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mmrjm i t H I I ! '1' t J Hi si V if! m ii K' .1 w Si i ; . r i V . LE PATRIOTE CANADIEN. lin .iVfi'(iV:i0 MF.RCRFDI SOIR,' 11 SKIT. ls.Ti. l'ulili fiurttlli ' tJmltn Iry tt t In arte irllr dt Uomf ; f nin ; iineïïr. tninurlr à ht jiioxur rili: lrundeuf de pi iiiilin. ( i l TC. ) Toutes lew parlies (lu .Olivememolil ont (litre- elles I'S rapport immédiats rt U' es-aires. Ce sont les ramoatix du m mho tr ine. Il s'en faut Lien cependant qu'elles soient conduites - n consequence. Hans presque loin les l.t.it de l'I'.iirojie, les lilieri'iites liram le-s r.idiiiiui-tra- , tion nom dirigées par les iiiiin.-lit s jiarli. iili. rs, )n a ipit-lipielois aiit'; la mic tion ui.por loiit les vues cl les intérêts ,x. roi-ent t m; i.mte le ,i i,,. illmre foi me de mivf rn m-nt IIUI 'Cllt. ... . i M"' ''""Vient .'I III! pelljile. ,e dUV TIM Inelit Jil peu l'-relatloa (UI el,-;e ai.:.-l cuire les lideieus deparleiiieiis d'il ai; adminiialion, s'ensiiivnt ces projets, tt îi Ii1 : ux cous nue fiée, .t lésnvanfaciix sous l'autres ; ces n 'r.arjeiiu'tis l! coinineree, jui il.'couient r.'iL'i ieuIlurc : ces s Mêmes nion i l s : ci s - 1 ï lieen piilidijues pli n'ont iu'lllie lue nie et point il ! folldrineiiH ; cet lemi-liiovetis, es p.illia lifs, lolit cliaipii; lii'iii-ln.' v a pl.iliant les maiu ju'il npjieroit daiu sou ,l-jart iiii il. Ii to. is nus yeux sur une Si-u'l! partie lie l'Kliropi1, ( t oli-ii'rvons )llls ell e;ii iieiiies uns do i'es cll'els fuiieHies. Les miiii-tres I',-- jiauols ' liassent les IMaures. I Is mil. lient pie cti sont des hommes, t que, siiiis une pojiuia- liotJ noudirense, mi t'.lat lut peut pm-pi n r. 1 1 I J .kl,., liik.'Jrilil lu Iw.m 1...11 .....,.!.. 1 I, ,,l....inr. ... .... -, 1.11,1. Il (l " '"pp. 1 ;ivcnt pas pu- l'I's- p. l'oie resii'. ru I ricin. Ils tyrannisent les l'.iys Ilu, cl nu prvvoyeul as pi'ils vont les re fuller, cpi'ils ne pourront pus les nu Itn- sous lu jnii'j;. ruule de calculer, ju'iiu h la le er laiiieii homes, la riiuleur d'un éLit n'est pu faihlesso, Tauli! de savoir hiii iuent n horiu r il CC fjn'oll pi.'llt vivifier et h'i'eliilre, ils Veulent tout cinhrasser, f'iiys-llns, Krenche-Cîoiulé, Itoussilloii, 1 tut if;, l'nrtuj'al, et tout leur rehappe. Kit nuns rnpprochinil h nos leni; les miniw Ireu n'ont pits cte plus Hii-jcw. Ce serait un lalleau Iiieii intén ssiint et hieti instinctif, (iie celui de tmili s les fautes qui ont élo" laites, depuis qtn hpies Hiecles, contre les priiicijicH le la saine poli tique, lin s'accoulumant ainsi à evunuiur l'influcnco que ces failles ont u sur les évèue liiens ; et les fautes nouvelles dont ces événe ment, ont otc? la Hit ito ii leur tour; eu nppre tuuit ii leiiiMi-r la tranii) le cet euchaim incut fatal, on Iroiivomit la solution de 1 1 phumit des faits, m mal expliques pur les mois values de hazard et du fortune, trop prodi'.Miés dans l'his toire. , Uno musc encore nui en Famine, contiiluie a reiiiiro 1:1 poiuunie si inipiiriaile, c est la 1110- - 1 1 1 . . . 1 . 1 . r.; ; ,- -. 1 . .1 hilité eoiitiiiuelle des mini-leres. Ah ! C0111 iiient les lumières politiques pounaient- Iles n'y perpétuer et n'y eteiulre î liuti ijine t le lianrd placpnleUhqdacent le mini-trcK. Kle f U ceu postes, il sonet-nt plus à len conser ver qu'il les remplir. Fatii'iiet, pur la cahale et IVuvie, il ne leur reslu ni la force, ni lelems do corriiier ls v iees de riuliuinistiiilioii. l,e i-ysteiuo de leur iréil;cesseur n'est jamais le leur. Supposons nu'inci cs ministres avec du génie. Ils ont hommes, il faut qu'ils s-c foiinenl M's Hoits-ordres, ths pi incipes, nu plan. Cal cul )iis loue. : tant lo finite,, pur h uis eircuis : tant par leur passions : tant par les cireurs et les plissions lu leurs employés. Sont-ils uns génie? Ils 110 trouvent rien qui les instruise, ou vn lippu ic. llilat n'nyunl point le sys tème, ils 110 savent noint y siipph-cr. Ils gou vernent cnnimu ils vivent, du jour ft la journée. Au lieu lo niuilr'uer les rvciu nieus, ils sont limitriséH pur eux. Les détails les uhsoi lient. Il tiennent dans leurs mains