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JL ..iAL OW, L M LA PAI1 ST. JI.II- ISTI. ..o.. s0 ss r*a *u. LAMEDI. 18 JUILLET 1889. L 'r% eaSs Et JPFrwaee. 'pli imnde de (étea nationra ëst u ,ir iuM e4le qui se célebre le 14 juillet. A..'. Anie4f ont biea oler anniversair le 'IladpeWdaoe qu'll fitait in temps ba.... eoup do bruit, mais qu'ils laisnt rtjound'lhi p.mér paqu¶'inapsr.u ; s AI. 'm=d fIdMut baoUp de brait lors ,;u'aor Metee J u pMI v eid..t'mit r rl 1.to Mblan- de I vieu mr, aris il 8"t suwIrduho a na ombre des morts et il au', 4 i an omes a ujets trover de *ou. .'eax prteoxte pour s'entonner de bière et faire da tapae. Les Prançais seuls, de tous les peples, oat oe f6te national vraiment dicne d e nom qn'ils obervent fidlement chaque ieMe sur quelque point du globe oh ils eaot e assez ros nombre Et partout à - tr«ove un groupe de Franga.i etonur Ile doeeeemadat franç, ee groupe reneontre lans la popolatioe ative de partisans de la Franee qii 'acieeset à lui pour f6ter plus tdoricasema t 'auive.sae de la Liberté, dot le reverrwmat de la Batilu et le symbele. l.i, e Loaisime, oh lk Frangças eat ombeeun , la troaveat prmi l poplatiom orole do amis e*theMrt de soete belle Fraese. Cet au de la Ire-patrie *-t be tre lané dms le -mr de tiot desoe dari de RnaisgM, Me prie que pliers Seatr._ as $eot eepdii a r e *ol anerblsa. il eet atie qu'ue ympathie .éeg pour l mire-patrie, que PAmériaia, pur -somple, P-wnw peo rA quadesM a ej ep s e sp A de dauoee, on en atzoos ouf- "l ràhiMri mTlIan. -ha ire. -lis Ued a de ~p etriae do e e ' e.Ir.'eko ar ,l Mtdidsls plue · as gsu, ~ h d Q ela' wa6 * a r. M pm la. Moo. Pai uhaU I -im " P s A a tom w Daqis b s. Lomishu r n wMidlim ~hDuosnoê dol uke.J1 =cd Wsd ésugu U'k~(s, O rwdo rwflldibeà U eqomâmi Va...,r~ butea *Imm..eus )dshhq.. riICk oufw0 rPn~w ~r,-i~Ci, i - -I nh ~~~nrr ~ 0.5 q.,rJP·Jiik b d.sur.._ - ~ rnr ~I tr Li, wl, ~CYliiimd. ii~iirriIr4. c)4AçžI~ 'r3 _i3=Y tu"~c'lt~4 I?:i ne d chemin de fer da Northesatern, &a'it techoisi comme lie da combat. D'abord a on avait songé & la paroisse St. Tammany où, dans le voiinage des so»reea d'Abita, I'iutervention des autorités nu'tait pas beau coup i redouter, mais ratitude belliqueane du goaverneur Nisholla, qui avait appeleé ne eompagi de la miliee pour empl ber la ba Iiille, lit changer 'itinéraire et Riehbarr fnt choisi presqu'au dernier moment. C. villa g> desJtlibarg ne compte que troi années d'existetnce «to inupose de quelques pau vres btisses. Tonte non industrie est re prsentée par un moulon i seie et son co.n meWee par un unique établwewnt. Il se trouav an milieu d'ane 4épise pinière et préente des avaqtages immen-s ponr nni Sr&mioe clandaetine comme 'itait Ielle de deuax rands boxeurs. Hllivah et Kilrain y étaient arrivés la veil le 7 heures et y avaient goûté no bon re pos pendant la nuit. L'arne avait été prépa rée à un quart de mille de la voie ferrée pous les yeux du shérif du comté qui, partage entre le frénotiquedéir d'assiterau pugilat et l'e. béissanoe due à la proelamation lancée par le gouverneur Lowry, ne ee~ait de dire qu'il fallait que la