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EXPLORATION DE LA LOUISIANE. Nous voyons que l'Acadamie des Scienesi de la" NotivelfcO leans se propose de non. v'eaud'appele' l'atteitionr de la La biture sot la aeoessited'nWe'exploration Og.ue do la 14onisiane. L'utilit6 d&un pareil tra vail est incontestable, et il y a longtempa qun'on eut d l'entrepreidie: NIs cihambres out jusqu'i present montr uone indiffdrence qunil est iiffioile de s'expliquer ; la Louisiane est pent-tre le seul Etat doent le terrain n'ait pas etd etudid par une commission scienti Slque. Aussi ignore-t-on generalement les richesses que renferment notre sol et les precieuses ressourees qu'il offrirait A certaines industries. Ce quo la Legislature n'a pas fait, quelques hommes actifs et entreprenans 'out exeont6 a leours propres frais. Its out parcouru la Louisiancdans tons lea seas et onut oonsiga les resultats de leurs observa tions dana des meinoires qu'ils n'out pu ea core livrer A Ia publicit6 a cause des n sea exeesives qu'il seraie.. s'im poser., v e. ee deviendraient ont oune commission de geolo gde deos mat6iiaux qu'elle pourrait consul ter avee fruit et qui faciliteraient singuliere ment ma t'che. Notre territoire offre ao vaste champ d'6 Ltde a l'explorateur. Quels min6raux a-t-on jsqti'A prgent extraits de son sol ? Que produit-il d :nuels dEveloppements futura atteindra son agriculture ? Quels sont eel avantages particuliers sous le double rapport de sla botanique et de la zooiogie ? Quelles sent ses conditions sanitaires ? Les 16gislatures de presque tons les Etats do l'Union, se so. 0 epu'. lo mpgtenp trace ee program.na et Pont rcmpli. La Caroline du Nord a, sla premire, donne l'exemp!, dune exploration of cielle. L'Arkansas qui ave in Fi.oridr' occupe In dernier echelon da;,, is hiera:chic de 1'Union, a dejA pri lee mesures Ltcessdres pour faire explorer son territoire : ii a corfie ce soin au celbrc geo logue Daa,,l dale Owen. iT',L Carpenter, Trastour et Forshey out ete charges, on 1841, de I'etude d'une cer taine er .iue de terrain, mais lears travaux, Ihornms par les instructions de is Legislature, deoaient ttre iOomplets. Leur rapport d'ail leurs n'a jamais tdc public. Une explora tion complAte eouitera beaucoup certainement meis e elle est confide A des hommes de me rite, ii en r6suitear dbs avantages qui com pel.seront et au-dell le tresor des sacrifices qn'il aura faits. Tous enos ingenieurs d'Etat out succes sivemerit appel6 lPattention de la Legislature sur l'urgence do travail dent ii s'agit et se mont vainement appliques a lui fairy com prendre que 1'exploration de notre territoire deyai. prccdder l'organisation d'un systeme d'amEliorations- publiques. On a cru qu'il o'y, avait rien A observer en Louisiane,.parce qu'une partie dtr sot cat formee d'alluvions. Le forage du puits ar-tsien dans la rue du Oanal, a at4 n~anmehus pour les g6ologues .n int.ressant sujet d'Ctudes. Le haut" de Is Louisig~ae eat d'ailleurs in, terrain ilev4 qui ienfaerme des mineraux. Dans les paroisses do nord-ouest, notamment, on tronve en abon danoedu gypse qui est. In fois no excellent ciment otnn engrais, tandia que sur nos c68 es ii eptt Oi d'Ctablir des salinessurle mo dbled spelles qui existent maintenant en Europe. On extrait dans quelques comntes de i'A. ansas qui touchent A la Louisiane un oharboin de qualit6 superieure, et toautfait prrsu~mqua notre sol en renferme de sem bIible. M'ail pous le trouver il faut erplo revr le sl. On