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Juges de la. a flpi$) me mm4. &eS d'ta~ , Nous vous prions s rtj nm Thomas M e s e St;-.yn eomm4 candidat pour J & laà-~uree il sept. Iffl. Nous vous prions de suarer le nom de l'Hono table C. V CIi - St. Martin, comme can 4tlidat pcur Jý5 I1ea Cour Suprfme. PLusavuas MEsxss Du BAR1UEAU. Veuillez SaIie-, it I'u 54.%wd SI mom,544- 1ati2anex-Juge de la CourSuprfime, scraâai&ïlcox a mine çaaLw pour 3'ugeMsocié de la C par Juprsie j r LaBAaaagu e~; PzPIS "àJio âtable , à ke e Vie trrI!ouwbmmes a0toriMs tmoaoew*èd ~cuierak" c<>u~o esn-C did pDuilaa pidY oa Vli~ llelle B l'~loestieno êI'Â vril -, ipbidéo·.18m vnlpr~aj~ 1'fM~eo~ 1852 Pl= ýI",Q2~ · Suc i$s E.a WQD~s. pZ g~TduoPnte~~bflau0 au t fi*e et oia àt l jeu& ier 1863, à,· pe~l4 ~ 1u4U1L4: pubie, dû-f a ~~e1iaJ maM ' FIt rît ONx gLKPP ât ï Z'... leflt eZ ........ ........ ....... XK t 2 , vis rz QQzp 0ÂtsA. LE soussigné ayant acheté l'lô . . tel appartenant anciennement à P. 1r t PlJ jenient à Jas 0. M0. e Lelan<E, aux OJpé1oXIsBs, îiôrme reÈpeetïtu-.î sement le public qu'il est maintenant prépa ré à recevoir les pensionnaires et des voya geurs qui encourageront cet établissement. tip-Iain^ete prienoe dun sovesigné, dans cette branehe d'afairtsaius que les soins et l'attention q'ir'fdonner à la conduite -de sa maison, et ses prix modéres, lui font espérer, il le croiti une part du patronage public. Venez m'essayerm - Oo BI)STOP}HER STEEL. Opélousas, 1 DéceinbrelI852t-fiic PRSïrZZ ÂVIB. ALLEZ VOB L'ETABLISSEIgENT EN GROS ET EN DETAIL DE MYEB & ALEXANDERS, A WASLUGTON, Pou FAIRE DE BONS MARCHES! - .) MYERS& ALEXAN*ERS re i 4 gçoivent en ce moment, par chaque b iataee 4Nord, an grmd aMssorý timent de Marchandises de toutes deecnptiona tiap qe -,:-Marchandises Sècheo, Beax Habillemaens, Bottes, Soûliers, Clas peat.x, ÇaCsiet ete d belles ob Aussi-ný gmd assortiment de Bioute rikeft deirn6mi mode, eomprenant Montres ea «ietenI targe Diamants, des meilleures manufacturiers d'Angleterre, Belles Chines en or po.ldames etrme~sieurs, Lmneltes en or, &c. - S " Nous invitons .respectaement les dampes etineieni à venir nouavisiter. Nous offrons à vendre nos marchandises en gros et en détail un trae~titproit. Wassngton (Le), 16 e'Otobre 152.J L E siuasaign venant dé recevoir au eom mii0aoe d'Emantenr Publie, pour cette Peroise, offroe B srvic(at ptblieot seu I i4prote doeOOtte ocasiôn potr offrir ani dii ~~ susetresioi d ea qai l'emploie ront ommo e e saete B, *ire po.r eou, e iias charges addtioinnelles, tous les tableaux nIédéttruileitt reddition de comp. BrQERT BTNENiui 0 Copet.a 7 ri# ae1 &i . -4.. ~i·"~f !";i~*1 ·- -:X X*êi«gè par Mme. &vswd (Me Tralier.) 