Newspaper Page Text
NOS AGENTS. Les personnes suivantes sont aiitori.'cs it collecter et à recevoir des souscriptions et avis pour le Cuu'-. ritr d4s Opelousas, daus lwus villages respectifs: AUGUSTE MARAiSr, St. Martiniville, Le. ArTiiUR B ULLIAISI, Pont Rreaux, Le. A. MILPrsPA'UG!IT, Was.ilington, Le. E. E. CocuiR.Ns, Ma.krith, Le. 1IL 2-L U S* E. ATE2î, I« ret»FftWs Polir 1rg il e D EPLUIS longtemps il est à dé-sirer que r;(i'un puesE coiposer uinpî4late purgai' vi i I si être recoiîritMid6e daw ses <l pîiit s 1 tif', eiîcourir defunestes rîulîtt-. I.. '' i u ti.i t- J tre coui et du.i expéih'C' ioinbrutiSes out fl.ir cotina l vetu, et le gstccèas hÇ' irfl -'es r>eùî 1 tats. Il est i4csilu de fîiidrtuî pilule pt i C; maias il est d'autrltif4ns diffieile d'en fi.ie e> èf ilunisO les bonues sqialitds de Ioules les auties pilulea. Lus piliuli.s d'Aper ne cause:it ii dualeurs, »i iiaiot , à rinsj que cei resulta-ts lt p!rovie-i!nl de dj.a;e; mens de l'rtonmic et dv iîte.ti'. Ettii.t pu:eiiet végétale, on n'a pas à craildlie de '"ehcux résiitAts par la trop grande q a:tts quc l'on pourrait prendre. De uiwaticu-'es directions 'cîcomp;gg»e.s la boîte, <quued on s'en sert pour combattre telle ou telle aut e malaidle. Parnmi lesa aladis chez lesr)ùel!e ccs pi luies .ont opéié de rapides cures.lousnentinnero: la maladie des fuies, dausses diversed for 'ns, la jaui iisc,, l'idigestion, la langueur, perte d'apétit, ii ta;tsio de caraotàre, luaux de tte bieux, fièvres à frisspnis et bilieusçes, f&avx de reinus, car api ùs tout, ces diverses maladies souit une suite naLurielle du mau vais état des foies. Comme apptiitif elles sont cx cellentîo, bt*t*mtent un oiulageimeiit pronipt dans les cas de coixstipation, hémorroïdes, colliques, dys senterie, humeurs, scorbut, rlhumes, unch;es, et impu reté du sang;-, en un umot, dans toutes les maladies eU la purgation est udcessaiie. Elles ont aussi produit des cures extraordinaires dans les cas de rhumatisme, goutte, hydropisie, la pierre, érysipèle, palpitation de cOur, douleurs de reins, de l'estomac et de etd. Elles devraicît être ad"inistries fiéquei;nuent au pliutemps, à l'effet de put ier le sang et préparer le corps aux chlangemeis des àisons. Ene dose pzise de temps b autre sti imule l'action de lestomac et restaure l'appétit et la vigtSeur. Les cas nombreux où il est convenable de prieidre dea médecines ne peuvent ôtre éiiumira ici, mais ils se suggèren.t naturellement à l'idée de chacun, et il est presque certain que les pilules de Ayer sont ce qu'il y a de plus convenable. Quand leurs vertus serout connues du public, on prendra ces pilu»mAde préférence à toute. autre pprépattDo mé dicinales. Eanit enduites de suere, elles sont faciles à pénamre, et étant composées de matitres purement végitales, on n'a pas lien de craindre de fâcheux ré sultats, même en en prenant de fortes doses. Pour les diieotio"otaillues, v(ye i'euveloppe qui accomnpaguujXe u o Elies sont prparées par le Docteur JAMES C. AYt, ' ChÉstè, Là Iwell, Massachusetts. Prix, W5edùts'là btoîte, ou à boîtes pour l1. Chérry rectoril de Aycr, POCE LA OGUERSOS R.APIDE DE LA TOUX, DES PUIVIrUES, 4»'El"qUE5tE=NT, DE L4 COQUÇZLVUÇDS, DU CPOU.P, ý7 ïïl'atTftrM ET DE LA coN<sOMPTIos. Ce remède a acquis une telle célébîité paoai cu res dar 1% maWjlts pitoas ù est inut lede r~epoduire ici tes nombreux ténmoigna gesaccordésb cet effet. Son domaine bst si étendu, les cures opérées au moyen de ce sirop sont si nom breuses, qi* am* pri e«,,ietoelee e4 ito s eetsO tre vaste rvÈwyb6riL&A des à«persDoes Wmtables-4ui out114 itacuéee d'une Rsanté précaie, et rétablies d'uqnemàiém presque miraculeuse. Au premier ed sai Wmdcouvre en ces médecines une supdriorité incontestable sur toutes lus autres de ce gesro, wipé riomii6 qutne peut échapper. robueryauoie etd4es que tscsymm-Bsont conii , le publie sait où- tOmwer m» remimaiêu pumecowbatre lits diveraesaffeetibims pulmo iirire auxquelles on est ixijet dans ce climat. Il eat& boin, (dçbserver que dans les rlàumqq, Ici toux, l'e1 roulmmn^ et une lufinité de maladies semblables aux qm.eBè éout tinets les cnfans, ces médeciues sont ex celleatm4s- BÛr« et âete« 1 prendre. Comme on fait depuis longtemps un usage cons tant eu pé wu1enS zA cote'sectio du deya, nomes ne e«tyioa dfvoîp rlën a5outee- sinon qtA ces 'ilukes conservent parfaitement leur vertq, et sont tonjours aussi efficaces dans leurs effets qu'au jour ouàlles Bç?r teut de liboatoli e. Les vraies médecines deLyer 'oat vendues par J. Po..v^P4AB E^lnw):4 Co à Opelosmsps, .1. 13k. Polliogue, au Grand CCAeau, et S. 1). Allia, à Wash ingtoo. [5Janvier 185. la. , jejit%ç JPublliue. éuccessim, de lypolite Cormier. L <iiî?pmdîte»k.ar JeiprM»Et. aryorti qu'il sera uffert en veut. pi;bUkqte ag pa - offroj4 ederuier içhçeseeur, par ta ËouS8' gnêe, tutrice datiede ses eintts mÎinegrp, à rusidewe d Dm^prélou MayCr, sur le B a yott tjâcÏt^ près de la jonç4ioo en çette Pia riTO ^ ,Je^'",' .' ,. .. ... Mar~di, liè jour de Mars prochain, 186,lee pr9pné té&a ci-doSius d"orites, ap? pai^«a*g a a la a uosuioa «a oogwnuunatté iMtt((ft ant^^l3ïy»yet sfes onfps smda.evr;f ia^ en çi»<,a? aveo Hypolito Coriuier, déd ÀM4 8exk dô la Iearoias« eaintu la MI iaMB es MII Ilàtô o6n't (eiwn têtes& de Bête» ^^ nOùi^ie*qh.