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BUREAUX ET ATELIERS | SAMEDI 21 AOUT 1869. St-Jea-Baptiste, rive droite, un aille et demi au-dessus de la Maison de tour. XVII AN NE E. - " 34. ANNONCES ABONNEMENT «b«. «Oo CINQ PIASTRES les 10 lignes (formant la hauteur PAR AN du prisent carr) pourla première insertion; 75 eta. les suivantes. PAYABLES I'AVANCE JOURNAL DE LA PAROISSE ST-JEAN-BAPTISTE - LOUISIANE AOGet A 6 DOAI.DonvII. L r rAIiVr Aà l. o ro:I. E-oI<.Ii. A SI E. DUMEZ & T. BELLOW REDACTEURS E.-4. WHA RTON & Cie, Bourse ded Marchands M.• FELIX REYNAUD rue Commune, entre leu rues St Charlei et Camp. TRAVAIL AFFRANCHI Une révolution, que la politique rouo tinière D'a su ni prévoir ni conjurer, a brusquement renversé l'ancien ordre de cboses en ce pays et profondément modifi les relations du capital et du travail. Comme partout et eu tout temps, les intérêts menacés ont oppoeé oet réistenoe aveugle et obstinée à l'iowtable tranlormatio, et ont jon. ché de leurs ruines le sol boulevereé. Cependant les victimes ont paa6 par le phases de la résignation et de la rdlion, puis de l'esprance et de l'énergie, et ot arriées A l'intelli genoe du présent et i lintaition de l'avenir. En tochant dans leur chute douloureuse la terre materelle, elle a sont relevée plu frte que jamais, elles ont oompri que le travail afran. hi as tarierais pus assrer la proe périté générale et qu la soeiét .d Sed, ne tranant plu au pied le bolet de l'eslavage, marherait bientôt à grands pa dune la ti inaie du pro. gr6a. En effet, les partimas eau-mn. mes de l'immigration hinoise hier en cone e6ébralent à l'eri les ioombra. bles bie t de travail libre et ta rimaient point ea dloges aur e hea. reau et rapides résultats. l ooeass taient are aatiaetion la disprition do domaie qairitaire de la glèbe fodale de la distnibtioa oioi de la pro prid", et adlient I'avémeot d'une claue moyeane, sitée i égale didaes da riobe planteur et de pareea ave, exmpt de l'orgueil que doom l'ope less et de la haine qu'inpire la mi. abre, pareile à la bourgeoisie poiant qui fut le produit de la révolution fra gain de 1789. Tles déient aussi et telles soot more la penrpeetives qui nous aoerent : moreellemet de la grade habitation et aootitation de la petite propridté, et, tout i ed, de la petite industrie, d petit oommere, gu'elle saiU et entreient; eItuw réduite et d'autant plus parite; petite grops de travailleu recevat aun a lairne quitabl et proporti adé à la valeur des produit obtemm par leur oours;o , aeb l'aaiafe au moins, i la fbrte pen te, «vem à tote kes ooompét ions t olliebat totwle I -ativit; easi, -6e4 tn, ia-truoioo, moralit, délopp et allaun de pair am sai de poplattie labori et palsibles; voi le tableau sédaisat qi eaptlie lo regards et qui d'bere i hurem rapprele et pred le e rasSLn d'mo réalité teagiMu . Et ' eD préeeon de eas proasm dont l'a oomuplimmeat m'a rii de deouteu, qa'anves imatipemn fbrile l'mtopi réactionnaire va se suspendre à la queue do Chinois comme un nageur fatigué saisit la branche du rivage qui s'enfuit! N'est-ce point en vérité une étrange et inexplicable démence ? Quant à nous, si impopulaire que soit notre thèse, nous la soutiendrons et nous protesterons jusqu'au bout contre l'introduction en masse de la race jaune.-De bras, il nous faut des bras! crie-t-ou à tue-t4te. Nous aooumulerono les produits, nou entasserons boucauts de sucre sur balles de coton, nous trd nerons sOr les marchés du monde et nous roulerons s r l'or on laisant der rière nous l'ère maudite des gree baeks. L'Asiatique va remplacer avan tageuoement l'Africain et.., après nous le déluge -C'es bien li, en vérité, l'argument du tentateur feurissant le chemin de l'abime, abîme franchi par une révolution et par-desss lequel il s'agit mainteant de nous faire aauter à reemlomo. Eh bie, il faut esayer d'ouvrir le yeux qui a ferment ai eomplaimement au danger et resituer on vrai sns au plan d'immigration ehioise. 