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Nous &Tonu fté6qmeaet lu-. sitité, et mu produmire grand effet, marl.moeosh.ude W et la diviomn de 1I ý àuMMcndi m'rete diBolc.g.*en dus.e le mo (ragot et m on ~ds admdhks qiwmemt au aillmnduuîualuu.Ie rMsolutbsnauuI radiuai et samu 1 !xmd que oMI dsti ce popu a été victime1 dévorant pour le noii mune génératin et Il ne ps ralt pu qu'1ilyait moyen de hmu m racluer cette prl sociaile la id m»mwmumm à -*w "Ou leur alto Irdimstbl et à .aeéwdàe.hurduih nms me.%utp"t àkS qmd lmi et #~''lu -et dicll im~rsuJ ms E le les nus,, 1mu lu loal lemeentiments d'aus long panS Vd W O'Ih54dum du qela Uw hla Omsdesu aes pus Mmo, un peupie a eonlarm0 aMx diku Parier naquit en Loui WmdUiuo us.pwM o b la â&9iS. 4, PIM ea 1w Ede rares geoepUioost entretenait i grssis*dMemcrerle à peing m. oeoupéeet du petit propriéta.hg t, qui n'ayant pas de sucrerli la sabtemml de la 1out.Og de li i. cnne,6hun~tuaI,-qui, a u .MOt un toermâezàsteadm de b 1. cama.et tai"rai hsWes pried k. pole de la rigMes de FI'USt a*l IBAlaUidm si Lus scepque haumist la 1 épauls, somriest de pitié, et m. e f Mlunt pas que l'abitaumo Amn I- b.d. Lanfer, champ d!épeuvt r édao par la Oompagnle, teon* à Jamais sou antique splendear, Sdom dus bta asmtÎetquet dei 8 dMu lqmu.s, 1ded dams la & 1181ftaogiImsdet&uaddosp t a d*@" m U§89 quinas &m w lllrm - -*.-m du i» t hve, WM laps de temps à i-pu peu qS fw lm qi - stpare asumitas de raboUtis Or de4 l'sdoimlre et de l'odes. te deivwatm. le «*e gosmmd mapam dontM aqeiemen b -eM bon P"dlk£& Ne dirait-on EpasUe~ d~pomM% XB. la~la dumis.de la Oàmdê "LemPlMkeh qui M dM Iddoir bis a utu u ltravaglll,s 0 joles de uhuarl lma 00@d"Ao dolPm les4 N lomd & pou>sr ho-Prs oa bur Spuo.pte 1 1U4m Qui » îmé*m qui àlu ulud em"o *0 as~ m delà hspeismhM. l #marre dmal VIA 'a-, rpdde ludm,% t m ---m -bomm-e mimes au4p~lm pâ4ones Guadeloupe et de ses dépendance s est, aujourd'hui, de vinge Parmi les plus importantes, il faut citer celle de rArbouuseer, dont la pre mière drécolte a ea Iea en 1809. Tout et grand e bien 4tebi dans uette nSe: es 4ptedides bâti. pente, aes abllera, - douze générateutrs, m trois moulins, mes appareils, son chemin de fer, son matériel nautique, sa situa tion exceptionnelle aux portes de la vi1i, dams la rade même rece. vantles navires à quelques mètres de son quai, tout contribue à faire do cette usine la plus belle des fabriques de sucre de cannes. Elle a reom, en 1874, 186 158 lire de cannes; elle en rèivra, cette aunée, 210,000,000. Il aut signa ler aussi lauine de la BMseeTerre. l eoniguraion du sel des envi rs de la vle seuiblit dire tà obstacle à aIs créatiod'ane usine; les chbarrols de cannes ne pou. vaiet pas as faire. Toates oes dilmcltMs ont disparu devant la volonté de son administrateur, M. E. LeDeate, età l'aidedequatre i ébleset de ses emins de fer, I ayant environ trois milles de par. eaors, les eae de neuf ha bita sams etelle des petits planteurs arrivent à la balameede radmne, el. i buée a bord de la mer, aprèsêtre desendues deshantears da Oamp. laoob, des montagnes Salut-Lounia b Sasnt-Robert. Les résunitata ob- i bnms par les usees or le d4r5- c leppemeat seuer sont faeiles à moutater: del87 à 1874, elles t Mt expédié 327 3 avres de t mme sr 314.017,40 r, pro iMUo totale de la colooie peu. c mat ete période, loit environ a asdeas tirrs., * Das aea bonnes uandées, la a oeliuee. a jadis produit aune bien b uasgrande quaati de amre qoe d d a adelmp pedMet*o e epbMU Btde18a7à1874,atsafoMgras i erait immensesi oam le calea- a wls aprs eelta Oe e#te colo- p le. I/auteour at plu haut arile emoare des elhemins de fer mtatlhf, système Corbin, de la n rime de 100,000 iaes promise 4 , la Guadeloupe à l'industriel ri ai treuvers le moyen d'angmen wr d'an et demi pour cent