Newspaper Page Text
$IpibobciUtx L36 SANBD1S . 1 payroisse S05 s, sde dMlontréal La L- if.stoulrai sportique .ec prière d'échanger. ^^Ktr Hrd est meaite W. u gouvernemeot d'étst, w e rment d'otffice lundi t intgre et capable et SoV ".n§ue doute, une Ion. ,éSoiIo des inotituteurs de cette paroisse en ww<jkte qui dura Jusqu'à am gions dt 'Insti liai L I .csdémie Guion. fut wzleZ nombreuse. '3OÎFIK ATIO0. Mw.r Bouzel administra la S 450 personnes di b, iir dans Iéglise St. l'iMoe de la grand' messe. , . . 1 'E . . et d'antre DOus D'avons îïa g nouvelles des récoltes. a-s se refont beaucoup et vue d'oeil. Les jommes ï t l oigons rendent bien, SmiM @Scompott a ssez bien _ Ioaver. Si ceu petits pro. S,..duieot bien ça ferait -N a pYS. FOJI. '#irpde foire aura lieu pro - dans le poubassement de f batise du couvent de ' CrIel en cette ville pour dr tfonds en aide à la de cette bâtisse. Le? - metisieurs, amis des bonnes u=ot l'afftire en main et sont s-', dit-on, de la mener à an. Que le suceès le plus couronne leurs efforts. DECIDEE. t question Kentuckienne a été ée par lIt décision de la Cour me des Etats Unis rendue lundi rer en faveur du Gouverneur Bam, démocratm. Il est à âup que lJ p.eudo-gouverneur lao rWuoOoer maintenant à ses hMtioaI et que la paix régnera S du cet état, harcelé pendnat dlj@** pri les oontestatiuon des ri'min DECES. L ldbomd Webre, habitant de. mru près de la chapelle St. Jean, «I4s6é lJudi aprèsmidi à 1 heure, e8dr0 ans, 4 mois et 7 Jours. tumiéllles ont eut lieu mardi à Suiomrea et demie de l'après-midi Ifls paroissiale de St Joseph. hd41i(ut était brave et honnête stimé et respecté de t3ut le Il a élevé une brave famille Iiîtiaoera e faire honneur à son _t s mémoire parmi nous. S R. 1. P. ËElJNION DES VETERANS. vtlans de la Confédération t da les paroisses Lafourche 1 lblmame se réunirent samedi 1 ti du la salle de l'opéra en '111le1 au nombre de 111. C'était rulle annuelle, mais les céré-. Squi devaient la caractériser .4asucoup plus imposantes et I t hates que d'ordinaire. lB tInlle de la Confédération' fJNipu leur Uoocours et cela veut imekukres de l'après-midi les ^ Uldata, précédés de leur (M*I6peMa et de la bande de .q*--t de Thiliodaux, allèrent -riiklemient au Planters' lUr y chercher le Général F. i.'L Bl',ï' l'orateur du jour. Le lek 0 mWalle de l'opéra se fit -4% I me ordre, le Géo. Nicholle t1*5 avec le vénérable M. W. *l e l'Assomption, prenant ,:dl a procession et occupant 5l.<braoBeur. |A le Général Nwiholls fit son daus la salle il fut reçu tl et avec beaucoup par Ta foule. Il fut w r l scèe où s'assem. bstôt les "Filles de la Con " au nom desquelles Melle. Pe9sidente de leur association, bu Joli petit disour», sou. kbieOve'u aux vieux dé de "La Cause Perdue". t W^. P. Martin porta la parole ou-e- le remplaçant du k- 4yk , et à son tour leur souhaita la bienvenu de la part des Il autorités unmicipales.- tc Le Captitaine J. J.. Shaffer, le ai commandant du Braxton Bragg m Camp remerçia les Filles de la Con- M fédération et les authorités munici- g. pales pour Itur chaleureux accueil et oc lu une adresse remplis i'e sentiments ei patriotiques et de détails intéressant&s w En concluant il présenta le Général d Nicholls à l'auditoire qui encore une à fois temoigna sa joie et son enthou siasme par de longs applaudisse ments. Le Général Nicbolls prononça un magnifique discours de circonstance, I' aux sentiments élévés et patrioti- li ques, et