^ énvira qt^ ... tes . ..tes . c.ç. tti ^ 4k6ble, une artûoe- e, V9Q OQ l OII)Btf«XRfdtHGEBCw^f laquib . Nât^ I ekBWl^^*^ BBfctRl^P^B^B^ J, _^S V ,#TE ##LWiQlJ Par le soussi,é Encantctu deafs et pour la Praissert. Landry. \E publW est par le présent averti qu'il "sera 9ûPdueea^ïenté *iliquc, at plus 'ffrint et deruîler buchéri&dur, par l6 : uus;igné, Encauteur Public dûment comluis sionne, sur l'habitation ci-dessous désignée, se, uta:t la dernière réasidnce de feu )ame: E'iîlie Barré, veuOve déeédée de feu Jou.S'eph Giradenigo, ausi decdé, Le Samedi 15 Mars prochain, 1856, kleï propfi'¶lt(4 sivantc, dépendiimedesaftEe-! ce'tiyou de ladit depc E:ulîi3arré, savoir: d5riiroe rtsidcce de ladite d sun ituée, esur le Baou Téche, diu la su-dite Paroisse St. Landry, ime.suraniit troL-s ii penlts de face au dit Bayea, sur quarante arpents do prufun deur, hor:' au Nord patr l'habitation du M jor John Clse, au Sud par celle de Jo ;cpa M. Carrière père, à-l'Est par des terres publiqueic, et l'Oucat par ledit Bayou TAèche, mO.aiuble avce toutes A LES lBATISSES et leï autres améliorations qui y Ssont Lituées et qui en dépenident. 'Terre Boisce, situé sur le Bayou Courtableau, en la Paroisse St. Laudry, mesurant dix arpents de face audit bayou, sur quaran te arpents de profondeur, borné au Nord par ledit Bay ou, au Sud par les terres piubliques ou pr celles de JosephL M. Carrière père, à l'Est par la tWrre de Jonathan Harris, et à l'Ouest par leà terres do Charles CloseC et Va lery Mayer. LA MOITIé INDIVISE DDCLN situé dans la ville des Opîlousas, borné au Nord par la pruprioté de MIc. Marguerite SMcDonald, au Sud par une rue inconnue, à l'Est par la propriété je M. Jolhn 11. Over Ston, et à l'Ouast par la; rue de l'nion ou de l'Eglise, ensemble avec la moitié indivise des bdtibtes et aciétiorations qui en dépendent. 12 ESCLAVES ci-après dJérits, savoir: Frauzin, muilâtre d'environ 27 ans. Bienvenù, mulâtre d'environ 25 ans Marguerite, négrebse aeo d'e'vircn 82 ans, avec ses deux enfans, Prin ce, négrillon âgé d'environ six ans, et Mélite, négrillonne, à gée d'caviron cinq aus. Franaç9ioW loyi 4'pirqt 12^ 3s. ]idy, négriyoune âgée d'enviroi 11 ane. Jea), muilâtre âgé d'environ 14 ans. Mar, négresse d'environ 50 ans, ratience, négresse de 60 ans. * Marie, négresse, de 50 ans. Priausse, nègre de S 1 ans. Environ 15 têtes de bê tes à cornes douces, 2 Chevaux, une charrette à cheval, un lot de cueillères et de fourchettep en argent, lits et linge de lits, meubles de ménage et une infinité d'autres articles dont l'énu mération Ëerait trop longue. Conditions:-Quinze pour cent sur le m ontent de la vente, payable comptant, et la balance, payable à un, deux et trois ans de credit, à eoppter -du jour de la vente. Les oquéreru burhissant leurs billets avec bon tes et endsantes eautious solidaires à la sa 'il tisfaietion de l'Admiiistrateur de la succes 0 sion, et toutes sommes portant intérêt à rai el- son <le huit pour cent par an en cas de non à paiement à échéance. Et en outre, les terres - et les esclaves demeurant spéWialement hypo th.lièquas par privilège jusqu'au paiement ré el et effectif du principal et des intérêts qui , uront pi s'accroitre. p. Lesdits billets seront faits payables à Chs. té Close, Administrateur de lai succession. -t A. )EJEAN, Encanteur. , Opelousus 9 Février 1856 it. -, --- , - ,--- gieu!, Pieux ! ieux c !!î SU N beau lot de pieux d4 16 et de 9 pieds, L àA vendre à bon mnarch pour du comp tait, pir FONTENOf & LYONS. SWaÀsington 20 Pm4. 18W 4 A Vendre, ST iOa sur' « Jrle, Bayou i~~~~~~ '*' '|t®ÀllB 'aèieit étbi ase: soaion de résidence et aentreè, ainsi que 800 m ineis de U-l1 terre doe oypsièe, eur laquelle Syi 2000t-.gs prêt etrew mia à Iftaisbn. 1!dFttriî, I - At'S :-i-ne Bell résidence, au centre e' do la ville du Grai.& Cotpauniaison de ré Bh ijdence et cinq btfisen deadeires, citernes, h&e &<s, 4 dës teriries tïê0 acebuimodans. ' Pur les particularités, W'adresser à ' E. BERCIER. 9 poues8 22sept. 185e. - arils de Chaux de Thomas bon ordre et à vendre » OARRIE1UB. LE aeotseiaau «mrvaau ê* la , ! deqg btea, son njàgdiique as sortiment m4obi us À dernik a,5ode - d tou t, J nat, B e de ai r eas ies, de r oewte sa s et au i . hapeses, ObapBw» f&a# eO dnt r i ; B M u et p nfî6ts iw l ulhtiw e rfao^tm uL aeeto di^»(wj ein-a!G»xa iet^Js»sanoe-e |eaHrtineileh «i edled au- Pw a= ArMy< tBv IoN â>ugai n ti! 41tse.tnaestes,' an î,v p'^. dy.i thnjist mu du 0.Coorzr dea Opes!ouMA. EINTE PBIï< . Succession de feuiHirainie Chapmnian. SE public est par le présent averti qu'il sera vendu en ventepublique, au plus offrant et dernier enchl.' eur, parua En canteur dûment coumniissloné, à la réidenu ce du soussigné, à la Graire Prairie, eun cette Paroisse, Le mercredi 5 Mars procihain, P5i, les propriétés ci-des.ouus dterîtis, dcpA::d;;t 1dc la succa,*in en coi