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LE LOUISIANA}' ^rbtfLté P ar 3. CPentU & 3t. 1). Romain, Parait I« Samedi. Pill DÛ L'ABONKBXEXT : V wif m* an, U H l«aw la * aolrmii ei|ircMlM «f Icgtalatlve will. (Civil Codi« •( thf Stitf of LouiBiina) (D'Bureatt ils I*oui*ianmi* t habitation Mme V«. Poché, rive gauche, près du Collège Jefferson. CM le ff e Point finding. 8 / Les personnes He la Nouvelle Orléans ou île« campRgnet } qui an raie ut des commutrca lions à envoyer au Louisianais, peuvent le. fuir«» en adressant & In Boite 1636. poste de la ; Nouvelle-Orléans. Aß eut« du V 'Oiiialuii:!!« ï | A a *»«.,, che« MM«itn. * « wnrtneyTi»,, N , 3, rue ♦ebonpitouta^o.»,* Orléans. , * N "* ,bWé ' *' I P. AucFÜlAiffx, Paroisse Lafayette. M. P. G ary , Si-Martin. MTFRAOE IJNIVI:R§GL. A SOULOUQVTE. ' ; I ; l.e 18 Janvier de l'an de Rràee 1866. la Cham- j lire a pus Sr. \f bill accordant au* nègres ledroit de suffrage dans le District de Colombie. Celte ! glorieuse ptoposition a en I. sanction de 116 membre»; et 5« réactionnaire» ont eu I audace «'élever contre «Ile. N'ou* voudrions bien connaître le nom des , M .elar.laiaires, des 56 aveugles, des «6 aris tor rule* n"' ont osé. en plein dix neuvième «iè j ele. nier la doctrine éclatante du Progrès, et ; venir, npiès John Ilm» n. après Madame Stove, ■ «ptè- Horace Greeley, défendre l'inégalité den ( rares et le droit commun de tous les hommes, line démocratie nes'artête pas aux differences de couleurs et aux développements «le l'angle i faciei Banquet fiatertn-l, plie a du pain, «lu ( \ in cl tie lu lumière pour ton- ; — pour les blancs! et le« noirs, pour les mâ'e le« fi'.les et les enfants, pour les natifs et le é'rangers KUe e^t la grande eoinmimauté I «•••niiii «le tous les votes, la Mecque »le tous I« 1 , è »»fins. et leslemmes, pour, Ko vérité, que signifient les censeurs et les nio lérateurs ? Sons prétexte «le ra : son. «l'ordre publie de sagesse, ils v- nient feimer les portes tlf'la Cilé politique h de.- mil ions »le ci'oyen* avisés «•! inte!oi»eiitj». Est ce que la f mine d'un Président «»n d'un fi«»uverneor n'a p.ts l'impresi tiptibîe «Ir« .» I «I piéîiul ut ou e»* Gouverneur ? Il.ibit ou r«»b } finesse on vit i U*>se, ébôfie ou i v t il i «». rjn'ii iiorte! I. â ne e^t b'an«*lie, Pin'elligence e -a voter pour ce' rimralc e-i universelle, f. e s t pioche o .'i les îitt»» n K' h »le l • vie au jouiront «les libellés »pie n'avait pa* j:« Ms toyen loinaiu. < "«»>1 ia l»û «lu Pniyrè-«. le beu:n->enu'nt du cheval u'euteinlez-voiis pas nue i r««te-tatnui élonuente «le la nature qui hoiitfie. se plaint et léelame' i'iv r«| * oi invoquer l'ine.vpérifiiee et l'inca pacité? Ne sommes-nous pas fous respensab'- s <1 pen-ant f Knf-ce que l'enfant p«>rt»' s i nour ii ' ure son oreille ? Ne eini'jn»*z fi* 1 Iure «'st prévoyant«' «•! sage, intelligent ()uan«l Dieu créa l'homme si son image, il r,é;» électeur e' éiig ble. et lu' permi" de bfttir nu (' jiitole Rome comme à Wa-himjtnn. Il ♦»si vrii qu'il lit rnnder la uuiuslriiense Tour «1. Babel, in «is e.'esl «laus l'aiititjn'té. et lorsque Us m ç »us n'étaient que «i»>s «goujats. I.«« temps nuit b en changé.' : les g»»' jat- sont de venus «ich'teetes .... |)onr. c'est un'ait «c<*«Hnpl» l.e MitV a uni versel e\ »te «lans le District «le Colombie, et tfs trihun t nut frénétiquement npj.l'iwii Quaml un grand acte de justice «'t de reveiulicatiori t:'aC:*omnlit »lans le monde, le ceur I« gl»»be liessaille cl le ciel e»t dans La joie. Aussi le Vesiqne a-t-il tremblé. O i. le It '/ «In 1.^ Janvier fera é(>»»«jue dan rbi*t»iire «le l'humanité. C'c.