assaure aussi que certaines parties de notre terrain conviennent admira blement a la fabrication de eette poterie spe eidle p'i esisteanu feu. Unhe compagnie West mnme orgaisee quelque part pour ti ter parti de ette pcieuse argie. Beaueoup do gens no ie douent pas que la Louisiane possdde de carri~ia, et rien n'est plus vrai ceeendant. Ii a e prdsentd A l'Aead6mie toe Sciences ; de e~s-beaux dehantillons de amirbre provenanr d'une paroisse du noed onest. Il est eartain .ie notrW agriculture, notre indutri et t nore naviation auraient tout 'a A Ariiee exploration scientiflque de la oiai ;Nore territoire prsade proba blemaut: iriohess dont nous ne souppons st~iets xiatln et qui resteront eachAes Wte - dpoemebunt qie la iience.enoIase aura pas dcouvertes 8f' mises asn graindiljour &E1itisaa u 4 xthatat Raput e pntit daa n lee bayous I& phie bulton'pasodroire quo nui.i.tol6nnies arrives an dernier terme du progrkn. .E.vonno'ea i'idedrb osicannes e ll~irpd~i .rdt.i jioire le iouiieees qtm los d6voRehit? 'Avinouonous trouv J6oe moyen ~iS u s obI.l quo nos cours d'eau iaraitil pas deeslee I5 i r-p ctaonaementn indiqsar · SpIbiles dk elimat eti aol? o ttro pa veritables riObes ajpes~nun~4 I~urjq te rpJia Jl- ·i:~uar ·it-:*"i~r- k \jti , no.~t Am* a-j 9MA , ecU to a r i# ýi ai~ ý.s·~·~ii·l·~~:~ blý~~-~ c~-.:·:·4i. particulibrement actifs dans le travail d''scimila. tion. Les individus de' ces races sont ac petits qu'ils ne peuvent 8tre vus, mnme grosais Oar des instruments eopiques de plusieurs centaiies d fois. Nsinahits, Ee petifes cr6atures ne penst e contenter dans leur invisible existenee sans _ g tir leur charpen+e de pygmbe drunnpanhsm. plbte de mailles d~fensiac supdrieorse lc rdes. Ces cottes d'e mailles sont habile'snt fa. briqudes anx d4pens des ingridients solidge de la mer, et, lorsque lear euvre a eti accomt. ý ieles sont depo.nes;-eemme substances dEarmais inso lubles, dant le lit de I'Oc6ans formantlesnebnehes de densit6 et d'dpaisseur croissantew Plusieurs des lits terrestres de la surface du glbe q91 soot mainten*nt de lieux nus et seesrt c t6 primitive. ment formis c eette manibre par les substances solides extrai s de I'eau de mer Le couran ?bien connisons le nom de Gulf Stream eat un fleuve oe nique profond d'un demi mille et large de plusieurs millee. d route avec une rapidit de~qiuare milles et de >Jk I1 heour, et il contient usna4olume d'eau mille fl plus: grand que le plus puissant des gdants d au doece, le Areumv des A.nazones. L'eau de ee courant eat tris douce, dtant entibrement compos6e de liquide d6riv5 d Ila chaude r6gion septentrionale: qui a payd son tribut d'dvaporation a cause de sa rrande densit4, l'eau du Gulf-Stream a une teinte brillante de bleu foncd. Comme rbgle gtndrale, i'eau de mer la plus verte eat la plus 16gbre en ingredients salins; la plus sombre et sla plus bleue eat celle qui est le plus chargde de sel. .Ieau-dense du Gulf-Stream a cependatlt une qualit6 qui eat de plus grande consdouence q;2e son poids elle posshde une haute tempdrarure constante. Lorsque le courant sort du goife de Flolide, le thermombtre (Fahrenheit) marque one tempdra ture de 86 degres, et pendant plusieu'rs centaines de mill:s plus loin au Nord, ii continue d'etre de huit a dig degr~s plus chaud q. e les gtend e, ,nvi ronnantes de Pl,(C-au. 11 traverse tl quaraetibme parallble de latthtude Nord dur'nt Pl.iver a\:c une tenmpirature propre qui apparti'ndrait nst"urelle ment a I'dtei de cette laititude. Dans