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IUWGRATIOW r EIG6ATIOI Uln double phénomène e pro dmit artneflieut anx Etat»-Unk plns étrange que lM hIsm des a M We5, m.tiesew le lmkneaimin d'im diette imminentf et le Jour d'm rMolte masquaed de m grand &ti el de .'uamm estion. On u'lSUi am |1l4 m re pays, et on mc VMI émigrer. CaOnditi anormale as mré,met, et pastmgre, mais q n'en nat pas mous inquiétante. Jadis tormrt dolntabe, rolemnt pe-mêle m dtritaus sorianux du vicx moude, à préfwt maigwr M1c esulsmt péuiblmcut d'Iue mmree tarie, nmmigratfmn ft TRinemnt invoque par le vret enftuent qui a borrewr de so ue himew. On pet ersindre au mmeut que lAllemagme et Ir. i-de tout ntières, abandonnant le sol Uatai, ne vinment muwser ger les comues primitives de la popalatien et métamorphldmr Campiéfmct la Réimblique Odé le InJ cM exlés voIomtaorie ire réglo.. débordantes d'uetre. mer a gieutht m stlomalits diV4luotesmlero treuesagh.esses, y psmnl pefimumses de tele 9b quas pit pW.asemtr m eUt. que Iter de la crte d'urope ser a poage x trois quarts taiaeh» das destldus de lAmgérqe. Déjà ne hRmslet des pupes hbeoum e Met -NMarles ave leoquels e 1mpiN petlautiqe. Et tOal que E usat de d limigtio s abr. mMs à rBasng et a pumlal d4. Voe niosablar de velume et dah. - p uammt nrrIb4s apectasl !-1 Il Io 06 (taupMW-T enpMIe atu anoqal de gladis esuuea di Pamp du carge, mblat lRmi Wt l to à sl M e pa kris de la àtus qui sat ha chair privil p de l ae. m es Mem de tenu dehiu de»tc msv »Absd pdà ms & o bahelsas «N"ir à mi &M il hMt appeMs Sp Imps.l^^Jâ ^A as b ^ab4ms qulw uppelmIe s on em. pegueps de 10a4e9, et aceibat de dagai 0e - mous »M rtlqus wapde & hspltult et la duple pe§s11e4 de la due"i. Peareh,1 mya de lpla tui, et Mitbes absrds pas à à« her dus prm. dis dsue.mquo@ peur reluire le Ntbre dms ceavives au bauquet dirTs. LA paix rpegaurtn t. Ntaadu du4 WUsue; rambb treva-lsar y j"46ty jatilatMa. tmsps suers* des bleeits de ha MWs" e de Ngplim. Sraise que des adum*u ..sme.u su, àioeas asrbu puebod die» des rivages ta 4%1 tw de pte. uald las Mnmies lmiui gl est 1 Mea, Mr foes au -m par Vflath g asM relm à poudre » éagumdet d1 - ila lemst& oies mis pet lus guveusemsuts ut tes a- dpart de hues aI. tasse- l -- sus smisat mmen ea usa shles dIueas Ippesies as detiredlale que mulre g s. tgsslue ede hmius t e. Quoi qu'EI uitoluissut à, esaI.. mlgeuls as dibarqeuet que peu -een -lu a puemaset -pe du preuple américain qui leur tend <es bas suppliants. Commeut les aédnire, les charmer t Chacun m formule de prière; 9 opUHr st rMe. De toute wossait, il faudra crier des attrait ouweax SPilmmigration, et le gMobibm et amrleammet à iade. 1i emeore les rates dlAm0tea de la ntre ponraient combler leW lamnM, suppléer aux benoas du temps! Mas, »Mg, la rme rSgee counrt a*uderant de la morteiame le viux eteraux des abattoirs s«nfonoent eas-mémes Mu taurle eouteau de Péquarriseamr, et la race jase est rjetée comme au osa dem plags da Padlqwe. En dn, la race atriesie elle-mf me, plus habituéae sinon plus apte que les autes au labeur agricole de Etats du Sud, mnte à émiger, non pluas à liberioa, qui a perdu sou prestie, mals sel Antilles indépendates, St-Domingue par ejmple. oh elle rMre mus doute de poursuivre a appreutiaMs politique et d'attendre lautoso mie qu'elle ait itescestle pour elle aux Etat Unias. Des délégau de la pepuelatio do couleur ont bit auprès du priaidet Rayes use