quelques lils de rntlministrutioii, et eu laissiuit oller les gmmls ressorts. Ij'hiloiro nous fuit voir des lloîs, les Km pereurs qui ont gouverne leurs Ktals pur eux mêmes, ou des ministres pii ont gouverne leurs maîtres, prin-urerà leurs nations quelques nue ces éphémères. Richelieu lit le grandes choses. I.ouis XIV eutesecliiiilehonheur. Alherotii imrut un moment ranimer 1'F.spugue. I.n Prusse, eleveo nu-dessus de a sphere, par les talons do son Roi, eloiina l'liuros'. Napo léon, éleva lu Friture au plus hunt h'gré de gloire. Mais remumuoiis le : jamais nation, n'a vu do prospérité récllocldurnlile, que quand par lu nntiiro de sou gouvernement, il y n eu un ( u ns pel iiitiueiii, euiii"e oe lecueillir les lumières, le réduire les intérêts do IT.tat en freVMCme, de prendre conseil lu lusse pour l'a venir, de luire en un mol, sur le tillae de Tlitat, ce (pie fuit le pilote à la poupe du vaisseau, ils. server la liuussle, les miuges, les vents, le erueils ot le couru ns, et tenir rout; en cou MMpicuce. l, .st avec ce corpu, que les lepo. nilaireii de lu pui,saiii'e exécutrice, doivent v- nir se raccoitler, consulter lo y -.to me le l'J'.titt, M prendre des dehlteratioiic. Ainsi ct.ut eon titud î'Aneieniio Rome. Ainsi lYst, a quel queu ogards, l'Anglelerre, la Fu.nce et piel ques autreg F.liilj le l'Kurpe par leurs pur ioniens. Ceci nous conduit nuturelh inen 1 xi.-miiHr qucllo est la forme do j-nuvernement U plu propre à l'exécution d'un plan lo grande I aino politique. Nos clurs iugerotit hien par l'expos que nous ferons ci-aprè, de ce que devrairétre la pliliqiie, si un plan pii loit c-mbrisser toutes les parties do .'ndininistration, U gloirç puhlique, et la f;licité particulièro, le 1 n, tir d- I;t ;"'-n rali'Hi r 4 i:t'., t lui i s j ! ;;cii ration futur, s ; jui doit tr- onnitil a -a fin, salis relâche t u travers lw 'vciu m de ! plusieurs I - î -,' j ut être laisonwiUi ment 1 1 1 ' . i : i eoiiw m mont lui t litre le-: nniiift d'un ni, t dont par on jii'i:t h principes doivent vnrii r, mm uh m M a tous hs rhaiij: nu ns de r ;'!, ; mai même a tous le ch.'iliL"-meii 'le lnir;i ,-li r', a tout' s le- ré volution- qui sont d.m h nri' ti ii s, le.-, : j Molli-, l'e-piil, , 1 1 -.ii.t'-d( h i-ouvt raiii, I I de I' nr-t iiiinwlri- : ii nu jroiivei in f i it lui, par i oii,eijifjit. toiir-a-tofre v'oun-m, Jiil.li , ('-lain-. i'Mioiaiit. doit y'i li vir. aliaii-'-er. rel'-vi r, lerlini r, n linireniiii. dun imite m r j i;tat. pouvoir n a pour lutter outre une rolome ile- heeouiiscM roiiviiNivc. 1 1 irré;riili r , ar r-1 Aprét avoir poé prlueipr., ni rin ifient 1 t'-imiiiée a tout voiiîirir pour i-a.ldierte iie de dre (-on ren-ort, ne hrin r t t'uti-a tit ir. dew tuinali k iiu'Iiu k de nateui-f t lion de tlieo- ! ai il!i s îii ni , il p'-ut m- persuiuler de tïiiir Ou n poiivent de iiotioiiK vanité t ififi rtai- 1 r nu , .n Imiriiant noj repaid- cur la terre jue. j par tre vaim u. tie I'; .Morning Courier sa lie, Hiir la nalure Ich roiiverm menu, eue l'on Ii0n h il il iiu-, I' n law-l'iii-, ikhh l h vovoih he, h'il l'ignore rjue Tojirit national Canadien roiiloiid Miuvenl uve la -tin-titiitioii. .-a iiiifaiiei.- eiii,,t;ive vient du jieiijile. La pui- anee e.eeulivi.' a la nu me t-ouree ; le pi iijilc .1 ipii iipi.'i'lienl ton- i w iouvoir.i doit Ii - d.-t, i I in r e les iVlr-jfiirr a l'un 1 1 a l'autre dans lotit ,n -ouvi'ri.i-niei.t n pni nlalil pur et 1 lui iu onv u nt a tous ra un jour i-ouiier pour nt.e separation des les lit.it. Dans c! ;;oiiv rn m' nt le peu pli; ' Iit,(ts lu Sud den litaU ill Nord. Nom voit oimait ses droits t si levons ; ilcoiu.. ive lirions pon oir ii'iiis tfi iu' r, mais tell' s !