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trpariafl ........... ................. 0~iurLBi AVAZL Los~ tel ildsoeuOleI peuple dela lé Wfai mgtmdre m voix iem. pronoeOsa <tink& a u * *h. t ea faveur du %swPmiIe et êcra8aflte, ao quqelques immiue% 00 *réw etL Pl _.et tous les ocmo liggoggiqua ont été élèl $ m di Omo iU fOtb, et la chambre 4, 0.é.t etsele éDlst d'état pl epsséU «tiSSUno I de ti 01r1t um croyons mams, M4dhmstoire pagdu 1M je vZ deeste parola: el J. · * ... ... 1... . p I~.a 13lw: Ir ,................ 151 151...... ........ 115C L t .o.d.lr . ·. ...... 1112 ftsa UIEtYIfK Pom CoJo'E' cmmut .............. 1428 J.JO.A...... .1112 j~aS IEBEBENaUTS 1 ......................1517 I ..s.. ....... .1156 t. IdsIsEUZ.r ··· .1117 Po U Jm>oB: V. Caiouet. .1528··,,6 hGE AvOoAT DU DxyiGnto: . P.NaatIa ,,...,.15 l38 fi. IL ic...............60 A. J. oonvilain · .·1i35 odchahiUz .1114 lmeA Muusoon..~-·- 1093 VOTE POUR 8BATBUIE le Ls candidats démocrates au poste -' Ssunateur d'état ont ontorti vtico '- dans l'élection du 17 courant. a-. W. H. Price, de *ot.-e tN (» ce, - Alcide J. Bonvialai, iu. *jre Ime, nous représuteoet , Jnt j r--it le terme de quatre s, Void le vote qu'a reçu f que ïidt, par pbaroise: W. R. Prie. moUpUoa.............. ...** diuuchee... ............15O60 UMbrMue ......... ......1186 353O L J. Bonvilli a. LAmptjlo ...... ............ S3 "-Arcbe.. .... .......... 135 TtaMbooe..".... ........... 1183 3254 Jis Oodchaux. >4oiompUlaù.......... .......62 IIa~.............. ........111 Itusoue.... .............641 2317 Iimy A. MuMos. - .«*UOI ......... ......3 .-^î.. ...................10^ TumOs^.^...... ........631 NulroiédeM. FPrlose r L Iod Nulslitéde dM. IJ.vlldik lut 8 hti, *47. Voidseyote pourjii~sa S«iCeS d e 69 dams Las d>&OAI5 AL bodâretTenibm : PFus JUos. làk P. Vsltlocm* Inftk@ *................. 1528 brubmu ..................Iz ~~uèmss 11ê2 2726 lhionté en faveur de L. P. CaI PMI Avor£T uD Domncr. W. P. >lsrua ..~,~ .~~~.........1:~ ..k 1......... ... 1170 2708 L c. boise Latcuri.e ..... .1114 %iq 928. LES FE31M 1 AUX £TATS-UIIS. L'eirée du femmes dans les i professions 1 iérales p-end, aux Ette i àio, des Pr oportions extraordinaires. i 11 y a d-51 i plus de 4,500 femmes I médeins d ai& Ic Etats de l'UDionI au<neain . Les femmes peintres et sculpteurs sont plus de 10,800 'aui pays des lollars, qui possède, en outre, 22 femmes architectes. 129t femmes lnguieura et 208 femimes léeistes. Par Iégloi la, les femmes s'adonnent aux travtil ix des bureaux, où sont ooeupées, ' lisent les statistiques, 27,700 teie omes de livres et compta. biCes, 64,04.8 jeaones employées comme copistes oa secrétaires. clavigra phistes, saéi oqpraphes etc. Les "cler gy ladies" sont au nombre de 1235. Mentionnons aussi les 4,865 femmefi qui occup3nt '"une poMition 'oftcielle. Il s'agit de fonc tioas poLitiaqusa rétribuées. Quant ai ix femmes écrivains, elles forment n tu catégorie très considérée et très oo-n idérable, qui ne comprend I pas moisa do 2,7256 ersonnes vouées aux étude. Ulitéraires et scientifiquts. I f Aungleterre, la seule pressede Londres c mopte près de deux cents collabora t srs en jupon, et aux sEtataUn i. , d'après les derniers recenseareaiets, il y a 88t femmes journaliit eas LA. F Y1MME DISTINGUEE. C'est n De charmants -hone que la le diutinctio : mais il ne faut pas qu'elle ck igénère en prétention et en ei manière a.. a Lorsqiu 'ne femme entend le me. s' nage et k .affaires: qu'elle est agrea a ble et pla it dans le monde; qu'elle a s' de l'esprit,, sait lire et causer, elle y forme p ar l'associaton d. ces diyer- -é ses qua li tés un être harmonieux que b je nomio erai la femme distinguée, y