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13UREFAUX ET ATELIERS SAMEDI 26 AOUT 1871 ST-JR&N-BAPTISTE, rive droite, un mille et deol au-dessus de la Maison de Cour. NI AX NÈf E. - V 34 PlIE DUS ANONOUS: - MN q j 5 N ABONNEMINT: rooR L£ CAURR DR DIX LITONR8 : i* jp pa 11fI -ir O'q Première inserton ............85 Si F1 U Ii)oI lI~I~i i Insertionp attirante ....... 75 ..E l Es S C 8 111 C E D E PAYABLES D'AVANCE. JOURNAL DE LA PAROISSE ST-JEAN-BAPTISTE - I,01»8IANE (AjbMCC A LA UELVLU.-URI.Af4 A<. t.T A DOMAf.DIOI .U E. DUMEZ & T. BELLOW REDACTEURS WHiARTON & TAltDlWon d" Marcihn.t M F Ti t F R YN AUP P rue (omnnne, entre le ru<r St t'haries et Caimp L'ONUUENT A LA BRULURE -^so"- E0îflî, t notma dmmmf llpietrPll de le constater, le plantenr lonigis. %aint d4coovre le remède an mal, l'onguent A la brdlnrp. Jnsqu'à ce jour, Il ne pouvait rompre le charme du paiqé, nortir dn milieo servile et aricaisi. Lt grande propriété avait loanî être grevée et anrtasée et les anicienn ecnlaves être devenu. mal Ireon et goivernant', l'image de l'institution évainoie persistait dan. les vaines apparercesa et in retenstit de mortelleni illhilions. C'était, comme l'attelage d Scar. ion, l'ombre d'nn planteur rnitivant l'ombre d'niie lhaibitation avec dem ombres d''sclavtes. Les premiers qui compsireist ce j"n de dopen et pourtant voiilurent eticore Re re. tourner verm Eîrydice ravuie a .éjnnr infernal, songèrent ans Clii enoil, les prônèrent, firent valoir la docilité de cette race dégénérée Pt abratie dont lee membre. sont dem chos's plult lutoedes hiommines. Maim l'espdrieute partielle de ce suenbstitut asses trunsparent de l'esclavage prouve qu'il ui'et qu'en palliatif et que le spécifique est aillenrs. Oui, ce sont dlesaommes qu'il faut à la lonisiane, non des machinel ; une période transitoire de servage suc eélant à l'esclavage eût pui être in:uignréde par le Sid il y a dix an« ; niails le e»pps est paWs#, I'uccaiii"il amsuqudé. Sne vfrrévnc:t tlo révoln. lion a tout clihgé et il convient dl' o'oriiiitnit Suivant les pft pi'ctiveCa qu'elle a çivertes. Aleajacli est. Piua iitslligentr et plus liarlin fque les amniits trop li'lèle de l'Ag.i d'ur et du régime patWarc'il. qc.t.l. qugif planiteurs ont résolt de couper l- erlte et do rewoiuvelvr la popu. lition du payA. 11s ont raisonu. i est le saInt, pas ailleumrs. Nonu i'iitvds rieisè esp«rer d'uns change tiptit politique, d'ne ritation de foictiumsaires; la corruption nons ronsgera et le 1tt s'*ppeualira sor nonus de pitne e pin p mna une ad muinlstration démarratique comme som *»* admisItratlon rdépubli. esin.