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ciikoMyi 'e i>i:s sa L ons L'H r.uua. I.e nn.il d«i juitlU I« »MOW nitx GvA. iifi.iKDiis, voyuï f»1.um :—13 f»i:ic« 17»u, I ..niiuieneetiioiit «Ii I i rû*'M''"'" linit'Jiii-1 ] i juillet 1781), pr«««. 1 do I» lînulillt*.— •Ji juillet l"y;) In pauplo d« Pari« mnnsa I y loukifl el IL-rllil-r.— -1 I J lillot 17Ü0, I îïéTalmn à Pniin •!<•»» «lépuUm «le départ« ii,mm,— 17 juilltsl 17112, l'ussrmbléu li'gis 1.« Ci vc « ccuoillu l.i p Milldii I») ir la «I. « né nnro tin roi. — Il juillet 17f).'J, In rein« < (uni prisonnier« nia Tomph', un (leeret «l»* la rim Volition lu »ijiinu do «un fill.—11 bullet I7U3, Marat But tuù par ChiiiioU' 1 ( '«ti du v.— juillet I7U3. Rnbi'spi'uru full i.ioKro burs la lui Pution, Huzol, Louvel, L.ubtiroux «•! Ions I ti d .*}»»! ' "i* du la < • » I < ni - ■ itt < g iii «Vlnii'iil uul'wis uprtM lo ill mai.-— 27 juillet 1 71)3 (0 thermidor), clifite du Ho I-piv,in; — llolwHpioiru moule syr l'iVlia j Iiid.—'j7, yy, 21), jiiill<!t ih: üi , cxjin! ■«»«»h do lu brmiclio uiiioo de« HoutboiiN.—-2Ü ju illet I H IT», ntleulnl I'u'Mchi.—2fi juil 1:1 1H41. lo duo «le Hotdetiux loinbo <l<« I - ilC \ il I ft mi fiiiCtHM la cilinO.-—111 juillet HP .2, le du .- d'ü.lCa-m meurt d'une cliûle do vuilur«. fiiibiiiiul civ il d'' la Seine rHrtitil on ce moment d un proi'fM grnve où figurent • ii'N I,.'ins illustra.*, <M dann l«-«|u«d don inci don* drani.tlii|Ujü« excitent lu uuriotsiI >.*• — \ uii i In« lu its : ! IM. lu baron do Ii''*n»ouo un en - (am né di' soll ituiriugo iivro M II«». Loitiwu. H jli na Dunk, oumnm étant lo lomilliii d'un a lultôre commis« |«nr colic dernière. * 'open liiiil oo nmrinp« ne renioitluit qu a l'unnéi) IH3 I M. du N «Iura offieiut dan« un régiment do hiiMard*, n'ayant pu obtenir le otumenlunioHl du la lumille, on lova Mlle. Uurcli, rieb« héritière qu'on lui lofu.init pure« ipi'il n'avait pu* uno (urltMJ® «■gulo à la sienne. I.o mariage fut conclu quelque temps c11sujlo ; niai.-* M. du N.... Cul obligé do partir pour l'Afrique, où l'ap pelai) son *i 1 rv ice. Ma femme habita tau »At l'Angleterre avec sa famille, tantôt la l'innce et Boulogne avec «n mère seule, mon', 1.4, elle fil counnissnnco d'un nlTioior de lancier», ol voici les consuipiencts qui un l (''Huilèrent. M. de N. . . . fut informé, à .»on retour en Kranen, de In conduite de s* femme. Il partit aussitôt pour IJoulogne afin «le punir j les cotipableH. Il no (rouvn leurs trace*! qu'A Heidin. La «lame «lu N. . . . était seule A l'hôtel quand son mnri s'y présen ta; il réclama l'enfant qu'il wo pouvait laisser à «a femme après une conduite si « ogpablt). Cet enfant lui fut illoctivoineut temi* : mais à peine s'étnit-il éloigné qu'-1 ntî cavalier accourut : c'était i'nmitut de Mme. dti N. . .., qui, nmtiant au moment lift la mère se répandait on pleur* sur su »operation d'avec «en enfant, etil l'idée d« courir après le pôrç, de le présentai coin, mu un ravisseur, «t «le lui reprendre «n fil» le. Kfl'vctiveincnt, i! parvint à anient« r les paysan* d'un village, on arrêta M. «le '* N. . . .. et ce n'oel que dan# la ville voisi ne oft il fut conduit qu'il parvint A faire connaître la viri*é et à ;>e faire rendre l'en «n litie*. ian' O « «Ile scène entre deux officier* no pou- ! \ a il en rester là. l'n «lue! eut lieu entre lo ; mari outragé «I l'amant heureux, qui fut ! encore faverisé par le sort danj celle ten- j coatre ; le mari eut le bias cassé en plu-1 sieurs endroit*. ! l)«s poursuites furent dirigée« c.onlre la dnme de N. . . . ainsi que contre son com-1 plice. La «lame de N. , .. fut cendnmnée I à 18 moi« de prison. Aussitôt M. «le N. . . . désavoue l'en- ' faut né pondant son mariage, se fondant sur ce qu'il était éloigne de sa femme A j l'époque de In conception ilo l'enfant, et | sur ce que l'adultère judiciairement con- i sluté lésait cesser lotîtes les incertitudes de I cet to paternité si diiultui e. [ L'enfant mineur est représenté devant i le tribunal par tin tuteur «pii lui n été spé-1 « ialemnnt nommé. Le tuteur . soutient que. ! malgré l'abscnco du mari, malgré l'inlidé- ! lité légalement constatée et punie de la i femme, il n'y a pas de preuves suffisantes ' pour declarer rutilant aldulériti, et lui en lever ainsi les avantages de la possession ! d'enfant légitime dont il jouit en ce mo ment. j Telle o«t la grave question qui a occupé 1 la première chambre du tribunal pendant' deux audiences. Me. Bethmont plaidait pour le mari, qui désavoue l'enfant, Me Vcrvort pour le tuteur. M. l'avocat du roi a conclu en faveur «le la demande du mari, pour quo le désaveu fût admis. Le tribu- ' nal a remis à huitaine pour prononcer son j I jugement. Uno gageure formidable, il ne s'agit de " rien moins que d'un dîner do vingt cou verts, et à discrétion, a occupé toute uno nuit un souper fashionable. C'tst «n point de grammaire. — Doit-on diro de quelqu'un qui parlo mal fran«;ai»: —"11 parle français comme ttue vache espagnole." Ou bien : "Il parle fiançais comme une vache espagnol ?" C'est-à-dire . s'agit-il d'une vache espa gnole qui essaierait de parler français, ou d'une va cho quelconque qui voudrait par 1er espagnol ? Nous n hésitons pas 4 nous prononcer pour la seconde glose. Nous ne concevons pas bien pourquoi on aurait choisi une va che espagnole pour lui faire parler fran çais ; tandis qu'il e*t bien évident que tou tes les vaches du monde connu éprouvent la même difficulté à parler espagnol. Sur cette importante controverse, nous appelons l'attention et les lumières de nos lecteurs. Un viveur ruiné et qui ne pouvait pas payer un bain dans It^qticl il s'était plongé à crédit, écrivait à un de ses amis: " Envoie-moi de l'argent ; depuis deux heures je suis en gage dans une baignoire; je passe à l'état de poisson ; je sens déjà pousser des écailles." L 'empereur de Russie a ordonné à notre ministère de rapp«l«.r M. Casimir Périer, In premier secrétaire do l'ambassade de franco à Saint-Petersbourg ; le crime de ce diplomate est d'avoir montré la plus grande indifférence aux dédains de la no blesse russe.