qui fut très-bien reçu. n Mr. Jos. A. Trouné déclama avec o effet le poème intitulé ,"The Battle of d Shilob Hill," et la célèbre bande de a musique de Thibodaux prêts son & concours charmant pendant toute la k 'tête. A la conclusion des ces cérémonies i intéressantes, sur l'invitation des ' Filles de la Confédération, les véts rans s'asseyèrent au splendide festin I qui leur avait été dressé par ces charmantes dames. Inutile de dire , que chacun s'acquitta de son mieux . de la tâche qui lui avait été imposée t et que la joie et la gaieté avaient libre cours. Quand vint le champagne le CoMn. s mandant Shaffer donna le mot d'or i. dre et en maître de cérémonies pro. ot posa les ",toasts" et appela M. Tnos. es J. Shaffer, le juge Caiilouet, MM. H. i, N. Coulon, et Andrew Prce pour y ýn répondre, ze que firent ces Messieurs o. avec tact et délicatesse. it Ainsi se passa cette belle réunion et fête des vieux soldats coufédérés, et on ne saurait trop faire l'éloge des dames de l'association des Filles de - la Confédération du Mildred Lee le Chapter pour sa magnificence et es le complète réussite. ! _1« COMMUNIQUE. ] net Réunion des Vétlrans Confédérée. à t ves Dans l'époque d'actualité où nous ou vivonr, où l'idéal se perd, où l'intérêt A a matériel semble absorber tous les ma moments de notre existence, il est vui particulièrement agréatle de s'arrêter d'a quelquefois le long du chemin austère lot de la vie pour se laisser aller à l'ex- etc pansion d'un sentiment plus noble, à des jouisseances plus élevées. un Tel est le motif qui reunissait qu encore une fois, à la salle de l'Opéra sol de Thibodauz les quelques survivants sa de la Cause Perdue qui font partie ve de l'Association connue sous le nom lei t de Camp Biaxton Brsgg. s Cette réunion qui eut lieu le 19 qi Mai dernier était rehaussée par la pd présenoe de ce noble défenseur des te droits du Sud, le Général Ex-gouver neur et Juge Suprême de la Loui- bi D. sianne, F. T. Nicholls et de notre an- b i, cien représentant au cong-ès, M. v B, Andrew Price. à A deux heures précises, les vété- e à rans firent leur entrée dans la salle F Ii de 1'Opéra ayant à leur tête le Gen. d Nicholis et les principaux officiers du f Le Camp. Une fanfare militaire fit t le entendre les airs patriotiques de à le Dixie et du Bonnie Blue Flag aux t n applaudissements chaleureux de l'as- I semblée. Après quelques instants d'attente, 1 la société des Filles de la Confédéra- i tion se réunit et les membres ayant 1 pris place sur l'estrade derrière les m in orateurs, la présidente du chapitre, q he Melle Marmie Walsh adressa un I di accueil gracieux aux vétérans et à en leurs invités. it Ensuite vient un discours par le i 6- Commandant du Camp Braxton er Bragg, Mr. 8haffer; une autre adresse i et par Mr W. P. Martin, remplaçant du i ,Maire de Thibodaux, puis uae courte a"' mais chaude allocution par le général ut Nicholls. Les discours étant terminés les les vétérans envahirent la plate-forme or pour avoir le plaisir de donner un de shake hand au Général Nicholls .nt ainsi qu'aux dames Confédérées qui re' étaient présentes. F. Ensuite on se rendit au pavillon Le où des tables élégamment décorées. fit furent bientôt chargées de mets Ilîs delicieux et abondants. Bien difficile W. eut été le disciple d'Epimore qui eut tut pu trouver quelque faute au menu. nt Les dames confédérées se faisaient un honneur de servir nos vétérans et ,on firent leur