8'il n'était question que d'une im migrati spontanée et individuelle eomme cell qui Bos vient d'Europe, il 'Jy aurait ps la moindre objection à hire. Mais, tout au contraire, on propose ne irruption qui, sos le rap port du nombre et aso d'autres eore, rappelle la ivanion barbare. Lea qp4o latleur qui 'aboebkes aee moes, Koopmeaoehapp, Tyekem-Orr, Chbe. CheO , ai carte blanche ler est laissée, vont déeum la Chin et noms recruter de bras dans les régions pléthoriques et misérable de ee vaste pay. Marchands et acheteurs d'hommes dé battront ls taux du alaire et dresse ront, avec totaes les subtiles formali tés des lois locales, des contrats A long term, d'après eette victorieuse logique que eelai-l peut s'engage pour cinq ou dix ans, qui a l droit d'aliéner liberté pour si mois o oun an. Et le ot as précipitera, et le platear ser rera préeiasme et etai le eotrat chioois conme jadis l'ate de vante de noir. Ah ledeux boas billets qu'aa m La Chbtn ! Io fois eo trs, em hbms j)use qui e ransiem bleot gure Ai ceux da tempe de Con eia, serot la semenoe d'aMe rvolu. tie autrmeut terrible que oelle qi aous a abattus msem e intrire, à e q'il paral. Le Chiois s'afra ahiro. t d'abord de li fragile de cetratl et riret de l eoditio de servage ou de ponage« dama laquelle mo les aur attirés; les artisans de désordre leur prêcheront la révolte, et la race caucasienne, et la république fondée par elle, et tous les éléments de résurrection matérielle et de progrès moral dont nous constations la réapparition parmi nous, tout cela s'en ira fottant vers le gouffre du néant. Nos adversaires, nous le savons, traitent légèrement les ob jections, et plaisantent avec grtce sur les sinistres prophéties des pessimistes. Ils trouvent le plan d'immigration A la fois simple et fécond, juste et ration nel. Et pourtant, il nous suffirait pour leur causer quelque embarras de chan ger les termes de la question et de leur demande, ce qu'ils penseraient de ce plan appliqué soit à la France, soit à l'Angleterre, soit A l'Allemagne, et comment Françaiq, Anglais ou Al. lemands traiteraient le négociant en chair humaine qui offrirait A l'agrioel tare aux abois des cargaisons de leurs compatriotes, recrutés en masse et soumis au régime du contrat quinquen nal. La proposition serait par eux regardée eoame un outrage. Le travail a été affranchi pour le bien de tous, de nouveau on veut l'asservir. Si le sueoès couronne l'entreprise, le travail asservi s'affranchira encore, mais A quel prix ? LES MILLE ET UNE CONNAISSANCES UTILES. -o Cour, Jardin, Champ, Cuisine, Cave XXVI Achevons la liste des vins de France. Le riveslte: il y en a de rouges et de blance. Ces vins sont génaretx, cha leureux, liquoreux, parfamés. Ils oc cupent un des premiers rangs -ans l'oeologie française. Le romande est un vin d'un ruge rbis, ayant beaucoup d'arome; l est fli, spiritueux, très agréable et as vend fort cher parcee|u'on en roéolte fort peu. Le romanée-eonti est un vin ro uge qu'ou reconnalt à sou boaquet vineux; il est moins sa, moi esatim que le romande. Le roelloa ent un vin très rouge, très apimes, et dont ono sert por olorer et fortiler les vins faibles. Le aiutamilion est ms vin rouge, d'ue belle couleur; il secoeerve bin; il a »a peu du bouquet de vins du M-doc. Saint.E-Biliou ert elae6 permi le bos crûs de la Giroode. I moint-pdmry Mt a vis baie, trLs déliest, spiritoeux, mouMsse et aotant la violette. Le