*, 'gDeras Ua5, '.st à-dires J twasuat tr. et e mp de la soi M n ratatsts men. Lie* >eamtgrm.pu rq . pénétrés de me edrl0q sa feTu 'uat à perter pp> lo#tCempsi le deuil d'otn rsglusVWu.s fos tt aMi euterréd que ti ri«Mtsde Psi»pulss et dibik« jsui fstaé le pro. j-t d'aUttlrer es 1itM«usw-ar ler of frc les pluies libértales, "n flot d'im migration qui purifie I'Eiat et luii rende à la foin l'honneur et la prospérité. lis ont tourné principa lement leur@ regards vers l'Alsace et la Lorraine ci des Françain quit. tent leurs fiyyers et enportent leunrs pénates plutôt que d& travailler pour le roi de Pruise on l'umperer d'Allemngne, et il, monitrent à ces déohéritén nan nouvelle patrie, la louiianî%, où cetux-ci îetronlvermnt les mounrs et la langie dIi sol natal. D'anutre avantagns alt»l-dent le@ exilés vnloIuntires anr le rivage américain, un doux climat, in, terre fertile, un travail r!Um'inéra. teur. I l at.u., 1:l pinupart d' itre eIx appartenaiient à la clitumq ilem pri Idtaires; ici, et c'est ln trait géné reux et lhabilo du plan de conitr.ait qu'ils peunveuit siginer dè4 demain, ils aerount dms associée à la grai-de plantationi dit Snd, -en attendant qu'ils aient amassé ni« pécule qui ,enr permette de devenir eux memies propriétaires. Aux journ de sa pro. spérité, la France no put jamais combler ses enfants di tels bienfaits, 1 et nous qui oonaieiSos et voyons d'ici ses panvres villages, ses ri ches encombrécs ma!gré les vidl's que la guerre y a faits, nous ne doutons pa dus anccè-4 de l'appel lancé aix payanis fraun- ts, non sutlement dans ItfP provilîcres cuin quiCeti, mini enc'uie dans ton t's les atres ; pitieg dP ct-ttc coitri-ut ilt, comm#' dit Matlûuah, lI c-0v1urLt i'ai pa! été tli4 p11 r tout le (u'ti'l, et ,ùI, tiunl la giorre et leV aitr's fl«4.îix ileitrocteurua, lu- moy-in 'le sntliltAniics nC t&lQ»ik'ti;it plu à sanq'îicrt. M;i'. revmotn' :i11 p. jl 'qe viu'nnm"îl d c ie c-v'ir et vouit ,m'ttre i exétenti ins l|e l; utuire dl 4''avant-g.ardu n l'u ni ai-i- ;ii . NStus aroiis 0oui1 les y.iix doinx diocuienîuts q'ii Dnou out été remui,. p:ar le dctleiur Tié?spliili Aîfonx, ageint mpécia&l fe l« C.mnspagni. d'immigration. Lr preunipr ePt une oetite brochure de dix page-s, intitl lée : Notes sur M( touisiiie,-Res seigiWsels s ,m.igsrants franisç . Des dltails y sont donuims, di'tu nn style nobre et clair, et avest one bosefte et ecropnlenas exacùtl*e, au le oliatm, les prodeotlins, les resroees -r* 116 salairen en Loni. stase. Lm trav.illear de la ce on pag.ne. fhteasin aira paine à croire que son sMnt«lable gagne ici eu *penue 110 frahss esn or par. mois, et de plua'est lugé et jouit de maint aetre privilwg.. Mais le travail Cla pait Pot encore p|i)H avantageix, millrtout lorgsqu'on réflktlit qgie, selon l'évaluation la piis modérée et la plus exempte d'exagération, le ré. suiltat du travail annuia'-l d'ai homme nctif employé à la cnitunre de la camnne A sucre, est d'eîviron 3,080 francI par ni. Le second do coumeiit, dont eat muni le docteur Anfa ix, est le modèle de contrat q<iii, ainsi que lai précédetito bro. cliiiur, scm dista ilbté dcniqs leI di-i. tiicts ruraux de lai Friaince. Le |iateiinrs quni mont partii.s à ce cou tirat s'engagiiit l p!ayer le frais de rciit' et d. pamsage dle tonst iimmi. pgala fiaiiçiis engagés pour eux, 'par !eur rigit, à raisomn le 84$0 par liiuinme et $15 on $20 par