loi fût repecté, mais lai*.ait tout faire. En dehors de l'arène leo villa eoia avaient improvia des siégea de toutes fçoo : les uns étaient montée sur des wa gons les antres sr des piles de bois; il y en a qui avaient élevé de plateformes à la bite. Comme toujours en pareille oeeasion, les pe tits garçoo avaient la meilleure vue, juche sur les pus d'aleotour. Un photographe hardi avait Inatallé trois caméras sur de ébhelles pour prendre des vues des passages l plu inatèem ants de sl bataille. L'a mblie était osesairuwent tras I nombreue. Le oleil était brûlaot et tout I uatarellement e. qui possédaient des para os les ouvriremt, mais ils duaret lea fermer dès que la eomb ttta faret eu prceaen e, ar e n'étaitire la pei d'avosr fait de I 100& 000 mm1es a M s a asie* é5 siee 'tait d per vir parasols overte. lu a l 1o rappa1ei respetable 1 ,Pui dlesodli : dd dkei, d arsvo- . qpte, ds goaesiat, de banquiers, ete. Il t r avat .a 9ve. de la Cafrnie, da S de do f i- eoi tr qu'eot lieu le re. *ier eMtre àei p 8 ist9s. Nous a a r aetre dars les détails de chaque S rsd4 fbate de plai. Nous *oas eoateote- d rcu de dir quepeadant 2 heour et 18 mi- F mte SeJlivan et tKilria aout .tés dms a rarse. La prieier était toujours dispoe ià frapper et qued il e avait la chane il ta ca d ; ms advraire e eheehait quà vil le ~aoa et marebai presque e Msse. I étali 69det qe'l reoounaies la mpém de bSllivsm. Au bout de soixan- e te-i M redes, M seoud0 momeeqa st q~a'Idat p de fore à teir plus lomg. temps à ce Jeu terrible et déolakmeeat tee Ldu était a défit. Kllrai, tt ttu ' ait, ve-let potester, muis an semds aet Iek ir ea d tolsems brt d e Mla peour le sotraire l pls tôt à au itervs. ti-s poIeeUe d la part das sautr . IfIl as sag veruéd les ie h-,t sI e m i t tpa fla uteM de lBa i, lr a a· meé -ut- le teaas a Mas et i I Jt f at eaIi-el m'avait t di esaue & s se as me pbshe da.milus om in" me . - s.~ Min alim L Slit, h" . "a le mut m u.mb r~ iJir;r7C·-" · i Sq,ù s - N@'w.u .rns. I ~:_'~l3*( ;L 1%l.·f· ~ r· · 8'1l s'ttalt ostenté de vendre de iunet SIt. eonwa c'était son métier, le docteur Henry Lewle, un opicieni ambulant, ne serait pa hujourd'hui ein prisou ; ana II s'est penmsl de vendre iiu cheval et un buggy qu'il avait loué et cela a ét6 la sour ce de aod malheur. C'est dans un cachot de Memphis qu'il gémit sur sois iucoute quence. Un dplcebe spfcdale de Panama dit ' Les troupe.* de Cwuta Rie*a se dirigett sur Nica ragua et ou cralint qu'une guerre n'éclate entre totes lem républiiie«us e l'Amiérique centrale. Il eot trAes tisnible qlue le goi veraesrt de Etat-Uniie intervient .,îir protéger mel intlrél. dans le canal de N ics rngu. Un bmaildable corpe de troupes de SCosta BiesW as iaa sur la frontière. Re.i.q e o'det rendu i MInneapolis pour se nuarer et mordl matii il sortit ipour aller I faire ramer, nais la houtique dut bar bier étalit ermnée II *'ei revenait ,iuand un ii.llvidu offit de lui faire la barbe. Il oc nwpta mins mnadnce et suivit I'étranger u(ii tout à eo»p lui jet du vitriol A la face, puis l'eutruloa daus on bnign svlui et lui enleva unie sonioe de 20,000 qiu'll