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LE MESCHACEBE. Jo«rsal Onlele DE LA PABOISBB ST. JEAN-BAPTITE ET DU BUREAU DEB CK)OLI. CHA&. LASSEIGNE, BbRtammn ABONNEMUNT : Un An, $2.00. Six ole., St.00. Une remise de pewe seat et faite Ma abonus qui paient d'svaoe oei dams l pire mier mois de l'abo»nmment. Après etemps Il r'est pls fait de rnmiis. SAMEDI 19 JA1VIER 1901. Je une mndei ebps JMOMO ue CS"Uein Vieknsir le ludi 21 jesyl, à midi et y mt.raj jfqueu f uMWdl» U juvbrr àS esi.. Ls pesuomu qui oSt benmn deam. mserisu omt priées de venir sm eoumnes ment de la mmm. Mr msaevet il fut plu iseis Jeua pe bire le uavs. il est Xat que tmttvil douueMmt m stiuu. DLr J. B DÂafl& Dentiste. Mardi, i I se tL Pierre, a eu BM le MU06élee M. Joseph Triche . ê laelbaseate Catooir. Jei, w FKlSt JSos-Baptis. t4, oat f mari. . Paul millet et Mlle IabUele St Pierre. Aujourd'hui, 4 heures, Il'Egli o tL Jean-Baptiste, orn lien le mariage de M. Gabriel Webre, Jr., et de MIle Jeune Lily Rodriguee. D6"o. Le 8 janvier eet déeéd& sur lha bitation Gleodale, M. Alphonse Claediue Crocet, &gé de 80 ans et 8 mois. M. Crozet était né I St. Jo que, mais depuis nombre d'années il habitait la paroisse St. Jean-Bap tiste, où il se eonaearait Jl'ensei gement. C'était un homme doux, afable, d'un caractère élevé, mais tra modeste, et seo belles qualités raeviont fait estimer de tous eeuo qui lont connu. Vendredi, i 4 heure. est déeédé, *re droite, M. Pélix Becnel, natif de sete paroi - et âgé de 53 sas. on corp a 6té déposé le lende -ia dans la tombe de femUll, au we*tière St Jean-Baptiste. mess eun Plantear. SSmSs189 M.IL Alfred Songy êves uet eg eear de t'hatitation emt. ga » oes p .rix M n1,2s et f w*r 4.emuple de la 8*eiét6 Soagy OeIte belle proprieté, qui tait dolr pashtlemeat délabrBea. ten ' ait à l'enere publique pour eou* ,i, r i:· u hypoth ue pre i&e orn / , ewarBd Dr. . O. Tirouit, ae mon - «at ea capital, iut&rète et frai. à te touoie de l18,700, et oe trouvait -'^ grevée d'noe esonad. hypo. b1qese de $6,800. ainui que disté d1 s arriéré. en faewer de la Cor S' >ratoa OGatholique de 8t Jsea i#a ag ltier de sette Corpo -i -fovi l. lti d éa olt aric ïa peigatiêit pas a1?i t meou- citent et ront fiers de penser que g tout en sauvegardant les intérêts r de mes aréaniera il a su se créer un avenir des plus brillants pour lui et a les iens. t n Un Bigami n Le bigame est un oiseau rare en C ee oin du monde. Les hommes y lE sont tous, i peu de choee près, mo- p nogames. Il peut y avoir des bi games et même dea polygame», mais, comme les bécasses de nuit, r on ne les voit pas. d Il y a quelques mois, cependant, d on arrêtait un bigame dans notre y" district judiciaire, en la paroisse Jefferson. C'était un jeune homme, d marie et père de trois enfants. Les .journaux de la métropole qui se sont occupée de lui et de son eas ê pitoyable ont sacrifié la vieille , habitude d dire qu'il était heu- , reau ea ménage, qu'il avait une e Sbonne petite femme, trois char- 1 mants enfant. b Et-ee bien vrai? 8'l était réellement heureux avec am bonne petite femme, pourquoi g ' aurait-il songé la remPplaeer par I Sune atre? Les hommes, il faut g l'admettre, ne comprennent pas ' toujours ee qui est bon, bien et g Sbeau. N, 'inistons donc pua sur les com ment et les pourquoi, et raeontona simplement le faits Alfred Pail let, l'heureux époux et père, avait * rencontré dans une soirée une jeu ne fille de la ville, Mlle Marie Posy, dont la beauté le fascina. Il se dit que c'était celle-là qui aurait Sdi être m femme et oubliant qu'il en avait déjà une, il lui fit la cour, lui offrit sam main et son oeur, qui furent acceptés. Un mariage se eret eut lieu.. Mais un jour vint où la bonne pe tite femme qu'l avait délaissée ap prit sa trahison. Ele n'aurait peut être pua dit graud'ehooe *il s'était Sagi d'aun simple amourétte, mais un mariaget. Ell lele fit donc arrêter et juger comme bigame, t