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I »»« ir- t .- ■« «> iw a x wwww m t n wr-eqwwi PUBLIEE LE SAMEDI MATIN PAR J t U E S T G N . :JuimM!ZJj.urriLW!B ' T » *» «* , Vol. XXII*. IMTO\-KO(li;u, LOUISIAKI3,. SAMEDI £9 JAVIER, I «<19. ,\o. £1 n »'t T O .V l iO vos, SAMEDI, 20 Janvikh, 1843 -__ \nr.m t rr . rt'tiuqer.—Notts somme » prié * annonw qn'l la rcquCted ' un grand nombrfl ,j citoyen *, une msemblie ter # tenue à !» maison do four , aujourd ' hui , à 4 heure« de r »prê»- mldi , ftf . nde prendre des mesure« ror . vet . al . lri . pour la distribution , parmi le» Infor - t tinta de l ' incendie , de fondu entre 5e * main« du Maire pour cet objet . Ll 22 nn FfeVFirK—Un«« la plupart den a u tre » e ndroit « on fait de« préparatifs pour c « 1,' rcr convenablement |'* r . rlv « r * aire de Ja MiMfttic « de Washington . Non » supposer, que le patriotisme do ne « concitoyen » le » en . «■ifirej» 1 suivre cet exemple ; mai » pour qu'ils « oient prtt * à tempe , il est utile qn 'il« ne met - tent pus un plue Inip retard à adopte r ic * me - sure » que réclame la circonstance . Cintriri* (CIthomqwi .— Noue «von» rn - tendu dire que 1« clôture de ce clinetiÄre est tellement dénwntibulïe . quo 1»>« cochon », le » bête » & corne », le* chèvres ot « utre » animaux ppurent y entrer \ volonté et rau » er do sérieux dommage » nn * tombe » et aux partie » do cette terri bénite appartenant ! certaine » famille ». Il e« t infiniment pénible do voir le » brute » envahir et « acetger 1* place oh repo « ent rein que la mort a enlevé » A no « nflWtion ». Il y a « la « (Jon« chargé », prir lo mandat qui leur a «' té donné, de prévenir ce » sandale ; quelqu ' un de vruit dv» c . »' en ♦ oe . uper . AMBMBM5B D 'A WCÜLTBÜH«.— Le» ■ p rom o totir » t lo l ' agriculture des paroisse » d ' Est et Ouust F« ilici » ns ont tenu , lo 75 de ce rooiif une asiemblôo à Jitcksnn . L' in - clémence tlo l ' atmosphère a empêché < juo oottn rônnion fut trèB - rvonïbrotiec , «t il s on est suivi que l ' on sYst sfpar/», nprès « jour - nument au 1er Avril prochain , « an » avoir * dapt6 aucune mesure importante . Nous opérons rp 'ik cette époque le sujet de la convocation sera traite d ' un manière digne .l-i haut intérêt qu ' il présente . Um Bal »Waks—SI la danse est un di . v o rtis * etn ennt rationnel , crtes c ' est principa - lement par rapport au * enfatis qu ' il doit , rece - voir cette qualitkatioii . Tout che * oux est d ' accord avec l ' exercice auquel il » «e livrent ; tou ' es leurs idée » « ont concentrée » » tir le » pas r' '••» figurea qu ' iltt exécutent , point d ' arrière - ponr ; os , la danse est pour eux la dan ««, et non do pluj . Un bal d ' enfin « est donc un a,)» ctaclo fort agrôable , non - soiilemint pour ci ix qui ont le désirable privilège d ' en Être !i»« neteur », mai « pour tou « coux qui « fort re - culis de l heureux do « menbre » de la po ~ i ''té, no peuvent y - étre admis que comma « impie 1 observateurs . La grico do cette jeu - nws si gaie , « i vive , si naturellement impré - voyante ; la candide courtoisie des cavaliers en - vers leur » aimables et modeste » danseuse » ; le bonheur innocent que l ' on voit briller dan » le » yeux du » interossans sectateurs de Ter psi ■ chore , tout co ' a produit une émotion que len homme» à eœur » cc pont seul » capables de ne • pv . éprouver Or , il y a quelque apparence que nous ne somme » pas du nombre de cen U«-)« si malheureusement organisé », puisque nous somme » encore aujourd ' hui sou» la ra - ■ vtissnte impression que now avons éprouvée ni ;. rJi dernier , en assistant au bal qtii a eu lieu A l ' ancien hotel de Mme . Lojrnndre . On nous assure qu ' une autre soirée de mftrn * genre ne prépiro en ce moment. Nous dési - rons bien sincèrement que la liste de souscrip - tion « oit bien ' ût remplie ; car rien na non » plait autant qus d ' être témoin des joie « ing 'i nuesde nos jeans » amis de Bâton Uoujye . I mpvdencc .— Dans un des derniers numé - r os de l ' Abeille de la Nouvelle Orléans , nous avons trouve l ' article suivant portant la signa - ture de " l ' Investigateur "Eicn n'est plu» commun que d ' enten - / Iro crier que, le » banques fuisant rigou - reusement puyer cc qu'on leur doit , elles devraient également ûtro forcées à payer leur« propres dettes . Mais cette obliga lion ne la remplissent . eiles dune pas î paient-elles pas leurs dettes , - toutes les qu'elle« s< nt rcfiuises, avec les mêmes valeurs que celle * qu ' elles réclament de leurs debitours ? Ëxistrvt - il uao seule ban - Ijuequi, darstinc circonstance quelconque , ait demandé , ou môme espéro que s s cro - ancos fussent liquidées on espèces , et toutes ces institutions ne sont - elles pas dis - •posées ( grâces leur en soient rendues ) à recevoir des billets de banque en paiement de ce qui leur est dû ? Considérant qu il est dû aux banques dix fois plus qu ' elles ne doivent à la communauté , iî est évident qu ' elle # gagneraient considérablement si ( la chose état possible) elle » exigeaient des espèces do la part de ceux qui leur doivent ; car alors elle pourraient payer de la même îcanière les acmmes comparativement fat - blcj dont elles sont redevables . Les pe - tonnes raisonnables qui poussent ce » cla - • rneuxs , veulent probablement dire quo les banques devraient acquitter leurs dettes en espèces et recevoir eu papier pour ce qui leur est dù. Mais y a - t -il une seule de ces personnes qui ait ta moindre tendance à adopter un pareil mode pour ses transac - tions individuelles ? Quoi qu ' il en » oit , certaines banques ( celles des Marchand jJr i"£ de« Citoyen s de la Louisiane et du Gaz ,) ; ont euivi ce système; qui plus cet , ^ j Banque des Citoyens a toujours payé ses ; dettes en espèces, et a jeune des banques ; précitées n'a jamais refuse de recevoir du papier en paienicut de ce qui lui éiait . Nous ferions volontiers un petit pari que j -" a sort de la plume de quelque agent cor - ! l f» '•» » p» <? : .te'l.raent honnê'^ et dpemîircsst SÄU -.»