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EZUJ.LLETOE DU MOSCRC321. Lia P ll iviai nnEAET TROISIEME PARTIE LE MARIAGE DE JENNY. 'IX lmr CHASSE EN cuase (sfars) II lit mine de ortir. Laurent et Michel l'arrétèrent d'an -Non, noa, moosaear Bertignolle, restes... Vouas tes au courant de mes démarehes, dit Laurent. Je n'ai donc de secret poor vous. -Oe sera comme vous voadrez. Il prit an sau indifférent, m'assit à son barea, remua de. paperabses, écrivit quelqae m"ot as crkyon sur dea bloc. oés%, paramanut as préter aocone at tentiona aux troi hommee, et ne rien en tendre to ee qu'ils se disaient, Larent demandait à son frère: -Tu - -s hes toi an employé du nom de Lamare Besrman?... -Oi, mai@ je roecupais depuis pe ,de temps, quaad je rai congédié. -Depuis combien de jouars? -A moment da mcurtre de Jatel, i y avait x memaiu. à peun près, qu'il 4 a Ma meas bureaux. -QeBles étaient mes toatioan? -Osarger de dépolier les correspou. dmmaedrite Mn langues étrangères.. ce tesei BeermaUn était polyglotte... Il saut préenté ches moi avec des réfé reuase de pleisurs grandes maisons de ew-rYoek, de Philadelphie de Obios go. n p.ala' et éiciva*t. aorrects aaeteiga, r'aaastFriae uad... a-l d e ri ine 4ra. bas... Oue as ant a 'intromt bru. * Muaat:i/ : -J à» 91 . é voa dli,, uar. -at.izn -pna .ha. :Iâpg a nw*wvutwlisae e, 8.4. pro. asIl'«ta«on, à p . broen.ent mjhit.. ava *»wes« d'4crips et qa'll «wnabbit, à Ztt4liliilr.l 4.^rt m --nse«gi,«.. restd Mifilu., 't *. i*gks, l.p^t 4.tMISo at*.lmeee areass N«llpes Lret, crabir, nrs ,ode M. B dat... Cet vau -ub. a'dta0às ysàs haqie va. ease ntA Negas, la saadtt dea«i , stylu pt4met,. vs & &II1tots pe.a.Ws . tal: peQBtaSsiA. - a up jernt se 1 :1 ^,ï--, It I M eeibMl1 riidl ilr; jLftmt, d^fa^^^^^^e e^^^ji7 ^^ 4 site p. ahe» -Les yeux, monsieur de Sonlaimes, car ei le visage se modifie, les yeux ne changent pas... -Je ne pauis affirmer... -Réfléchissez, sonuvenez-vouse... je vous en prie... Gaume semblait nerveux. Une singu lière émotion l'agitait. - Le comte, du reste, ne paraissait pas moins troublé. -Les yeux bleus, je crois, dit le mar quis en hésitant. Comme si une détente se tft opérée en lui brusquement, Gaume soupira. Puis ese mit à rire. * -J'avais done raison, murmura-t-il. Et il tendit les mains à Laurent avec une effusion aommunicative. Le marquis les regardait, mais ne comprenait pas. (aume restu silencieux. On est dit que lui-même à ce moment, ensayait de rappeler ses souvenirs. Il dit tout à coup: -Mais cet homme, e Lasare Beer man, je l'ai vu, moi aussi... Comment diable ne me sais-je peas rappelé ça plus tott.. Oui, oui, et je l'ai entendu auasi.. C'est lui qui, en somme, nous a jeté Mi rador entre les jambes... C'est lui qui nous a dit le premier jour, à M. Lément, le commismsaire de police aux délégations, et à smoi, que le caissier Jactel avait don né reOdes-vous la veille sau soir, à dix heures, dans son bureau, à Mirador... -En effet, dit le mnarqai, je me sou viens. -Il nonus a dit également que Jactel confiait souvent à Mirador le cahiffre de la combinaison de ms caise.. -Os détail m'éebappe, monsieur, dit lemsquis. -Vous ne aves paes entendu, car vous veuies de sortir sur l'invitamtion de M. Lément, pouraller chercher votre mère... Oi, oui, ee Lsare Beoerman a levé le lièvre et nous sommes partis dessus, nous autres, comme de Jeunes chiens equln'ont jaMas chassé et que la premièrae rse du gibier :at u défaut. - edes-oi du aina justiee, maon daier, dit le marquis. J'ai toujours pro damé que MirSador est umocet. -J Mirai " parle aeire. s"c.. Mais enaore aMn 'u de pallence... N. preoas pe les ebsss... Les aaires de Mirador asvatpuesaal... Ne gaSluons rin,.. Qui vw amait recomauMdé est omae, Qaum«iur mda Souinea ? --14edeseB.1 \ -Oh! ok !tvasaoeeptesaulad, d'eus. blé., nu étranger, *a nemuuL,.» -J'aeu tort, pout-4tre... l fauMte est muaise.. a parut très i MteUigent, tiWentesdu. e ouatts, il asauait lien. Aileoasat où s'eestprésenté, je cher. aisii partout - employé cnaisseant l Vaais let l'saaleads *ea ' *e** C"-V la ane ndi s lettres de ar4M M W M i ~~~m oe *$OMM .w tignolles s'impatiuentait de cette confer. sation trop longue. Il s'excusa. --Je n'ai plus