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*lIRNAL OFFICIEL DE LA PAROISSE ASSOMPTION ET DE LA VILLE DE NAPOLEONVILLE. Vol. XX .. NPOLEONVILLE, Lne, SAMEDI, 14 JUIN 1879. No. 52. ,rdter CONDMOUP DE ýunlm..... ...... ..... $ , VIX narrîm...,.. .......... ....... 10 Dpoo PRIX DES A~L<RONCE~l: Un carré de dix ligzies, ire i@eýrtioii 5Q Chaque Ineretion suivante......~oeu1&I Cartxie de Profesio4u par au.:12 . i. 'nSasdj&aen ae... ... 12 a . digi devra rdem Yi&ra -lie tiernkj o e la bioa d ero ,7ela vente. an 'PqaaXi ville, ELeeeeeeeeee~~~~~~~~~ e mac -em i; Lie Bayou ayuàtj monté de que4 ques poe...st cea ~deiers, les bateaux f9eçton, capitame Jos >alferes, et Berta, eapitCainp 3F. Bergeroup onýt WI 'avee :facilit. Les nouvelles de VOaest foot es8per que cette crue se maintiendrapendant quel que temps. Dimanche dernier aipanie torrentielle a tombé à. Napo éooville et dans la pai~~ sapé fieur de la pojisase, Depuis, >eB. avoua ea qoelque*eages partias; gui oit afit um grand bien au récoltes. La cai*~ et le mals out changé de coau. « de jaunesquelles étaient pari..te de la secheresse, ces paluntes sont weven~ueisA la suite de çes bieni faisantes ondées, d'un vert t a ïgfique, qui atteste le retour de Sla igaeu~ Cette plite a surtout \iit aur esa immpease au riz qui -étaUt arieuseua ent menacé par la longuesécheresse que nous avons ~provée. soi somnme, tout a'et pas erda si le teipps continu aB omnporter cormnap i s'estco cnorté cette semaine. rons aviois à enregistrer, cette emaion, le décès de deux de nos co-pàroiasiens connas et estimés d'ane grande partie de la popu. lauti. le capitaine Marcisse Z. Dai aprt le 10 courant, à lait. a d'une longue etbien don l1ounase maladie, à l'ge domt #MB. 4 de carrières forent jaxi et plas dignement remplies la siaue. Bon patriote il I. t a divoauemeat la cauSe son pt y, lrqeq.uclata la guer de adoeeion, dn le 2me régi mide cavalerie e Ia. Loeisia lae LGorue la paix fat faite, il reprit coBrageasement le travail et sut meréer uoe position hod w . te. Loraqaue la M aladie vint Ptteiaidre il éta&iwnmiis et in tiesé, croyons- noas dans le Oreent aine, lignp de ateam: - ,otdt Bayo* Lfoorebe. 14 Is unI e asset qlqmuaêt' n eft as fam.lle et nQ souver t S~a ffeeqra jamoai de la ~m Bmtdo ceXux qui 1`OM» cQoap. SR.Caillier est mpot mardi derier, presque subitement, à aPe de 32 ausa Natif de cette 3atie, itl s'enrôla tout jeine preaifat.das la compagn~i de capitame W. A. Whitake loreqaéclatla la -gnerre. A ai'ar, ni entra apprenti à P ,iuaerie dua PioawsWdeerA *fln. Il poseédait uelqu'tim tEnétion et assezdesprit »ature. 'îoaaeeux qoi, cotime nous, etti particalièrement oonna »eweat que le xegretter, ear, î6ti4 de quelques légers dfau 4ot il édait le senul à sooffrir, posedait: ne belle Am e et de ealUtés précieuses qXz1 aes'oa NORD ET SUD. vé - , et Nous lisons dans le 9tar : c6 Dans un discours de Deeora tion Day, le général Schuyler Hamilton a dit: "L'an dernier, Ça an pied de la statue d'Abraham Lincoln, je louWis la coutume de décorer de fleurs les tombes des Pa rebelles morts sans les distinguer pa de celles de nos camarades mqlts. Elles étaient le fruit d'un accès La de géuérosit sentimentale dû ce aux fausses représentations, de fri rebelles éminents. Je désire faire amende honorable pour ces re- su aiarques. Je recommande main de tenaut qu'aucun membre du poste le Abrahtiu Lincolu ne dépose Une s fleur sur le tombeau d'un rebelle. de It&&étaienit traîtres en 1861,ils