portait star a personmle soie forme de drafts. Aprs le vol, Page fut iél et ee is'est que trois jouer plue tard qu'Il réusit à so libérer; on criait qu'il a cospletmnent perdu la raison. La saMso de 1889 a été entièrement défa vorable A la culture du tabac périirte. nous dit le (wurier de St. Jari ues. Ell premier lieu, l'étendue de terre livrée A cette oultu re avait #té rlduile d'environ un tiers des aunéesi preécdeite; la longue séctereme du mois de mal a oecasioniné une difflrence de pris de moitié dans le reidemnentt, et, pouar comble, dat ce tansmmt, où le beau tempe serait inéesre, aln dee permettre au ta bac de a.eber, nous avous de pluies fr' luieutwe et boduantl, icil occasmknneront le granud peres et fkrant une dilférence dum la qualt da tabac. L'Jteran mous apprend que la popula tion de IDomesk vilk va de nouveau se mettre I'oouvre pour achever la uignifl que égliee dont leI travaux sont arreté de puti iuelques asunies. Cet édilae, une foie terminue, sera une des ltoire de ette peti te ville. Lee fondetione des mieux fiutee ont e« pleiaement le temps de m reposer et pevuut e.uatneant supportr tout le p"ids de la eoestruetion. Une grande quanUtté de mnetrlax qui saat naoeasiree à l'aeuhmveet de aet dllloe ont dfjA sur le lieux et II o mianque plue qu'un peu de beIne voleuta de la part es paemiwlene pour moner ce muu lique travail à bon me*l. . k tira Ik . L'upst des ehmpe est maintoeant tri4 be«u, test y poue ave fores. ~l oun ebmlde à ttmpw le temp psdo et erit rimoomessnst, *al* besoosp t· u emo per 6tre as poit où eUo tait I'au deie. IL al m es go maeu beaou tuit eeld puat de bose lWe que oeiu P alt td tm indietionst sMet en faiw, b"m -- mohe. la r peti @eorm poe« la mme, fi bim es ma ; mals il mu ese teri eso, ams , ear on se parle mme-s- SdWmM pi I4L lIaUv O m ms mt U.mIm d&e a ài à bemsoop de Paeoa un fsu, er I. dale erfat sM beaoop de FItui t-- I h... Itr~"-'" ~ Y'r »0 dire "rr n i ~iId u. .r d'a &oe "-i,·cl c-iS&hOSBh Amh. uMi~id.bi - eauI~ms rJ.. ch diet h. .sdII.io qu'l a Juksi dus wjsui..ut Jus. c( ndiJ~~s- I â s s. sS ý lwi irý list"rio C 4M eêaoe ds.'IIC rlI E·r"" et?' ri~~* 41 f eet Ï biw, I sdI 4."w .6 000 tontrs en 1888 & 782,632 tonnes cette année. Si la consommation se maintient comme à blheure actuele on estime que la nou.elle ré colte de betterave de l'année n'aura rien à offrir contre 356,000 tonnes on 1888 et 557,000 tonnes en 1886. C'est n comparent les cotes actuelles avec celles de l'année dernière q e l'on plu t appré cier le mieux la hausse dans les prix du sucre sur le marché de Londres. ("est une angmen tation de 70 à 90 par cent dans le prix de gros du nscre brut et les prix ne semblent pas vouloir retomber comme auparavant. L Ifeseetea Déwnicataurs. On écrit d'Alger que les criquets font en SAlgérie, snrtout dans la province de Con stantine, deo progrès tels g'on désespère i d'arrêter le flau malgré les efforts prodigieux qui ont été déployés pour le sombattre. 