-oiit les uns et ii mpJit les auires. Ne pou- 1 nos pr' vi dons. )e la liv i,ioii, ineajiaciie le vahl, Lins uik! glande n prUi;ue m uK - ! pouvoir t ruine de 'l 'nimi. Il faut doue com ment, 1 ereer la î-ouvcraiiu te, à la 1' - ini-en Suise.l')ire uailreinie-r unionile cireotis i ;uie, il h parla;.'; i nlre ms r pr'enlan 1 (,it,; s aiioiiiales pour r' l oin.'ilier, pour un tr tns 1 I" 1 !e:l' !iai!;e d'exercer le pouvoir executif, j ,,,-'J l'élit s'i H'orci-r il.' pro!oii;'er, s lemetis lin fixant ses n '.'ard-sur les pi-uples pii jouis-' divi ru'ens ; pour ioniu r a las-iociatiou une Mi-lit le ce lion rmivern i TiK lit t les Contrées pl 'ils lialiileiil, ou n ut juer de mou xc lleic par sou iiillueiice Hir les iiui'iirs et sur le lioii-lu-iir pul'lic. la s pi : 1 j 1 s y sont lilnes i l ln ii leuv ; les ca mpa-.' lies llons-antc- t les champs cultivés ; la joie reiflie dans les fetes haïupe- I res ; dans les illcs le peuple tiavaille l't hante 1 1 ,,,,11, ,, ,(. H(.s t;iVilUv; , ,)M) ou uouvi r- Ii(.ltl,.llt, il oln it iMx lois. 1 1 11 reyji' i'le si s l.ii- nistri s I -.es ma ii-.lr.its ; les nui urs sont pur-s t Ion- les citoyens sont unis par les liens de la ni; t de 1 1 confiance. Les iililieistes ml pense ipi'un même eon veriiemeilt lit: peut onveliil' a tous les Jieuples di-lilieues par le climat, h s liueurs, di s opinions et des licsoius liveis. Il st im- possliile, ilisent-lls, qi 11110 memo lacoli le gouverner puisse convenir a tout' s les nations, j Nous nous permettrons de diie que cY-.t nue j rieur.' la s principes l'onu', île li!i r!e, j d'humanité, de raison et de justieo, sont tou jours les mêmes- t ne varii nl point au !;ri' des j véiiemens et des pussions le lioui'iu s, , - ! mnximes le la ptihlique et de la i;;m 1tic.11 cliiingent sfuiveiit les usures '( les imlilulioiis des peuples; mais Ii justice t l:t inorale sont iiivarialiles, elles soul le tous les teins et de tous les lieux ; lies loivetit ivgir 1rs sociétés politiques, puisqu'elles tendent nu hliheur, t :i lu liherto des nations. Si un gouvci m nient rend l'hahilant les poles heureux et lihre, pourquoi ne procuremil-il pas les méiiies uvan-taju-s aux nnlions qui vivent soils l'i ju-iteur ! i eul-on duo, avec l auteur le I esprit des lot, que c'esl lo climat jui rend la lilu-rté plu. chère mix pcuplet, du nord, qu'aux peuples lu midi, orsqiron voit lo desiiotisuio placer énlcment sou trt'uio sur les sahles lrulans lo la l.yliie, et dans les forèls glaci s du Septentrion, dans s plaines lerliles le l'I ndostaii, et dans les deserts le la Scythie, î J'eut-oii croire pie la merle soit exclusivement -reee pour s p- tentriotiiiu.X, jnisqu'oii voit l.l féodalité teiiilie ses racines laiw la Russie, la Suide, leDu- ncmari k, la Hongrie, la l'oloprne. Croiia- t-oiiiio le climat eondanine l'homme à la ser vitude, lorsqu'on voit l'A ni he vngnhmul se dé roher pi iidanl tant de sii-ch's nu joii' du des--polismo qui opprime à cole le lui le IVrsnu, l l.j'yptiem t rAlncain ; lorsqu'on voit sous la inclue parallèle lo Turtaie indépendant, et le Sihericii esclave. (Jifà de commun la sti;rilitt; ou la fertilité du climat, iivec les lois foiidamciitahs et cons titutives pii iloivoiit régir les sociétés politi ques î I ill liherlé t le hfniheur des p'-uples sont 1111K peiHlans îles lois le la nature. Le physique ne peut rien ici sur lo moral. lies hommes le toutes les- contrées et de tous les climats sont destine a cire heureux ; s'il ont esclaves -t malheureux, c'est contre; nature, c'est l'oiivrege le leurai tyrans, le leurs pussions, do leurs loir., le h uis institutions. l'u hou gouvernement conv ient à l'Afreicain, a riiiiropeen, uiisni liieii pi'ti l'Ameiieuin, à tous les pciipli s. Sans doute, ils ne ont pas tous égaux par la force, les lumit les et la rai son. ,es uns ont éclairés par les sciences, les autres golit plongés tlatis les tenchres do 'ignorance; ma is tous peuvent être lihrcs et heureux, s'il sont n-gis par de lionnes lois, et c'ils coiisetvent h s priiu-ipelo liherle, l'ordre t le jiislice. coiisei vul'urs les sociétés politi ques. l,a liheite st à la portée do tous les peuples, malgré iVpiuiou le .l un lucques Rousseau et du jUoutcpiicu. l)oniu . de hoiincs lois aux nations usi.aiqui s, t vous ver rez hieiitùt ces pi tiples hriser h ui s fers t jouir les hienfaits de la liheite, hiciitot Jcs hiniic res ii..sip ront rit'iioratiee et les erreurs; ils n'auront plus les v iocs les esclaves, ils auront la 1 iÎK-rtf de l'homme lib ro, et les vertus le l'homme civilisé. I.e gouvernement des fitats-l'iiis est le freuit d'un syslrme heureux, ù les regards les oh servuteurs aiment a suivie hs tintas du génie qui 11 pre.sid-a la foiinituui ci- cette sK-i i polilique. I.e philosophe, l'ami do l'humanité, ndinire et 'onlenqde n e un re.