auîeAité entre Au gusti!i Jiucut i'noueîot et lem i euns et h-i ritier de likaine Chipmau, son époune dCeé dée, savoir: QUATRE- VINGTS ACRES DE1 situtés à la (Grade 1'1aiike, en la iiiue Parois se de St. Landry, borné an Nord par une poitioa de la terre de bois qui se trouve en eoniimuiautt entre le dit Auguostin Jacquot Fiouitnut et tus héritiers au Sud par Josephli BéLair Fontenot, à l'Est parla Veuve Javid Young et à lOuest par Auguste Bélair Fou-1 teuc>t.I QUARANTE ACRES DE Terre de Prairie. situés dans le même quartier, bornés au nord par les terres appartenant à la d'o coiunu nauté, au sud par Jn. Btc. LAfleur, à lFet, par Zénon Pierre Funtenot et à l'oucet par Jn. Bte. LaflOur et la veuve L0ziu LaIleur. Louise, grin'< c, âge d'environ 14 ans. Silézia, xuulatrestie, '' 1 I aiis. ; Sii:e, uîiatres.e, " 33 aus Un lot de Moutons, (environ vingt cinq têtes,) 2 beifis de tire, envi ron 15 têtes de Lêtes à cornes douces, environ 15 tètes d(le bes tiaux de vacherie, un cheval de selle, une jument américaine, une jument américaine avec son pou lain, un poulain, une charrette à bœufs, une calèche. CONDITIONs :-Payable à un et deux ans de crédit, à partir du 15 d'Avril proclpin. Les acquéreurs fournibsaut bine et sufil saute caution, à la :atisfaction de qui de droit, et de plus, lus terres et les eselaves doueurant Fpécialeinont hypothéqués à la dite succeàion jusqu'au plein et uentier paie ment du capital et des intéréts qui pourrunt s'y accroitre, à raison de 8 pour cent par an, de l'échéance juqu'a paiement. AUG. JACQUUT FONTENOT, Aduiaiiisti aicuiu. Opelousas, 2 Février, 1853. AU PUBLIC EN GERERAL. f L circule un rapport par toute la campa gne et à la Nuuvelle-Orléait., que le steamnier Mary Bcss est un bateau qui offre peu de sécurité, et qu'il n'y a pas d'assuran ce sur lui. Je crois de mon devoir de coi.t.e dire tous ces rapports et do taxer l'homme oun les hommes qui les fait circuler, comune des infâmes micnteours. Que l'on vienne voir nos papiers d'assurance. JOHN LYONS. Washington, Luc., 2 Février, 1856. Hlabititioni a Vendre. S tUne Habitation située à neuf S milles des Opelousas et à sept 0 milles de Washington, contenant 1300 arpens, dont 600 desquels sont bien enu tourés, avec une bonne sucrerie, moulin à coton, magasins à malis, écuries, cabanes à nègres, tous en bon ordre, ainsi qu'une ma guifique maison de résidence à deux étages, ayant 70 pieds de face. Cette habitation sera vendue à bon marche et à des conditions libé rales. Pour d'autres particularités s'adresser à Mandeville & Mellhenny, à la Nouvelle Orléans, à Henry L. Garland, aux Opcluu sas ou à Evte. Debaillon, à Washington. Opelousas, 19 Janvier 1856. s3 0 SACS SEL, venant d'être t W ~reçu (t à vendre par DEBAILLON & CARIRIERE. Washington, Le., 19 Janvier, 1856. HENRY L. CARLAND, EXERCERA sa profession dans les diffé rentes Cours du 15me. District Judi ciaire. Son bureau est aux Opélousas. 23 Février 1856.-la. u "~ a SJouH F. MoRtnomn. WILLIAM MOUTON. a Morroghl & Mouton, AVOCATS, BEXqXRCERONT dans le 15me District eA Judiciaire. Leur Bureau est à Washington, Le. 3 Mars, 1855.-lan. RIGISIN DE GROCERIES POUi FAMIILLES. No. 23, RUN BAaomsE-NLLIE. OLEAIss. E. L. BEUCIER, Agent. A constammejit eu mains un grand assortimenut de Groceries de Choix, Vins et Liqueurs. 1l Mars, 1855. CIIEVAM EPAVE. IL a été arrêtd peudant le cou Srant de ce Printemps, sur ihabi r Ltatiou du Juge uvrtoni, et main *ena posea>onpèrs des j»n 'Cheval bai clair, , d'environ 14 hauteur, avec trois , pieds blanes, visible. , En prouvant Ml prop en payant lés frais, lecheval peut -étrn -- pelouasQ 12 Mai 4855. VMNTE PAR LE SHE , -TA i DE LA LOUISIANFIA aihaa Jarvie& Ço., o C irdeDia - -;*.; v.- * *.,- ...{.Fareisap St.LaA , Jaeqae»Araudadala, Nu.a31Ï. U QN rta d'un..writ de fi. fa., lancé dans Siades intitulé, pr la Cour ' Bser»,î t eni ventepubUqiKi, pour d'àlXt,àl de CourAçé nt?6iaB, *le 1er l<erafljrods''' 1856~, comwsça S- sî. ànalu, et otuaut'de $i o r enJuor, aeBlceaire, tous le droti, titres, itrêta et pqz$Iomâ 44aciquea Mnaud, admir. & ais., dans et ',au 1psppdél4s suivantes, saisies po;r satisfaire le ^dit,»^»,^»»^^.iui et'.,:.'. l "rtaua UMoirceau de 'ter, contenant cent Suiw apet de msperlci lus ou mois, borns; :au ^ de la terré apa despjremént à la y ques Arnad d pe Bayou usé- - ( pes AMe» et Jacques Âmaddeo au ifn, eanée 188. Xcept# le p a-`lep ,MMi, à atoir: NlDex"a ce eB g eak adeý deprofoeuff, - B6ée au BSd par de lia s. ds eudwat, k Ei pà un grand foseb, à 1 r 4ae p k terre a Tendeuîet sa Sàd par le Borusa du S ÉÏY PAYEZ VOS TAXES ! - 'Al mainutenant en ma possession le Ta ' bleau des Taxes d'Etat, pour les années 1 l4 et 1855. et suis prêt à recevoir ces dites Taxes à partirdu 25 Février courant, 1836. Pour la com ;rodiié des Contribuables, j'enverrai M. Théodose Chacher, l'un.de mes Députéis, aux lieux ci-dles, sous désiignies. lesjours ci-après fixés, entre 10 heures du matin et 4 heures de l'après-midi, atin de rece voir les dites Taxes. j Je serai, personnellement, à mon bureau, dans la Sville des Opelousas. commençant Lundi, 25 Février courant, et .'hi<iule jour suivant (les dimanches ex ceptir) j.i qu' u 1-1 Mai prochain, afin de recevoir les Taxes d1e ceux qui trouveront pi us opportun de !es payer à mon àdrnau, l'expiration de' quel me i je laner(; i des GI |r e _ - ie coit.re tuua i les délinquants. Ci>'orrmcnîant aux Opelousas, lundi 25 février, et continuant jusqu'au 141 mai. G ros Chevreuil, 3ie arrondissemeniit, chez Jules MNi'tric, lundi. 