«-• tion pour ies banques) qei puisse produire Jin argument s i fallacieux . Il est vrai que le peu - v . e doit aux banques , mai « pourquoi 1 Esi ~ ce - our de » espèces métallique » qu ' on leur a " empruntées ! Xon , sans doute !.. Ce n ' est que pour la promesse ( l ' assurance tente ,) donnée par ces banque » de fournir à leurs dé - *>nm e .p" <~s H l ' argent bi ' eurr , quand l! ^ de ;™ , !1T i monnayé , en échange à hypothec Jeasar monnaye. I leur» propriétés. En «mettant kurs b. tets, , ontcoBtractc epu«£ * * ^ \ pajement à <*t égard , h acccnr -.isseser-. . jnc » cr ., T "~ eraînt s étc sar.s c - îs .-e -. .--imc , ci?sa de rayer en espèce» a «•'•« cor.t: - rs^f, Ai te ", e er rte que la pa .ÄS te wO'- lt - Of-pw« ie» du peuple u dé a^aa - 5« lorsque de toutes part ; on dèewc voir h fin < le cot { tat de chow», le» latoiMes de et » institution » « an » foi ont l' insclem o de crier : " Von » no nous payez jamais en eepéno«*, pa - yoz . noiis en espères , ot nous voue paierons de la mémo manière ." Le » propriété » hypothéquée » aux banque » po ur leurs tril « é rabies promesse » de piyer , ont plus de valeur que les espèces métalliques ; ce « espèces ne font que le signe repféscnta - tif de ces propriété », et les seul «igné repré - sentatif qu ' elle » puissent avoir . L« s banques ont - elles prêté des espèce r. à lours débiteur », ou ne leur ont - elles prêté que la promisse posi - tive de payer en espèces , quand elle en se raient requises ? Kilos out pris l ' enin ^ ement de payer . Or , l ' Etat , Je peuple , les débiteur ^ et les créancier « insistent sur ce quo les pro . messe » dont il s ' agit soient accomplie » avec du numéraire . Liste des individu « titixcpicls l ' appropria - tion do ® 2 ,000 alloué « put l ' état , a ôio oc Iroyéc par h « soussignés, comité nommé par un aclc tie la Législature , approuvé le 31 dé ^ embro 1^41 : Mme . Converse , Mme . Kenyon , C. C. Moore , John Dunbar , l 'ierro UarroiU .ftHcph Hornandt«, Francis Vincent. Mme. Äeiley, Mlio. Caroline Cil, Mme. M. Randolph, M:*« K. Partiell, Jittifs Himmons, Ceo. M. Ucroiruii , 275 200 200 200 200 200 15» 100 f ;0 50 fiO t]0 «2,000 Cinquante piastre » nuparaViiint envoyé » par Mr . F. I). Conrad , out été distribuées également entro Mdinc », Cotivorao et Kenyon . l'& ton Rottet 1 , 15 janvier . 1812. { Signé ,) C». Tessier, Ja«. Oooi 'Eit, J. l'lltU.IJ»«, J. AI. lJrtttNOT . ' Le comité: croit qu 'il cat do hmi devoir dn faire connaître la manière dont il n rempli le» devoir» difficile» qui lui ont été confie» ponr lit distribution de» fond» si généreusement alloué# aux victime» de l'incendie de cette ville, et dan» ce but il présente le tableau ei dessus, comme un rapport fidèle do l'accomplissement <ks se» devoir». » Cit . Tessîer, J. Puir, urs , J. M. B HWOT, J ames CoorBR . n& ;on Rou ge , 27 janvier , 1942. Correspondance de lu Ginette de Bâton Rouge. N. Oumîan». le 20 janvier 1842. M onsieur : Me voici encore dan « la ville du progrès . J« no » aurais dire cotnbion m' interesso « on aspect cosmopolite : on trouve on effet ici la langue et les haliitudos nationales do toute » le » régions et do tous le » climats . Cette particularité est san » doute pleine d ' intérêt p ur tout étranger ; mais elle a infiniment plus do mérite mix yeux de ceux qui aimeut à philosopher et à badaud er , car elle offre ample matière à tours rcflexion ». Les forme » polie », la grùc c et l ' urbanité quo Its citoyens tie cette ville déploient dans toutes les relations sociales , « ont vraiment faite » pour m ' enchanter . Mais comment exprimer mon admiration pour lo beau sexe de cette métropole ? Kx. ste . t -il dans lo mundo un seul lieu où les «» reoies puissent avoir de rivale «? Parées pour la promenade avec un goût et une élé - gance qui démontrent que les grâces «ont lour » inséparables compagnes , elle » parai # sent dans les rues comme des divinité » ambulantes . 3fuis qt i pourrait peindre , qui pourrait décrire le ravissement qu ' ollf » excitent à la Salle St. Louii, lorsqu ' on les voit comme des Sylphides à Ja démar - che aérienne , parcourir , d ' un pied magique - ment léger , le labyrinthe de » contredanses. La plume et le pinceau sout tout - à - feit in - capables de rendre l ' impression qu ' elles produisent ! Jînvouo que j ' éprouve pour Its i"£ hartnaSitcs fee » de la ville du progrès un "Senl nieat aussi profond que durable . ^ Pour me procurer de la distraction , j ' ai ou recours à la politique de mon pout , je me suis constitue lin des flâneur » des gale - ries do la Chambre des Représentons 4 et je trouve parfo . s que dans cette chambre les débats sont aussi habilement soutenu » qu ' à la tribune du Congrès . j qu ' à la tribune du Congrès . Il est étrange qu ' il n ' y ait pas un rap - porteur a la Chambre comme il y en a un au Sénat . Le bon «en» et les principes démocratiques ne « auraient justifier une pareille omission. Le peuple doit être in formé des faits et gestes de ses représen - tais . Au sénat , le talent est parfaitement encouragé , car Jes délibération » de ce corps » on régulièrement publiées ; à la Chambre nu contraire , tout parait être condamne à l ' apathie et à l ' oubli . li ; en v est plu » ri - dicule et plus injuste , puisqu ' à la Chambre il y a plus do talent et d habileté qu on ne saurait ea trouver dans le Sénat . J ai en - tendu demander à un membre la raison pour laquelle la Chamb - e ne voulait pa » employer de rapporteur * cela provient en partie , iepondit - on , d une étroit et misé rable principe d ' économie , et principale - ment d ' un déplorable sentiment d envie , la majorité da la Chambre étant composée de J . « : n ,w. lolirw membreij mue ts , qui craignent quo leurs constituans établissent un parallôle entre cux etefMX de | e n rs collègues qui sont ora - (cur ^ J{j ^ a j ou teT qBe le membre qui énonf , H ; ( ce jugement était un de ceux qui ; ava i eu t voté pour un rapporteur . _ _ j Avant - hier les représentant ont mis à fin ! l u im des banques , et ils ont immediate - : '»<"» I-* « <«;»= " . l "! ErîL «n Senat, cl relatif ait mem j ,, "»™ ié •«"- lMClause '' qui lui donne forme de loi , et il ont soumis leur propre bill comme un amendement . Ce n' est ni manque de respect pour le oc de 10 d à nat , ni répugnance à accueillir Isa disposi - tions de son bill , qui les a fait agir , ce a ne saurait être attribué qu ' à la persuasion qu ' il n' y avait pas d ' autre moyen parle - mentaire de parvenir à former un comité de conference , que les deux corps désuent i ariS8 i „ vement Tun que l ' autre . L« Senat , ,, on m - a dlrt n ' a encore I si t'en crois ce que , ^ ^ ^ Je pons \ peut raieonabiement cc.:c i tr que , {out s?ri définitiv -n;e , liuenca leurs , e q -ie l ' on dans une ? arrêré . atrioîiâùïe exercer s cr. «a dôIiWrst«,:^ des .^g'-sla ter i -ages - en - sur les . i .» amener à i c.ustow. Hcnt de la Banque! h I ^ Un Mr. Fctors, prtadent H tlo (/lté, tt dernièrement réaolu do faire h. mettre par cette bauqu « une nouvelle es pace do papier - monnaie , qui , d ' après la formule , ne devait pas être payable on c » pôce «, maii devait être reccvablo on paie - nient de eo qui eut tlù à lu iîanque tlo Cité ou on échange du tlerling Mit. Or ce n ' était pa » nuire choso qu ' un papier non - rachetable , qui devait être émis dan » le lemp » mémo oft In législature dé ' ibérait » ur ta meilleure manière do remédier aux maux jfrnduits par la mauvaise administration de » banque «, et par In vulour factice repré - sentant In numéraire I N' était - ce pas lA mot fro le loup dan » la bergerie ? Aussi la légis ' aturo n ' en !- elle hAtée de prévenir le danger en publiant , dans l ' espace de vingt - quatre heure », un bill qui déclare qu ' il lu - vonirda tels actes seront considérés comme éminomment criminel » ot payables d ' une iévdro punition . Entre la législature et Mr. Fi lers il ex iste une autre querelle, dans laquelle je suis persuadé qu ' il aura encore lo dessous. Jo no connais pu» ce monsieur, mais on me l ' a représenté coinino exeenni cineiit inpopulaiie . On me l ' a représenté comme tiyant quelque habileté «m matière» do fi nance » ; mai » aussi comme dépourvu de prudence ot de jugement ; et cela est dû « lit - on , à un développement luxorien de » or - ganes de l ' amour - propre , do l ' arrogance , de l ' absolutisme et do la vanité . Attendu quo je ne « ni » pas un bumpologiite, je no talis pu» Cerium quo mes termes tie phréno - logio sojooi rigoureusement technique» Les affaires ont encore do la tendance h décliner , et l ' on suppose que d ' autres grande » faillite » ne tarderont pas & avoir lieu ; d ' où jé conclus que nous devons craindre que notre horizon ne s ' assombrisse de ( dus en plus . Prêchez donc l ' induatrio et l ' économie ; recommandez de n ' acheter quo ce dont on n impérieusement besoin ( il moins que ce ne soient quelque * cochons de Berkshire , ou lu » services tie votre tau - reau de Ihtrham ; car c ' est lA une vérita . économie ) ; dites A tout lo monde qu ' il faut renoncer aux ameubiflmcns dispendieux , aux rideaux de mousseline et de satin , aux vêtemens tic velours , aux chevaux de luxo et aux voitures splendide «. Que tout ce dont on fera usage « oit produit par le toi et par l' indu « trie domestique ; des tables do cyprès ; dns habits , de » pantalons et de * robes do cotonnade . Que l ' on paie tout comp ' an ; ce que l ' on ne peut pas acheter comptant , on no tk> it pas en avoir besoin . Quo chacun ait toujours un couvert prêt pour son voisin ; mai » point do repu * somp - tueux , | Ktint de festin « où les épicurien # « oient invités à savourer les pfttésde Franca et ù s ' abreuver de Champagne ot do Ma - dère . Lo plus coûteux breuvsgo devrait être du vin rouge ordinaire , du cidre et de la bière de ménngo . La réforme h opérer dans les dépense» et dans le mode d ' ex is - tonco devrait devenir l ' occupation favorite do toute » le » personnes sages . IF n ' y a en effet qu ' une industrie ot une économie in - fatigable » qui puissent nous fairo sortir de la détresse où nous nous trouvons . L' action législative sera bientôt appelée «ur des objets d 'un haut intérêt ; lo revenu public , los taxes et les réduction » ik effet », tuer dans l ' emploi des finance». Comme j ' ai lieu do craindre do ne pouvoir partir pour 1e nord avant deux mois ( j ' ai renoncé A mon voyagea l' Slo de Cu e ) je vous tien - drai au courant de tout ce qui transpirera , et ponr cola jo serai continuellement aux aguets de ce qui se passera dans les deux chambres . Ad . eu 1 je vous écris à la hàle . Un lion prive — On voit , à l ' hôtel des E tat « Uni », ruo Notrc - Damc - des - Victoire », un jeuuo lion africain qui , transporté de Constantin « à Paris , est aujourd ' hui le fi dèlo compagnon d ' une