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L.A TiTi'1' DE MORT. En 1780, on :cruat un terrain dans une ville de garuinoi voisine de l'ari;: il s'agissait d'une annexe à construire po'ir une ca;erne. Le terrain se t rouva 'tre nu ane:eci cdiiteère tout plein d os.ciiientc . L autorité fit vider une fosse iineri'ne à quelque distance de là, et les nsni.iients 1jailliEsarit les fouille]s v fr <1 jour par jour transporte. Un ir, qui'e's s 'lats de la gurnisin **o* tKri.vant. r-nssc rs (an: un c-bere t voi le j.,.ut Ii<ilri!t iUn < Àin, ,on p (l; de P1incident, l;s uni:; avoc so erltituiîn les autres avre !'n;"rii. rni l" e;'î'i fr'' so troui^e;.:, b!i:- d;"r ni *' un tran.ii!1 (;tte. - a("st -pli, . pie foi to ui ris d'e nurti lit le liii ett u bri iîir, Lu tu u - pas nouî ( ;i'' lîi une tU c, ' i uit, d n 1 h fse.-(,ue paiic-tu -Do i'tre ' dis rétionu pour nos tous.-Tpe lta! a miniiuit et cinq rinutes la tite d riiort sri la s'ir la table, à nous voir boire àn s ané ?t ' ts,ý :1pens !-Nou:1s verror ' rpli'qua j'c triî pette d'un air confiant. Les un., Ilamercnt, d'aut res, nppronvèrcnt cette bravado impie. Minuit, nne. Le hbri nlier oîîte 1n ca liaret et s'avance d<in; I'inbro 6paiss; .c.rs le fossé qui servait de r(ceptacle aucimetière lîouleversé. 11 se fourvoie d'blord, mais finit par triliv<r l'ossuaire. Il 'était tunii d'une petite échelle; arrivé sur le bIrd de L fusse, il la descend, l'assuijottit dans les 3a3en(is! et le voilà qui, d'éecliOlon en chelon, iirive .u fond. La nuit était nu -cun- ; il ne dis tingue rien, se baisse, tatonce, et ne ricon tre d'abord qu'un tai pou1cnreu de flmiurs, doe tibias, de cdtoe et autres friagments de suque lettes. Enfin la lune, cachée sous dos nuages êpuis, sC dégage un moment, juste le temps de faire apparaitre à ses regards une téte de mort placée dans le plus complet isolement a l'en trée d'une espèee (1de grotte pratiquée dans l'une des parois du fossé. Notre brigadier, à cette vue, ne peut se défendre d'une certaine émotion; mais repre niant presque aussitot toute oni assurance, il s'élance vers l'objet de ses recherches et s'en empare. La lune s'était voilée de nouveau, et l'obscurité la plus profonde régnait dans le fossé. Tenant la tête d'une main et de l'autre s'appuyant aux parois du fessé, il cherche en tâtonnant son échelle, la trouve et remonte en disant assez haut: -Ca n'est pas plus malin que ça ! Mais à peine est-il au haut de l'échelle, qu'une voix étrange s'élève du fond de l'ossuaire et lui dit :-Malheureux! pourquoi viens-tu, dans ton impiété, uenlever à mon corps le débris profanateur, rends-moi ma tête ! Le brigadier s'arrête, plus surpris qu'ému. Mais soudain il sent l'échelle qui s'agite sous ses pieds . . . Rends-moi ma tête ! rends-moi inma tête ! répète la lamentable voix. Et l'échelle est plus violemment recouée. -Eh bien ! la voilà t tête 1 s'écrie le sol. dat. Et la balançant à bout de bras, il lance de toute la force de son dépit au fond de la fosse . . Un cri terrible répond au choc . . . Le 'brigadier se sent gagné par l'émotion. Il 1'ëlaneo sur le bord et fuit à toute jambes. Arriyé, ' '-couvert d'une sueurfroide, au abarot b Fe' W-mie attendaient l'issue de la funèbre expéitipns, il en raconte l'incident effrayant. Chacun se regarde avec effroi. Qeqé unm veulent pourtant rire, accuser le Éoîdat i allucination ou de mensonge. Mais'tNÇfrdl le trompette ? demanae-t-on. Celu q Tij; défi, était la cause du sa crilèggn'ftait pas là '-Bah ! répond.on, il aura euon peur de payor le pari, il est parth. .Et là-dessus, personne ne penua plus .à hire, car l'élotion du brigadiet avait gagné tutale mnondes On allase coueher. Le len: dawain, à l'heure des travavx, on trouva le trompette au fond de l'ossuaire. Il était mort. Le brigatier, en lançant la tête de mort, avait fendu le crâne du profanatenr. -D it àdidù IA raccommoder les horloge»s din ! diai araccommoder les tournebroches s'écriait en faisant'sonner un timbre qu'il portait sous le bras, un pauvre vieillard de près de quatre-vingts ans et quI de teritpsimmémorial on voyait parcou rir les villages du Nord et de l'Ouest de la France, pour eXercer Boa indW*trie. Ce vieillard dont le costumse délaisi sanonçait la misère, était le nom ii Etienne B,.., originaire de la Franche-Comté; le'panvrè iftwlbhe avait eu jadis une clientelle fort niqbrtuse stsm eommer e.très florissant, mais de puis o&e viM iiise d'açdes, il voyait avec chagrin la>oendule faui invasionp de toutes parts et rempla cerl'hologe antiqie qui foirmait sa spéciajité, de soite qf'au lied de resterii à travailler comme au trefois, deux ou trois joars dans chaque village, il étaiksouvent deux ou 4rois jours sana trouverdgu V 5rr G8s ia-s'sur* la route de Reimsh Rtçtel, était un des rares client restés fidèles à l'hotloger ambulint, car on voit encore dans la grande safl" dir son auberge une vieille