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i - m- -- LA DÉCOUVERTE DU MI8SIStSPI I Le grand fleuve dormait, couché dans la savane. Dans les lointains brumeux paissaient en c;univane De farouches troupeux d'élans et de bisons. Drapé das les raymoao de l'aube matinale, Le désert déployait sa splendeur virginale Sur d'inaondables horizons. Juin brillait. Sur les eaux, dans l'herbe des Iwlonses, Sur les sommets, au fond des profondeurs jalouses, L'Eté fécond chantidt ses sauvages amours. Du Sud à P'Aquilon, du Couchant à l'Aurore, Toute l'immensité semblait garder encore La àmjesté des premiers jours. Travail mystérieux! Les rochers aux fronts chauves, Les pamps, les bayous, les bois, les antres fauves, Tout semblait tressaillir sous un souifle effrnié; On sentait palpiter les solitudes mornes, Comme au jour où vibra dans l'espace sans bornes L'hymne du monde nouveau-né. L'Inconnu trônait là dtas sa grandear première. Splendide et tachetO d'ombres et de lumière, Comme un reptile imniuen au soleil engourdi, Le vieux Meschacébé, vierge encor de servage, Dépliait ses anneaux de rivage en rivage, Jusques aux golfes du Midi. Echarpe de Titan sur le globe enroulée, Le colosse épanchait sa nappe immaculée Des régions de l'Ourse anu plages d'Orion, Baignant le steppe aride aet Il I oMjuets d'orange, Et mariant ainsi, dans uti. hymen étrange, L'Equateur au Septentrion. Fier de sa liberté, fier de ses flots sans nombre, Fier du grand pin touffru iui lui verse son ombre, Le roi des eaux n'avait encore, en aucun lien Où l'avait promené sa course vagabonde, Dépooé le tribut de sa vague profonde Que devant le soleil et Dieu!... II Jolliet! Jolliet! quel spectacle feerique Dut fliapper ton regard, quand ta ief historique Bondit sur les flots d'or du grand fleuve inconnu! Quel sourire d'orgueil dut effleurer ta lèvre! Quel éclair triomphant, à cet instant de fièvre, Dut resplendir sur ton fmnt nu! Le voyez-vous IA-biN, debout eîlnnoe un prophite, Le regard rayonnant d'audale smtisthite, La main tendue au loin vers l'Occident bronzé, Prendre peiession de ce domaine iniense, Aun nom da lieu vivant, au nom dli roi de France, Et du monde civilisé ! Puis, bercé par la houle et Ierwcé par ses rêves, L'oreille ouverte aux bruits harmonieux des grèves, iimianit PlAcre parftui des grnmds tols odorants, Rasant les Ilots verts et les duiine d'opale, De mé.andre en inmandlre au fil de l'ondle pale, , uivre le cours des flots errants! A son aspect, du sein des flottantes ralluriie Montait comme un conert de chants et de miurmures, Des vols d'oiseaux marins s'élevaient des rn.eaux, Et, pour montrer la rente à la pirogue ftrle, k'enfuyaieut en avant, trilnant leur onmbre gr4le D)ans le- pli luminieux <de emix. Et pendant qu'il allait, vogunnt a l dérive, L'on aurait dit qu'au loin les arbres de la rive, En a ureaux parfulméc penchés sur soab chIçmin, taluaient le héroe dont l'énergique alut.iae Venait de buriner le nom de notre race Aux fastes de rPeO rit humain! III 0 grand Meschacibé, voyageur taciturne! Bien des fois, aux rayons de l'étoile nocturne, Jiur tes bords eadormia je suis venu m'asseoir; Et sl, ceui et r'vesi perdu sous les grands ormes, J'ai souvent <lu regard suivi d'étranges frmes Glissant dans les brumes du soir. Tantôt je croyais voir, sous les vertes arcades, Du fatal De Soto passer les cavalcades at Jetant au désert un défi solennel; Tantôt e'était Marquette errant dans la prairie, Impatient d'offrir un monde à sa Imatrie Et des âmes à PEternel! Parfois, sons les taillis, ma prunelle trompée Croyait voir de La Salle étinceler l'épée; Et parfois, groupe informe allant je ne sais où, Devant une humble croix,- puissance magique!l De farouches guerriers, à raeil sombre et tragique, Passer en pliant le genou Et puis, berçant mon Ame aux rêves des poètes, J'entrevoyis aussi de blanches silhôuettes Doux fantômes flottant dans le vg~ue des nuits, Atal, Gabriel, Chact Evangelne, Et lombre de Bené, debout sur la coline, Pleusmat ses immertels ennuis. Et frudormans ainsi mes souvenirs moroses... Mau, de ces visions poétiques et roess. . C0lle qui plu souvent venait . i~e dh-S 1, C'était, pasant au loin dans un nimbe de gloire, Le hardi timmer dont notre 'JéVde' Md toire ledit le nom aves orgueil. 1IV JellietI JoHet! deux sièles de cosquates, SDex msiles mns rivaux ont passé sur nos tétes, 'Dopis PhMre mblae o1, de ta propre main, a Tu etas dfun al trat sur la carte du monde 1 M Tatas régiona, amoe lammea et eoonde, Futur grenier du genre hIpas qp C Deux sieles sont passi, depuis que ton génie , - ffa le chei de la terre bénie .. Dieï a At avec tant de prodilgafflt 1' ltog r ,daom l. plis de robe, à le herlt& h - leÎ coias du globe, el De paia are a libaberté c lÉde1x tIi f La solitude vierge q; tpo le f goami sdpbmerge . i)e«idetrlk afirsd unpmé quid alt bdorait guMit 1* matropole, 4 l Leta e asmseri courboe u large é.al.s L pous l'agihe pux piliers de granit. Lre Plus de for.ts sans fin, la vapeur les sillonne; L'astre (de jours nouveaux sur tous les points rayonne. L'enfant de la nature est évangélisé. Le soc du laboureur fertilise la plaine, Et le surplus doré de sa gerbe trop pleine Nourrit le vieux monde épuisé. D)es plus purs dvoiiiiients nierveilliise I.'IIlncet',! Qui lde vous eût j;llIais r'v' cette rIivie iiiniiciil4e. 0 Jolliet, et Nous, ap;iltres isngiinns, lHutniles soldats de Dieu, saiis reprohlie et sai n. cra;iiile. Qui portiez le ftl ;iiial dtle la vérité saintc D)ans ces parage.-i inconniiis Des volontés du Ciel exéutllenits dHwiles. 'ouls fûtes les jalons qui rendent plus aeciles Les durs sentiers où doit niiarciher l'lumanité. Gloire à vous tou! )Du Temps fran;eisisant les abinues, Vos noms environnés d'auréoles sublimes Iront à l'immortalité ! V Et toi, de .ces héros généreuse patrie, Sol canadien (qu'on aime avec idolâtrie, Dans l'aecomiplissemiient de tous ces grands triavaux. Quand je p.mse la part que le Ciel t'a donniée, Les yeux miir l'avenir, ) terre fortunlée, J'ai foi dans tes destins nouveaux! LOI'IS-lL(NORI FIRÉCHETTE. PROPOS INTERROMPUS A Vienne, on vit beaucoup dehors: noni-seuleent les étrangers, maio aussi les ihabitants. Le nombre de ca fés. Ii brasseries ont plut<t de hière ries, de restauirateuirs oi lieux de res ta;i;ition, est incalculable. On w'est étoéiiii., stlon une expression célèbre. de la quantité delarmesque pouvaient contenir les yeux