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LES TIX E'r yJAOS D'A.LFRED O(Jei 'est point un conte, i tf , c'est une histoire, (omme la v6rit, simple et facie à croire, Et, rieu que d'y a n , i f it battre le or. Obl je M ïsei pMW e sévère: Car parfd, comme vo", j'ai besoin qu'm ..9i&are. Et pour être plu grand, Jne amis pa meilleur. Paloos donw e amis. Alfred éta4 je pense, liUa etmt, tel que vous ayant huit à neuf ans. Bien, blem driol il avait dans s bes' dix lfnes, Dix frhan beaux et tout neoB C'était la récompens Donae as sagese, à Mse petite trnaax: Ce qui faisaol eoor oeo dix francs-l plus beaux. Maise Ridé arriva d'en chercher I dépensM Car 'e6t été vilain de les garder toejours: L'arget qui sert pas est ms valer aueu.e; L. point .t te avor loi douner ou bon cours. On MI~ba it i lfred mattre de M fortune: 'Tantôt il la voyait ea beau chevl de bois, Tantt c'était un livre., n livr.- alors au mère Soariait do plaisir, sans laider toutebias, Laui aianUt tout rhoneaur d e e qu'il alli faire. Slr Ie livre somu ix àh la ds Aâ fx xI. ChO mant enfanti eoat bea a mère lemlrau I C(eet quaosai c'étal eau ve (us C'et qu'au livre ('est tout; 'eut Iàdedans apprend à vive, A deveuir un hiomme, à Iarler; C'est là, nous, à vos je oa nous mler, IA que nous dépomesB i de notre Aine, Quand le Diesa to~ en nous oette flamme Qui oMs rend la ca nomu fait Jniqu'A vous, Comme Aà pim remonter iurs et doux. S Voas ne a prene mis.. Mais il fant lire; Ecr plus P vous" ta ee que f'ai voui dire; j upali, " , . rs serout bea déeols, * v ... m aere, aonlés. S.ver, quand la Beige et le gire Sé$ bleadiiium leu s ramueax, U x enfant, dans ddelarges maateaua, ' f unrrd, dla froid ou voa délivre; Alfred * ," pour McLteer mi livre. Maeu et - rtes -surQrre slpril: Deosx q onte étai . it. 'iu'i a" .pari, . 81i slveat on ea v. - . A Dane le bre Pln d ratre n % p L'au de son petit ft rè avic ul fr.t Chehait à A lili j puavres doigti : ls ien foR, car lem habits Presque un ksleamieot éteeodue aur la Ipiern Iourset le pesisnta regard de prt Enable ila répéet tr "J'aigr froid i gi a aufaiid " Mais lea ricbes Palaimnt Ia. ltrdo.e« t pâti \ Et leur emar as gaoait, àl pdtsb db g ýres UraMM Boalaient dma leur paupière et siloonaient leur sain. S erter, vtou eusles pr pitié de leurs alaraie BEt V'e noe aeri point pads mr leur chemin, S 'easkeo pas t mal ans legr taudre bl main, ulas demander pour eua quelque argept à vos mres Aleud dtit tmoinh de leans israes amres: "Maman, vois doe, ditl4 , onomme ils somt lI tms deux! Ui eaut bieu maiheureax!-Ohl o.4, bies malbeareax r' reaip it as -Me, attiitive et toachbe. SldasnIt une vielle, aupIta do trf mdette, N'or charmer l'riait riche et mnevoir de lui Le plsa qU . l 'aviaS ps obtenu d'aqjord'hui, II elforee de rire et, dawlut, il répète Un de oe airs appris sous le doux ciel astl; Mals e rire 6tsit trte, et ee as fidu d mal; OLt ! 4 .rie. idt Abeaz conmme la fite joi D_ ,*b i et cli dluit, à m alI. en pietm s 4est aor dm'r au t qai unat d am ledl ft qu'l flot eadormir comme on endort vos plears. iMmu LI'te, t plm'ns pour un bruit, por une omlom itt lm sou on e «vt&o" d M nluit <iinw M'ppllbei qui de vos mains se6sappe, qVe i- s «te ts que vmoae b vLes pOua OCt rrv.,s): ,m» AM-Sad `ilorM OU pa: Vomo rva0& piumhi4l » db mani couIne imol, Qim r.a 4m". 4@p - du fon, qui vol& ucgoi Vousil dmr nus~;0 ellel co~ vr'sn uca.i w, ui~ - - Upfwlc'1 goes EUII. a'u f jasa hmm ub rsY.lk.am~ljup.?,.