le a udement de la canne à sucre, n Réan traite e. parfaite connais- a me d cause toumales aideta qui n ous Nmi meont It Tivemennt, et a emm à rata lveoquer pluadune el dom , "aIri leaksu une rom- b mse4 Ja os pee da mort pour pi b s s du masn, la Loiene s o répuer. it MunugrauM la MA*m 09 ça nmcd 4'z.r. eaumau nom dm ciè leh 21~~o Pl»due-ç lesappide~Ml.de l s Dans nne piscine d'établise gj ment thermal, dont la température est voisine de celle du corps et Sdont l'ean ne se renouvelle pas Sd'habitude, la natation n'a pluan . que les avantages et les inconvé Snients d'an exercice dana nu mi Slien plus dense que le milieu ordi naire. Le corps y perd de son Spoidkls; mais la résistanoe à vain c em pour la progression est plus r, grande et les membres inférieure . participent à la locomotion d'une manière bien autrement active que e dans la marche, la course ou le o ant. C'est cette double condition a quidétermine l'effet définitif d(le la e natation. e La fatigue arrive plus vite et Sl'exercice réclame une dépense inaccoutumée de fqpe et de mon Svement. La natatk réalise, à cet 0 égard, dans un temps relativement Scourt, les avantage, d'un exercice . violent, et le centre d'efort étant à la poitrine, où les bras prennent leur point d'appui, c'est poi trine a»W que ron éproa sen timent de fatigue, ce sont les mas . les et les os de cette région qui, Savec enx des bras, se développe ront davantage chez les nageurs. L'eecrime a d'antresavantagessur * la natation; mais, en ecd, elle lui 3 est inférieure: dans la natation, Peffort est mieux réparti, le mon vement est plaus général. C'est donc un mode de gymnas tique particulièrement ntile aux I gens de professions sédentaires, Saux écrivains, dont toute la jour née se passe devant un burea, où leu bras sont pour ainsi dire inertes et le corps plié en deux, au détri lment de la respiration, qui n'a plus ni ampleur, ni énergie. Si d'autres fonctions périclitent chez lm gens de lettres, par exemple, lea fonctions de la vessie, e'est aur tout leur respiration qui est défec tueuse. Mais pour tirer profit d'un exer cice de etate ptate, il tn être c On » le t i t pas aux malades dont les ns res pi-tin seranet poem t altrrd. Cseux-là peouvent enoore bhda er4de proprétds tooSque des balas de mer, de rivière ou de I picine; mais la natation, comme toms les exercices violents, leur est iaterdlha perce q.. la seeplandon et die. eux aanafiaante pla r ré parer mue e excessive de fore, et ils se meuvent, miseuxa W vst Deplsll ef hrft dslaaastaMionà la resplretisa us. a rv IMIw., et despoemons dieorgsalqés mepomr raient pus la sabir sas danger. 0 Il a'n serasit p de meme dans le as eat fe xio de poitrine aurait laissé après elle tout un neoau en é daos lm MomoN saitan rerat des paoi peto& rales. Il peut tre tile saiors de smractiver psagreemt et la cir clation de Pair dans le poamous et le es deu pea" rseamole". le biefilt est le «me dans les aim ple eSarrhe des broomeea. Les maladesastetndodlbotioos da oeur se trouvent len s a Dral,de toatexerelee trouble J même passagerament rdceulae tion; la aaWlou leur sovient d'aatat otas qe se eats se portant plutôt sur les organes w » vosina da eu«r. pluis forte d raison "m la ler lnterdire lorasqe le frokid du baln autos es eta à eax de la natation même t imprime au sang des reflux en sens diver, qui ontleurretentlee meut an cour, quelle qu'a soit la direction. He revameke, amus exerelce * gyemaatique as vaut la uatation, poearles nats doatledéveloppe uentsefalt ma. Mêmepoureeux p ches lesquels U est entravé par un h vidi du eaétle osseux, la ate- tiso, qui permet le jeu des me bsssdea as milles qui les sap. r porte également, n'est-elle pas dc heauncoul) préférable à tous les ap pareils orthopédiques on gymnas tiques qui tiraillent les muscles, et