-peet religieux cet ouvrage le la raison I de la sagesse ; uvùs 1 . . . . . ; les iiisiituiions luimaiees h s plus sue s presen-1 confiscations ? Ces actes lo cruauté ne peu lent toujours quelque imperfection. Les hotn- vent manquer do si dever l'horreur et l'cxecra mos les plus, erunds dans leurs pensées, hulmi o nemle. . 1 n . 1 . . ' puis riiuuimes nans leurs conceptions, ont-vou mis u l'empire de l'erreur, et le j-enio, ou mi lieu le lu gloire vi de la randenr, montre m cl I qu ici.- ses faiMi tl n'iipjnrtlei.t qu'a )i n, onre: de toute j-i-ve t to'i'e r tî, de la in i;u ouvra'"; paitiiL Ou no doit doii: p:is t toliiw r (Je iju Ii.im line lerf lion- d.- ri'jiion .rm rii i:n . u.':!er!(.r- 'J'outi- f. di r'tliofi t r i.t.-.iif a l'a (Miir!îio!i du jio ivoir. I ;i': U je,uvoir a ,ais, l"ui,i..:i li iiir.de -.-t Kiiii.-omire : ;u,tJ oriiieinal du t-v-t.-in 1--dratift 't rain' Iiortjoa " ...... du eo'iv nu ii,-iit inti ri' nr o: naiiiK- l.l-it. ii i I i.e j'i -île rai if, n tiarl u'e rail n J!r nui pour, la rail n unir le avanla'i - d'ioie !i-!-o i,iiioii j . i ï - j ..;;nt.- oiitie l' rant r, .t ut 'ii hmi!I' i;m nt de Pi..Ii mi-at util r A, à iiit n tu lu 1 liai :'li: ! manlier, ou pluiot h'tlau ( r v rs le lri!lanli s ; Ii -lin' .. Nnis oyun jt)'.' in cv.-t. me le- ! l'iatil' ne rei-seinUi a mu une dis uiuieiiius forme le L'ouvenu i unit, mais, ar ha in-ti- tutioti, il et imo-i,ibV ;ue ! s li t' r ts le la -in i é "i-nerale lu; m; Irouvent pa. houvent eu lulf avec J î i.t'-r t arti' i'.lii r le haipie t-ocicté dixtincte. T,iis iet, M-t ii doivent tre em pli, vis pour loi'iu-r fin nre iin-vitaldc pii K- ei-tenee, toujours pas-aLi re mais des plus luillaiites par sou tr.ili'jele m ine. f'a.-.-oiis a la politique, te-IIu (u'tlle h'o'i'ic à nos reparu. A CMI'.I I II. CO.MMIi SONT im i:s l'KUTliS F.I'.S CANA AT CANADA. I,es so'di'.ts anglais qui l'urei.t envoyé iar l"liraii Co!iorie, p-nir dévust'-r, piller et vio ler les ha'nilaiis d", St"-il irie le Âloiitioir, e liv rerent envers les feiiuncs et les filles uux hrutaiili s, aux ritroeiti s les plus infâmes. l'uetil'.!' de feu Louis Ruiuville, fut vioh-e pari u.v. I,a f' mm'; d'un iiomioé .Main ul ici-si a MUill'rir la m. -nie injure du celte solda ti sipie liiellie t fili.ee. Les Ii mil U'S d'j Louis (iingras, de Charles Li-inay, de V. J)u lude, u:t été traiiees do la manière la plus ou tiaeeii.e. jX'ills 10 Cllolis K l (in quelques- 111103 (les L'ro-si' i les in; lai a s iliins celte seule localité mai tuiiti s h ciunp iLin''S du Cuiitida où les j Iroiipes liictoinics et 1rs vuloiitiiires ont s"joiir- uei's, lors des deux rt.void's, lurent les tli-atres lie scenes de, viols, d'outrages et d'horreurs. Le gouvernement, cpii-s- avoir luis le sceau ii IYxe ration par ilestraittiiienshaih.ires, l'exil, l.i deportation, l'iiKciidi) et la mort même, vient cnf'i! de nv, tire le eonilile a l'injustice et a l'inhumanité. Les- propriété:, d Messieurs Ledair, lione, Rochon, St. Louis, ( nivelle t Unit -sin, maintenant h tenu dan. la prison le Montreal sous sentence de mort, pour avoir souhaite la Liherto de leur m ilheureuse Patrie, ont ee vendues par l'ordre du gouvernement, cl leurs femmes et leurs enfuis se trouvent en proie ii la misère la plus déploruhle. Tout ce que l'homme po.-.-ède en propre duit- Ire à lui ( t a ses h'i'iti rs au présent et nu fu tur. Il est des- propriéK's que nous tenons h; Dieu, la société no peut, dans aucun t''ins, avoir lo droit pour quelque cause pic ce soitile nous en priver, cello do notre vie par exem ple. L'horreur que nous inspirent leV noms de viol de nos funnies et do nos filles un Canada, par nui! vile soldatesque, l'esclavage et le meur tre de nos concitoyens, cette juste horreur, disons-nous, ( st une preuve du sentiment de ci tte vérité, pie notre vie, notre personne estîi nous, 1 1 que tout attentat contre cette proprh lé est un siu-rihgo Imirilile, rxéenl.lo. tue penser maintenant d'un gouvrrnoment dont toutes les de mata lies tendent a désintéres ser le filoven, non-S' uleineiit de la chose pu- hliipie, mais encore de la sienne particulière. Les coiili.