— Comment faire avec le czar? il s'emporte contre ceux qui se fâchent ; il se fâche contre ceux tjui ne s'emporieat P M - P M - T hkatek u O xleaxs -— Parmi les nou veaux engagemens du Théâtre d'Orléans, on cite depuis quelque» jours ceux d» Chol let, Caudcrc, Serda, Anna-Thillon, etc. Je tiens dj personnes aussi bien informées, «[tic c'est d'une vé%it» presqu'exacte, mais ' , ■ , I U î- a- - » jc dois ajouter que le charge d affaires n a \oulu les admettre dans sa troupe quo comme choristes. Pour premiers sujets, i entr autres artistes assez connus, il nous an.cn« "Dupiez, Mario et Rubin«, comme | piciiiiers tenerrs, Barciihet, comme bary- j ion, Lablache et Salvatory, comme basses, i et l'ersiani et Mlle. Lœwe, comme pre- : inièies cantatrices. ; On ajoute même que M. Prévost qui , tL'ßt à s'acquitter consciencieusement de ta mi»sioa, s'est refusé deconiracter avec lui-même, comme chef-d'orciiestre, et a cédé l 'archet à M. Habeneek. Il se serait, dit -on, réservé l'emploi de triangle. — La 1 Lorgnette, i I | j | ; i 'I J | j , (J.y" Ou lit dans I« Courrier d«n lîtata Unis, du 21 Septembre: I'asnv Emsi.Kh .-—Lo retour de Mllo. i'.l-Vnr en l'Europe a élé un véritable tri onipbo. A peine avilit elle mis pied A terre, iptii les directeurs ilrf tbéûlrt» accouraient do toutes parts pour se disputer lu sylphi* do. Mars c'est à sa vieille mère qu elle a d atiorcl voulu fuiro oflian-ln du si» laurioi" auicrii'aïus, et e!li* s'est rouduo dir^'otcnieiil ailjué'i (l'i Ile, a Vienne, Niiiirt se liiissur I »' 11 - ter par toutes les elftes *,<dui«Bule*9ipii mir/isnaieut eur son passage. Nous ajouta rolls, à regret, <| m le directeur du (îrand Opéra tin i'uris, M. Léon l'illel, no «est pan u^footé a ce j;(iliiMt accueil, l'.ti up prenant son retour, il s est eruprcH«o du faire cnnlirmer, par la cour royale, lu ju gement ipt'il avait obtenu on première ins tance, et pur lequel l'ttnuy I'UbIpi avait clé condiimuée à payer 00,0!)!) lianes pour rupture cle son engagement. Nous avons il lui dcnutmlor pardon d'avoir four ni des nrmus A si: h adversaires, Otir pour obtouir la eoiiliruiation du jugemonl, I h - vocal du Al. l'illel, IMo Philippe Dupinn'a rien trouvé du mieux que de ilonm r, en plein tr,banal, lecture du feuiüeton dans nous avons pa*s6 en revue tous I«« I exploits ilu lu eeiebre diinseu .-i«. ' Puis. ! b I qu'elle rapporte tant de couronnes et tant .Id dollars, s'est écrié, en teliniputil, !Mc Dupin, elle peut bien payer le d dit ! ' I,a pour royale a él« de ce! avisj mais lions sommes convaiucus que I« « deux plaideur# n'auront pu* tardé à -e rée.oneilier, l'un dans l'intérêt de mi eni.vai et de son publie, l'autre dans l'intérêt de pu gloire, l 'uis q.io notre autorité a été invoquée pur d« VHnt la loi, nous espérons que l'on voudra bien «I« part et d'autre reconnaître que nous nviotis raison en disant : 'Il e«l éga lement triste pour un trôa» d'être sann roi, et | our un roi d'être sans trône.' I>KTKK8MÏ IIKS COtONIKU l'tt A M; ,\l«t:«. I,e» dernières nouvelles remues des colonies françaises, l'ont de leur détresse un tableau douloureux. On n« peut lire «ans émotion le rendu compte des misères accumulées par la l'aulo et, eu quelque sorte, par la innin des hommes, sur ces contrées que la Providence a douées do si grandes riches se» naturelles. Le prix des sucres, ce pain des colonies, qui constitue leur unique res source, y est tombé A mi degré d m ilisse ment plus profond, plu* deplorable encore 1 t'A In Louisiane et «Inns I île «le ( uhc. — Aussi la misère y est-clin plus posante que dans ces dernières localité«, oft pourtant elle et déjA si lourde. Quelque infirme que *«ftl le prix des denrée«, il ne trouve pas d'acheteurs. Ceux qui #c présentent n of front «Je payer qu'avec des traites de place dont l'escompte est impossible. Lo numé raire manque et lo crédit est éteint. Cha que jour de nouvelle« déconfitures se dé clarent, de nouvelles saisie* «'exécutent. Le» journaux sout couverts d'annonce» de ventes judiciaire«. La société coloniule est frappée «Inns la source même do son existence, et ce qu'il y a de plu* fatal, « 'est que bi 'eriiièro réce'lo a été aboli, dont et «lu 'elle avait„t'ait concevoir aux population« de iégitro : * ^ rances. Ces espérance« so loi, '.ocut t-ur lit confiance des ridons dans | e * projets réparateurs du gouvernement. Jl/ais la bu sur les sucres, «i longtemps al tendue, si longtemps pro niise, a été ajournée par »tiile de I i guerre impie que se font dans les chambres l'in dustrio sucrièro de la mere-patrio et celle ( ' 0 - s colonie*. Cet ajournement n été un coup d'autant plus douloureux pour ces dernière«, qu'il était plus imprévu. Elles s " |,< >nt trouvées saisies par le désespoir au milieu des illusion* de leur foi, et par la misère au milieu de l'abondance. Ln présence d'un Ici élut de «• hoses, les eoU nies se sont levées et ont fait appel A 'ours autorités immédiates; ello ont de mandé qu'on no les laissât pas mourir. A la Martinique, des adresses ont été piésenlécsnu gouvernefir au nom du con «cil colonial, des habitons «le Saint.Pierro pt du bureau de commerce de celte ville, Elles sollicitaient l'ouverture des ports «le ' a colonie et la libre exportation di^s sucres, ' ,0 gouverneur n'a pas cru devoir assumer la responsabilité de celle mesure ; mais sa réponse témoigne do la g cavité de la situa tion. "La nouvelle de l'ajournement de la loi des sucres m'affecte, dit-il, profondé ment. Les colonies, malheureuses depuis plusieurs années par l'avilnsement de leur denrée principale, devaient compter sur ce soulagement, el j'avais espéré moi-même qu'il ne pouvait pas leur manquer. La ré solution que le gouvernement a cru devoir prendre est, dans mon opinion fort regret table, puisqu'elle maintient pour un tems indé< * r, » in6 «P« léffi^at.on qui ne laisse nunmi* rmu llmtl «U» litnti l'Ire :m aucune condition de bien être aux popula tions coloniale»." Le gouverneur termine en annonçant qu'il va saisir Je ministre de la