c'est-à-d i. re la femme capable de tout V aimer d ans a famille, do tout comn. d prendre, et d'agir; la femme qui sait c être aUn .able sans être légère, soig l neuse de sa penrsonne an être fri- t vole; lo. femme qui gouverne la vie 1 en se pli.i nt à ses exigences; qui eu t 1accepte 1 a partie matérielle sans la 1 négliger, mais sans s'y absorber; qui ( en tait, s l e puis dire ainsi, le piéd estal d.'i ue vie plus élevée. Son i s âme p'u ie alors dans les nobles i . sentimc n.ts et les principes solides le i courag'. de tous les dévouements; s on in't Lligenoe trouve dans le culte - du bsau, dans le commerce des t grands esprits et l'habitude des solidea pensées, ce sens élevé que' e Joubei.t appelait le sens exquis et qu'il v< butait faire pénétrer dans le bon aieus pour rendre celui-ci plus 4 que jsi-mai le maître de la vie bu. o main - ; maitre sage et soigneux des 6 intér'êta matériels comme de toud les - autrE s, et qui, dans cette science o supérie ore qu'on appelle la science de I6l vie, sait en coordonner tous les 4 élénienfi, faire i chaque besoin de l'Ame et du oorps, aux aspirations de l 'espait et aux convenances sociales, _ la part conforme à 1lâme, au devoir ý4 et à la dignité de l'âme humaine. Toutf fiemme, lorsqu'elle le veut, ; peut tres dainguée. La noblesse 14 est l'o vrage de la nature, la distinc. t lon est celui de l'art, l'une est née avec eioas, l'autre s'acquiert. 1. CLhUS JUviANILLIL UNE LEGENDE. ( Ltheu den plu as hrnaotef ma-. doaer de Baphelc est bien celle de la -ieryf • la Caoise et ou racoote i l mpou d'elle une ta johe légeude. i II y « oent w nh , un ermite que l'on I tppelit le Père Bernado, vivait dons les mooftoe de l'Italied il étaity. tei raimé der poy8,no, tes vorina,iw qui le ooonult8ient en tout I répé. , tait :ouvent qu'il ne s'en uyait pan do ns anolitude paOge quril svaite derux fille : une avec qui il pourvait cruer, et une qui était muette. La premi6re était la fille d'un vigneron qol demeurmt tout pr de I'ermitge. Elle niommait Marie et elle ae pliulit a rendre toutes iortes de rervetce au vieil ermite. Ce qu'il appelait ah lle muette p tait un beau ' vieul cnue qui croifslit prvs de sa tlibae, la protgesnot contre les tem. pites, la onuvrant de hon ombraige, et t le neillord le aonmidrsit codmme un -rbon wmi Il nourrimeut lea petith oiseaux qui vivaient »ur res branchm, et ler peitr oieeauz le remerciaient pr leura dooen chanrona . Bien deL lwor les bûicherong avaient voulu Sabattr e oe tel bre, mwi le ,"re Bern.lo avoit pri qu'on le csnser Svat et il était resct l Puis il vint un hiver tamble-lM IltemrêteI furent ii ,orte, que :es Sarbre bureut presqueI toua déracinés, Ia i scs,.iescsd Lrthque toutes rienveraée, i el ce hule !e vent éipargait, l'ovh . 1 içh.i le dwtatruisait n U jour, w aprb S.;1, sahithat h 'was, , what r:e et l!on père, allèrent voir ce que le vieil pl< ermite était devenu ; ils craignaient hy qu'il n'eût péri. Mais ils ne trouvé. lei rent sain et sauf, sa fille muette avait sauvé sa vie. Er voyant venir no l'avalanche, il s'était refugié sur le pr toit de sa cabane, mais il s'aperçut cli bientôt qu'il n'y était pas en sûreté, pr il regarda le ciel comme pour lui ne demander secours, et il vit les se branches de son bon ami qui sem blaieut se pcucher vers lui et lui ti offrir un refuge. Il alla prendre to quelques croûtes de pain, puis il cm grimpa dans l'arbre et y demeura trois jours. Le chêne seul résista à pi la tempête, tout le reste fut balayé, ni emporté, et quand le,'~lme se fût rétabli, que le soleil se fût moutré de p nouveau, son autre fille vint le cher.' I cher, l'emmena chez elle pour le tia réchauffer et le faire manger, car ce