antrOe est le meiller de toua les vins blane de France. Le vin rooge de re amoe erû l moelleux, con6, d'an boquet aromatique trs agréable. Le illery est blane, un peu ambre; il dispute le premier rang au m ere. Le tavel un vin roog, très ia, tris parfnm. C'est an vin de desr __________Si Les thorins Pont rouges, d'un bou quet très franc; ils supportent les plui longs voyages. Le tonnerre est un vin rouge, trè, corsé, d'un goût agréable. Le toremila est un vin de liqueui qui porte plus communément le nom de rancio. Le voloay est rouge, d'un bouquet et d'une saveur fort agréables; c'est un des bon. vins de la Bourgogne. Le voene ressemble un peu au nuits; il est plus ferme, plus agréable. Les vouvray sont des vins rouges et blancs, doux et liquoreux; I'Age les rend moelleux et spiritueux; ils sup portent les voyages. Ce n'est pa tout: un bon sommelier doit être un ddgosateur afi de pro noncer sur la qualité des vins et n déterminer le prix; une erreur du goût, de l'olorat, de la vue, oommise pur un mmelier, peut entraner des pertes efermes. Que doit faire le sommelier qui se trove en prsenoe d'un vin? En ap précier la eouleur et, par eonequent, le regarder arve disearement et at entio. II doit eauite étdier l'arome ou odeur «onnue sous le nom d'odeur vineuse. Or, de tempe immémorial, les dégustateurs et les gourmete ont donné le nom de bouquet aux émanation odorantes qui s'exhalent des vins. Un sommelier, possédant toutes les qualits néeesmires pour la dégustation, démle les parfums les plus fins, le plus légers. La cosder, le bouqwu, le corp, telles sont les trois manifestations du vin. Si un sommelier réunit les qualités que nous venes d'énumérer, la al trese de maison pourra lui abandonner en toute séonrité le soin de s oave, mais es le aurveillant avec beaucoup d'attention: l'il de l ma irese est aussi né aire pour la prospérité du ménage que l'activité du maitre pour les affaire du dehors. Il n'y a pas de soins intérieurs qui ne donnent une nouvelle considération i une bonne et age ménagère. Dans les familles les plus opolentes, il y a peut.étre, i ce sujet, plus de zèle que dans les classes moyennes. Et d'4 leurs, le vin n'est-il pas la saout, la gaieté, l'esprit de la France? La vigne n'est-elle pu une des riches t du sol français ? Baffo a dit: Le style, c'est l'komme. Nous disons, nous: La boisson, c'et la Nati. J.-M. CATLA. LE D" R. DELRIEU Médecin vétérinaire. ne tient à la di osi tion des planteurs qui aniriient hpamKin dle mf*m service, pour traiter leCharbek et auntr eI lacdire dcts iiiitlet et chlitcvux. H'adremler nu Jr. . Ilz. i.nm,,. Nouvelle. Orleans, mI, rue Royale entr Cl'ontUi et T'uu louse, ou la boite No. 644, de la poste. .. . . ... . .. . . . . . . . . . Dr. G. DAMARE DENTISTE Bureau à St-Jacques. rive gaucho, près du Couvent. Offre repectaeusemeut msea ervihe aux habitant. de StJean-Baptiate, où il fera une tournée chaque mois. Pour plur amples information%, 'adlreseor au Dr lart, i 8tJean-Baitiate. Mn.ai la P. L. JUDICE Arpentear et Iingnieur Civil Arpentage et bornage d'aublatutions, tracé et . lementm de cheamins, canaux et levées, plans et dvisions d'habitations, etc., etc. Ageute & 8.Jealm.i apsItse s MN. DuMn) & BELLow, éditeurs di 3PLes peronnes désirant faire exdouter dm 'avaez ont pride de laisser aux bureau: de Màieadbdbi instruations i cet effet, le plie tôt possible, afin que ce travaux puis ::et tre eédcutds avec plus de promptitude. et i mous de ftra. le mai la A.'v I s Ie soussignd a 1booneur de prévenir les familles qu'il e chargera de l'entretien des tombes dans le cimetière de la paroise St.Jean-Baptiate, aisi gaede l'ouverture des fours, de la construction des monumeuts et de toutes les réparations nécessaires au bon ètat de ce qui loi sera eoeni. 