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PRLEMENT FRANÇAIS La ession du Parlement fran. tiis vient de se clore nonus un nuage léger, dont cherchent vainement à exagérpr l'importance les Impuis nutes fa"tiona qui Pont fait nal. tre. Le Sénat, mas lirrant à Fl. flinence du due de Broglie, a élu M. Buftet, a rejeté leprojstde loi qui restituait a l'Etat la collation des grades universitaires, a enfin amendé et failli renvoyer auxnz ca londes le projet de loi municipale v6 pFr la ChObambre. Ajootons us ot esprit d'hostilité systéma tique A la Chambre et an cabinet *JItijtaifCtjar 0»e frèe ma*o 2tWlvof pdnftom. nt ob. de a &ms pre mes, Wa t aq)orl *Dpabi tde O99l & la Çham. t Id L hu 1 ^eoMasMabon, reê - Meht pour. tant pis prêté noaux macOhiatokws de me eieo ministire da 24 mai , la vlootM de pays s'étet pronon. eu etss'aainteneore chaque four trop baute.men et trop clairement pour qu'ill laui Mt possible de a'y mipuodrid; estt velouté nas Sinala, i Pla srapeotée loyalement nq apulat à hl des conpeillers d'a répablicanime trè, modéré, Mais d%»e indabitable sinodrité, tIp leqr rmoelaut à toote 00oo utes ptesvaners desoneoncouras; lasq M. MBard, le ministre de nPlatriemrs est tombé A son poste de combat, pématurément frappé psla mout, e Pléeident lui a -Ifl pour seooeasearM. de Mar. ekg, bhame politique de méme MBsm» que m pwdXeseur. le »At4, perfaitemet bmogèoe, UMhhusg à m cosmatitter A la (bets, ust6 esmpscte et aglU4Va N Asos habileté dabord, Ithgg o loaMtEoo des débris eggpUlom qul dial. d|4pi s adudmis se àSll«da ade éhsBa et leur ap prunaB esStestr des pasions a gmis-t Pu qu'un sua BM d9 ea. te aitm Smsz wpmea da»a le * Ilpomit Aibimis 48 lu mplu à&vole *Pm.' où % Ulpuiqu1 esa uppi Lu. 0094s. puUu tmo réuta-w «* fuaqm ous.rmbfl.e 'se la mie e =boasl se, oru is q#ON ui ni Ioq *m"~li suite Ade.. mM rait pu dire de plus que des ad versidres tels qe MM. de Broglie et Bolet sont Infiniment utiles à la cause qu'ils combattent, puis qu'ils ne tendent des pièges que ponr s'y prendre eux-mimes. Que de services invob rtairu Mes pré tendns hommes à3tat n'ootUls pas rendue à la B6étiblique loequ'elle pasait, courbée si bas, ons leu tourchescaundines de la précédente assemblée 1 Sans que pour cela ils méritent des actions de grâces, its travailleront encore à leur façon, et par méthode d'antithèse, an sa lut et au maintien de la BRépubli que. Ils sont voués an rôle d'ilotes de gouvernement, enivrés de fol orgenéil, infatués de préjugés anti ques; ils excellentà dépopnulariser tont ce qu'ils préonisent. Un par ti inventerait à son p>rofit d'anusi précieux ennemis, si sa bonne for tnne ne les lui fisait rencontrer. Le duc de Broglie trouvera a" roche tarpélenne au Sénat, comme naguère au long Parlement où lui échappa si vite une majorité de hasard. Quant à son complice, M. Buffet, celui-ci semble porter avec plus de pudeur le maigre triomphe de s récente élection au Sénat, et peot-tre garde-t-il le même si lence que M. Bonber à la Chambre, justement conmterné de voir le honapartisme maneuvré par la bohbème oratoire des Casagnac. On s'est beaucoup ému dans le parti républicain, et peut -être pins qu'ill ne convenalt, des prétentions da clergé catholique en matière d'enseignement. Ce n'est pas aenle ment eon France qu'on se met sur la ddfnolve contre une invasion de jdésits. Aux Bate-Unis, le préaldeet Orant, la première des oies du Capitole, a depuis long. temps jeté la cri d'alarme, et le Congrès prépare un barrière sous lor.e damendemnt constitution net, poor résister à Passent des Bévérends Pères. 