des reines ; on pour rait s'étonner également de la quan tité de rafraîchissements que penvent supporter les estomacs d'Autriche, ("est ine consomiiiiition perpétuelle. Notez Ique ce n'est pal comme eni France oi en Ang&fteiTe oit on Ws lève taiud et oit le.s tabilissenlents pi blics font la grasse iatinée. A n'im porte quelle heure matinale on voit dé.i t les caifl viennoin on activité, et c'est la même chose le Roir, malgr lii rentrée de ceux qui ne veilent pan payer l'imiM't de 10 krenters (5 sous) à leurs portiers. Dans les cafés pro prement dits, on no prend que du café, ou du thé, des glaces, des gâ teaux, et des liqueurs, pas de bière. Ensuite il y ai les restaurants, outre les salles à mailger dles hôtels, où l'on peut diner et .oiiuer. J]lan le. meil leurs oiiiinte dtiinis les dernicis, on sert <de la bire. ('est la boisson na tiolaile, et il tfat reconlilitre que lai biè,r de Ve 'iVienne est ililériei.r à celle de tous les aiiutrs paysc. Oln lai sert a ilestire, et touijoiurs friliche: trop froihde peult-être, car' on lali mainitient aitiin. des caves il une tempilériitire voulue. On a lien <it dans res der nieirs ttempi i V.caieni quellques alit de choléra: ia IliiouI eI *uvyoitl qu'on a misx a;i compt dle cette maladie des cas qui iaplairt4enienit iimplement à lai chaleur de la sailson et. à l'abus des nifralkhimwneents. [A bière dle Ba vière, épaisse et forte, ne se prend pas si facilement que cette bière lé gère et trminsiparente lde Vienne daiin laquelle on voit les étincelles de gaz monter comme dans le vin dle Cihan pague frappl. A côté de la bière de Vienne, il y a celle dela Bohême, celle de Pilsen, plus amère et plus réelle ment tonique. On fait <le ces boissons une consommation giganteqiiue. Il suffira dle dire queo de 1840 à 1872 la pnrluction de la bière dams l'Empire autrichien a augmenté de 62010. L'exportation, qui en 1859 n'était que de 37,000 quintaux, est arrivée en 1872 à 440,000. On peut également diner etaouper dans les bièrerioe; ce sont des lienx de restauration. Avec la bière, on trouve partout des vins d'Autriche et surtout de Hongrie, qui sont de tfrè bonne qualité, à des prix modérét, et qui, pour cette der nière raison surtout, devraient trou ver des dbonch69 en France; car les vins de France soat tellement su périeurs à tous lee autres qu'il n'y en a plus que pour les trangers et qu'ils deviennent inaccesibles aux natio. naux. On ne voit donc, à toute houredela journée, que des consommatcurs en activité. Dans les jardine publics, dans les elles de concert ou de dan e, on mange; cela fait partie de l'air ambiant. Il y a das les jardins do l'Exposition encore plus de cafés et de restaurateurs qu'il n'y en avait a% Champ-de-Mars. Dani les usage du pays, on dine dan l'après-midi et on soupele soir; mais les coutumes et les heures de l'Occident commencent à prévaloir, et les étrangers, surtout; en ce moment, ont peu de chose à changer à leur régime habituel. Ce qui les morpread, c'est de voir les théateesm frmer de ai bonne heure; 'Opéra commenee à six heures et! demie et tout est fini i dix heures. Les flSieurs ont donc à occuper le', rcmte de leur soirée. Eu été, et les I soirs d« bean tempîs, ils ont