17 Litais proc ain.k . St. Chiai lIs ((rrai;l-Cotuan), chez L. A. Patin, mari, 1S r mars prochain. Queue Tortue, 6me arrondissement, chez HII. C. Guidry, meucredi, l ina[u prochaini. Plaquemitine Brtile, jiuli 20 mars prochain, au ma asin de MM. Chark, Hays& Co. Poite-ouiiix-L.ouqi, 7[ie arrondissement, chez Alexat dre Daigle *veîuiudi. 21 mars prochain. Haut de Iiqueniii, chez Josephli E. Daiglie, saminedi, 2î2 imars prch.lain. Bois de Mallet, sine arrondissement, au magasin de David Guillory, mardi 25 mars prochain. Chez Joseph H. Mague, mercredi, 20 mars pre chain. Cliurtaignier. iiie airondi semeiit, au magasin de Jean P. Laqeur, judi. 27 mars prochain. Praiie Mlamnoa, 16ine arronudissement, chez Jo seph Laiiiciireaux, \ eindredi '28 mars prochain. Vieillu Grande Prairie, 1lme arronidissemest, chez Philippe Stagg. saiîedi 29 mars procliii[i. iry vii Rouge, 1-mne arroidissement. au ri.gaBini d>' Levi& Co., mercredi, 2 avril prochain. Bayou Dcut, 12mie ariroiJdissement, h la muisur d'ecruile, p-s de Ili;itiiatiuon de Thomas MtCrory, le di. 3 arril prochain. Si irr iiton, .me rirrondissemerint h la phanrnacie de S. D. Allis. samedi . avril prochain. Atchafalaiya, chez J. J. Morgan, lundi 7 aviil prochain. Rivière Mermiento. 18me arrondissement, chez Jack Wright, sanedi, 12 avril prochain. L. V. CHACHF.RE, Shérif et Coulltqsr. Opelousas 16 Février, 1s5G. BARILS DE MAIS à £ 10X r vendre, livrables aux 0 pcluousas ou à Washington, par D ÎBAILLON & CARRITEIE.R Washington, Lue., 2 Février, I86G. A VE'NDi R, UNE propriété située dans un Squartier îgruéable et retiré de la tville d'Oolcousas, consistant en un terrain, unc bonne maison, cuisine, écurie, &c. le tout un bon état. S'adrescer à ce bureau. (7 avril. A Veudre. lIT NE domestique de maison de choix, q4J âgée de 2S ans, bonne cuisiîière it Irès bonne blanlchiseuse. Pour les particu tar té1, s'adresser à E. Bercier, aux Opelou sas, on à J. i5 Poilingue, au Grand Cuteau e Opelouieas 22 Sept. 183. 3- INSTITTION IF11UNKLI.r 11 TIIEODORE VÂLADE, Pîuwipa!, Dr. 110ARE, Prqfesseur d'Aftilais. C ETTE institution aujourd'hui bien con nue, présente des avantages certains, sous le rapport de la culture morale et intel lIcutuelle des élèves. Il n'est jamais permis * aux pen./ioMiaires de faire la moindre promo iiadn dans le village sans être accompaignés. if Contdiions.-Patyable tous les trois fiwia. S Peuisiumnaires par année scolas ft tique compousée de dix mois et demi $130 -' Externes de 1ère classe 50 à Externes du 2mc classe, 40 à Tout trimestre commencé devra être payé, et il ne sara accordé du diminution que pour cause de maladies. ,a Opelousas 29 Décembre 1855. VENTE PAR LE SHERIFI E TA T DE LA LO UJSIAXE. James E. North & Co., Cour de District, vs. Paroise St. Landry, Mark W. Harwell, ) No. 7311. oe N vertu d'un writ de fi. fa., lancé dans rc A le procès ci-dessus intitulé, par la Cour de District, dans et pour la Paroisse St. Landry, et à moi adressé, il sera offeu t en vente publique, pour du comptant, à la Maison de Cour de cette P'aroibw, - le Samedi, 1er Mars prochain, 1856, conmiieitçanutà 11 heures du matin, et continuant de jour en jour, s'il est nécessaire, tous les droits, titres, intétêt? et pr'teieioiis de Mark W. llarwell, dans et aux pro priétés suivantes, saisies pour satisfaire le dit writ, à savoir,* . Un certain Morceau de Terre, situé à Bellevue, ï contenant 263 acres et 92-100, plus ou molis, borné à l'Ouest par des terres de Mlle Demise Bourque et Mme Eliza Dixon ; et le Quart Nord-Est de la Section No. 14, borii au Sud par des terres de Vatcheté BoutLé, à lEt par l'habitation sucrière du défeun deur, au Nord par une partie de la dite habitation suciiîre, par un morceau de terre supposé être de la ciprière publique, consistant en le Lot No. 4 et la moitié Ouest du Quart Sud-Ouest de la Section 13. Le Quart Nord-Oues du Quart Nord-Ouest de la Sec tion 24.-Le Lot Un ou Deux de la Section 24 et le ;t Lot No. 8 de la Section 13, Township 7 Sud de la Rlangée 3 Est. t. V. ClIACHERE, Shérif. Buseau du Shérif, St. Landry, 26 Janvier, 1856. VENTE PAR LE SHERIF. ETAT DE LA LOUISIANE. Louis Chaudet, Cour de District, vs. f Paroisse St. Landry, Euegùno Laperouse, J No. 4539. a It b N vertu d'un writ de fi. fa. lancé dans _WÀ le prodés ci-dessus intitulé, par la Cour de District, dans et pour la Paroisse St. Landry, et - à moi adressé, il sera offert en vente publique, pour du comptant, à la Maison de Cour de cette Paroisse, le Samedi 1er er3s prochain, 1856, commeuçant à 11 heures du matin, et continuant de jour en jour, t- s'il est nécessaire, tous les droite, titres, intérêts et prétentions de Eugène Laperouse, dans et à la pro privté suivante, saisai pour batLafaire lu dit writ à Ssavoir :- , Un certain Lot de Terre, situé aux Opelousas, S Paroisse Sc. Landry, sur la rive Ouest de la Coulée' Te«son, désigné sur le plan de division en lots de la | g terre appartenant à Lastrapeg, fait par Garrigued i Flaujac jr., par le No. 43, borné au Nord par le No. 44, àppmtrteuant au Dr. Jewell, au Sud par la coçti-, .uation de la rue Bellevuè, à l'Lt par le lot Ne. 69, - aussi appartenant au Dr. Jewell, et à l'Ouest par la rue Chestunt. L. V. CHACHERRE, Shérif. Bureau du Shérif, St. Landry, 26 Janvier, 1856. 