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LE MESCHACEBE. JOURNAL HEBDOMADAIRE. 46E ANNÉE. BONNET CARRÉ, LOUISIANE, 12 FÉVRIER 1898. NUMÉRO 7. LES QllUAREllMES DE LA mOllYELE-ORLEANS. DAHLIA LA QUARTERONNE. TIHISIÉE PARTIE. *VALEKY ET DAÀHLTA. XXVI En posant la tête asur l'oreiller, Dahlia se sovint, comme dans un rêve, de ee verre de punch qu'Ado réah la quarteronne avait préparé pour sa saur et, comme dans un af frenux cauchemar, elle se souvint du goût étrange qu'elle avait trouvé au thé que lai avait porté Malvina : elle se souvint d'an tout petit pa quet que celle-ci tenait à la main et qu'elle avait cherché à lui cacher lorsqu'elle l'avait rencontrée ; elle revit encore le regard effaré de la maulâtresse et elle comprit tout. -Je suis sous l'iatuenee de l'o piem, ee dit-elle. Elle voulat crier, envoyer Lia ap peoler Nicolas, mais pas un son ne *'eéhappa de a garge. Elle voolat *se lever, Vefa ir, mais son corps 6tait froid et usas mouvemeaes; as tte retombs ea earièe, le lourd somuaeil de replom s'empara d'elle - Ooime *ae $e«se irte,t elle resta 6tendue sBr seoa lt. Voyant rien, b'eatedat rina. Et pendant oe temps Lia, qui s'é tait déshabillée bien doucement poor ne pas ajouter au mal de tête de se grande amie, se trémoussait dans la ehambre, fermant lee portes, rgardant saons le lit, dans tous les eoin. oEnfin, elle alluma la veilleo so, éteignit la chandelle et se glissa doueembat proe de as compagne de Iuit. Lit avait à peine huit ans, mais elle était très intelligente pour son Age. BIE avait très souvent enten du dire àsa more qu'an frisson était quelquefois dangereux. On était Saux derniers jours de juin et la cha leur était exeesive; aussi quelles frent -a surprise et l'anxiété de la petite i1e, su touchant le mains et le vismge de m compagne, de les trouver glae. Elle chercha à la réeiller, l'appels douement, la se eoea'mime, mais toten vain : Dah tia dermait d'an soameil qui res semabblait la mort. Li an pencha so elle etQ mettant son oreille sur la boaehe de la paare endormie, --Nea, lle a'est ps mortel as dit*elle; ee wespire...- mais quelle 6étreage wepiration I oa dirait un .flUemtL 8 j'allais appeler ma L. ais fi atpeari.." je pour " »rea«etaKr rle aiage dsm I'esea A- Uden eoorU M e aut a a~perg nea une e ais. un grande cnpvuur4arde~ late; .1le alla la eterekeBuena aseloppa avec soin S.ompagae; e à lt trotta les waatei va asuei di colognel allKaitir lai *1s1her urar ss pleds pose h abuss til6* talner fl -Daehiasi »D -"'' 1*as, -^at^* pi *'i^ssJ^x^^c^m^trtealsameaUA6^ -Ce doit être un des locataires du second, se dit-elle. Mais elle observa que les pas s'ar rêtaient au premier, et elle sa vait que Dahlia seule occupait cet étage. -0 mon Dieu! s'écria-t-elle, pourvu que ce ne soit pas le singe 1 Et, involontairement, elle chercha des yeux le bâton qu'elle avait placé dans la ruelle. Elle essaya de ré veiller Dahlia, de l'avertir du dan ger qui la menaçait, mais la pauvre Dahlia était toujours froide et sans connaissanee. Nicolas avait recommandé à Dah lia de toujours laisser les clefs dans les serrures, car, avait-il dit, i quelqu'un essaie de se servir d'une fausse clef, il ne pourra l'introduire dans la serrure; mais le jeune ou vrier avait oublié qu'il y a un moyen de repousser les clefs et que d'autres que lui connaissaient ce moyen. La pauvre petite Lia, presque aussi froide que Dahlia, prêtait une oreille attentive aux pas de la per sone qui es'avançait avec pr6ean