possible pour que cbacui, eçu d'eux ne manquât de rien. La 'bonne >up humeur, la plus grande cordialité fut régna jusqu'à la fin du repas. Quand .m. on versa le. Champagne, plusieurs on- toasts furent portés par Messeirs Ile. Thomas Shaffer, Andrew Price, L. P. ion, Caillouet et B. N. Coulon. Les iu. paroles qui Sccompagnèreut ce dé- toasts étaient des mieux choisies pour l'occasion. Enfin, vient le role moment de se séparer, quoi'que à du regret. et nous croyons pouvoir leur ajouter quoe la réunio d 19 Mai, 1900 restera dans la mémoire de tous ceux qui étaient présents comme nu aimable souvenir d'un de ces moments rares dans la vie ou Ml'me se sent emue par nu motif noble et généreux. EPuisse la même heureuse occasion se répéter maintes fois encore est le voeux que nous adres sons à nos amis, les vétéran., nobles défenseurs d'une Cause perdue, mais à jamais célèbre et juste. UN MOT AUX DAMES. garn la c Dans notre siècle, où le prix de Prid l'argent diminue, où les besoins de cot luxe et de confort augmentent, il est de 1 nécessaire que la mère de famille, la clasi maîtresse de maison, apporte sa part tond dans le ménage, en utilisant les res- fut sources qu'elle possède, et en "tirant tout parti de tout",,comme on dit vul. Joui gairement. quel C'est une science qui se perd un il @' peu aujourd'hui, où on s'imagine urul volontiers que les catalogues des P'n grands magasins, vous dispensent de chi toute initiative. plui Quelle erreur I avu Je connais une brave mère de cru famille qui, à l'aide d'un fort modeste Par revenu entretient sa maison avec La plus de luxe et de bien être que sa ferl voisine, qui possède une pitite for- Pu' tune personnelle et dépense en outre le traitem'ent de son mari. A quoi cela tient-il ? C'est que la première sait conduire sa maison, mettre la main à la pâte, comme on dit, se tient aussi bien à et s la cuisine qu'au salon, tandis que la me seconde laisse faire la domestique et vet n trouverait indigne d'elle de s'abaisser loi aux travaux de l'intérieur. P° a La première est une ménagère ça , 'nodèle dans l'acception du terme, ho , l'autre est une des poupées, qui, non ne U seulement n'améliorent pas la situa- in tion matérielle de leur foyer, mais Qi souvent la wompromettent. a Il faut que les Jeunes filles aporen. di nent à accommoder un plat recherché; à as à tailler et coudre un costume nou- ai veau dans une robe démodée ; à tenir bl is ou remettie le mobilier en bon état, m It à avoir un remède tout prêt pour les qi es maladies les plus fréquentes, à sa- é| st voir donner les premiers soins en cas sl er d'accidents ; à confectionner un bibe. re lot avec goût et à bon marché, etc., 9- etc. n à 'Ce que je veux avant tout, disait p un respectable père de famille, c'est jI ut que mes filles aient une éducation d ra solide. Je n'ai pas besoin qu'elle d its sache l'algèbre ni l'hébreu, mais je f tie veux qu'un jour elles puissent retenir e )m leur mari a la maison." a Que de sens dans ces paroles, et t 19 qu'il serait à souhaiter que tous les i la pères et mères tinseent un aussi 1 Jeu ferme langage / rer- Retenir le mari à la maison : voilà i ui- bien le devoir ct, en même temps le 1 ka- bonheur de l'épouse honnête et dé. 1 M. vouée. C'est sans doute votre rêve 1 pour l'avenir, Jeunes fillls gracieuses i ité- et charmantes qui lisez ces lignes ?.. aile Fort bien ; mais croyez-en le conseil ken. désintéressé de votre vieille amie, il du faut pour cela autre chose que savoir fit tourmenter son piano, se coiffer avec de art, s'habiller à la dernière mode, aux tenir ses mains bien blanches et.. 