81, pour em ployer une expression consacrée, le péril soial existait, en admet. tant qu'un tel péril soit possible s siàele e mous rivons, les Utots-Unl y seraient pnlus expoesés que la France, et le Yankee imite rait peut-étre le 8$& bre on ado. rent oe qu'il voulait brdûler. En Fraoe, si PEglise cherche à gou verner la sociétée lalque, si elle se mêle au train du monde, elle ris quers son prestige spirituel et son autorité morale, elle dépouillera son caretera sacré, et elle n'aura hit qu'aspirer à descendre, car la brigae de la dietion des esprits alui era perdre elle des âues. Et ce ont61Oe mI-e des esprits, elle le partager» avecPUaiveruité,qul, aiguillonnée et éperonnée, secoue ra lengonrdissemet contracté dans la jouIossne dun monopole quwle croyait impreseriptible, et déploiera toutes ses toroes pour se maintenir dans la citadelle qu'où se propose d'assiéger avep une ar. deur où il entre plus d'mbition que de fervenr. bute eoncurrence est fconde, et se serait calomnier la soldt" modermequeade trembler pour elle a fbe des obstacies qui li soeat ssnités aqJo.rdftlI. Elle en a fanchi ou tooné blen d'au tres. LES MILLE ET UNE CONNAISSANCES MTILES. CCCLXXIII. - Nons allons passer en revue les principales maladies qui, d'après sei observations den auteurs qui ont le mieux étudié ce genre de médicatton, Berpin,Carrière,Cnr ebod, Kaufmanin, PIircber, Hirsmli. enber, Schmitt, etc., se trouvent le plus favorablement modifiées par la enre aux raisina. Les propriétés apéritives et fon dantes du raisin, propriétés qu'il doit A sa composition chimique, en rendent sourtout l'wusage précieux dans les tengorgements et les ob trnictions des viscères. Le raisin, par exemple, peut rendre de grands services dans certaines maladies chroniqunes du foie accompagnées d'un léger dé veloppement de cet organe avec coloration jaune de la face, diges tions pénibles, etc. Desbois dle lRo chefort considère ce fruit comme le meilleur fondant de la bile. Cor chod a observé nu graid nombre de gnérisona de ce pgimn. Loesch ner cite un homme de 60 ans qui, à la suite d'une cure anx raisins qu'il était venu faire à Durkheim, rendit nu calcul biliaire du volin. me d'une balle de fusil. Le moyen dont nous parlons réussit anssi parfaitement dans les engorgements de la rate et <les autres viscères de l'abdomen con aécutifs à une fièvre intermittente d'origine paludéenne. Une maladie dle l'estomac dans laquielle la cure aux raisins peut rendre dles services signalés, c'est la gastrorrhée, espèce de catarrhe de l'estomac, caractérisé par des vomissements, ordinairementassez faeiles, d'un liquide glaireux, re jeté sans mélange d'aliments, lors même que le vomissement a lieu après le repas; état morbide qui se reproduit par crises à des inter valles pins on moins éloignés et 'accompague ordinairement d'une constipation opiniâtre. Notons que la constipation habituelle à laquelle on ne fait en général pas assez d'attention, cède à l'effet la zatif du raisin, beaucoup mienx qu'à INction dle certains médica ments plus énergiques. Une ere aux raisins ne saurait être trop recommandée contre cet état morbide qui s'observe priuci paiement chez les personnes sé dentaires et qui est caractérisé par le symptômes suivants: hé amorrboldea ou tendance aux con gestions du gros intestin, consti pation habituelle, embarras dle la tête, vertiges, humeur hypocon driaque, inaptitude pour le travail d'-sprit, etc. La composition azotée et les pro priétés adoucissantes et laxatires du raisin correspondent à tous les effeta que l'on doit se proposer de produire pour modifier les hémor rholdes on les guérir. "Le raisin, dit COurcbod, porte une influence régénérante sur létat du sang; Il dissout les pléthores en activant les hnmoers, et facilite le retour de la contractillté des tissus. Une cure, largement faite avec le raisin, doit inévitablement amener une amélioration notable, et pent-étre mettre nu terme à la maladie." Il y a peu de médications dont on puisée espérer autant de suc cès contre l'hypocondrie, surtout lorsqu'il y a torpeur intellectuelle, pouls mis4rable ou lent, coloration Jaune ou terreuse de là face, tem pérament lymphatique ou- bilieux, etc. On a même vu de véritables maniaques, des insensés, éprouver an soulagement inespéré après avoir mangé abondamment