marine des plaintes «Je la population et lui retracer la situation déplorable dans la quelle se trouve la colonie. Telle est lu situation présente des colo nies françaises. Lo gouvernement do la métropole viendra-t il à leur secours en évoquant leur détresse à la barre du parle ment qui vient de se réunir, on attendra-! j! à la session qui doit suivre? Ce serait quafre mois do délai pour les colonies, ot la faim no peut attendre, comme disent énergiquement les colons d« Marie-Ga lante. — Cour, des Etats-Unis. A ssassinat a coup« i>k poing. — Le 13 Septembre, les rives do I' Hudson, dans le comté de Westchester, à 20 milles de Now York, ont été le théâtre d'une lutte horrible entre deux boxeurs. Le cartel avait été échangé à la suite d'un combat de même espèce qui eut lieu, il y a environ un mois, entre deux autres boxeurs, en présence do plus de 10,000 persiiiines qui s'étaient ren dues de New York à co hideux spectacle. Là, pour satisfaire cett» curiosité sauvage, lus deux chnmpio-, s'assommèrent mutuel lement penefint près d'une heure, jusqu'à ce quo l'un d'eux tombât sur le sol, épui sé de fatigue, baigné de sang, meurtri de coups. L'n des seconds du vaincu, offen se de 1 insolent orgueil dont faisaient para de les amis du triomphateur provoqua un des seconds de celui-ci. Le défcÇ.t accep te, cent dollars furent deposes de part el d autre peur prix de la victoire, et en rnê mo teuis .k nombreux paris, que l'on eva lue à plut .le SI ! t f 000, furent engagés sur le r^Sut: .i e-:' ce coBib.it. e.t:>q bateaux , <Jl v ' V ^ à vapour qiui ei- ew ïork pour transporter au IremiJov T'r^^-hlTY 61 T 6 ,, " 1 ' 3 , " 'V, J ,, 1 '* ' ?" s °P" 8r Lil.y et bornas Mac C»y eotrerent dans la lice où ils furent accueillis par de bruyans ! I I i- I - hourrahs. Les formalités préliminaires ayant élu accomplies, «t les deux luttsurs s'etant cordialement seiro la main, le com bat connuança. Conformément aux «sa. ges di ces .orte, de duel, il devait y avoir un« halte d'une demi minute après chaque coup donné ou reçu. D'ordinaire, il suffit de moins de 50 passes , qui occupent envi ron une heure, pour qu'il y ait victoire et . défaite : niais celte fois la force et l'adres se étaient si égales de part et d'autre, que le combat a duré 2 heures et 41 minutes, et qu'il a failu qu'il fut renouvelé 120 foi» avant que l'un de ces malheureux demeu iât sur le terrain. ( Dans la dernière demi-heure, cependant, i Lilly, qui avail habilement ménagé ses força«, nvnit évidemment Initie« les chan ce» do euccès. Il s'est mis alors A porter 'sur la fncc de ggn adversaire des coup# fu I rioiix qui ont fini par rendre Mac Oy | complètement aveugle. C'elui-ci n'en a j pas moin» continué A coinbfitlre, excita ! ou'il était par le« snrcnsmo# des amis de ! I .illy, (air les encourngemen# de ses pro. .pies parieurs. Maie enfin, lorsque, pour lu 1 vi I r» foiji, le In raut du camp a donné lo ; signal, Mue Coy c?.l deineuro immobile, I tt«M* sur lu gei,«m d'un de ses seconds, et lorsque des honrwhs ont salué son lieii reiix rival, il cm ! tombe sur lo Holenns con nais sue". Quelques minutes après il était muri. Sun t udiivre, horriblewont mutilé, fui mis A bord d'un «les bateaux A pipeur et transporta obey, la uièro du lu victime, pur un «les flores de iMac (!oy qui nvnit O' Histc à cet horrible dram«). Quant A la mère, r;'il faut en croire un journal, paro diant le« sublimes parole* do la mère spar 1i.it c», i llo aurait dit A son file ; "je ne veux pua le voir si lu ne reviens pn* vainqueur on mort!" His souhaits ont clé aecotn pli».-— Cour, dix Et.uU. l'nie. Nocvim.i.k. rcicriîh nr. si kahdoats.— l)ti «lu iiou dernier# numéros contenait un assez long rapport de steamers sombré* I «Inns le lleitve cl dans U"< rivieres 111 1 1 n m i - if?» ; tiuj'Mirdbui le fcteuurbont Président I arrivé «Je St. I.oiiie, nous apporte la non I « elle du nouveaux déstisirrm. Nom avons a ! ajouter que : Le steain u Piéeieption faisant les voya ges du Si. I, oiiis à la Nouvelle Orléans, sVsl heurté contre un cineol, dans la nuit du '21 «lu mois «Ici nier, à (loose Islan I, ut a sombré ju-que pnrde^us sou pont. La bateau «-1 la ctigaisori sont tolalemcnl perdus. La lendemain, lu steamer Robert Lvtle, faisant les voyages'«le St. Louis A Lo..u ville, a touché un chi« «il a Dooüng Slough et a sombré un peu au «lassons «lu M en lor. On espère pouvoir relever ce bateau. Le lo sien moi Queen of Ihn South avail sombré près du Cow I datid, on était parvenu à le remeiiru A 11 >t, mai» il oc tar. «la pas A s'enfoncer de tuuveau à la h tu leur il«! l'île no. I. Lo steamboat Minerva, capitaine Hunt, de Saint Louis a frappé contre un chicol, pendant la nuit il l'aise Huer A huit mille* ilimIiissomh do Davon Sàrah, el s'est grava* mont avarié ; «•«• bateau éinit déjA A moitié sombré lorsqu'urrivè o il lo Plead -ill «t In Joo Da vio.v* qui lui prirent tout son î'ret cl le remirent fi Ilot. La Minerva est arrivée avant hier en villu ; ullo estnii|ourd liui sur lo chantier pour luire répnrerses avaries. Lu 8teaniei™l'ran«il, faisant le* voyages de Shreveport A Alexandiie, «'est heurte contre un chicot «laus lo lion Dieu a tren te milles au-dessous du (îrand /.'core, il avait déjA deux pieds d'eau dans sa cale lorsqu'on s'est apperçu do cet occident. — Le bateau ne sera pas perdu, tuais la ear guison a été forternonl avarice. Le lurry entre le Bayou Sara et la Poin. lia Coupée, a sombré dans ciri«| ou «lix Ä pieds d'eau à quelques milles uu dessus do Bayou Sara — Abeille. Dtriu, u.NTKR i>tst)\ Ixdibws. — Nom * li sons dans lo Uni River Republican. — Uno «pierello s'etnil élevé« il y o «pielques jours entre deux i lui nuis, nommes John et jack, «pieYell« qui fut suivie d'une bataille dans laquelle ce dernier fut roué «h*coups et res lu sur la place. Doux-ou trois jours après Jack n'étant pas satisfait voulut tecom muncer la bataille, mais il n'eu fut pas plus heureux. Joliu le rossa complèleinetil, il lo mordit munie au visngo. Se voyant ainsi la figure aliimée, Jack déclara qu'il ne pouvait