horloge, styeLoBais-XIII qui depuis plus de deux siècdes faiteotendre, dams uSe boite de sapin adossée au mur, son tic tac gravement cadencé, et l'aubergiste était un client d'autant plus précieux que, besogne oiietwn,' hébergeait gratisau passage le pauvre Un soir ldu mois,de juin dernier, le vieil horloger arrivarài'hbergede maîtr# Pierre, tellement fati gué q11e 'le 1lehdemain il lui Jut impossible de se remettre Mt route; le surlendemnain, au lieu d'être plsdrispos, il fut obligé de rester au lit, et puis enfin il tomba.unade. L'aubqrgiste .quoiqu'il ne fut pas riche, fit don ner u vieillard tous les soins possibles ; mais la dseiè jours de si ra kdes progrès, AIzorar. Vit maBrije 'a«poS tout parent qaudr e dont voici dreMe ,Dè qet je serai mort, faites-le Ilaoir 4vo.re lui, &ûmême temps, la note de t'quet o'aurt coûti ma maladie. S'il vous paie cette note ltt-Iui parvenrr ce papier ainsi *uaaeaaiet aies oatils, qui sont lioniqse héri tsgggueja..aiss6i, nu<ontraire, il refuse de vous p çyeru e pcv!ier.zetga.rdez le tout pour vous." 49'ijtýonrft-epTs, ÏhoiHloger ambulant rendait le dernier soupir. Après lief 6,i6te l'aubergiste, qui comp tait for rl« aouowBeiHe dte l'argent ldé pensé pQur mulaiç du vieillard, hésitait à écrire comntg f- lu i avait reéommandd. Cependent sa feusmtdottia*-tllement pour qu'il tentat une Admarche qui pouvait le faire payer, que pourtant il eqida.u mais, poste pour peste, le neveu, au qdel on uvait envoyé lafacture, rdpondit q«'il re ndn<aftae gthd cour & bb héritage qui ne se com pealt «à 6d queIques guenilles et d'dne note à payer. 11Feg4 gett« l»ttre, Pierre gil trouver sa ashe e lui annonçad'un air na ue s que, ddfni. nt ils etrouvaien pro p r0es de l de ma thRo W ao ngn it Le pier remsia par le mou r 'rva que cétait upe sorte de te-ta ua ' Je lge au payteur de ce pa. Soute* u a dedans." 2b et MMtu phniJRr>cra>ers Bjire et s e« mUsaeaDe, I gros ~baipeseu e dio)«d ; a ntteumer la pmquem e um erveille, et ils troucet * .édQÏS« qj s pcei de 20 f. et 7,)0 fr. ce extpB its j lectroparticulière 5< ft4 sUina 18 la & dU cotsmandant joco^t'Td loîotnetrtgrms, ajBtiBea chq oêttrs écurts; al est si gréata gu&lBoi>t#r À fcev8l. E 4 cialim gri h ê^ i*l .ai iiettI.o dann inifirmo, .*u«êa~c uertniue quansiê deo aeeratiopa sar la poitrine, et dessus les épaules il portait un manteau blanc semniblable à celui que portait les chefs arabci. Il n'est pas Lien granid, l'expression de son visage est plutat joviale, (t bien différente de celle que votre imagina tion se figurait d'après son histore, soit ici soit <'n Afrique." 1 ES EXECi1TIONS EN C i INE. Le Fri'd if Ciuni. tu 14 uir, racon te "n ces terntes une exécution de rebelles à Con;'on:: Leh iiiiiers dc rt eles amenés prisonniers * (;i e snt î(:lpites au nimbre d' cent l'' a" c .,r j"iur. Le 1I1u el '-i po" r l'ex te.ri:)! '-' i-iui e 100 yar la rivire, et i *td e:-t . f'-rilr ire p r d us La t' r'' *j<;'i~-j- f' o t 'y vrer0lkiit cn so tcilnant le 1 inez !V ' ur jii, 'a j leur c ue e ue 1i. e . rou!!e ;i lo r d' !; fia , afin fi,,o ne pi-)n - tir F nr ji'ele ce Ii;rp "he' n OiH i i n em pinc ;uncun m;',;e; 'le d[.**infe,-r is*w et Ci eit couvert d' i .n n pLutfiu. L'x 'nît 'oui <loivit 'ix.i lieu a midi: a 11 l'"rc ; 'mt irr'' .- <i l'o. ';'", rn les de esute;iuxî 'ît prLd .(e :-s do ceren'i;lîci l en is: <.n j '.urnit .i.-lr ]'',.c:i;ion Ou l tut du c oii d'cun A inidi ui' quart, a p;'ru la premro fo;' née de ii lui ni , p isv ,naien ;t - \'i;nt!t îl';iîtrvc dix' ines de ce*S ii'allîeîureux ii;i'j i.di'nfi r avait k.u ni aii li tes der rière k- dos et in l crifu îattzhe lié) . trc a;e de elteverx. A niesure CijiLun oilllule arri vait on le faisait inettre à geiîoux, l-i cei to irn ée verM le ,'[d. J 'as un elp<;c e 20 pieds sur douze, il y c av'it 70 r" ni cu fi le. Des mindiariis boutou iI'"s eàtai.t '""rrive'S, 1r''ution eoniiierçu'. "t t i - e en suf fit pour elever la tet; 1 iroue tan'i on a vanrt ct d 'îicure saîuis .i u'.ve' ielt. j ID'utres supplice.s lus c4-oyables ont ou lieu avec un petit couteau trui trsrclî:îit; 1sû exécuteurs des hautes ouvres pr-ati1uent une incision profonde à clihaquie houiiie, sous les bras, aux mollets, aux cuiisses et aux seinis, et lorsque cela ne suffit pas, le couteau est lpion g juisqu'à la garde dans l'abd'domen. Ensuite on dépèce les corpa, membre par membre. Les mandarins ount quitté un instant le ter rain pour revenir, ranienint un liomune et une femme; cette dernière était la femme d'un des chefs rebelles. La femme a été dé pécée comme nous venons de le dire; Il'hom mnie a été écorché tout vivant. C'est la un affreux épisode de la révolution chinoise et l'un des accès dà barbarie ordinaire de la dy nastie Mantchou ! L'humanitée entière de vrait se soulever contre les démons capables de se livrer à de pareilles atrocités On lit dans `Inépendance Belge: Après avoir eu connaissance de la chute de Sé bastopol, le cabinet de Berlin s'est adressé aux gouvernements de France etd'Angleterre pour de mander à ces puissances si le moment ne leur pa raissait pas opportun pour reprendre les négociations de paix. Une réponse négative a été immédiate ment expédiée par le télégraphe de Paris à Berlin. On lit dans le Constitutlionnel: Il est encore passé à Paris, avant hier 550 ouvriers anglais se rendant à Marseille pour être de là dirigés vers Sébastopol. La mission de ces ouvriers et de ceux qui les ont précédés paraît être de bâtir et réparer des loge ments dans Sébastopol, afin d'y faire hiver l'armée. SAINT-DOMINGUE.