du raisin. Roques cite un de ces ma lades qui ne prit pas d'autre nour ritari pendant deax mois. Il con sonhmait par jour six à huit livres deraisin,etquelquefoia davantage. La constipntion, quiijusque-1A avait été invincible, fat suivie d'évacna tions abondantes de matières noi râtres, visqueuses, atrablilieuse, comme disaient les anciens. Lan tranquillité de l'Ame, la raison, la santé revinrent pen A pen, et quel ques mois après ce n'était plus le même homme. Le raisin paralt avoir des titres légitimes pour obtenir une place élevée dans le traitement de lai plithisie. "'J'ii vu, dit M. Curchod, des malades que leurs médecins m'avaient adressés comme phthi siques et que j'avais jngés tels moi-même, éprouver après une ou deux saisonsn de cure de raisins, des changements tels que j'en ve unis à douter moi-même dle la ins tesse du diagnostic primitif." Le raisin agit en pareil cas à la ma nière des eaux minérales, en mo difiant le sang, en augmentant dans le poumon la résorption des fluides de la matière tuberculeuse, en excitant au profit du poumon l'activité du foie et des reins. Il calme l; circulation, dlit Herpin, diminue les congestions et rég.ila rise l'innervation. Il aenfniila plus heureuse influence sut deux symp tômes spéciaux: la tqntx et le cra chement de sang. Il fant toutefois n'employer ce traitement qu'avec circonspection chez les phthisiques à tempérament irritable, à circu lation active et sujets aux hémop tysics. La cure aux raisins est efficace contre les hydropisies consécuti ves à certaines affections organi ques de la poitrine et de l'abdo men. Lors même que l'hydropisie tiendrait à un état organique in curable, elle n'en produit pas moins un sou lagementmomeutané, il est vrai, mais encore bien pré. cienux pour le malade. M. Corchod rapporte l'observa tion d'une jeune fille atteinte d'hy dropisie ascite, par suite d'une hy pertrophie dui foie; la malade vé cut pendant plusieurs semaines de raisins, dont elle consommait au tant qu'elle pouvait en supporter. Son foie ae guérit complètement. Elle se maria et eut plusieurs en fants. Roques parle d'uni militaire aflecté d'une ascite, et A qui on avait fait la ponction sais succès. Il se rétablit comîpltement en malgeant beaucoup de raisins. Le raisin convient parfaitement aux goutteux. Il est d'observation qu'une diète végétale modérée eat excellente pour retarder le retour des paroxysmes de cette douloti reuse maladie. On sait que Linné parvint à se guérir on mangeant beancoup de fraises et de raisins. Une cure aux raisins peut aussi être utile dans la gravelle, print palement lorsque les concrétioas sont formées de phosphate ue chaux. . Beaucoup de praticiens, notait ment M. Herpin, insistent sur l'u sage de la cure aux raisins comme complément d'un traitement par les eaux minérales. Ainsi après une saison à Vichy, ches les gout teux et les graveleux, la cure aux raisius, qui a anaussi une réaction alcaline, peut très avantageuse ment prolonger et comnpil ter la médication thermale. M. (Carrière rapporte que, dans le traitement par les eaux sulfureuses à Bade" (Autriche), leoraisin est donné comme régime on comme supplé ment à la tin de la saison. Toutefois, jnme le fait remar quer M. FenW de Fenneberg, il convient que la cure aux raisins ne sunccède pas de trop près au traitement hydro-minéral. C'est un fait d'observation générale que les différentes cures ne doivent pas se toucher de trop près. On fera bien dle mettre, six semaines ou deux mois d'intervalle entre les deux traitements. Dr L. NOIBOT. L'ÉCOLE AUX CHAMPS Le pMre, de bonne heure, pren drait son en';nt par la main: il le conduirait aux chbaips ; il lui ferait voir le soleil qui se lève, lea oiseaux qni eliatimtent, la nature qui s'éveille, les hommes qui vont au travail. Le soir, il reviendrait voir avec lui les lieux qu'ils turaient vus an matin; il nlui montrerait le changement de tontes choses, sur venu aux heures