démres amblisMe à oelle tetése apriès la guerre, par des aftieles souseesx de leur avelir, à la Maism BlaiNhe alors ocu. pée par Abraham Ieolus. La ripesam a été teoutà-bit dnireute dama tle deux ea, et dilleurs également bhouste et soatme. ieuMe, d»ea duie preMde ilu tuitiuo, aves aà viitemrs que, toutem.pplauiau tdeveirlulre le asela de la Mibert pour la rwee soire, i étalt e0uTai.e de i'egsa. Ité des deux rauers bluee et m*ire, et par MeWs&qusat de leur issamptMAtbilt. Dees, mieux va. bit pUar l aces lumrlueus as du ber asu duel o elle périrait lui tlblemeut, et debeehr ~sê et brtnÉ-dud Nmipatisa Hayes 4"at mse avis a&prus 0xprie le quiÇ, u MWel.g- -ou mas -s m pelBiqala pepsBisleU de mabuer des Sate du hid, tl sepeouisut bisale m partage à Nawasls de touas» druimet au emplei noumd et futueuax de u temps et de ea bras, ee qu eat plus mr et molas tempeur quaà et-Domisgusee aua. ts ehieai ms eau coumtaste ébul litio La «aPsop les du puai deut matuel et que Nmugratiou e m esselaredWrae drgle asie.i emt sue miUs gessa auo " t sUm tts priltemaa avmtae, t, e«Se. vasTusaparfitakistelllgeseades «"à t.a gépirasx, l mtisat du a i-l - Nle 0 6w rBt B fu a^ Bu rit d e psus ssears mokaM qui p§sut lire as à"ut quwbms spaga.ds égew et m'eut #"uke maubWeu que es distalu r à ler su eW * ase eatieespsl de leur rd* dra le pemieru rang à lapisos du sassa qui lar dehapp. comme Mus. au qusbs du lear,esllw flestospêss oua- q rega-de to hid, Flmmigrsdea eut us ve uietesmsausbaahlImpidresu mlagalsqala laeiidsvee aspe pauisa deouloaur, m'aB pas e ease s payshesmd seamel8Nealt ou temps alsas de hudalvage, ut mlgNaigratise de lamse airs as suMiat el auis sllmngrtius de la race blamebhe, reatitft au payi, sprts qaelq.e iastauts d'ember. ras, le eonditms d'tame haruonie durable et d'ure eoeorde |ma sne f LES MILLE ET UNE 001NAI88AN0E8 UTIEB. CDXLVI. 1" Iomainm admirtaient Part vre leqel les boumlagersavalent diversiler la forme et la sawvrde leunra plasin dépimes; plmentar e 9 --p V; Mais amm ce rapport anM ÎÏra;Onfg ont ertalement ilé pta%4 leurs prAdéeemeurs. Ilis ont épuaié pour la conpe de leur, produits toutes le forms de tla gamétrie: eates, earré, wetauges, ronds, lousuM , emars, onrounues, tc. Its ont appelé à leur akkle Part du onflseur et li onut empranté d naoumIex aoesoirmes: agéli. qe, oranuge. brint, et. Ite out cr l Dllices, le Du. ebeems, les Ceristtes, etc., char. meautes innovatios dot la vue Me.t à ile seale pour imprimer eux glandes alivaires une stima. latinM platonique. Que dironus.-nos de eoitlhouet. tes amuMsentes, diprées do nsn. pereilles ou émaillées d'an glacis mabbril red , que le jour de l'an r Manee périodiquement das le. vi. triln et qui représeantent des Xé* éreuax, des pochinelles, et ume des eélébrités outempmaines f Ces brillatent personnalités eat dlipu4 par leur grande taille, leur beile p-restai et leurs agrémenta peruoeeis, an autre type de m» me genre, très pittoresque, mais de cmdition lariesre et qui as débitait à la livre. Noms veuloes parler do oe peo tita boahommes à la tournure mstre, asuz àras.0 pis quingli* eesM, qui fàim*et adis a jolea des ette, mais qu'on ne retronuv plus gre que da les flres de villae, à eAfé des bitos. do s-* ce diare, des gremmilles en bois et de. irtt... eugirtaudm de di iques. Le pain d'épices *t't passel meut - ealment do futAsiet. Lhygièe peut le reemniquer cafms un de plus utiles axi. Je eouatas u vieillard