-t le véritable/»»/« «le la féilemption et de l'éga'ité sociale. N ail» /. |Hà< er«»ire au moins que cette glorieuse mesure s'ariêtera an misérable District «fe Coloml ie. Kuc.oie deux mois, et la mesure sera générale, et le Nord «lira «>fci, e! le Sud ne dira pa« nun. »•t 1 Union entière ne contiendra p us qu'un peuple «le fibres intelligents, «lévouês. désin jéiesvés, é!e«'te|jr^. éligib'es, r if''nrs infant il* to erie ; e' 1 Kur«»pe, attardée sur le chemin liMtueuv des royautés, « mpê iée dans les inen» • j ur maie le ci ^ Dan? ,IÄ ' j juste. ( j ; I : I dira : l'Amérique est la lépu I btique »tu ni» ude ' Quant à Maximi ien, il aura lui comme mie ombre. Ma'»«, dire/-vous : Où le Cong, ès puis « t il son autorité, lui q«»i ne représente qu'une section du pays, p«»ur légiférer ainsi et imp «er son ultimatum au Nor«l el au Sud ? A-t-il le «Iroii de couper, «le trancher ou d'étendre? Il s'ai»it bien de droit. Le Congrès est le temp-*, ilest le Progiès acquis, la voix des sommets, la révé latiou, ta révolution. Bâtard, il prouve et affirme su légitiuii'.é par des actes que ne «té l in iia pa« 1 ' la réaction, et que l'avt iir applaudira comme | les tribunes bigarrées du Capitule. On lui été- j vera des autels. II passera sous «les arcs de j j ' ! triomphe comme n en connurent jamais les cm - ■ • ^ » pereur, loniaius Que voulez vous ? On ne peut Atre Moïse et passer inaperçu et inconnu à travers les générations reconnaissantes et af franchies. I/aurêole qui brille au front révè lera toujours tes grands hommes,depuis Zoma?te et Numa jusqu 'à Sumner et Banks Tonionrs, depuis Alexandre jusqu'à Butler, l'histoire en regislrern le nom des généraux illustres et des conquérants fameux. Les chevaux noirs de! ces héros deviendront légendaires. Alexandre eut Bocéphale ; comment se nommait celui du proconsul de la Nouvelle-Orléans?.... Mais élevons nous A des considérations plus bn'-ites. ♦ JOURNAL OFFICIEL DE LA* PAROISSE SAINT-JACQUES. " . ' I .. " ' 1 Vol I. putois**: MAIVr-JACqtlES, MA.HGDI «7 JAKVIER 18««. No. XXV. La liberté doit taire le tour du monde, car elle porte eu croupe la civilisation. L'Asie eut sa splendeur avec la Perse, la Médie, la Phénicie et la Pa 'estine. Berceau du genre humain, elle non« donna Zoroaste et la Bible, Ninive et Jé rusalem,— la beauté dan» la forme et l'éblouis sèment dans I m pofsie. Après file vient l 'En ; rope, c'est à dire. laGr«'-ce, Rome, l'Allemagne, l'Espagne, l'Angleterre et la France. l.'F.umpe ■ fail son temps etj|it Min dernier mol. Elle se | meurt d'épuisement, pareille ft ces ri,.illard* jiasés JfÇ|«<luc< qui n'ont pins la chal«nr dit j*$«-IU'de ''H** IWace de 1'^ , tirfve.lile e« l'esclave .le coutumes suran. I £? . U Con * é ' titubant (les jambes, elle penehe sa tête dénti ; d*e et vide devant «a tombe entrouverte. Que I Dieu ait pitié «l'ellef' *> * .. . . an m rique, e e e«t son apogee ; Elle se profile magnifiquement dans la grande lueurdelavernéeuludroil. Rayonnante, ins j P'rée, SuWime.sarhunmne, elle s 'écrie, .lu Hanl des montagnes bleues, comme le voyageur de ! Longfellow : ExceUior ! I.'aige de Jnpiier l'emporte dans le domaine de la lumière vivi «-'nie, près du temple sacré oit la l.iberté rend 8e,i oraefes rt annonce l'égalité universelle. , S--n peuple a «léc«»urert la pierre philosopha!e des alchimistes du moyen Ige, et le tn. uvement j per r etuel n'est pins tin mysfèretwiir les savants ; de N. w Yo .k et de Boston. P^ieil'e aux «A» tracteur» Je quintessence, elle a tont simplifié ( dans son cieuset démocrati'|iie. même lu morale. même Pignon 1 i tiatricc? !) • même Dieu. Nnf ru* s», it où elle s'arrêtera. El'» N"e -t elle pas en outre une iri révolution «le lu CiMlisutinn ( autonr du globe, ne joiif-t-elle pas le t Aie de for«-e centr fugp ? I/Af i<?ne. ju-qu'â ce jour, n 'avait eu qu'une lueur incertaine el vague, et encore l'Egypte n'appartient point au conti nent africain puisqu'elle est bl«uehe l.'Aviié-i i ique euseigne l'Afrique, comme les cietix en ^eignem 'a terre. Elle la prend par la main, l'élèie jnsc|..'i s, têie éblouissante, dépose snr -a ievre lippue le bai>er «le l'amour fraternel, signe d*ns l'extase et U volupté le pacte de l'alliance indélébile, «t marche avec el^ à la conquête du beau abfoiu et divin. Villi Dieu, il s'.igtl bien tie politique et d'«u l.e tiav.til e^t une \ é I *e f t gaui.