1-e 'i et Mo.n owB ries *404 eà piuboe* ýpw IV ::* ·t 4 te y z A oYce. Siivis Divers. Mt DEbIWPSTER, Frtessef a de Lange Anglaise. NFORME Ù ispectueisement les parents et les tuteurs tc enfants de St. Martin vifle, que le Lundi, 8 Novembre, ses classes seront transférées dans la maison dernière ment oceapeé par Mme. Fretehou, rue du Port, où il sera charmé de recevoir ses an ciens élèves. Un professeur de langue française étant attaché à l'établissement, le cours de cette langue recevra les mêmes soins, la même at tention lque celui de la langue anglaise. Considérant cependant l'importance toute particulière de la langue anglaise, dont la connaissance est aujourd'hui indispensable, M. Dempster a résolu de faire deux fois par jour le cours d'anglais, le matin et l'après midi, et les Elèves, (excepté ceux apprenant exrelivement le français) seront tenus de parler Anglais, aussi bien pendant les récréa tions que pendant les classes. Les Elèves pourront être reçus pour une seule langue on pour les deux. Les Elèves qui viendront d'une grande distance pourront entrer en pension dans une excellente pension du lieu. CONDITIONS: - - - $4 par mois. St. Martinville, 6 Novembre 1852 -la. PENSIONNAT ET EXTERNAT De Jeunes Demoiselles. DMioGé PA MELLE. BmRBCIe. Ç ETTE institution, à proximit. de la vil Se, ofre tous les avantages que l'on peut désier pour une Maison d'Education. Les élèves y seront constamment l'objet de la surveillance la plus assidue. Melle. Berier s'appliquera à faire germer et à dé velopper chezss lae èves les qualités du ceur, sams bien qu'à fermer et à cultiver les facul t4s de 'esprit. Elle est persuadée que tout easeignement, pour être fructueux et solide doirepoer sr des bases tout à la fois mora les et religieases. L'Anglais y sera enseigné pr une dame attachée i létablissement. $aei ancomprend an cours progressif de d'Ecritre, l'étude des langues PFranaise et Anglaise, l'Arithmtique, la Gégcêrape, l'RHstoie et tousles genres d'ou vrges a l'aigille. Les prix aont fixée par trimestres: Instruction, - - - $ 9 00 Pension, - . 24 00 Muique, .* - * 18 00 Opelousas, 11 Dec. 1852.--m. t PHIIARIACIE DI W1AGIIITON L .ouadilgné informe respectueuseîment iusimis et le publie qu'il vient de re ceir n lia Emortiment complet de fiaiches alpine ,+ &c.,, et qu'îi continuera ce ge èeasl e inegs4isEn occupé péré l t pr île Dr. H. Âr lardey, ituné e magin de MM. TiM . C. Anderson u1 emploie in p.hagacien expérimenté, ,equel s'occupe prncipalement de remplir insi que tout o qui a rap Ie za emlr avec le plus grand soinles qu i luiseront adressés par le perscnnes qui voudront bien l'honorer de lurw confauc. . . D. ALLIS. aston^ , 4 Aot 1862.-6m. les voita o m le passé. &ure .tomrres iisn UM~ra Au -otndew-votLt UÜw gent die le':a 1NouveI-AaýbmSsaàe bpu àdupri " é&â -Les poremmes qui Ukm13iê oel reqUIeSo leuar marUqet g. da GHI Sùm éh93m i· $I Jn ~de oieu, e Id1 404 14 e' qi PoI e -- -M #1)o Avis Judiciaires. sOT3T.E O E3 DE BELL-CHENEY, A VEND).E EN VENTE PUBLIQUE. IL sera offert en vente publi g l eque, par James Akenhcad, admi nistrateur de la succession de GilbertSloan.Ï~, eédé, ou par un encanteur dûment commissionné, dans et pour la parois se St. Landry, le 1er. jour de Janvier 1853, à la Maison de Cour des Opélousas, les Sour :.s de Bell Cheney, en vertu d'un consente ment écrit entre Edmund H. Martin et feu Gilbert Sloan, et en vertu d'un ordre de la Cour de District. . Cette propriété est située à 36 milles au Nord des Opélousas, et à la même distance Sud d'Alexandrie, dans la Pinière, et en ou tre les Sources minérales et les bains, elles consistent en cent soixante acres de