fi long jeûne et cette horrible tempête l'avaient épuisé. cl Alors le bon père Bernado appela tg les bénédictions du ciel sur les deux d bonnes filles qui lui avaient sauvé la d vie et il demanda qu'elles eussent n une gloire commune. Les années passèrent. Le vieil ermite mourut d Miane se maria et devint la mère s de deux petits garçons; le vieux a chêne avait été battu et ou en avait fait des futailles. à Un jour, Marie était asise sous j une tonnelle et ses enfants étaient t avec elle-le plus jeune dormait dans ses bras, l'ainée s'amusait à courir- 1 elle pensait au vieil ermite et A tous t a les souhaits qu'il faisait pour elle, en i s se demandant s'ils seraient acuonplis i a eu ses enfants. Son petit garçon accourut lui montrer une croix qu'il i. s'était faite avec deux petits bois, et t au même moment qp jeune homme a s'approcha d'elle. Il avait de grands e yeux rêveurs et un air fatigué. 11 r- -était très préocupé, il songeait à un ie beau sujet de tableau, mais ce n'était e, pas asse clair pour qu'il pût le it peindre. C'était Raphaël Sanzio m. d'Urbino, et quand son regard ren. it contra le gracieux groupe formé par J Marie et les enfants, il vit la réalisa i- tion da rêve qui hantait son esprit. ie Il avait un crayon, mais sur quoi ,u dessinerait-il Voilà qu'il «perçut la le convercle d'un tonneau de vin. Il ui s'empressa d'y tiacer les contours de d- Marie et de ses enfante, et en se )n retirant il emporta ce couvercle. Puis es il n'e3t aucun repqp jusqu'à ce qu'il le réussi à faire cette admiSble peinture s; qui est connue de tous sous le nom Ite de la Vierge'a la Ckaaie. les Ainsi fut exaucé la prière du Père les Bernardo, ses deul filles parvinrent ue ensemble à la célébrité. AU COUIRS D'UN SIECLE. d Avez vous la curiosité de savoir l combien d'empires ou de royaumes " se retrouvent en 1900 avec le même - uom et la même dynastie qu'en 1800? lisons.nous dans Il ,Suoisu Reli. ,aeWe, de Cambrsi. Vous n'en trouveres que quatre en Europe: la Grauide-Bretsgne, la Russie, le Danemark et la Prusse. Quatre se retrouvent *vec leur même nom, mais ont éprouvé des modifications dynartiques: l'Espagne, le Portugal, la Suède et la Turquie. Quatre ont disparu, qui existaient en 1800: l'ancien Empire d'Ail. magne, le royaume de Naples, le Hanovrv, les Etats romains. Sont nés et existent encore: l'em pire d'Autrichel les royaumes de Bavière, de Saxe et de Wurtemberg, Ik ropaume des Pays Bas, la Grèce. la Belgique, l'Italie(issue du royaume de Sardaigne), l'empire d'Allemagne nouveau, la Romnanie et la Serbie. Soit, onze. Sont nés et morte dans le cours du siècle: le royaume d'Etrurie, le royaume d'Italie (Napoléon roi), le royaume de Westphatle (Jérôme SBonaparte), le royaume de Hollande (Louis Bonaparte), l'île d'Eibe (Napo. léon smpereut). J'omets les roy. aumes de Naples (180e) et d'Espegne '(1808), dans lkaquels Napoléon 4eî n'a fait qu'une substitution de rois. On peut compter aussi deux ray. apmes et deux empires français, I remplacés par deux républiques. Enfin, le royaume de Norwège e vu sa couronne passer des rois de Danemark aux rois de 8uède. t Tel est le bilan de ces cents années, du moins si Je n'ai rien oublié. POUR SE BIEN PORTER. Un confrère de New York indique les moyens qui suivent pour avoir bonne mate. Ils méritent d'être notés. l.-Demeurei tempéré dans le travail et conserver toujours le calme de l'esprit. Je rien pousser à l'ex trême et garder la modération en toutes choses. Ces conditions sont la ~esac fondamentale de la vie har monique. IL-- Vit autant que posaible u, plein air, au soleil, dana un site 5 hygiénique. Eviter les maisons et t les endroits humides. d II.