tion &lnmls ourridor qi séparait la chambra de Dahlia de renautre ap partement vide en ce moment Bientôt on 'arrêta aà la porte qui faisait face au lit et une main la se coua doucement. Plus morte que vive, les yeux di latés par l'épouvante, la pauvre en fant gardait ses regarda fixés sur cette porte derrière laquelle, bien certainement, se cachait un ennemi. Elle eut un moment l'idée de crier, d'appeler au secours, mais elle savait qu'elle ne serait pau entendue et le singe, car ce ne pouvait être que lui, l'aurait probablement étran glée avant qu'on eft le tempe de venir à son aide. Oh ! les angoisses de ce moment terrible I pendant bien des années elles eurent le pou voir de faire tressaillir d'épouvante la pauvre petite Lia. On essayait une clef.. l'enfant l'entendit et se dit que, grâce à l'au tre clef, on ne pourrait ouvrir. -Oh! mamzelle Dahlia s'écria-t elle encore en seeouant la jeune fille, réveilles-voua... e'eet le singe... le méchant singea Tout i coop, elle entendit un sif sflement et un objet vint tomber à quelques pas du lit. A. a grande horre«r, Lia reconnut la clef qui, gr&e, à une tige de fer, avait été poussée hoe de la serrure. Pour la seconde fois, elle entendit le brait d'une clef dans la serrure.. elle es saya encore de réveiller Dahlia en la secouant doucement car elle n'o sait parler de crainte d'être en tendue. Bientôt la clef tourna lentement, mans brait, la porte fat poussée doueemsent et, dans l'ouverture de ette porte, Lia vit apparaître an aomue de haute taille, enveloipp d'aB large pardeasus bran qui des onedait j a aes pieds et dont le ##naush achai stes heoveux ; mais l isage était - découvert et l'eo. lant f«ocnet fesilemeat ee traita i8etéiaBteffrayans deelui qa'el qu'elle était elle comprit qu'el'e seule pouvait sauver sa grande amie. En voyant l'horrible visage de don Orlando, elle se laissa glis ser doucement dans la ruelle du lit et, prenant le bâton de ses deux pe tites mains, elle on frappa le plan cher à coups redoublés, s'arrêtant une seconde pour recommencer avec plus de force. Elle itait si petite qu'il était impossible de l'aperce voir. A ce bruit, le don étonné s'était arrêté une minute à la porte, mais, se figurant que ce bruit venait d'une autre chambre, il s'était re tourné, avait fermé la perte derrière lui et maintenant s'avançait à pas de loup vers le lit Arrivé en face de Dahlia, il s'arrêtas; il s'attendait sans doute à la trouver endormie, car, après s'être penché sur elle, après lui avoir touché le visage, il dit à voix basse : -C'est bien I La Babette ne m'a pas trompé... elle m'a obéi. Cachée dans le petit coin où elle s'était blottie, Lia l'entendit Elle n'osait faire un mouvement, elle n'osait plus toucher au bâton. La pauvre petite priait. Mais, aux premiers coups du bâ ton, Nicolas avait reconnu le signa) de détresse ; il se jeta hors du lit, s'habilla à la hâte, saisit un pistolet et s'élança dans l'escalier. Il ne lui fallut qu'un regard pour s'aperce voir que la porte était fermée; mais le jeune ouvrier, habitué aux ou vrages les plus lourds et fort comme un Turc, d'un mouvement d'épaule arracha la porte de ses gonds et se précipita daas la chambre au mo ment où dem Orlando se penchait sur le corpe inanimé de sa victime. oEn voyant paraître Nicolas (que, dans son épouvante, il prit pour Valery Ashton), le Brésilien voulut s'élancer vers la porte. Mais avant qu'il on eût 'le temps, Nicolas le frappa en pleine figure d'un vigou