terre. Il se trouve sur les lieux, sept cabannes doubles, et trois grandes maisns, pour l'ac commodement des familles, douze caantes pour les messieurs, un grand hôtel, auquel est contigué une salle de Bal très commode, un grand Café, Ecurie et magasin, ainsi que d'autres établissements très nécessaires à un tel endroit. En outre des édifices, tous les meubles de l'établissement, étant bon et solides, valuant de quinze cents à deux mille pirstres. Cette propriété est située à moitié route des paroisses de la Rivière Rouge et des At takapas, et si cette propriétée ne se trouvait pas sur la ligne du Rail Road des Opélousas, elle ne se trouverait pas à 10 milles, lorsque ce chemin s'étendrait jusqu'au Texas. Les sources ont reçu une patronage libéral, depuis qu'elles sont devenues la propriétée des préseus propriétaires, et les qualités des eaux sont appréciées de plus en plus chaque année. Cette propriétée, achetée par une compa gnie d'habit offrirait une retraite des plus saine et des le; pendant l'été pour leurs famile~r celui qui tiendrait l'Ho tel. Toutes les personnes désireuses d'acheter, sont invitées à visiter les lieux avant le jour de la vente. . La propriétée sera vendue à un crédit de un, deux, trois et quatre ans, en payemens égaux et annuels, avec huit pour cent d'inté rêts à l'expiration d'une année, sur le mon tant non payé à cette époque. Les acquéreurs founrnsant leurs billets avec bonnes sécurités et la propriétée restant spé cialement hypothéquee jusqu'au payement fi nal du principal et des intérêts. L'acte de vente sera passée pardevant H. L. Garland, notaire, aux fais des acquérear E. H. MARTIN, JAMES AKENHEAD, Adminstrateur de la succession de Gilbert Sloan. Opélousas, 13Novembre 1852. Vente a flEncan. L E publie est par le présent averti qu'il Ssera vendu en vente publique, au plus offrant et dernier enchérisseur, SLe Lundi 10 Janvier prochain, 1853, les propriétés ci-après décrites, appartenant à Dame Adrienne Deshotels, Veuve de feu M. Alexandre Fontenot, père, à savoir; ESCLAVES, des ea sexes et d'âges divers, et la Splus grande partie créoles. ro hpevaix de tire, et un lot de mais et de fourrage. Conmrnous,--Payables à un et deux ans de crédit, A compter dua jur de la vente; les acquérerfoprnissant caution à la satisfaction de aditedame venderease; et8 pour centd'in térêt à compter de l'éehéance jusqu'à par fit paiement;et en outre, leseaslavce demeu rant hypotbièqés par privilègejusqu'au paie. ment du capital et desintérets. Lea se(tes de.vente seront passéspardevaat Onéizîle A. Guidry, $otaire public, auxfnris desaacq4recrsd. riLa vepte aura lieu mufrl'babitation, ain onieille Grande Prairie. SSa.MEON FONTENOT, Erncanteur. Opelousas 26 Décembre 1852. Etat ,,de la Loulelaae, CoXJru IDE Dnunot , 1,o. 008. Ï ~PLACIDE, CLOSE. mE, n Xi la& PwSisse %t Lam, cdm »i*aeum (le la sucSobs de fe Placide cloe,: decEd4, de la M d'm'ie e geayant eou un Tableau fiaifdn'es e 1ade d se c cesson, aW qu'un Tableau de c às Wancoie'szi, acome* 4s d'une, pIddm deiuiàùatl'homoloa*son 4icx~ ctn da9u ila4t6fàitdrla kdeuadc&dt rd ela Üogr en&adu-23, denaoi sjo ui e6'$êceuc a t brle 1852 don né r i suosP '. çiref&du*eiL a-'red W. la counmie ccou e de àe tewÈ W »I ff l., , 8,OZ t 2efeG0:m, . 