dame , vivant Auprès d ' elle comme lo chien lo plus soumis et le plus attaché . Gaspard , c ' est la nom quo lui donno «a maîtresse , bien que déjà as . « ezfort n ' est âgé que de sept à huit m '>. Il ost assez familier avec les personne» qui vii - nent le visiter et joue volontier « avec 1rs chiens de lu maison lorsque ceux - ci ne s ' effraient pas trop à sa vue et il ses mou - vemeiis déjà impétueux. La viande cuite est »R seule nourriture . Enfin , tout paraît justifier en lui ce qu ' a dit BuH'ot : c e« t que le lion , pris jeune et élevé parmi les animaux domestiques qui vivent en société do l 'homme, s ' accoutume aisément avec eex . qu ' il est doux pour ses maître », recon - naissant dos bienfaits qu ' il en reçoit , et caressant , surtout dans le premier ftge . (Jj rASTliütt ACCUSS dd SEnV< TION. Il se plaide , en ce moment , devant la ^ctuir de circuit de Rochester , dans l ' état de JN. York , une affure qui fait un grand scan - dale . Un prêtre , recteur de l 'cglise- pro - testante épiscopale, est poursuivi par une jeune fille de 1-t ville , Miss Sophie Mur - dock , qui l ' accuse de l ' avoir séduite par ruse et par violence , et de l ' avoir rendue mère. Sophie Murdoch n ' est âgéb que de 10 ans . Le» débats la représentent com - me fort jolie mai » très - mgenue et très - simple d ' esprit . De sa déposition il ré - sulte que l ' accusé , le revérena Van Zandt , pa - slour do sa congrégation , fréquentait beaucoup sa famille , et qu il invitait fré - quemment Sophie et sa jeune sœur a veiur chez lui conférer sur les choses religieuses et chercher des livres qta 'il leur prêtait . Ce fut dans ces visites qu ' il commença par donner des baisers aux deux sœurs , et qu il finit par attenter à la pudeur de I une d ' elles . Après avoir ete oeux fois lu, ce à sa séduction , Sophie devint enceinte et c'eut conscience de son état que peu de temps avant » on accouchement . Elle ré . yéla tout à sa mero , qui eut une entrevue avec le révérend Van Zandt , mais celu .- c . nia tout . La famille Murdock , tenait , na - guère », un rang élevé à Rochester. aïs fon chef , le docteur Murdoch , s est avili , depuis, par l ' ivrognerie , et | a femme sou - tenait seule de son travail , sa fam ' le cn - tière . Sophie a reçu une assez belle edu - cation . D a - , . «a - A l ' appui du crime odieux dont ell e a été victime , le juge Seiden établit que les pasteurs de l ' église refoimée visit - ent par devoir, to .ites leurs ouailles , et les en *, Leurs rapports avec eunes filles surtout . L- eurs r.pp ces dernières sont sans con rôle ; ib le . trouvent presque toujours seules . On con - r . oit combien de telles prerogative , offrent de ressources à la séduction . Le juse e nonce , comme preuve m»te«ellt s le la pa ternité de l ' accusé , que I un de se » ooigts, s 1 accuse, • — ' ncularité de naissance, est nizar - Afhu. et O'ie cette marque ce^îa p.ar une ai remer-t crochu, et que ■ . -i!,,»,,« du pasteur et en ; ime ce i epoust? j - j.» '.f j - s..r,Vi» Murdock I racon.e ,ui de Sophie Mujdo que ie îévcrsrr '. ' - - convoquer le cot.se er.nn, cru ■ it . «..v« Oralement chez l'enfant nulle sa retrouve égal««»^ ^ ^ ^ son église, pw e ur so i-.ïi avsfi n u uc onsea oe ' fabi . qut , de justifier dvs bruits ro - pfindu » c. otrtrolui , a fuit dan » cotte réunion , co singulier aveu : " Qu ' il ne ponvait étro coupable , pateo qu ' il évitait toil jour « d ' être seul itvoc de » femirits », conniii »» nnf trop sa faiblesse pour le « exe ." L".< témoin » à charge , parmi lesquels figure la sœur de la plaignante , Agée de 12 an », Recomposent prcaqu ' cntiércmont de jeune» fille » qui dé posent avoir été embrassée », plu » que do raison , par lo gulant pasteur . La défense repose « ur la preuve d ' un alibi , le joi . r où so serait consommé la » é - duc tion tie Sophie Murdock . Cet alibi est établi snr In témoignage de M. James do VVt. If , de lihode Island , et dit révérend Thomas Uiitton , do Falmyre , qui déclaro tpie M. Van Zaudt était en leur compagnie lo jour ot l ' houre où le crin . e aurait été commis . Le jury a déclaré lo révérend Van Zundt pasteur de Rochester, coupable tie "educ tion envers la jeune .S'ophio Murdock, et a accordé « celle-ci 3,000 dollars do tlo i. muges et ititérêt». Nouvelles ttrangfreR. Le paquebot poste A vapeur anglais Forth, pnrM del« Havane lundi matin, a touché à la Ba i » e mercredi «oir. Le » dales tie L' tntlres vont jusqu ' au 15 décembre , ot pelle » de Pari » jusqu' au 14, Le pnrlement a été prorogé jusqu ' au 3 février , M. Beuumont Suiitb qui a été le principal iriitrument tl^s faut rotntni » sur le» bons de l ' Echiquier ' a été condamné a la déportation \ vie à Botany Bay . Le » q latorze paquebot . pt «t s anglais qui doivent former la ligue de » Antilles , vo il être terminé » » ou » peu de temps . Le 10, il y « eu une liau »«o de 1-4 pour cent « ur le » fonds public » à la Bourse de Londres : on l ' attribue a l ' effet d * la nou - velle du désarmement do I« France . L' induatie liniere d ' Irlande souffre beau - coup des mesures prohibitive * adoptée »} or quoique » nation » du continent , • En Ecosse , les manufacturier * sont oussi dnnsle » plus grand » einbairas . il y eu dernièrement en Suisse un mou - vement révolutionnaire qui menace de changer les destinées de la Suisse . Quel - que » moines du canton d ' Argovio ont été jugé » et trouvé » coupable » du crime d « tra - hison . Le pape soutenu » par l ' Autriche in tervint dans l ' affaire et les autorités d 'Ago vie reçurent ordre do casser le jugement . Mai » pendant que la majorité