1Depuis le temps bibliques où une inva sion de sauterelles méritait le nom d'une Splaie d'Egypte et ravageait ce pays, l'Afri Sune na pa ceess d'être victime des insectes dvastateura, et, cette ann6e, l'imagination reste confondue quand on lit le chiffre énor me des criquets détruits en Algérie depuis un mois, sans qu'on soit certain d'avoir triomphé du féau. De tons côté, on a ré quisitionné des travailleurs arabes on euro péens, dont il faut ans cesse remonter le moral, car on conçoit sans peine le déeoura gement des malheureux ultivateurs qi voient s'avancer sur leurs champs de créale, des colonnes innombrables, dont le passage se traduit par la dévastation et la rmine. Lee procédés de destruction sont divers et, ea prévision d'éolosions nouvelles, on a recours à toutes les méthodes connue : ra massage avec des bandes de toile, écrase ment avec des battoirs, enfouisement à l'ai de d'apaeits spéciaux, incinération même. Mais, dans cette lutte, l'homme n'est pas ai sétent vaiaqueur. L'Algérie n'est pa seule, d'ailleurs, à souffri des ravagr causés par les animaux nuisibles. Sans être un fla aussi redouta ble que les criquet, le banauetoos font beaeooup de mal en France, et, dans cer taine départements, on a dû allouer une pri me pour leur deetruction, ca qui a donn6 de bons résultat. Ainsi, e 188, i la saite d'une décision pr6fetorale qui accordait une rime, dans I'pespe d'un mois on ramassa dan le bois de Vianone la charge de vingt aharrettes. En 187, d'après le rapport d'un inspecteur des forts, lee pertes provenant d hannetons, por cent soixante communes de la Baine, s'a rt à la somme de cinq millioms. Bien que ees ineetes aient le vol pe sou tenu, il leur arrive parfois, lorqul out dé voré totese ie feilles d'ua canton, de N tra. porter on eoloses profoodes à une er taine distaoe pour trouver une nouvelle p tmu. On rasote mame qu'un soir, sos le tgue e Lois-Philip, une légion de ba netaus asail diiHdOee sur k route de Goernay à isr, à l a rtie d'un village, ee ae n e t" ble que lue eh evag n eabrert 4e refieset d'avaèer; le eodue teor dut tomer bide et revenir .a arrire e la a de ette grêle4 vivante. a tm py eat vu des lldents pares: ealrmaie da le es. de O lray, U ya deu sitele eavire, les bmaetos- -. vet us ursagei paqisue le e4w uns ' ebes«Wt uLsm upm sede ia dne Mii Ie haMti t- avaiit Pil_ "à e, tru u pssa. dam l'edreioit l a ue s'battait. mm amde d euai.t au que la BamiR de weem d@ae Ubu l st le parieupI da ames vs1e Cet "aivue"w. m-t as'u la Ua maomal. de la lipubàq0 fisagai wi a'm u.theuh. pa' wu Md@ ami la rmam y mue àà am"fS lai.." o sulr 409877 I mvt & me, ouutmsâenhomt jde j Irhua s~damukd = asr ~ b#U. avait d&6 AuuiI. d.. e, à ftume hl'em$émi ivie là de pi.e Mrla ,iredwab dais 4 ela &de mOM tuela pub a Uatdn *à la famule verale avait elsm,"Me mm M ChosleV,dleh fumi kHtqa nl qu~~.aaihui. .hhemueu plm b huqumua pqau ile la vue. uras mue. f. -- ueT,.ai.i. 19 bai. 1s u.atdt h as ar kmé lju«« lm) tr élb mok. de pwb de de w O tI quL? Y ' - - qati eU rdse h d-wde 1»«Obboum t~~tFž-- l~ 1.