1862. ou AVOCAT. soni bnreau" amm~ooaa. épul2 VENTES JUDICIAIRES. Vente par le Sherif. ETAT DE LA LDUISIANE. Joel M. Bel, tuteur &c. Cour de District. ' V. } St. Landry. Thomas A. Cook. No. 4261. EN vertu d'un writ de plu. fi. fa., lancé dans le procès ci-dessus intitulé, par la Cour de District, dans et pour la paroisse St Landry, et à moi adressé, il sera exposé en vente publique, pour du comptant, à la Mai son de Cour de cette paroisse, le Samedi, ler jour de Janvier 1853, commençant à onze heures du matin, et de jour en jour, s'il est nécessaire, tous les droits, titres, intérêts et prétentions de Thomas A. Cook, dans et à la propriétée suivante, saisie pour satisfaire le dit writ, savoir: Un carré, dans la ville des Opélonsas, con, tenant quatre lots, borné à 'Est par West ou Front street, au Nord par Vine street, au Sud par South street, et à l'Ouestpar Bayou Tesson. H. ROGE~RS, Suérf. Baroea du Shérif, St. Landry, » 27 Novembre 1852. VE1qTE PUBLIqïUE. p N vertu d'un ordre de la Cour de Dis trict, dans et pour la paroisse de St. Lan dry, seront vendus en vente publique, le LUNDI, 3 JANVIER 1853, au plus haut et dernier enchérisseur, les pro priétés Pivantes, abandonnées par Geo. N. ogers, à ses créanciers. No. 1-Un Morceau de Terre, situé dans la Prairie b Bellevue, contenant 800 arpens, avec la sucrerie, la Maison de Maitre, et gé- c néralement toutes les autres améliorations qui c s'y trouvent. La dite terre est bornée au r Nord par les terres de Vve. Pierre Thibodeau, à l'Est par les terres appartenant aux habi- c tans de Bellevue, au Sud par la terre de c Benj. R. Rogers, et à l'Ouest par le Domaine Publie. Un Nègre, nommé Bacehus, âgé de 50 ans. Washington, nègre, âgé de 30 ans. Nathaniel, nègre, agé de 25 ans. Elîjah, nègre, âgé de 25 ans. Presly, nègre, âgé de 23 ans. Jerry, nègre, agé de 35 ans, charpentier. Louis, nègre, âgé de 20 ans. William, nègre, âgé de 33 ans. Henry, nègre, àgé de 35 ans. Kessire, négresse, âgée de 50 ans. Jim, nègre, âgé de 16 ans. Harriet, négresse, Agée de 14 ans. Henderson, nègre, âgé de 10 ans. Anderson, nègre, âgé de 13 ans. Martha, négresse, âgée de 22 ans, et ses trois enfans, Tom, âgé de 7 ans, Jacob, 4 ans et Sam, 1 an. Evéline, négresse, âgée de 24 ans, et ses trois enfans, Mathilda, âgée de 8 ans, Bob, 5 ans et Betsy, 3 ans. Quatre paires de boufs, à peu près quinze têtes de bêtes douces, une marque figurant un R, douze mu les, trois chevaux hongres, trois juments américaines, trois pou lains américains de race, quel ques cochons, quatre charrettes a boeufs, une charrette à chevil, un wagon pour quatre chevaux, et autres instruments aratoires, meubles meublants. ConriTONSs:-On vendra pour du comp tant telle partie des propriétés qu'il faudra pour payer le montant dû aux créanciers hy pothéaires, la balance sera vendue à un et deux ans de crédit, les acquéreura fournissant -bonne et valable caution, à la satisfaction du syndic. La terre et les esclaves demeurant hypothéqués jusq'âà paait payement du prix d'achat es des intérêts, à raison de huit pour centl'an j.sqU'àparfait paiement. .lou