-catious freappent aujourd'hui les in fortunes Cumulions, on les met, pur cet acte, en droit, des aujourd'hui, l'agir do représailles, quand viendra le jour de la reaction. On d:8eit ra, oudi- utera tant qu'on voudra sur la nature des goiiverneim ns ; m,u n'en connaissons pie de deux sortes ; l'un solide et piosperc ; c'est celui qui tend nu respi et et nu maintien des droits do l'homme ; .'mitre peris sahle et malheureux ; c'est celui qui attaque et viole la propriété. l.a propri te n'est pas seulement le premier hut des sociétés, elle en est encore un des plus solides foiidemeiis. (Vest elle qui attache l'homme il sa famille, le Mijct à sou prince, le itou n nu lieu qui l'a vu n'aitro, a l'L'tut dont il est metuhre. Tout ce qui Mcse la proprh te est un attentat, t contre lo particulier pii en souliïc, et contre la société toute entière. .Malheur au gouvernement sous lequel les innoceus et leurs proptic téssnut ii la merci des envieux t les ilomniatour ! Mille fois mal heurs uu gouvernement pour qui le patrioti-nie t st un crime ! (fuel jugement lo monde entier doit-il porter sur '(te violation horrible de propriété la jdus sacrée, exerci e 'outre le malheureuses victi mes fusillées à Moiitiiul le 21 mai 132, sur les massacres executes à St. Charles, .1 St. F.ustui he ; sur les meurtres juridique--', fur lo viol do nos fi nine's et de nos filles, nir l'in cendie do nos maisons et do nos î.ronrcs, I Olllane le tifij Lices, i-i-tin lit bur'uirie de 11 ... r T i c Lr gouvernement nnir'ais et ses- n.artisnns s'M'cupent siins cesse do U manière d'anéantir la nationalité, !u langue, le . nuvurs, leuar(-s des malheureux Cana'. ns ; ils vu Vifluiroi.t j un jour, nom n'i n !oiito:is pu-, juviu'a vouloir jw truire I. ur r li"iou. ii Ain v ux riu ou rii i!i;i:t ai;gi:iif, le i"auad.i. l'rovii.re -o:r;ni-, roli di e, tn-ut- rt.-e forw ri.ie cou. ne; il 1 i!;end. jourvu t jJÙ!le H-t,- !a h meut otii!ii--. .v .Morula's C;t'f ùo. Moj.tn-al. im-ii --.ti-îaU i horreur- 1 vm r ' .- t.a'- . h 1 nu. ire l.t rr:itre e ana- loi' i.y, . . , 1 1 1 ,- 1; . , , o. ruandi: .ii ore leur delrain ln.-,nif nt l.anti- voi ' iouverni iim i.t ti ;i l ja !! trot) al'reiivé tt'- jn,j:ii;5iifi U: lu I. lue la r.rru; lam t l' s il U a pour m.- soutenir aïoniK ttc.s ; fMia ml le i renura touiours vaines Ira toujours vaines les tentatives tvranni- ti''S laites pour reiiuire ce pays en esclavage, l.e rouveriu ment liritannijiie, non content le se roidir -fintr; toute- leu remontrances qui lui ont été fain s et contre d; ju-tes murmures, a fermé, -u détruisant la constitution du J5as- Catinda, i n voulant lui en imposer une nou velle, ten versant lo sang de ses onfan,a fer mé, disons-nous, la porte a ces rt iuontrances mi'ic.cK. Le pacte qui coso de lier des qu il I . s . 1 ci s-e lu tre reeinroeue, n etc lormein-ment rompu de la part de la reine d'Angleterre ; t que robte-i'il après la au peuple Canadien? . . Sinon le droit naturel et imprescnpt.lile d op poser, toutes les fois pj'il le pourra, avec pie ipie chance de succès, la force ii lu violence, en cherchant ii reprendre une autorité dont on nintse, et iue la soi-ieté ne peut confier que pour le bonheur commun. Fa ut-il jue les'Ca indiens ne luissi-nt a leurs enfansque les fers, Ii s verbes-, la laim et l'inlamie en héritage ?... J "t 1 it i I qu'ils voienf leur malheureuse Patrie s'aclu miner dans h- silence et dans l'omhre ver mie cruelle t ohscure ngonie ? Faut-il cnlin u'ils conteioph m l'avenir nvectim; freoi le inditl'ereiiee ! Oh! lion! évidemment non ! De l'Angleterre- ils n'ont a recevoir que la ty rannie, jui porte dans ses flancs lu ruine et la mort. Tyrans qui opprimez les infortunés Cana diens, s'ouv oiiez-vnusque 'e sail-; de leurs mar tyrs et la sainte cause do 'a lilu-rté demandent vengea née de v os forfaits; ennemis de leurs droits les plus lier, leur cause est juste, elle st sacrée, le Canada