sont lui if$aitres aujourd'hui. Tout l'hiver tr i.lj oet couploté la trahison dans les salles da congrès. Les ceurs ne brleut des mOunes sentiments et In lon pourrait prendre les mêmes P" armes qu'ea- 18, ,et beaucoup de loi inous sont enco'e en vie pour les ro reprendre s'il est nécessaire." ré L'expression de ces idées inali cieusés, dit le Courrier des Etats. f ITtis, fondée sur une fausse sup position et no amer sentiment de re] parti, était en téalité nne profa nation de la mémoire de la statue d'Abrahaoe Lincoln. Si l'esprit te' du généreua et cordial défunt président pouvait ressentir la Ssouffrance,, il aurait souffert de fi ces paroles cruelles et anti-pa triotiques. Persoimie ne doote que, si M. Lincoln eût v~ n, il cr !arait fait plus que tout autre PC homme pour cicatriser les bles- vc sures de la guerre et pour réta- vt blir les, relations fraternelles et affectueuses, entre le penple du fo Nord et celui du Sud. Toute sa d« politique et toutes ses paroles le PI démontrent. La reconstruction .e aurait té véritable et cordiale, et i iqas n'auoions ,pas vu revivre lè l'animosité secttonnelle des as.- lu nées après la restauration de la pi paix. Son meurtre a été très mal- le t heureux pour le Sud et pour le M pays entier.. i Peu de personnes sont assez rÉ yiles pour porter l'esprit de ven geancejusquedans lestombeaux. ih l11 ny a henreusement pas beau a coupde Schuyler BIamilton. Le peuple américain est généreux, et il bonore la mémoire des bra- ci Sves morts, même quand il Ies a lE combattus vivants comme enne .. mis. Toute nation g4.éoeuse et ft ,civilisée a fait de m4ne. Les Bo P maiin. comme l'a rappelé Char- P i- les 8amner en 'oppotant 4 la célé6iat.ion des victOijes de la d pgetrrt cifvile, eroeyait aage et a patriotique de ne pas honorer de s Ssemblagbes victoires et ld ne per- e ri tueti d'aucune façon le conve- q i dec guerres civiles. Mais le iamiltono eut Ierpétuer l1 e- t m Vers .ird les morts et a i-. entre P vanits,, qui sont conci toyens égaux udans un pays res- i taur, aprèa ds anunes de paix. il Sa rouarqne ouchant la résur il rection. de lêzéhellion et la tra- ( bison complotée au congrès par f les bpmmes d. Sad, est trop ab- î Ssurde pouar m6titec une réponse. n- Il n'a pas ao»b de fondement à i l cette aeertiofl hasardée. Il van drait beaucoup mieux qu'il n'y 1 - et pas de Decoration Day que s'a servir pour fpire revivre perpéter les queptions de et les manruvsa& ntiments i t Bestionnels& On a dit que le par * 6- ti républicain a établi ce jpour de i avec l'objet d'entresir les di questions de guerre peur des vi ees politiques, mais nous ne pen. Si pas qa'il y it tatge dans ce ,te pati beaucoup d'hpmmes dési teax de porter la politique dans lee tombes des m.t_. ,î ** - . ; -_; ~ ~ > LLIs ~ A IpRADE. > donne d aiotail"séporuvu tbles sur l'êiÏ&'ution de La lirada Pour es débuts, le »oiveI exé.] rateur, Deiblr a été mis à une' :àde épreuve. .Voicl ýle réeWdný Jezuli'g-en: [Ae i entré danhslu ellle ~4. re1 qni vient'6trn pré. ~~i#qusas. 1Ùtaî4 fatl ~t aririz vé, 'exécuteur prend une chaise fri et l'offre au condamné, pour pro- de céder à la toilette.t Laprade refuse et dit : -Noni! j veux- y aller esomme pr ça!