-Un effroyable ouragan a éclaté sur la partie dominicaine de l'île. La moitié de la ville de San-Domingo a été dé truite, ainsi que toutes les récoltes de l'Oza ma au Seybo. [t'On comipte dans Chicago deux cent quatorze avocats et cent vingt-cinq médecins. Malheureux habitants 1 NOS AGENTS. , ULs personnes suivantes sont autorisées à collecter età4 recevoir des souscriptions et avis pour le Cour rier des Opclousas, dans leurs villages respectifs: AUGUSTE 3MARAIST, St. Martinville, Le. ARTHurn BULLIARi, l'ont Breaux, Le. A. Misi'rmn, . Washington, Le. Monition. Cour de District, Paroisse St. Landry. L'ETAT DE LA LOUISIANE A tous ceux que cela peut concerner, Sala U'IL SOIT CONNU, que CELESTE GARLAND, de la Paroisse St. Landry, s'est adressé à notre Cour de District, pour obtenir une Monition conformément à un Acte de la Législature intitulé "Acte relatif aux Monitions et au mode de procéder," ap prouvé le 15 Mars 1855, à l'effet de faire savoir: Que la dite Céleste Garland s'est ren due acquéreur des propriétés ci-dessous dé crites, à une vente publique des propriétés de la succession de Jacques Lastrapes, décé dé, dernièrement de la Paroisse St. Landry, faite le 16 Octobre 1855, par Auguste Dé jean, Encanteur Publie dans et pour la Pa roisse St. Landry, laquelle vente a été faite conformément à un ordre de la susdite Cour de District, en date du Octobre 1855. Description des propriétés. Un certain morceau de terre situé dans la Paroisse t.Landry, près du village des Ope. lousas, borné au Nord par un morceau de terre appartenant à la veuve et aux héritiers de feu Charles Lastrapes, au Sud parla terre de Cyprien Dupré, par colle de la Veuve et héri tiers de feu Eugène Wartelle, et par SIW. Wikoff, à l'Ouest par les s4atetl* à l'Est par la ligne de la i4v des Opelousas, mc sutnt eu arpenta ê1irm es d'ar pent de face sur cnttroisth i t dfèaMail les de' profondeur, pour lk ,Ir et sopàie de mille deux oent oihquaute piastres ooinptant. Le Lot No. quarante-sneuf dansl'Additie1 Lastrapes au village des Opelousas, bornté4 l'Ouest par le Lot Nd 83 appartenant aux enfans de Clarisse Lastrapes, au Nord par le Lot No. 60 appartenant à la pétitionnaire et ci-dessous décrit, à l'Est par la rue Liberty et au Sud par le lot de Mme. John Cooke, pour le prix et somnme de cinquante piastres, comptant,--et 2o. Le Lot No. Cinquante, dans la même par tie de la ville des Opelousas, borné à l'Ouest par le No. 34, appartenant aux héritiers de Clarisse Lastrapes, 4u Sud par le lot No. 49, appartenant à lapétitionnaire. et ci-dessus déerit, à l'Est par la rue Libert e par une rueinconn p t som me de cin c e, avisomptant. ne, avis est par lJo présent .ceux qui pourraient avoir quel réplamation contre les dites propriétés, en conséquence d'un défaut de forme dans l'ordre de la vente, le décret ou le jugement de la Cour de District, en vertu desquels la v4tte'aété fite, ou detoute irrégularité ou illUglité dans l'avis ou le tempsa et le mode dela vehte, oA pqûr toute autre cause quel-j conquesa 'yorà 'présenter, dansles trente ujourgqui 'irontla première publication de cette uolition, porquo1 14 vente ainsi faite à la dite Cèlet», Garland ne serait pas conftir nmée et hoer confament à 1'$nten in à a as nit nai d ddudiate.a .ENFOIDBEQUOÎ, j'ai siga sp#ftrétes, ety ai app8és 1g, ( um,à-e la iour de District, ce I 1s e ur d'O>tobre; A.D.,i 1855. A. ARBIGUES, Grfier. Opelosesa, 3 No'tteare 1856. Vento Publique, Succession de Louise H1enry, veuve' de Cèlestini Lavergne, décédée. L E public est par lu préisent informé qu'il IL À ra vendu, au plus haut et dernier en eherisseur, par o.signs, à la dernière riiudnce du la dteuint, à Bellevue, dans la l'arois-u S(. Lnrdry, 10 Lundi, 19 Novenmbre prochain, 18., k pî'pritct ci-d-'ous idecitus, ap- o partnail à la comuiiunai;;u c ntrou los liéri tiers de Loui IlHcnry, veuve décédée de (C lh 'in LJr;r;c, , ' -»ir : ij p-A i? j ri As .U1t N ut l]i A(iqrcti.n mui y s é't frigées. ' pjir's de Bœuc> de th?. , un lot de iet'. à Ctores dou- e. I Chevaux et M ui dox, it CiTharrette à ! bœafs Ontils Ai'ptoiircs, &c. SCo/ions :- "iU ti'.r ];\ible lu pro ni'ijoIur 'di vri » rocaii, 1>>, le sceC!d tiur-, priicr d Avril 1 7, c-t lu dernier kC-ry. le (,i. r l'Avril 1 . Les nlcqué ' ''rs ' 'ir: :t n.ur ':il .; a ti c ti nj '..t*. . r o t *; , 'f its r;' in ile d- lun 01 l(!