qui a entieue de ltppeler "l'mi de 'hmme.m II attarhe taout de prix à eStte amitiWé qil la cimente ehaque mni tin en 'olrent avee enrdialité une trnuehe de "jiré raufslchbi.at*, suivis de ingestion d'an verre d'ean fraehe. Il rmmcntequ'à raikl de ee pro eédlé, n do we perunt est prt'. que parrean à l'Aeipéenliret, bien que s jeMmeue u'et été qu'une aérie darabeeqn«es anti-hygéiel. que., et qu'l eat seouéd'nose ma ie déesniMdonev le Mblier de la vie. On mlit que le miel est un des élémeuts principaux de pain du. pions. Or,Uya plma de deox mille eus, on lui attribuait déj" le pou. voir de proloner rexlsteuoe. On deundait nun jour à un phi. eeophe Aci éde pla de cent , qel était e meet de Ma Ion. R Ité. 0 épondit /huile A Festérieur, et te mie àrniuriemrr Pythogeor qui, comme sM le mit, pariat maUe aucue inrmi. té à un lie tun s avaué, ftait assl granmd uae du miel. Parmi les moderues, *n célèbre UMdee* sgisits, John Prtinge, Me raWnt peu dattribeer =ve meut an Mtel la vertu e er e*r longue et heremue veillemee. Il M1vit étonant qe le palM dpes ayant u des adorateurs I inus IuNpreduit des On raconte que le prince dle Ghiatel avait toujours sur a ta. bIe on énorme pain d'épices d'Ar ra. A un moment donné, il l'atta quait oiennelwlement, eo cirait des tranchea A se invitéesvee la majeaté dEtéasr dintribuaut le 1ain azyme A àea convive», et en mnenpftit ensaite ln morceau d'an air grave et reuelli. C'était en mémoire de la anéri. onI d'un neven, olfficier supérieur aun arrvice de l'Autrihe, qui, arri vé au dernier degré de la pbthisie pulmonaire, avait complétement recouvré la santé en tbiaat apge de pain d'épiera. Il faudrait tre étranger à toute notion d'anatomie pathologiqne pour admettre qu'une taliereuloe ait pa céder A remploi de cette préparation alimentaire. Tontefoa, comme Il s'agismit inenitestablenent, dana le eas particulier, d'une aflection grave de la poitrine, la gnWrion obtenne prouve une fotia de pina tout ce que put la nature lorsque, lanna son nuvre de réparation, elle a pour auxiliairea rimaginatioi et la foi. Le pain d'épices oucpait jadis une place importante da» Parse nal inoieneif de la médecine do mesntiqae. Oa mission était de aeconder lintetln dana la dernière phase de Vrolotiom digestive. Il a beaucoup perdu dl e crd ditA notre époque dle médeine à outrance co h quatrième page des journaux ire aux affligés tant de moyens de réveiller leur intestin paeseux. Il v aurait là pourtant une ré. habilitation à opéreWr. Dans les eas légers, phivnologf qoes, pour aia dire, ne doit-on pas préferer une substance al mentaire dont l'action et douce et coutiaeu, A es médicamenta porturbatnrs,- qui, apnis avoir praduitieur effet, A la grande joie du malade, ilaiment iniwatin en. eore plus réesalitrant qu'il ne ré. tait auparavant 9 C'est asrtout en parmi maa q'il abut as rnppelereeqnediait Mou. taium: "Le nature use vet pas étre aseonée, mals asualmeat sol lictée.' Le pain d'pees ayant la pro. priété d'asurer le jeu régulier des visooes abdomIenausx, ou pourrait A la rigueur, musm trop sacrier A qhumoenr", lui attribuer lImpor. tuese d'u agent d'ygie morsa le. Ou as ameurait méconualtre-et 'et aun point sur lequel les hy giénatea n'ont pas assez insisté. lnnuence qu'exe sur leu aeul ts Iantelleetuelles et aiectives de I'bomme rétat que le pali d'épices combats avec ausos. Las phloophes de latiquité cosasialaut parfaitemuet epgu.