le VolLs gairten, un jardin où vont les deux jmondes, et noi l'orci'hestre de Strann joi' <lei val.e <s comme on n'vin rn teind qu'en Autriche. Café et con sonmruinition. Il y a aussi, dlans le lquartier le I,éoolldstadt, le sperl, lin jardin %Maihille avec des salles coiî vertes. I'orcl.he»tre de la danS e y al terne avec un orchestre hougrois qui joue de la nimsiquei nationale, et cette ninsiqie tranige des Gypsieus qui ge joiie sans livre avec nue furie et un entrain inidewriptiblea. Les musi ciens qui exécutent cea airs bohé miens sont-ils réellement des Bolié niens, des Gitanou , des Gypsieat 1)ians toux les cas. rien n'est pui siii gulier et pllR saisiaiunt. ('(. qui |est;Iauisi ingulier, e't en ItieII telmpsl charmant, c'est 'arcltestrc hd femmes, dans le jardin on dans la sallc de la Société d'horticnlture, Dans une grande nalle remplie de tables, où naturellement la coneom mation marche tonjours, s'élève une estrade Msr laqiuelle sont éta:gée. (lqnarainte ou eiilquluite fi'luiiu plui. ou moiisi jci.iis et jolies, toutes cos tiini-ées eI roe. Sur le dernier rang, quiel<uesjeunnes garçons chlirge';s d(le instrlumeiiiits t 'rop violents, ionillitW le cornel à piston et la tnrmpette. lP. feiniiie oit t dI-s violoii, ldes violou celle, II'iuie lit fllte, et c'ello qui rlmniplit h.s founctions de cllif dl'or i chi'.stir., <'t îqui senle pIorte' Iune roI' Ilnichce. les conduit avec ln |Iliui grlitde dignité. Tout cela ie fait sd Srieiien-iiint et, dan. ce pays nmnsicial atteint les meilleurs effets. On re tourne volontiers à ces concerts. 11 y a ajtssi des concerta dans les éai blisiements de restauration du Pra ter, dans les allées de ce Iols de Iktwilogne qui est lit grande proiiie iidude es Viennois. C'est lo chemini de l'Exposition universelle. (Journal des DIbats.) Liste des lettres Poste d'EDGAR 29 août l7;3. Ashl, Charles Ketten, L. A. Hecuel, T. Lispèze J. M. Lkrnalrd, Emile Li,;tre, Jamies Bienvenu, T. Mrilionueuux, P. Boniiig,.Go. (2) Mars, J. B. Borne, Sylvain May, T. P. Bourgeoin, C. A. I>Patureau, E. Coinion, Louin Renaud, M. Desmond, Michel Robert, Peter Ehrmann, D. L. Roubleau, Calistc Feitel, G. Shexneydre, L. F. Forio, Pierre Shezneydre, 0, Gachauin, Victor Sorapuru, G. Gernsbacker, L. Taas, F. E. Gordon, pick T1répqnier, L. Haydel, Arthur Turgeau-Laroqae Johnson, Edmond Wheeler, Charle William, Alfred av«îisma 9DE H. J. MULLAN & C,. QUINCAILLERIE De tons genres AM- RICAINE, ANGLAIsE, FRANÇAISE. Ferblanterie, Intnunents aratoires, Ontils Cordes Barals, Peintures, Huiles, etc. 52 - rue lu Canal- 52 Mi & 71 rue de la Commune (9 & 71 NOi''ELLE-ORLÉANS. j'tl! lla GL'IGOAI t SCIINEIDEE --GrS et détail, Tabac à Fuer et à Prser Fab~rioents et Importateus drects de Cigares de la Hlavane. Il rue Ducatar <ei-devait VW1le.Iv-le> en face de la l'ete, ýNovelk-Orléauiai. le Bulletin Financier et Commercial SuW 1i Lez A E% T .. . . . . . . . . . . . . .I 1.ii llA 1N'a . * i (t, - .Jm .Ihm u . . ... . <I i (.e S itp f .1 -fi lit . . . . .. . . . . ..ii......... ... ) M %ïs Jsutua et tn~l. d 3nillilv ùt mêlé .i...-.... (k;(r ( ZVoINE- - F ,,ru;i........... ·.(n-~ Mes l pb....l. It; 7.7 - 17 75 I;1siitiIcs v.'rtet ·..... 