-Manger modérément une n nourriture simple et salubre appro- e priée à son travail, a la saison et au I climat. Manger doucement et de a préférence en compagnie de person nes amies ayant une conversation agréable. IV.-Prendre un exercice suffisant, ttnt de corps que d'esprit. Iviter I tous les excès et se mettre en garde j contre la fatigue. V.-Terir son corps toujours propre par des bains, des frictions. et un lavage quotidien. VI.-Porter des vêtements qui protègent convenablement le corps sans comprimer aucune de ses par. ties, tout en leur conservant une 4 franche liberté d'allures. VIL-Prendre son repos dans une chambre bien ventilée et dormir un temps suffisant pour le repos complet du corps et de l'esprit. Ne jamais demeurer au lit plus de temps qu'il n'est nécessaire. VII I.-Boire de l'eau pure exempte de tous germes nocifs ou toute bois son naturelle non alcoolique et béné. SBciable à l'estomac. IX.-Laisser agir la nature dans son fonctionnement normal et je b jamais laisser aucune matière délé. i tère séjourner dans l'organisme. a X.-Eviter les fatigues de l'esprit, - les excitations fébriles, et les causes s de découragement at de dépression i morale. Ne pas être ni trop opti s miste, ni trop pessimiste, et prendre a la vie aussi gaiement que possible. 3I ECOL. f Nous reproduison' ce qui suit du Progrès de Lawrence, Mlus. : &ax prétentions de ceux qui pr& , nent, chez nous, le fallacieux et im. puissant système de l'éducation soidisant gratuite et obligatoire. opposons aujourd'bhui les concluantes remarques suivantes, empruntées à un récent article de M. l'abbé Gay raud, député de Finistère aux Chasm. hres françaises : ,"C'est une aberration étrange que de vouloir couclure du fait que l'Etat doit garantir à l'enfant la vie maté. rielle et même l'éducation morale, le droit pour la puissance publique lde se substituer aux parents dans la direction de la vie et de l'éducation de l'enfant. L'Etat n'a que le devoir de punir ceux qui manquent aux saintes obligations de la paternité, et de suppléer à leur iqdignité ou i leur impuissance. Les devoirs et les droits du père sont antérieurs aux devoirs et aux droits du pouvoir social. Toute la raison d'être et par suite le seul rôle de ce dernier con siste à faciliter au père l'accomplisse ment de ses devoirs et l'exercice de me droits, à sauvegarder ainsi la dignité personnelle de l'enfant, A assurer le développement de toutes Sses facultés. B règle générale et d'après les inclinations mêmes de la nature qui, mieux que le père et la mère aurait soin de l'enfant et diri. gerait sa formation physique et morale ?" POURQUOI UNE FEMME SUFFIT. t Une Américaine qui voyageait en Chine est allée rendre visite aux ï épouses d'un grand mandarin. Ce fut une véritable fête pour ces Chi- I noisea dont l'existence se pae presu qu'entièrement entre les murs de leur yamen. Curieuses. elles exami. naient la toilette de la visiteuse, mali ce qui les intéressa le plus ce turent ses souliers et le fait que ses pieds n'étaient ni liés ni informes. Alors, l'une d'elles demanda, par l'entremise d'un interprète: -Vous pouuez marcher et courir comme un homme ? -Oui, certainement. -Monter à cheval comme un i homme? -Certainement. -Alors, vous êtes aussi forte que la plupart de hommes t -Je le crois, oui. -Vous ne voua laiaeriez pas battre par un homme, ni même par * votre mari ? - Assurément non. La Chinoise s'arrêta, se mit à rire, puis dit: -Maintenant, le comprends pour quoi les étrangers ne prennent )ja mais plus qu'une femme. C'est qu'ils e ont peur. rJ^ -. __ Una éclipse totale du soleil se fera le 28 May. Il v a 11 ans que la deruière éclipse du soleil s'est faite et la prochaine n'aura lieu que dans 18 a&s. L'éclipse