la se Smaine dernière le juge Oaudet le condamnait à cinq ananée de tra punition, car «s ecadmite a «té in. M*.n Non -elemB«nt il a abhas pr:t_ iow « sf . eroore it a aiuea Sh0te d'l* a ts. ille hboorable. La loi ne saurait 'tre trop rigon ures.poor de pareiisêtrablte, et le juge audet a ou raison d'appli Hté prsewrite par 0 C-d. Le Docteur Charles MormlllHode Jr. 8e rend chss M.F.. Léger., rive droite, tome lu: dioe,.hcp. Le. pena<>nIîem ,.iiidf'ulrent le OonNmiEter. rive iauche Mêtvent le voir ,ebe. M.iR Gratien Thruioaux. *ttien etheureha1ue spoux Mal Aortis Le choix d'One femme eet une affaire de got,. Lee uno la vOe lent petite, -royant que. 'et un mal n cesaire dont il faut prendre leamois poiible; idautres ne sont pas paerticulier quant a la taille de l'ppoee, eonisinues ans doute qu'ils perdraient leur temps en en chermhant une qui soit partaite; d'autree enoore la eaulent grosse, pensant peut-être que, comme du ruban, on n'en saurait trop prendre. De ee dernier nombre est le jeo ns harsi N; HBarsag, fermier de xjieaqtigton, aO. e nb'est pua que *ft un ctlossea ear 0l n pèse que2I6S tFrisa. mais Oee ne rem pêe la^Be *respes ftou I ia**.I ijoe dit, do amo .! *et $i a i*ai la croire que de peswer * IPAppt de faX4e#'f e papm di ery qui-ta MI i g-qu , elle a pe« ode iaqg pieds de7haut, tl eeg amÏ jolie braoette atspoueède des yeaEi t>e douxs et a iun e ' leipaer fru ele pô: 40 ItweaU 94 ps *ielet t que eate ia·»m4e ohair an li4 restet secâ~Os i x iaeoe . gent l'aidera dams ses petites affai- n res; mais il ne veut pas que ce cl soit dit que c'est pour l'aroir qu'il ti Sépousé la fille. l l'aime, assure- ai k-il. Mais si gros qu'il puisse l'ai- e mer qu'il tâche d'être le maître à la ec maison et de se montrer homme. a Car s'il laisse ette femme prendre l le demus, il sers un petit homme ci perdu. Pour Vivre Vieux. La science, infatigable dans aes recherche., fait à tout instant des découvertes étonnantes. Elle vient de trouver le moyen de permettre & l l'homme de vivre vieux. Quand nous di«ono l'homme, noun voulons la dire la femme sussi, car elle pourra a Sl'avenir se conserver au,.si facile ment que le roi t e la création, dont d elle n'est qu'un lambeau. Voici le secret: Pour vivre vieux, il faut absorber du sel ordinaire, beau coup de sel, sous toutes ses formes. N'aurions-nous pas dû nous en dou- el ter depuis longtemps, puisque nous d employons le sel si avantageuse Sment pour consrerv les harenge, r les jambons, les morues, et autres v articles comestibles? Mais l'hom- q me est trop vaniteux pour avoir v songé plus tôt qu'il pouvait se con- q server par le même procédé que l'on t emploie pour le porc et les pois- 1 Ssons. Des expérieneeq concilantes ont I t été faites et l'on sait aujourd'hui < que le sel non seulement facilite le t Smouveiment du ceur mais le provo S<i·t quand il a eessé. Samedi der l nier, à Hamilton, O., son efieaeité à I stimuler l'action du cour a été dé ' montrée d'une façon remarquable i 1 par le docteur Kumler. On liavait Sappelé pour un vieillard qui depuis i longtemps soufrait d'hydropisie et Squ'il trouva pour ainsi dire mort. SLa mèche été usée jusqu'au bout chez lui. Ne trouvant rien a faire t pour lui, le médecin eut l'idée de a lui injecter dans le bras gauche r une quantité d'eau chaude conte Scanat un quart de seL En wingt se e condes, le pouls éteint était revenu, * la circulation se rétablisait. O'é a tait enaourageant et il répéta les ' injections. Avant une heure, la h respiration du malade était régu t liere, les couleurp lui étaient reve . ment repris ses een et i deman dait i manger. On lui donna du t bouillon, onlui fit boire de l'eau, et Saujourd'hui ce mort de samedi der Snier est en voie de rétablisement Salea-vous donc, si vous voulez vivre longtemps. DE PART ET D'AUTRE. Le- major Nathaniel Barbank, à qui était confiée la direction édito riale du Picayunse, st mort soudai nement la Petsaine dernière, alors qu'il se rendait au bureau du jour nal dans un char urbain. Sa Sainteté lé Pape a quatre vingt-douze ans et il voudrait vivre eseore huit naw pour secomplir son sièele et remplir le programme qu'il s'est iimp.