'as- laisser travailler maman 1 Que le soin de votre beauté ne mite, vous empêhee pas de mettre vaillam léra- ment la main à la besogne, et de vous raut former peu à pe i à cette vie coun les stamment occupée et toute de dé itre, vouement qui est ici bas le lot de la un bonne mère de famille I Vous évite. Bt A rez ainsi une foule de chagrins que vous ne prévoyez pas maintenant, ar le mais qui feront plus tard saigner xton votre coeur. Vous vous préparerez rese une existence tranquille, en compag tdu nie do I'époux que vous saures irte entourer de soins intelligents. éral TANTS BOsÂLL. PEYITENCE DOUCU~, MAIS GE NASTE. Les parents des garçons 3t deu jeunes filles qui fréquentent l'école publique de Miiford (Connecticut) ne savaient quel parti prendre à l'égard d'une jeune institutrice de l'école qui avait établi un genre tout spéciîa de punition. Aujourd'hui, les tribu. naux vont trancher la question pour eux, car le père d'un élève a porté plainte contre l'institutrice et c'est ainsi que le pot aux rome a été dé couvert. L'institutrice fatiguée d'en tendre sans cesse ses élèves bavarder, a trouvé un stratagème plaisant, mais inouï, pour mettre arrêt i ce désordre. Il ne faut pas perdre de vue que l'institutrice avait garçons et filles sous sa direction. Lundi dernier, en ouvrant la disse, elle à prononcé ce petit discours : "UGar. Sçons, je suis décidée à mettre fin aux bavardage dans ma classe. J'ai Sessayé, en vain, de tous les moyens, r depuis plusieurs mois. Dorénavant, le premier gar'oo lut je piendrai en train de bavarder devra aller publi. * quement, devant toute la classe, embrasser la jeune fille que je lui désignerai.... J'ai dit et tenez-vous sur vos gardes." Tous les gargons, qui n'ont pas encore atteint l'âge de quinze ans, sont encore fort timides | en présence des jeunes filles et l'appréhension d'être obligés f'em. brasser une jeune fille gentillette les a fait tenir tUanquilles. Mais tout s'oublie à la fin et, le Vendredi, un gamin de 14 ans, le plus bavard de la classe, n'a pu tenir sa langue. Prid sur le fait, il a dû, à sa grande confusion, embrasser une jeune fille de 13 ans, en présence de toute la classe. Dire que le gamin fut mor. fondu et humilié ne suffit pas ; il en tut malade. Il est rentre chez lui tout en larmes et au lieu de se ré jouir d'une pénitence qui, dans quel ques anuées, lui paraîtra bien douce, il s'est plaint d'avoir été traité avec cruauté par son institutrice. Le père a Jugé comme son fils que le Schtiment était trop fort et il a porté pluiute contre l'institutrice pour avuir infligé a son fils un châtiment , cruel et inusité, ce qui est détendu B par la constitution du Connecticut. u La décision du juge, dans ce cas, ne v fera pas moins sensation que la punition. VARIETES. repre SeunE L'AMITIL capit L'amitié est un sentiment très vif chea tion et très doux, qui contribue puissam-- ! ment à rendre la vie heureuse et ment vertucuse. Elle naît presque to. bas. jours d'une conformité réelle ou sup. surg posée de goûts et de sentiments et ne Dno! japprochant jamais que des âmcs n'au honnêtee Les liaiso3s des méchants les 1 ne sont que l'association de leirs pêcl intérêts ou l'effet d'un goût passager. acU que l'intérêt disparaisse ou que le faiE caprice assee, et cette amitié