lea li ux o04 il .)ule, la suiantibme paialille ei t arssi htbaur e que la qaarantibme a nuil ne coule poiunt La quanti:s 'bsol, e de cn a.r ch.,ie des ers. Antiiles e, mezicaine p.,r le Gulf-Stream, dans ;n le seule angv5e, seiait suflisante pour ±lever dles muitague, de fer : nint de fusion, te pour entrete;ii on courant de uer f-. d:: p' grind q' a le Mississi, i coulant sans inte:rLuptiJn. La plus grande par.i- de la cha.iur d. Gulf Stre n: est rdpandue 3, ti.vers des -6dions oui seo raienit iuides et g'acees sar.. son influent. ..a Granudc-Bretug:,e et ;'Irlande, entre a.rres pays, juiosent d'u'n climat plus 'loun de p,.: ts ctie grds qu'il ne .e serait si ellec ne se trouvtuient point situtes sur le passage de ce coursd'eau ch; ude. Vento PubiJque. I L sera venda en vente publique, nu plos offrant at decnier enchdrisseir, p-r Louis Stagg, nocanteur public dimneut colmmis sionnd, a la rssidence de la veux e Pierre Sa vant, our le Bayou Bouuf, dans la Paroisse St. Landry, le Samedi, 10 D6cembre prochain, 1859, les propriBdts ci-dessous ddcrites, ap partepant a lg communauts de biens aynnt existd entre feu Pierra Savant, de cette Pa roisse, et Lucile Fontenot, sow .pouse survi vante, a savoir : 12 ESCLAV` S. CLARISSE, ndgresse Agde! environ 49 anB. RONDET, nagre AgE d'enviru 27 ans. LISA,. ndgresse Agie d'environ 24. ans, aves ses-deux enfants: William, do 7 ais, et Mary de 3 ans. NANCY, ndgresse Agie d'environ 22 ans, et Lucoindai sa flle, Agile d'un an. HENRY, nsgre Age d'euviron 17 ans. SUZANNE, ndgresse. Agle d'environ 15 TOMMY, negre Agd d'environ 12 anrs LUCINDA,. ngresse Agle d'environ 50 ans, et Froisine,. sa Alle, Agee d'environ 7 ans. Environ 40 tites de hites & cornea douces, environ 40 tites de bttes a comes faron ches, une paire de beufs- de tire. 12 chevaux de tire es de monture, uu lot de bite"s ehevalines, un lot del moutons, 200 barils de mals, pailles de mal, un bug gy, une charrette A lbeufs, charrues, outils aratoires, et beaueoup d'autres articles dont l'Enanm6ration serait trop longne. CONDITIONS :--Toutes sommes de dix pias tres et au-dessous payables le ler d'Avril 1860, et toutes sommes au-dessau dei dix pia eas payables une;moitii le ler d'Avril 186 et I'autre inoiti6 le ler d'Avril 1862, avedntdrit A raison de 8 pour cent par an, de l' hdance an paiement. Les aeqnureurs fon ant deux .cauftioas solibaires, A la sa tisfaction de l'adwinistrateur de la succes<ion, et de plus, lea esolaves demenui-ant spaciale meont hypothbdquaes jusqu'au plein et esatier paiement du capital et des interets. .LOUIS 8TAGG. S Encanteu'. Qpelousas, 5 Novembre 1859. Vent. Publique. Pam le soussignE, enciamteur public, rans et ptur la. Paroi se St:. Lantdry. I L sera vendu, en veute pbli an p ls loifrant etd-Bernier :eno se psa Je sousei eencanteur public, daa or la Pmrruiir2Ikdy t l o u 4oiireJdn te Samneli, 10) Dcembre : prochaip, 1859, NesIave m ivanteo apparten'ant ' la aucceauion d'Antoriue`` Atta as ' dchde, ler nibrement de Ia Paroisse St-Landry, s save ir: Un. aertai +i6gesae. uos i aNA TfA L emE, MI&II,, ge. do'environ: 85it onrt'. ziiv "' : = 'TRnira' `cute ViiaStredu pek a daoha aeblee otu itant, of 't1u&e payable &uu a t durn auw, £ Ie ir dua r ur Nerlaveute. ' 1iciieureair. ofnrnisant Cau ion ii eaatiubntiou dp 3'adiinietateu# de la dite succession, et toute somie crui.neise ra : bye pa Eb a'sonCbo Eatiee, 'nt d rte'oui 'p~jour eoelun, do .sod deOISOI ab~ paiezuont, at de'pr i'esclav.4demi~nturana`4e iEoiyit nhyt b. quo. I p xit incoeojrqu'an pleii ot *tiirer:toua ea :dea 'inter : O pen o e :u,: 6 ºý II o Ah o ,:e y1i5 n =1 n F #'O a '{ 'ol er; sa i r`N ar a c uj r fl ` ;gt ' Il ý a i t-ev i ot d1 c ` r# asy ota r ` lr" de et ýs:ýº Mi.