ž frit;*vutfr. ~oui * ~m Oum us ulosp rieta Umm i~4Il moumu Sorti lift mm, meus rno.koe mw h p pient Dm:-isal aýemsatd ..r1e 4i~rb fridi, bt h·llr nor ~oe: frh ~m sfrol~i wo, t*u. k lIN eE LlIST, ~tbem UlumphUti4 gt hll w i p -à JiBiJfiL' Us;<14o era trletop tia#a, 4~s dwâ ir *sIs $n m%~~ àâmaveo*C, ll~ tr'r~ia'k)-LrlllEh-de 40w, toirc e SN L A aYWC ~ m,1r dneri~srDaW > ~ f surl~, ·· ·c;1· ;JD ê' Vtiétéu LE CIUIEIT Au commencement, Dieu créa 'homme, et le voyant si faible il lai dointn Clhies. Il charf le Chien de voir, d'en tendre, sentir et de courir por Plhoiom, Et or que le Chien fut tout entier lhomme, il le titra exclu sit et en amitié et en dévoû UmeSU aotioms du mode majear. .l mit s cenur le plus profond l rsetlmeut4damour à lin'tin-uc rot de la reproduction. es pdons du mode a mos la faml race a nian rBeard, ai eher Chien, qnu est le plta docile, partant le plus intelligent des ani maux, n'eut garde de désebéir à la volonté de Dieu. 1l se it le servi teur dévoué, le sergent de ville de lhommne. Le Chien eat, dans toute société fondée sur la propriété individnel le, conune la n6tre, le gardien vi gilant et le défusenr héroïque de ce qui s'appelle lordre public et la propriété. Voyet ette lourde di ligenw qni descend avec fracus la r . de la cité, menaçant décniaser les pasmit et d'écorner les bouti ques: le Cliien s'élance avec fh Aà tl ttte des chevaux pour leur marche; il mord les mo le copri le fouet du postillon ne saurait rempêker de faire amo devoir. ('est que 'allare désor donnée de la brayate machine tembl lee rpos pubse et compro met la esarité des citoyens. Mar chen an o9, e e vous diyB Ce eitoyen à la vo:C ý ' teur d1fft..g« *Iri 'ài la mine pmoliur irote peor le po priété.. eOhies Paborde rudenment pour lai demander so passe-port. Mais comme la umajorité a ses principes, la minorité a aussi les siens, et toutes deex t leurs Chiens à qui elles ont appris à vé a trer leurs institutions. Le Chien du fraudeur professera doue, en matière d'économie politique, des prindipes diamétralement opposés àcmox du Chien de la douane. Il verra dans lhabit vert de eatte in stitutiop PunIforae de rPenemi oommua, et le maudira dasa sa aeur. I ser pour la lberté eomp meredale comme atrm por le sys tme protectar. De ssém le Chin du trPuld dejappem qu'aux geus bleu ris. Lu bête sont, comme les dls, ee qge ls hommes ls hmL LesCbi.s de la toml are, «rSawa poM la digoas h i.l omummre, commidèrEet oMM d& gmdant l servime d'au hommnue seul, et 4oootbMm rsaiom Uepfudant le Chien 'eete pus de»8 l diuauoa de la 4ueoo de droiti as devoir « d'di* et desaqafra, Il obdit mun wmu rer. Le( Ch" et la plu 150e son que" q. Pbmosm aitjamas faite, ,ter «M emqut a dnmWhfIm mdit .8u14du w. squi bd éé ssls, le 1m"W due pgise 6d ommum amme la cbi«1ý Pein 1 ao .mam le vEiep- 4,....vou 4 fism$ *Wmm à w véw m 5mk d 8ssMUM« OCý& ibCss qeihW a Puftis mdiè %mi" de ziwi lutis -ý wm deqU55i W55jIU% I kWs..apsd;8 b...u pius h pas d'observations astronomiques, pas de science, pas d'industrie. C'est le Chien qni a fait A l'homme tous ses loisirs. Et c'est pour nous montrer ces grands services du Chien que le cieux de jadis ont raconté a gloire. 