ne consentira jamais a conrher son freont sous voire jouir; le règne de l'injustice, le la cruauté et du crime s'accom plit ; h s Canadiens ne veulent plus é tre dévo ies par des vautour comme le malheureux Proiuéthi e. Concevons, ils muront prendre les armes pour irur Iiulependani e, et pour leur Indépen dance ils ne cesseront jamais de conihalîre. Crovez-vom, monstres îui outragez la 11a- ture, que la violence dans vos mains, lo fer envenimé, lo aim des Canadiens ne fécon dent rien ? Croyez-vous que ce peuple oppri mé est né pour vous ohéir en vil esclave ? Croyez-vous enfui qu'il lui faut adorer la lance et le plomli, parce qu'ils tuent, et (pie vos vo lontés deviendront un rocher centre lequel s'é mousscroiit a jamais les rages de la révolte Vos armes, fortes contré" qui les craint, se ront faihles contre ceux qui, uni, et en masses sauront résolument les hruver. Sachez eue la ii'iorté, cette divinité imnior tdle, ne s' toiiîl'e point par .'emprisonnement i t la mort de ses adorateurs. Des barbares, des Misons'. ont amené le malheur du Canada, la Reine doit e lle-même tomber de son autorité uu Cumula en .lissant sur du sang !!..-. corn en ni ix f.ll f, PU OC lis DC CAPT. .! A LP. FUT. ÎC' l'ai! en pro.ès qui n'el pa-eucoi'i- 'éon'é, Luit jonniuli-le lioniu'-e lit i'-! i- ti! 'a!.-ticnt de se proii'inrr cuir.' IV.-cu.-é avant !a i'é -i .un du jurv ; tuais connue il n'y a ni ! iim-c é ni V-îii .i!.-e à e-pérer u- .pmrna ix Bii.'l.n, au CiiiNi'ia, V . :ei coiiiini ni s'exprime le bornai;: ('o.iricr, un siM-t i!c l'a Ir, r,. du Caju'toaie Jai.kkI'.T : 'Nom- non- si.iufis a'-ti-in pi-qi'.'ei, i',t le M, rnaii! Ciii'er il-- luiiil:, lie parler il-i ir le .'aiiu.it, le nu- ir-ocr de WY.r, . u et ii.;iié depui pi i-.c . n -r - i'e au' la e, ;r qui -;i'.i- ma ;rcn.iu'. Il y n ci! . r:'il'l cv-i-t.it ou p;-r 'U le l'c ip1.-, et un rv 'Halloa li 1 1 lu.;. il- il le, ipioa; cd'un earn -'.l' il 'tc.eu', parau la pojnila'ion l'iaai ii-e. Ja.N-n, à leur f'-ix, el, situ H'iC' 11 li-inte, un p or:..'e, 1 n I rae Iinneie, 1; 11 ri le 011'r.i ! st eni.ciui de sen pa;, p-i-r la suei é ce la pa'r , ' qm tniiij.it son épée lari le Wii-.' île W'eir par le pa lneUini- plu- le pur. IX1.11 ne 1 . .liions pa-qncla multiludi- l'nnu 1 :'e qui ii-touri.- la ennr lie ii n -i.li're c ci ne eue v ici. inc. Il cm-'c en ciituiii'iit iuntram- éprouvé pur d'aetr. ;. ' ilr ir- qui ont au l'a'.u-. li :tc une ca-péraiion vi-;! le .pi' e ..Ce .lan- le r- c ', a 1 n ec oc I iputlem'-tit d a ine .r iier. Si i-r-'e e;e: e é ait peu 'an eie x t l:t'--l 111-, le I uee l.yne era.t, intiiilil lenient le Loenean de Jjll ert. l'an- l'état de clie-e-, l'eapérat.'ii de unulni et li'ile, que, M e! n.apuué, eolnine n. ni peu, n (ju'il c M-r( ( y aura du rq e pour a vie. .Soi ,li.ui, que 110 1 er.j'un qu'il le eia, ar.e que la 1. a-riii du jury est Krani;ntc, et eu tp",vc ran-nieut un lioimue qui tienne cou Ire une craude iuir:'é; il y a trr.i ameai dan li-Ury, il pe ivcnl n'iire pa lèrn.e, -t pl.. ver 1e r- oj inioii mhi celle .le la 11. a ...rue. I.e. ..lin ;ia!:.in l'ar 'imeHt. a- aié e par I in.urti 11 1- la iV eut m inil icut I caneo'ia nr le incctnrut d'1,11 liuiumc. .Neuf pire sont Kriunais : il prou. 11. vr. nt Ja: ert uni. rut, quo. .pic le lia- irln- a il élé ela leict u! pn nvé. I "n 'l'-rie ni, homme é:ttV.! le et n i-:al '-, evrli!;,!, q i' I vt Ja'lert freapper lu ttVe ïe ee ireipillit mme :nl..r;ui é avi-e on tq ée; que la v ictinieéliot an nun. 1 ic u ryi'e tp.au I le prisonnier s avança ver lui, et I ran.lillant on é éo dan l'air, la la.-si louder nvi l. ne sur la té-e du ni,i!lieap-a. L- rntimcn de Krati V u e usa 11 II s ent (! pl i-.c ir man ère, l'e ,n'ra lie. Hou tla n le tc'iiea-uc, f.innt 1 évidentes el i palpai le, que le pr Mun-ir-L étié.-al lit ci n luire un li -nimi m pn-en pair par ure i uti Hier,- témoin, ene feuiuie, prévnnqun tcl.e'i.eiit, que ii- ne lut que la mena." de la faire conduire al pr eu qui put eu arra. ln r la venu''. C'e-t iv uple élevé jusqu'au i a I par lor I (io-t ri, M. ( 'C niu-ll, et a-i-tre, cuinme li- plu. ammMe île .