é. Il a demandé i deox grans médecins italiens qui Sl'ont visit la e nsine dernière d'u fer de leur seirfae pour le rendre .e.tenaire et ils-le 1m out promis. 1tj mouvement W'opêre pour don i er le contrôla dea vastes intérêts i de4 oiapsgiee dexiprtes aox com pagnie~ de chemios de fer. Jus uiet les a.rfrea -d'express étaient dit s ele d.s chemin, de *t, aiseiUea totrnt aant long Sp . une kr.ahb' regIaibre *des "oirati* . deà sdetnis 'e t tait a gse de ebhien et de t1 que 4 fimeotLoutl. Currier et af mme . AlbM, . Oe n'est Spa la peie de reebereher de quel 1'é« étailent le torte , dimons eole tiaque a fen r vuait rpoieob nr, Crrier a oup e l* is il a sasi b*oe 4 btmj sriêla te da son -TOM kRAea I. en même chemin de fer, vingt aux en chemins de fer de l'Etat, vingt au- dei tres au chemin de fer d'Orléans, ch ainsi qu'un certain nombre aux chemine de fer d'Algérie. Les lo eomotives américaines sont desti- s' int nées au service des traine express; in leur vitesse égale, sons la dépasser, de eelle des locomotives françaises. Fi L'antre jour, à New York, une rel institutrice nommée Schaefer est ce morte, on plutôt elle a paru être la morte. Un médecin a été appelé O'i pour constater le décès et comme tr< les autres il a cru d'abord être en La présence d'un cadavre; mais pour de la forme il a suivi les formalités dr auxquelles on a recours en pareil de cas et sur le miroir qu'il a placé ni devant les lèvres de la jeune fille il leI a remarqué un soupçon d'humidité. P' Ce n'est qu'après plusieurs heures q' d'efforts qu'il a pu se convaincre St que mise Schaefer n'était pas morte di et qu'il a réussi à lui faire repren- 'l dre ses sens.& l' S Jusque dans le Kansas, dont les di vertueux citoyens ont des spasmes ts quand on parle de pendaison, ou ti r veut maintenant lyncher les noire ci qui commettent des crimes révol tants. L'un d'eux a saisi à la gorge Sl'autre soir une jeune fille qui reve- cl nait du travail à Leavenworth et ' t lui aurait fait subir le plus vil des j' ioutrages si un passant n'avait en- q e tendu les cria de la malheureuse. 9 > Arrëté, le misérable aurait été lyn- q ' ché par la population indignée ai ï I les autorités ne l'avaient prompte- ' - ment conduit au péniteneier. Mais c le il n'a rien p6rdu pour attendre : ra it mené en ville le lendemain, il a été is saisi par une foule furieuse qui n'a < !t rien voulu entendre de ses protes t. tations d'innocence et l'a fait mou lt rir par le feu. ýe le Mme P. H. Kennedy s'est pré- I ie sentée l'autre jour dans un bureau 3- où travaillait son mari- à Kansas ï- City, a demandé à le voir et comme i, il a paru elle a fait feu quatre fois Ssur lui et l'a tué. Puis donannt ». un coup de pied an cadavre, elle a s'est écriée : "Tu n'en tremperas t- plus d'autres." I y avait plus de i- di ans qu'ils étaient mariés, mais a- dans des circostances qui n'étaient t- pas denature leur assurer le bon u heur. Il avait fallu que la/jeune it femme, aidéee e on père et de son Sfrère, le traînât devant un ministre en le menagant de le tuer pour se Z faire épouser. Mais la cérémonie finie ils s'étaient, tourné le dos et étaient restée étrangers l'un pour a. ntre. Fatigué de cette vie, Ken Snedy venait de réclamer le divorce et c'est pourquoi sa femme l'a tué. Une question intéressante c'est eelfe qu'a soulevée la demande fai te par la commission des levées du district de Lnfourche à la commis sion des levées du lac Borgne de lui remettre le montant collecté sur le sucre fait des cannes achetées dans le district de Lafourche. Il a été représenté par l'agent d'i district de Lafourche que celui-ci avait et à pa yer au district de Burns pour des cannes achetées dans ce dernier dis