f'mnî", ciar ils ti.iiîieimt à encouirager l'ii-i. nig*îtioiin par f>mii'les. A l'arrivév les immiigantt;s i la Non velle. Oriléani, il sira roiirniii ai cliacnii d'i ix, par le docteur Anfoix, 111 état des frais encotrnis ponr son trniiisport et celui de ma famtille, le double de cet état de fitai étant remis an pîanteuir contractant, et étilt'lisnant la reteniiiie A faire, à li fin de l'anniée d'exploitation, air la part d<. l'imnmigrantl daus la réoolte, jims'u'ai remboiiricneimt complet desi avances. Le contrat doit <m. braisser ain nlaps di tenmpa de troin à ciii( ison. Le planteur fournit lige. uaint, cour et jstrdin ld'in dini ai litil de terrri, phias dix onu qiiiiiiz aip'inti à ciiultiver par lioirnno, on 150 air pmisl pour on groupe de dix traivaillî'n' ; la tî'ne, ili'j' îdéfrichlae ut draiaéod, pomniii étr-' <.'lti vé ei j cAnties, ta;li.C, maïi, six on coton, ani jW.ig.n ut dq popri liétiire; la récolle nerrit partigé * par muiié, Alillaction f.&te des fnis d'cxp'oitioihn, lnaire la propiiétairc ft 0inn frierail' on; ovmièi, Il'imiigrant; leproprié tlaire fitarinira, à clhaque groupe de cini lioiinmes, 4 miuleta, 8 clinrrne,, et la mnachine appelée cunitivtienr; pei. dlaut les preminiern m1ia 1 ou la pre. mière anin6, le planteur avanicert nia immiigrant., sur prix de fiac tuîre, les provisions dont ils aniront bewini. Telles oant les claises princi. pales dlu pacte coaçai et pro pootd aux prolétaires einropévii par les planteurs loiiiaianais. C'est le cas de dite que eI extrêmes se touchent et les antipodeds sn con. foudrint. Mais la Loniiei-ie, blesadée commi l'Alsace, se ionuivent de ces premiers colons qui firent donner ainx parc{l«esi actnelles de St-Char. les et St Jean-Baptiate le nom d].. Cote dea Allemiandq; il lui faut des hommes et elle en demande au1 paya qui lui envoya jadim de vail lainta défricheirs. Elle invite ani banquet d'une nature prodigie les lhbourenift9's n nol avare et les exilhu d'mnnî patrie envahie. Pour ppi que l'agent recruteur entende son afftire et celle de ses conisti. tianmts, il no:is reviendra avec unei armie en décembre prochbiii. LES MILLE ET UNE CONNAISSANCES UTILES. CXXXII Pour drainer un terrain, on coin! mence par pratiquer des sondages qui servent à faire connaitre la nature du sous sol, sa consistance, son degré de perméabilité, enfin l'Vpaisseur dos couches do terrain et la manière dont 1 elles sont superposées. Pour sonder, on creuse, à la pioche ou à la béalie, des fouesés de quatre pieds et demni à cinq pieds dans diverses parties du terrain a drainer. Cette opération préliminaire permet de saisir les difficultés plus ou moinso grandes que nécessitera le creuse ment des tranchées et de déterminer appioximativement par avance les frais du travail d'assainissement. Quand ces premières étules sont terminées, on dresse le plan du terrain, on cherche par le nivellemc&.t son relief exact, de manière à pouvoir, sans se tromper, p'aceer les drains dan lan direction des plus grandes pentes