-· Favorisez l'indust ir"lo mestique. i E soussigne saisit cette occasion pour 11 informer lepublic qu'il.a en main et manufacture journellement toute sorte de Selles; Harnais, Brides, et antres articles de ee genre ge64ralement en vente dans lea mnagasin deson metier, rue Maine, presque visa-vi ds m.agasin de Kaufman & Cie., aux Opelousas, oi le public trouvera constam ment de la selle et du harnais les plus coIm muns auxr pima e'lgants qu'on puisse fabri quer dans I'Etas. 11 sollieite l'encouragement du public, dctermiu t 'il eat de satisfaire tout le mende, tant sors Ie rapport de see articles que sons celui de lear prix. QGFORGE PULFORD. Opelousas. 16 Juillet 18089 ON OFFRE A VENDRE. U NE belle habitation, situde an centre de I Prairie Mermento, en cette Pa roisse, coctenant environ 100 arpents de terre haute, sur laquelFe se trouvent une pe tite maison de residence; une orangerie ct un tris beau canal. Cette propriEtE est la seule de tonte la rivibre Mermento qui convienne A l'etablissement d'un mouliun scie. vu qu'elle se trouve A lajonction du Bayou Nez Piques et du Bayou des Cannes.-De plus une Cypriere de 150 arpents, situee an Nez 'Piquez, ure des plus belles cyprikres du Nez Piquez. Ei:resum6. tontes lea ameliorations tions neceasaires A un moulrn t scie.-Ega lement la six;bme partie indivise d'un Mor ceau de Terre Boisee, meaurant 700 arpeuts de supeifieie. Pour lee infrmutions, s'adresser A Belle. vue, ieez M. F. Richard, on an oussig..E. L. S. UOUSIN. St. Landry, 17 Sept., 1859. klAtPfATION RUCE WERE DANs LE COMTC DE I JBERTY, AU TEXAS, a re~dre a Vlamiable. 55 ACRES de sperbe ferre k suare, situ&e t h tris milles au-desons de la vile, at courant iusqu'. :e aivibre ohse trouve un excel lent afttrr-ge et ois vienrent s:appro :sio!.ner de bois, cnaque iom, les I .quebots rdguliers de Li berty rt dn Gniveaton. -EgalE.ment une HBITATION COTONtiER , Situne A deux rtillss B I'Est d* Liberty, sur le 'ýTmber Creek, an 'ord de la prie. Bonen ena, Residence, Moulin t colon, Prise, &c., &c.; 120 acres de terre en culture. La situation est salubre, et la terre riche. Le chemin de ferde ia Nouvelle Oridans et de Galveston passe & un quart de mille de la Maison. 3'adresser au j.ge Branch ou h P. K. Smith, greflier de la Cour du Comtd de Liberty, Texas. 3 Septembre 1859.-1m A Vendre a IPamiable. Environ un Ilet de terre, situe dans la ville des Opelousas, avec ks ameliorations, consistaut en une Mai son de residence, Cuisine, &c. Pour le .rix et les conditions, s'adresser A I'Editeur du Courrier des Opelouias, A C. Donato et frdre, A l'encoignure des rues de sl Cour et Bellevue, Yaux Opelousas, on au soussignd, pros de la Nlle-Iberie. DUBREUIL OLIVIER. 4 Ddcembre 1858.-la A vendre a I'amniable. U NE propriet6 situde A Ville Plate, avec - main d'habitation, magasin et depen dances, et $ terrain contenant environ 3 ar pents. I Cette .popridt6 est parfaitement sitnie pour uun marchand, on pour an Etablissement d'un boulauger, d'nn sellier on d'un cordon nier, industries manquant A Ville Plate. S'adrepser pour les conditions, par 6crit on sur le litnx, A Messieurs Coreil on Daire, A Vil late. 17 S tembre, 1859.