-ation du tr; tille et s'organi ,11 ^'..r ganisera par l 'égal lé. r«i les l latte- auront bientôt !«• «l.o»t de contracter el «je s'engager avec le* noirs propriétaires «lu «ol. On obligera même les employé* à remplir fi lè'em«'fif et ^ seiupn eust-ment les termes «le leur entrât «y. nallagrnat'ujue. Qitant a««\ Caucaisieu« »|«»i ne sauront pas signer, ii» feiotit une croix Ct la n'e.-t qu'un détail. Le capital, h voici : Emancipés, afTranch s, ê^nlijirs, le- atf auc|ii> doivent entrer de plein pie.l «laus la Cité politique, prendre part a«ix délibérations du peuple -nuverain, pénétrer »lau« j les législatures, >'asse«»ir an Congrès, pié-u!er ( j a ç,,, ir Supiêine, et pour dire encore plus, pré. ; siiler la République. Dans quatre an*, qu'on I "Ue on «Jorme. qn'oi I pleuie «ni «'liante, «jue le pouvoir Exécutif ap : pose son rt-ltt «»u uo • le prési«lent «les Etat Unis ne <er t ni M. \Varmoth. ni M I» i k-, n M. Hut 1er, mai» un citoyen «l'«n ige e af^u' <iu>< Et alors la «ni-i'égéuatiou ^er ^ aecomp ie ►» uns vieilles veines s«»ront r je «»nie- p t r un »a» j uouve u. VVoL'rf> .' '..e<fl,t»usti «'is sont un produit «le !'Au.éri«jue m t i - i online lo' t dé Ai.t. 'es sont tle^enii énèie. «} ? a<s le> hideux <le> .if.: peu p«iéti«jnes. Latliie • ùt Ce «jui vient de se passer h Bagdad ressert.b'f à un hont.-ux cauchemar a\ s MHIr et n> •* nuits Q «atre ceios j illards « rit tf4iver*é le Rm Giau de et suipris une ville de bois. Etaient-ils p«ui sés par un de ces niohdes et de ce* piiu- q«e qui j '-tili- nt pat foi-- les moy«'ns .-augiant C«iiiib:it'ai«'ut-i!s pour une idée i ; e I I m *. «'* e -ïf7rflïao<-hi<veri.ei l ? Avaietit i : s iêvé 1.» »lé i vrauce «lu Mexi-jue? Non, rien «le 'ont «eh n'a-.'i ta il l'e s p it de- héro- »le Bag lad IM'er vo'er, s it.1er. as-a-sii.er tel était leur hut L* « «l victime« .-otft assez nonibu n'ayons pa< besoin d'adouc I I*.»veut des bandits. En quel \ îvoc.s.miu e-,.è. tre vrai«, »1 faut Iii p u indignée à la 1 ' Quels «ont les coupable« ? | mon« à !e croire, il'aucui j seront ils tiouvé j L'enquête sera longue, lente et infructueuse ; er««nt donnée • tent. «•" a j Po. ' qaelq - t «pie ie (i u v . i uement ! ému au p. int d'oiilonner »le faire une enquête et «!»• punir I II-- n Q el la l '.ejs, onve le »In f Wabiui't.ui général S h é nt nous ai- ' lité; mais {«»connus et cnudami és J |Je® explication« satlsfufsai » à qui »fe droit ; la Franc vmr point été insultée : Ma\imiiiec. ce . |n«*el Océan Atlantique e^i la-gr- . 11 j j étroli. k , Conciliante, cotnmiat 'e. f J El la fin l.e Mexique e>t 'a patrie des tiem ; blements d*» terr.^. \ de! L ocal . — M. Félix P P»chê a été él S>na j tenr pour le« pan isaes Si Jacques e» Si J a i ' Bapl'ste, on remplacement du J ge Béiault. j V ne nous sied pas de comparer ie.» h «»ou ' et de les encenser, mais nous dirons ne le ' «iége du Juge Bérault sera dignement occupé, , Correspondance de la fflle-Orla&nt. ! NOTIV k LLC-O rl A aii », 16 J anvif .;: 1606. Megstf vr» les Editeur*, Que puis-jc vous dire ? Quelles cho|p* in té restantes et judicieuses peuvent sortir de la cervelle d'il» marchand de jambon! Tant pia. Vous le rmitex! Soir. An reste, comme »otre lenille solitaire ne doit jamais me valoir les J""'* » —J""— ,B ï* m neufs de 'a^opularité, je commence: Nutrfl viüe Jh un »rai