6 mrs 1869. rners sODMOu. ,S'dresser, pour reossignimeatr, soit à M. J.-B. (aire, soit au signataire du présent avis. Le soussgné, reiant les araire k la campagne, offre en vente, k l'amiable, son MAGASIN parfaitement approvisionné et achalandé, et admirablement situé à StJacques, rive droite, 54 milles de la Nouvelle-Orléas. Une excellente position sur le fleuve, près de l'entrée du chemin public du village de la Vacherie, une vieille et nombreuse clientèle, on courant d'af aires établi depuis longtemps, un stock répodant aux beoios de tout genre de la localité, tous oes faits expliquent la prospérité bien connue de cet établisse ment et sont de nature a offrir k un capi. tal disponible le placement le plus avanta. genx. Avec le magasia et les mardhandise qa'il contient, seront vendus e bloc, une bonne maison de rsidence, une cuisine, un magasin e mais, ke., &e. Le soussigné se fait un devoir de remert cier s clients et amis de la constante aveur qu'ils lui ont montrée, et il a l'hon. neur d'inviter les persones qui auraient des réclamations à lui préenter on des obligations remplir son égard, à vouloir bien le faire le pl promptemet qu'illeur sera possible. l se tient dbi ce moment à leur disposition. M S'adresmr h Louis Rymas luimime qi offrira aux amateurs les o'oditions le plus librales. StJacques, 5 juin 1869. LOUIS BIYAS. 139 rue Royale, Nouvelle-Oriéans Librairie, Auortimrnet complet -Il ode Livrea de Clanme fraiçau set angl aii , et dn Fournitures do Bureaux, Articles d'Eucrime, Objetà de de Fanataiiie. A~~rnco diu Nouveau Monde, de l'EcAo de la Sorbonne et dua Monde Illustré, Abon neament à toutes leu publications françaesi. etc , etc. [ P. ROMAIN, commis ] I. W. IOMAN & Cie. IPICIERS EN GROS ET MARCHAND8 Du LIUUURS, VINS, TABACS, &C. 41.. rue Tchoupitoulas. .41 entre Oravir et Poydru NOUVELLE.ORLÉANS. d'M la C. L. CHAPOTIL FERBLANTIER angle de rues Bombon et Bienville OUYruLLB-OrLtAin. Ofre i sa nombreuse clientile un grand assortmeit de iaaimere ea sile et on ferblam, Waie. de Ulge, Dai-s de r oiei, anlmu de beahn s. Amui lune grnde varli4t de S»ve d*e meilleure« marque, pour bois et oharbe; rasee de ohemindes, de toutes readeanr mattlesri de celmels, de toatu qalltde. .P'L ordre seront exsoutde aves soli et promptitude et i de prix moddrde. lmai JOHN Il. POHLHAUU. JOm A. STAIOaB J.-I. FOILIAUS & CIO .R MAIRIHANDS D PARINR Nos. 78 et 75 nre Poydras 24 av la. NOUVELLE-ORLiAN8 L. A. SAUTON Mla&lAN COCamISSIONMAiRB NDOIUVZL-OEL*AMS Rnlg repmmes de teoeiulgomu, paeoBalee Peebe, waveom, Bsl Ii'<in, iss Vsr, w, ma 'le, Lae im,. suit, vie, vieux ver, fauigoort*i Akodeé et bit ri'Ut4aum LA CHANSON DE L'AUVERGNAT P"R 'Et mom hmli duo" ...U.m$u. u% t" &blel~mmil *a. etlumnup R M"puhlS lu . mde rt eYiiuq.u. '·Pmm mouai.- de bu rm -Tlmudloi dflieubsd 0 et lmboi d. MMI "O. aigo là. mm -boheI~YO *qou#sii h 'uoe tnp, ~wevhum aell r1pi.b uioh héha (i, muéi dom br l dÂrYr ~~v. ir Loesimnisu «la:Di!hobo taurus s ue tl diligense 'realo, et w - fut qm latamp .pris qu'elle It dlpmim das i pouesim de I'orlaoa, que lei épou Tu easet ndoidltm ài regager dliouJe-u t eeas puai.. I.OYm vu 'Arthr ~~t r ae u i eaitbe à Parts; à es l'astm getat a amoinnu quol ftt pu de loage de Le bruit mimoé d'ms marte retombant ur su objet matl qif, aea asempagIlCm et d'an eht uiloareu et aoeteu.