préten- lno due fait place à l'indifléreuce, souvent à la haine. Comment pourrait on aimer ce qu'on méprise? La vérita ble amitié ne comporte pas seule. ment l'estime mais le respect : il faut e que l'on sente jusque dans les . épanchements de l'intimité, la pré- me s sence et la dignité de la vertu. pê L'amitié se fortifie doublement par mon l'habitude, parce que cette vie que 1 nous associons à la nôtre, nous ap. ma< t porte, comme un héritage, toute les- dan t joies et les douleurs. On ne peut j a dire si un ami est plus nécessaire j e dans la bonne ou dans la mauvaise sut s fortune ; dans la mauvaise pour nous j ir consoler, dans la bonne, pour nous je avertir. C'est un témoin à la fois -t bienveillant et austère; c'est notre -s conscience personnifiée et rendue si visible, dont les conseils doivent nous être donnés avec fermeté et reçus p là avec-douceur. Nous offensons l'ami. le tié quand nous prostituons ce nom do é. aux vaines grimaces et aux relations ie éphémères du monde Ces relations dé es superficielles ne donnent que des flatteurs ou des compagnons. l do " Le savant,-Oui Votre Bonheur, ,0 )ir cet ignoble individu m'a donné un ec coup de poing sur le sterno cleido le, mastoïdien. Le coroner (navré).-Cré nom 1 un étranger, va falloir aller chercher un ne interprète. 1 L'oncle fait sauter sur ses genoux, lé- Paul son petit neveu. Il lui dit :-Hein ? tu es content d'être sur les genoux de ton oncle. S-Oui, mais j'aimerais mieux. être t, sur un vrai âne. =er-- res Cueilli dans une annonce : ,g- "Piano à veudre, la propriété d'un rez musicien avec pattes sculptées." La mère (amenant son fils au ma. d tre d'école) Je tiens surtout à ce %ue 1 vous en fassiez un homme sage. Le maître.-Bonne idée, madame. C'est à peu prèi la seule profession des qu'il ne soit pas encombrée. j nole i En correctionnelle : urd -Vous n'avez pas de moyens i d'existence. ibu. -Pardon, mon juge j'ai de quoi boire et manger dit le prévenu en Orté sortant de sa poche un bouteille de ,,'t whiskey et un hareng saur qu'il dé montre au tribunal d'un air triom l'en phant rder, - ant, Un train emportait, dans un mo. i ce deste comparliment de troisième a do classe, un ecclésiaatique et cinq ou çous six jeunes bohêmes en blouse et en undi bourgeron. Veux ci tinrent mille Ile , propos de nature affliger M. l'abbé, Uar. tournant la religion en dérision, et Sfin racontant les plus cyniques histoires. J'ai Le prêtre endura tout, et en lais gens, 1 sant le wagon il me borna a dire : riant, --Au revoir mes enfants. ai en -Pourquoi au revoir ! dit le plus gouailleur de la bande. -Parce que je suis aumônier des prisons. Un restaurateur qui venait d'en gager un nouveau garçon de café, lui expliquait les règles de la maison. Entre autres recommandations, il lui dit : ,"Surtout ne vendez jamais de boisson à un homme qui en a déjà assez. -Comment peut-on savoir quand il en a assez ? demanda le garçon. .-Quand il n'a plus d'argent", répondit le patron. Un tel dit beaucoup de mal de vous, disait quelqu'un i un homme qui savait son monde. -Cela m'étonne, répondit celui-ci; je ne lui ai pourtant jamais rendu service. Il y a beaucoup de vrai dans ces paroles du Pionnier de Sherbrooke, P. Q.: Il n'y a pas à se le dissimuler: la fausse conception économique qui fait se liguer et se combiner en mono poles les capitaux de l'industrie, pour mieux contrôler et pressurer la masse des consommateurs, attirera infailli- blement