* re d'neusees. ésique vajuue'a dire que HeMs um 1 s-M*r« eut un des prineoip de la liberté ha maise. I/homme qui et eu lutte aveu son inteattI n'et p mattre de lui: les meps Voltase, qui anraitdonué, eau. me ille disai lou a mme vingt ans de as gloire pour ane bonue digp. tion, atteehait une importume ex*. tréme A inertie de Mlnute@ qui, suivant luet. aurait jeu l grand rOle dans imeauoup de drames de la vie iatiam ea dela politique. "La ooaatigatlon, «it41, a pro. J-Ls - - ---i«l«-» -- - _ - « - angeaine. Croeull n'aait pas été a la garde-robae dpais huit jonrloru'lltmte pper latéteàAosu roi.' lana vair les.. ao-e desuuu sombresesuleurs, ou n- peut Hter goel état particuier deast parie Voltalre ae predbumip aux bau meurs noires et A la misanthropIe. Bonveutil as faut pes ehsuer ailleurs la esie de ees ennui in lélnaisablefs qni, sans motifs, senm blent esftomper la vie en la cu vrant d'une brame que la raison est impatesate à dissiper. Une de as 'elientes, qui *.rait étadi s«fe beauoup de magacité lem osliations de 'hamear epri eleuse do son mairi,avait remarqué qu'nn moreen. de pain d'épies, intern.'é à propof dang le dessert, suffliait pour dispenrser comme par enehantment, au bout de quelqueM heurefa, les nuages qui eommen çalent à obcureir l'horizon conju. gai. Il n'en fant pba davantage quel quefois pour raviver la inessme dien sens, la netteté de l'intelligence et l'nergie des impressions. Je tiens d'nn de mem amis, lw reanerate de profeasion et poète A s0n mioments perlis-et itL sint n ln*renx,-qn'il ini snfamnit nou. vent <de rncourir nti assin l'éienrs omur voir se présentetr stwnttié. ment A Ron esprit la rime* raeblle on rrx| niono nriprir-nswe apaf< taquelle il curait en vain. Dr i-. 3oIROT. V aritvs FAUT-IL S'ASSURER ? A qui de nons Iareille oventnre t rlle pn anrrirée TUn inti von mène un mnir alns un" maison Mh e donne qunelque soirée danmante. L'appartement est joli, meublé i aver él(yfM5 ftont y reepire nn ertain ront él Intxe et I'habitn«le do latn e»te. . -F.t eeque men enàlA aont ri. elhe deaundes.vorus A votre in. tramlncteur. -Dnme! oai, ils aont trè A leur Six moit aprs , lé mnéme ami visetee)s ouNs, il vano,'riiiMstam. E ment de vous ettrnu"ttr pour obtsir e** ministère un uimMn de I \whe on tount nu moinn P'e gratif. eationudowmtfrhtibs. Ils'Megit«'rne paunre femme dai«t la misère, aveu deux enfant omr Se bus. Voua Toux inefwmne éI nom de la per-. mnmew quon vos remmmanule *ave tuant ai ehalur. -Eh! tu Male sl4n: 'eut rMA . @ément nuadame **, ".es que nousM amemns allk enwemble et hiver. Tu te rappelles comme on y a mm pd 1 On soupait dhes M1A atrtefis; etl 'a plus de quoi lâT à pà vh sent. Qe s'st.il done1 ,Néf Une chomse hin simpie: le mari a pris une Inxion de poitrine; en tronia jours il a été emporté. Il n'avarnit r'antre fortune que ms pIe,; cette pintw était naMes blle, et Il en vi. vait Srt honnétement M.is elie s'et évanouie avee homme. Lu Mme a st retée avec M dot. se d lot! en avalt-elle ua e Iy un ivre hM en ena néetble eharmant de M. H11. Audebal, que je vesengfeàH use; cit M soe. man qui a pour titre: Le DauW. Detk M. AuWtodral y mntrei avec beamump dpwit dmas notre ociété, cmpomp e 1 petite oeur. pieoM sisngeae, il n'y a puina de dota, à vrail dire. On promnet une wsMnme qal, le jour du contrat, se trouve crédite d mnitié; bien mouvent méme on ne peut en fbeur nir le mipitul, mais ou i*eugue à u payer la rente. On paye un Ma, deux