du 28 de Mai est considérée une des plus fortes qui aura lieu et des astronomes se pré parent a en prendre tous les détails. La place la plus obscure durant I'éiipsc bar la Nouvelle-Orléans et 50 miles alentour. Elle ne sera totale que durant une minute et demie. Mais depuis le commence ment de sa formation Jusqu'à la fin elle durera deux heures et demie. Elle sera totale à la Nouvelle-Orléans a 7 heures 32 minutes du matin. LE TRAVAIL Voici l'aurore qui parait: Le gai matin brille tout rose, Et de mille couleurs paré Le soleil dore toute chose. L'abeille sort en bourdonnant De sa ruche elle semb'e dire : Merci, chaud soleil rayonnant Sur la fleur qui déjà m'attire ! Et dans l'étable les grands boeufs Ont mugi leur appel au maître : Voici le Jour 1 Partons heureux Puur ereuser le sillon champêtre. La vache qui reste au repos Beugle devant sa crèche vide : Valet, allons, debout, dispos Que j'aille brouter l'herbe humide I Ainsi tu vois, petit enfant, Comme ici bas tout travaille; Imite ce bonheur charmant, Porte gaîment ton brin de paille 1 CILISTIN AaNA&UD. CUEILLETTES. La femme est l'être le plu% parfait entre les créatures : elle eut une créa. ture transitoire entre l'homme et l'ange.-BALzAc. Gontran écrivant une lettre de remercieiment, consulte un ami : -Dois-je mettre que je suis "pro fondément touché" ou -"vivement ému"? Les deux formules me sem blent équivalentes.. -Pas toujours. Dans un duel, par exemple, il vaut mieux être vivement ému que profondément touché 1 , On parlait devant Damas fils du sentiment de fierté que la pauvreté fait perdre. -Que voulez,vous I répliqua-t-il, lest difficile à un sac vide de se tenir debout. Sur le boulevard. Un petit mendiant s'acharne 6 la suite d'un passant bien mis, qui finit par lui donner un sou. -Un sou l tait le gavroche avec un sourire de dédain.. Un sou I.. Donuez-vous donc la peine d'être orphelin I La campagne électorale est termi. née et il ne nous reste plus qu'à dou uer la fin d'un compte rendu de meet iug fait par un confrère enthou siasmé : "La fougue et la force de l'orateur sont telles, qu'après la péroraison de son vibrant discours, la salle a trem. blé pendant dix minutes." . ... N ,us m ..m ammw EPIGRBAMME. Bien qu'on vous appelle Angélique, Je tiens que c'est mal appelé : Si vos yeux m'ont ensorcelé N'êtes vous pas diabolique? o Contrairement à la plupart des hommes le temps est triste quand il e t gris. Quelle diftérence faites-vous entre un musicien et un lapin ? -Le musicien aime la musique et le lapin le plein champ. BANK 0F TRIBODAUY. THIIBODAIJUX. Lne. DEIONEE PAB LE JURY DE POLICE COM1ME DEP08ITAIB E DES FONDS PUBLICB. :-0: OFFIcIERS : E. ROBICHAUX, Président, IO P SHAVER, ........ Cauiier O. NAQUIN, ..Vice-président P L.BRAUD,..ASitaBt.<Ir E. U. MORVANT, Vice-président. DIRECTEURS, E. G. ROBICHAUX, THOMAS BEARY, OZEMB IIAQUIN L A. TROSLAIR, P. L BRAUD, L. M. LAYMAN, E. U. MORVANT, ERNES- ROGER, C. P. SHAVER, E. BEAUVAIS W. H. PRICE, ------ -- - :0 .' La banque est munie d'un coffre-fort avec un "time lock" et à l'épreuvE de toute infraction, rtnfermé dans une voûte revêtue d'acier. Avec un Capital et surplus de $60,000. -------:O: FAIT, EN OBNIBALTOUTES LES FFAIRBBES DE BAQUE. -0 .,chete et vend du change au ta'u le plus bas, soit domes. tique; soit e'ianger Reçoit des dépota remboqruables mur mandats vue. Votre patronage eut ardemment respectueusement sollicité O. P. BRAVER. CaîUM' Bank of Lafourche, OFFICIERS : A. J BRAUD, Président, K. J. BRAUD, Caissier, c. J. BARKER, Vice Président, P.F. LEGENDRE,ÂAiSta-t Caisler DIRECTEURS: THOS. D. KENT, D. DELAUNE, W. B. RAGAN, Sa. K. N. ROTH, JONH T. MOORE, Ja., Da. L. E. MEYER c. J. BARKER, A. J. BRAUD, C. R. BEATTIE, ALCIDE TOUPS, K. J. BRAUD. Fait, en Gneral, Toutes Affairae de Banque. f14qte <t c<rd du eRl|«g, soit bemgstiqu«. soit tren<ir. Votre Patronage est Respect ueusement SoVite. Pica<?unQ..e Wn - i..