1,~+ Q ! Jamnbon clré .1c1i scre. .14 @ 15 'l'ierçoii, livie....... @ 11.11...1il v1 W111Y Re'<·tiiié. jalleimi .. !$i < I (NI iilii ............. CA vI., - I livre. t'Il r....... . Poinin.s dv ) :1 75EN Og.. nou.. ...........r - àd) fi M (Ent'fs, ;M doura;inc%. . - 1844 -V HT-CHAILLEi< Vente ·ari le shérif, samedi G sep tenmhre '73, 11 heures du natin, à la Maison de Conr, dle 84 36:11(0 acres de terr:. risiis dans les affaires No. :tu9, L[hnian, Newgas & Cie, Anguste I)ndoiiuswt sdhrogé, contre Louisiilu son, et, No. .50, Bernard Soulhi, coi tre TLuis Ranmon ; Aituiit rive droite du fleuve .tisiL<mipi et en arri.re; désignés snr le plan dii hureau des terres des Etats-Uuni comme étanit les sections Nos. è'2 et 3 lidu townsiip 13, su! <le la raungée 2)0 Ct ; comptant. -Vente par le nshrif, saniedi i sep tenibre 1t 72. Il heurersdta mnatin, à la Maisom de (Cour, de 4) limulets, siiits dans l'aifl*ire No. 60, Mrr Amiélie Rilchard et onu imari, contre lime Flavie liaicîms et Lo.uis lauUoni iij solido ; comptant. --.Iingemnt de fsparation dk biens, rbndii an protit de Mme M.-A. Broiml arfrd contre soin mari I,.-D. lironiard, le fI ao<tt 1<73, par le juge ImIrpani. ST-J EIAN.TBAPTIITE Veniite pIlr le slirif, amedi 6 sep tembre 1M7;3, 11 lieiien dlii nmini, à It .MNimsn de C'oui, de lt propriété ci deffouiM, sudide dans l'illttire Victorine Martin, époumse d'Art hnri laydel, coii tre s n mari : lA nioilie indivite d'nne terre sititw rive droite dii Mimis4ipi, miisln u nant it demi-arpent dn fice fnr 40( de profouodur; bornée en haut par Vilain lerthelot, et en bm par Luis C. D'AiiUlboiirg ; avec la moi. tik des conistructions et dépendauices; second et dernier encan, dou.e mois de crédit; à déduir dul prix $177.50, montiant des frails et aiimi des taixes de 1871 et 1872. -Vente par le shérif, namedi flep tenmbre 1I73, 11 heures dnt matin, A l Maison de Cour. affaire FrançoLi Abadie contre Félix Lanrent: <des droits, titres et intérêts du défendeur Félix Laurent, dans la' succession de daine Adlaiide Faucheux, décédée veuve Louin Laurent; comptant. -Vente par le sliéif:, uiamedi (6 septcmbrle 1873:, onze hieuresdu matin, à la Maison de Cour, d'une terre dé pndau t de Ta succession d e Mme ilda Iymnel, épouse déedée d'Ursin Jacolb; située rive droite du Missi.sipi; me surant un arpent de face sur FO de profondeur; bornée en haut par John G. Moll et en bas par D'Aquin & Wèbre ; avec le coustructionm et dé pendances; moins la portion de cette terre vendue à Jean-Hortaire Cambre par acte paué derant le recorder le 10 janvier 1873, commeaçant à 34 arpente du fleuve et mesurant un arpent de largeur sur 280 pieds de profondeur; comptant-Vente le même jour, et au dernier domicile de Mme Urain Jacob, des effets mobiliers apparttnaatàladiteucSeeuion; comp tant; cette seconde vento aura lieu à 3 heures de laprès-midi. nnIQUETERIE L. GRANDEURY, Paroisse St-Jacque, rive ganuchb a la Pointe du Coll6ge. 1,000,000 DE BRIQUES A VENDR ! BRIQU'ES PREMIÈRE QUALUI' ! "'riques ornai tres, prises Sur les litiix, ui conmptant: $). 