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Vieille fortt, salut! Mais tous ces coeur candides Qu'on voyait treusillir comme les daims timides Que le cor du chasseur a réveillés esodain, Que sont-ils devenus t Je les appelle en vain L. Bt le joli village avec ses toits de chaume T Et la petite église avec son léger dôme 1 Et Fheureux Acadien qui voyait ses beaux jours Cooier comme un ruisseau dont le paisible cours Traverse des frSts qui le voilent d'ombrage, Mais réfléchit assi du ciel la pure image l... Partout la solitude, aux foyers comme aux champs! Plus de gais laboureurs! La haine des méchants Un jour les a chassés, comme au bord d'une grève Le sable frémissant que la brise soulève, Roule en noirs tourbillons jusqu'au plus haut de l'air Et sème sur les flots de la bruyante mer! Le hameau de Grand-Pré n'est qu'une souvenance Le saule y crolt, le merle y siffle sa romance... PAMPHILE LEMAY. VY riétéa MILL't DE BuJttE Quioonque est riche est tout. BOtLBAL. Pauvreté n'est pas vice. Non, c'et pis DL'IUXJIT. Cest une bien menreilleuae ia %ention que le papier-monnaie une puiance idéale, une magie une création fantastique que oett convention qui donne à un légeo chiffon d'un centime la valeur de cent, de cinqeents de mille francs de mille florin, de mille guinéea Devant un saavage, l'apect d'un homme qui achte pour a femme e npae par e joyaux et de bfoux, un collier d'or, une montre guillohée, un peigne i diadème de peries, des boucles d'oreilles en brillants, des brae letasdelé et deu bague, et' qu pale tout cela avec un petit mor ce de papier fripé qu'on appelle billet de Banque; devant un mau vge, cet homme doit tre mause surprenant que l'était pour nos Ières le sorcier qui soldait avec une Ulnille d'arbre s-che. Nous le répétons, c'et toute nne nuigie que e papier-monnaie. Et dire qu'on en fait, mans qu'il voums oit permis d'en faire auusi, et d'être riche! C'est dur. (e n'est pas que voua deviez aimer leu billete de banque; i ne so.t en réalité que des ombres. aii roua e a &vet, vous craignez wm doute tra vivement de les Comme le baquea t dû dg g er r cette fsegile Monnale! comme il s'ea est egleoti dams les leadies, das les Botao eom e il ta est gaspiqo t im il, pest am dit eves la. prtM de lsp..oe hmains qui msonget. I rwa s pas Wet prler . e-oe a--tet aui ap aip~it des pmapmmtte desM l0 de bdm que m dIe & lIM maumfli Voulut M bMi -nuol poMur aihBqus dipar lai aa P 4a Iaér sable qui, atIagqu da -mmIsspe .te 4 . e .h.. ; demolem a--sM -srouMe r as so I< ·;l IgIt- a - 4.-I .......1i u5. un de nos amis quitta le départe ment de lAube pour un voyage d'alfaire dans le département de la Seine. Il se loges à Paris dans une auberge de roulage au fia bourgmlant.Martin. Il était jeune * et attach à une maison de com merce. Un matin qu'il déjeunait ' dans la salle commune, il entendit à la cuisine les hurlements d'un "] chien accompagnés de lamentables e clameurs. Voici ce qui venait d'ar I river. Un voiturier, trois minutes au paravant, avait remis à la dame de l'auberge un billet de cinq cents francs en dépôt; cette fem me, en ce moment-là, était accron pie devant son feu, tenant une poêle dans laquelle elle faisait sau ter du foie de veau. Elle prit le billet de la main droite sans quit ter sa poêle de la gauche, le