reux coup de poing; le don roula sur le plancher, se releva et prit le pas de course en poussant un cri de douleur ; il était déjà dans l'escalier lorsque Nicolas, qui s'était mis à sa poursuite, tira successivement sur lui deux coups de pistolet Don Orlando, frappé à l'épaule, eut cependant la force de regagner la voiture dans laquelle il avait ou l'intention d'emporter Dahlia endor mie et qui l'attendait à la porte de la maison de Babette. Il y entra et, montrant le poing à cette mai son, il jura une vengeance terrible à celui qui l'avait dérangé dans son ouvre infernale, à celui qu'il appe lait Valery Ashton et qu'il croyait l'amant préféré de Dahlia. Il n'a vait jamais en l'occasion de rencon trer Nicolas et, dans son épouvante, c'est à peine s'il avait jeté un coup d'oil à son agresseur. Lia était sortie de sa cachette et racontait sea impressions à sen frère qui, lui, examinait la pauvre endor mie qu'au premier coup d'oil il crut morte. Tout Ie bruit qui e'était fait dans ta chambre n'avait réussi à la tirer de et: étrange %ommeil. An bruit de. deux coups de pis tolet, des pas ou plutôt des courses dans l'escalier, tous les locataires de la maison étaient secourus. Madame Monier fut une des pre mières à se précipiter dans la cham bre de Dahlia. -Qu'eat-il arrivé? qu'est-il arrivé, mon Die"? s'éoria-t-elle en songeant à sa petite fille. Mais celle-ci, en voyant s mère, courut vers elle et, tout on aIesre, s jeta dans ses bras. Elle tait encore si ésas» qu'elle na poeait denser. qe quelques e*pieations ilaeobérete. Mad e Meonuet noaceords qU'aSe â<de-attsatioe wax dissue» &o sa 1Ue-. elle était **6* slead**esk ie __ s Î.-e it 4* DMfa w i eas l^î'"^'-^:,I* 7, ^ ",, quelle se meurt ?... un médecin L.. allez au plus vite chercher un médecin. Un des locataires offrit ses servi ces et se hâta d'aller prévenir le docteur Pascal; Nicolas, de son côté, appela ses sours et elles parent aider leur mère à frotter la pauvre Dahlia. On lui fit respirer des sels, de l'ea de cologne, mais tout inuti lement; elle ne faisait pau un mon vement. Seule, sa respiration sao cadée disait qu'elle vivait encore. XXVII Comme nous devons le supposer, la Babette ne s'était point couchée ce soir-là. C'itait elle qui avait en voyé Malvina chercher la morphine que lai avait fournie don Orlando, et sans même regarder la quantité que renfermait le papier, elle avait tout jeté dans le thé qu'elle avait voulu préparer elle-même. C'est un miracle qu'elle n'ait pas tué la pauvre victime de sa cupidité. C'é tait elle qui avait ouvert la porte de l'allée au Brésilien; elle l'avait suivi jusqu'au pied de l'escalier et ne a'en était séparé qu'après lui avoir sou haité un heureux succès. Et voilà que, tout à coup, elle entend les coupa de pistolet et, ouvrant sa porte, elle aperçoit le don qui s'en fuit à toutes jambes. Elle n'oe» monter pour s'informer: elle aper çoit de lumières qui se croisent, des pas qui montent et descendent l'escalier, des voix qui appellent, et.. horreur t et escalier auquel elle s'appuie est couvert de sang. C'est bien certainement don Orlando qui a été blessé... mais, qui a tiré ces deux coupe de pistolet? Serait-ce Dahlia? -Oh! elle en est bien capable 1 se dit la misérable qui tremble de colère à la pensée qu'en agissant ainsi Dahlia lui enlève le paiement que lui a promis le don. -Cent mille piastres de perduees! s'écrie-t-elle; oh! la misérable ! Puis au bout d'un moment: -Eh bien! non! se dit-elle, ce