pour faciliter l'écoulement de l'oeau. o' effet, la pesanteur étant la seule force qui détermine l'coulement de l'can à travers le. drains, l'inclinaisoon des lignes de tranchées doit favoriser cet dcoulement. (Ju réseau de drainage se compose de ufoeséa converts de diverses grandeurj les pisn petits de ces foseés sont appe lés petits drains; ceux qui reçoivent directement les e -ux des petits draino out oommenl colletseu de premier or dre ; eaux qui reçoivent les eaux des collecteur» de premier ordre sout les collecteurs de dleurième orde, ete. lies petits drains doivent être ilirigts suivant les ligne.s de plusi grande i pente du terrain ; In nivellement fra cunnaolie les points où l'oi devra amener les branches des drains princi paux. Ceux-ci sont établis à un pouce et demi ou deux pouces plui bas que les drains dont ils reçoivent les eaux, et ils doivent se raecoWier à angle aigu avec eux. Ce raccordement s'effectue au moyen d'une ouvetuire circulaire, pratiquée'dans le plus gros tuyau et Jans laquelle pénètre le plus petit. Chaque drain doit former une ligue parfaitement droite, 4fin que l'eau ne rencontre pas d'obstacles dans son cours souterrain. L'extrémité des maltres-drains, au oiat où ils débou. chent dans les ruisseaux on eanaux de déeharge à l'extérieur, e-t ar"s d'une grille enfer qui a'oppose 4 p 0d tion des matières q l ient obstruer les tuyaux. A * On emploie, pour le T1eegs des drains, la baehe, la pioehe, la pelle à puiser. Il faut donner s# tranchées une profondeur telle qu'en eulevant toute l'eau çisralontidautei, elles abljis.ent en iéine temps la linUnetiur d.- l'can alnainllte, do maniIère ique cette eau ne puimsc remonter ji.qu'nuE racinrs; cette profondeu'ir cmt comprimo cotre dent pieds et demi et cinq pieds. Elle influe sur la largeur d- a drains, car plu< upx-ci suont profuiidm, plus il faut de place aux oiuvriers pour les creuser. Quinit à l'écartenient des drains, il vario avec la nature du eol. KEEP, HOGAN & ÇALLWEY ttUINUII[iiiERI E Ne. 389 rue Tehompltomlas et No. 86, rue de la Nile-lAvie, NOUV ELI.M9-OM ie'.Àq LlWnnvateiit cfinstnmninetit en Inaju un appi"rtimatf<nt e.ninlett die Quincaillerie, Coun tellei je. Ferbiiaaterie, I nstrasnients d*Agrie.ul turc, &v. Ç,v20--nto 21 GRANDE LIQUIDATION. 25[00 au-desmois d (li prix cotanut. Le onusigné inibrmie les marbchands de la campagne, qu'il a ui« en vente Aàpartir de Samedi, 10 juin 1871, et pendant deux mois et demi lia magiaique Stock de $225,0W DE VÊTEMENTS CONFECTIONNIÉS POUR HOMMES ET JEUNES GENS, Linge de peau, Chapeaux, Casquettes. Les ventes se feront eon grn, demi-giros et jétail à 25 010 au-demous du prix coltat. C. LAZBRD. ýC.L.CAOI FERBLANTIER angle dois rues Boutbon çt Elenville 1%4 lè o DB gueireu y;' xi»4 et estm A ur- se granen.vait ,Ste e meileunres marqtnos Ipour bois gl, charbon di ratrm de devnnr~ i forte. grandeurs 87'Le. ordres ROr-nt sndeutdw avec Poln et proinpti;udn et n de.pitx modêéréeu. min. "VIflERIE ROD STOýE," LE MAfASIN T>T DIT lMI.