triet La commission du lac Borgne a refusé en disant que la taxe était sur le sucre fabriqué et non enr les cannes et qu'elle n'avait pas à s'oc cuper de l'origine des canne. Un acte spécial de la législature auto rise cependant le distriet de Buras à percevoir la taxe sur les cannes ( qu'il produit perce qu'il e'y trouve | trèe peu de mouline. On nous conte des choses terri- i ble* de la BaRsm , oç le froid n'a pas rat tommt ic. -Une tempête ' dé neige a surpris de*-trains de - chemio de fer qui se rendaient à Odessa et ailleurs et a cootinué j pendant quatre joors. Il se trou vait dee centaines de passagers sur ces traine, e:nseveli sous treate- i cinq piedi de noige, et l-a matheu reau n'avaient as de quoi manger. On comprend qu'ils devaient troo Ver lmlg tempe qu'on prenait , les débliyer. Et ce 'étta s tt i d'tre dli6vrés, ils 'avaient pos i pla* de qaoi anger pour «l14, pas 1 de quoi as- catIer et besuconp d'eatr'eax golôrewte Is 6taieat pvosqae ot de iat. de froid PI1·8· p·~grt~eà enterrée, tant la terre est lure, et des cadavres traînent sur la plan che depuis plus d'une semaine, a La cour suprême des Etats-Unis d s'occupe en ce moment des causese intentées dans le but de faire déci der quels sont les droits constitu tionnele des Porto Ricains et den Filipinos. Le jugement qui sera rendu sera d'une grande importan ce pour le citoyen américain. Si la cour se prononoea contre l'admi nistration qui a refusé de reconuaî tre la qualité de citoyen aux habi tante des nouvelles possessions, et ei décide que la constitution suit le drapeau, il fau Ira faire disparnître de suite tous les règlemente doua niers, aujourd'hui en vigueur dans les relations commerciales aveuc Porto Rico et les Philippine ; ce qui veut dire, pour les planteurs du Sud, une concurrence ruineuse Sdans les nucres. La constitutiou h suivant le drapeau, cela veut dire d que Porto Rico et les Philippines Ï sont devenues parties intégrantes l i des Etate-Unis et alors leurs habi i tants devront être considérée et , i traitée comme des citoyens améri a oines. La commission sanitaire améri caine qui étudie à 1île de Cube les t Mecrete de la fièvre jaune, eut au- p Sjourd'hui parfaitement convaincue que la maladie n'eut contagieue u que par l'agence du moustique, 1 qu'elle ne se communique point par i une personne infectée ou par ses vêtements. Des personnnes saines ont été mises dans deux chambres contiguês, séparée seulement par un tamis en fil de fer. L'une des Schambres étiit à l'épreuve des moustiqune et bien que la personne qui l'habitait était vêtue des habits d'un malade et couchait sur un matelaq venant de I'hôpital de la . fièvre jaune, elle y est restée vingt * huit jours sans être malade. Dans l'antre chambre, après avoir fait o piquer l'occupant par des mousti i ques infectés, il n'a fallu que qua it tre jours pour développer un can e de fièvre jaune. Après avoir répé i té cette expérience plusieurs fois. SI la commission déclarqe e la fièvre i jaune ne se transmet pas d'un indi t vidu 4unt sutre i par les vête . mente infectés, mais qu'elle ne se e propage qoe p4r la piqûre du n mouatique. Nos aitorités médica e les feraient bien de tenir compte e de cette découverte, et à l'avenir e quand elles établiront den quaran t tainei pour empêcher la fièvre )au r ne de se répandre, elles feraient . bien de ne les ordonner que contre e les moustiques et de laisser les hommes, innocentes victime,; aller en paix. Statue de la Tour de Babel. Une religieuae de l'ordre de Car mes a élevé en Asie, sur la tour de Babel, dont les ruines subsistent encore, une statue de Notre-D-me des Victoires, bénite par Pie IX. La tour de Babel a perdu six de ses hait étages, mais les deux qui restent ce découvrent de 80 kilomè tres à la ronde. Sa iasse quadran gulaire "a 194 mètres carrée. Lee briques qni la cimposent eont de l'argile la plus pore et d'un blane légèrem-nt ihauffé par uue petite