( ]';'iitre (! di' fl. n t! , u J ilevue. Vo 1 >b tr ~ . > j VAiT'llI':' ^()rTTE, Agents. iO A VlLu' !7, i. Oc EoNrA, l . M ";N5. ^ÙA~ ~ ~~ "(Uts.<lAS _^^ JIE iîJ'!iLttE.Ti.ih A ïXl\iL[N. , i» E îin ' ! li<nr ct'>''' t it;ni--v<i AM p";ur PO;'TIEE1;N STAIi, conimencn 0(nil sijS vfpi':1> du tc: iiiius du c emicin de ]F' !r (!S O lu, n, à 'i"'irville, et à Frank lin, v irs le 15 s Ot ro, ' 55, p.urI l trans port i.'S pasSarger- (t iui fr"t iéger s'culincnt, f!kanjt des voyages jouraliers, pour recovUir dues passagers par le dit chemin. J. E. CALDWELL & Co., 28 Banik Pl'ace. 20 Oc'oler 1855.-tf. Vontit Fabiane. j-L sera vendu à l'encan publie, le Mardi 20 Novembre prochain, à la dernière Srésiqence d( Engène Wartelle, décédé, les 1 propriétés ci-dessous déerites, à savoir : Jane, inulatresse, age d'environ 35 ans, excellent b!icliiscusc et repasséuse, étant la proprite-é individuelle du dit défunt. Ainsi que les rpropriétés suivantes, qui sont en communauté entre les enfants du dit défunt et Marie Eulalie Evelina Debail Ion, sa veuve ,urvivante, conîictant en HUIT ESCLWVES, parmi lesquels se trouvent deux bonnes cusi sinières, blanchisseuses et repasseu.es. Un lot de Chevaux, Juments et Mu lets, 30 têtes de Bêtes de vache ries, un Sulky, une Barouche et Harnais, un Ane, et beaucoup d'autres articles dont l'énuméra tion serait trop longue. CONDITIONS.- Un tiers du prix d'achat payable le 1er jour d'Avril, 1856, un tiers payable le 1er jour d'Avril, 1857, et la der nier tiers payable le 1er jour d'Avril, 1858. Chaque coupon portera 8 pour cent d'intérêt par an, de son échéance jusqu'au payement. Les acquéreurs fournissant leurs billets, pour chaque coupon, avec bonnes s-écurité.is per sonnelles, faits solidairement entre eux, et les esclaves demeurant spécialement hypo thléqués jusqu'au plein et entier payement des dits billets. A. GAR1IGVES, Greffer. Opelousas, 220 Octobre, 1855. Etat de la Louimiaiie. Corn DE DISTRICT, -. 75 Paroisse Saint-Landry. No. 7584. Succession de Jean Portalis Castille. A URIELIEN BROUSSARD, de la Pa roisse Lafayetto, Administrateur de la Succession de feu Jean Portalis Castille, dé cédé, dernièrement do la Paroisse St. Lan dry, ayant présenté un tableau de classifica tion desdettcs de la dàc succession, accompa gné d une pétition demandant l'homoologation d'icelui;--et attendu qu'il a été fait droit à la demande de ladite pétition par ordre de la Cour susdite en date du 31 Octobre 1855. En conséquence, avis est par le présent donné aux intéressés dans cette succession, d'avoir à déduire, par écrit, au Greffe de la Cour susdite, dans les dix jours qui suivront la datie du présent avis, les raisons, si aucune ils ont, pour lesquelles ledit Tableau ne serait pas homologué, et l'Administrateur autorisé à payer conformément à sa répartition. A. GARRIGUES, Greffier. Opelousas, 3 Novembre 1855. C HARLES PERRODIN, de la Paroisse St. Landry, ayant présenté une péti tion à l'effet d'être nommé Administrateur de la succession de feu Humbert Perrodin, décédé, dernièrement de la susdite Paroisse. En conséquence, avis est par le présent donné à ceux qui pourraient avoir des raisons légales à opposer à la dite nomination, d'a vit à les enrégistrer, par écrit, au Bureau ddiL9effier de la Cour de District de la sus dite Piroise, dans les dix jours qui suivront la date du pwsent avis. A, GARRIGUES, Greffie-r. Opeleusas, 3,Novmaftb, 1855. EAN REMI VIOU, de la Paroisse St. Landry, ayant présenté dhp pétition A l'effet d'être nommé Administrateur de la succession de feu Rosémond Foutenot, d-d. cédé dernièrement de la susdite Paroisse. -En conséquence, avis est par le présent donné à ceux qui pourraient avoir des raisons Mr à ladite nomination, d'a VVrrl uraudu Greffier de la Cour te Paroisse, dans les dix jours qui suivromeU date 4u présent avis. A. GARRIGUES,- GrQeffer. Opeloussa,.8 Novembre 1865. EAN REMI VIOU, de la Paroisse St. Landry, ayante présenté une pétition à l'effet d'être nommé Adwiristrateur de la succession de feue Clémentine Ilichard, épouse décédée de Elisha Shearman, der nièrement de la Susdite Paroisse. En conséquence, avis est par le présent donné à- ceux qui pourraient avoir des raisons légales à opposer à la dite nomination, d'a voir a lesenarégister par écrit, au Bureau du Grefier de la Cour de District de la pusdite Paroisse, dans les dix jours qui suivront la date du présent avis. A. GARRaGUTES, Greffier. Opelousas, 3 Novembre, 1855. 1MAGASIN DE CHAUSSURES Pour Dames et pour enfans, a bon ma'chi. LMME. MILLSPAUGIH. a mainte ratit en magasin. un assortiment de - chaussures de toute qualités pour daines et poiut enfans. consistant en Bottines en peau. en satin &c., Pantouffes &c. &c.. aussi un as sortiment de Corsets pour (lames, Aiguilles de i Hlyd"s & (oodric!. Paruinerie, Articles de toi lette. Livres et p'l'iciations d(le fantaisie.