- se Le bourreau reprend : si -Allons! allons! ne faisons bi pas le méehant; nous ne voulons le; pas vous faire souffrir. --Moi,je veux souffrir, reprend se Laprade. Je n'ai fait de mai alà personne. Vous me faites sout frir injustement. vi L'exécuteur lui met la main so sur l'épaule, et, avec le concours des aides et des gardiens, il veut d< le faire asseoir de force. Laprade qt se défend énergiquement à coups de pieds, et alors commence une lutte qui ne dure pas moins de im trente minutes. se Enfin, deux des aides le pren- gi nent par les pieds, l'antre aide et un gardien par la tête, les autres [s gardiens où ils peuvent; on l'al- ti longe sur les dalles : on lui gar- él rotte les pieds. L'exécuteur lui cc répète : li .-Nous ne voulons pas vous c( faire du mal. lo -Je veux y aller comme ça, til répète Laprade ; le veux soaffrir. p On lui ôte ses bottines. -Levez-vous, lui dit l'exécu- le teur. * m 1; Laprade e lève. On essiye de nouveau, de le t faire asseoir. t Il résiste en disant: : -Je suis innocent...Si vous ( croyez que ce n'est. las piénible I, pour moi ! Il vous le sentble, à g vous iatrtes.! Je voudrais bien .vous voir à mn place ! ... d Et aux aides qui veulent le l ,forcer às'asseoir, il résiste à coups q de pied;: car, s'il a les mains t prises dans la lcamiso le de fotce, ses jambes ont été mal serrées. Les aides et les gardiens l'en lèvent de nouveau, I'allongent et. lui serrent plus étroitement les fi pieds. Un gardicn le prend par c les cheveux et lui cogne horrible v Sment la tête çontre les dalles. La- I pradle pousse des ciis.terribles, q Srépétant : 1 -Vous,io.e aites mal, je suis p innocent. Puis il ajoute, vaincu: I B -Eh bieRdl je vais m'asseoir. u On le'redresse sur ses genoux é et la toilette commence. Avec q Illes cisFkux, un des aides échan-. ;cre autour du col, la camisole de tftorce, et les vêtements que La prade porte en dessous. On n'a Spas en à toucher aux oheveux. a L'arrêt indiquant que le con a damné serait conduit en chemise t au lieu du supplice, on lui a jeté j sur les épaules nu peignoir blanc p. et noué sur la tête nn. voile noir, . qui descend jusqu'aux genoux. e -Voulez vous marcher on, vou r lez-vous qu'on vous porte 1 de it mande le boprreau. i. -Je marcherai, répond La s- prade. p. Arrivé au lieu du supplice, on r. relève.le voile qui.couvre la face a- du condamné. On constate que ir sa figure est couverte4llecchymo b- ses et de contusions. e. Ces traces livides et sauglaiites à sont le résultat de la lutte qui a n. en lieu à ha prison et de la ma 'y nçnvre de celui des aides qui e cognait la tête de Laprade sur re les dalles. le Après qu'il a entendu la lec tà tnurw e la èondamnation, les Saides, s'emparent de lui, le pons le sent contre la planche à bascule; ee la tête est déjà dans la luneute, ri. mais Lprade tord le cou et le a. bourreaa est obligé de la repla ce cor 'iapQmnb; 11 presse un bou si- tou, le couteas tombe et.-..-la ns foule lousse un cri immense. Tr.ie d'Amoeur Filial. Depuis quelques jours est des oendue à Paris auu grande dame espagiole, Mme la duchesse de ;T..V..., quia perdu ses deux fils dàna les plus horribles cireoun atances. Son fils ainé mourut, il y a quelque temps: de la fièvre ty pholde. Oéttait son préféré. En voyant la douleur de sa ramre le plus jeune, un enfant de six ans, se* dit "qu'il 'u voulait as qua emporât a on grand W* frère, parce que cela ferait trop de peine à la duchesse. Et voici ce qu'il imagina : II retira son frère mort du lit, profitant d'un instant où il était seul, le cacha dans une pièce voi sine, prit sa place et se raidit si bien que ce fut lui qu'ou mit dans lecercueil. Quand on s'aperçut de ce qni se passait, il y avait déjà vingt minutes qu'il était entrminé. On ftt sauter