mit dans on sein entre les deux plis de son mouchoir de cou; il faisait e chaud; bientôt en s'agitant, la Sfemme vit le billet tomber dans sa poêle, elle le retira vivement, le mit sécher sur un tabouret, et e peiiîit qu'elle se redevait, un dogue, qui était l'honnte et fidèle e gardien de la maison, flairant le . billet, l'avala d'un coup de lan gue. L'intérêt chez les hommes est le a premier IMHe. Ni' le tmdre d a vouement du pauvre chien, ni mon innccence, ni se bons et longs , services ne purent le auver. SQu'est-ce qu'un ami auprès d'un billet de cinq cents francs? Au eri de la femme, l'aubergiste se rus sur le dogue qui, en ma in Sstant, fut évenatr. Mals dans Par dent estomae le nfortanée crèa anr, it dait d4 digr". II et posible qae sette borrni Sble aventur lt Perigine de no tre artUpitst e poor les billet de UW. I aat meodot t et blie plus r lporable, dle ae date que de S1829. Notre ami, dont nous avon r perié plus baut, rour à Pari Liete Ms là, nom plus pour le , oi a lamS, Ll il avait fait la Lmse dle quilter, Naus pour iuO vkr sette grade ille quon ap Set «Mte de là oeilmstion, gi oalat qui pouns «e vrai W dIfauri e «a - iii.iMUM ii é eatr itmebê par le dMir de aoeite quoei Meu mI aI déifaenteno Mtabl^etfgtroyfalene, Plue Il que Pari emt le ï a-u - -e&% !J e pers eiftlansrim r - ri7eTalis dseleH aig stq -B I insor-sh musinesffi. teal * - *f^--e Jto *m d«Mqelfeade cre dessinateur, il était coloriste; avec cette qualité pourtant, il ne pouvait faire que de petits ta bleaux de salon. Dans la non veauté, il en vendait quelques uns, il se crut heureux. Mais les sociétés qu'il lui fallut voir, ce besoin dévorant du luxe et de l'apparat qui est si impérieux à Paris, cette nécessité de briller qui fait que tout le monde y vit dans une gèe perlétuelle, sauf de rares exceptions, Paris, enfin, lui rendait tant de dépenses iné vitables que ses iénéfices ne lui suffirent bientôt plus; et puis l'en gouement qu'il avait inspiré au commencement tombait, comme tout tombe A Paris; on no voulait plus de ses productions, et peu à peu, cet ami que nous n'osons nommer, descendit les échelons le la misère. Il le savait et il comptait le ra mener. Ce peintre n'avait avec lui que sa femme, qui lui était ten drement attachée, et une petite fille de quatre ans. Il alla le de mander A la maison qu'il habitait, vieille rue du Temple. Il logeait au cinquième étage. -Hélas ! Monsieur, lui dit la portière, il n'est plus ici. -Serait-il parti I demanda-t-il. -Oui, Monsieur, pour Tun grand voyage. La manière dont la bonne femme lui dit cela commença A l' inquié ter. Comme il manifestait lui grand intért : -Monsieur est peut-être son parent ? reprit-elle. -Madame, répondit-il, je suis son ami. -Alors, Monsieur, vous ap Sprendrez avec peine l'aventure de ce pauvre jeune homme. Depuis uit n an il ne gagnait plus rien et ne nIyait plus ses termes. Le pro a priétaire se ftchait; il y a deux Smois, il fit saisir les meubles. TLe tabileux, car c'était un Iwintre, coiniUe vous savez, se vendtlrent e Ipur rien. Sa tiiinue tomba nia hula e echagrin et peut-être de privations. Alors il écrivit à un oncle qui l'aimait. C'est, à ce qu'il paraît, un digne homme que cet SoncJe; plusieurs fois déjà, il avait envoyé de petits secomAs, mais qui ne