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L'ÉCOtLE DE L'ADVEBSITft C'était en France le refrain des monarques resitaurés, et chauon l'reux, en remontant sunr le trAit<e ,le mes ;èrti, ne manquait pas de répéter la plimre congarée. Il avait été in*tnait à rYéole de PaMl çelité, et mane do sesa irts owtrés danis le ekvoir de lN'lia gaue passive on poumvait wettre Mo doute mu promoeses de joyeux avénement. Mais les chartes on troyées et les ronstitutions replâ. tréea ne valaient guère mieux que le AMsx billet de Ninon à La (ChAtr, et le "peuple aimal" sec. taat de nouveau sor son dos cour hé le"Joug f&dal", setalrdaitpasi A &apercevoir que ses prisbes, pur droit de aimneue ou de eomquête, uuvaie(t abmnilment rien oublié et rien appris à cMtte éole de red. versité dont ils prétendaient avoir rapporté un diplôe» inattaquable. On le y reavoyait donc, après un ers court lape de temps, avec un eingé pe céréemoniux, eton leur rendait oun loisir illimité poer se Uretti àI tadeet à la médita tion des violesitudes de métier de roi. Le. leços de malhbeur sant plu profltables ani peoples qu'à a- Manitres dot Pétoule pélit. RUMe saont asmdi plus dures, ear ls @'oot pus de lieu dexil on de port de refage. Pour eax, le. selguemnt est amter, milst est complet. Témoia i peuple de Prames dont ls prines renversw s pnamiest leurs contasions dans les somptueux plais étrangers qu'ils avalent payés on loués au moye de l esmeUte mirnaolea dent sortabet l btaitebita que e lIbteut les courtises; le peuple do hauee aestait là, deam sn gite et r e M grabet, payat lh vite m nes des révolations, et les ml nasses rançons des invasions. Ayant plus soart que les pré. tend»tn qui rodent eacore ateur dem i, Il a tiré m er parti des 6évmments douloureux qui oe inerales privTilfia, et semble a 1f B ui pauble de djouer Ier ssespl.tloa éttdme. D mu-n peverba m lequel 1 ou mt rabattre eome esr ble daetres, à »voir qu'ue hmUllr, Ou people,e gr-po hiuminque cuque, Pmat unis dan la bouem artume et dvues d&a» la mnom valu. a la prospérité doese ne emusereo pparente, elle y méle les garen de uorruplou quçi amne Momt la dios.do rdlet eM inéle hbIon domuirles& Berngse dAe la demi, et rupot esb vms slsmout au quartdeolsle ou nars& 'lttoe mees e t-eldle b *peetel d'a tel fAvori de la MM d on9 aN dlm peupei amiel malvrédemue epuleese, au.. Slodtas gr» adur a * ul ns h-,Éast-b- e sa e i aels, p-a sirir - meériaire, p-is b. agsoutestt -t didulgueuz. Il ne mmse.lSgl pes 4bindmles t ne poumils pes à ba meness prspMit queodu pateut semens - e wns qee C'est dans lorgueil funente dle se faciles iunecès qu'il se laifiia entriiner aux foreurs de la guerre cih i!-, et qu'il ouvrit flèvrenow ment la Ibite de Pandore qui lais. ne échapsIer tons les maux. Poa. owwa'nr de la terre promise, il y tenait table ouverte et banquet universel. Alors objet d'envie, il est maintenant objet dle pitié. les frais de guerre ont atteint lets onr cem de is richewse; il a connu In gC-ne, a été emprunteur; poni ont surgi dans son sein les fantôme. do paupérisme, le. faillites et le. banqueroutes, len gcrève et lie émeute. Et voici que la peste vient eouronner <e. ruines de ré. difie. Cette ièvre jaune et le emup dle griSe, le calice dhliorde et fait asnger aux tribulations et au martyre de