vivre plus longtemps sans l'éshon neiir et ii envoya à son ^i versa ire un car tel dans lequel il le prif oquait ù un com bat A mort, John accepta. Les conditions furent réglées: le duel.oui lieu A la enra bine, le bout du ennon à six ponces de la poitiino «le choipio adveisairo. John n'u vail |ms une bonne carabine, mais il em prunta celle du neveu «le Jack qui en la lui piôtant, déclara qu'il accédait «lo hou ! cœur il ce qu'on lui demandait, voulait pa* que son oncle eut aucun avan tage. Jack et John ainsi placés firent fou ensemble et friront tués tous deux. Ces indiens étaient de la tribu «les Chactas et parfaitement bien confit*« des blancs qui habitent la pinièro d'Alexan drie. drie. l mi grants du Tcx.vs. — Mardi dernier, dit la Bannière de Franklin, deux ou trois bateaux à voiles conduits par uno bande de gens grossiers, se sont arrêtés devant la plantation «le M. M. Coniy, sur le ha you Salé. Ils ont dit qu'ils avaient quitté le lexasa cause do la misère qui y règne, et que leur but était «le se rendre vers la demeure de M. Kicver» sur lo Bayou Shn ver. Il paraît que quatre ou cinq embarca tions <le ce genre venant également du Pexas ont touché dernièrement à l'Ile Thomas. Ces g«>ns sont dans un dénûmont complet. Comment vivront-ils sur cette côte. Si ce sont do mauvais sujets à pro jets coupables, nous avons tout ù craindre, car la côte n'est nullement protégée. 11 importe de ne pas les perdre de vue. — Gazette des Opelousas. R écolté . — Notre récolte sera beau coup moindre cette année, que celle de l'année dernière. Les chenilles, la pluio, la pourriture, en diminuent chaque jour considérablement la valeur. Un habitant de cette paroisse nous di sait ces jours-ci que, de 50 balles de coton qu'il espérait ramasser, il craignait bien n'en obtenir que vingt ou vingt-cinq. Un autre nous a manifesté les mêmes craintes. Les habitans de la pnroissa St. Liindry, eux aussi, sa plaignent des pluies contint^ elles qui font diminuer de beaucoup leurs récoltes. — Créole de St. Mart inville. Une aventure qui réalisa les plus terri bles inventions des dramaturges s'est pas sée à Ostende, dans la nuit du 30 au 31 j juillet. M. D chef do la station dû che. ! min do fer d'O,lande, soupçonnait une in ! tr ,g„e entre sa femme et un jeune aspi , rant do marine. Résolu de s'assurer de la | vérité, il j elh annonça son départ pour Brüx- j es, mais n'alla que jusqu'à Bruges, et, jenlre onz3 hsurcs et minuit, il rentrait j oh^; lui, armé de deux pistolets. Parvenu j ; dans ta chambre à coucher, et convaincu j do ce qu'il craignait il blessa le jeune L.... 1 ^ ,r,J " P ri ' rnicr ooup d« pistolet, l'acheva du j second, et laissa sa femme enfermée avec i la cadavre de son amant. Au point du ! jour, M. D...., ayant rassemblé des té J uu ', ,y -"M ayant rassemble «les te I moin«, n fait constater les faits et les au torilés judiciaires avant été appelée«- il a été conduit en prison avec -a fôm m> "™il en prison îivgc sa fomme, après les premiers artr* { ^i^rucno» I' aiti: et expiation — Henriette C.... j* 1 " 115 et j (, 'ie ouvrière, âgée de dix-huit ; ans > entretenait depuis plusieurs mois des r elationa intimes avec un honnne dont elle ava 't fait la connaissance dans un bal pu- ; "'' c > et dnnHes promesses l'avaient sédui- | ,e ! e '' e avait même quitté ses parens pour , aller demeurer dans un petit réduit, rue ! l ' e3 Lavandiôr« s, afin d être plus libre de ! ses actions. Ii y^ a quelques jours, Hen- j r 'ûRe apprit que l'homme à l'amour d« - ) quel elle avail tout accordé était marié d». puis loiigtoim* ; qu'il a^iit mémo plusieurs en lu nu qui, nin^i que leur mère, vivaient Jan« la plim Bfl'rciue misère. Henriette doute encore, «i pour s'assurer de «on mal heiir, clic no rond près «le la feinmo et des enl'a|)N, dn,,t on lui n indiqué lu demeure. Là, un horrible «spectacle «'offre A ses yeux; une femme, jonne encore, mais maigre, décharnée, vieille par In «oufTianc# et le» privation«; quatre en l'an« à peine cou verts de misérables gnénifles, et ilévorant quelques regle« «I» légume« A demi cuit«. "Madame, «lit lu pauvre jeune fille en tirant de su pecliQ et déposant sur une ta ille tout ce qu'elle possédait, prenez coma jre ; vous ne «ouflVircz (dus longtemps.,.. votre mini reviendra à de meilleur« «enli 1110111.— Mon mari !.... vous le connaisse/.? Assez, pour ôlro uftre «pi'il changera bien tôt do conduite." Huniielte s'«:mpres»n de «e retirer ; les larmes la suffoquaient. De ret oui ehe/, oll«, elle n'enferma. Surpris de ne pas la voir «orlir, le lendemain, selon son listige, lo portier do la million comjul quelques erain les «pi il fil paringor aux voisin» ; on pi'tié Ira «latisju chambre de la jeunofille: I tn fortunée «était asphyxie« ; on lu trouva élenduo sur lo carreau entre deux four neaex contenant qnebpies re«les da char bon ; ti y avait pins «lu douze heures- tju'ei le avait cessé de vivre. do somine do $154,077 ' ' La Loiujmuttk .—-Tel c#l l<? titre d'un petit journal français «pu «o publie h^s di« iiiancbo ut jeudi, A lu Non veil« Orleans. Ainsi quo son lit l'a le fait pressentir, la //:»/•/, '/i'7/e «'occupe «péci^iciiierit ries cho sis iheAlniles, quatui il y a lliéfttre A la INouvelle Orléuiis, Mlle n pour réducteur en chef et à peu pies unique, M. Placide 'Canouge, jouno créole dont les essai» lit te aires «•«Milienneut lo germe d'un brillonl avenir. < 'oinme homme rlc talenl et cotn* um homme du pays, M. P. Cnnonge tri«-' rite donc «Iv trouver un appui cordial dans (oute In population frant;ni*o de lu Loui siane. Sa Lurancllc a pour verres deux «•hoses qui deviffmetil de plus en plus ra re*, du l'espril ot du goût. Nos B a Nut'i!».