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FEUILLETON DU MESCHACÉBÉ. DE TOUTE SON AME. PAR RENÉ BAZIN. XIV Mourieuo, qui voyait en e moment disparastre dea l'échappe blanohe de la porte le bout de a robe et de la plerine de Louis, répondit : -Bonne petite fille, votre apprentie. Et avec ça battue comme platre. Com ment voulez-vous que je m'absente ? Si je n'étais pas là pour lui choisir see livres, elle irait dans les bibliotbhques publiques oh on leur donne tout... Mademoiselle Henriette. j'ai à vous par ler de la part de Mme Lemarié. Ce nom de Lemarié changea l'humeur d'Henriette. Il éteignit son impression première. -Encore? dit-elle. Ce n'est cepen dant pas un second chapeau ? -Non. Il s'était enfoncé dans son fauteuil, la tête inclinéd, selon son habitude, et il suivait, en parlant, de ses yeux obstinés, le chemin que tont les mots dans les I amer 1 -Mademoiselle Henriette, vous ne e sembles pas lui rendre justice. Mo, jeis connais depuis son aariage. L adhur sauvé de régaoume; eao et g«BeHe; ei~ s est admirable et la vail bh de faire du bm. EiapPusé à - Maci NhO M s *u"m pm rihes, t u|ti I.:~ i* 1':~':: ý,fw- agi- - .Oo Rn d ~ um~b me vous eo consoleries, de pauvres! C'est plus doux que vous ne pensez. Il secous sa grome tête: -Vous allez dire que je me mole de ce qui n me regarde pa. Mais Mme Lemarid m'avait prié de vous parler. Elle n'osait pas, vou oonnaissant encore moins que moL Henriette se redressait, sérieuse, et as physionomie exprimait encore les peu sées qu'il avait dites, comme il arrive à ceux qui écotent de tout leur esprit recueilli. -Monsieur Mourieuz, je vous remer cie, au contraire. J'ai peur seulement que vous me jugiez beaucoup trop bien. Et puis, j'ai vingt.quatre an, moi, je sais... Elle demeura, les lèvres à demi ou vertes, sans prononcer la suite: "Je suis aimée." En v6nté, l'image d'Etienne s'offrit à elle, en ce moment, comme un prétexte pour ne pas céder. Elle le revit, dans le silence matinal de la Loire, debout dans le bateau, les bras tendue. Il lui sembla que quelque chose, au fond de son ceur, se mettait à pleurer. Pourtant, ce qu'on lui demandait n'était un obstacle à rien, ni à la vie ordinaire, ni au mariage. Elle était-nerreuee. Lentement, elle se leva, effaça le plis de ses gants, considéra le pommeau de cristal de son embrelle, et dit: -Je ne souhaaiis rien de cela, Mais je pourrais faire tort i d'autres, en ne le faisant pas. Si vous penses vraiment que je doive aller ohez Mme Lemarid.. -Je vous eo pre. Eh bien ji~ra Un instant aprb, Mourisex, nci6né sur le seuil de a boutique, regardait s'éloi guerla jeune file, droite a milieus de la iamesd, mardhant bima, et relevant de a main gamee, jusqu'à la courbe d. poignet, les piU toambient de M y i jVt s,' |^£M^^.^.^j^»»;JK^^.aj^^l^?:\':51:<l**";*s' '. IIBI^^B^^^^^^^^^"'';®^:^'.'^-°- 1 m~. pumuulvlftY o - tmum" e -tu nom as mwnm ,té mowwmm.mio dôbxua vis% ari nde v 1b, Iw*-d.?l O !ava ba *1 u'dtc. amidsvart louei d p Umu.I.ux iahDlgft Damsla .m~~~~lun loU ~ S omi. :· - mla à&. ·ioe un to wum I t~ Imm vm- : -1 -q.i &a~~~it yqs.ama. ~~a4aot...V.w.dmo peu son associée dans les secours qu'i distribuait, non pas à de grandes on vrières, à des vaillantes comme voun mais aux plus petites de la mode, qui nl gagnaient pas encore, ou qui sont mala des, faibles, usan place, que sais-je 1 Aujourd'hui que je puis mieux qu'autre fois et plus largement donner, mon brav< Mourieux devient impotent. J'aurai bien souhaité quelqu'un de votre mon de, qui ne fit pas peur, à qui on confi.i plus naturellement qu'à moi, et qui mi dit: "Allez, il y a là-bas une misère qu veut bien être guérie." Car le mondi eat ai divis6, mademoiselle, qu'il faul une permission, souvent, pour le plain. dre. Croyez-vous que je trouverais? Henriette tendit sa main gantée, el dit de sa voix claire: -J'emayerai, madame. -Voua n'aurez pas mrme besoin de venir chez moi. Du moins, je ne veui pas vous le demander, à vous qui ave peu de