Job. Quomoo cemi dit poetar lie patriarche biblique tomba, mais sana proférer une plainte, sans murmnrer nne malé diction, et la main qui l'avait ahattu se trendit vers lui pour le relever. Ainsi ferm le peuple amié. rieain, et quand il anra enterré ass morts et adché ase larmes, il se remettra en roate, épmié do oes souillures et corrigé de sesa vice&. Déià rourr de régénération eat commencée. Rt ce que les fer mets l de haine, lea bhostilitéa de aection, les antipathies de race, et-ce que toutes les emuses de di vision ne sont pas dominées et noè. me supprimées, à cette heure de torture etd'angoisse ?N'oublie-t-on pas les griefs et les torts mu tuels pour s'aimer et se secourir ILMerreur des grands flanx des. tracters a ce caractère sublime de ranimer les bos iUnstinets de la satara hamaie, de montrer la erd r divinea sese plus mo besa aspect. Le vice se cache et disparalt, laiseant libre place à la verta qui exhale son parNhe le pins save et apporte aon ba. m tole plns doux. Le vastesa eltda de MUnion, qui entedent paser le veat do la mort, saot agitées dges emonsoa prefauda, ipeaduat des pleurs sincees, eta #Mt Miex encore en contribuant amx fMade de charité quai ase for. ment de taute part. Ce moment et in daaauimeGest, et 0à les disticaetom sbeeut, ai eI partisas ae eet, o les rweli. gloas ase oabodent, il nous an nes une aère de fraternité. (ette eommenion dmas Mvweit6 reste- 1 ra mémorable ea ee pays. Bt la politique, msme eslle de 1 Joar, Welle de la prochaine eau.m pagne électorale, ara pris aRssi d^dilautes leçoas en cette vallée du Niaissipi, u'aus sypapthi cohiréipps iq p e s joea eur. abimlavalléedelamort. LA peu. pIe, daOs et abtie de douleur, u'sara pas u de peine à recnal i tre las es, d es vrais amia. De pais leastumpsPilt.i atellectaelle' et moale deis aneoMtd a'cdertait, par déott et utMadte, des voles taeMsesde a r pstitiqne; cette 4 dilel etiierede retarite et' de se t-hbalit, asa-rst -e chovut des amrsaus, deasaust pans hél'lter aM fortune et sa vin au besoin. Voila des aetes qui en dilegnt tlus long que les profresfsions de foi dl.-m inilitieux. Voilà dles sacrifltee dont le peuple tiendra compte, car il n'aura pnlus rcette fois l'enibarras du choix. Il ne rap pellera, car ils ne sortiront jamain dle Na mémoire, les citoyens qui se olnt dévoués à Ini tout antant que le jeune hiéros de l'antique Homne, dont le suicide volontaire combla le goiftre diu forum et apaisa la colère des dieux infernaux. Les conventions nominanteadenospiar lis désorientés feraient peut-être bien d'attendre le départ de la fé. vre jaune pour récompenser de leur suffrage lek patriote que l'ad versité a mis en relief et on hon nenr. LES MILLE ET UNE CONNAISSANCES UTILES. (l)LXXVII. (yrrrAnw / lu 1i orttobre 18i .) Monsieur l'Editeur, J'emploie le premier moment que me inime la tourmente épidémique (de èvrre Jaune), longneet affrense, à laquelle tout le personnel de mon habitation, blanc et noir, rient d'être sonmis, à tracer pour Ils malbeunreax malades leI mode de traitement que je snis fondé à con. aidérer comme étant le plus efi-. care cotre l'horrible -épidémie qui continue tonjours ases ravagea sur notre population, et je mis d'avance bien assuré que, dans rintérêt de la canae de l'humanité, roua auiez la bonté de le publier dans vos colonnes. 