é, s(illa - mMrit raliat. tape ema do tla or de MItai AIrtkreriu t ar et perçirt a Avergt fort, mir et Wtai qu bappJ t moqu reotabls oum u pial de vaimelle ouI«e e Iaiu trb u s dlimltde*, et eri so labkr par d abs de - payI, ebamsea & mlaqelle ue co Ieur liale hrtmant aseostaé domait certai origInainté; Idit" ilBesMta. Voic o q puebantaitl'tamuer de aseroles: • r«mn-oprt-i, ii il, m d CowtetUl" ombre de troup'-V ded mrta Noe nuieoutrar ba mebrl de gu«ailis, embre de teae de p' &Aavagat. lm soadodBadst lus bhotals, la caiers t les pleats, oahaerr de bdaddisl sembuir de oheUrars la Par n i pr obmit e mirei melori Trmp'-ep ge, ila eKbshoml ' Umrrrmrr Smosemdse s soutreeu ealere , a d i. eauskee q p e Vel-ss-v qu'ea la rrm t li *miuodaist, ee.-, Ote. 1 %eas veulsaP dlauer dava Il smdoadosiat. sie., etc. Quant à l'air aecoemodé muroes rotesque parole, la meure ea étit briée à olaque iustant par un éclat Joyeuz d'un brrrr, partant eomme e e fede, et il et été dimiile, name au musi ien le plus .pert, d e noter exastemet la première audi tion. On m ftigue de~tot, mm de a chanson d'un Auvergnat, sartout lonqu'elle oopte plu de trois couplet. Arthur, peu touché d noble exemple kue bl d tt Frvrier laseiex, gai et laborieux dous l'exu e iadigr o, dhla le c hadroeer ambulant -H6! l'homme I Itleu me ttet l main A la poche do s gilet; voule-vous gager vingt swes L'Auvergat leo b l te, et, apereevant la plteo JaeM doat Arttr appuyait luterpelatio, il grimaça m sourire qui décou.rit truete-deu deto aai blanches qe a 8lgure éait noire. Arthur répéta a questio. -Oui, mme be maoehleur, répoedit l'A ergnt ; que fat-il fire pour chela -Aller ebter ailleur et me aisser dormr i paix! it Ar. thur n lançaut eu lkois i'a geste que n'eaesmt point reaié les roes de la Rgeanee. Et isatilt d'avoir Iaauguré eu roma du Paris par eette libéralité priaire, U ferm, a feamtre poer err de retnmver s m seomfil iateromps. U / Joueé a'a pas arrêté le del, et le pire Taaugesot et été impeimot i driger l'aveir doe em le. Lee pères qi, a priori, blmeront la pnrpts délbos de l'éplier de Chigue, courent dom grand riequ de tromper. La vie a me troeie et see maivetés; l'héritier d'uu laquais de. vient rtbe, paf Iele ltre, et seo fi rodevient laquib. Peurqueit Nul ne le mit. On se torturerait l'eprit vlaemewt, ms trver la formule qui prsdo 1 la destlMe des tret. Neoi toremas ms oses das due oerles dent la Fortune dtmiaà e Igr le rayon. Notre voloté eit lapuimurte dilplfaU le dItia. Md gé le proverbe, Vesuir, c'us powir, mou e murioue ddtre es ta.je le basrd, alosi que le disait Frédérie I I s Irisat de ehampege et de philosophie duare so aupe de Pouem. i vrai age, lomme réellemet fort, veut es qu'il peut, ri Ma deç, rie au d . La siup4rorité réde dme la eeo e aloère de se propres foroes. Psltoo 'a dit 1lequamit, et Mer toet eo peu de mot. Or, M: Taugomet, hoim pmatique-qI m'svait peolt le PI too,--e e'dtait poait espedsut tnempi ser te rla'i t mi Mr le aptitude d'Arthur. I avait reeemms li us de M éorbtes teedres, qui 'ont de prddiletion arritde si peur le Me ai pour le mal, etdet la vie et eouvent plu psseave qu'Meive. EWeiger sou Ib de Cigaoe, e'était, il e mtait ble, le Mes. traine A la suUrvllalee de la hmule, à li'lee deo M b eeoo.ailb de hem beks amplmesi 'élit ui le ai .y d' ire put due s bemu h e Pem - P- t t-Mal dM lt le pire qui -e midse oeerreweM-o oi psu A I'avae arrtali du r. imlta d'use tbl ttative c D'allem, dWit l'hMeite «pler, *'11 it quetlqs fredal. ne, on lear cherM à m dre, et on payers les pete eaMds N st-Ilt plat que n mese pus.e? ZE pourvu qm l'eaBt re. tlme au breaillae su wmar M se erille, je ' deuimde ( La sain a pr ck4r s niseér.) \n\n s. C. WHARTOxN, THOMAS TAUDRIW, late of N. O. Piosyne. late oTradrew a Co., WUIlTON & TAIDBIW, (Seaooeora to E. C. WMArTrw & Co.) ADVE4TISING AGKNTS, (Establtslea o 1466) OFFICE, , "MERCHANTS'" EXCHANGE CO'S ROOMS." 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