et avant longtemps des represeailles terribles, dans notre jeune Amérique. Les excès du capitalisme provoqueront les revan ches dii prolétariat. La concentra tion d'en haut amènera inévitable ment la solidarisation sociale d'en bas. La force de l'argent verra surgir en face d'elle la puissance du nombre. Ce que l'esprit chrétien n'aura pas suffi à prévenir; ce que les lois mêmes n'auront pas au em pêcher, faisons des voeux pour que l'acuité du mal ne viennent vas à le faire disparaître au sein de la vio lence. CUEILLETTES. Le ridicule est comme le loup: il ' ne tue que ceux qui ont peur de lui. Madame. -Docteur, pouvez.-vous me donner quelque chose pour em pêcher mon mari de parler pendant son sommeiL Le docteur.-Donnez-lui la chance, madame, de dire quelque chose peu dant la journée. Lune de Ipiei au déclin. Elle.-Que ferais-tu ai je mourais subitement ? Lui--Oh I ne parle pas de cela. Je crois que je deviendrais fou. EKle.-Te remarierais-tu ? Lui.-Pas assez fou pour ceia. Dans une fête conjugale, un man porta le toast suivant: -Aux dames, à ces êtres char mante, qui diminuent nos chagrins, doublent nos joies et triplent nos dépenses. Une dame répondit: -Aux messieurs, à ces êtres in sensibles, qui diminuent notre vie, doublent nos désirs et triplent nos soucis. Demande eu mariage. -Vous voulez épouser une de mes filles ? -C'est mon voeu le plus cher. -Je donne $25,000 de dot à la plus jeune, $40,000 à la cadette et $60,000 à l'aînée. ' -Vous n'en auriez pas une plus âgée? Dans un cercle tant soit peu re mêlé. -Quel est donc ce Jeune homme qui cause près de la cheminée ? -C'est X.., le fils du dentiste. -Ah I et que fait il ? - -Ma foi I on ne sait pas I il vit aux crochets de tout le monde. -Dame 1 le fils d'un dentiste, ça il. doit savoir manger i tous les rate. le liera. On a trouvé récemment sur tue île de la baie d'Hudson une tribu jusqu'ici inconnu d'Esquimaux. Ja mais encore ces gens n'avaient vu un homme blanc et depuis des siècles la tribu n'avait eu aucune relation en dehors de celui dont se servent les autres tribus connues et vivent-ils comme à l'ixe de pierre, ne connais. saut aucun métal. Leurs huttes sont conztruite» de mâchoires et d'ossements de baleines, recouverts de peaux d'animaux. Leurs façon de s'habiller dîifèrent de celles des autres Esquimaux ; les femmes sont vêtues de peaux de rennes et comme la coquetterie ne perd jamais ses droits avec le beau sexe elles pren nent grand soin de leur chevelure, qu'elles tressent en deux nattes qui sont passées dans des fourreaux de peau de chevreuil. BANK 0F THIBODAU q THIBODAUX, Lne. INEia Ez PAZ L= jUI DE POLICE cOE IDPOMiTAIE Dun FODS PUBLICS. OPF----.:o'- OFFICIER8 : E. ROBICHAUX, Président, C P 8HAVER, ........ Cani-MiT 0. NAQIIN, ..Vice-président P L.BBAUU,..A.sititaDtrut5,iVT E. U. MORVANT, Vice-président. DIRECTEURS, E. G. ROBICH AUX, THOMAS BEARY, OZBME I4AQUrIN L A. TitfSU AIR, P. L BRBAUD, L. M. LAY'MAN, E. U. bORVANT, E1UNE8 ROGER, 0. P. SBAVIt, E. BBAUVAIS W. H. PBICE, La banque est munie d'un coffre-fort avec un ,"time Iock" et à l'épreuv. de toute infraction, rcnfermé dans une voûte revêtue d'acier. Avec un Capital et surplus de $60,000. FAIT, UN OIUNBAL, TOUTES LES AFFAIRES DI BANQUS. 