r |î 111 — Il I 1t I. Woire vir» fill un vrai CaphaBloMMe brliit, * *** y ^7'" UnTeÎl o^ Sie 'on spécule, o,Acompte, «nW.'el la poliliquel piaille comme une gueuse de baa étage. Vouli antres, campagnards alarmistes, vêtis vont filai ffnei de la Misère al de l'inaction, c'est nue »„„s aongeit trop à vos oignons il'ggj-pieet a"X collllitjo , lg wic ; t | 0 , Tpi|le „ fnu , t ,„ d , „ mtrmp ,, c , ps| , B rri „ #nê ral du commerce . )e rri j„ b » Ilql , i(<ri ,| e | V pieier. ^ |»  fn rîl | ,| N jug^ de lu fille folle et «I# l'af franphi r e»te. i >otre ville a complètement pBn |„ PÄ vieille physionomie de créole En v>|lie ^ | W(n( ,„, |* plusv.goureux et le pl.i. i«'aeiensrment une forcenée dun m moral, eilt? .«'asite Comme i un ceicle de travail et de^ j^ôr'fréneiiqne ; elle bon.lit son-- l 'éperon d pj n ,é>«t et du plaisir, sans sonser à définir la VPr ,„ el „„„„ï, . pMp VH1 „ T ["vre, et elle vit. So „ |m „ p „ rollv ,,, t ,| p ylPnmhlin ., B , ,| e „„ ires, ga.-üis so' t de: salef Sfin' iiirtbonîiil»le< au* piétons, se«frottoirs êt,neellcnt mi U s les >ti:«manfs des inconnues. etc ( j |f | Noire Iilatwfie jaune,elle travaille fièvren »•nt, comme «levait travailler cette vieille cnnrti-ane de Tyr ou de Carthage, quand le eommerc, de. p< rl s d Ophir était si lucratif, et que le roi Salomon achetait tout les cèdres se« mai-ons ne connaissent pas le vide, se« ma cornes il'aliondance, ses ruesj Q„elle eft 0p , le ' a( ., lv „V i los 'tnenl. av. c to .nes les up,«- j c éntrfé* de la passion, sur îeinanderez-Vi.ns, la cause de ans pareille et »le ce luxe ef fronté f — J»» vous l'ai dit : l 'introduction »l'un nnmel é émeut de force, du trafiquant y -nkee. N'oub'i«»* pa« non plus que la Nonvelte-Orlênua de r. .d il ! «cîavag.» on ««rira l^>« tra 1 on »„ira. la s ira- , I 1 o* i *1 ..(induite d'un nairon du ■«« ouutnie «1 un patron nu | rences et tout le« «b rniè «-s balles d' Et demain î Demain, qua lin brin «lu p éeien.v texti' vaillears ».(Tianehi« repreiulr» la campagne Nord heureux «le retr« uver le vieux champ et ta vieille cab ne nvec un m ure/?»/ maître. An re^te. a' mouvemenl a déjà commencé. Le» capitaux «lu Notai attendent l'|i*>t re de la vente et de Itr litjuidation. V«»s demeures et vo- terres -ont ceriv uitées : et «Iles passeront dans d. s m in« ét-.tM.ères, m »«»u- le cétfef en audace I plu et en activité. !.»• les cal*'retiers. caiotal, h> mardi in' r i jants e| le^ b«»utiqu d.. la f J, O p..II. - tr;-. va i" «"M us protèg" 11«».mues »Je banque et de | mis .'e lard et »le coton, les | us ce- hardis aventuriers j pas «le yrt' ommerc avez vous ? Pourquoi ne 1 intuvelh- ba-e ? Que Di -u t au pay«, il ne saurait être ruiné, p .r il e-t la lécondité la richesse. La Viiliée «lu Mi.-si-sippi sera tonjotirs la valléedu M !-M»*ippt. et le coton et le sucre feront lou ji.urs bouillir le p.a. an feu de la Nouvelle*Or léans. Eu ce <|iii regarde ia morale, je m'en tais. La vertu nVst cotée sur aucun marché du monde, pas même A U ine El 1 arl ? L'art, c'est un immei'se urajh.-iu il«' fa ine, «le j m b«ui, de conserves, »Je uns. de fruits à l'eau de vie; c'e«t un » . ff e l ut plein «le pia^tes »lures « t d«' voleplés molles; c'est aussi la banque «l i miiliontiaire. Avec l'or on achète tout, même la beauté. <"e.»t vieux comme les vers d<» B«» ilea il .... Quant à la p<»!iti«|ue. •* le divague ou intri ne. I a Lé- i.'lature . l le 0«»uveroeur -emhlent e regar ier «le travers Le Conllii peut av«»ir i «'u m .i« u'afl>.-te«.i pas les lois immuable e l'io-ivers el la v- I nié du Créateur. L 1 u;t t i os aii/fon i ,l> <léiioi<einenis rivlic.ule | ■ j j I ' j • «lit idio la t.é i-lalur«' d'une Con - neu -e. et le- «age nt «lu commencer is, dit encor-' !e jn^c Rai a-a U Au «lerne ; I • 1 i tout cela est futile et ne vau 1 ' J pas ce'te néioraison : j O. 1S7 à 1 3^ — Coton. 