décroissaniites du jour: le soleil, au terme de sacar rière, qui roule à l'horizon, sombre et flamboyant, comme l'Hercule des cieux ; la nature qui s'assou pit, lasse dle lumière, d'amour et d'harmonie, et lentement s'endort sous le dôme des forêts herées au vent; la unit qui s'approche en ses voiles semés d'astres, douce et con solante, comnme la vivante béné diction des travailleurs. Tandis qu'ils descendraient le sentier qui conduit du village à la ville, ils entendraient aux fermes sommeillantes les mugissements des boufs et les grondements des chbi.ns. Déjà la chauve-souris trace dans l'air ses anguleux réseaux. L'alouette monte dans le rayon de( pourpre, et, d'en haut, comme l'hymne du soir, jette son chant aux moissons. Les boufs sont rentrés. Ponrtant le paysan est encore là. Il considère les cam pagnes baignées d'ombre où traîne une dernière clarté. Parfois il se penche, il ramasse une herbe, il ôte une pierre et ne pont quitter ces lieux remplis de sa sueur, que la nuit épaisse n'ait tout confondu à ses yeux. Sept heures du soir. L'Angelus tinte au loin; la cloche, en vibra. tions mourantes, se perd dans l'a zur assombri. Ça et là des trou peaux, vaguement entrevus, mou tonnent la plaine grise. Ou entend des voix et des chants. Las, mais le cour content, le peuple des campagnes regagne la ferme, le souper, le repos. Le fumées ser pentent dana les arbres, et il y a dans l'air nue odeur do bols brûilé. Aux fermes la vitre brille: nue rouge flamme de nlamnipe l'inc-.ndie. La famille est à table; les plats fuiment. Les hommes sont noirs, les femmes sont brunes, les enfants sont roses. Près de l'Atre, les vieil lards dorment déjà. Un berceau se voit dans un coin, et derant la table, dans une ombre qui bouge, les chiens sont assis. Ils verraient ensemble toute cette bonne et rude joie qui se copose de la conscience du de voir accompli et dle la foi dans la vie. Le paysan qui, de l'aurore au couchant, pétrit pour les épis la terre fumante de ses sueurs, et, le soir, ayant vaillaumment labouré, voit les gras sillons s'aligner, nom breux, derrière la charrue, ce paysan-là eent vaguement qu'il est quelque chose sur la terre. Eh bien, le père quitterait la ville, ses fracas, ses tumultes in quiets, sa froide et pénible réalité qui dérobe an travail jusqu'à ses poésies mêmes; il descendrait avec son fils aux champs. En mf*, il le conduirait aux labours où les grands boufs tendent leurp jar rets nerveux; en a. _,t, dans les 3hamps parfumés des senteurs In foin, où les fauchenrs, cie leurs bras qui tournent cir eulairement, coupent les avoi ues; en septembre, au clos où se font les vendanges, parmi les tra vailleurs couronnés qui chantent ît battent en cadence la cuve omnillonnante. CAXILLZ LEMœnowO . (La fia as prochaim ,susdro.J Candidatures DnocratUiw--187& POU'R PRÉSIDENT DES ÉTATM-t'NIS, SAMUEL J. TILDEN. DE tEW-TORE. POi'R IC 1PÉSIDENT, THOS. A. HENDRICKS. DE I'INDIAKA. POUR <fot'VERNp.UR DE LA LOUIýIANEK, GÉNÉRAL FRANK T. NICHOLLS D'ASSOMPTION. POUR LIEUTENANT-GOOLVERNEUR, L.-A. WIL.TZ, D'ORLÉANS. POUR AVOCAT-.GENEAL, H.-N. OGDEN, D'ORLtANS. POLUR SECRETAIE D'ÉTAT. W.-A. fTRONG, DE WINN. POUR AUDITEt1rl ALLEN JUMEL, D'IBERVILLE. POUR SURINTENDA)NT DE LtWhTRUC. TION PUBLIQUE, R-M. LUSHER, D'ORLnANs. SECOND DISTRICT CONGESIONN EL, E. JOHN ELLIS, D'ORLaANS. En vente à NewýYoik. huresîi du XVmff voerframeoeodrimiwI 42 Gtus Joues Mtres; et à la NouvenU-OrL4an$u, uha n. Wdba & Cie, ALMANAUH DU COMIERCB ET DE L'INDUSTRIE DES grTTS-UNI.E pouî l'année 1816 PUBLI]g PAR H. D>U XNAEIL lartbrohd *1:10, cartoual SOMMAIRE:RsuMe m~f4 biip. mab<mLue . 8&Ufie de Hoaosuadmd hrtf do la douane dum Mbut dum poefla, iYew-Yorkc, hidst des Aùoidm»* fruaie di. JDbawUnie, é., às. Itmlîa. CHEZ RlSSELL & HALL, Epoier et Marchands on Gros de Peiuun, Beidf, Benurre, Fromage & Prodniti. Snirue Tehoupiitoutal., Nuoaelle-Orl#aua. 