«~ e Ba tille, ni l'élévation du rang, ni l'état de la naissaLce ou des services, ni la faiblesse de l'Age ou du sexe. Un régistre d'entrée trouv6 i la Bastille prouve que dans un es pace de 46 ans on y reçut 2,000 prisonniers. Le 14 juillet 1780, quand le peuple s'en em para, il ne *'y trouvait que sept détenus. Un impénétrable myrtère couvrait tout ce qi se passait à la B)stille. Qu.and n I d.lte. nu sortait, il était tenu de prêter, en Irreiei ce de l'état-major de laplnce et du li.'ite. nant-génétal de lp police, le serment qu'il ne réWlerait ljani rien, ni direcement ni it.lirrc. tcment, de ce qu'il aait pu y apprendre on y sowfjir. Ce qu'on sait du sort, du caractère, des malheurs de tant de prisonniers di vers qui sajournèrent à la Bastille excite tour à tour la erainte et l'attendriaaement. Sans ajouter toute croyance aux récits.. le écrivains passionnéa du XVIIIlle iècle, un doit reepnnaitre que, à part certaines excep tions en faveur de quelIure grande person nages, lea prionniers étaient soumis à un ré gime très sévère: plusieurs d'entre eux gi saient enchainée, presque sans vêtements, sur une paille infecte, dans des cachots hu mides dont le sol était au-dessous de celui des fosstéa Dans les étagea supérieurs il y avait dles chambres fort élevées à double plafond; elles recevaient peu de jour par des fenêtres trois. fois grillées, percé6e dans l'épaissrau prodigieuse des murs. Dans chaqqp tour, on appelait calotes de( chambres plaeés au cinquième étage, immé diatement sous la plate forme, parce qlue leur plafond, voité sur des murs outogones, avait la forme d'une calotte. En hiver le froid y était ucçeesif; en été, il y faisait ue chaleur 4toutante. La nourriture tait ordinairement bonne. Pour ce Qui eut de torture de toute espèe, rien de positif à o sauet n'était parven à la eonnaisanee du publie avant e 14 juillet 1780. Dee témoins de la prise et de la des traction de la Bastille ont parui d'u squelet te enobainé trouvé dans une fuoe fangeoe et fétide, de deux edavre avee un eo deax boulets de 36, d'un eomelet de fer iavet6 pour retenir »n bomme per totea artiose. lation et le réduire à ae étoeseli luose lit, etc. La Batille fat pluaieuk fois asigi et prise; en 1418, par le peule oulevé; en 420, par les An..glaisen 1 par le due d, Gise; n M15, pr Hoi IV; n 148, par les Frondeur, etc. Eain, le 14 juillet 1780, cette redoutable fortiem sueeombs soue lattaque du peuple de Paris et fut détruite de fond en comble. eI piemr proveasat de la d6molition foret emploées ià l'abhve ment do pont Louis XVI, -ommeueé e 1787. Un ouvrier d ViIIa.Blhaa (Itm"e), avi j~ l r unet4t apre I. - se iap I.l deux jeunes voulent ai l. ehoribev' bevtuneee Àue. un Abré d·lldW tomba lummt amo wens i de r 1·idi»ra, et a èe à » dasier au, oi~ .ome.it à lui veudem ta fmme Le oate - e Fmgmt tupeeeIl mut looua M ferni i rAbime et 4%ufulýAm«i «A a. bout de quoique temo la· Jess ~IbI. &da la -~' hoedwa~*.eavature et M me P"e de IWLIWu à se acmat, d i" be Ms., OiwqU'O la mmOS<Ulb sWtio. lm Permbt 4o la issue se net adrusul aU .uveimemet hiilge pour qur'l e'emloéu & iIiwauee. vorliso ih.. I. tvsvsm hdu, oS ius aa.Po" I_4'...né.mu..alli~YIm .md.L u Y moha.irC'( J ·-- ,i i· '-=J~~I 'amiImm P~~ ee~IL. `I1:r~ h~ 'ô..-< t~E~;k>~~T·-~iaanssi,! i z *pargr ~ -. 4 ~ Sir· 1ak~mt *yY 1Plf --e. * .~d. ria u ;rJi