L. s 2 WAYZE, Syndic. opélouas, 27 Novembre 1852. Vente par le Sherif. ETaT DE LA LOUSIANE. Marie A. Boudreau &als. Cour de District. v. St. Landry. Gerge Miller. N o. 5581. N îvertu d'an writ de f. fa., lancé dans ji.affireci-deesspar la Cour de Dis trictedns et pour la paroise St. Landry, et à moi adressé, il sera exposé en vente publi que, à l Mason de Cour de cette paroise, le Saniedi, er. jour de Janvier, A. P)., 1853, ayable à douze mois de crédit, étant la deu xième t dernière criée; 'PaIqéreur fournis aet son obligation, avec cautionnement, tons les drits, titre et prétentionp de George Mil ler, dans et à la propriété sivante, saisie pour stsfaire le dit writ, savoir: Un eertain NEGRE, nommé J.aques, âgé d'giviron cinquante-tn ou deux ans. S HARrISON KROGERS, Shérif. Baia du Shérif, t. Landry, ïf ~l~h5t ~N TE PITBLItQTE. LB amaigné vendra l. Samledi, 22 Jan. vier prochain, 1868, aup tes lieux, par reie d'uneneuour publio, lapprri6. ée oçosme sous le nom d< Ilotel Washington, sitne da la ville de Washington, pa roise St. Landry, étaa le Lot 1o. 2, aom mse il est reprsent suar le pla de Ila dite vil e, bornée au Nord pr rue Carriere, à î st par la rue Wasàingt, au Sud parla rue 'onn eet à l'O par la rue du Maipe, easemble avec toutesales BATssEa e. Abuoua3oTIOs qui s'y trouvent, ainsi que 'les Meubles de l'Hôtel et les Ustensiles de Cuisine. Aus8s:-Un O3MNI1BS. La vente oommeaoera à 1 heure de l'après nidi, CÔMoPIIons:-Compta. IsK- e GiUILLORY. Washangton,18Do. 18. J TO~ cl) OALDo~ ~c rendra prompte . aeat & tots ordJrerq hi Bx vnt tras. -pmiaS ofurf p g ria dimiandé. Bowubirea est her Ir: Cls. N. Euar, re du Maine, aux Opêloouas. Opelousas, 8 Mai 1852,-la. Avis Divers. Esclave en Prison. < IL a été conduit à la Prison do la Paroisse St. Landry, le 7 Novembre courant, u nègre dis~nt se nonmmer lIENRY, et a~artenir à un certain John I. Harris, demeurant sur le SBayou Salé, dans la Paroisse Sainté Marie, d'où il est parti vers le 20 d'Octobre dernier. Henry est âgé d'environ 35 ans, taille dé 5 pieds, 6 pouces, couleur cuivrée, ne parlant qu'anglais. Le propriétaire est prié de vehir prouver sa propriété, payer les frais et l'emmener, au trement il en sera disposé selon la loi. CHS. THOMPSON, Geôlier. Opélousas, 20 N4veit.br 1852. L E soussigné étant devenu l'agent pour la Balançoire de Dégagement patentée de Pyron, est maintenant prêt à en fournir, ayant été nommé seul agent po.r les faire et les vendre, pour la paroisse St. L~hdry. Cette balançoire peut être adaptée soit à une voiture, buggy, &c., étant très simple It peu sujette à réparations. Un modèle peut être vu à l'atelier di soussigné. JOSEPH GIBBS. Opélousas, 3 Janvier 1852.-la. T. M. WATKINS, SelliCrt A NNONCE respectueusement aux habi tans de St. Landry, qu'il vient d'ou vrir de nouveau, à l'encoignure du Maine et Carrière, dans la ville de Washington, une belle et élégante BOUTIQUE DE sELLÈtIE, où il aura constamment en mains tous attiz cles concernant son métier. Il défic la con. currence pour son ouvrage. Tous ordres se ront promptement remplis. Ses prix sont modérés, pour du eomptant ou à des pratiques ponctuelles, à un court crédit. Washington, 10 Juillet 1852.