84CS DE' SON DE BLE, â 'WSya vendre par ] MDBAILLON & OARRIÈIIE. n, Le., 19 Janvier, 1856. VL ---i. -oLw -'ri LB "' '^f'3' COLLEGE, ' A Wé4lV.Z-CO2W4U, (1i.~) T^SS par Ruivert, est coustamnumti ou * JL Tert por rla a des Voyageuru et des >famîBeg. ^ Graud-Coteau, S 4. EColeoter pog r Ia B t. LanAry. d ueaul.-Marefa 1^l| dje Cour, dans celui M.Mrtl& nar<3y;avTwBp 4 Opeloues,., 18 Aat^B,^ ' 4 /TTNE qutiti' * yiupi<(t, ^SwaCf, lits, i U &. p urnoe: éoele.. 6'*f.drejimnimj B eavade««.tt4 feamie. *<;"â Opelousa8, 28 Déc. 18&4.' --- * 1PENSIONNAT ET EXTERNAT dux Opelowsas. M R. et Mme. floy.aidlés par Ml le. Hoy et Mme. de St. Ange,ont l'intention d'ouvrir, le lundi, 12 Mars, aux Opelousas, une Pension de Demoi selles, de premire classe, oà toutes les branches nécessaires à une éducation solide et accomplie. seront enseigniées. Dans le cours d'instruction siront comprises les langues Anglaise, Française Italienne et Aile mande, ainsi que %a Musique, le Dessin, la Pein ture; tc'is les ouvrages à l'aiguille.ensoie clienille, &c., le Maintien, la Danse, l'Equitation. (Avec l'aide d'Institutriqes comnpétentes et sous I. surveillance assidue de la Directrice, 1.i Principale entretient l'espuir d'être soutenue par les habitains de la ville des Opelousas et de ses environus. Les prix sont fixés par session de vingt-et-une semnaine, payables la moitié au comiiimencemàent et l'autre moitié à mi-session. Instruction pour les élèves desclasses in térieures. - - - - $ 20 00 S' (~l de lère classe, 2.5 00 Musique sur le Piano et la Guitare, 30 00 Le Dessin, - - - 15> 00 La peinture, - - - 20 00 Ouvrages à l'aiguille, - - 10 00 Le minatien et la dance, - - 2 00( Equitation, (par leçon) - - 1 00 Pension, - - - - 60 00 Mmne. de St. Ange ayant contracté ni; engage ment aitérieu:e avec 'FEcole de Mme. HIlenri. à Natchez. ne ,ourra, pour le présent, ae join.'e à notre Institution. Opelousas 10 mars 1853. AUX âABIlTANTIS. 17 sousuigiiu acliète aux prix les plus éÀ elevés toutes les LAijNEs et PEAUX qui liii :-e,ýuut apportées à ,ou nmagasin, au Grand Coteau. F. ILALFF. d î.d Coteau, Le., 12 Mai, 1,S55. Paquebot entre la Nelle.-Orléans, les Oielousas, Washingtou et le Bayou Bœuf. P LE bateau-à-vappur fin marciieur ljý,s8!^et très élégant SYDIONIA. Capitiaine *LtvSTiVE L.O AILLLI iu, vet.ant t lêtre compl èteioent réparé, fera. aussitôt que les eaux le penrruttroit, les voyages réguliers entre les Opelou i sa,. Washuington, le lBayou Bouf et la Nouvelle Oîréuns. Il est bon marcheur, sûr, comfortable. bieu c<nstruit, et tirant peu d'eau. Les officiers porcroit toute leur attentiun à satisfaire ceux qui daigieront les encourager. Pour plus amples ini orîinations, s'adresser à bord. Cy- Le fret sera cIuirA à aussi bas prix qu'aucuu autre ba;itu duais la nweigulitu. 15 Décembre 1S.35. 13. A. Martel & P. D. Hardy, .lvocais. AYANT formé une association pour la pratique des lois dans toutes les af faires d'une nature civile, offrent leurs scr vice-s à leurs amis des Il4ue et 15me Pibtrijt> jJudhciaires. 1 lîurcau aux Opelousas. _Qclou-sas,_8 Avril 1855. A. LAFOUREST. A. DESMARE. . ....A...O.. EST & Dh..i.TI. ..E, Marchands Commissionnaires. No, 29, rue Bienville. NELLE.-ORLéANS. 18 Août, 1855. Maçon et Moliteur d'Eqiiipage. L E soussigné informe respectueusement tous les habitaas qui désirent laire monter ou réparer leurs équipages. qu'il se charge des dits travaux, et sollicite une part dii patronage public. Il croit que tous les travaux faits par lui peuvent être comparés ; PliîtaeeiBsenient avec ceux de tous autres ouvriers dans l1'Etait. Il peut fouriir de bonnes reconinuan dda ions à cet enlit, si l'on dés-ire. Il e-t aimilier avec les détails du plan Ramos, et introduira cette amélioration, si on le désire, sans a fis extra pour l'ouvrage. Le propriétaire de la dlite patente a prouvé que par ce mode d"écumer la grande chaudière, l"épulie aiii5i que la crasse dispa rait entiUremeuit di jus, ce (lui n'est pas le cas par la niéthode ordinaire, et que le sucre se vendra <le un à deux cents la livre plus cher que celui fabriqué par le moyen ordinaire. Toute communication recevra une prompte at tention, en l'adressant à Evergreen P. 0., Avoyel. les. La., à GEORGE FITCH. Evergreen, Avoyelles, 1er Dée. 1855.