même les os, les déforment et les fracturent t Les convalescents y trouveront dle même un mode d'exercice dont la, tigmie n'est que momentanéeet peut être pinus faci lement supportée que celle de la marche, où le corps pése de tout son poid#sur les Jambes. Les conditions de cet exercice changent dans un bain de mer 011o de rivière. Ici, le froid de leau, d'autant plus vif que son mouve ment est plus rapide, détermine d'antres effets qu'on ne peut sépa rer de ceux de la natation. IRègle générale, il vaut mieux se mouvoir dans le bain qu'y rester inactif, sauf le cas où l'on veut obtenir un apaisement de nerfs trop surex cités, et où le bain froid de bai gnoire pourrait être préféré à tout autre; les maladies nerveuses elles-mêmes sont avantageuse ment modifiées par la natation dans les bains de mer on de ri vière. La fatigue qni en résulte est elle-même sédative, et cet exercice tend à régulariser Pin nervation dans le as où elle serait désordonnée. La dépense de forces est plus grande dans le bain de mer on de rivière que dans le bain de pis cine. Les conditions de densité da milieu font qu'elle est moindre, en général, dans les rivières que dans la mer; mais la thermalité entre aussi en ligne dle compte. En en levant de la chlialeur au corps, on l'oblige à une réparation plus éner gique; l'exaltation de l'appétit à la suite du bain de mer est une manifestation de ce besoin de répa rer la perte. De plus, l'effet du troid sur la périphérie du corps est, tout d'abord, d'en chasser le sang; sans doute, ce départ dn ang des muscles superficiels, de >enx des bras et des Jambes, les rend moins aptes à fooctionner, 3t cette langneur de la contract lité, exigeant plus d'efforts, expli-. me, pour une part, la esation e 6igue pln prompte et pins Enfin, les effets excitantsde reau le mer et des eaux minérales coinm itiquent eneorecenxde lanatation. Jette excitation provoque le fooc fonnement de la pean, le sécré. ion sont lus actives, la sensibi Ité est ravivée, et, dams les casd minaladies des vWèrSas itsartout mas, da ble cette etivité dela pea pas uin liffrente, palsqn'efle rétalit la ompensation déplacée entre le ledans et le dehors. À. NIcoLAs. V riétés LE CIIETAJL, Tout le momie a écrit sur k Cheval, depuis le bonhomme Job, qae date ppe d'hier, juqunal M. de BIoooeme-Bmrve; mals personne ne Pa dédli, pas même I. deBuffonqml écrivait oepen dant avec des qanchettes de den telle: La plns belle eoqauite Que l'homme ait aaUis adte, lt eelle da cheval, Ce superbe saimal... Le Cheval est Pexpresulon de la socoftd, bien mieux que la littéra ture.. Ditea-mol le bcheval d'oun peuple, je vous dirai lee maurs et le iastitatios de ose peple. L'histoire da Cheval est ollede Phumaatdé, pares que le cheval 3 est la personifilcation de laristo cratie de sang, de la eat w rière, et que toutes les nut:<-, hélas! ont dû paxser par I pe sion de la caste guerrière' 1,.-. gage vivement le professe r qi :1t toire et l'académicien des n tionsetbelles-lettres à ourvi. .irm oreilles. Il n'y a qu'un seul chivM ut: monde, un vrai cheval, Ii;lon arabe. Je sais que le molréle v*t plein de quadrupèdes amï;it-'iî qui s'arrogent illégalement te titre; mais la plupart dé cns usurpateurs peuvent être su p d*I'- avec avantage pa la vapeur o1 tg Chameau. Le vrai cheval est l'embleine d(. véritable gentilhomme. Iln 'y a pas à contester la ri renté analogique du Cheial et du gentilhomme, tant la resNem blance eûtre les deux types ePst parfaite. Ou l'étalon arabe Xigai fie le chevaller, on il ne vondrait rien dire du tout, ce qui serit nit sarde. Admirez, en effet, comme !f no bleanimal sembleappeler la gierre de tons les monvements de son corps, de tons les essors de son âme. Ses naseaux brûlants * .t vrent et fument; es pieds ''lia tients crensent le sol; son u-il ardent dard.