- — /''n se référant au ta bleau do situation des banques «pie nous publions dans notre page anglaise, on pie la circulation de niis bunqtfe« urfésorve en «Hjièc.es que d'utio Les banques «la lu Louisiano, de l'/ittit la L .oui«mue, et «les d/ochanie s At J ru bus oui plus d esp«;ces «pie «b^ pHpii-reu «'ir < ,'tdl«,* do ( 'iirrallloti, do (/'île ilalioii. el do ( omincrco ont eu espiico plus «lo la moitié de leur circulation». Il n'v en a •pttiîi« de celles qui iBSlenl, qui n'ait pas un« reserve un Inique d'un tiers comparé« au papier qu'elle n «léhors. Dans I espace de deux moi» le total dos espèces dans les cavonùx des banque* s'est ne cru $<ill!),<2f yf) ce ni s, tandis que leur passif n décru de 10,000. Lus dépôt* spéciaux duns les banques en suspension »'élèvent a • on Juillet ils n'étaient qtio de $332,182. Un journal de. Philndolpbie dit en par lant du New-York : en examinant avec n tient ion I elal do la société, b* eommer | ce les finance-« el la politique de New York j on deiiieuro convaincu qua celle vilo est jprosqiioune ville anglaise; du moins le.» ; intéiéls anglais y gouvorncmciit l'opinion j puhliqu» La majeure partie de sc« ini j porlalours sont nnglais ; presque lous, si min tous ses contrebandier« «ont anglais; quelques une de su« principales banque.» sont propriété anglaise, et plusieurs «Joses journaux politique» Sont dirigés par de« anglais ; enfin presque toutou ses opération» financières dépondent du marché moné taire de Londres. Extension de la Culture du Coton. En 1823, la quantité du colon reçue à lit Nouvelle Orléans durant celte année était «I« 100,001) halle», et la récolle jj'-né rale des Atut Unis elait eslimeo à environ 570,000 halles. Aujourd'hui, ainsi «pin nous le remarquons dan.» le Transeriiit do Nouvelle Orléans du 1er Septembre 1 842, la recolle totale «lu coton «buis les Zitats Unis .»'élève à plu* do 1,000,000 balles, c'esl-à-diro à une quantité égales a 2 millions de hallos tellus qu'on les"faisait autrefois. ! Iowa . — Le peuple du fertile et floris sant territoire du l'Ioiva vient de déclarer qu'il ne voulait pas en ce moment entrer dans la confédération des Etats-Unis : ap pelé à voler dans la dernieie élection lu convenance «pi il y aurait à convoquer une convention chargée do rédiger une conslulion «I Etat, il s'est prononcé contre eetto mesure, par une majorité «le près de 3000 voix. La situation actuelle de la plupart des /Jtats de l'Union ne la nulle ment tenté ; il a préférer laisser au pays lo titra de territoire ; c'est de la modestie, mais do la rnodestio bien entendu dont I Iowa recueillera les fruits; les émi«?runts en eflet, au lieu de s'arrêter dans l'Illiriois on le Michigan, continueront de se porter cri foule dans un, pays où ils n'auront pas a craindre des lourdes charges qui pèsent en ce moment sur ces malheureux jfv'tats Un aspirant voleur .—Un jeu no gen tleman, aspirant dans la mâtine américai j ne, et qui avait accès dans les meilleurs salons de New-York, a été convaincu, d'a voir volé le portefeuille d'une persone do sa connaissance, logée avec lui à l'hôtel «I Howard, N. lork. Prisen flagrant dé lit, il avoua qu'il était pécheur relaps. On trouva qu'il méritait mieux le titro d'aspirant d'escroquerie quo de marine, et on lui fit signer immédiatement sa démis sion. îlsiisîe, on le laissa partir, mais la police est à sa recherche et a ordonné la publication de son nom dans les journaux. Il élu it attaché au bug des Â'tals-lJnis le Dolphin. Sllr Un marcheur intrepide , — Il s's.xcute, en. ce moment, un pari sur lequel de fortes some d argent sont engagtjes ot dont lo grand „mneheur i'Iwerth est le héros. Il a parié faire au pas mille milles, ou envi rorf«300 lieues, en 1,000 heures, ou 41 j jours et 16 heures, sur le torrin consacré 'aux courseses de Cambridge (Massachu j setts.) Il ne doit faire qu'un mille par j chaque heure. Il avait complété avant hier 500 milles en 500 heures, et l'on dit 1 qu'il est en parfaite santé, et qu'il ne pèse j '|ue trois livres de moins qu'à l'époque où i il s'est mis en marche. Il a eu à essnver ! do tems afl'.eux et une chaleur de 83 "de grès à lombre.' Fin du monde bn l 181.3. Pécheurs, gare a vous ! Ilàtez-vous de fairo péni tencc. D'après les prophètes des Milléris te s, ou sectateurs de la religion de Miller, ia fin du monde doit avoir lieu en 184 5, i'annéo prochaine ? Les croyans en la pa rolo du prophète se sont reunis dernier«« meut à Concord, dans le New Hamp sbire, pour aviser aux préparatifs de «b iné nagernent qua cette grande occurrence doit faire prendre. Si lo monde est enco° re de ce monde à la fin de l'année prochai- I no, nous sarons curieux de voir par quel escamotage les Millérisles se tireront de i ce mauvais pas. AVIS, 1.0 1)r J.C. William» sera Jt l'office du Dr. F»y h II',iion Äuugn'd'i dix heure« à midi visites et, donnera dos avis <r> sit uite aux poreomic» indigente# «Te l'euilroit. Le Dr. William« annonce aussi î» «es cli ente qii'n a cas d'absence ou peiulaut la nuit, le Or. J'iiv se charge «le soigner nos inulades il y aura ù cet, effet de pleines conférence« entre lo Dr, William« et le Dr. Fay, relative ment. i\ la nature et au traitement, ilea tiiiila dies. Le Dr. Williame eoignera aluni gra tuitement les malade« du Dr. Fay en ville. 'J'1 «eptenibro 't.'l j ton» le« minedie, et loue les autres lours do ! 1 1 heure» à midi, afin «le donner « Iok côtisul \ , '" 4 !iV,p irratnite aux personne;« in I digeules. Il fera de j | j | [ j ' ! | j \ ! PAQULBOT Pour Lsl et Ooucst Böten Bouge, Plaque* mine, Iberville, Donaldson, et tous b^s débarcadères intormédiat«. Le paquebot, réifiili^r (lî s. ItARRtsoN, Capt. -f" VlV \ I, lit , „Ht,, , il" Nouvelle Orléans le Mardi iriatin fi H) heure«, et de retour ipiitle ra Waten Ifouge le Vendredi malin à H luuircn. Il prendra du fret pour I, ifourche Intérieure, et I expédie n: «le l'embouchure du bayou. On portera l'si t lent .ion la plus »ssiilue au com merce de 1 ,1 Céte. ( 'e bateau a < té èquipp«' expre»»f ment el tîi cliera de mériter PtmcouriiKcinent public. On peut nssiirer rit r ce baie iu a îles prix aucsi rai«oiinbles que sur niu un autte. Pour fret ou passage s'utlresier s'tJjord. * » septembre. .",!) m l'A vir Arrête pur William Ht»plien«, sur l'habila tion de Philip llicky, uu vieux cheval de cou leur lin i, borgne d'un roil, lo pied droit do derrière blanc, de la hauteur de 11 paume«. I.e propriétaire est requi» de Je retirer en «e conformant fi la loi. .T. II DESTO N, notil (1 2lî Jtangeur, ETOFFES ET IIABILLLMLN'I'S PO DR NEGRES. Les soiissigiu' s viennent, «Je recevoir un (rr;ind assortiment «JVtofle« et babillerneu« pour niVres, con»i«fatit. en l;er«ey«, liiis«'yp, ' )/,iiaburgs do coton et. doubles Lowell«, qu'il» offrent it vendre ii bn« prix. J- iV. K. F. PlItl.l.il'S & ÇO. ABU ETE, Par J, lines <Knox, une vache rouge el noire, âgée d'environ quatre ans, avec un veau d'environ rix mots. La dite vache n une coupe dessous l'oreille (jauche ot, une fente «Inn« l'oreille droite, nulle marque lisible; elle sera vendue ,i la residence do Jame» j Ktiox, par e soussigné, juge «le paix, si elle I n'i'sl pas ridaim e dans quatre-vingt dix ! jours de la d;jt« du présent avis. Il» juillet. I). ItHOOKR. J. P. II AUDI. AI X. 25,000 bardeaux supérieur», de cypres, vendre ?