suffisaient pas; il y avait des Sdettes. Dans la dernière lettre, v otre ami avait expolx se es oins n avec des paroles si touchantes, il avait annoncé si formellement e qu'on lui rendrait la vie, à lui, à sa femmue, A sa petite fille, en lui Sprtant de quoi satisfaire hound Stement ses créanciers et s'en re tourner dans son pays, que le bon ioncle envoya encore une lettre ' chargée, en annonçant pourtant B que oe meit la dernière. Le fae teur la remitun soir, il y à huit Sjourq le port se trouvait payé, a 'étalt heureux: les pauvres gens, a je io, n'avaleat plus mime de l qi payer un port de lettre. S" Votre ami avait couru tout le f jour ebe mes -on aismace qu'il ae retrovait plu. I revenait Sitrite, harseé; on voyait à sa lidae qu'i ne rapportai rien. 1 Quaedje lui remis sa lettre, et quli vit qu'elle était hargée, i 'poSe ua cui de joie ses yei 'aalmarent des couleurs revin ,Moet u es Joue%; il moota ee menaien quatre à quatre pour ire prtager son bohebar à s hume, car edtait un bon ménage. a prrefemme m dépoha d'i lamer n bout di aaldee qui w1e lai, cepesdant, ddée estait a lette. EBe maoinait a bilet de mie fMuEa . y avaitl d aquialmetr tot ce quiét altdsit emsebae de quloi partir. Ims lt r iirt que ibd demait a i gaid beaer tileW t,e pose sur la tab le m b*mal, lP'dore, pi a Jetlat sa ooa de ma femme, il lembrase avec tendresse, riant et pleurant, saiitant d'ivresse et ne se possS dant plus. 1 iHlas ! ipendant qu'ils étaiiit si lheureulx, commine mi un dlémon eft circul aiux alentours, leur innocente petite fille avait pris le billet ic tiille friansi, l'avait roulé commne elle voyait son pèrei roi ler des papiers pour en faire tles allumettrs, et elle le brfilait a la chandelle. Il n'en restait plus rien, absolument rien, qu'un ipe de cendres, quand la jeune flirinie s'en aperçut. ('e fut l.lir elle, pour son imari, le coup de la mort, et d'une mort bien épouvantable. Cette succession si prompte di chagrins ainers, d'ivresse et de déesflpoir, troublla sans doiite leurs idées. Ils sortirent avec leur enfant. Je Hliwnai qu'ayant reçju de l'argent, ils I'allaient toucher aus sitôt; je ne reiiarquai pas d'abord leur figure consteriim-e. Ils ne re vinrent lpu, et le lendemain matin on retrouva les corps unis du père, dle la mère et de lentait sous le piout aiI Change." A cet affreux récit notre ami avait pensé tomber à la renverse. Il fit obligé de s'asseoir. Apiis qu'il eut pris un instant de repos chez l'hounête portière, et qu'elle lui eut répité une foule de détails sur la catastrophe de son pauvre ami, il rentra à'à sonl hôtel et s'en revint Ipe après dans son département. Mais ayez doni des billets de hanique! En finissant, nous nous rappe lons encore une anecdote qui eut lieu à Paris également, eu 1824. Une bonne femme hérita de trente mille francs, qui lui furent comp tés en billets de banque. Cette femme, qui avait déjà douze cents francs de revenu, vivait avec une économie qu'on baptisait du nomi d'avarice; elle était seule. En at tendant'qu'elle trouvât un plare ment sit ' liutr ses trente mille franes, elle ne se s'parait pas de ,s billets, qii'elle portait cousus dlans une de ses lwh'IIes. Cari elle portait, comme nos granid'milre, entre sa jupe et sa robe, une vaste pochie pendant de chalue côté. Le soir, quand