< I)FE LA V1ACHERIEtlt.nu par J.-V. ARMANT, a reçu, an ddbut de lannd* 1870, usa magnif. que et complet nasortiaimiet do tous le naiti nue qu on petul chercler , ann un .hitilu . ment de vomnvierer, EPIC E1IES, LIQUFIJIIS ETOFFES, , MERCERIE QUINCAILLERIE, CIIAPE L LERIE, CIl AU 88URES a TC., TU., TC.TO 1ie " VACHERIE ROAD WTORB" est ea mesar- 'e satisfaire a tous les gemtet pet so motn i la perté de toute les boarus AanIte £roll, le commits aimable et popu lair«te, ft toajuàs à ou* poste t is brave ment fme aux ellet et amie. Une visite as *" VACEHIs ROAD STOBE" oouvaluon bWs vite de la modestie da prentrtsvi, et lle m es peu leder SsJaoBe>, Chmia de la Veeehle. 1 JUTitT ae.- *#lu cURT OFFPPIAUI i)E I'ETAT DE LA 9 8IMA1AlE HARDEE Celtte ca rie, ilntt le besoin s faisait viîC. ment sentir, a été préparée veue au soln extrêmte et une exactitude parfaite t0r M. T.-8. IIUI:., 'Inigéiuleur upéclaleaneut' unmnum4 par l'Ett à cet effet. Etant oecielle. lle lfait neccmsairemenit AUTuItTf$. Elle ceibraise une variété de renselanef niment qui Jamais auparavant n'ont tu comipris dans aucune carte d'Etat; on y treoave les dliver CANAUX, CHEUSNIa DEg rs.a, achervés et projetès ; la désignation de cha |ue towuuhip sur l'emplacement de@ township«s; les minam de tou les PLANTEURn et de toutes le PLAeTATIONN le long dt feiive Ilssissipi, et un résumé complet et fdèle do tous les documents iinsToumqon' et tiATInTiQUEn, relatifs à l'Etat. PRIX % *ts.00 LTEREMPLAIRE. Cette carte, d'environ six pieds carrés eut élégammnent coloriée et montée Our rouleaux. Le soussigné a le droit excluilf de vente de la CARtar HARDBE. EDOGARD STEEL, Nile Orlsang, P..O. Look Box 489, et Etabliseemient lithographiquie, 22 rue St Charles, 3e étage. CERTIFICATS Nous certifiob avoir Ait un examea oriti bue de la carte offiielle de la Louliselso. publiée par T.-S. iarde*, in.énleur spécial. et nous la recommandone, oa-ueuleaeot comme une euvre d'art, mais encore comme un objet d'utilité pour tout sarobsae et résident ayant un intérêt quelcouque dane l'Etat. (J. T. BRAURKOARD. WM. J. McrOu,.u.ocu, ex ar pentcur général. M. Jti. ToirsoMan, ingénieur enl chef du board deu travUpx publics. J. A. D'HtMscouRT. d4put4 aspeuteur do la ville de la Nouvelle . ItaulxV AsVLXexindalear en chef du hemnin de forde la ouzel leOrléans. Mobile et Chattauoopga. W. H. BELL, arpenteur de re ville. B. H. OaMIu, ingénieur o chef du chemin de fer de la Nouvelle Orlé,n.e, B&ton-Rouge et Vickburg. Joax LTXrC, arpeniter goi ral de l'Etat de le Louiaisne. CnARL.Es W rruXgV a Cie agenti. Jamxa TuoCaa, agent géndral * du chemin de fr central du Miuaimipl. Pila B.toHrBu à Cie. l6av716m. au VCEI OS8o& mau Prî£ dela?.vIOlam tee .U .aiu.aude docker ATES, PIMILUS CUWflJU LIQ'3UI1UIM U W U VISUm35 ESi LA CUS 5t Le@ dans puve t ceProcurerv au "VA~. cuanin 10kW STOSIl lus muslum a, udsdre de Onovait é Sua,*x4lo dlructeaut et vouadse au mIma pu =qe.