-la. CAFE ST. LANDRY. ENCOIGNURE MAINE ET LANDRY. L E soussigné annonce respectueusement A ses amis et au public en général, que sa buvette est maintenant pourvue des mel- leures liqueurs que peut fournir le marché de la Nouvelle-Orléans. Son café possède aussi un èxcellent BILLARD, auquel il appèe le l'attention des amateurs de ce passe-temps innocent. Attachés a l'établissement on trouvera Ccs cabinets particuliers. J. J. BEAUCHAMiP. Opélousas, 4 Janvier 1852.--la. Fenelon Cannon. Théodose S. Robin. CAÂ>row &ao RO3N, AVOCATS, S'OCCUPERONT ponctuellement de tou Stes les affaires qui seront confiées à leurs soins dans les l4me et 15me Districts Judi ciaires. Bureau aux Opélousas, Lie. OpBlousas, 23 Octobre. 1852.--m. J. V. Gourdain. Charles Kerr. Gourdain & Kerr, Marchands CommissIonnaaircs, No. 25, RUE CONTI,. Nlle. Orltans 14 Juin 1852.-la, ENTERREMENS. T E soussigné fournira, dans le plus court i délai, sur ordre : Corbilla'rds, Ccr b cuedr, Echarpes pour enterrmenu, -c. Tous les ordrs pourront être laissés à son atelier, rue de PUnion prs l'Eglise Catholique. t SILAS HARRIS. Opélousas, 18 Décembre 1858 COURTOIS & DmIDIER, PATISSIERS ET CUISINIERS. S ANNONCENT respectuuaement au publie qu'ils s ont étabts aux Opelousas et qu'ils offent leurs ser vices comme Ptissiers et Cuisiniers, au pu blic de St. Landry. Ilsentreprennent Repas de Noces, au com plet, Banquets, ainsi que Gateaux et Bon bons pour soirées. Ils sollicitet une part du t patronage public. Opelousa, 1 Déc. 1852.-la. T, ». COOOMBEgl, Peintreo A NNONCE respectneusemrent ax hau - 1" tans de St. Landry et des Paroisses en vironnantes qu'il vient de s'établir d'une ma nière permanente aux Opelousa, où il et r prêt à reeevoir tous ordres pour vernir et or ner les vieux meubles de toutes descriptions Svieux plateaux remis neuf; collage d· pa pier, devant de cheminées peints en fleurs; éventails pour salles A manger, " &o e. Pour ordres ou d'autres partiuliairités, s'a dreser aux éditeurs du Courrier des Op-. - F 18s. Opélousas, 21 Février 1852.sla. Aristide Renaud, Herloger. Rue du Mai "en (ae e ie bmru dt Courier. 1uid le iSmedipyr JOEL H. SANDOZ & ANDRE MEYNIER, CONDITIONS: Le prix de l'abonnement est de Taois piatres par npayable d'avance, ou QUATa piastre ýa e à la n de lannée. " Aucun abonnement ne sera mreçpérn temps Aucun abonnement ne sera diseontinué avantque moindre de douze mois. les arrerages ne soient p~ay .. Les abonné qui ,vdro t arterleur abonnement devront en donmer avia, ir &ra, au moins un mois avant le terme de leur abon:,ment. Les avis se paieront de la manière suivante, a voir-Les avisqui nexd.derontpaa in car de 'es pace de dix lignes, se paieront une piastre por la première insertion, et cinquante cent spr chaque iïsertion suivante. LesavispI oM g srivrot la mêome règle. Tout avis, à moins quil den soit atiement or donné, sera publié en français et en anglai jusqu'à ce quil soit retiré, ou usqus ce que les éditeur ju gent propos-de le retirer. Les avis ou communioations annonçantun candi dat se paieront dix piastres, et d'avnnce. Les lettres ou communications adressdes au.x édi teurs devront ttres affran.iis. /