de la Diète »« montrait disposée a obéir , lo peuple insista pour que la loi eut son cours . France. La « eule . question qui occupe ce moment l ' attention du cabinet , est la perspective d ' uno élection générale . Le discour » do la couronne fera , dit - on , allu - sion à la probabilité d ' uno dissolutio ». M. Guizol et se » collègues veulent éviter toute question tendant à diviser le » conservatif » et à compromettre leur succès aux élection » prochaines . Décidément lo général Bugcuude » t rap - jKi lé « n France , c ' est le général Rumigny , aide -de- camp du Roi , qui ira prendre le gouvernement général de l ' Algerie . La Cour des Pair » s ' ost occupée le 13 de l ' examen des témoins dan » l ' affairé Dufour , r,n assure qu ' aus « it & tqu < s jugement aura été rendu dans l ' affaire Queni«» et . Plusieurs journaux de Paris seront rigoureu - sement poursuivis pour avoir publié des articles attaquant le réquisitoire tlo l ' avocat général . Le National , après avoir annoncé I ac - quittement des prisonniers transféré * de Toulouse à Paris dit qu ' il ont été traduits à In barre , la chaino au cou ; le même j- mrnal ajoute que l ' enthousiasme avec lequel on a accueilli ce » accusé » tout le long de leur route, on a plustôt fuit des troimphatcurs que des prisonniers . Exportation d büFkci ». — I *e tableau suiv a nt donne , moi » par mois , le chiffre des e - pèce » qui ont été exportée » hors de » Etats Unis , depuis le 24 septembre 184Ü jusqu ' au 31 décembre 1841, seulement par des nuviras sorti » du port de New York Argent, Or. Du 21 eeptembre 1610, au 31 octobre , 81,439,941 1,-W Du le au «30 novembre, 1.314,283 Du 1er au 31 décembre , 721,871 38,-18 Du 1er au 31 jan 1841, 300,807 lP[ Du 1er au 28 février , 462,653 383» Du 1er au 31 mars , 157,103 ' Du 1er au 30 avril , 88,0999 22.041 Du 1er au 31 mai , 31 l^.OüO Du' ler au 30 juin , 118,942 06,291 Du 1er au 31 juillet , 248,440 30,260 Du lôr au 31 août , 616,585 12, -88 Du 1er au 30 septembre , 2,192,717 31,460 Du 4 au 31 octobre , 1,135,000 134,129 D i 1er au 30 novembre , 583,444 481,045 Du 1er su 31 décembre , 203,785 39,245 Total , 10,278,159 1022,080 1 ,022,680 Total général , Sil, 290,83^ Fhontiehes Atîolo-Amkkicat-nes — On a i t que le gouverneur Fairfield , de l ' état du Maine , qui avait échoué aux élections de 1840, a été rappelé aâ pouvoirs par celle » de 1641. Cet opiniâtre adversaire des em - piétement anglais vient d ' inaugurer sa I rentrée aux affaire » par un message qur ' doit faire craindre à la diplomatie de nou - velles entraves , de nouveaux coups de fou - et à sa marche lente et pacifique . Après avoir constaté que , d ' après les dites du pré - sident Tyler, Jes négociations relatives au territoire contesté n' ont fait aucun progrès , M. Fairfield ajoute. " Si , dans cetto inaction , aussi bien que toutes les phases de l ' ffaire , vou » pouvez découvrir , la part de l ' Agleterre , aucune intention aulro que celle de ne jamais a - bandonner pacifiquement une large portion du territoire en litige , vous serez plus peu - reux quo je ne l ' ai été . La politique qii3 doit suivre le gouvernement général , dans ces circonstances, ne me paraît admettre ni doute , ni hésitation . L' honneur national j et les driots de l ' état du Maine dictent cet - te politique ; elle doit tendre à effacer immé - diatement et totalement , sur notre sol, tout vestige des empiètem^ns anglais . Car s il doit y avoir de plus longues négociations, ce ne peut être, de la part de la Grande. Bretagne, que pour garder ce qu ©lie refuse de rendre depuis plus d 'un quart de siècle - Mais si, après une trop longue attente , il n'y a pas lieu d 'espérer que le gouverne - ment fédéral adopte une conduite convena - de . . , ble, alor »l'état du Maine, fidelealui-roeme, iaui, j . ra0 y ens c , ae Die j f)0û p 0Uy0 ; r t" Ui'v, aiuiv* v , vi t s ' emparera de toiit le territoire , et , s il le ■ faut emploiera , pour le conserver , tous lea ' T-v ■ . mio cr» ux et la nature ont mis tin ( Ei - CTJÛNS DS Le Geor - troi:< can na C cù - Gsobgbï na' du 11 avance, que , UWJ'-' aétnocrate.-i a . .. , grès black , Colquitt et Cooper , doivent j être clus à uüß wjonte de trois mille vorx. IfevANK.—Le navire ù vapeur Nalhchcz, a ptfté ties journeaux de la Ilavano du 20 '/o tftî mois. Une crise commerciale menace l'Ile de Cule tout entière. Le »ncro »e vend A «i fcusprix, que le» planteur» font ù pieno lo pnà ce qu'on prétend. Lo Lucero espère cependant que la gène disparaîtra avant long.temps. Il fonde son espoir entr'autre» ' liJxes, sur coque la France va abandon ne! la production du sucre de brtferavo et tirera [dus tlo sucre des Antilles. Ce joltnal n 'a pn» connaissance mm » doute du nouveau procédé qui va rendre plu» vivn cc que jamais l'industrie tlu sutrre indigène e» France. Le Lucero «lit encore qno le cnfé rend $3,000,000 par an, et qu'il sera facile d'exploiter tie nouvelles branche* djndusfrie profitable, qui ramèneront la pfospérité. - Le» nouvelle» récent«» d'Europe ont nu moins cela do satisfaisant pour nous, qu'el. fi-, non» montrent l'Angl'ferio environnée d'embarras de plus eu plus compliqués. Pendant que cette puissance aura à sur veiller, a la fois comme maintenant, les intiiguea de la Russie en Asie, et celles dé» autre« grande» puissances du continent, quo, d'un autre côté, sn classe ouvrière sern menacée par la famine, il n'est probsb'e qu'elle s'aventure dans une lutte nu*si obstinée que celle qu'elle aurait à soutenir contre les Etats-Unis, • . , Fi.oninE OniiswTAm.