« bas pr.x, par 10 sejit :!1 PIKE & BAJIIN. I.1STK DES l.KTTRKK routant au bureau de la powti) L /Ji'iton Hollge, le I jour d'Oc tobre 1842. A Altfizin Octave, Amlresae JfSn, Aillil. Joachim, Allee, Armstrong William ri, aIIoii ii a , Arbour rredoric 2, allen n vv, ad ums im. Ii mcon wtri n, iiarnett m jr, nnng« îienry, ne noist n , nerflferon norville, nerj;:iii jolm, ndlw job» a , loxler, nlake Mrs rriscilla, alack Mrs sarab f, Dovvuian Jacob y, nrown imbert crow n sergeant 2, uujol .Mme Atin'dt f, lulling» Abraham. C i lin jaines t , cain rr, i iniron Stephen, cade Samuel, cabre win, caper« niiss Bli/.ibelb, ca rey neiibaii coldrnan, cline oeorjfe, conduit a ii, comeaii mon« ebarlc«, « bamaiii Aiilouie, ( banco Martha, Converse wins Arma, comber johh. J) paille joiley, naif;re mon« olivier, iinigro npircellit« 2, t>aw«on jarues e, ßüwson Miss i.liza, nia» Antoine, Doiroli o, noorley John, iiufl'mr« Eliza, nunbar a 'f, uutch Alfred, nuer ii, mtpiiy Edward. E f.dwards williain. Endors iviiss aiary r, En tiers nr. p m, Erwin jteubeu. F vort william, cosier win j , roster patsey cold., Fotirc.ade a , rox r h , j ort udmon, rox n w, i-'Iiri james. G nill wrn 2, «oiirdain j v, coudeau julicii, oarcty cambell, (.ill) n, «»reeti j n , <;reen john, orreu v, i„ (.rcen win it, orifltn eleasiar, oood ii, ounn james, oibba J c 4. II irayden win 2, Harmon win, itendry xlio«., nicks john, niirlev james, Hutchinson r.ondon", nubbs charles, iioard Joseph, natch t b ft. I J & K j irdan l'Abbé r, Kerr & Kent, Kent. & co. Amos, Kerr nenry m , King j\ lïord. Kirnball rba ( raoh c, nelly Mrs Patrick, jevas Francis, Keri nard Mrs Eliza Ann, King or Augustus. J, Landry Treville, i.andry vallier, i.ange Mo lière, i.ennen sirs, Leblanc Alexis 2, Essaie Andrew .'3 ,Levèque Auguste, Ledbetler win f, i.esassier Timoléon, i.a sole-csclave, i.ee Alexander. AI Merrill justi #w. Maxwell Mrs peter, Ma garge A L, Marshall Thomas, Mahony John p, Miilony, james a , Mary jean, Mack itichard, Miss Margareteare of a nuiican, Martin win, Middleton Thomas n. Miller Abrnm, Miller uenry, Mizner john 2, Michelle pade, Mitchell Mrs Nancy, wills john, Monge Elizabeth, Men get, Toney 2, Morrison and wife p, Molaison Théodule, Molaison jacques, Mûnoz Madame, Molaison james, mc crory Francis k , Mccalop George 2, mc Fadden william, McAllister john, mo Ling Thomas, mc Hugh j a, mc cants Mrs EÜZ! P. N Nolen william, Newport r. w. I' Parker l i , pallon sirs, peronee John l , Fierce silas c, pipes David jr, pipes charles, piborn Lewis, pierregouste valery, pullen f m , rulliain win l , pullen j n . R r.oiertson john mc , Ronaldson fa , p.oppe'ier veuve j, Roadman John, picarde st. tue 3, ni carde Amoirie 2, lîhc'ims Daniel 2, cotise Thon, Rollins miss Malissa, Randolph jolie, Ronnsa vdle d w, Robinson musician, Roberts a d F, Rice Micager. S sands james, shakelford john, shanks jos. G, shropshire jas p 3, singletary isaac.simmes Baley, shelton Thomas, smith, john, Stuart Miss Elizabeth e , Stewart james h , stephens r c.hard, sullivan d , swain Benjamin, swinley william, smith sergeant, Scarborough Noah, skolfield s. T AU?U?tU? ' Th ° maS * 5 ' Th0 - mas wrn l 2, Thomas Miss Francis e , Thomas nom y, Thomason John d 2, Thomas w e, 'eho - masson namaris Mrs, xibbets charles, Tub&er ville a . Tuciter williaiaî* Tubbervillfe a n or win white, xrembadore oeorge, Taylor h r. V Yanderlecken François. W watkins William, wûs||î ad , Wilson star vin a , william Isaac a , west George w 3, webb William, wallon oeorge m , whitehead Benjamin, woolfolk r c, woods e e. Ropresentans de la succession ds Q. Talbot. Trustees of the West ßaton Rou^e Aca demy. N. B. En retirant les lettres susdites il est nécessaire de dire qu'elles sont, annoncées, et si elles ne sont pas'reclamées dans le courant i ttrÄsr au bureau ; VENTE PAR LE RANGEUR. ! Il sera vendu, Lundi le lOcoûrant, en r aC8 ! du bureau de la Gazette, deux mules, arrêt, e 3 ! ct annoncées selon la loi n,ir Mr. J p=, , v aiHHCBti j :t annoncées selon la loi par Mr. J. Perkins. 1 oct 34 J. HUESTON, Rangeur. I EPIC hU ItCS t EPIC EU [EH t Quarante barils d'excellente bièro de Dayton ; KM) cairsfi» de vin ; 1/ tt grand assort imont do lard et. d'épicoricsi en général ; Un assortiment de bonne« charrue« ; Charbon do Pitt«bourg, Halde, Iii «ine, Gou dron, Chaux, Ä'«\, eouttamment en vente fi de» prix modérés par 4 juin 17 A. MONTAN. Arrêté par Mr. V. Blanchard, un bmiif châtain, «yant le bout den cornes effupé, clamp« N.H. Ü2 l'oreille droite fendue, la gaucho coup« e. Un mitre, tacheté, marque indéchif frable, l'oreille droite écbnncrée et la gauche coupée. Si les dit» jiniiriaux ne sont, pas ré clam s, ils seront, vendus ««Ion la loi par soussigné juge de paix, sur l'habitation de M. /, Illaiichanf, «Inn« trois mois de la présente date, h 10 heures «lu matin pour du comptant. Ouest IJâl on Ronge, le 15 I m in 1N42. V tin . HUBERT, 25 juin 20 jtiffe «le paix. EMtniqVR trOEVRAUE,S EX FER m,a die, en cm y he et en toi. i.e. l-i) soussigné «'étant établi dans Ja rue du Al tine, proche I ' iVI ' ikb méthodiste, informe respectueiiseinent le public qu'il continue travailler dans h susdite branche. D'après une longue experience il se flatte do pouvoir donner entière satisfaction à roux «pii vou dront. bien l'honorer de leur pratique). Ton'., ferblanterie, çonfectionoée ou rac coiiimodéo dans le plu'« court délai. JOHN TI LA NO. 20 fév, 3 MOULIN A H( IIC. ' l,e soiissigtié, devenir propriétaire «le cet « talHissemerit, offre ses services, pour du comptant, à toutes les personnes qui voudront bien lui l'aire «les commands. Il mettra nu tant do promptitude quo de ponctualité à les exécuter. ä Il prévient en mémo temps, ceux qui défi leraient. faire moudre du mais, qu'il sera in cessamment prêt îi remplir leurs ordres. 