-3m. nAGASIMiJ DE OHfiUSSUDS Pour Dames et pour enfans, à bon marclé. « . MME. MILLSPAUGII, a maijite nant etn magasin, un assorliuoeiit de e ýàMwchaussures de toute qualités pour dames et pour enfans, consistant en Bottines es peau, en satin &c., Panitouifles &c. &c.. aussi un as sortiment de Corsets pour dames, Aiguilles (le Hydes & Goodrich, Parfumerie, Articles de toi lette, Livres et publications de fantaisie.-Patisse rie.-.Musique et cordes pour Guitares et Piaîmos. Wiashiinton, 13 Octobre, 18535. IDTBLAIRTT DE 1nLLSPAXJGK, Mu trrait lîr bSoutr, Wa lit(inatoit. M IL. MILLSPAUGH, vient d'ajouter à son as sortiaient de librairie, une quantité île livres, Brochures et publications en anglais. qu'il | vexîdia aux prix courants de la Nîle-Orléans. Livres en blanc, pour maisons de commerce, Bu reau et autres. Il annonce également au public que sous peu il recevra ujne quantité de livres et publications lit téraires en Irançais, qu'il pourra également vendre aux prix les plus réduits. Washington, 13 Octobre, 1S5,5. Voitures de la Malle des Etats- Unis, trois fois par semaine, des Opelousas à St. M 1Iaîz in ville. PENDAUT LE JOUR. C ETTE ligue, récemment établie, quit tera les Opelousas, pour St. Martin ville, via le Port Barré (à l'embouchure de la navigation pendant les eaux basses,) sur le Courtablenu, Arnaudville et le Pont Bireau, pour St. Martinville, tous les Lundis, Mer credis et Vendredis, à 6 heures du matin, arrivant le mêmwe jour, à 5 heures de l'aprèii midi. Quittant St. Martinville tous les Mar dis, Jeudis et Samedî», à 6 heures du matin, et arrivant aux Opelousas à 5 heures dc l'a près-midi. |Le soussigné, contraeteur, a fait de fortes jdépenses pour se procurer les plus beaux jc/teeau.s, les voitures les plus cosdfcwtab/tcs \et des conducteur s obligeansa et ezpb-imen. ités, et il espère sur la générosité du public voyageur pour une pg1t dupatronage. Opelousas, 1er Décembre, 1855. T11EOD. DEVALCOUIIT, jEc.esxArruu' PCBI,IC roua LA rs.toaSB Sr. L.esuav, jSonu Bureau est prbs dlu Grand Costeau, et tous or dues biiasiés au bureau du Courrier seront prompte !ment expédi iés.[18 Aout 1866. MARCHANDISES FRAICHES. LT E soussigné vient d'arriver de la Nout Jjvelle Orléans, avec un assortisssent compleît do Marchandises de P>rintemnps, tels que :-Jaeouats, Barkgos, Mousseline Sujs.s brodée et unie, ainsi cqu'un superbe assorti ment da Broderiés &ugtlase et; Française, un asoeotimeiat de Rub.nuf dl tout«e qualités, un grand assortieaet d'&labiflemns confeetion nés pour hommes ; le tout très bien cboisi etr à la dernière moôde, Cbitéaux de Paille et Panaznaa, qu'il offre venidré & dles prix ttès .madérés. lê. 11JLk'S. Gvand O~ste- 21 ÀvrBil, 8~6&-t£f R1'nncs ^de Jum0^i;e-Pati, De toutes les dénosninmtie., réeemime~ntVii pnmése ved ^ii^ rh23 * '-*^aîf^aeja »:ï larcihaidiscs Nouvelles! 'OeS US» soussig,és vieninet it ouvrirr-, leur grari4 assortiment de Maurrhan..S Kdis&d .gotuune et dl'Hiver, con istaint i en :-Marchandises Sèches, Habillerinerits 'iiîec tionnés. Bottes, Souliers, Chqpeaux, Ci.asijettes, Quincaillerie,Faience. Sellei*l, Grocerî, &e. Ils appellent spécialemetI l'attention des dames à leur grand assortiment de belles MAlscuMî sKs CIoIsmsS. telles que:- Cachemires. .Mulsse,,nes de Laine, Soiries. Draps pour Dames, de tuites les conieuiiir, Broderies, Dentelles, Gants. Garnitures en Velours et en Pluches, &e. Ils offrent le tout à des clîditioiîs liberales et à des prix onilérés. GEN'IN. &OIRET & Co. Opelousas, 17 Novembre ls-.. Nouveau Magasil de Dcpot. L ES soussigiiés ayant f mé uneie socit: poiur la conduiite des aflhires d'entrepôt à l'anicien Magaisin de Dépôt de Anderson & Thompson, à Washington, recevront et expé dierount ;vec soin tous les produits et liarchlian dises qui seront confiés à leurs souins par leurs amis et le public en général. J. B. A. FONTENOT. JOHN LYONS. Wasliington, Lne. 24 Nov. 1855. 51tf. A vendre a I'imiabie. L E soussigné offre à vendre à l'amiable, uI et à des conditions rai;connables, les propriétés bsuivantes, savoir: JAUN LOT DE TERME, situé ,ur la rue principale, dans la Villc des Opelousas, avec les bâ tisses et auiéliorationii, coisistant en un ia 1gasîn, une WaiLou de residence et d'autres ;bâtisses. 1 S'u autvre îLot Zfe rtrrvrg, situé à l'encoignure des rues Main et King, dans la ville des Opeluusazs, avue une petite inaisou do résidence. W.[,t'eux quil dé.sireront ac1etier sont priés de s'adresser aiu bureau du Courrier, on pour plus d'infornmations, au soussigné, à la jonc. tion des Bayous Técelie et Fwuelier. I'EDOUAIl) FAYOLE. St. Landry, 8 Décembre 1855. Le Doctecr IIa' H dy  L'IIONNE (K1A d'offrir ,es 8ervicas à la cliet 'lle de son collègue et ami, lu Dr. Dabrins. Le Docteur ilardly prend des malaides par abol) | nencnt. il traite chez lui les esclaves atteints de maladies chroniques. 11 tient chez lui. à la disposition du public, les ;iiié'licanierits uuels et idiisipei!.