à 'la Nouveeorimaa et mIm» e aulieu de -wQ., 13OWJ. I.uIU.snb 5a4~éet bc V',t#g Jy»ÂNNR DE BEPiiAUCE hS"qM XVLlw y. -aMue s rdéunit omm vous toutes ou peretiomi la Lie. -Oh t Jeti«e! balibutia Jese. -Quanod vous mardies, reprit-il, ou dirait d'une fée, tat votis taille Mt souple et votre pas léer ; quand vos grde yeux soirs - rardest, leur feu dehaule sommo i je bieMi wv erre de vi visez; quand vous parles, Il m *eBUt4udatmre *e mesique qui me ravit. Le jus home parlait ave foau. Jecu tH*»M Çt soi amuremet pour s'éloigner de lui; * ele-* es limMIt tes %queludoigts de la fil. attesom pa ssea qai se luisis prendre su tréboehe, deseurreet polinsim entre les maem brblaate de Ja Il *.he d»renis atest de sotte mala qu'Il M*teit trem. * -SMkril0. depes Mste uit o6 je vessai Se-tue* tu fmume$ a d'à& fait Mu M rel- udu. O. qu j'éprouve, je l'inore; gigAs ICNqS s ehm là, qui s me lau Uam repes. a udsee pMR de4 4,)bls jeyeMs. Ques voes agA, g strIist tesem auquei fuls; et je «s dulMmlip seutl *: sumano*l, ves teudro S gis hm.. -he.r0 t.de * l'ieent je.JUE^a ddAd - *U^M bu»* -éi  quP bue d!alhu **h, plus Ml le tsk.hse awus me e,Je dulWlM mais ile ul.lms : -Je eus Sm, ropufl d'ure v I sfliseo. Ah! Jumew, que s pouvesvou lire se foud e mos ees, vous y verriez la preuve que l'amour que je voeu peorte set per et mor! Une larme perlait so les eile de la filletie; Il vit eette larme. -Jear@, mspira.t-i4l, je voC aime de toute mou A*e, et je vous le demaode iei, loyalement, à la face de Dieu : vooles vou dtre Ma fmm ? BiElle laia éobapper aun cri de joie; maie Itoamprimaot bieatot oe premier movetmet d'émotion : -Votre femmt ditelle*. Eh quoi I Julien, vous coses.. liriez à m'*poeer ? -C'st mon vs le plu cher. Au nom de Dieu qui ouse eated, Julien, es v jeanes pus de mom lioeaprieSee. Je se ai qu'eure pewm alle; mals M vie a édt paisible jage'là present. N'alleU pu a troubler per dee prMuese que vos - eadres pls, que vous ns pourres pas teoir pet4tre. -Jeaoe, dit-il simpleimet, volepie atre m (emm? b-Ah ! dtefle, ube le bien. ai, e t e poir meqil vems evrs memeA, e fia Memé léM, suI ut qu' en srie Cseie, a ss m ort. -Veus e merus point per avoir es fMl i me, 4dl. Il; mé - vos teoease m priwre, o'et n os qeu q i à.? A vu pieds, Mil shut»as m M Mes froet plus nup qul iusqustao Mu smtem s l" 0 d- dh'sflu WIau ..Y*ue es as'aies ues aie.adeu~ -laimsi, Sells K co empriment uH &ursit oumuiM à edre plus TOUÉOM de@ *chaos pareil. lescarde -à M. WI ladidvueom trop grande. -ma pmavoié. --Q*lmpoe se. usuis-e puo Peure buz -c'ut Juba@"ss se qum'Osk, jlien. -Vous étau povs, tout amise! Mt ws dîr puas rc soi st qusj vous pars 1s sbIldjm st pur ealan. - Ps o u eIM ue 4 .1 1M leu e -l>@tiael SO I i~mt isu,"aan$ tout' me voir 5*D saos, 1 il atreot, niU tonus ea s ds es ds uaiut mu »sa d<uIs Mn&Ms, à Mmealu aime DOSi ommou o Ler. qos oVie; ad~ OlB.S' dje hiasislj'WulIMM i isds "'.Ir biti.* Jeu"SS£Saumrslso eyus n osa~h ,~*hhu ou.tré *og;aivgosa~ious~,Ah!. aiib Vara s. qquseos qi votre te. doe 0"am lui M- &t (La& sait* au pr«4d»heiur~