'Mln7S.I. A LA CORBEILLE DE FLZEURS .....l139119C . .18 IFý?4TRRt ('W*XTtd E.T ROYALIt. iv :O>*« w IM9 FA BRQIVE là PARF'UMERS àN TOUS OBNRWS. LIQUTDES'UPÉRIIEUR Vour li rtiintture dpx Ccveuax. - Méthode td'apri-m laquêelle en pp.ut diminuer à Volonté la oisbel unir@, stini qu'il emt f xpliqué daim la pies cription qui accompag,,ne chmsisboite. MDW OUMDhOtun. ua4 6<. tteunetnet,6 C. L9. C A O FERBLANTIER noml~ a&, mmIe.u O~ltlen ut urme abd. oif d4 . udIsw estiviu ods z .bgl os. BA" "0 uu ' . tot .4 ê pi;- imdIlls.s qu~S e bo.. ~~èIâSP - quqm1dofra& Om u lace mm. louivh ila brýomrhvicru l Mds aOmW h mpl ~~~~~ di iedov.tle el 6 -Comment! '1 dest vonus, movleil fi, lui dit-Il, gUda ù ihoepiro perché ? -MMa da tout, docteur Deprofthndis, et c'est ce yi mYMl1ge, répondit la Mort, donnes mol donc la main que Je descende. Le bon docteur lui tendit la main, et la Mort At » tel ebrt pour se ddtàcherde l'arbre, qu'il enleva le doeteur de terre. Le poirier asaait aunsitôt celai el et Pealaa db es branches. Deprofendis eut beau s d6ettre, il dot tenir compagnie à la Mort. On fat frt édIon6 de ne point le voir le lende mal et le wrleodamalo. Comme il ms donna pas digue de vi, on le At aficer et mettre dmn laga MNe, malte at peine perdue. Depeuadis é«ait le premier homme qui ett dis par de Codé depois de longues aonnées. Avait-il d&eM mve le 0eret de mouir, et lUi, Jadi ai gé uehwZ "s NMt6-il dsewvé pour lui seal .-iesl s3admdeMseoieqtde la ville poue se OUM à -r eharebe: Its Mbillèrent ai bie la cam s M es s " qu'ls arrièréot tu Jardin de A leur approche, le docteur agita son mon ais c.de ddmese. u4ai j-lear lUt»are, alop amis: le voteli, TruI iIa l dta Je Paval eeIt dans ma brochure ve &t l il le i maia* de Vioq, le vTrai berceau du choléra. Je le tiens entin, mais nonpos sumu deoeidere de ce maudit poirier. -Vive la Mort! airent en cheur les (Jondéens, et ils s'approchèrent sans défiance. Les premiers arrivée tendirent la main à la Mort et au docteur, mals, ainsi que le docteur, ils furent enleqvés de terre et saisis par les branches de l'arbre. Bientêt le poirier fut tout couvert d'hommes. Chose extraordinaire ! il grandissait au fidret à me sure qu'ill agrippait les gena. (eux qni vinrent en suite prirent les autres par les pieds, d'autres se suspendirent à ceax-ci, et tous ensemble formèrent les anneaux de plusieurs chaînes d'hommes qui sdé tendaient à la distance d'une portée de crome. MIRis c'est en vain que les derniers, restés à terre, sa quaient de toutes leurs forces, ils ne pouvaient arra cher leurs amis du maudit arbre. ILidée leur vint alors d'abattre le poirier; ia al. lèrent quérir des habush et commenièrent à te frap per tous ensembleW hélas1 on ne voyait pas lauar que des coups. ' II -s regardaient tout peauds, et ne eachant pnlus à quel sait es vooue, quand Misère vit an bruint et e demanda la Mue. On lui explquo Oe qo m tt deis mi lomgtemps, et elkl emuprit le Mal qg'elle a fWt it sans le vouloir. -Mol seule puis délivrer *nort, d<i-lle, et fy coueuIs, sia à ne o1oditio,. 'est que la Mort iis viendra nous mhercher, Pare et mo, qOue sd JO l'aurai appelé trois fois. -Tope, dit la Mort, J'obtiedrial de easit Wm.e. qu'il arrange l'aflaire avec le bon Dieu. -Descendes, je vous le permet.! oris MgiM; et la Mort, le dôotober et les astes tombbrmt di poi rier comme des poires trop m*rees La Mort se mit à sa besogne sans déemparer, et exp6dia les pluins presés; maki cauon roulait pm ser le premier. Le brave boumame v#qa't irmit br"p à faire. Il leva poor Paider rne ramée o moddeolis et on nomma général en chef le docteur Deprefni dia. Quelques Jours safirent à la Mort et au docteer pour débarrasser la terre de %sres de s vivants, et tout rentra dams l'ordre. Tom les honsuep agei ,d plaus de cent ans eurent droit de mourir s4 mours re4t, à lPexepUon de Misère qui ase sut eie.e qul depuis c'a point encore appelé trsls fois la MWet. Voilà poorqaoi, ditoo, Misère est bôo i' d.1« le mia * CiWrAtW !1<8916. \.VI . e f,... *