10 An début et durant tout le cours de la première période, dite période indammatoire:-Larges affnsions d'eau asédative sir le erase, arec les précautions von Inae pour garantir les yeux; puis, alternativement, compreses imbi. bées de la mo eau sar la téte, autour dlu co et des poignets. Lo tions fréqaentes de la mume eau anr le dos et les reins, et la partie interne dea quatre membres, et après chaque lotion, frictions à la pommade camphrée. 20 Trois fois par jour, une doue de troisa grains de Samphre à man* ger au moyen d'aun verm de uo nade d'orange aigre froide à eha. que doe. 3P Dorant e.tte prmière pérlo de, et à intervalle de dix-huit on vingt-qatre hebres, faire prendre a malade, à la température de ais peae, deux ou trois haias e@datils et alellino-ferrugieux, selon la méthode Baupail, dans chacun deuquela lm malade restera au moins vingt ou trente minutes, et, pendant ce temps, on continuera l'eau aédative sur le crâne; et, au sortir de chaque bain, fictions de vingt minutes asur tout le corp à la pommade camphrée. 40 D@ ledélimtde la maladie, on donnera, matin et soir, n la. vement uperporgatif4, composé comme suit: Faites bouillir cinq minutes <lune cm ......... emu Ahi ...**aie inio de rieIm...1 ceise«M Mte............I e ee. -A1 4@ falaMe.. .I CfM-lepisedebtetdlW-lc( Et loraqae Me laeveMst a été mis dans Pinatrument, ajoutes-y une cuillerée à cas d'huile d'olive camphrée. Pour rendre Padministration de ce lavemeut pils eaes.., il conu vient de .'o dosner d'un seul coop que la quantité *ae qulael de munt qu'il peut garder aans I. easevdlst pendant hluit e dix & minutes, à 'voir la moitié, npréA quoi on achève de lui dotner le reste. .i'o 1)Dès la premitère rdmission dle la fièvre, qui sé -m!nife>te presque tonjoiri ait inut de quelques lieu res de l'emploi vigoureuix des movna 'dci-dfstsu, on aSdministre de quinze s vingt graninus de rulo. mel français en cristaux, et, deux heures après. trois à quatre enille rées dluiile de ricin. flo0 Quand le vonmissement se dé clare, ce qui n'a pas tonjours lineu si on agit hardiment dès le début avec les moyent ci-defiws indi que», on le combat, et par l'appli cation sur le creux de l'estomac d'une compresse im1bilée d'alcool camphré, et ent faisant avaler an malade de tenims A antre et alter nativement, tantôt Une uillerké d'ean-de-vie camphrée, étendue du double on même puins do non vr Inme d40an, et tantôt une eniller6e A café l'élixir de Batemann dans Un peu <l'san ounere; anussi. de temps A antre, on lui fait prendre de sept à huit guntten d'ean sdda five datie deux cntilleres df'an de niaaglnfsie non purgative. Auisi, gargarismnes fr'*quents a l'esu sa lèe. dont le mainde doit de tem*ps en temps avaler une grgée. 7o D)ans la périodle de faiblesse. on appliqueo onvent uir le creux de restomac une rôtit an vin avec cannelle et muscade, et 'il y a cris pations nervenues, frictionsé à la partie interne des braus, des cunis seA et de jambes, avec éther mal fnrique un groo, incorporé dans snifd e monton A demi flgé, deux onces; friction à Paroolî cam phré, alternativement *avec les frictions du mléme paragraphe. 