nuance fauve. Avant d'être cuites ces briques out été couvertes de caractères uonéiformee. Le bitu me qui a servi de ciment provient d'ane, source subaittaut encore à peu d dietan de de la tour. L'érec tion de la sainte Vierge .ir la toor de Babel a donné lieu à une gran de eéramonie, a.laquelle les Muntl mjana ets-même. out asisté,. Pour Cause de lDépart M. Melet Pallierdé4sre vendre a Iweprié té, située dan le quatrième ward, près de Laplace P. O, ainsi que tout l'outillage qui entait parte. La propriété adeux arpent» et quart de ace sur qatrevingts aspents de promaeaur. enta Hlignes ouvrate. .AL17TT . Mar- ADAM'-JAGOB tnnon»e an pitble qt'etle t ehanre <h dalPgrtramage de tomite esten rt'Poftfe. t de vete menute. Sem irlr »t mdotrffe. 'Atd. <lence, r#ive minehe, & stn mille et demi4 ali-st son de I'ertllp t S. Plerr.. T2 Ir-M B 10 S. a irare nr ptv«ais fafiles qasi - tka litos d t. uas'wBas et Bo. - 'joie 'Île ropM. ?Afl D UaOeifcuir L au Fr h?':':ra .''**ri 0^:!»roa *osro k q~l^5^ ^^ ^'^^- ^.^.*.c-: DIED, On Glendale Plantation, in the parish of St. John the Raptist, on the 8th day of Janu ary, 1901. ADOLPH E CLAUDIUS CROZET, born in the parish iof St. .amies on the 4th day nf June. 1840. New Orleans. Riehnonid. Va., and Perth Amboy, N. J.. paper please copy. Th newspaper best suited to your wants ia Tih New Orleans Picayune. It has ail th war, political and general news of each day, and its Market Reports ar strictly impartial ad trustworthy. Daily Edition, $3 for 3 months. Twice-a-Week Edition (issued Mondays and Thursdays), Si a yar. Gie The Picayme. a triaL Sirop de Batterie en toutes quantités, à vendre par Montégut frèrea, habitation New Er. ANDREW NAGEL. Selier, Carossier, Se tient à la dis position d s p u blie I nur tontes .,rtes de travau x dansa, ligne d'asaires. (ntmme par le mnsé. la qualité de la marchandise qu'il livrera sers superieure. (hi trouvera tonjours chez lui tous les objets concernant la sellere et la earnoserie. JEAN BERNADAC, Chirurgien-Y~itrinaire, SSe tient en tout temps à la dispoS tion des persnnes qui suraient be soin de jes services. 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Louisiana. are hereby notified that said firm was on the 14th day of Novrember, 1900. ktdjudged a bankrupt on their own petition. .in the District Court of the United States for the Eastern District of Louissana. All creditor. or Carroll & Hart are hereby notified that the second meeting of creditors of said bankrupt will be held before the un dersigned Referee. at No. 121 Carondelet St., New Orleans, Louisiana, on the 22d day of January. 1901. at 3 o'clock p. m.. whereat said creditors shall determine in what man ner and at what time the property of the bankrupt's estate shall be sold, and shall do such other things as may be pertinent and necessary for the promotion of the best inter est of said estate, and shall do such other things as the law may rpqnire, and as may be brought before them, and also examine the bankrupts. JOHN L. PEYTAVIN, Referee in Bankruptcy. Notice to Teacluhrs. All persons wishing to ncncpy a position as teacher of the public school of this parish are hereby notile I to send their application to the president or the superintendent of the School Board before February 16. 1901. CHA. E.. GENDRON, Parish Superintendent. Parish of St. John the Baptist, January 5, 1901. PLANTATION CARTS,_ IMPROVED STUBBLE SHAVERS, ROAD CARTS, MANUFACTUTEDI BY P. BARRE, Blacksmith and Wheelwright. Prompt attention given to general repair work at ,oderate prices. Open for engaRemeut as engineer for eom ita sangor erop. For further information please call on or address me at Edgard P. 0., La. (one half mile below Courthouse). UNION S| p and5 FRHCISCO 01 ' A. E. BOUGERE. Grdceries of all kinds AND GENERAL MERCHANDMSE Agent for BnIaaluo Carriage Wkins thk (e 8ý~i L1ý see4 ·ia~r i~ror~uA Mwaae ,-if Mwrspi dug SaL -es- Aa1Oug