-alles. ! Leýs aw eoucitllilts, les opératiO15 aieronit toujoulâ taxées à un prix raiso'iiîable. Réî-idejice, pi<s et sur la propriété de Mr. Frai içois Rubin. bur le Bayou Tlèche, paiuisse St. Laodry. St. Ladi ly, 5 Janvier, 1b5W. WVastiimatomm, Le. L E soussigné ayant acheté l'Iotel connu ..f4deriuièremcut isous le nom de "Gals llouse" annonce respectueusement au publie que ce bel établissement est maintenant ou vert pour la réception des voyageurs et des pensionnaires réguliers. L'IHôtel fait face au Blayou Courtableau, et est situé entre les deux Quais, à Washington. Le mobilier a été entièrement changé et renouvelé, et aucun soin ne sera épargné pour rendre cet établis sement l'égal des meilleurs de la camp;igine de cet Etat. WM. IRELAND. Washington 29 Déc. 1855. _ 4 *iu boit marché. l E soussigné étant sur le point de clôre i ses affaires coinmerciales pour la nî de Décembre, annonce au public qu'il vendra toutes se6 marchandises à des prix réduits. Elles se composent principalmiiient de Coton Lowell, Kcrseys, chaussures, et une infinilà d'autres articles pour habitations et pour fa milles. Il vendra également à l'amiable ses propriétés foncières, situées à Washington. J. REMY VIOu. Washington, Nov. 17 1855. 50 Ilydrothcra ipie OU TRAITEMENT PAR L'EAU FROIDE Par le Docteur Robéri. T ES travaux de quelques praticiens é. là niinents ont élevé l'Hiydrothérapie à la hauteur d'utie médication scientifiquse et raison née. Cette méthode n'a point d'équivalent dans la science pour le traitement des maladies chroniques. Les Rheumatismes, la Goutte, les Ankiloses, les Tumeurs Blanches, les Déplacements ile la Ma trice. les Congestions du Foie, de la Ratte, de l*u terup. &c.. &c. Toute puissante dans les fièvres typhoïdes, slle paraît l'être égalenient <lans la fièvre jaune. Sous l'influence de ce traitement, non seulement dans la fièvre typhoïde, l'état lébrile tombe avec une grande rapidité, souvent du jour au lendemain, mais encore les désordres de 1,intelligence, les trou bles nerveux, la sécheresse de la langue, le ballon nement du ventre, les difficultés d'uriner et les plié nomènes de putridité cèdent très vite à l'applica tion règulière du froid. Un cas récent que j'ai ei à traiter (Jans la locali té (Bayou Têche) où j'exerce, en est la pleine c),, firmation. Madaame Seinueville L... est aujourd'hui el) pleine convalescence dune nlèvre typhoïde ju gulée parle traitement Hlydrothérapique. Les guérisons qu'ont obtenues, par cette métho de, queïques médecins de la Nouvelle-Orléans dans la fièvre jaune qui a sévi l'été dernier dans cette ville, et deux cas, tirés de ma pratique. suivis de succès, permettent d'espérer que l'Hydrothérapie rendra des services réels <tans ce fléau qui décime les villes et nos campagnes. Mes connaissances sur l'Hydrothérapie sont le fruit de deux anntées d'une étude attentive et sui vie. Puissent-elles servir au soulagement des ma tadies pour lesquelles les moyens ordinîaireas ont imïpulsas rits. Je traiterai les malades à domicile jusqu'à ce qu'un établissement convenable me permette de recevoir des malades. Lx DOCTeuR ROBERI. Bayou Têche, 12 Janvier 1850.--3m. ECEAPPE' 1M D E l'habitation de Mme Ed mç^V voud Kstillet, le 4 courant, un ^l^ grand Cheval bai-brun, à queue c UUicourte, âgé d'environ 7 ans, ayant une escatirice sur la jambe gauche de derrièr, causée par le trait. La personne qui rarnènera ce dit cheval chez Mme E5ùtluCt recevra -une récompense de $20. J. B. PIÎICE & Cie. Contracteurs de la mualle des E. U. Opelotasas, il Aoûit, 1855. LC. L. Bouttê, Crieur Public, O'hFFRE ses services aux Adusinîstrateura de ..FSeecressions, aux Encanteurs, et au public de cette P>aroisse, eei sa qualité de Crieur, Il sera nus déré dlanas es prix. OToils ordres.pesavent être dépoeés à ce bureau. Bareaaà Opelosssas, [31 mars.-Ia. .Aux coJsgncttaLreJ deJfret et autrs. ^sSSSs ^i Le Bateau-à-vapeur A ..........LICE W. GLÂZE, Capi taioe Gr. E. LuuaIIier, a eommmneGé aea voya. ges réguliers, passant parPlaqueiane, et eus econséquence, a iréduit le prix du fteÉ et du pitssage au 'taux des eaux hautes,. Bay<oir: &Su cre, $2; Melasse et Coton, 75 cents. Le fret de retoan',Sêesurt&.. *-' LeG4as1 ^ W>AsMngtos deman», <DiUAircJb) ^ ~oor-a, et contiuner»t sel voy aqSpEna >jai àte la saiaomv -Wiao.a^4a iar lI , „,„,* MAR(IANDISESNOUIELES ! SHWARTZ & KAL I-Nl vN Ni nireit <ie recevoir un S/ock lnotvi.au <t (cni ,lst de marchandises d'Automne et l liier, dus iu genr44*splus à lamoie. On trouvera notr. Stock de mr> 5î]isi pour damnes t1rs grand et ;lès bie chui-i cUa ine; d liriirentes variétés de Robes d(e soie noire et en coeîiiur. t''s lich: Cachemires unis.à desseii et lua tet fiLie SMousseline de laine t Challies. tie, richies; Bonibazine. AlIrinos. Al|acas. <c.. A%. liilieinsi Fiai.çaibes et A nilai'esB Ba-g-es i1à ,iiouleiis soli ites et bigandî; iDuias r ices. en laine et ti cuotun Iidienfines à rideaux,. 1.n teit ; Linge de table, Jnsinsdé, t ei.;s l )r;.lani'; T<ile à cliemiises de toutes les qualsés; Toile à draps et taies d'oreillis : Jaconati, MoMeselinea buibsea et Iull; Mluîîchloiris r'nis, brodés, &c.; Rubanîs unis at i dessein (dernier genre); SBas anglais, fra .ais et alletiai.ds et îe ti. les genres et qiialitéi ; Flanelle de toutes les qualislet genres; Couvertures de luine fiautaisres, a;ie ses At ;iii4. i riaifles ; i Casimuir. Satinette et Tweeds : Cotonnade, Denires. Girigas et étoffes àa m5s; i Kerseys, Lindscys «t Lowells.