—Fne corrosptm. dance du 8 janvier, annonce que presque tous les Indiens Creek* »e wmt rendu»; re qui délivra le» établissement» delà Floride Centrale de la crainte do ce» cruels enne mi». I/O bateau A vapeur Iris, n pris feu le S ol a été entièrement consurn'. Le correspondant Texien du Bulletin écrit de Galveston à ce journal qu'une expétli t on texienne va so mettre immédiatement en marche pour s'opposer A l'invasion de l'armée mexicaine, Fn autre correspondant dit qu'une expédition tic 6 a 10 mille volon taires texien» se prépare à envahir le Mexi que, et demande aux partisan» de la cause du Texas aux Etat» Unis de le» aider. EtaJ-BS PAHLT.*8MTAtaï!S — On lit dan» un journal de la Pen»ylv»nic: " Le» membres du Congrès reçoivent du tré»or public, pour frai» de voyage, 46 »ou» par raillo ou huit dollai» par vingt mille. N'e»t-cc pas une indignité, aujour d 'hui que l'on voyage fi rapidement et â si bon marché î Un sénateur ou représentant paie ®4 pour se rendre tie Philadelphie à Baltimore [90 mille»] et «e fait rembour se! §30 I II paie §."50 de la Nouvelle Or léans à Pittsburg [2,000] et retjoit uno in demnité de $800. C'est voler le pouple avec uno impudeur qui demande ven geance ! Beaucoup de membre» ont soin tie prendre le» routes le» plu» longue», pour gro»sir leur» frai« do voyage». Il» peuvent parcourir 200 mille» par jour, et pa'per |H0 ; la somme est assez ronde I II en est qui reçoivent annuellement $2,000, quelques uns mémo $3,000 pour indemni té de route. Viennent ensuite les huit dol lars quotidiens pendant toute la durtê de» sessions." Changement dr. Fortune. — La semaine dernier.", Philadelphie a été mise en émoi par l'arrestation de MM. Nicholas Biddle, Samuel Jaudon, Jo«cph Cowperthwait, John Andrewset Thomas Dunmp, ex-pré »idens et officiers de la banque des Etats Uni», à la requête des actionnaires qui le« accuse de spoliation frauduleuse. Toutes ses nommités financières, à l'exception de doux d'entr'eux qui étaient absens, sont venus devant In Recorder, e,t ont fourni caution de 10,000 dollars chacun, en ga rantie do leur comparution, au jour fixé, devant le juge qui doit les interroger. Maril — I'ar 1'- A. Walker lo 2iJ courant, Mr. J amüs S. M organ , de la Nile. Orleans ii Mme. K mily II L auoiian de cette ville. John Buhler . I ' Candidats — Four le congrè « Four le Sénat de l ' état : Gén . Jos . Bernard . Les ami » de l ' hon . John B. Dawson le supporteront pour le Congrès aux prochaines élections . Mr. Huestos : Veuille ® annoncer Augus - tin Duplantier comme candidat pour le Sénat de ' Etat , et Messrs . C. W. Comb » et K. vv Newport , pour membres de la Ciiainbre des lieprésentan ». Mb. l*Editeur : Veuillez annoncer Mr Jas M. El a m , comme candidat pour repré sent er cette paroisse à la prochair »e élection. Mb. l'Editeur. — Veuillez annoncer que Mr S Iliriart sera candidat pour représenter le comté d ' Iberville au Sénat , à la prochaine élection et qu ' il sera soutenu par un grand nombre d ' électeurs d ' Ouest Bâton et d ' Iberville . Mr. l'Editeur» — Veuillez annoncer Mr . Abel Waddill, comme candidat pour ifaire de cette ville à l ' élection qui dort avoir lieu le mois d ' Avril prochain . Batos Rowge i . annoncer M. Jas. Nous connues autorise. Coofer, candidat pour la place de Maire à la prochaine élection municipale . POID3 Î>U PAIN, Fixé par le maire pour la semaine suivante. La Farine étant à Ç5 62 le baril, 33 once» de Pain ponr dix sots. AVIS, Au public et aux débiteurs de liqueurs en général. Je donne, par le présent, avis à toutes per sonnes, de ne pas trafiquer, vendre ou acheter avec mes esclaves; je donnerai, de plus, dix piastres à quiconque me donnera information, sous serment, du nom d'aucun individu qui aura vendu de la liqueur à mes esclaves étant résolu de les poursuivre selon la rigueur de la loi. vnvrvr ANTHO_N\ iiOi^GET 20 Janvier, 1842. 51 2f —-— — TT —.■ f îV.Hian H "JtatTfcl™5 ?h né ere nommé Bartlett, acheté de lui par snus «i"-né, avait lieu dans les trente jours eui btephe:«. A LOUER Une habitation située â environ 4 mues ac dessus de la ville de Battra Rouge, sur le b> $ vou Montesano, autrefois rhabua.ton de VUU iuw»» k v » ■ ^j annaîl ; »'adresser^ . MORRIS MORGAN, Soug^. ' r >r\ .M 20 janvier . 51 - MAIRIE Reeo'iU, Qre dix iours apria la publication (jg'ret avis, la loi à l'éjrard des Cochons e'ana led rues, sera juise en force par l'offic ier pub lic SA-M'L SKOLFÏELD, 23 jao clerc. L j i ! COUR DES PREUVES. Paroisse d 'E» t Büton-Rouge, A ttend u que Henry Cari *' e » t silre «««. \ rette Cour po'- . être nommé At! mini « tra - tntir tie If « ucc !» ion de feuo S« r . ih Hti ' n - ftori , décidée ; Aiji » est par le présent donné à tou » reux que cela peut intéresser , d ' avoir à déduire dans le « dix jours , les rai - sons pourquoi la dite demande ne serait pas accordée . CM, TRMSIBR, J. P. Attest , M. MO RENO, Dép .- Clcrc . 50 janv . 61 PEPDU. Environ le 12 Janvier l'ï-12, un certain bil - let . tiré par R. T. Yowog en faveur tie Jame » Young , pour 1» somme tie $507 due dsnx ans après dale , datée 30 Mar« 1830, portant inté - rêt de dix pour cent depuis d ; ite jusqu ' au paie - men *, avec un cWtlit de $75-35 endo »«« par II, VV. Walker et Thomas Ldley on dfaie ii:i 10 Janvier 1812, le public est provenu de u* pas recevoir ce billet . / ' WM. YOUKG, 20 janvier 51 Admirii «tratPur. E'm' DE LA Ï-OUI81A N E. Cour du Troisième District?