44 ;» 49-Sucre, 11 à \ r -Mr'n'-e Si 05 le galon—Café. 28 à 31 | — I* in . 7 à 0^ Mais. $) 10 1 h boi-scau— r r.-. ,>34 le lia il—xaimloux. 20 eis la livre— \\ hi-li'y. S2 35 le gn'tui.— t «mgiès,—i ien. Sur ce, a\ ec l'espoir que vous ne fucerea pin« «m é| icier \ e f i i re itnpimer, je vous salue. * P S « peu un nouvati >ln. Propriété des voyages de ':i côte >» ^<ié Von« verrez coi V Abraham 1,i»( •o- ie«tr. il fora 'ei p-emlia à boid eue tes partisans dt» 1 CONSn.AT OK KB A NCR L'agent consulaire f auçii- à la \ouvelle Oilé.ins, M> nsi»ur Fancounet paît M, Ohii «Vy. le titulaire, est arrivé. |! vient «le loin, de I'hine. L« copulation française n'a pas v«»nhi laisser par ir M. Paueonnet sans lui témo g i * i «• gru l i t de par lettre el cadeau ("'est bien L » reconnaissance pour les cervices rendus est un ! devoir de premier ontre) et ces services onl dQ ti re grand« puisque le mot dévouement est inclus dans la lettre d'adieu Pour r.ons. nous saluons de loin le voyageur Consulaire, et noue prions l'Empereur dei Fran k' ,e comme^a Majesté Britannique, MAà nglelerte est I. puissance la plus digne n>S£ représentée A l'étranger. Ses consuls sont deslnjfcmes J'Elat et non des bureaucrate?. j *««« «*>'• «V» f •*»•««» cnfu*. Sf 'eïue T k U I *•*> '**«*urde la Renai.,ane, Uui^aise, Ct "• F " «■**. «»• Après f™"?' onf eu P°" r r# " olut daa " ,rè » [ B r . e< '®" " rPS re Ç ne s par ee dernier, le. . . . . Je«* «dver-.res a été irréprochable sur le | "* I . ^ lemoitn de ce duel étaient pour M ! l-«r"»no — M. Plncide Canonpe, le ,loc témoinsdea deux parties sont intervenus et ont exigé que l'attire en restât là. I.a conduite des deux adversaires a été irréprochable sur le terrain et leur réconciliation franche, complète, ; honorable. E. locteur , ' u " 1 ^"iiatre. Pi.ur M. Minet — MM. F. Du ! B - Fdlf,i, ' r - (Epoque.) j teressante luxe pour les écoles de noirs avait été suspendue. Us retardataires ee réjouis saient et ^'applaudissaient de leur perspicacité» } Du ordre*émanant de Pautorité indiscutable ! ' •'* avaient si légalement donné, E coles de cou leun. -.Le paiement de ('in- i 1 e * ' ni '' sru t®e, rétablit la chose. Il f*ut payer, En v *' rité * on ne pouvait rendre aux citoyens j rien _ _ pendent de la saison et du climat. Elles sont si CALENDRIER DU CULTIVATEUR. Les indications qui suivent ne peuvent avoir seufemeiit un guide général ä suivre. JAMVtCa. i Préparer et rectifier l'assolement.—Achever I l'inventaire et balancer les compter — Nettoyer I les champs; enfouir le« berlies, tiges de mais, etc.—labourer les terres qui doivent êlre en- 1 semeneées ou plantées au printemps.—Défi i. ' j c | 1Pr et l.rf,l «r les souches et les mauvaises herbes. — Transporter les luniii rs, défoncer le , sol pour plantations, preparer et transphnter t D . , ., } Iss arbres.—Réparer les outils et instruments ' 1 à» i tri. . , egrener le maï<. — Fabriquer les ruches nanierR I . r. ; u p "'*^*8, i etc — Creuser et cur«'r les fossés d'às«aint«»o . .1 ,a. tr ■ . | nient et «le cloture.— Visiter et réparer les «il Ions d'écoulement. — Niveler et I m rber rer le« cours —R, épier [° s Veuilles,os. «rhaux, e n re te . pour « ngrai* et composts.—Dé truire e. ari» et' enil le-« — Planter pommes de terre, etc Potager. Préparer les couches île patates douces el «le tabac.—Semer pois, laitues, radis, panai-, asperges, betteraves, carottes, salsifis, | navels, herbes pour fournitures, etc — Planter | haricots, maïs quarantaines, gombo, raiforts et j artichauts —Repiquer choux fl- urs et choux hâtifs —Semer sur couches poivre, tomates, aubergines, melon- et concombres. F'vuIKK. Continuer le h»bour~ët I«»" ffan^Tjil déé fu-" miers; irriguer « t réparer les ligotes d'irtiga. | tion — T.iiller les vignes nt planler les arl. res ■ fruiiiers Curer les fossés, réparer lesclfitures,' j façonner les haies de rose eherok-e, couper j les osiers, émonder les arbres -Finir la inns I plantation des arbres à feuilles caduque« ' Augmenter la nourriture el le travail des alte lages. etc.