elle faisait son son ler, elle ôtait =a robe par mé ::ngeinent et trottait ldans sa pe tite chambre, avec ses grosses po. ches Iattantes sur son jupon de dessous. On se chauffe à Paris avec du boi , et dans les vieilles maisons les cheminées sont enoore larges. Un soir du mois de dé cembre que la bonne femme s'é tait endormie auprès de son feu, sa poche, qui ne la quittait point et qui couchalt la nuit sous son oreiller, pendait da côté du feu i demi éteint. La vieille était afflis sée eor une petite chaise basse; un tison roula, un coin de la poche s'échaiuf, as roussit et, sans pren dre flamme, a brûla tout douce met. Quaad laimée et la eha leur réveillèrent la bonne femme, toute I pocbe etai caatons ée, et it ln rnMiêpas la moindre bribe des trente billets de mille franc... Ayez de For! Pour noua, nous vous on souhaltons. A DE LA wZPrELUr. *MILS LGNDftW I rfLIX P. P<mCUà, NIIêOrM.u. P. O., Coser"t P. O., hile 129. 8lJa. LEGENDRE &POCHE AYOOATS, af-Du. Eoea1., xnmvd..OrMumw-.* Uv. Jmmwuu.-à la ràideoe de ]P.-P. PeM, poè#de la Mhos de Cour. rL'ue "e amfnis Irovrr tus lat mUiois à la M*L. de Cou dA &Jmr, .frl..e £u..du V. DW~rU*W. M*ig.s~ pM*IbaUàbmd@Comr AUGOSTIN à DE POORTER meauw iwri m dag m ,'im id Oses do poe. iosStimu de Mume, du - ovm. la Cou mapmonq. LE..l. D. Aqg. av* iu kr N.uJoviua. Pueq usis farire dui .s oêké u or u.v que prouw 1____ dnf. CHARLES LOUQUE ~a.VOCXA I 100 rue d itnDm.. nouanti-,iirr fleyîle u (aîte de la lini muie djeu .1A. 1.AFIR T, 1) R fe.lA'N v*ct. eut QiD'1XUb2?P ~s U tà'Ultc~ A s OE CA'TM CANTRELLE POST-OFFICE. Exera e·i'eet hrier jereie,.alaeae elavcn et li'e i s st..le.*iii.lnle!iatl. du e laii iî,jul, rî l l e . riî di etr e.r, Ioinaii eneeel îl ' eelîeî te eeeeeeei eea i.*iiiic H Sriaeii ele' leI ·* qee"""`"l, la Ieel ?iirteî leilerie île l'e lt)ne mardi , ieur.eile e ad,11Lreaceàlr e . ltiare ee du Cour de St Aviiii ii Ils iplio ;niis t L iv.i, laeaîeeme n a et4 eeeeelét (4eee.eliet &. Rîiblîaeee, moieelUerimes cde lue& depodger eaux brueaux du M-i: -bd. eaî Lvs(< Jwerenneg qui poiriraient fonis Ii)iiul~,4 iniforxnatinng eur M. F. Mîci<·r.r. de IVozîuldsonville, qni it diiparni et dont la fianille n'a pa:sde nodîvellet, sont pliées <le vouloir bienm les trains mnettre wx bureauîx (dit .fIuesvhacébé. É414dm. MT JEAN BA'PTISITE A\vis aux créanciers et aux débi tecrsti ldela succession Alphonse Oulre, Tpublié par R. Beauvais, administra: teur, du 21 sclteiimbre au Ier octobre -Vente parle countabbledu 5e ward, le jeudi 3 octobre 1,S72, à Il heures ldu nil iii, À la Impoe tle ;la jiustice lde pnix dttiiit wîirl,de divverses nm:rchb:u tdises fsaisies daiu l'flatiuie Salonmon Silvermtt.inl contre Roblrt Colie; Comptant. --Vente par le shérif, le jendi 17 cM-tolre 1872, à ll heure-s dut matin, sur les lieux, des propriétés mobilière .et inimobilière ci-desnoui, déipendant de la succession dle 1Funiy 'ramsin, é'pouse décédée de Félicien 'Taiin, et de leur communiauté : 10.1 miilet,, 4 vaches, 2 veaux, 1 jeune tautreau, une géni.sse et nu lot de meubles; 2". une terre, située rive droite du fleuve, mesurant un arpent de face jusqu'à 4 arpents 8) pieds de profondeur, et un arpent et demi de face juiqu'au bout d'une profondeur de 40 arpents, à partir du fleuve; bornée en haut par Valcour Songy et Wèbre & d'Aquin, et en bas par Mme veuve Lndger Perret; avec les dépendances; sous réserve d'une récolte apparte nant à Célestiu Millet et autres; à vendre en lots de 10 à 50 acres; comptant. !UIH E HLffEKTE I):rpr «sI»:z . L. D>ELLA Paroisse St-Jacques, - Rive Droite L4e Piuirie ofifre *n vente à ,nn dipôt che.z L DeI.