~ Mui miie. WMUF rWaylm Bad" au t» « nOSfmtmt wteh ma*& ibe WUMI n popalat inbBr i z· Tb, Tuho-a-Wuk Mpoe Wo 1u metok2à e lmEV, Dmol LEa iii. t«K *ufEmUl Ona do vo n I u P MU vlnetl 1" M4 a"nom --4 bEV TOU amado b am ___ ,P· bte P ai aS a mtb . .Sa a . . . u u @ . .ttFm.....blWu omIL .... Oa panU ow t~lm»4emU~ "ime ....mo~.. etOn mn. '1 Ow bw euhM& --AI u-- Ii - a U - - - Tbo~ TwO.W. R · nP~n mu.. u k·C :::: \n\n THE UNITED STATES 0F AMER~ICA, J THE STATE OF LOUISIANA. 18th. Judicial District Court,-Parlsh of Lafourche. D. L. LAaonzz vs. No. 3506 HMNaY E. LEJEUNE. TAKE NOTICE; THAT ACTING under and by virtue of an order of Seizure and Sale, emanating from the above entitled Court in the above entit led and numbered suit, I have Seized and will offer for sale, at public auction pursuant to law to the last and highest bidder at the Court House in the town of Thibodaux, on SATURDAY, MAY 12TH. 1900, between the hours of 11 o'clock a, m. and 4 o'clock p. m. the following discribed property to-wit: "A Certain Fractional lot of ground or town lot with all the buildings and improvements thereon, and all the rights and privileges thereto belonging, situated in the parish of Lafourche, in the town of Thibodaux, measuring Seventy-one feet and Seven twelfths of a fool (71 7-12 ft) front on Henry Clay street, Fifty-five feet and six inches, more or less, on the Northern line separating it from the property of Mrs. Louis Lamoureaux, Fifty-three feet and seven inches on the Southern line separating it from other property of vendor (D. L. Lagreze) and Sixty-eight feet and two inches on the back or Western line. These measurements on the fences as they now exist are intend ed to be taken in accordance with the actual measurement of the larger tract of which this is a part." On the following terms and condi tions, to-wit: For Cash, to pay and satisfy (1) the sum of Five hundred and Twenty ($520,QL) Dollars, with eight per cent per annum interest on same from the 24th day of January 1867, till paid, I (2) a sum o7 ten per cent on the aggre gate of said principl and interest, as attorneys fees, and ) all costs of these t proceedings, and which said amount as aforesaid, is secured by act of sale and I mortgage passed before Henry N. Cou LOi, a Notary Public, in and for the Parish of Lafourche, on the "4th day of January, 1d. J JAMtES BEAnV, Sheriff of the Parish of Lafourche. Taoxas A. BADWauX, Atty.of plaintiff. t April 7th 1800. N. T. BOURG, Market Stand, -ARIT ST., TKIBODAUX, LA -ALWAYS oI 'a3ua 3 BIST OF BEEF, MUTTON, rORK VEAL AND SAUSAG]E OF ALL KINDS J. LOUIS AUCOIN (FURNITURE ot all ktid PA INTS, HARDWARE, UNDERTAKERS' Material etk MAIN BTRBEE THIBODAUX. LA. We're Aiming \ at Your Head and our ammunition is the right sort. Stetson Hats *are staunch and sure -no doubt about them-they're hats with a reputation and they live up to it. Graceful Spring Styles are here for your inspe.tion. EMILE J. BRAUD, Agent. Rheumatism Lumbago, Neuralgia, Dyspepsia, AND Inflammatory Disease s CURED BY Polynice Oil This new French Medical Dleeovery lYis been used with reumanrkable success in IeclUe vue Hospitdl. ew Yor Iloward Hospital. Pbilade;lphla ; Jhn lHopinsand the Mary land Hiospitals. iltimtmor'. Md. The New York Herald. Olt.t I and 6, in aL editorial article. ss' the experiments made at Bellevue Hre ital with It)LYNIUCI OIL in treatment of RHKUCMATISM were highly successful. 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