—Repiquer le tabac. — Planier pom mes de terre, avoine de pi intemps, etc.—Pré j parer les semences du mais el du c..lon. Dés qu'on le pourra, commencer à p lamer la canne. Potaser. Continuer é semer pois, haricots nains hâtifs, m;.|s, radi*. épiilards, betteraves. carottes, panais el salsifis. — Planter en plein air »ifttashes. girauinons, concombres, melons. fève« plaies, gondin, etc.— Transplanter lailues, chouv-n-urs el choux. — B iser les liées des - oigi uns auxquels on veut faire produire »les I bulbes — IIneer, butter el rniner les pois.—Fi rnir »le fumer, labourer et retourn«>i l«»ute la • terre à légumes, qui reste à préparer. — On 1 peut encore planter «l»»s pommes d- terre en i place fraîche. (Hennissante ) COLLEGE JEFFEF.SON PAROIS.SE S T -JACQUES. LNK. t 00 mltl «-s «u-ilnwuii et«- tn Xonvi ll» -;>rlénns. Cel ai ^ lel , et rna gmH^ue établi-«, m- ul, in enrporé par un acte «le ia Législature, et ap prouvé pour c«»nférer le^ gra«les, a ac«)uis de i|pi»vel|.»s garaii'ics «le suc é « t «J«- durée ^«)'ls la direction des Pères M ii -tes, «jui forment une société spécia'euient vouée l'é«lucati«m. L'année >c.olaire eoiniriencera le premier ' mardi d'0«*t. hre. et huira «Uns les premiers jours d'Août. Condition*: Pension pour l'année scolaire $220 Blanchissage et raeeommodige [facuUatifJ 30 Droit d Les | à hi u n' > i?e «:t au lion n'cët laite e Iléfô;ent es en \ trée [lèrt année seulement |. . 10 »inen ts se font pat moitié et «l'avance. is «le Mars. Nulle déduc as d'ab.-euee, : — M. l'abbé R.müselon. RR. PP. Mansies, 4 Alger. Nouveau Tiui Knien t • s Rhumatismes Gouiteux.- d.- l'IIvdropisie, -• !.« Dyssenterie Ch unique d de la Dianhée, PAR LE Du. I.AMBRl'iX. Rue Du m .»i lie, encoignure Oauphine. ! , j FEUILLETON DU LOUISIANAS FLEUR DE LYS. CHAPITRE III. bizarrerie «lu cœur humain ! L'horrjble cri minel, qui n'avait pas tremblé devant le i 1 devant l'assassinat inaSmée comme d'un remords. La voix de la conscience se ferait-elle entendre dans les abimëa d'ombre et de ténèbres ? Nous le croyons, ct Bulling eut peur. Il eut penr, et le souvenir de sa mère lui tra versa l'esprit. Tool homme a connu les caresse? d'une mère et nul n'oserait, ni en ptéaenrn ni an souvenir de sa mère adorée, commettre froidement le plus lâcha des crimes, et profaner sons des bai sers infimes celle qui pourrait êlre fa sœurou'j sa mère. . . _ lr „„ r Sa figure était redevenue humaine, et ses mains et devant l'assassinat, tren|Ua dqugL su tftnf iuaffimée et sanglante, fi fiît^trwnr Time d'un remords. La voix de la conscience ! Bulling, comme tran-fnrmé par ta honte et la ! terrenr,^^se baissa timidement vert ta jeune fille. vierge battait encore, et elle tressaillit au con tact du misérable. Bulling prît Fleur de Lys dans ses bras, et 'a P°*l» toujours inanimée sûr le lit de la ca pieuses craisrnsient de souiller la blancheur ! immaculée de Fleur de Lys. Le cœur de la bane. Puis, se croisant les bras, la tête penchée vers le pâle vi-age de sa victime, il se prit à l'admirer. Il était muet, pensif et recueilli. Un vague sourire d'amour et d'ivresse errait sur ses 'èvres silencieuses. Son crime lui ap parut alors d^ns toute son horreur. Elle était si beiie, si pur*?, f i »un» c dan& m .;, immobilité i I I 1 ' de mort, avec ses longs cheveux noir* déroulés, sa paupière abaissée sur l'œil, sa main placée sur son emur ! — Oh ! non. dit-il. Et il dépou un baiser sur le