15 janv. 4M K. ARBOUR. AU PUBLIC. Les soussignés ont, formé uno société sous la raison do Pike &■ l'alun,' comme marchands commissionnaires. Ils porteront la plu« grande attention à recevoir et embarquer du coton. Ils auront toujours en main un assortiment, de marchandises d'habitation ; aussi Corde Toile d'Kmballâgo qu'ils vendront il des prix aussi bas qu'aucun autre dans cette ville. AusoitM que la saisoiiidu coton s'ouvrira, ils seront préparés ?« acheter ou faire de« avances sur du colon. En solicitant une por tion du patronage public, ils peuvent, assurer ceux qui leur confieront, leurs affaires, qu'ils recevront l'attention la plus assidue. II« tiennent leur magasin rue «le l'Eglise, deux portes à l'est du magasin ci-devant oc cupé pai James Mansker. VV. S. l'IKR, 16 j Billet. * 23 H. V. BABIN. EPA\ E. Arrête pir le T)r. Williams, sur «on habita tion, un bo'tif de couleur tavelée, avec le bout, des deux oreilles coupé, et la lettre M marquée sur l'épaule. Aussi une vieille vache tachett e, avec uu coupefourcliiio dans l'oreille droite, ot le bout de l'oreille gauche coupé, marque imperceptible. Ue proprié, taire des dit« animaux est prié do loa retirer en se conformant ?« Ja loi. J. IIUESTON, iuifit. fi 2 fi RaiufCtir. BOIS DE CONSTIMCTION Le soussigné a constamment dos boi« de construction, de toute espèce et des meilleures qrfSlités, qu'il peut livrer ?t des prix très rrio ilérés [Kiiir du comptant, savoir :— Planches bordage en cypres ; planches a plancher do planches d'un pouce «lo ; poteaux et bois de charpente ; bardeaux, A.c. Le tout à vendre i\ son chantier près du moulin à scie. 13 marn-5 F. AlUiÔUR. AVIS. Le« soussignés juges de paix, ont ouvert, leur bureau dans la rue Lafayette, en face do la maison du Juge Tessierj el une porte au dessus de M. William Gill, et. ils offrent leurs services au public, en qualité do juges de paix et d'agens en général. Ils porteront, l'attention la plus assidue aux affaires qui leur seront confiées. Conditions — au comptant. AUG. DUPLANTIRR, 9 avril ft MANUEL MORL NO. i I j VOITURES ! I/! soussigné cyan' engagé d'exceHens ou vriers de Newark, N. J , et aggrandi son éta blissement est prêt à faire toutes sortes de ré parations aux voilures dans le meilleur genre et le plus court délai, il sollicite une portion du patronage public. Aussi, un assortiment de harnais, fabriqués au nord, ù vendre aux prix coûtant. Des bois de lits de cerisier et peuplier à vendre h bas prix. 20 août. 28 WM. F. TUNNARD. MACHINE A VAPEUR, De la force de 20 ou 30 chevaux, avec bouil j loires en bon état, à vendre à bas prix, par i 27 août 29 PIKE &. BABIN. MOULINS A COTON, De la meilleure fabrique, avec 40 à 60 scies, à vendre par 27 août. 29 PIKE & BABIN. AVIS. Mr. D. Sanger étant de retour de la Ni e Orléans avec un assortiment de marchandises, informe le public en géneral qu'on peut ache ter à son magasin à très-bas prix, pour du comptant., 27 août. - 28 EPAVE. Arrêté par F. D. Conrad, un ebeval de couleur bai, crinière et queue noire, un étoile au front, ÂîY«ô*il boite du pied gauche de der rière, de la hauteur d'environ 14 paumes, et marqué M sur J'épaule droite. Le propriétaire est requis de les retirer en se conformant à la loi. J. HUES TON, 13 aofit 27 Rangeur. A. MOS ADAMS, Avocat et Conseillier continue l'exercice de sa profession dans les cours du troisième et, quatrième districts judi ciaires et dans la cour suprême de l'Etat. Les affaires confiées à ses soins recevront l'attention la plus assidue. Il tient son office it./iäton Rouge, encoignure des rues 3èiu_e et ('hureb, vis-à-vis l'église catholique. 22 janvier ' 50 PAQUEBOT DE BATON ROUGE. J,e bateau à vapeur Colorado , Capt. A. M. Streck, fera les voyages ETSSPSäf B* r c g u 1 i e rs entre la Nile. I Orléans et Bâton Rouge pen*,* la saison^ partantde a Nouvelle Orléans tous les Jeudis j à 4 heurs P. M., et Bâton Rouge les San edis | à 4 heures P. M. Les c.onsignataires peuvent s 'assurer qu'il continuera les dits voyages durant la saison enlière, et recevra du fret â de« prix aussi raisonnablesqu'aticun autre pa quebot. Pour fret ou passage s'adresser â 10 sept. fJl PIKE & BABIN. VOITURES ! VOITURES ! Les soussignés s'eropres* til t t ,e pjDi.c en gtntra. pu Ur encouragement généreux qu ils ont reçu dans les travaux ûr l| ur ;. tat . ils espèrent mériter la continuation du patron' age public. Ils se sont pro- uré de bon- m v„o„d. IW, e, il, s JÏÏpSï; , _ _ , "P arer , tou ^ e3 eoït -és de voitures, barouches, ÄÄj ÄÄ; Vi « • , R REED f R & C0 " V ' 3 V ' S h N. B. lis achètent vendent des C*™' ... »aJent des Carosses, i-%. i->. lis aciio barouches, &c. 13 novembre. 40 | i m—r ?«! AVIS. Li Docteur John C. William «, ofÇre les service» de sa profession aux bnkitans de Bâton /iongo et de« environ«; comme il a acquis une longue expérience dans lo traitement dos maladies du fud, ayant, professé cornmo mé decin, chirurgien et accoucheur, (pendant plu» de nun,) avec succJ«» il espère mériter uno portion du patronage publie. Il s'acquit tera fidèlement des devo, r s de ra profession et «es prix seront mis à la portée de la pénu rie do# temps. Le l>r. VV, se rendra tous le# j'ours 4 Wä ren Rouge, ?i moins qu'il ne soit rc'tenu par les devoirs de sa profession ; en scw agence, il prie d'adresser tous les ordres ot coinm .'mi» cations nu magasin de Messrs. J. & E- r PJiillips & Co. Arlington, le 9 juillet. 