-Patisse rie.-Musique et couidtes pour Guitares et Pianos. Washington, 13 Octobre. 1835. ;IBRAIRIE DEJ r'LIZLSPATÙGH, ita th£îre.an îtc (ost, EWashintoton. T . \iLLSI'A LCtGI. vient d'a.ijouter à son as 15 l . trimeun(t de librairie, une quantité de(le livres. Bîrouhures et publications en anglais. qu'il vendra üux prix cuitaits de la Nile-Orléans. Livres en b1aiie, pour maisons de commerce, Bu. re'ul et autres. 11 a;i!OiJre galmment au public que sous peu il i recevra une qiuanitité (le livres et publications lit tieraires en ianrçais, qu'il pourra également vendre i muI pÇ ix les pl tis r1u1 its. | .hiiingtoni. 13 Octobre. 185.. TTento Publque.. Succession de Jacqules Leopold Rocqiielt, decedci'. N vertu d'un ordre do l'llonorable Troisième Cour de District de la Nou jvo"le-Orléans, en date du 21 Septembre| 1 S515, et à moi adress., par I'llon. J. II. | lKu'lnnldy, Jmy de la dite Cour, j'offrirai, on vente pubuluique, au plus haut et dernier en (!1c-rissetur, sur' 1'itituation ci-detsous décrite, sur le Bayou Tcclie,en cette Paroisse, le Mercredi, 1 1 Novembro prochain, et les jours suivaiits, s'il est nécessaire, les proprietés ci-dessous décrites, dépendant de la sueieSSion de feu Jacquns Lêopold llocquet, décédé, à savoir : S UNCER TAIN lir Ms ÔROEAU DE TERRE, cuiltiv en halitation sucrier, situé dans lu i Prairie Laurent, dans la FPiaroise St. Landry, Lue., contenant cuviron trois mille et qua trcvinugt-dix neres de terre, faisant face, en partie, sur le lBayou Téclio, et joignant sur la ligne d'en-haut la terre de Joseph Balqué, h. c. 1., et sur la ligne d'un-bas la terre de François Lencmollo, b. c. l., courant dans la profondeur jusqu'au Bayou Bourbeux, avec toutes les B'tisses, Sucreic, et auteîc Améliora ions. A USSI LES 65 SESCLAVES, Sdes deux sexes et d'âges divers. Outils Aratoires, Chevaux, Mulets, Bêtes à Cornes, et un petit lot de Meubles de Maison. fLT Toutes les propriétés ci-dessus seront vendues d'un bloc. Termes et Conditions .- Vingt mille piastres payables comptant, cinq mllio pias tres payables à la fin de Mars 1,S57, quinze mille piastres, payables à la fin de Mars 18 58, et quatre autres payemniens de dix mille pias- j tres, chaque payable à la fin de Mars 1859, 1860, 1861 et 1862, et la balance, s'il y en a, comptant; avec le privilège du vendeur sur l'habitation et les esclaves, les billets devant être fournis pour les différons payemens, payables à la Nouvelle-Orléans, dans une des Banques de la dite ville, où l'acheteur pourra établir son domicile; la sucrerie devant être assurée dans une des Compagnies d'Assuran ces de la ville, pour le moins dix mille pias tres, et la police devant être transférée aux vendeurs; et en cas de non-payement d'au cuns des biilets, ils porteront intérêt à raison de huit pour cent par an jusqu'au payement. Le compte de vente sera aux frais des ache teurs. teur J. B. DAVID, Shéirif de la Paroisse St. Landry. Opelousas, 13 Octobre, 1855 GRAOUILLA, MARBRIER, DE SAINT-MtARTINVILLE. TIENT un dépot de Marbres d'Italie, de pre :nière qualité, pour Tom bes ou Edifices quel conque. Les personnes qui auronthesoin de quel ques travaux en ce gpnre, voudront bien s'a dresser à lui, à St. Martinville, ou au bureau du Courrier des Opelousas. Il garantit ses fondations. St. Martinville, 6 Janvier 1855.-lan. William Mouton, .1otaire Public, DANS ET POURTtA PAROISSE ST. LAinDrT. Bureau à Washington, Le. 3 Mars, 1855.-lan. Etat >e la Roitilan. COUR DE DISTRICT, 1 Parcissc St. Landry, No. 757(. Succession de Charles Thienemann, déc. L UCIUS J. DUPRE, de la Paroisse St. Landry, Administrateur de la Succes sion de feu Charles Thienemniann, décédé, dernièrement de la susdite Paroisse, nyant présenté un Tableau de règlement final et de distribution de ladite succession, accompa gné d'une pétition demandant l'homologation d'icelui; Et attenhu qu'il a été fait droit à la demande de la dite pétition par ordre de la Cour susdite, en date du 18 Octobre, 1855; En conséquence, avis est par le présent donné aux intéressés dans cette Succession, d'avoir à déduire au Greffe de la Cour sus dite, dans les trente jours qui suivront la date du présent avis, les raisons si aucunes i-s ont, pour lesquelles le dit tableau ne serait pas approuvé et homologué, l'administrateur dé chargé de toute responsabilité ultérieure et son cautionnement cancellé. A. GARRIGUES, Greffier. Opelousas, 20 Octobre, 1855 rtait te la Loittoiatic. C01UR DE DISTRICT, 71 PAROISSE ST. LANDRY. NO. 7571. Succession de François Vigé, déc. UOIUS J. DUPRE, de la Paroisse St. Landry, Administrateur de la Succes sic feu Yimnçois Vigé, décédé, dernière ment - susdite Paroisse, ayant présenté un Ta > rglement fimal et de distribu tion de eoeuion, accompagné d'nune pétition deman rhomologation d'icelui; Et attendu qu'il. fait