front de la jeune fille. Ce baiser laissa une tache de sang. Pendant que cet a freux drame se passait «Inns la cabane du troupeautier Pierre, notre ami o.ki« ». •* i -, Pablo parcourait la prairie en compagnie de ' r» - . i d m ^ • ..... . Castor et «le Poilsx. Ce |our-la, il était tout ■■ • >.f .triste et tout songeur, line ptmvait se defen « is . • • *«. . ' . dre d une certaine inquiétude vague el indefi nie. d'un ileces pressentiments douloureux qn semblent von« annoncer un malheur et une moi't. Il cherchait à rire «le ces terreurs sans cause, les appelait billevesées de poète et t!e , femme, sifflait comme pour se donner une con- ! tenauce: mais son cœur était trist" et son front , soucieux. Lachasse elle même, sa passion fa vorite, ne pouvait le distraire, et ses deux chiens i le regardaient avec étonnement et crainte. Les piintariières passaient sur la tête «lu Doc teur. le« lapin« se levaient sous ses pieds, et le fn-il du chasseur respectait les canards et les lapins. C'était à n'y rien c«>mprendie. Hé. as ! c'est que n«ïtre viei: ami avait des il&fii p ni r<»a Pt qu'il jetait en pensée un coup d'ci» 1 rétrospectif sur son passé Qui de nous « Je '-es heures de réminiscence et de mêlai rol " > ' «'<* omenta où l'âme, M jetant en arriè e , va retrouver des souvenirs disparus et lJl s f,l " iS,nes éteints ? Qui de nous ue possède , «n drame de la vingtième année,-drame lle «""i""- rPm l' li d'espérances et trempé de ; ' ai m ' s • »^""s les avons trompé s: e les nous ont trompés, mais leur douce, riante ou sombre ! la ) j de physionomie apparaît à notre chevet, dans nuits agitées et -ans sommeil, à l'heure où la mort va demander des comptes à la vie. Elle était si'fraîche ! Elle était si jeune ! Elle a tant pleuré!.... On sent encore snr sa lèvre l'ar d ur «lèses baisers brûlants; le cœur palpite encore sous la tendre pression «le son sein invi-1 s.b'e: sa main amoureuse bonde encore les che- j veux noirs de votre jeune tête .... A mère volup té «lu souvenir ! Et Pablo se souvenait. Il v va t défiler dans son passé d'éltidiant t « » • : i i ii joyeux cortège »le roses et ravissantes jeunes filles. Les unes étaient brunes avec de seil* noirs aux paupières: les autres étaient frè'e.- et blr yeux. L'ur siérne rêvait : toutes pensaient à lui ; foutes lui d«uilièrent leur jeunesse et leur amour. Rose Marie et ('«triune furent leur noms, et ces les nvec. un coin du ciel dans les chantait, l'autre d i usait, !a troi-j luillent en lui commetroisétoiles mystérieuses et tiemblantes. Mais ce n'est point là re qui rendait sombre le f ont d« v Pablo. Il fut jeune, i aima, trompa ét fut trompé. Ce t notre histoire h tous, quand nous avions vingt cinq ans, quand la froide et brutale réalité n'avait pas encore chassé devant elle la gra cieuse guirlande «les sylphides, des péris et des ! rêves, et que la croyance donnait à nos lèvies l'éloquence du ctBur. Ce qui rendait Pablo sombre, c'était le sou venir d'une nuit de lutte, «le volupté, de remords et île ileui'. Ce n'était plus la gracieuse image «laii-ant et chantant comme une Napo'itaine 1 ou une ti le de Lesbos, mai- une femme pâle et j supp'ianle, éplorée et coupable. — l'ang dem è es amours. Il la voyait suspendue à son cou, souriant entre ses larme«, be'le de son » lime et «ie sou innocence, mourant et pardon nant. Et le sceptique railleur, vaincu »laus son or , un- :l ch.it é par la douleur et le regret, Cadres des j s.til au Dieu de la miséricorde ct de l'oubli pour iui demander la lësurrcction el la tic duos un PRIX DUS ANNONCE^. » Par carré Je dix lignes, mi ère insertion,? Pa»carré de chaque publication subséquente moi ni», pour la pre SI SO Le» commumqw A denature personnelle, et les AVI S a L 'Alinéa se régleront de gré à gré avec les