1842. 2i? "ÄVIS. Le soussigné ayant été dûment nommé ad ministraient à la succession de feu William II. Young, décédé, toute« personne«ayant, do» réclamations contre la dite succession sont invités à les présenter dûment certifiées pour liquidation, et lous eoux qui lui doivent sont priés de venir régler immédiatement. DANE. D. AVERV, 01 ropt' 31 Administrateur. MACHINE A VAPEUR. A vendre, une Machine à Vapeur de pre mière qualité, fabriquée à Baltimore, et. de la force de 12 chevaux, propre h faire marcher uu iiioujiii à soie, iin moulin à coton, 6tc. Col fil' iiiachiiie a été fabriquée, de cominan de, pour 1^ Pémtentiaire do la Louisiane, par MM. Well« &t, Millor de Baltimore, et peut être corisideri e comme l'une des meilleures qui soient venues dans le pays. On pourra eonnaltre les conditions «le la vente en «'adres sant nu Gardien. SA/WL. L. IS GTT, Commis. Pénitentiaire do la Ltuisiane. / . lïaloh Rouge, 9 Février, 1842 ( MOULIN A COTON. Un petite quantité des célèbres moulins à coton de Frazer. Aus«i, plusieurs wagons à cheval et îk bosuf, à, vendre par J. S l E. F. PHILLIPS & CO. 21 aofit,. 28 a la <«<>oic vi au Drpol (jiNDi'ij nu dépôt it Baton K otige le T7 juillet 1842, un nfigr» qui se donne le nom de Frank, de 5 pieds (>i de hauteur, figé d'envi ron 22 ans, il a une cicatrice au dessus «Je l'œil droit et «e dit, appartenir à James Hheppard de la Nouvelle Orléans. Conduit au dépôt de Bâton Rouge, de la geélo «le la paroisso Carrol, le 2fi juin 1842, un nègre qui s'appelle Henry, 5 pieds 4 pouces do hauteur, figé de 28 «ns ot «o dit appartenir à Ward Anderson du Kentucky, ho propriétaire est requis de le retirer en «o conformai« la loi. Conduit à la geôle de Bâton Rouge, le 25 juillet 1842, un nègre qui se donne le nom de William ou Hill, do 5 pieds 7 1 (2 poucos de hauteur, d'environ 40 i 45 ass, il se dit être AfnÄlin et «voir été amené do Charleston, S. C., ii a une bosse sur le mes ton, et se dit appartenir s\ Mr. Johnson de la Nouvelle Orléans, I.e propriétaire est requis de le retirer en f« conformant k la loi. 30 juillet 25 B. BRVAN, geôlier. Conduit à la geôle de /îàton Rouge, le 21 août 1842, un négro qui se donne le nom de Jim , de 5 pieds 5 pouces do hauteur, âgé d'environ 25 ans, mulâtre, il a per du un dent, do devant, et a une marque noire sur le nez, et se dit, appartenir à Madame A lia in du Nouveau Bassin à la Nile. Orléans Le propriétaire est requis de le retirer en - se conformant â la loi. Conduit à la geAle de Bâton Rouge, un nègre qui se donne le nom d'EoERp.T, de 5 pieds 7 pouces de hauteur, Agé d'environ 26 ans, et se dit appartenir à William J,e propriétaire est requis de le retirer en se conformant à la loi. , Conduit i\ la geôle de Biton Rouge un nègre qui se donne le nom de John, de 5 pieds R l[2do hauteur, âgé d'environ 26 an«, et se dit appartenir au Juge Stone, 3 mille« au-dessous de la Nouvelle Orléans, et vendu Je printemps ou l'hiver dernier par Alon/o Alexander «l'Eût. Hàton Rouge. I>s propriétaire est, requis de le retirer en se con formant à la loi. Conduite à la geôle de Biton Rouge, le 31 août 1842, une nègres», qui se donne le nom de Lucinda, de 5 pieds 1 1|2 de hauteur, âgée d'en viron 22 ans, et. se dit appartenir au Juge Stone H milles au-dessous de Bâton Rouge, et se dit. être la femme de John. Le propriétaire est requis de la retirer en se conformant à la loi. 3 sept. 30 B. BRVAN, geôlier. Conduit à la geôle de Biton Rouge, le 21 septembre 1842, un nègre qui se donne le nom do Sam , de 5 pieds 4^ pouces «le hau teur, âgé d'environ 25 ou 30 ans. il a perdu une dent de devant de la mâchoire supérieure, et. a le premier joint de l'index roiiîe, et. les yeux un peu rouges ; il se dit appartenir à*un Mr. Walker de la Nouvelle Orléans. Le propriétaire est requis de le re tirer en se conformant à la loi. Conduit à la geôle de Bâton Rouge' le 19 septembre 1§42, un nègre qui se donne le nom d'Isaac, de 5 pieds 7 pouces de hauteur, âgé d'environ 30 ans, très noir, marqué de la petite vérole, et, une cicatrice sur le front, et se dit appartenir à Mr. Dixon, demeurant sur la côte. I.e propriétaire est reqnis de le retirer en se conformant à la loi. 24 sept 33 B. BRVAN, geôlier. Conduit au dépôt à Baton Äouge le 28 Septembre 1842, de la geôle de Pointe Coupée, uq nègre qui se donne le nom de Ton, 5 pieds 7 pouces de hauteur, âgé de 45 or 50 ans, et. se dit appartenir à Willia-n McGee, vendeur de nègres. Le propriétaire est re quis de le retirer en se conformant à h loi. Conduit au dépôt à Bâton Rouge, le 28 septembre 1842, un nègre qui se donne le nom de William Henry, 5 pieds 5 pouces de hau teur, âgé environ 25 ans, et se dit appartenir à Mr. Soniat de ft paroisse St. Charles. Le propriétaire est requis de le re tirer en se conformant à la loi. Conduit au dépôt à Baton Rouge, le 28 septembre 1842, de la geôle de Pointe Coupée, un nègre nom mé William ou John, de 5 pieds 5 pouces de hauteur, âgé d'environ ra.«; ( J i;i tri pion '../v «e dlKolrtenlr^Mr d * c ° ulcu . r jj, aU ^ trC ' ct ri . LeïoDrié^ire Jk ' propriétaire e3t requis de le retirer en se conformant à' la loi. loc t 34 B. BRYAN geôlier. CONDITIONS DE LA GAZETTE. On ne recevra pas de sous-.ption pour moms d une année. U p iiX de l'abonnement est de sur putstres r - anntc , doat trolg au commencement ù u dernier 8imestro . pert>0 ' m3:? par nne raison quelconque, ju ikabt^KSSï 1 rr nt '- dc ™ m en donner de l'annee ; au cas contraire, elle» sTo^t ror sidérées comme 1«« renou- ellknt ser0îltcon t " j , e lant '. savoir '[ ®.P a ' eront( J ela iBan, ere suivante i' on " A " Y 13 1»' n excéderont pas douze ; ~ „ p. imi! ... ' rlastre pour ia première insertion, et pour chaque répétition; les avis 50 ce>*ts ^ fuZ 't deux jusqu'à ce qu'il soit retiré. four tous les avertissemens officiels, les otnciers en seront personnellement respen sabies, et s'ils refusaient d'en prendre la res | possibilité, de tels aria ne seraie^ oubliés i qu autant que le paio«nent çu. - -é.