droit la deman de de la dite pé ar ordre de la Cour susdite en date du , 1855: En conséquence, ais le présent donné aux intéressés dans ceession, d'avoir à déduîre au Greffe d6 our sus dite, dans les trente jours qu U nt la date du présent avis, les reiseus, a ils ont, pour lesquelles le dit Tableaua t rait pas homologué, l'administrateur déc gé de toute responsabilité ultérieure, et so cautionnement cancellé. A. GARRIGUES, GrefiEer. Opelousas, 20 Oetobre, 1855. PENSIONNAT ET EXTERNAT .lux Opefoisas. R. et Mmine. IIoy. aidés par Ml!e. Iloyet Mme. de St. Ange. ont l'inentention dl'ouvrir, le iii:idi, 12 Mars. aux Opelousas, une Pension de Demnoi selle., de première classe, où toutes les branches néecessaires à inie dducation solide et accomplie. seront enseignées. Dans le cours d'instruction seront comprises les langues Anglaise, Française. Italienne et Alle mande, ainsi que la Musique, le Dessin, la Pein ture; ton les onu'raSe s A 'a'.i; ille, cn soie clieniile. &c., !e Maintien, la Danse, l'Eqiitation. Avec l'aide d'Institutrires compétentes et sous la surveillance assidue de la Directrice, la Prinripale enitretient 'I tespoir d'ê tre soutenue par les habitans de la ville des Opelousas et de ses environs. Les prix sont fixés par session d(e vingt-et-une semaine, payables la moitié au commenincement et l'autre moitié à mi-session. Instruction pour les élèves des classes in' féricures. - - - - î 20 O0 Li " " de 1hre classe, 2 1 00 Musique sur le lPiano et la Guitare, 10 00 Le Dessin, - - - 1J 00 La peinture, - - - 20 00 Oirviages à l ai iguille, - 10 00 Le maintieni et la dance, - - 12 00 Equitation. (p;; r leçon) - - 1 OU l'Pension. - - - - GO 00 Mme. de St. Ange avant contracté un, eg:_.-e ment antérieuie avec 'iEcole de MIre. Hlee ii. à Natlchez. ne pourra, pour le présent, se joiitre à notre institation. Opelousas 10 miars 1 iS. A VE^IDRE, UTNE quantité de pupitres, bances, lits, QJ &c., pour une écule. S'adresser au Bîureau de cette feuille. Opelousas. 2>3 Dec. 1S54. "'MODES SIT HeE0 ^"'. M IIE,. 11ICHE, qui était p provisoiremuent chez Madame Labjeihe, a li.Tmeur d'infor i ner les daies des OpelouC s Sf t et des cuvirons, (qu 'tant dé cidce à ,e fixer dans cette ville, elle s'ccucpera avec soin de tout ce qui a rapport a la cnfetion pour la toilette des dames; tel que Chapeaux, RoLbe, Manteaux, Lingeries. Elle aura un ms;ortiiient de Marelandises i concernant cette spceialitd : Eubans, Fleurs, SDentelles, Cols, Bandes brodées, et ses ra:: Stions avec Paris, lui permettront d'étre tou jours reuscigiée sur ce qui paraitra cu itou Sveautés. Son nouveau îuidoiuile est dans la rue principale, ninilon préeedemnîit (ccupee par M1r. le Pr. Salles, et voiniue de Péta blissement de Mons. P'asquiecr. Opelousas, 1er Septem.bre, 1855.-5um. BONNE AFFAISE. VENIPE, une domestique de maison i de cloiix, agee de 34 ans, avec son fils, d'environ 7 ans. S'adresser à E. BERCIER. Opelousas, 1er Septembre, 1855. Sl FA LLES DE FOIN, à vendre, à Sbon miarché pour du comptant, par SDEIUAILLTON & CARLIERE. Washington, 23 Juin 1855. LE DR. PILATE offie ses services cummedentiste.au pmilic de St. Lan dry. Tout son travaille, lant pour la pose ldes dents artificielles que pour liaurification des dents cariées, est garanti, et exécuté d'après les procédés les plus nouveaux et les plus approuvés. Office, à l'ancienne résidence de Melle. Margue rite Chréitien, à Opelousas. N. B.-Le Dr. Pilate se rendi-a au domicile des personnes qui le feront appelé pour les besoins de sa profession, mais les malades tronveront un grand avantage en venant elles-nimmes se faire opérer à son office. Opelousas, 28 Avril, 1S.3-la. WM. A. MORIARTY, Crieur Public. O FFRE respectueusement ses services aux habi tants de St. Landry et des Paroisses avoii nantes. Tons ordres peuvent luf être adressés en mains, aux Opelousas, ou à Sandoz & Meynier, au Bureau du Courrier des Opilousaue. Opelousas, 25 Novembre, 1854.-la. Chazmpagneo! Clhnsupagie ! ! jg f Paniers de Chlampagne, tout S]'<f récemment reçus et directe meut de Aï, à vendre par DEBAILLON & CARRIERE. Washington, 11 Août, 1855. A Vendre. * U NE domestique de maison de choix, I S àgcc de 28 ans, bonne cuisinière et 1 très bonne blanchisseuse. Pour les particu larités, s'adresser à E. Bercier, aux Opelou. sas, ou à J. B. Pollingue, au Grand Coteau Opelousas, 22 &ept. 1855. A. LAFOREST. A. DESMARE. LAFOREST & DEBLiAL-E, Marchands Commissionnaires. No. 29, rue Bienville. NELLE.-ORILLéANS. 18 Août, 1â55. EUGENE BERCIER, Collecteur pour la Paroisse St. Landry. Bureau.