le couvercle; il vivait encore, mais il mourut le soir. La mère faillit devenir folle deP douleur, et cest pour la distraire qu'on la fait voyager à présent. -A Sumatre, le fonctionne ment des lignes télégraphiques se heurte à des difficultés d'nue singulière espèce. Ainsi, de 1874 à 1877, il y a en soixaute oas où les communica tions ont été entravées par les éléphants. Le rapport officiel constate que, le 25 mai 1876. la ligne Muara-Dnra Lahat a été complèteméut détruite sur une longueur de 3 pauls et que les fila avec les isolateurs ont été en partie trainés dans les jungles. Les réparations faitespendant le jour sout renversées pendant la nuit. Eu outre, it est extrênement malaisé de sarveiller les ligues télégraphiques dans les fourrés é)ais, à cause des tigres, des oirs, des buflies sauvages (ou bisons) si nombreux en ces para. ges. Il y a encore les 'singes, grands et peti4s, qui se servent des appareils. pour y exécuter leurs exercises gymnastiques, et qui dans ces tours de tnap.ze cassent les fils et brisent en mor-! ceiux ss isolateurs. Une anecdote dont le héros est feu Lassalle, I'ancien chef du so cialisme allemandi . Nous la trou voiu Pacoutée- d«nts la Schelefische Prese par Mme1 de $acowitza, qui avait beaucoup connu Lassa le.et quelle avait été mmne sur le point d'épouser: "Lors de sou premier séjour à Paris M. Lassule e présenta chez une dame célèbre à laquelle il était recomnmandé. Le domesti que ouvre, le visiteur lui donne AUX HABITANTS SUCRIERS -- ET - MARCHANDS DE CAMPAGNE. So SConsolidated Fire Exting"isher Co., z * S-SUCCESSORB TO SBABCOCK MAN UF'G CO. J. B. MOORE, Agent pour les Etatedu Golfe e No. 85 Rue St-Charles, NIe-Orléans. ENY MAAr la ucrire J . . O LENR M4URAS 411 o1 4t, Scrae sa carte et on le conduit au bon. doir: "-'.Prenez place, madame viein dra tfot de suite. "La porte s'ouvre, lia belle da. m ne entreen niégligé, les pietd nus dans des ipanutoults, en le saluant nonchaainment. "-A. vous voilà, bonjour. "Elle se laisse choir kur le ca napé, ôte la ipantoufle'et tend à Lassalle son joli pied rose. L-is saille est grandement surpris, mais se rappelant qu'ent Alloma gne on baise souvetla inain.uux dames, il n'hésite pas et déposo un baiser sqr le pied qu'on hai tend en disant : "--Charmé, madame le cette nouvelle manière de fiipe connais sauce, c'est bien plus joli et sur tout plus intime que d'embrasser la main." . * "La dame se redresse'tout in dignée, elle prend son binocle pour cacher son embarras: "-Mais, monsieur, qui êtes vpus ? je vous ai pris pour le pé dicure; vous m'avez envoyé ette carte." S'Lasslle s'aperçut qu'il avait donné la carte d'un pédicure trouvée le matin à Ihôtel. "On s'explique, et on finit par rire de la méprise." Ou n'en finira jamais avec les combles I * Le comble de la dextérité ; -C'est de faire un nœud au fil de l'épée. * Le comble de la discrétion: -S'empêher d'éternuer pour ne pas réveiller l'eau qui dort. * Le com.ble e la démence: -Rhabiller une montre .... -Un mot d'oi,>ant terrible: Le maître d'éeole-Mais, mon cher enftat,. coimeut se fait-il quo tu ne fasses aucun progrès dans la lecturel A ton Age je li sais coaranunent à première vue. Lenrauit-C'est que sans doute vous aviez un meilleur maître que moi. -Trouvé sur le carnet du prin ce X...,., le plus méritant des gourmands, car il est affligé d'au estomac déplorable: "Le paradis est l'endroit où l'on mange. JL'enfer celui où F'on di gère." UNE HISTOIRE DE CHASSIt .....ons étious sur la piste d'un solitaire dans la forêt de X... ; la chasse, menée par Ké randal, marchait bien; c'est sa spécialité de mener une chasse, et la grosse bête surtout est son triomphe. * ouns avions une excellente mente, celle ldu due de *** qui iavant de partir pour Y..