éditeurs. Ä La liberté finit on commence In flccnce* Okm Okm monde d'ineffables espérances et de joies sàn remets. La mort, pont effrayant.jeté entre deux in connus, grandissait dans ss pensée et l'invitait au* mystérieuses tentations de l'éternité et da la foi. Comme le poêle de Florence, n'avait-il - pas ft poursuivre dans l'enfer et le ciel la fugi tive Béalrîft de son d^eraftr et malhenrcux amour? C'est, une erreur da e'roirc /jue les lêvr « Étaient scellées sur un mystère. jff 1 »taent ^>a passion ne hit fn'llr " ™' ,re r leur (*ur et rougir leur front. EnTnx "(TWi'efit profond, car rien n'est austère. Rap proche de la m'tfrt peut seule fan e connaître la vie at remuer dans ses profondeurs intimes cet océan qu'on appelle le cœur humain. Q uelle voix fecrèle unirai! fablo vers Fleur de Lys? Etait-ce la voix^dn sanc ou celle >lu l'âme? Nul ne le savait. Marie était jeune, et l'fige commerçait à neiger sur la têlH dir doc teur. Au reste, le vieux Doucement n'aurait ! jamais permis la pt(nfannlion, lyëme ci) pefisêe. Nous nons trompons: Doucement clî|inaissai!. ! ,a na,Hre d " lien 1 ui nn '^*'' c *° exUen cpp « mais il avait le sl!e:_tce de la tdinbe. Ses ! Un jour, certain tVilletir s'était permis devant ' e Doucement une observation rrialve# lante ftir le compte de Pabio et île Fleur de l.ys. Le mot n'était jas «lit que la main du vieillard avait écrasé, comme d'une massue, l'imprudent et miséiable bavard. Depuis ce moment, nul n'avait o.-é son rire en prononçant le doux nom de la vierge de la prairie attaka pienne. N'était-elle pas une sainte, elle dont le regard purifiait, dont l 'âme parfumait ? Arrivé & queîqup distance de ia cabane. Pa blo s'arrêta tont songeur. Son cœur battait nvre violence. Tout un momie d'idées eî de senti ments s 'ag : tait en lui. Crainte, amour, espoir, tendresse do père passaient tour à tour, comme autant d'images, sur sa ligure mobile et accen tuée. — Allons, dit-il .... Dix minutes après, un coup de feu rc'entis sait dans la prairie. F in de la pî: f.miop. c pat.ttf. J. Gi K'rrL. [La suite, nu prochain nmia'-rt- ] Avis au Public. S^CCESSION^E AÇgUSTj; VC l.e public est prévenu pas 1 billet «le la somme de quatorze cent ?r c ' nt l piastres f.^1165 , payai» e en tr.m '^65, et souscrit par (» Vp "e-OrIéan- s , «oit a I ard & Cie propre o '°'dre de feu Angu-'te Voisin, «le la 1 St-Jacques, en cet Etat ; lequel biilcl P 0l,r ' e moment égaré et app trot I à la i! • succession ; et en même temps iittendu v\ paraît y avoir plusieurs mai-ou> J.i i.om «i • Cîî rard & Cie à la Nouvelle OrUV-ius, l.\s débi.'tv •• de ce billet sont invités à vottiou ! i jn se f connaître. Une récompense libérale est ufi- r à qui pourra retrouver le dé 'entcur du bi ! p ; on donner des renseignements exacts snr r t, affaire, au bureau du Louisiana! s. 27 j lui. SrCCESSiOS OF Mr. ABXA1Ü LEBöi'S.i :'3Î". The Creditors of the Su«»co. c sinn o! Mr. nain! Leliotirg« »ris Sr., ur»» no:ifi.\i r v) St Jtimcs. Januar cUjms a|H , , i|!e AK' Avis de la Su •st pa.i le pic .n A nia Slî'{'ESS!U.\ I)E 31 faite connaître et th leurs créances et Ien Louis ( F1K% th. 186 Ö. I i.T 186f> Si-Jacques, 2? Janvia les ouvrages typograp confiés, tels que noms_ßrefs, ATELIER TïPO (iUArl DU L O U ! S t A N .' L'imprimerie du /.»uitit.Jifii*, j MessngÇrÇ* exécutera-dm« le pids avec la netteté et Inélégance V '•"lit: d et dé h. ' : 1 j Carte«. Factum?. Reklamen: F. BOTTO , marchand de groceries en gr gros, et tn deta:! RUE vieim .I: I.K'" :'! Entre les rues Marfisnn et hu. Ai-ticU'* *3<, F;» j!..-u A. DlUKU SSAT, | Iii'F. KOYAI.K KN'COIC.VIJRE ST-l.Ol' Granl assorfii-ten^. d'art !>!•: PAU:S. I.inge da tine ; par fuir. j coutellerie fino ; poirj m ï.nbiii : jn cannes, cli-; . «t objets «te fantaisie en tu'ns ■