-ipies. Ix-s l'élad du ineurire iV Weir sont horriMc. S,-il, -ans t'éli n-e, 'e. I ras !.é, etvteeré de ralc ir-iik- et une inulutuile île -i tnii-nr-, il lu; l r.ita'cuiviil a-.lulu- ! tié Iciiiement comme il le fit: 1 rié, coupé, ha. lié, )iiqn'h ir ipn-v pe -ple mina' le lit eui.mdre le cri : "t'a- l'aeliever," et il fit lu' en nii-é.p i rnv. Ce ilcla l sein trop déplora! U- . li n'v a point d'ex cuse pour ci- liotnine-. Si une d.utznaie l'anuliti ava.ent éé lai h tuer:, sou- l'eM'itatien lu inuncnt, 01 a l'Iiaire l'uii tiitnul'e oa d'un l oial nt, nous excu ru.i le lue ir lr.cr- -, mai. c'ci 1 n acte 11u11ar.lon11.il Nous douten si l'hitoire de liiitioiicivdi-ée puirii; en Vr run pan-l, i iv'-ii!iiut ii- lima 'ion, tirent li..., or cine d'une race ammile! Ce meurtr er sont de la poptilntien iltst 11 ricilieur. Il eut n;vrn leur liioralué dan h- .i-ireiriine nouvelle Atvadic ! I'm- race simple, pr ia live ! Primitive, en vénte, Jt- iaiitati".:r t'e Caia ! i t il . .,t n 1 a-.'- r I 1,1,-NMiru- qui ,.i été f4,t k - ,-f a Ij.mi,!:.-, ruai.- H w lé, éram W -r S h au (-r ! mi-éri ' n tlv-i df ar ' A. , . , 1- . I.i ..-o! l-- e .V ia nnr e ! o. ,1e, hfnm,., rtKis 1 r.rr i:irdiiHia .. . . . ., ...... ,vi. liuauip, fVDOByUmi. '1 -,r iV- eliaT .lilllll lu-. ' 1- N-ii'iiiM-ii t'f TraiirHi en fuvwir (Je t lionirrx- I'm. K'rVi f).i'il in;nrt-, iim nirenl (ieiix (-hiMti ; trirl) 11 rttt-. eiiw-m jiim- l- iia-Mi.il ; ri-inie. U fol ,V- .l- r" "" ' r-"p"r inirms iirim rt ne prt. :,i'' -01 him-, f-i!a. er cil M-ir iiKiin-, 1 eitfe iMiur m. . ,.. . ' ' i"1 inr co. 1: iiiijii t.- eT, .1 .,.,rr ,run ,,ry CauM,tn, la . 1.1 - n iCiii limitai U; i-t il y a (Vu ijni erfirnl iie tV, 1 -1. il'-11 ( a lia. ! .en tau vim -jrit.i .ri.-r . t., - . ,, .-W.r..,. r.v.f m-ioej iW .JL r.arlitiiu an fire romt rinfliiener tfa-Kiin aenfi. im nl eoinre le Ininrui-eaiia.lH-n ; non (.itrrrrneti f i.M.M K,!i!e -h ur f-trf nn'iiif n-nl à la rai d'un 'iniminv lui 1 .n t- 11 '., u, I. .i..ik k... ..I - - , -, nui rr- i-riiifre qui un ap. liarueiiT. .ii ffonnaiemio. utiinie hmnm.. . 11 avi, aucune malveiiliiiu-e enure -ix, comiw- i,nu ra i'. Noim iar!(.n ainsi par un KfMiiiienl i ,i,.n. v.i'laïuc a.nant a lnr égan qu'env-er le habnamr. aiiirliii-. N.i l.arion.Miiirriiit-ninoujijey,,,,, ICT'On voit, lan -rt article l'avert-ion que rauns i' rie aux ('aiiaiticiis-Krancam j t!le jht malgré la cott Iraiiilc ju'il -r fait i(jiir la eaclit-r. Il y a i!c IVxi-uaiiun, il prévint qucJallrn etinitté, rrr. mni-an pourront attenter il jotir. Mai ohwiio. t'il a le- en ilétm,riiT î Non ; c'e-t plan's. nn nil ,le Ut faire ipi'il Ic ir lunne. Hyioirile! Le meurtre le Wcir, (in-oiuner qui 'enfuyait, -.-t aliKux, exéeralile, l'huXoin, 'l'i'.l parait ignorer, u'ollre point, tlil-il, lia trait reiiiU, I V. .Né.iiiiii(.iii, il inanife-ie la plu ifreamle imlillïivni nr U- vue . r.iiiiiirl!,-, ,)e M awstuS., n i rinfortun Jai! ert toml mt victime ifun n-wisMii, ift ouvre ne w-raii 1 1 P""' !- " Mnrniiiu (.'oiirier fi hurriMe, si imparlon- i.:e le, ijih.i j ;e -oiiinii île vau'-freoiij par Je lierre altéré .'.i- ;i..', Ni; -c sniiv i-nt-il pl'iw île. (anu lien déanne tnf im; 1 t'.ya! lenient ctile anir-lroiil par île tniu-s- l'crix-e 1 (n m- piit r.,111 iht, aiome-t-il, ur un jury freonçai I"""" eoii'laiiiiicr un Canadien. IV-ilt-on plu roiilpter ur. 1 "- ' ini-.i.iti hjimiik.- rioinrrw-fl f un piry nnMi- I (,'u ..qii; ii'iiis Miyon loin iVa liiM-ttre qua les jurf Cb 11,1 tien .in-.-i iu e'é'iiiiicr île vii- le Péiui:c, nsau-ui(!ii-, al111cttf.11- le rnntrai're pour un in-imit, non, de, iinti.leron an (let'cn-ciirile Wcir, ip-els ont le pn-niiew ur'-- en l'anaii (ui ont ilonnii l'exemple de la prévari ni; un l A-t-il iVnie la fnfino re h-h-i -imrile pmir avoir dé (hi' l.e les aniiiii! !e ('annilicn-, nsa-sinal reiuui ir .le An' la,jiii 1 .ni été ncipiiité par l!ur partimfuw Ne m- soiivii iii-il plus ijuanil le Cul. M'Intoi-h et le Cap, Temple, h Mufurfal, tln ia fu-iller iiiliuiiiaiui'rnent tui Cuna.lien- inutli-ii-if et inniKn-u le 21 liant h l'éleo ti.'iiilu y iarui-r-Oact ; quand, en )S, I'mfortiirW Mat coiix, ilcSiircI, fut aa.