0- Ackete et vend du change au tau r le plus bas, soit domue, tigue, soit e"ianger Reçoit des dépote remboursablee sur mandats vue. Votre patronage est ardemment respectueusement sollicité O. P. SH A VER. CaiUst Bank of Lafourche, OFFICIERS: A. J B3RAUD, Président, K. J. BRAUD, Caisler, C. J. BAUKER, Vice Président, P.F. LEGENDRE,AssistLat Cais.ier DIRECTEURS: THOS. D. KENT, D. DEIAUNE, W. B. RAGAN, Sa. E. N. ROTH, JONH T. MOORE, J&, Dl. L. E. MEYER C. J. BARKER, A. J. BRAUD, ct. R. BEATTIE, AICIDE TOUPS, K. J. BRAUD. .Fait, en General, Toutes Aflfires de Banque. agroete et gand dRu (Retg«, r eit Iomstigqu«, seit Stren«'r. Votre Patronage est Respectueusemenf Sollicite. Picaruno.. iIly. hu »U m au U» et-L B.IGeh a"@he~ wbt* oi m Lbe TELURAPIO WBW U TO i ami la ·Ed sa ifug Tho Tuhs-u-Wuok nluaI bouPm Aiv ràC'me et Il TuIss.mWook fflhau viise naitale tale totl 20 wl ria th. *0= M 1 0»s Do~ra u NUTARMANOENUNT vith Ltb NEW YoaK UKRALO bivtktdu th@ OMECAL TBLUGhAB V.y WB et. that gmétoe.e au ai oya. pa. aplani st s iur~ fét gu ataan UFil U.B.SU.~Li~ dtoa mat leaAo te tbe ries edtm bità TUB AmPICATUNE sud Mm TWIoe.A-WEUK PICATUNE Vhs B"i mmd LlâtstiN et g» Whae W oriLl ~i tL iDdowle b MW S. Ple.m m ..... PWUMMol - BLI24 te je~ · I. e1 Nmart am Ttmiap Ose.m .. .. t eunass ....u Tho "u. ua w te Ueok om J leB PICuVIWU lame e a mon"? a"Hua. T I Fm ...... 81 M rmum ..èsets. c4oos Sm·t PM&w Tm MBPIAYUMWI \n\n Send your Job Printing to this Office. Satisfaction Guarantdee. N. T. BOURG, Market Stand, IAYAET ST., THIBODAUX, LA -ALWAYS O1 BAReD N - BEST OF BEEF, MUTTON, TORS VEAL AND SAUSAGLE OF ALL KINDS 4. LOUIS AUCOIN (FURNITURE ot all kind PAINTS, HARDWARE, UNDERTAKERS' Material ek MAIN STRBE. THIBODAUT. LA. We're Mming at Your Head and our ammunition is the right sort. Stetson Hats are staunch and sure -no doubt about 11 them-they're hats with a reputation and they live up to Graceful Spring Styles are here for y(,ur inspeztion. EMILE J. BRAUD, Agent. Rheumatism Lumbago, Neuralgia, Dyspepsia, AND Inflammatory Diseases, CUL'ED BY! Polynice Oil Thih new French Medinl 1iNcoverr has haeo used with reimarkable success In ietie vue Hospitl. New York Howard UHspital, Philadeipilit ; John Ho; ins and the ary The New York Itlraid.t).. a and 6, in an edItorial aprticle, saey tthe -xperitnnt made t ellwivuc lhe plytnlwth moILs W SIC , 017. I, treatmendt of al wIMTI weT re highly uccefuolynice o. The phyiiabottlens t Bellupoe osptal were surprised act te starvelous results prduced by tele wonderful French medical discover iwhch they called POWERFUL POLNICaris Joi HOPKIPS Usirvasrrv, 1218 G. AtO . W. Washingtonl , D,. tabel wh the lyndce Ol, waddres tns. ed by me havForng een very whuessfrul, I hereby re Sommend it in all caes of rhessens,. t sue per bottle. Sent upon reeelpt of price in sltmps. DR ALEXANOI4E, pec al arent fo r P ouri s n 121t.8 JoephG St. Nreet, W. WahinOreon, D SWI efse all bottles that do not bear ithe above name and address. e Forusale everywherOe Eug. Desseus, Generai agent for i.ouisians, 9 191 St. Joseph Street, New Orleans. 4585 The neatest and best work done at this ottice. HOE eOS. *OWN MAKE. $25 SHOE EILt L J. BR.A£C'D, SOLE AGENT. COB. MAIN & ST-PHILIP STS., Thibleaul a - . La. (Opposite Dansereau's Drug Store.) Mai Orders PronmpLly FiEld. PHEN YOU GFT MARRIED You want cJme handsome and styliln Wedding Invi tations. We can suit you. The bs assesse. a * 0 1 ever In twn,.and oes dis. THE SENTINEL, 99 WANTED--Ag' nt Anri dIe1-oitnraea for Po'ynice 01; (s,.e; ht :.d 1 ds' wih. re) Write t4) Elg. JVtf-vc:b. 835 5t. Joseph Street, New Ur:t, au3 ge petal agent for Louibiin3.