-En face la Maison de Cour, dans celui de MX* Martel & Hardy, avocat. Opelousas, 18 Août 1855. SSACS DE BLE NOIR, à ven dre par DEBAILLON & CARRIERE. Washington, Le., 13 Octobre 1855. Hotel St. Landry, GRAND COTEAU. L E soussigné ayant pris la direction de l'Hôtel connu sous le nom d'Hôtel Kossuth, et tenu par P. Rogis, informe ses amis et le public qu'il pourra dorénavant re cevoir les voyageurs q(lui daigneront descen dre chez lui. 11 espré par ses soins mériter une part de l'encouragement publie. Grand Coteau 8 Sept. 1855. Sm. A Vepdre. LA. maison et le lot occupé par Mr. Ayrivié, formant l'encoignure des rues du Marché et Bellevue, ensemble avec un lot de meubles de maison, ustensiles de cuisine, un lot de Groceries, un lot de livres et beaucoup d'autres articles dont l'énumération serait trop longue. S'adresser pour les particularités, à E. BEIICIER. Opelousas, 22 Sept. 1855. A LEXANDER, esclave appartenant an ciennement à Martin Donato, décédé, et qui est émancipé par son testameut, a in tention, par la voie de Meuillon et L. Donato, ses exécuteurs, après trente jours de publica tion, de s'adresser, par pétition, en Novembre, 1855. à la Cour de District de la Paroisse St. Landry, pour être finalement émancipé par jugement, et fournir son obligation avec urité, afin de pouvoir rester dans l'Etat Louisiane. Toutes personnes ayant des atious ou des oppositions à faire, les p B ont avant le jugement final. Op 20 Octobre, 1855.-5f B. A. Martel & P. D. Hlardy, . rt o c a t s. A YANT formé une association pour la L pratique (les lois dans toutes les af faires d'une nature civile, offrent leurs ser vices à leurs amis des 141nc et 1i5me Districts Judiciaires. Bureau aux Opelousas. Opelousns, s Avril 1,555. TEEïCDC^E i." S-OIlT,' .Ilrocat cl Juge de P£afi.r. S'OCCUPERLL pilolctiellqnimnt 5 é ! ti" l1u cf S f.aire.- C ili s aornt con;fi ý à seV oi , * l nc Avocat, dans les 1411 et 15mine District. Judliviairis et conuie *Tig e Paix, dans le Preiinn.r District lde la Paroisse St. Landiv. Son Iumanll est aux Ope'osas. (Opelousas, Février, Ii;5.-lan. JOIN F. M?'recan. Nî.t.mA M IiiN. Morrogh & 1Mouto-n, AVOCULTE-, J XErCIIPERONT dans le -ioPi-rict Leur Unreau est à Wain!u, Le. 3 Mars, 1i55.-l;ni. IHenry L. <;rland. Loii l;,tr;nes CiIILSI & LM STS Ii'S, E XI N ' c 'j iONT leur pi firn lai. . le dil rentes (l'ur.s du 1 '. ri Judiciaire. ILCur uani est aux (I!:U;el I. 23 Février 1855.-la. iftenimiiter et E(î~e (fl lE VapCt'( Stli~:t S(V Fe! au I Pelihrk-orn aux (Ieua.,ou au Li. :îau de Cuit' ï-ptol- JCî cir it Cua.- a. OPELO US8AS, FFBE So: aux~ ti~r lialîtai (u Li 0 'îîeî ail îdry. ~Se prix Surmit îîîoé t2 ur du C'OM PTANT o"cn'. <plua J ui i PS5,. la. L.L. î;oufifi, Crieur Pubtïlic, )FFRI ses servivs aux Adminisitrateuirs tir 0 aux ]E.oaîtîîtî. et ai ul (le, Cett en a qulitéde Crieur. Il sera tue f-r'duuu. 'ica-vu. O FFRlE sos Services ail publie. Il s' rendrau par touît où il sera ajpltl)Ï, et Sert(X a itli scu citrepetuses et mmioduué dans ses prix. Il regrattora et revenrateu les vieuix îinuîîll, ut ut-ya ein Ui mt 10, tout ce qui concIIerne les direrset, lutancies, de sus mnétiers. JYuhu -Aux Oîuu!,mscsL Oopl cuis, as îir, l185.-la. A VyNEN IlE, D El'X ALAMIICS presque neufs, a .ii vec leurs accessoires respectifs; l'un de la contenance de 75 gallons, et l'autre de 30. Pour les conditions, s'adresser au soussi gné, aux Opelousas ou au bureau do cette feuille. B. I. SALLES. Opelousas, 20 Janv. 1855.-tf. r MME. MEDrCIS a lhon neur d'annoncer au public de cette Paroisse et de ses envi rons, qu'elle vient d'entrer en arrangenment avec un bon ouvrier horloger, qui sera toujours a son magasin, prêt, a ré parer et nettoyer les montres et les pendules. Elle a aussi un assortiment complet de mion tres et pendules a vendre, ainsi que de la bi jouterie fine et autre. Ses prix seront modérés. Opelousas, 14 Avril. 1855. A VEiNTD[, _-*.A UNE propriété située dans un Ê quartier agré able ct retiré de la ville d'Opelousas, consistant en un terrain, une bonne maison, cuisine, écurie, &c le tout en hon état. S'adresser à ce bureau. (7 avril. Victor D0nnel, ARPlENITE UR, a FITE ses services aux habitans de St. 0 Landry et des paroisses avoisinantes. Tous ordres peuvent être laissés au magasin de M M. Ney & Estorge. aux .Opelousas. ou chez lui. au l'oit Barré, et ils seront pronmipteient exiýcutés. Port Barré. 0 Octobre 1i'.-la. VENTE PARLE SHERIF, E TA T DE LA LOUIS!A \E. André Deslhotel, ex., &c., COUR1 DE DISTRICT, V.S. >Pa]0oIs?. ST . LnaritY, DoniDniiine '. Sitlig, No. 3'22S. E N vertu d'un writ de fi. fai., lancé dans A l'îff;iire ci-dessus intitulée, par la Cour de District, dans et pour la Paroisse St. Landry, et moi adressé, j'exposerai en vente publique, pour du comptant, devant la porte de la Maison d( Cour, aux Opelousas, le lor Dcenihmbre prochain, 1855, coniinetiant à 11 heures. du matin et continuant de jour en jour, s'il est i eessaire, toiîi- le., droits, titres, intérêts et prêtentions de Domniniue C. Sittig, à la propiiété suivaniite, saiie pour satisfaire le d(lit writ, à savoir: Un Ilet de Terre, situé dans la villo de Washiing tonit, borné au Nord par la rue Dejean, aitu Sul par la rue Dupré, à l'Est par la