80 Pendant l'effet des purgatits mentionnéa ci-dessus, du bouil lon de volaille clair per petite tas se, et, aussitôt que le malade se sent en appétit, lui donner pour nourriture une hbomillie claire de farine de malts aechée au four, à laquelle on petit ajouter un peu de lait frain, bouilli avec la farine ci dessusa. dfIRISU. 90 Trs fréquemment, mais sur tout le soir, on cataplasme ,alin, fortement arrosé d'era sédative, sur le ventre. 100 Les purgatifs de calomel et huile de ricin doivent ne répéter su moina deux fois pendant les premiers trois joeurs, surtout ai le malade i'est pas trop afsaibli; après quoi, ou a'en tient aux lave menta superp.nrgatifs ci-desus dé crits. P.-A. r-MARTnx. -08-0-0 LE CHIEN DU CANDIDAT M. Alfred de Masset était on tournée et Abiait ses viasites à l'Académie. Il entrait Justement dans une antique et glorieuse mai maon, lettrée et bienveillante, mals avant tout correcte et rangée à la façon des plus nobles maisons du tempt passé. Le château est si tué non loin de Paris, dans un lien maguifque, il est habité par Plaleole, par la granirmère, par le père, par le petit-fils et les enfants de me petits-enfants. Ces fmmes, qui portent an am glorieux, ont tout à fait des dmWadrfesse, au dire excellent de Mm de Mainte non; la maison est tenue avec est. te exquise élégance qui n'admet gai au meable bora de aM place, et sur ce meuble uit graai de pouesière. Aiani tout brille sn ce logis ample st bien ordonne. Eux muèmes, les eanMts est appris de boone beam le respect qa'ls dot* vent anx habitudes et anx men bles île leur aïeul, et quande ils venlent joner tont à leur aise, ils 'eniivolentt dans le janrdin. L'avenue est longue. qui con duit de la route au château d'E. tioles, et le jeune poi*te allait, son. reant un pen A ce qu'il allait dire, lorsqu'il est rencontré par un chien errant, qui le flaire et qui, trouvant un assez lon homme, se dit a lui-même :-Autant eini-Ilà qu'un autre, et snivons-lc a tont hasard !-Voilà donu e méeréant do chien qui suit le poète. Or, vous savez que l'homme est jeune, élé*ant, de lionne mine et bien tenu. Done l'homme faisait lion neur A la Idte, et e'étàiit tout ee que la bête voulait. O mière! la porte s'ouvre, ils entrent l'un et l'antre; et lhomnme et le chien, les voilà reçus dans cette maison d'une tenue aunstre et d'une hos pitalité iruldente. Un valet arrive, et dlit au poiète qu'il va prévenir M. le cointe; le îot'te 'afslied ; 1< chien qui Ravit our. métier de pa ranite. se uelae et ne fait lpe't, daitu nu coin sur le carre:)n lirodé par la petite fille, le carreaun même où la vieille dante descend poser mse pleds vénurables, quand elle descend dans le salon. L'iuistant d'après le comte arri ve, et comme il réunit l'esprit d'un bon &écrivain à la grîce aflable d'un véritable grand seigneur, il reçoit à merveille le jeune homme. -Il n'est pas, non certes, de cer hommes dédnigneux qni ne ven lent Jamais convenir qu'ils ount nlu Lei Juremili de la jennesse, et qui disent an aspirants de rlAcadlé mie: "Monsieur, A mon Age, on ne lit pas, on relit ! Non, ce brave et digne homme a In tout ce que doit lire un galiant homme, ami des belles chomes. Quel que soit mon Age, il lit et relit. Demande-z. lui quelque vers dle ce poète, en* fant gàté des étudiants et des jeo nea femmen, il va voua lek dire ! Ainsi les voilA, le poète et le vieillard, en pleine causerie: -Voulez-vous voir mon Jardin T dit M. de Saint-Aulaire à M. AI. fred de MNuoset. Ils vont asu jardin, ils parcon. rent le parc sécuelaire, écorné par la Révolution, mais de la Révolu tion mnue le vieillard parle avec reconnaitmance, avec respect. i81 la Révolution a pris as terre, elle a donné la liberté à trente millions d'hbommes 1 Et poix, pour nn sage, il ne fbut pas tant d'artnbres, tant de gazons, tant deanx courantes on jailliamantes ! 