—'Paroisse d'E-it Bâton Rougit, James Man « ker , ) v». / 2017 8e » Créancier ». ) H'as« ernblée des rréanelers de James Mans - ker n ' a yant pas eu lieu con for tue m eut h 1 ' ort Ire de coitn cour en date du 25 Heptembre 1Ö41, liest ordonné que le« dit » créanciers soient notifiés selon la loi de s ' assembler le 25 fé - vrier 1812, par devant William Wikt/ fT , notaire public , à son office d ;m« la ville de Daton Kotige , et là et alors procéder * l ' élection d ' un ' syndic ?» la propriété abandonnée par Jumes en remplacement du dit A/ ansker , déinissionoairo Ce 18 Janvier 1842. ISAAC JOHNSON, Jtlu 3ine district . Copie c o nf o rme A l ' o riginal en liasae 4 mon office , ___ 22 jan 1912- M ■ M ok ^ o , Dep . Clerk . AVIB En conséquence de la résignation de James Manxker comme syndic , neu créancier » st . nt avertis par le présent d aparaltre pw tleva ':* le soussigné notaire public , en son étude , Mercredi le 25 Février prochain , dans le bat de nommer un syndic ponr administrer les bien * du dit Jatne« M^ naker . WM. H. W1KOFF. 32 j an 50 r» otaire public . ËtÔt de la Loaisiaii «, Cour du Troisième District, — Paroisse n'Est Bâtoa Rougo. Seth Dav id, } vs . / 2950 Hiram P. Taylor et U Pyburn . ^ En vertu d ' un alias writ de fi. facia * adressé - nu shérif de la paroisse " « us - dite par f honora - ble cour du troisième district judiciaire , dans et pour la dite paroisse , il sera expos« en vente publique , LUNDI le 14 Février j --» chain , « ur le » l ieux , à l ' heure habituelle des ventes , tous I«* droits , titres, intérêts et prétention » de fîirarn P. Taylor un d *i défendeurs i la pro - priété suivante savoir : . | Tout le maïs dan » le bout « ud du magasin j à maïs situé sur l ' habitation ou demeure le , défendeur . ... Saisi pour satisfaire le jugement, intérêts et frais au procès ci-dessus désigné. OWaw«. J» ti <•»"•<» • e.«jin|rtaoW„ !.. C. MORHIP, 20 jan 51 D é p. shérif. ETAT DE LA LOUISIANE. P arôme d'Est Bâton Rrmgc — Cour du Troisième District. J. Äi E. F- Phillips Si. Co. 1 vu > No . 2.ÄJ. Samuel Watson . 3 En v e rtu d ' un ordre d ' aha » f ieri facias adreo - tjhérif de la pnroisse d 'Est Bâton Ron - an Bwn, a», la pnroiHHo „ .... .. rrp nar l' hon tour du troisième district , tenue j dans et itoar la d . te paronse , il sera exposé en 1 y vente publique , . Mr .Rcnr.tJi, 10 Février 1 %ii h la wanton de cour de la \ ill « de Bâton Ronge à l ' heure ordinaire dru vente*, tous les droit *, titres , intérêts ot prétention* du défendeur sur les esclaves ci - après désignés , savoir . Ram , d ' environ 60 an »; Lsar , d ' en v i r on 00 a ns ; et Mingle , âgé d ' environ 13 ans ; lesquels ont été saisis pour satis , a ire aux jugement , intérêts et frais du procès ci - des - sus énoncé . Conditions de la vente : comptant. L. C. MORRIS, Dep . &a er-.L la janv 40 _ Pardcvant John F. MeCaa ^- Paroi = se d'Est Bâton Rouge . A. II- Me Rae , administrateur , | vs 1 Wm. Pool , J esse W. Hooper et j Clinton M. Hooper , ) . En vertu d ' un ordre de pluries Sen adr essé au Shérif de la paro s ? e d'Ut baton Rouge , par John F- McCaâ , juge de paix , dans et pour la dite paroisse , il sera e*p<j8- en ven - te P ublK1 & ^ ET ,^ j er< > e Février 16^ 1 1a maison de cour de la ville de Bà' oo Rou - ffe, â l ' heure ord » taire des ventes , tous le ? droits , titres , intérêt * et prétentions deClmton M. Hooper, i' ua des défendeurs dans 1 affaire ci - dessus , â la marque d ' un troupeau de oes - tiaux , de mécie qu ' à la marque d ' an troupeau de cochons , appartenant au dit défendeur , les quels ont été saisis pour satisfaire aux juge - ment , intérêts et frais résultant du procès ci - fcnonce Conditions de la vente : comptant. I. C. MORRIS, Dép . SfcenL 15 janv 49 AVIS Le soussigné requiert tous ceux qui lui doivent, soit par billet» ou autramec. venir le paver sana délai, comme il «e trouve fort embarassé fauté d 'argent pour ligner ses obligations. 22 jan 50 II. V. BAE1N. j er J^ ns min «u r s et ndm.niatra'rice -ie la succès ! sion de son mari, William Brya^ c» cette pa j ro:g8ei a enregistre au bur: „u du greffier de j ]a ji te COU r, un tableau e* division des fonds de la dite succession. T'.-ru par elle depuis i "a.» ert. p « jwceente terni à toot , per ETAT DE LA LOUISIANE. Paroisse d'Est Bâton Rcuge Prcarss. Dans l'aftire de la succession de William Bryan, d«>cédé. Attendu qu ' Elizabeth Bryan , tn' r . eede ses sonnes inté r jssées de faire valoir leurs rai sons, dap' dix jours dç cette publication four [ quoi dit compte -rendu ne soit pas homolo \** '* <* " '"«""ch' S J- P. L Attest, M- Moîiemo . D e 7 -Clerk. j 22 jan. 50 „ , , Cour des JOHN J. BURKE. Avocat, ayant établi 6 a résidence à Bâton Ronge, offre respectu eusement les services tfe sa pression au jjjublic. Son bureau est situe vis-à-vis la 1 MatKon de Cour. 22 ianvîer fil . JOÏ PHARMACIEN Rc» L AMÏEITE. P*. A. H. MEAR3, , Gritdvf de V Université Transylvanie. Off re respectueusement le» « ervlce » d» «a profession an? citoyen » d» BWon Kowg# et da ses envirôn «". , , , Konoflïty est - « itué vis - a -vi» la qui' ou «• cour. * 1 1 décembre. 44 ETAT DE LA LOUISIANE. Cour du Troisième Distric/r--Taroisst d'E*t Bâton Rouge. John P. Michel et femme, I v„. S2CU9. Robert Boyd , h c 1, st . al ». ) En venu d ' un alla » writ de fier ; facia « s - dressé au « h . rif de la paroi ?«« d 'Est 0* t "ii Rouge , par l ' Itonorable cour du troisième dis - trict en ot pour - la paroisse sus dite , il sera exposé en vente publique . MERCREDI, 2 Février prot hain , A l a m aison de c « ur dans la ville de Bâtoa itoi'tf»', « l ' heure habituelle de » ventes , tous le » droits , litres , intérêt » et prétension » de Robert Ilnyd b . c . l. et autre », défendeur « dans le pro «' s ci - dessus , à la propriété ci - apree décrite savoir : uu certain mt > rçeau de terre situé dans cette paroisse proche la ville de t Biton Rouge, contenant qua tor M arpen » plu » ou moin «, borné au sud p^r lerro » « ppartenant i John Oayle , et â l ' Ouest parterres sppar - t tenant ä rattßfiOfi- Anwi !'