Lima omme "rý . »D I& le nused dhqi.pnk m e la. miiseu d.vwýM" dicos. ,flVeh t ellU e 1«Ws tsi sales dam. leur Malheur. 64SwOs.S4 leIqr de Lor7 à so f@ uSe edre, qui que a* e rt le afle S arrestation, mon U mot m ta be11-smise. &eisa. le Justice taS mae, mais dm aroveBm lade 1b wmemse d'dem' *MW amb asjug I'ieerum. jeu. onsm à losanbPooh de folux"I la somme de mmsn.m dut ilJmib I'wçis. il pasle )orage dtinr à. m oiblahkiiomet duAdre aste tout lee babiwts 40 M ifhgk mmrn UlMW de a somodlt et doea pr. l'~ ~ Id IMI mu anq.m t vnu iss e a par Le jor de I'Uadieuo, Edwlg paie et meatte, M prd sta -esep ed 0e petia. L's-ber-it% tou)jou SMi, **** riat pur dOsit à e ddpesltio s femm. Mi Ehr et la sue r troevuiet das le pr«tofe. On allait proolder à l'iaterr oire dus am-ei, lorsaq'ae rumeur reut a se r4pandis de la port* de la ale jus. qu'au Sls du juge. Soodais la porte m'ouvrit et Lory. debevelée et les joues e fe, -s preolpita wT le boue do amoWes Par as w aéimruton d'ume do m empnome. *ee mal àppe que Me jour4 mime Mou père a M prM - mis seraient traduits devant la jutMie. Oublit et les ré gleumeas de e maison et les lois de la oourenaae, elle partit à totes jambes, força le portes da tribunal, muota pardeous les bue t eM Jta ae eo de ma pè ea en a. gletwa. Puis, eaMyat Ms aes et pres La pr la male, elle s toura vrn les juges et dit d'ase voi erme et vibrenate : " le jure sr le oreitx de Notre Seignear Jitsu-C t que Léias et mou pèm uoot lanooeq1, quelle que oit lo oeudol dirigée ostro eux. Je l) nouoas, mol 1 mon père a toejours gaegné ho utemes N# vie. Il gbdrisik a amère e i aiwe M ille. I Quit à LIas, voi' le fealard qu'il m'a doneu. Outro quoelques Oers, eot e mal «edea que j'aie aemptd de l, et 9mere mon père Ma't.l groedi. " Pour l'amour de bien 1 meais, se sudamnes pa« -m pWr et mu frère, e- LiAet emme moo frère! Je m'al plu de mère! *Je sais le s mode ! Blodes-es. mu4, bsju)-ge redles à une peurr file som père et (La ies i" prai Wr. (La tuile au pro Vtia aswuiro.>