&c.; Ainsi qu'un stock considérable d'hiabilUerents coi - fectionnés pour hommes, consistant e : Habits et redingottes dans le dernier choix; Habits pour affaireset pour Bureaux. Surtouts, Talmas et Manteaux Sacs et Paletots en Catîr ; i Pantalons de Casimjir. k la noîl : Pantaloiis Doeskin, Boira et er ule Gilets de soie nioire, tatin et cs:imiri Chemises et linge de dessois, île t J î il iptioni; Chapeaux, Casqtettes, Bottes et >ouiieis . Aussi un grand asoltinienit U laL.iileiitit;i fait pour jeases gens et enfij!ts ; Quincaillerie, Sellerie, Parfimnerie. &e. Le tout ayant 4t4 choisi avec svin et babilet,. et qu'ils vendrout ý des conditions lis 1s i;-una bles. Nos amis et lt public st rce p)' ttieiis nment invitées neom renudre iisiLe et à e.ci.ncr pour eux-meilies. 1t"* Nous avançorns de largetit 'tco<;pta!it pour tous Sucre, Coton et M£elasse iqui srit; coI;;.i h t. B. Bellocq & Co., a la Ni, tic<..:f-.:.ci... Opelousas, 17 Noveunbre. 153.. ALPHlIOVNSE DJiLSIOiî , £>Hcantrcur Fublic, D ANS et pour la Pai-sisbe St La.lry. Toua oldres laismés chez lui c nn; Lour.ai (du Courrier seront proruptement exc t't.l Opelouas, 6 Octobre, 1SX HEZEKAIIA IiAYS, ARPENTEUR DE PAltuSE. O FFRE ses services ciot e ses eiuns W et au public *n général. Sn litriii et In soignure des rues as la Cour e. ili Su. tielouats. 9 )nim, 18a4.-ta PIERRE Go.sLLV% ses servie'-S nux I na!':s de la Paroisse St. Lawlîdr. S<-? prix scnt modérés pour du COIle'tAXI ' 'é l. Opelosaus, 2 Juin 185i5. li. Victor D.-stiem A1 PENTE U1i. 0 ^FFRIC »s services aux lia:it.ais de St. _ Landry et de,3ius.- ivl-niiH. Tosie ordres peUvent être laissés au rneýt' rI M M. Nvy & jCetorge, aux Opdlo. u litnu - lui. au Port Barré, et ils leront pronj.trt Putt Barré, 1 O qtelr» IS.5.-l.1. JVàètagrC JPubli', DABS KTr roui tA PAr., rs'.SE lSr. L A., Vi. Bureau à Washiingtirii, Le. SMi, 1855î- i i nC Ila2oom et fi*î;itrier, S 5STANT fixé aux Ojieliu.-ias d'une nia lière permuanente, otfire s'i.vife aux habitaMs de cette ville et de la l'aruiae en général. Ses prix seronit siodérés. 8'udreuM au inagasimu de Madanse Vevux C. Médieja, aux OpelouSas. 16 DJéeembre 1855. ;r. GROCEiI k^S. U N bel samortinient de f!r ù»rie- de Fei mJ Mille.- Vins, Bruaa, .il, I 7',. /.y cylt différent.s qualités ; lîv'. Žrr&P/i lv' Porr; Mai#, Aeoine. k i'fx.f de V/usa, (cow-peuu,) 4-6., à bon inuai-iré puur du @onIUpla ut. fDEBAILLON & CMLIŒELE. Wasrhington, 9 Juin, 1S55. La aous.9igné arrivant de la Nou velle-Orléans avec un ;sur!': i .4 esosnplet de Mertlii-rm:it-elra et autres, annoneo respectueusceiîeiit a Ffs enuia et au public qu'il les vendra 1 nussi boa marché qU'sueuu autre magasin de la place. M. J. Deoourt est autoribés à ac.iaiUcr leo oomptea de mou magasin. C. 1OLLIER FI»s. Opeloa, 12 Janvier 1856.-la. Changemenie t de Dosiiieie. L E Di. PILATE a transféré sorner d:icile et son office Rui Landiy, jrîés de rii/Z le Juge Overton et en face du marchand L. Biiotte. En outre des services ordinaires de >a p' trs, le Dr. continue h s'occuper des nia!adiis id a bouche et de« dents ainsi que de la pose des dicnst artificielles et de tout ce qui coitirrtue l.>i L du Den tiste. Son travail dans cette bralichli, rst girainii et exécuté d'après les procédés les 1,; ua. l..uvatsux et approuvées. Les dents artificielles ne sont pis iir»,iiitr[it lia ornement, elles rétabliastat la vo;x r!iix^ ý1.11 état naturel et surtout servent à la illastiin.iltiwii 111 distensable à la santé. Le Dr. Pilute visitera Wabjingirtut.n r;;i ftsi» la gernaiae.-Prix modérés. Opalosaia, Jan. 19th, 1856. Dobaiflon & Carric-c, iY1archauadf-Conm.iiiiîoim iirt's 191Jauv. lm. ___ ChaUpagUe ! Chamtpagne !! OUS avons encore en maini, r1uuljues N paniîeri de cet excellent vin, que nous offrons a vendre à un prix réduit, pour el-ira la faoture. DEBAILLON & CARJtfIERA. Waahington, 19 Janvier, 1856. PuUié le Samed i pur JOUL M. SANDOZ & A^DIïï MIYN:'. CONPITIONX: Le prix de Pabonnemnent est de TROIS piastre8 pae an, payable d'avance, ou quATgu uiastres uatable à la finde i'asnée. Aucun abonnement M $ae reçu pour un teniarw moindre de douze mois. Aucun aboennenient- ne resa discontinué avant que les arretages ne soient payés. Le. abonaequid voudpsnt arrêter leur abonnement devront «a donner avis, pcr écrit, au moins un maois avant le terme de leur abonnement. L«« TM i epaieront d« là manière suivante. sa voir-..Lesaarisqul n'excédertont pas un carré de Feu pacp de dix lignes, se paieront mue piastre lanîr la pwemahreiasertioa.et cinquante cents pour cliartie unaertioa suivante. Lesavis plus longs suivront la Tout avis, h moins qu'il n'en soit autremnent er donné, aers.puhliéen fratruçaiset en anutlais. jusqu'h ce-qu'il soit retiré,os jussqus'àce ques le.sci~teai jU. 1gent h.propos de le retirer. Les avisaos ceamuanioaUonaa anneaçaut un calidi dataejsaiaestdix piastres, et d'avance. 'Uttdl nu « eMIo MaicattDns adressée s a x leaurs devront ôtse affuaac^iea.