•» ewslavM «uj vans , « avoir : Hally , <igéo d ' environ 32 ans , Femma de 13, Luc/ de 2fl, et Jean Batis 'e âgé d ' environ 47 ans . Abandonné par le dit défendeur poursatis - faire le jugement , intérêts et frais dans le procès « us - inentiont é . Conditions <le la vente — f-omp'ant rin« éva - lu . tion . L. C. MORRiy, 1 jan . 40-7 Dep. Shérif - | j , füll de la ■-«» man « Cour don Prouves -— -l'ami»»® d Est Baton Rouge . Concernant la succession de ") Hardy Car », déct d ». Pétitien de Mary A. Carn , > iJt. pour une aasemblée de créanciers . J IIne assemblée do » créanciers de feu Har - d y Carn est , convoquée (wur avoir lieu par - d *. vant lo soussigné , juge de paroisse , et es - oflu ' in notaire public , k sou bureau dans In ville de Bâton Rouge , le mardi Sème jour de Jr « - vrier 18-12, afin de dt libérer sur I objet < îe cette pétition , et aussi afin de faire fur les lieux ce que l ' intérêt et la nature du ca » pea - vent réclamer . _ _ CU TESS1ER, Juge de Paroisse . Four copie conforme à Mg'/*' •_ (iîignf,) M. MOP.ENO, ^ Député Greffier . ETAT DE LA LOUISIANE Paroi sse d 'Est Biton Rouge . Conformément l ' ordre ci - dessu », les cré . Mieters de feu Hardy Carn sont par le present requis de comparaître par devant le « wsmpe . juge de paroi «se et ex-rtfficio nota rsi public , * Ln bureau dan « la ville de Bâton Rouge , le mardi , 8^-me jour de Février 1842, afin ^ 'l' - libérer « ur l ' objet tl « la petion de la ditü Mary A. Carn ; et ati ««i afin de faire « ur les lieux ce que l ' intérêt et la riature du cas peuvent réclamer , CIÏ 'J'KSSIER; 6 j*- n 4# J- ^ Paroisse et not - pub . ETAT DE LA LOUISIANE. PAROIÄ SE D'KST BATON ROUGE. COUR DES PREUVES. • vi t sf »» de la Cotir de« Preuve » de la paroi »»« susdite , il sera offert en vent * publique par le ju^e, e *- offic : o encanteur . soussigné, „ , . MARDI, 15 de Février prochain , à 10 h eures A. M. sur le* lieux , jes propriétés ci - apré .« décrites , dépendant de la succession de feu -e Dame Constance R< jcbon , décédée , vauve de Mr . Armand Déplant er , savoir : 1. L' habitation « ur laquelle résidait la dite darne , situé dan « cette par /. isse , à un mille et demi tie ffà ton Rouge, établie « contenant vmgUaaq arpen » de face aufleuve Mississippi sur une « ofeadeur d envffon cm - no ante arpen « avec telle ouverture de » ligiK;« k laquelle elle peut avoir droit ; bornée à sa - - ? - - - lui ses partie supérieure p ?r terres de M. John Mc Doaoujf/i, et à sa ligne inférieur« parcelle ce M. Stephen Henderson, ensemMe avec t aale* ses améliorât ions. Le» établi»*«mea» consis tent en «ne grande niaisoa de xaaî're, cu.siw-« p ige«. -.nier, Le, une sucrerie en briques cal culé pour deux équipages, moulin ü sucre rmi par une trés-b'/nne m.»chine â vapeur, granges, moiii,a \ coton, cabanet à nèTre», fie. De 4- r /J i. aruents de Ta d:te terre «oft défriché» et eritour»* de barrières- Il * tt« reserve une suffisante quaet:té de caaœs four ta récolte prochaine, ei h piaatatst-a ea est df-ji ««wtmencée, _ - Cette propriété par «a situation ne sa cede a aucun autre sur le fleuve sous le rapport de la îieauté du site. Tous les établiiweni«nm i Fexreptionde la eucreaèc, sont sitoea sut un côt^au qui d'»raine tous les aleotoars ; la vre »«t superbe, la vue est superbe et sa position élevée, en fait un» résidence presque unique gur le fleuve, et La rend propre i tous le* genres dV.mbellissemerMt dont ne sont pa* eu/. céptibles '.es terres ordinaires du Mii»ifsif tiuant à b!x salubrité on se d.sf^nsera «i r parler, celle de Bâton Âouçe et de sea env, rons étant devenue proverbiale. _ Ijt coi « de premiere qualité et très fertile et -^1« ment propre â la culture de la carj'e e . ici et du coton. Fins, cinquante-trois esclave i. «fige et e sexe dilT- rens, ùoiit la inajeu/e partie eut en oie, et de grande vaîecr. Aussi quatre beaux tv-r *j Eg dans la vil de Bâton Rouvre, dont te sont nitai a dai la nie Lafayette et de' ix dans la rue Nat che Une plus ample de?-cr .ptiaa en sera doaate jour de la vente. Plus, un pet't îîçt rie terre sitaé le collège, et qr., géra plus amplement déc. le jour ùe 1st ^«nte. Il sera é dement vendu trois cents act io de la BaVjue de l'Union de la Louisiane, g rantis »>ar hypothèque sur l'habitation aus-d * CONDITIONS DE TE ^."habitation payable en -cinq paiemens n ta} . . - aux, savoir: Le premier mars 1843 ; ^ MVi d en mars 1*44 ; Èe troisième en ma ; le quatrième en mars 184Ö, et le de nier en mars 1647- ! Los terrains seront vendus au* mitr. termes- . - Les esclaves pajibïes en trots ;pa»ia égaux, en mars 1648, mars 1844, e« m li|4â. I>es effet» mebiliers en ma» l»4i tout en billets endossés ä satisfecttou, port, intérêt à dix pour cent après leurs ' ?ebéa» jusqu'à parfait paiement, avae hrpotact gp- ciale bw les immeubles. L'acquéreur de l'habitatkm »«tarera responsabifité d'une dette duo 4 la «touque l'Un on de la I^>ui»iane, et dont oia fera eu 1 janvier ÎS42. 4i-6 \MOS ADAMS, Avocad et Cowilh , u n t nue l'exercice de sa ptvfeaaian dan» coers du troisième «t quatrième dustnct § jv. ciaires et dan» 'a cour suprême de !'K L-s aäai-es 'on^es i ses ««as r * e *I£ l'attentic» la pins assidue. Il t »Bt «*» on î silon Roage, eacetgnnre éea nies Conv. tion et Troisième, deux rorte» iu- «lesBOC2 Xjayt-u de J. & E. F. Phillip«. 22 janvier 50 [ CONNAISSEMENTS & verdi» i Tir ' eerie is ce jour»?.!.