^ t4caim et d(voro Peapace; sa bou. , ge le ireini etle blanchit d'écnI ; sec' iièrr élégante et désordoole s'agite Let se redresme au gré de coléres; as quene s'épanonit on panaiclihe. Il s'encense et se rengorge sonis ies regarde de la foule, et piaffe sn«) 'étogl. Booutez \ hennisseneïit aigu qn'aceentpie Nrerjaliaae, cettevoix abe quse4ce!le du claireo; encore ne provo cation au combat, une menaep do mort. 81 vous ne reooonualsa pas u c traita le pM4 de la légende, le héros des crol sae, le obevrller au armes édtcelantes, aux on doyant. panaches, désireux de briller et de plaire, avide de tour nols, de périls, de pompe et du fanfares... je renonce à aller plun loin. Le Cheval sauvage, qui rtguie encore aujord'bhal aor va gmit tiers de la superficie da globe, a bien le caractère altier, les habi tadea belliqueuses, les meurs ehe-. valeresques du coursier arabe; mals il ne fuidrait pas lui denmain- . der cette grase exquise d'allures, cette courtoisie de mailères, cet tO richesse de tenue, cette élégance. que 1ldaestioen alq et leto eôatti-t da grand moode peuvent donner. La vitesse elle-même est une qualité qui ae ase développe coin. plétement ches le Choeval que sons Fla'oenessdes solnq de lhomme. M. de Badlba a dérit le contraire, mais M. de Bualbo s'est trompé. M. de Bofbo vous alrtuera peat 6tr eleqoatraire, sai M. de Buf. hm, quliétalt myspe et qul m'est -ass sorti de -on salnc, parie * .~~jIh ~ "d - s '>3 4rï ~~P>% 4., bs'bq. ~i 4. E' -~w«. Wu 1 du h ew d ia Ou c M p .b~~g.w*. .q JW mi t" -.. cearte! J. veux qua t. m'a.eompap emoora. Je 0dàM - c m Sk q» tu m gds rMmacw pour me méeek..è pa ol-e. * Ja tet Ç»q aje pupor le qauiter ; mas li jam qu'I iterlutWo aew l s r pmem , d je rd"els de l'uaoepapoer pedat quelqu ei encoee. Quand le sMt a mRqi Ia.Sm à t@r, is ae pet la smvr. Jam le del a tpls de hfis que s Mo-là. Je cil- jouga&d oeupia à m té"o que ew *Mrt lu petes et deu laqh lis M matrt le4idmeate et lus itvd msles t@*m d'MeeIA Ledil a est pu' s si Met q'-s veutU e a di.. J'Mledjosu bea tlampe peur mal Mb Dme, mes mu mraes «c rMste, maie o ,s m'sae, f h FouM e aVios Pma et namte t«t - momie de peau"a quI m ddaetds maire crvelle. Et pElsa Mait, das ha bWi, lu ut cme dhas dhes Mbdues, ou ai"s Jama@s bcae. Le bomher slepuete eqi laliportaaub.ar. 4Qui qje ise, l Wy"t 6i tae devnt Bol, - Xs - pavalet pU M dhteekr de m nuque. Un sugm.d daIemt dlid uer catI place o- claq fois d(fà, Disa m- p s l)J*aath e la cosssa. - m" mbs daes pucurn cals devamt mol, M. Cihmlt, lb diie dlMae g 'Stm fat Merpris. Vqsglms -a datm sa4ioSre unsà feu, le -* b* me il . D moiU le ps .e't c -Ta a'e fime peut-être pua mreat, geo.. Lea bernaz de teb amt me M 0t teo pltet à vive. . Da» Plepor de - daas J'fasptal. U ml U alors dom aPo" M omtu,m de oe- lonP ,sa-s- de v0yge qu IMM mporte à test véamment. Il Feorit, e fapft avoir Mpé le bout de Smou e4ga, nme pbMe. Je né r«te pas au basd. Le hbaur« ralst une boM bte, Wet Die au dre lt tq let. l&uat «mr qu le bouachr ava&W attt la betd te mpO qu'il avait vimre. lKaoutmpritpermpliserQ-lie rage avai dmue de adrmer tesi A mmlt Je gardalle eeam. La lem s ft p ashte de our - bla-e Le maeur voulut que 16 lé uev p|asI de mouvons le pea. CsteltoIereprrv. dhittrop uide. Il e68t ll, vous en eeavMiTsf tb hMpdi a ractue de selpos pour s pas céder a Âspttio| Àv«Q eela qe la coutea de ce di d'home tait a main om Ii a'est pam possible! Je du retader le eop. Noua vwoete dOotrer wee mue u is fesulaequl tesaltàdistaeeleuMbal yteunmo de Ia lme. Il hiit trmp ombre ponqejpe 1 pL perjuste Nous rstàammmelqsae iueàsma ?bMabe. A« meeto MeT ealoM d'fatelMdre i pMo FL eh -AsIR moI souo eMt esl, feuos, é dAit in< val. j ibluae baelm-ed l.t M au * aviL i me biSer as lâth peur hasetoun. ** . . (La op se l.fslàue r .