00. gRndnues c detltinatiom, ar steanim boat, pour In paroisse t-Jncques; $12.50,-Pour les paroisea r niines $13..5,-Déchargement an ftais de Pacheteur, oin him $. e-n e ffc tuant le déliargement. Briques a- COrrelaar, prise sur les lieux, au comptant: $O. 00, destination, $Q5.0). WPL'adre.eer au doomirile de L. GRA.DPitar, ou à L. GOn.x PDFT, Co.t'ert P. ô.; -A St-Jein-Inaptirte, à M. At.int, Won),oI.<Aw , rive gauche. Ifjtl; JAMES D. AUJGUSTIN F'o--e çaÛ to-t daii' lé. Quai trit mie District Jfe re<îu;ciiIt ilt-vaiot lal Com Sier-m fit- li'If&t, -etl 1'ý M i.1 fit i teu 1 1I te N Mlaio Il- Cor ft, 1 Cisre. par.*~ ~i~ f k <.A c;rI>L r, Akfk avocat. avocat. AVOCATS aura-ilezs P.srlea o Me lt-jarlure, La. CAITRELLE POST-OFFICE. itQrE rtht lolir prtff*oiint d.e ast liq (e.us ý!F14v .I s1trict judq faire. t r dalla ii Ie» airtii.u.a* elJiîîvii, .%c uiiss. uI Iý-iîn ili's mi~iifirî'i (If-lit socîiétéefi, trotisv.roi If- mardi ilv iv liîiqit tivînainari àa Mnlii,îui Iid. C--ulr fIr SiJ:olalit Lvi usuriîî:îîîî qui, Ivoi hutrvs jîUna tif lit siI!i:i iv·, niàîrîii(iist à adremsiir diii letrt:i iiII d . ' - i i f f it 1 l m s il0lte C,l psîîmilvt & IROIsîisiti -'m n 'iii ýisi lo îlem fPpîer nux Isuriaumx dti llMeirhaci. 23iixla. CHAR LES LOUQUE 100) rim de lIH Douaime. Igmro·iUusnu RoHanle, rai <tae dI I. Uaaasue de <'y ier.a, Neuvulle.O~rlfsu. nI olrI ' o., t P. 0., Hotte 12W.0. M t-Jweqmu. LEGENDRE &-,P OC HÉE N-RnHir RaayatIe. NnaîveIIto-rI)eia-2$j MT..JA4'QUKai-à la ré4ideaaeo do IrA.r Poché. près de I Maiuoa â aoe. tflmaii de. sseuoiie se trouv«a toq*lp J;uoa i la MAlieuaa dr Ctur de St Jeawr JORN H. ILâSLEY Jr., Exerrfet Ra profe"mion à lit N4tivellè. (Orlé4ànA, et iansi le, 4e dietritet *fuci e aire, cnm pù9w4 iIes paffiml4e Mt-(<lur ësen, st-Jt-ltn- Bnuti. te, 34tJ ,n la. Edouard IIaydoi V..-1 Ilmitb lIA . YI)>E4li & W4 TIlpu AVOCATS f 'b'A · i~UUSi<Jir>t1<II Iii (cuur diti 41umawiwmp ViOrist ejudidsiru,, vusUq'w cii i<>ioisc· $Ct-('i;riîI', St -.J.iii-Biiîa&aste, St-.Jaw<'iLS <et tXs.nàsioti. nuiii. myga8ll dk SiI zi1t·wt :un 4ti.Muqçe &soa.àI* ~i.YIé~k St-J.aI·,n-B<itfrnk R*i*xul is7:~. J drcARe: Bitreurm. et Pou du Couvent, Leu"" Vue UTJAO<UUU Pf»v.T-O ,1UM mo »NX&UloVAisy, Exerce mib piofehfon deant frA coum dui 4o istiijUcbe p, - robsAm 8t-J"icqes, P-Je*atBaptiWP Mt-('harle& et Aeorifonn. et devat la ('ouîr -SuprêieO do I'Etat, Nouwofoe. Chl~rrnn.2 IftvIol. A VENDRE UUEZl MI. .JO'IWAN PÉBItLOi1Xt St-jvftlè-lljtptildëý rive -CitiiirhiQ ix pi*x Ie·: niioér$M fi ITÇ*.IillýIr.. BARILS~ (le bttt4a ilinit-iMi<>onm, MERRAINS &c. Banils de ho galleils à 2&, 800 Cordes Bois de Cypre. ilui sEous>igîîé P)ER GRÂJI!ES DB JÂDBIZIÀ4IW de tontp morteetde premier cboix viennent ftro) mC ÇiCm cle Thnflwim. phie et Bont cri VAnite au GRANI BAZAR DE LA CÔ'r, inVarle.bW ment iui eoînl)tait. St-Jenin-Btirte, ~19*juillet 1873. GRAPI H.il.-il DE Li M"T J.-I. CAIRE i l'hgnneur dIiiftrueir mets aile"4 et le pfi)l)ic en général qu'il vMijit de rcevoir pir lem stf(nier4 51 l(I cfft tIps et Greait En)ubltrf titi ffl it aL uiywii meuot de YROMMll'.i LTF OX!4$%T, ertren afltreai: SON DE 1 BLÉ EPA4%t*UlE é JAM ài W ViWt3w Wr ,JAMI)IONSBCURg A~ U $JUURE, WIIJ8KEY te kMa1w an» &: BInrY, <ht Uimciic)tatrt)' , -: BBOURDON de OIneidftr et beane<Mp «Qaute n'flr, grs :uteto~4UeI, 7 troip longs. 'A-(s-imérer. j n 73. fi.