'Orient est le bereau de laCi. vilisation, pame que FOrient est la patrie du Chien. Otes le Chien de Plale, et PAsle n'*e plus que L'Alérique le uan, le Grec, E.gyptien, lIchinois ne sont plus que des Aztèques (Mexi cains) et des Péraviens. Ce qui constitu la supériorité de l'an. tiuieut sur le nouveau, eClio. A quoi se bornent, en effet, tous les efforts d'intelligence, tous les travaux da Mobiean qui ne peut vivre que de bhasse - A étudier le grand art de dépister et suivre le gibier on Penuemi. Or, un jenne basset en sait autant et plus eu cotte science diffcile, au bout de six moix d'étude, que le sauvage le plus iutelligeut au bout de qua rante ana. La chasse est évidem ment le premier et le iplus alen des arts. L'humanité lui doit son premier peo premier ros bit Mas e q u'este que la behase san le Chien T Les indigèles de FAsie, qui avaient le Obikmrbnt donc été disa pensés de se livrer aux pénibles travaux qui absorbnient tout le temps et toutes ls facultés des Pea-fbi~ rA d'Aamérique. Ils ont eu du temn le reste et ils ont pu remployer Fi dustrie. Voi li l~oigin arts et des métlers; voilà toute Uéreas entre PFa eee et le en acontinent Les historiens *éeit des milliers de volume.-q ette grave question sans arrit la déoeuervt de cette vér :simple; et de bra ves app continuent de dis e d'Amdricabes pourycBe ecausede Flnfério rit4 de ette , sans se douter qu'ils sont à lieues de la solun tion du problème A eté de cette solution anthro logique, ai neuve et ai limineuse, vient se lger une autre observa tion qui m'est également person nelle, c'est que l'Anthropophagie est.un mal endémique auxeuntrne. déshérites da Chies. Pouqmoi n renroDtf-t4 Ja. mais I'Âutlropophaffie chez lu peuples WpoUseruau le Chal6deu, lyptàlaaae, le mouieo, le Tartare a- ielait et la chair esC t , ule Oums It dms à bm las préeer vèmaut to4jisus sWiosbir air .IîuUes4ela dle~ évdjqa 'Atl - u6.me .z leive te dgiears méme anima, étarrit ta4 gs'llo LMm uissai dafhfrfirjs~ et ilysu t ami tS Ot t o t, vaona b det eurssa du --imm dhVer vn romp, iow te làe, t* t la ..I la divlàis par la tdS>es, d. iW dm. 1 1 bu uwmr%, F« MR a «W m ~~i~aiiI 'J vai-ki ap@ém uuI »fTm Est 81 Gi- --Wé- Ad dO e 0*"db OdMMd .b. sed boMédm lqe- eau ~~3SI~~* i.e.X voyageur demadait A oe chef iu. dien, l'Pa des principaux lieute nnnts d1 faronche Teumeioh, s'll avait conuu, dania la guerre dle 1816, un officier américain qu'il lul nommait: - Beaucoup, répondit l'Indien, 'en ai mangé I. A. TOUI.giWEL. (LA awte as pmrooAkdis mnro.j SECOND CGRID COERT-LOTRIEI FOSTER DU TEXAS N HoUsTro,TIXA,. 3 XAnI8 1875, 8900,000.00 en Monnaie d'Or, Terres de Choix, Fermes et Résidencm de Ville. II y aura, parmi les lots gagnaints, pour S,O000 en Or. W La propriété foncière eot por tée pour ms valeur actuelle. Principal lot agnamnt, $10,000 en Or RLoeMXADATIoa xs.--.".Aynlt, par. suite de longues relations avec J.-E. Folter, pleine eonflance en son inté grité, nous croyoun pouvoir exprimer la convictiou que sa Dis'tibution sera exécutée hoiuiontlentt lovyleient." Signé par le Maire, Hon. J-.T.-D. Wilson, et le Couneil de Ville. Co vienx et respetable journal, le Ronto» Toleg m , qni rarement con descend 4à sdnier den entreprisoiln dividuelles, it du ler tirage: "ILe personnes les pin s méticn leuMae et les pina délaunte n'nuraient pu critiquer le rode dn tirage. Ie til.ea 4t loyal, honI sCble et équi "Les memtr du comité et les scrutateurs étaient nos plus dignes codeitoyes, qui avalent ea la bonté de donner lenr temps et leur peine à la mnrveillance dn tirage, on plutAt qui me avaient eug-iamaes aeeompli les opératinna. "Le eCpitaine Pster a hlionorae nient et loyalement gfi dans toute la conduite de cette entreprise. Il y a 6té sans doute réalis un bénélice pécuniaire, mais les lot, gagnant ont obtenu sami de beasu prix, et il y an échange de propri6té au comptaut." Ie sinito Ale, le fidèle orge démocratique, 'exprime ainsi "La COMITi de gentlemsa était meilleur qu'on eft pu choisir. L'Hon. D.