-iné pur l'infàine June 1 autre , rj.iaii.IS:. Amour ti.inl a victime de hh ineunncr UorJniaffv qui avait prémédité m.ii i-rinic. Ht lien! enntn' e- vi'e nieiirtriiTM h preuv lu, p'i 1 ci 11 vu i M'pta ntc- fuiiut perlées )ii-ilHété trouvé coujihlilss par le jurés anclti t Nnu ; il lurent aeqintltf- parent. I.a pn--e imlai.-e, qu'a-iVlle l'ail t Kilo 0 a" prouvé leur n.luite. Il protc-te ri,ntn.. l'aMq.aihie invétf rée qu'il en'relien cintre la popula'ion freançaise, el Inn le inline teirif, i-onr ti-ii tic-i ,c n iniiutciial.l.;! il ilcjuama' quVIle mt défrennch K'f. HypocriH- ou n'avez poinl V- luu'ne contre I. Cana licu-, i. -voii le ilin; aii rotiirir, t vnim vno- ilru z leur en'ever tout 1 qui- ! lionuiie M t de cher, leur' laitue, leur iim-ur-, leur inanièri-, leur hahiludo, , leur n-l:f!ion H leur ilmil. ilii,n..M rqvit le, Jntnai, quoique fnN-un pisivcrni'iiirnt lymnnl'pir, o-o, janiai-, il ne pourra éteindre daii le iwiir ik Canadi u--l-'ran .a le (u-iit inenl de U-ur dro t et île lei.r devoir. Ii pont opprimé, il i-t vrai.; Iii.1i du jour que résolu ment il- ne vou.lr, nt pluIVrc, ilû jour, qu'armés Je lama nue l'Jli mile, (;n,IHHI Ira o lèveront pour napper, il, seront Id res, et li ront connaître la futilité de n question Mil freanc cve prop'-ce par le ".Muining Courier" de lea dér u-cr" - A ojej la li-te ilc juré qui siègent dan xite eaujc I Fiienne Coi rvi Hi 11. Trudcllc, land, Aiiui' le llc-nuiels, l'aniel McKerelier, Ci or;.c K-sier, Jeun Ca lotte, J0I111 MayU-IL ').. lno,r da Ki, l'a-eul I. -mieux, Ixlvein Atwn'cr, Sam n l iieoiuN-, J llu- L'e iH c, L'extrait suivant jmrut dan la in zette de Montréal de îiiimili: l u de- jmés (M.'Atwaler) lans la cause ' Jailed, inant, ter deux lieure, demandé à lu cour 'a sou nom et 1 11 celui de nulles j';ré, île leur faire donner h mau.-.'r, in 'è délil éra'i.ui ju.-qnY 3 lieri-, la (.,lf (du con -circulent d.i pri-omiier) m n-mlit h la denmndtv llZJ" Jl'apn'" le ilernV-n- nouvelle que nou aven rt nie du Cuna 'a 1111 hu;c du prè de JnlU-rl, le juré. n'.iyniil p-i con. iia r leur. opinions, eu uyaiil II pour l'niv quita-r et Jcnitre; le terme de la cour linissant, le jury devait i"rc dé liar:é. I.Vhirc sera jetée j. roi alileiiient à la pn lialiu- csam uV- la cour du moi de tnarf, pur ua nu'iviaa pn'. XonvcHo.s n'cnilps d'Europe r.ïi ia: st. ljuju:.t. Fe stmer Clnn leroir, cajt. Chénier, venant de (.lebee, apporta a Montréal la nouvelle do l'arrivée du Canada, de (ireenock, et d'un autre bâtiment do Clyde, ainsi qu'un autre qu'on su posait être VOceuii-Quera. Les nouvelles d'Angleterre qu'ils ont appor tées ne vont que jusqu'au 3 août. ! 'Seotcli lîcformer's Oazrtte' dit: "Li renie a tenu un conseil au sujet les pif é'é "V. Cliarti-tc. t'n fait reumr piat.le, e'rtque nus Jeirouvrr tierneut an a-l île l'Irlande, l'île ntiCre e-,1 dans uno par luilu irauqmliité t" Aux assis-, tie New-CaMle, mardi (U-rivier, J Granf Jiry rupiH.rti 11.1 vrai lall contre Mr. ISrvintcrre. O'Hriefl, et a itre, qui lisunViit réiriimicnt dan ec uiartier et fa- pn'"-, tout ce que mm voyou, nous iiest-rronepa surpn le Vuir iresqi' île suite eu lleosxe, iUmi proet'd judieiaireu, eouveruement npit aetia'llenieiit nvw.- U-aircxip Ténergic, en Angleterre. .1ssnnUr.cs ties Clinrlislts, Il y eu dis BssciiîUéeii fc-s (liartinte a Xi-wea-ir tuf Tyne, South lletton, îanrlieler, Ahton, Uradforil, Cl 'H plusieurs partie dt ljvneahire et l'Iessire, niftout dans le environ de l'aVintield et Hyde, rt IWistol. Cm em! 'écn ont éié tnS-nornl.reu., et le lonpage d" Ort t'ur trfs-exaupéié, violtnt et hédilie x, par rapport k l'arrestaiiou de dé écué et l'emploi île la Police I Lon dresi luriiniis'ham. 1-s ehnrtlsOM continiH-nl k 'armeî rt r.rt-stiK" ton le mineur du Nonl ont refusé J .reviM TURQUE ET ï:GTTE. Iji d linie Porte a transiniï aux amlni 'V.-ur-(fAniil-lerre, de KuMe,rAutriehe et de Kranee, une ilé.'Jaratioti annonçant que Mohaninai Ali alndetinera Taren,AJ--ne t S ne, li- n'ite de la mer rou?, le eilé Sainle rte Me. q ie t de Mixl aie, aver tonte l'Ar.iluc, no Tardant 1 11.) p e t m .Wiusiari'. M lt-Tr'te en i- ra t K 's..