an, ! troiwsième année on se fait tirer l'orille, on oublie pur fatitemeut a dette la quatribème. Im uedmr ce dit ries: eomment poursvTre m belefMlère1 Que deo et de ple rs il a vawt ? Mpos6 aImm* que pour M dott Mi Melim t dome point t VolàquM ib tle; male fAit, peur entrer *n M»u&, du dé6 puesses d'tustullatlu; soevent aMïme, ai l'e et oummeraut, ou e donné quelqie étenelne A <as af f.iires: on sn rupriint. et fait fliche de tout crédr1; on comptuit air cette malheurenase dot pour s'ac quitter. La dot manque. flAcheur contre-tempe t On i. d<ésepièitt pourtant point: on a du courage, on porte en :.-mome, lnnaim téte, dans ses bras, dana son énergie, an mapital qui ne fera r"i défunt. A re-vous samais songé au Ca* pital qnue représente un homme d'une certaine dnc tion, à râAgo dle trente an? Calculene toutes lesn sommes qua'l a falln dépenaer, (lIaque année, pour l'amener à ee degré< d'instruction et <de force; snIpputez-en le» intr.ttomnposéa; ajont'.z-y ce que peuvent valoir, en dehors dle toute culture, aes qualitéa naturelles, et vous erez étonné de rénorme somme qui re pose ninsii sur la tête rnn individu. Il le sent vainement. Que de fois, le soir. prés de an femnme qui lrode, tandia que le denzx enfanta se roulent sur nu tapis, attendant ieure où on lea couche; que de fois il a poise as sitintion en re vue et déronlé In liste doe se espé ran et L'onvrie-r siledit: J'ai doux hoisa bras bien solides, qui vilent six frans pasr jour. Il songe, Mil, qu'il posaède une tete penaante et active, qui lient rapporter vingt mille franes par an. Il n'a qu'nne ciante contre uIni, la mort, et elle est ai peu proba. ble qu'il ne la fait mëme pas en trer en ligne de compte. Il est ai 7ien constitué, ai robuste, ai eM ne ! Il n's a, A oette loterie du ha ard, qu'un manvnia numéro anr dem millier doe hons; pourquot irait-il jnstenmnt mettre la main sur celui-là C'eat pourtant ce qui lui arrive. II menrt: revenu et scapital, tout périt .1 la a: lc'egt nchban. que liooedation emporte et roule A laI mai. Il faut liquider, liquidation désasatrenase I Il n'y a pas an son à lamaimnn, et que de choses à payer du Jour su lendemain: le frais d'-nterrement, es frais de .ooession, et lks petitea dette» qui tombent sur la famille éplorée, commse nq» nuée de corbeanux sur un endavre t On vend au plus vite et à perte; le joli mobilier ne fait qu'an saut de la maison mortnaire cbes le taptiasier; on omvertit. tout ce luxe, qui charmait lem yex, em ptloes de cent snos, ra p eapt épauisées. La femme en deuil va asi r r dams aun hum ble logement avec de Jeune. ea anta dont rédieatiou devient fort -moidat-ee CWet alors qu lea aml n met tent on campagne. Quelquesans organiseat une aoleoritpon; te mari, au temn de au prospérité, faisait partie de quelques eaoda tions de bieutalesee; elles se chargent de enfamt et le mettent a collfége oe obtenant pour lui une dei-b.ouee. Ou asacbs à feree dimportUmuIe, pour la mire, on burea, de pote qui rapporte M fases. Heueux eumera ai ron obtidt cette faveur I Ne lisions mes pas, Il y a quelqae Jours, dams *me aille de prerves, Phie toire de deux dames, la mère et la file, tombéS das cette miasère la plus horribledetoute Islamisirè i désmte des gois Me élevéds, qui étaleut on train, quand n s homme de ceur lu déeoavrit, de memrir Sde failm, à lalettre Le jera ilt un appel quil fat eatendu. Elle avaiset a iesaoee, la riemee peut être main la mort leur avait tout p.ris n jour, eu leur prenaat leur mari, leur pir. »Qe desgee dirot eulheaaant les "p Olea:1'Ces e ffart triste, » ame doute ami que vevies* » voueooe's t vi b u test bleu mourir mu leur. Il eut trta vrra , mme Phoeme q- ohargoe d'ume mass ie, ssavoir une fortme. t peruesmelle, Joua uee paitle -* i treola mort, et qu'aell, peut, as ------ - me bsi.