é. près du Clremiini de la VYairlsrir, une cgrande li,,liatite, de Ihis de eI nmrperite.-Poteaux. Planches, Lattes, Voliges, Madriers, ac., i di.A prix tr2è uodrés. Ayant uine sierie eontinielleinmnt rn optration,, le sowi..iin peut remplir promp temnnt toutes les conainmandes de bius qui lui seront faiteu. I lla. J.-B. Soi.LL.M. A VIMrRBiE BARDEAUX, PIEUX de toute e!spce, MuBRan Ns à Ba&ili, MEEBAINS à Boucauts, MEmsAt s à Couverture, BoIs de CEH PENTE. Le sonsigné, qui depuis plusieurs années détà, fait le commerce de bois sur la Côte, et peut invoquer pour se recommander au publie le témoignage des plus honorables habitants sur sa fidélité et s ponctualité à remplir à la pleine satisfction de l'acheteur les commandes qui lui sont faites, expé dieraimmdiatement sur demande les articles énuméré ci-dessus, en quan tité qtelconque, en parfaite qualité et au plus bas prix du marché. 8'adrsr par lettre à A. P. MARIONXAL'X, Plaquemine P. O., Iberville. Bdféraemn à 8i-Jean-Bap..,t.: P.-A. BacaJL. OCTAVE HMEL. Doxn & BELLOW. J.-B. CAIa. W.Les commandes faites aux bu raux du lMfeAseMM seront aamaitt transmises à leur desthition. Jt136m Dr. 0. DÂNARÉ devm de Ofre roep.cts.awwnt mu l rvie. aux bbiWtao 4. StJea.apel.te, où Il for tm" kbn,.e oabaqu imoia. Pnr plu@a ,p lutfovmstlo.,a 'adr.rau mi Dr awt,* .aju-Woluit .mil. &. =&EL sT-Lou5s Pr& ji. ru. Royal.. NOUYELLEt-OKLANS. Dtfpdt &WusP"lt de jau~.w et veisau..wI iMm.... 7~ .gtea . b ofi, aie. DLpdt ~ Bs orodo& em s rr#r~Ikmrren~ i~ ~~d~ m , -1 W" LED JIAEDINInIhI tOGNoIQUE ET PRODUCTIF de la Parti" lU %1-Jap.U pusuI U vente au« blmteau du xmoeoAwébe. Remèdes d'été E mride.ine, c'est I'e-x pIeriit.r» qui ronwatrre et garantit I',t fic.' itc des seihtanries et coimisit ioius m'fil ,b.yVrs coutre les maladius. Fébrifuge d'Ayer (' remin-de. inventé- par le DI J.C. \ i i:: & <ie., <l: l.,owell, Ma.ssachusettr, t ri'aédiiili dansll le minonde en(tier, in' chiinjauj; uis. Il est surtilot utile et pJl'' liIx laniis leI' régions inariicagilKî ses o les miasmes Itprod(uiswnt la tièvre sosii mille formsii , firre inter emittenle, Jfiere biliteue, ,Juirre perni cieuse, et eu un mot tous les dsomrdres physiques rangés sous .l titre gind que de fièvre, et dont iiauun ne lui résiste. Il vient aussi promptement à hout de toutes les maladics et affec tions du foie. Prix, $1. 00 la benteiliH. Le Pectoral de Cerise d'Ayer Ce remède est entre tous le secours dws affligés. 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Sauvé, sim, , Seel, 8t-Ammit St-4ublin, t-Msatln Bt-Pierre. Terriot,. MIbut, Thibod , Tré paoir, Tmrdmau, Turpi& Verret, Velne, Viguax, VlIsay, Voisin. OR pat adresser pour faire venir louirapn , aux Lbarsaw de MateAgad. aoo ·Nz nrnsf~ nri FrÈ " truioxi*u gga PRÉ-IT 50 & r ai talitntV Bos gdrtlla m 100 le 00CY u « me mle lsmt&W dmr »OFOAUI1TSe foi oe dt.ae rive sa***.. c., Dt7ilEeiroer. u)..tn.6n oe Q* ult uts.11 Iotad'.çiquI asuaetui, &g.. &te., &c., &E.hê