-U. Barzisa, qui a surveillé le tirage, est notre re prsréetant acotel, et l'a des boames les plus populaires da dtret. " La TIAGe a «té précd d'explicatiou donuaa pas le capitaie Foster sur le mode adopté. Cme expliertio, teles qu'el .le as trouvent dau les ceirlaires, out étF pwrfasltMam aomprisee et a cueillies. Le capitaine Foster a dit que, tout en sonhaitant bonne chance ain ges de localité. Il ne pouvait cependant s'empêcher d'épronver une plir vive sympnthlepour les popula tioin niallieureanms de la Loudiane~ dn Mliasiip let de la Carolie du Bod, et qu'il espérait leur voir éekoir le plia grand nombre des lota gagoats, "-a qu'elles pausnt venir habiter di pYs libre et s'aseir au banquet de a race blahe. Ces paroles ont été converte d'applmdissemenas. "Il p été alors preCe au tirae, et au e a pablios alurs le réali.r"a 4t'M rapport avee Ie enrmw e '0v" wu mm lesrtWO.l tmul K PI OUILLSTi 800. Eemoptu hWWla pmO udjs d'np slu grand omrbrla bU te. Xo)N, DEMANDEB oDAQixmQifs DE OW*IAt BIN dov«B t Jle rt de l'estime de lemr m--u i* o-. Mierdj dema li re 4-weees lvie de adareaes de BDa, Barlow L(M4i4té eta v.duu AM I T.-W. BOUSE tbr*eiPi. draswer à J.-E. 1 Efr8, giai -îtratirer, HMete, Tu ir&7J . JAumE L.DAYr p"ed..t. Dmiauoiau» rouit 1875: J. Hart Gahs JouaL , HmvyrJcr Dé.v, y SlOpp, YrLr ~llO~j· n.~ i:eom*C, 4u, 8. v.d PoeLBY1)~ Builltiin flama.e et Co.erelaI A H........rr. 112& (o 112# NV4RRAN>.....TA........ 8 * Commun ...........g I0 . .i....... 7S .IllyiPai ........... 7 ,66 Prime............... -# âtd9ly Driffl .~........ 9 Choix ............... @è @b Btrictly pilmo .... 8 * - O hat.sok*g......... 8f0 - Blanc clrtfit........ 9 1 0* b", Og ammu.....4... 46 * I>riinf' .....*............ 3 @ Strire.y pyrla ........50 lin Choix ..... ... .. .611 8 - Doubleràtn. . 2 . Ob - Troipl extrm....... 5 fi) 94 5 ('moz..,,.,,,,fi 21 *6 là MÙAri-. Blanc, fbaùauwf... If e Jatineetag....5... M 9 Ibnoi% M IMOM........ 740 g b ReoU~9Q~,IpUia.,,. IMIj05 Bosri>w Ao ...a,,.,,. - i - PEmmeuI1ss vterr ... 2 5 10* 2 Epga.lei .fnmeeui. 9**. 4M l 12 J<bu 'y asua donadne.,I 3 14* Poqtc Wer,...............111689 ~ 814 M.iU'$oap - ,t...5410U) -)I~ Comminp, p iJyPI..5. * 5~ Coxasraa.Lma Ponmearde torro.:..2lI~g85*82 Oign.~, ,s.........'. 4 * 5'78 4EaiB, r doouuino... 30 SD 50 B -t iiu~ B, .,'n Ctjmt r P. O. LEftIDR9'd 'POCHIf AVO·Aq'S. ST. JAoGUS Ur,4 isMsid. ~1 P.!~ Poe.hdpr.rde 'mNaiac.W Cour. SIL'» dei umafti à se tfifura koms les J CUDIs dp àt*iff 40 Gourde s1.J.sj SapIaDIIkIjr..e.Old I$ Mmrw-: *siss ´%BWdssw:r Pd4uor ee. igiarm 0 TUs n.o DUL&tVaXS 4VQOAZ j~gpgqp pri01fhon ùrdat Ift cmm. de 4e Ia"itict Jnditdat*, Par roi.ewl.n S u., SA iJ.m.bàtlsf, 8 rr -V sL.tare.o m. dru ala ~d~Cour tc Noieuvei OiM:.uwu M'ris. cHRLEtS LoGoIIe ~&.VQO)1AP I~vu., de 5~·l~· S..l,*.s. .1mb,· S.. dem 5,l U.~.d auw. .v.SU...W.w. mir LA ViI I., QWtULIt 'DE LA LOUISIANE -#. PODBI~LkrXMIUUn iRim AN$U hê ,,,4,O/nN vat 4t rh"1 L 0bAmrht *i. 411b.l~