n'est pas Petite qui a tiré... c'est un homme et ce doit être Vaiery Ash ton. Oh I j'aurais dû me méfier de ce maudit avocat. Il est l'amant de Dahlia... cela coule de source... Il était là... dans sa chambre... et il a reçu don Orlando à coupe de pistolet. Mais elle veut connaître la vérité, elle appelle Malvina et lui ordonne de monter. -Informe-toi, dit-elle, et viens vite me dire tout ce que tu auras appris. En voyant paraître la mulâtresse, Nicolas la prit par les épaules et la jeta à la porte. Mais, elle avait eu le temps d'apercevoir Dahlia et elle courut informer an tante que sa petite-fille était morte. -Eh bien I tant mieux I s'éeria l'inf&me créature; m'en voilà dé barraseée1 Le médecin arriva. En aperce vant Dahlia, il fronça le sourcil. -Cette jeune fille est sous l'in fluence de l'opium, dit-il; préparez vite du café très fort, et, à n'importe quel prix, precurez-vous des citrons. Madame Monier envoya une de ses alles s'occuper du café et Nico Slas envoya réveiller le mareband de Sfruits do coin pour avoir dea eitroa. En attendant les deux remides preecrit, le jeu»e ouvrier raconta as docteur Pascal, dans tons ses dtailsI 'borrible attentat dont la jsan malade avait failli devenir la DIXu dr loit. de@. a. Ide i*,**a hato duO;il sola uWatowm; pffdeimi la M mamsa e .mu.âw h hrub tha&es d. Pt~htju. , ma armot., e. aan4i victime. Le docteur Pascal était non seulement un médecin distin gué, mais encore on père de famille, un homme aussi honorable qu'ho noré ; il ne put retenir l'élan de son indignation. -Je vouse conseille, monsieur, dit-il à Nicolas, de poursuivre cet homme; il faut qu'il aille en prison, qu'il soit puni comme il le mérite. l aurait pu tuer cette pauvre en fant; e'est une terrible dose d'o pium qui lui a été administrée. Savez-vous quelle est la main qui l'a mêlé au thé qu'elle a bu ? -Je m'en doute, répondit Ni colas. -Et moi, je sais, dit la petite Lia en s'avançant; c'est man Babette: j'ai entendu le singe dire cela quand il parlait à lui tout seul, et c'est Malvina qui a porté le thé. Le médecin écoutait l'enfant avec intérêt et madame Monier, s'en apercevant, raconta comment sa petite fille était couchée avec made moiselle Dahlia et avait vu tout ce qui s'était passé, et comme quoi, par sa présence d'esprit, elle avait sauvé la chère demoiselle. Le docteur caress Lia, et aper cevant, sur la cheminée, la tasse à peu près vide, il l'approcha de la lumière, goûta les quelques gouttes de thé qui y restaient et s'écria : -C'est de la morphine; je m'en' doutais. Ah I je le répète, il faut faire arrêter ce Brésilien et cette Babette. Qu'en pensez-vous, mon sieur Monier ? -Je n'ai pas le droit de me mêler de cette affaire, docteur.. Je suis l'ami de mademoiselle Dalvéras et je suis venu à son secours dès que j'ai soupçonné son danger; voilà toutt répondit modestement le jeu ne ouvrier. Mais elle a un tuteur, et lui, je n'en doute pas, tirera de ce don une vengeance éelatante. Bientôt le café et les citrons fu rent port"e et le reste de la nuit se passa en essais de toutes sortes pour rappeler à la vie la pauvre Dahlia qui restait toujours pèle et sans mouvements, froide comme une jeu ne morte. -0 mon Dieu ! pourvu qu'il ne soit pas trop tard s'éceria le mé decin. Dès qu'il fut jour, un messager fut envoyé à madame Lebon, qui, en apprenant le danger de sa jeune amie, s'empressa d'accourir. Elle joignit ses soins à ceux du docteur Pascal, mais ce ne fut que vers dix heures