rien à voua demander, dit-il au m#rquis. Cependant, veuillez ame dire si vous savez ce qu'est devenu Lazare Beermann? -Je l'ignore. -Eh bien, si par hasard vous le ren contrez quelque jour sur votre chemin, n'hésitez pas & appeler deux gardiens de la paix et à le faire conduire au poste. Nonus nous expliquerons ensuite, et s'il est innocent, eh bien, nous lui ferons des excuses. L'agent salua et se retira avec le comte de Soulaimes. -Du diable si je sais comment nous allons retrouver notre homme, disait l'a gent soucieux. A-t-il quitté Paris, celui là. comme Balmadou ? Ou bien Balma don et Beermann sont-ils toujours au près de nous? Ah ! si j'avais leurs pho tographies ! J'aurai beau faire passer les inspecteurs dans les garnis, cele ne m'ap. prendra rieu... Et il se peut que tous deux aient quitté la France, eoient allée en Amdrique en donnant un faux nom sur les paquebots. Pasr commode, pas commode... Pourtant il me reste un es poir... en ce qui concerne Beermann... -Lequel? -Il se trouvait encore & Paris il y a quelques jours puisque votre mère à re connu sa voix place du Chatelet... Il n'a ps jugé à propos de s'enfuir, c'est qu'il se croit en sftreté, et, depuis deux ou trois jours, rien n'a pu changer son opi nion... Donc, comptons sur le hasard... Comme iUs allaient sortir de l'hôtel, ils entendirent un bruit de pas derrière eux. Ils se retournèrent. C'était Jenay. Laurent s'avança vivèment vers elle. La jeune fille dit en souriant: -Monsieur de Soulaimes,, vous n'avez pas oublié mon invitation à la fète que donne mon père dans trois jours? -Non certes, mademoiselBe. -Mon père a do envoyer ou enverra également une invitation à M. le mar quis de Soulaimes, votre frère, et à Mlle Gilberte, que je voudrais connautre. J'espère que vous viendrez ton ? -Jae puis répondre de moan rère, mademoiselle; il est ai attristé at ai pré occupé... -Qu'a-t-1 enoore àtre triste, puisque mon père a promis de lui venir on aide ! -J'insisterai donc auprès de lui, ma demoiselle. Elle lui tendit la main et lui adreoa ua long et doux regard. Elle était infi. ment heureuse qu'il voulat bien venir. Elle était ai peu exigeante I Elle deman dait ei peu Ele le remerciait de la lente et arensante preon de as main. De e jeu de ane GOamMe n'avait ush perdu. -Eh! eh moniear de Soulabime, vous as e m'avies pa toat dit ? -Quoi done, Game? -o, aites l'étonnéd , n'W-oe pu? Cette jene falle vous aim. A quand le masige r... -Jamas I -Tiem, tienas... vos te dificile... elle eut adorable, cette entant... aans 6ompter quoe la dot doit are éoormet.. Et me toi, ela ns gte oien, m général, et en se qui voua concerne cela vous rendrait apree toot an aignalé servie... -Padoes d'autre hoe, Gamme, fit le comte, brmaqueement. -Soit ! Mai a lieB de parler, toua deux res. tèrent ailendeux. Laurent était m4con tent de Ili-pmme saevoir pourquo. Et Gamme, toat a son affaire, herdhait des combinaisons pour retrouaver Lamare BoeAman. K ASir. \n\n NOTICE eby gtcýiven cC the dImeos t n of QO Cs M CRAM ; SPgIP4) . Ate. Wit) A. OH~AMNE. :NOTICE. '-ic Neb~tmey Idvets oftt diumols Uotl~ Inn U84 R *CHAJI ;PAGNE . LBU.BOROR. A. CXAXEAONZ. J:.BX. CHAMPAGNE. *We,·~ .s T ls·::* b 2'yk j -tr ~~; t~i~~ -fim: ~ilt.~'~imruib ~rSt~~io~ ~aCs 4ihr~e h ~ eh I a~ Nd-s"~i~'ir ·~~rl~ i~a -i' r. J... jOBERT PIVARDE ATTORNEY AT LAW. r, Suite 603 Whitney Ceqtral Bank ez Building, New Orleans, I4a, Will be at St. John Court-House every ill Thursday. 'Phone. Main 4627. James V. Chenet, ATTORN3Y AT LAW. mn, Office and Residence, Mount Airy, La. de Will be at Court-House, at Edgard, te. every Wednesday. I'il ne James Legendre, Ite ATTORNEY AT LAW. Hennen Building. New Orleans, La' us Practices in Federal and State Courts. iI. L. H. Marrero, Jr. ATTORNEY AT LAW, °- Suite 603 Whitney Central Bank es Building. B Phone, MaIn 4627. New Orleans, La. as Dr. O. J. ORY. DENTIST. GARYVILLE, LA. Dr. M. J. BECNEL a DENTIST. e OFFICE AND RESIDENCE EDGnoRD P. O. LA. ou >i- Dr. M. COGNOVICH. DENTIST. SOffice and residence. at Glendale. Lucy P. . 0., Ia.. Will be at the residence of Mr. E. S. Dutreix. above Edgard, every week on Tuesdays sad Wednesdays. 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