propiieté de O. Iliukliey et à l'Ouest par la rue diu Pdôt (Bridge Street). J. B. DAVID, Shérif. Bureau du Shérif, St. Landry, 27 Octobre, 1855. taxt be la ROnîritant. COUR DE DISTRICT , o 7576 bis. PAROISgE ST. LANDRY, Succession de Jacques Lastrapes. H ENRY L. GARLAND, do la Paroisse St. Landry, Administrateur de la Succession de feu Jacques ]iastrapes, décédé, dernièrement de la susdite Paroisse, ayant présenté un Tableau de Classification des dettes de la dite succession, accompagné d'une pétition demandant l'homologation d'icelui,-Et attendu qu'il a été fait droit à' la demande de la dite pétition, par ordre de la Cour susdite, en date du 26 Octobre, 1855; En conséquence, avis est par le présent donné anx intéressés dans cette succession, d'avoir à déduire au Greffe de la Cour sus dite, dans les trente jours qui suivront la date du présent avis, les raisons, si aucunes ils ont, pour lesquelles le dit Tableau ne serait pas homologué et l'administrateur au torisé à payer conformément à son dit Ta bleau. A. GARRIGUES, Greffier. Opelousas, 27 Octobre, 1l55. OUVRAGES TYPOGRAPHIQUES exécutés avec promptitude et netteté au Bu reau du Courrier des Opelousaa. T ot t]oýa es'lîntt il telle sont priés Ile les pr&vrnter dants lei, ttj bref délui à M. pi,111 fii e tlt ilû lu 1 ,11_ rc-lu du Je rt t e C.Clix tjuIl doivent à ladite V' cîta' iL. f.1tîsis nur pm er ent îe iem iti is (li îur1h ]li, s'ils vc1Ilît:t (,' 1 1- i 1 .,iý i 1:,A (h P lîî 1:0 DEBAIL~LON & CAPi'1M NYiiitttLe. 13 (ietolt.e 1 A U X ItBITUA 1'Tý Elti., ii arlèef auxI~ I titîti Jo '12 1t - h~~~ ~~ SIS I i a~ ~ ~ ~~j îla ,,-i ?: ttI:ttt ti detitî , 1 l m lh i 1u ; t -, I ; t Il ;!I r I t titi t t( l Ti t!ý tS ji ltl C( illw iti irtl ir l out -it 1i 1i ( (1lt:ît:îî (llie i F Iý t*W ', vi 111 11t4lîî a-ui (lit --l maitlle, ct ii s-I!-- il --- nr de )t i ir , 71r 1 ENNI: Nil< "& îN b-ltca1u- t' ili-,.t Ma(I' iîiîli>c.ý l d tant. prii1cipabl cut i .tj1 P)ttiuidos, »Jeî - ,n Chaunssures ?(i; Dioies( tt IJ < Ilablilleilienî.s "- titi o illies lii 1 SeIIîrie. ke.. qu'l. v~ ]t(lbl <lit ài bon nitrilte (i t ii li il i (,!te Pit roisse, et à des ooiAi 'ion<is <<t'ii.: s.u 1 ~t tif 1< que :-.-.J:cinna4s Wrègt c iuOc *î lu bradée et qt 1115 lt1111 Sunje-l e nient de Brids1rivs Xîttii -e et Fi .i I1Ç<i isun assortintiett die Wot. dui iou <ti' i(<téi lin ,nés poîur Jîîîîîuî-e Jo tmÉ tu l An 1.îî il .t à~ la. derniècre ii t'o1 ' lu de 1;i ll et Pa>;intaiîts, qu'il ofitxc à Velndre dis prix très inoulér5t. F. lIA LFI. Grand Citetmui, '2l Avril. 1S-5.-îtf. nîioniî Ysi L-,l 4 etrtî un g~randî Cheval àit-rtta~îit une ecîatrlitsn Jt«ue sur ij ei;l e îlu derrièr. causée par le trait. La pjersv<n'î qui t-atniiicr: cet dit it: Citez Milic E'st ilt- et-r t mie rcéel'1p -r ýc de 8 /î-i7/o. ,';-. il, /ît cii//t- C/1. (. Opebisas IlArfit, IS <é. 11, i1-1ic t-f infoim-m que lit niort (Ir MoNIuîsr. .1. X.l1lc îî'aipIm:te illeuli chaugemient dans la rnmiý7nn (le eomncrce diý J. Bl. Bellocq & Co., et conf4)rnicineît.i là notre acte de société, nous continuerons L-2 ailaireq ile la IItu, maani sou -ms la îiîûie rai.son sociale J. B. oBello4q . -(C. 'J I. BEIÂLOCQ &Co A. 1'. Bnîs ANS et poiîr lat Paroiise St. Laclr y. Tuîîj Orres a, - lch z hj ciu ail lîIII.ail di: Couriecir seî mii pr mivp4trni'? t e-Xvigeiitr. Opeliî'sas, (ot)utire. t.; T FNTI par Mnir. flîarest constammencit niz 1'Lrt p4ou[ 1.IrcpVi ls Oigi et dutA Soci(té Coinminci dale. L ES soussignés ont auudbtfiirrné" un- socié tésosa.x nil ix ChAMP W it I \-das le h'<o- teînir lin mtagasin de T. C. n1ror&(o a'\.5 ington, lia. ( . ILi,1AUHM, lIEZEKIAlI IIAYS, ARPENTEUR DE PAROISSE. SOFFRE ues cirvices conime tel à ses omis 0t oiu p'ublic vii "!r;l. Son Ih aiiir t i enl coignure il(- i;es de laCour et iu Sid O. uss 9 juin, 1 IS.-a '" LE ŒCTJP.-PIEE aid le Sumedi pn i JOEL H1. SANDOZ ANDRI1 MEYNIER. Le prix de faboîrernunt of dr rn s pistras pnr an, payable (lavance. on qi-ATKI onistres uivyable à la fin de ranîné. Aucun abonnnft:orn ne sera reçu pour un temnrf moindre l de dloinze tiinis. Aucun !;i1 !n ntî ;; sera discontiiinu avant que les arreraees ne soient payés. Lesa onmr,.(s iiii voi;droni arrêter leu alnoireineint devront 'i ionier avi'. p,îr ,ri. au inOI!S uln mnois avant le t tinn de leur %ro-ni[ent. Les avis -' iur nt il la ;l re ivhi . sa voir-Lts avisquiii xn'rxtfiiiIt pti v rn 'nr il" e' pace de dix lîi 'es. sm juai nt mine piastre! inî ri lil première insert ion. et i;ii iil.- c . i |Is însertion sivaitte. Lesavis pliis(ii is riiir pi:t ) meme reègl. Tout a is. o rrrni qj i'i 'n s"it aif*rimint mm donné, sera pubLi I franiçilis ci n anriglie. iSij'! ce qu'il soit retiri. omi j;usm'i'à ru <it les éditerii ju gent àpripis dle e rlirer. Les a is oni mi i;Ni;s.is ;ironînç a ii candi dat se paiiriit ii ii,ist. ~. . .iuviie. Leslettre mioii iuini ionis adiaresseesauxidi teurs devruatetrcs aîfliachits.