é Z n. om nme mvouam pimemei, -w aU, nom h e8 sd ei ne I'hg tu dthoéeloo vm huis ai mWae M m01s, mom -Monmu lied d sve: I a u JUm ab'i g l #&Um m B~Oe~m~eUuoeu% amal.dos -l huis 1n voulu -la da. l.i.Pub Obm~ pu ~s huaimomm!1euk - iWue~se,psifti *bi o.liI 4va lu..sus e pihje ubuuéeh ivheebetolmas luioe:b& auam b -qf â &met Cr«.s uda. tomber à% moua du mlmd mas IalM. dévawle, bWg dà» humés.à00 ollmos oes cdmai-"Au sls.I de.au bo~i, ~ e *aomv s'àwbom m plu vite, abasdu -be- le umasha le.ulpsaa et bu Imm 1» a" .la 4àsau.e e%,,ar mmau.al .mit l as <he.. - s ths toi gs Id li.E vmwlàm"a, daMa - qmeI~PM- m QsMi ftu~ otdp gaiwb me~ a $U m de= &EIolvu ue tUm semble da trdear du rde. Itl dimiat q'ls travaist le I rd ies mlevd de mette dm seM oldat e e pi - - de la tr mai refma<t m i trdr, saiqul'e aveyat lis patme iastm à cott tsar qh ls msm i deatlem ettelmiset 4s* ' i'deds qu'i dtalt impemiMe d'y patiqair la moladre ouvrturs. -C'but bi Mle, a diu EM, l sais, à pr@sst, sl oet l trdear de rL. Puis S'adresst ax troais hbemm s: -Almi, vse pasMM qu et impMilhe de vT"e le trsr de rdt i -Pue es, id t i.ipsdet4L -Eh i ml, jas le miu pm. Et il silpa. La maltsvisas, il sn adita. pied dulatasr,,aa dêsdu - mesas me ique p.- ters, amUlt et lM de eiapes at dm se8s -ulastêss. iAs tas devoir et tea.spsht-md, astrle elNmp dame. .lle « d m t rii de fil. Ci qui hi is smaudts, qeas goe Seodueu ual sal - re viis. f M st dM u la mêe meaike, sa Be . t^mi rft B*M MM th la moueB ÉmMl m am pta ss ps. dr et dget u.leadem la sharge, et tsoussrs avis le même asseets. DIevms triske aM eimat, shmts - pdlais4 e-. Cmpets de s mt re a m I eh Usasue a u àl le f msh lafr bm - I ""OMu-ltd Zat besdel VMe, voyat am> ete seeweekels an lamalssave anevmaetde tldppeatrI Um- bCh qul av ..hI er Ula dam em-hes he, et deIa vatuuMteu. ma =m* m db al bumq% mt savdo m l, as m& sd n i ssets. Mm dl» dua et Pm. mm et In smmr m amtenbsuau du. la mmrm de hi route, leur dMama à ehea0« de rich. vrutcents u'l lesi avait ap dU am. ear.nume, t rleur re mit à chdaon me rure pfine tr, aft que aNm worher, Sm - teer, e lupt pits p Pour de pasuvre puayms,. eonme ls leahus oM rélit. Le emur sviet et dit à son maître: --Je Wa pm touré la bdtt daM vute. eambrp. -l a, le thvals aves Md dam ime carmomse et 3a. caMl rise. Pais ilt reatrreut eo ville. Un )Mr le prm <desende à - l*e commeust il avait :eitp evut-r riul ailmi, et EAula lot avToa qu'il T^- Mee fda1 4 l. *N . -uS toa l bi dut mon le vidilid, Jirai eami a*ee tl, et à cau 4a8a, Mus mpurutBm. Me» pisa Uarnd -J. vou iea, atposdit EbA.. la a tveme, is M plmasetaoe a deusX air le. I--aMu lo&* amsal ss i&d dous mr st.e mal ou. hapeM, I s kteut trmepuptfs dis a chalmbre di t#rse, Pub lb Ae wwsur6mra de la sais msaMbe,, ees le. dous beer cirer drawst rl tap.ru qu'eua velut ser tIMer, et it - htt &hmi& Mar tle et .ait Jam la dé H peases., u alisura il map aim. perts. ou. m te.seu u, a t diqisem des plgs. oumetr duvessae gal aseetouloe uttFo unedle to y r = 8 1 ste, à" die m leÎ4 mise > hm s lephh &rsMs mo .lmsapoeiubamuismo.)