du matin que la pauvre en fant donna quelques signes de vie. Le médecin avait bien recommandé de ne rien lui dire de l'attentat dont elle avait manqué devenir la victime. Virginie lui raconta qu'elle avait été bien malade et que le 'mé decin avait ordonné qu'elle fût transportée ailleurs. LooAM BArMo A eostiamer. muaumuroe ~ ]D DUUC1NUR YEGIU ri 'MIANUELPHEI A UCIRUI »Oeteur en Médeecine de1 la Ttculté de Parus, Plaumailk ea IiClamsUe h plâ à orftcIlultkm IuUeliUSPIs»wa lasz Wiunlasku1b ExBrJol4AN? e qu'il tant éviter pour eonserveu la muti; ee ça-il fàisý fWt peur gw1if les mahâil.m mestiques les moyens de reMédier faux accideats lesplu <mmwum4 la emcapeuit e. t j>roprUtés deu remédes uuelz ]« plus efimeues. IouzumneEdt.eezdrlnia .. t:spge. En vo-nt.- à )a LIBRAIRIE DE LA FAMILLE, 147 rue Royal1.. MAISON DE PENSION. Le souasixa6 informe le publie qu'il a acketé l'établisaement ei-devaut tena par M. Emile Bernard, à e6t da bureaue de peate d'Edgard, et qu'il y a fait de granude» amiliorntiuns. Les voyagfenru y treavernt logement et peau aie, et des re e somenat servi our commiak de. De Viturmes aurat teamei à la dimpaitih di pereaums qui Mat des euoma à faire. Uue belle barre hit partie de la maies. JULES JOBEPH. JEAN BERNADAC, Clhirrgit-Yitériuaire, se tisat eo tout tetps à la dispea tion des penoses aqui araient b soin de s ervices. II pBead des saimaux e soin à domicile. 8S long» ex pfrene est Me Marsatie peur - clients. M. Benwdae se clarfe de ferair, sor com mande, des hevaux tels que le dsirent le* achetes. Il a toqjeeos des ebeovnx ezs loi, et Vend et ebassxe à la commi io. Il fera teoniouam s pemiblue pear satiire ms clienta. neàidence. cheos M. A. Ls8a»e, rive gaehe. AUX HABITANTS. Le u.oifrd anBece aux babitants de 8L Jean-Baptiste qu'il s'oceupe da traiteme«t des chevaux et deso epérations de toutes mortes à leur faire. I se re»dM de suite ches ceux qui le feront appeler. S'adressercbes lui. rive gauee, o« luai deri. re à la poste de Boanet Cbrr&. CELESTIN BREDT. IMatériau Vendre. Pieux, Bardeaux, +. Merrains !`"l. Pour les prix, s'adïw"er à LÉON GRAUGNARD. Bo]"et canrr P. 0, La. de S fi. .e-lsUafe et et. llrFe Mfu que de 1OUVEETUIM I flS OVUS de Mu CON içEJTJON DES MONUIMEY Taet deteuteeh ripeaie.s aeeewee mu heu Mes de. tsavauz leike- MMM&FAIYDTI leO»tWUei HOTEL + RESTAURANT ANTOINE, 63, 65 e t67 rne St. Lais, ulvIelle-Oriéas. EMgantes Chambres araies p.r le Troygenas. SALON AU PREMIER. PESIOaI D JO, 1 LA Suli, ai iAlCm. Ancienne Maison Suisse. POZZI BROS., IMPORTATION DIRECTE DE YIHS ET LIQUEURS, 18 Dhuaie St, loe Orleas. Absintbhe Suinse, Kiresh, Geatiae a Fromages tjeas en muagasita. ÂBONNfEZ,'OUB A LA REVUE HEBDOMADAIRE la Pins luMtdiete dus revue puslkma sf.E.t nmo is. LA IEVIT" E~UXA3 Nl. a d.de toute autre seVue et jouresi. lus n. -an du. witaci"" douivaine de e motauut Pm)l lmisel, Peauçel 1.=e VAcdé.l.fzagah. l~baa.ludet, E.» uy véifl, ieepi, ]We, A. Tbeurie Ewil zZ=lecsc LA ]hW"s upmjsit on B ulimisa de 100 "ans donnant ajU f ge de @- 5e bummtieb.Iu Pi» deis 40Vl ar =.ae âd reou.e ab libmiaheU L.Duarezy MU W. U5h St. Ncw York - à as eecunals Igeo. 8,4.. lm0i.w.i.a et à am àApnta sp&eimen giatait, avec ejieulaie ezprusicam dmmwn a notes du, pb014envoy sa..br y&i, ception de S eents es timbWi,-ps"e. \n\n a m rinumc ý ji 2eb of emm o mot of «or diea.oe. Tweutjy-ive mrezarkae curw effec*ed by thia *mmn rerinedy mre safflceint b rv htte eorres. Brwwirn IranBtte.aeuI ALL DEALERS.