8Sos nu arbre n pen vieux, an homme sage est à rombre, etil peut abriter tons neo enfants. Lse chien, cependant, qui as troure bien dana ce salon frais, et sur ce eoussin moeleux, reste col dans mon coin ; scUtait nu vaga. bond qui coamissait la eampagne et le reste; il eût doné6 Neudon, Sai.4Germain, Bellevne et Saint. Olood pour ams a roeaer. ('pendlant l'heure approchait ou la faumille entière allait se rés nir; c'était ion dimoncho, et les hommes et les femmes de cette maison avaient misleurshabita do . ête nniquemcnt par respect ponr le sanint jour, pour la j|uière a l'é. glime et pent-étre aussi pour le grand plaisir de se regarder entre soi, dans ce qu'on a de pluo élégant et de plus frais. Cette coquetterie intime, innocente et faite unique ment pour la femme qui veut plaire i son mari, pour le petit-fils qui vent sourire A sa grand'mère, et pour la mère qui n'est pos fA. che qu'on nlui dine qu'elle est bel. le, qu'elle a bon air sous oeu épais chevenx blancs, at un des plus grands petits bonheurs d'une bon. néête maison. Or, chautin, ce joPr-là, chez les anciens seigneura d'Etiolep, se donnait : cSnr joie de cette inno cente coqr.etterie. Ainsi, uin pen avant six hures, li famiille <"tnit réunie an salon, et le patriar-ihe preésenta son hôte A tout ce cher entourage de ms vieil. l.se. An rete, on connainait loiomme, on avait In son Eqfiaat due MMie, et quelques-nn, parmi les plius éveillés, savaient par eSur sa NuameoU,. -Et nous comptonn bien, mon. sieur, reprit l'illustre vieillard, que vous nous freez le plaisirdo dîner avec nous. A ee mot diîner, le chien, le mandit chien, le parasite et le ga leux, qui, de toutes 1l langues vi-. vantes, ne savait qne on mot-là, relève roreille, agite la queue, et quittant avec joie ce oomnsin souil. lé de Ms ponnaibre, il s'en vient faire le beau et flatter le aitre du logis hpaitalierý. Ce gplant homme A'imaginant que oet af freux chies appartient sa poète, lui fait, quoique A regret, une pe. tite carensse. -Il fuSat avouer que les poète. ont de vitlains compagnons, se dli mit M. de Saint-Aulaire. -Il fiut couvenir que ee boule dogue bAtarn ne 'arrange guèbre aves les habitudes et les mears de cetSte maison, se disait Aeul de Maet. Un demestiquae, S grand habit, anonee A Mume lb comtesse qu'elle est servie, *êe prend le bras de poète, et les voi. là dans la samile à manger, sle ates suivant ces bonuese gena diem pas timide encore. Il était tellement habitué A se voir chaué, à compe de pied, doe ces seauils seavon. reux, qu'il bdhéitait A aller plus loin. On efat dit un biogrphe af famé qui ne fait inviter deas une ulaimson oh il *'st pu conn, et qui es trouve en préVeose dun homme qu'll a ioaulté, - disent du bies de tli. -Mais bah! . dUit.l, - petig bonheur, il se peut que est bous. me ne me reoonamia.e pes I (Lsfle asspwuMjamssérs. Lm~ huai. la . nimbeq lui b Or ........ Mr5Id lcb. wmdi..,., u 0eS mrm pi.. kaou q.. le lemou mt nl&lbau la â des" mor; id" dmu,,. »0iA merlu, je D'u.1 ton" M-.MOu du vigne, oJo len verut plus kauuI 8Il VA luel M nrW, .J aw load ue MW% d >oedbi girl 4.. Momme e q... ai., pus Nu lmu ~~m Mnu pàie6u &Ma Tmp, lB peM psduu etulupd am. dsèu ~ ~ ~ ~ e siiumephde Ia~~h vlu. te -4--dItde,~.e~IuI~ -eil NO Pu oln -Mleua, al1eus, at laUbl gui.., qui s emsue* mat rim à h tlsêeue de la4I. i-e, a= M .g. et aom Pendantlam thois esuh que VM &Yom à viv. V -4mt, e'lèt Mnm ewlw& e t ilarrivelam un Aép où re tneve qe* ea rem tbu>. -à Mme, pulaque le Di" des .mup. m«a Fe M , p"en.gs beus.1n; *mue Mis nuets, eMab demiemqueu mieux; e stmdsaet, il y a f bl à lMaW r. In y avait bal, n etfet. C. Iel était quelque ebos dont I'imagltei d&s lbommes mes - rsit m hire one IW. La mnraille t leto ptafond de la mile étaient faits d'aru vu épsi«, mas trnmpaveat; des mlilios de eoquiltlages gigmtoques, les mse dat mre tendre, hsomtu' d'%a vert merda,msx. ci st4 émutu lm boummm de lils, es-là tt"es nesII panes th be asm ndsopairs, qu uat sua me raiR «iaaent alrtam drees la mesu dotlou *Otr de wumsi.tuud'uuv§et emsme 6H au »misart nde à omat IM Peuvauit eovi b LA- -il mu Noueb nuosu* esufu, vmeuum* meNil p se so blTr la mla, mée4 oâ. mie, daemut tum'esoaup'mpm bea und 1y. IMs -«» e «rts 4'-* i ntr-M dbague e- «. !* fo Ismm a e la mlle, àrmt as as et u pi. mo aveetr etmft sIm ar ealmea de n see i, eeaia u Omdl«4 ees tshMta la en moeo res mode aimé 'eJlys we shamplusnt he as du boum bite ouws dais aBMire lus asg de hSm pfetl u 'h aet eM -M uuet die ait dm s vois, se ms cik feus, tsela misus ue m'avait Jam oel t feu . la - -- pl- du maiste Wb* qalb @%wlMifaIl yr le lie r du*i ^»trete ete la** MW A pw«t de laque. Um - % M en m lsq- cr-mNbo zfre au re cr, osn, ave taee ms meadse, thee us bet de svee qu'U.*avealt la plus bull oix qe pua )je mais eeudem a I baWiut. de la fim, pieiut av*lt la plus bute voix que p-ue asia mi lm bW atouts de Mes; maîs te lalam eis eat --- s-e voew de monde d'e hau t; pens o as.Jeu. pesum, dont la Ugume demiSt idbl, dw S la foemnie des nu. ble, *e, Omit Sl as milant m eaghi de rvoair pole i ume lme Immortelle, *Iee t prime - a d gneud lhuiMa del M«itue4, g'bel a iu hlosm du elers, oet taud qgaf MPlarideur de la Mll de bas teout dlt toe eat "hb, *de "sb triatemont dmas smu petit jadia. De là elle sutoudit la sm dom trempes, doot la ijyess ftuutm itraveWsmlt l profeamdeurs de res, t elle ome dit: -Malatusuts Il avifgue à CM gar à la srotm d& bu àw, w alu qui a toeis mSpes@, et more l males. de qui je Voudrals pouvoir lmuke l boubmou de me vie mrtelle o lmmellfe. B ms f je veus MtMs wi =a pe abuf, sP. amour, puilqe Mn amor peu* aImm &ame& DamMe rtIlda - J e doment dans =l vlDo er oe qui me amui diaemest duost m m 8Pour, Mr m a adit d inrt snte, m et meauuoolllera. IAN l tie oe artmsh doe juadn et uap Ver le tkWWIuu derIêu leql la uraeie dumeuralt. y aW*esemotI elle ravAt Jamas s tMjM* % mam U vabl tou ours -- 6, de vemIdes or et Es eIsSlâ,padet le sc m, mm trbde mW sa il.. me loas toeukeoaSleoaut uaem sldeeblu gui. seeuusres ajl te.rMilsauals aveu so edheable haea., paolli A.aSestmu demasdeullue, et qui oustbalS oe44 u. e messemouse vuOglale. ALlmAWmab pgUMA h f MW mm as m ge mm"Iiste »