-, avait chargé Kérandal de faire prendre !l'air à ses chiens; nous avions Sassi des femmes; cela encombre Squelquefois, mais ou se rattrape Ssur autre chose, du Sous ces. premiers rayons d: soleil, les bois sont s.plendides 3 Les furs, croient que e imois d'a vril les appelle déjà, et elles mon t- trent avec confiance leurs têtes >. blanches, rouges, jaunes, entre e les feuilles sêches et la mousse verte; les bourgeons brillent au t bout des branches dorées; les e oiseaux, ravis, chantent, se réua nissent et s'unissent. r Yvounette, qu'aujourd'hui on appelle respeetueusement Mlle Yvonne, nous suivait pour la Spremière fois, sile était encore plus contente que les oiseaux ! Etre traitée en grande fille, compter pour qaelque chose, quelle joie! On lui avait permis. de tresser et de relever la cheve leare invraisemblable qui, hier encore, flottait sur son dos. (Yest grand dommage, mais il parait Sque cet étalage blond et ondulé n'est pas compatible avec le bre vet de fille à marier. Son père n li a ramené de Londres un rude I poney, méchant comme une gale, mais allure d'enferet pied infaik l- lible! Il escamote les obstacles; e. c'est si rapide qu'on ne sait com te ment il s'y prend : il fait trois e temps d'noe longueur étonnante, sans avoir l'air de s'enlever, et haies ou fessés sont passes; quel "'le singulière bête! Mlle Yvonne e a désiré avoir des fontes à sa tu selle, et, comme on ne lui retnse / rien, elle en 4, Mootpiuson lui. Sa dit qu'elle pourrait y mettr 'des bonbons. .... "Pourquoi pas une pou,. pée r a t-elle répondu. Heureuse fille ! Elle a seize ans et se fâche quand on a l'au dace de constater qu'elle n'en a pas trente. Yvonnette montera aussi crâ nement que sa mère; elle se con tente encore de se tenir ferie sur son poney, mais, dans deux ou txris ans, elle fera de n'im porte quel cheval ce qu'elle vou dra Cette pauvre marquise n'est plus elle-même depuis que sa fille est dans la mêlée; elle a lesyeux fixés sur l'entaut et le poney et ne voit rien autre chose :le .an glier pourrait passer sur elle sans qu'elle s'en aperçut. Ah ! l'amour maternel! Son grand anglain, qui, soit dit en passanti commence à '-flrtanqurer, s'aperçoit biei qf--. elle ne 'occupe plus de lui, et il Me paie diesécarts. L viýeomutesse est toujours pre miète en tête; elle a l'air de jouer, ài la patte avec le eàanglier et de vouloir l'attrtaper Imr une oreille. Singulière petite flemme, on pour mieiux dire : cltartat garço ! J'ai iu iriandaiitl qtue vous ne connain.ssez pas ;.je l'emmènerai à 'Pari le mois pr :bain, s'il ne we tue pas ici ; i a des Umoyens foi-. amidibles, iais a1i moindre ob stacle il fant l.tter lillndaut pih. sieurs minutes ; il est de vitesse Jiors ligne, il a des sommes 8flliïs. laiin les jambes; je le destine A i'eitrainiemient ; c'est même assiz bête de le risquer dans tos boir.. Ent, me battant avec lui pot.r traverser hi route qui col.e la. roinr. je me trouvai tout à coup enit 'at..ce o'e voittre dles pow lps funèbres menée ei daumont. (ornevilte e voulait ilbsolument i p-i franchir le fossé qui borde lat route, et comme je ne voulais, pas sauter sur le char, je m'ar rêtai pour lui laisser le temps de passer; j'aperçus alors Graudsac,,