liberté. Ecrivez-moi Signalesz moi les miesres que voua renoontrerez, les petites, les grandes, les œuvres même qui vous sembleraient utiles à fonder. Je vous garderai le secret, et vous ferez de même pour moi, autant que vous le pourrez. Henriette avait ai bien pris confiance qu'ell osa parler de Marie. Elles tinrent conseil. Mme Lemarié finit par dire: -Achetez-lui un petit mobilier, et laissez-lai croire que c'est vous qui l'a vez payé. Elle le vendrait sans cela. Même après qu'un eut parlé de Marie, Henriette ne prit pas congé tout de suite. Elle resta, retenue par une sen sation exquise. Elle se sentait douce à regarder et à entendre; elle lisait sur les traita de la vieille femme le mot que les enfants, puis les femmes jeunes et aInées rencontrent partout autour d'eux: "Ne partez pas encore!" Reflet de la vie heureuse dans les miroirs ternis! Mme Lemarié songeait en même tempe: GOomme elle a compris vite, celle-ci!" Et, sans le savoir, conduite par la force mystérieuse qui enveloppe nos actes dans ses oonseils plus grands, elle offrait à cette enfant la plua inat tendue comme la plus ignorée des com. penstions, la bénédiction des pauvres, et confiait le soin de distribuer l'aumô ne à des mains que seraient, plus que d'autres, réparatrice. xvI it.we -me vi ma »w ll qui s4*e *M11 tUs 'oiat ]w sl" a esaine iratmet du pouvoir tMia d-emander, maoe poar remettie let4 a. Suisemeut, -e burstic d. imeu * ml n. lmimpdUon, et l n'ee. a~p d eoi..aet qui pre plu d'ren ulier ie quaed u peui d liberté di t aeoard; quad p l ut pesam de dith,: "Voua s«a besoin? Pnes." Le s ir, apes le aouper,-oee sois dtm qui - peolongeat en nuits claires. --Hule ie desaNdait plus olotiea la pa de l'mrteaE g et, dans l'inrai mbiable amonoeallBat des citée ou vdaip, le rm plus b.me que la rue nouvele, lee autre plus élevées, mon treat Ie moeed d le urs ondations et munier d'Cso s & rampes, eBe reu oonait le g qâLropes de buveur d'air, la motitude qui respire mal le jour dans ei aelm: et mal la aon dans lee oam bre. m«oobrtte, et qui veille dehors josqu'à oe que la brame mouile le bord des oiffe on le poil ds mostaches. 19 disait: .ommen outvnt l petiteer on biu: Le travail a-t-il repri i 'ruaie Molin N. chomea-vous plasr on bien: *Votre sBar est-ell* soaoa daé,laVidetr Et-oene fille? Est ee un gargoa Sa vrate aaumoe était tels de sa jiueae biD miss et de a. bedigrk s. On la regardait sans dé URes, puee qu'el. était do peuple et de quartier; ave plaisir, parcw q'elle smvit purter, soir et 'habilltr emi un da.m Ave aïlle, 'oe raiet. On rappelait: *mademoisel. Hiriette. 0n mebliit se nom poar se souvenir que son péaeo, e qul st -n aigae d M. Presque parto avet. l'effroi tSgubM d'uae vierge qui aiti, eB L.e. ese. s, «le q "re. deqerti ingratitdes de flhts qai reust ater les viaers, l m mprie du sienl t r<àtlb thTo de » hf7iase, hé re 6d sàMir dila latte troep hlagus t im a init at des iarpa qui diell Ia.. «fc ,t f. V Vemiv.a. So spee44 u.'S..* om as feduo ese ArUN. se* sabsul d'au* 4..kar* aa eds & th 'il pendant, pour si peu, et elle s'en éton a- nait, il y avait d'immenses peines qui s, s'adoucissaient, des larmes qui s'arre 1e taient de couler, et quelque chose com a. me une trve qui survenait. Le ames, ? en l'écoutant, songeaient: "Est-ce bien e. vrai qu'on peut espérer? Et ce simple re doute les soulevait un peu. Il semblait is à Henriette, parfois, qu'elle jetait des a- planches à des naufragés. Elle rentrait Lt chez elle, nes jours-là, dans la nuit déjà Le faite, le cœur si léger qu'elle se disait: ai "Je rajeunis? J'ai envie de chanter." le L'oncle Madiot grondait: Voilà-t-il at des heures pour se coucher ! Si je ne a- te connaissait pas, je croirais que tu as un amour en tête !" Henriette le cal rt mait, mais ne le démentait pas. Le dimanche, elle se promenait, tantôt avec l'oncle, tantôt avec Marie. Mais le elle ne manquait guère, vers l'heure où ix le soleil déclinant fait l'ombre égale à la n hauteur des murs, de travrerr l'avenue .- Sainte-Anne, qui couronne la butte, de s, vant l'église. Elle y rencontrait, à e l'abri des miaisons basses ou des arbres r. à peu près sans feuilles qui poussent z dans le rocher, presque tous ses amis e du quartier, montés là comme des com pagnies de perdreaux qui se poudrent. e Les enfants jouaient par bandes. Les t mères causaient par tout petits groupes, bien isolés, chacun ayant son ombre. t La poussière qui s'élevait faisait aigrette - ur la colliue et tordait sa pointe dans le vent de Loire. , En môme temps, la morte-saison dis e persait les employée de Mme Clémence. - Plusieurs d'entre elles, à quelques jours à d'intervalle, avaient dû prendre des va r canoes forcées, jusqa'à la fin de septem a bre: Mathilde, Jeanne, Lucie, d'autres t encore. La journée achevée, l'une d'elles :était appelée par la patronne. Elle a revenait quelques minutes après, les yeux rouges. De toute sa vaillance et e de tout son orgueil froissé elle se com ,posait un maintien, pour dire: "Au a revoir, mesdemoisellee. C'est mon tour, a ce soir. On me met en vacances." Les intimes l'embrassaient, les autres lui Sserraient la main. Personne n'avait Sl'air de douter qu'on dat se revoir en octobre. Et cependant l'expérience leur avait appris que le caprice de la mode Ss'étend juequ'aux engagements passés avec elles, et que celles qui partent ave une promseee ne reviennent pas tou jours. Elles nouaient leur cravate, elles descendaient un peu avant les autres l'esailier, et, pour la premiaè S&i d tout. l'anoé, se soir-l., lea uUts.I ..bldot PS Ma as 4'-^ PMR à travailler sane elles atoar dte. vertes. L'appretie serrait le taboiut inutile dae le placard aux vsamenta Le lendemain matin, quelqu'une du arivanteè oberchait des yeux labeente, se ovenait, oupirait et -s traisil Hereasemeot, Marie Sehawas itui rstée, gréce à rappui d'Heriette deve nue puoiante au point d'obtenir, pour as protégée, un tree léger relèvement de salaire. "Je le fais uniquement pour vous, avait dit Mme Clémence, et c'est presque ine juatiee. De telles faveurs portaimnt naturelement vers Beriette deo sympathies que, jusque-lA, la crainte de Mie Augustine, la première, avait retnues. Reine, un après-midi, tout oa bout de la table, s'était penchée ver elle: 'Mademoi@eBe Henriette, j'ai une confidence & vous fire. Je crois que je me marierai à l'automne. C'rt tris modeste. Mais je asis tre aimée. Il eat employé aux oheuins de fer. Vou. les-vous venir dimanche? Je serais si heareuse, s'il vous plaisait! Noau avoe parlé de vous." Irm lui avait dit de même, un jour qu'Henriette lui deoma dait: *Vous etes lasme Vous tounmes -Mo? je suis fichue. Il y a longtemps qe je e sais. Quand je erais toOt fait malade, et que je n'aurai plus ma vie d'à prseent, je voue ferai demader, vous, pour me consoler. Mais ce n'et pas tri gai, oe que je vous promets l. Sattendant, a voua amunerait-il de lire n comte de Daudet? J'en ai lu u i joli, que je l'ai copié tont entier, par Sque je ne povais pa garder leivre Je vous apporterai mon ahier, ditr Marie demeurait la moe, hardie, ou vire mdiocre, sans vie morae d'au. une morte, mais afrectoeae et ftaohe abeoimment. Elle avait dit an aint, dan anpe promenade d dimanehe: *Tu saie, je cois queto frère Antoine n serait- p iohé de me taire la cor, alis e e vxes pae, tu eompMds. Ça terait trop de peine" ler as tu. toyaleat depi le jour o Mae avait éé augsmentée Ces Mme O.Miens . Medette n'avait ,syé d' d dis. soa- inutile. Mais, par e jolie iai piatia de jene flle et d'artiete, ael s'était bat d'embellirle aes-mi de -tpe-vannm , il. savait que le me ts p hnoide eeam nit meL MI s it teCp~. e, lïade *is . ,e M .mari, et re pr.digues d'.ooomie alraval doamé a &ir pueqao coquet L prteusmats de Mar*. Tout tarit b4anki à ouf; i y avait y e rideaux aux fenêtres, une table neuve avec n tapis, et, sur les murailles, deux des paysages auxquels Henriette tenait tant, et qu'elle avait prtée à son amie: Tu me les rendras dès que tu sras riche, Marie ! L'ame épanouie est tout de suite créa trice. Elle trouvait des modèles nou veaux, d'une grace telle que Mme Clé mence disait, en les posant elle-meme sur les hauts champignons noirs, dans la salle d'exposition: mJe connais ça: c'est la foraison. Elles ont toutes an moment oh elles ressemblent à des fées. Ça dure trois mois, six mois, et ça ne revient jamais." Cette année-là, les jeunes femmes et les jeunes flles qui portèrent les mer veilles imaginées par Henriette, furent toutes complétées pour leur bon gott. Elles eurent un succès de toilette aux asinoe des grandes plages, aux cour see, aux premières réunions de chasse. Elles ne songèrent pas à l'artiste incon nue, qui n'avait pas signé son euvre, mais qui avait enfermé, pour elles dans l'agencement de ces fleurs, de ces den telles, de ces rubans, de toutes ces cho ses légères et incapables de durée, une pensée d'art véritable, un de ces mo ments divins où l'esprit, sous mille for mes, crée à s ressemblance. Riches, riches de la terre, si vous saviez toutes les heures tristes et toutes les idées charmantes que vous portez! Le matin, presque chaque jour, Etien ne passait dans son bateau, faisait un coude sur la Loire, et gagnait le port de Trentemoult. Henriette s'accoudait à la rampe de son balcon, sous le laurier qui avait des boutons prêts à éclater. Elle regardait, songeuse et toujours un peu pale, le grand batelier de la Loire, qui, lui non plus, ne voulait pas sortir de son rêve silencieux. Deux fois seule ment, comme la lumière était fine et sans brume sur le fleuve, et qu'ils se voyaient jusqu'à distinguer chacun les traits de l'autre, il avait, au sommet de see panier d'herbes, pria un bouquet tout,frais, et l'avait lancé en l'air. Une petite boule couleur d'arc-en-ciel était montée du côté des roches de Sainte Anne, puis s'était abîmée dans le cou rant, et, à demi submergée, à demi prtée, sur l'eau, avait descendu la Loirn. A siure. UTn ISon Jkloyenx Pour laisser savoir au Public que vous avez quelque chose à vendre ou louer, ou vous désirez acheter ou louer quelque chose, est de l'Annoncer dans .. .. .. LE MESCHACÉBÉ. \n\n REO Touring Car $1,000 TOP EXTRA W-en you are starting out for a motor trip. short or long. the one thing you want to be sure of is that you will get back without any fuss or delay. qi~ record of die Reo on die Glidden Tour.. and on ordinary daily tours, s splendid for its reli abilty. et us prove thd to you. 20 H. P. Roamdstr vith Top, 30 10 E P. Ramubot - - - 5m LANDECHE BROS., KILLONA, LA. 60 YEARS' EXPERIENCE IA TRAD MARIMS DESIGNS COPYRIGHTS £C. Anyoanefeuding a aketch and decriptip a quicky ascrtan our opinion free wheUat ma nventinspoablpatentable. Communmlea. titaonatrictI h conadentlml HANOBOM an Iat setfe. s pency for securngWrfenaft 5sd.Ieotic. wtitbot mmrgi In the SCi$&Ntifi JCimueram. A bandsoaely flluimtci weekly. IJmwm·b d ealation of any mciaUllo j.nrnni. TearmL a ge1r: mobU SePhi&d biuMammaim. ~C ~ j~nt01Pla;h~q. THE BANK OF ST. OUPIID'S:S Lad e. Nmt* It, Prudiemt; E Bari 6.iubaax , Y -.mi$ James ClQmeat, Ctohier. MUUC?4T3S:t Lsad. YMatCemet, Edward Gdcbham, Dr.' 8Muey Umutlttw t;A Jaslae,.Pf 1 tuYlnC Uu a talalS. Fmaak P. LMm, [bascs har odE s ibi.SLm* Odaa.t, E tImuu .J Or Dr.L .T Doasldim. D.limme, CZidm L.c wiat. ýlýr GARY STATE BANK, GARYVILLE, LA. PAID UP CAPITAL - - - - $10,00 OFFICERBS-Dua s Lasrca, President; 8. G. BoURnEols, Videe dent; J. A. 8CnAFrl, Cashier; ALEsED LABICauz, Assistant CashIh DIRECTOBR-Dennis Labiehe, 8. G. Bourgeois, 9. E. Keplinger, S. Bourgeois, Wm. Robertson, Alfred Labiche, J. A. Sehafer. 40% Interest on Time DeposIts S. H. LABICHE, INSURANCE AGENT, Writing Fire, Tornado and Cyclone Insuren REPRE8ENTING ULierpl & iles a Globe as. C.., . Eng. Assets $IS ASM ouS 2asurce c.., of New York - As ses l . Box 352. GARYVILLE La J. H. HEMPEL, GENERAL- INSURACCE. 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