-5m. A emndre a Pasiaable. -IX ~ERRAINS situ6s dansla ville des S Opelousas et sc joignant lea uns les an tres, convenables pour dtablir une residence. Ces terrains seront vendus A bon marche pour du comptant. STPour plus amples informations, s'adresser a l'dditeur du Cour rier des Opelousas. [18 Juin 1859. A Vendre a I'amniable. SUNE Habitation sitnde a Plai. gig sance, sur le chemin qui court de Washington a Faquetaique, com prenant une Maison de residence, Cuisine, Magasin, Forge, etc., le tout en bon dtat, avee 60 acres de terre dont 25 de bois. Pour les conditions, s'adresser au bureau du Courrier" des Opelousas, on an soussigne sur lea lieux. JOS. CHAUMONT. Plaisance, St. Landry, 8 Oct. 1859-6m Habitation a Vendre. LE soussignE offre A vendre A l'amiable son habitation, situEe sur I le Bayou Courtablean, en cette av rotise; A O millesrplus bas que le Port Barre, et contenant 800 acres, avec un lots d'esolaves Pour le prix et autres informations, a'adresser sut les lieut. eae 18. AWLS. aCortablean, 8 Octobre 1859.-5f HABITATION A VELNRE, S ITUEE sinr le Bayou Baeun;contenant :804 acres, dont 150 sont bien .dfriche6 eteatourds. Ce mOroeaoi de terre est dgal .e; fertilite A n'importe ýquelle autre terre eur le Bayou et vera vendu a des conditions avantageuses. S8'adreseer au Dr J., A. TAYLOR, 19s i 1859 ] " Prs, deas Opelousas. VAre dre a lia iable." . U NORXE An d'enviroa 4 ans, nE en Bette Paroisse, bop clarpgetier et excelleit csharreun. : - .. Pour.,p!ntamplese informatiopns, s'adreaer au broau duCpurriC r dee Opelouasa. Opelonsi i, 15"Oe'tobre 1859- d A Vcdre aj'awlable. UTN e r~Cj3E A E TERRE aiO. t A J atigt do JBayou Slow, t8. Landry, Etantle Qart N-O. et la Moiti6 0di Quart N . de 1a, eotwu 6, TO wuship Sod das la 11,o Ta au ernuii Raerder, en A ne 0 Laby he,ýa fgpO laaae A T;enviro, ae bell ý. tie,, b*it e n aretie.u Au p ITT:. km4 ~*1" 0aTi tmr 7-C, Q;.: *I YP ··· :s~ cloy~ b 'tr UJLEE 1ONCEPTION, *pdetousas, Iouftfannt. TL ES Dames de SArNTz.Caorx ont l'honneur de N.J prdvenir le public qr'eHles ouvriront, danas I petite ville des Opelousas, tu commencement d'oc tobre, one maison d'dducation pour les jeunes per sonnes de la paroisse et des paroisses enviropnantes. Le local qu'elles ont choisi, par sa position; retiree, lea plantations pleines de goat qui l'environnent et prdsentent tout-a-la-fois l'ombrage le plus deli. cieux et P'aspect le plus riant, par les cours spa. cieuses destaines aux recreations des leives, lea brtiments spdcialement adaptds a one maison d'd6 ducation considCrablement augmentEs et .ntibre ment remis I nea, VPaccbs facile de tous lea pointar de la paroisse, la proxamit6 de l'Eglise, offre tousr lea avantages extdrieurs que les parents peuvent desirer pour leurs enfants. L'instruction y sera solide, 6tendue, varide, sur tout utile et p!rtique. Le cours d'dtude embras sera toutes les branches enseigtrdes dens les meil leurs maison. d'education d'Amdrique ou d'Europe: Lecture, Orthograplie, Grammaire, Composition, Rhltorigoe, Elocution, appliqudes aux langues Frangaise et Anglaise, dont PI'tude marchers de front, et qu'on formera avec le plus grand soin lea elbves'3 parler et a dcrire avec exactitude, Elgance et faciiitd,-Ecriture, Gdographie, Histoire sainte et profane, ancienne et rroderne, ~lythologie, Arithrnrtiq ue. tenue des livres, dlEments d'Algdbre et de G~omdtrie, Physique, Astronomie, Histoire naturelle, Economi. domestique, Couture, Proderie, Flenrs Artificielles, Dessin, Musique Instrumen tale et Vocale. Cettedernibre branche sera ensei gnEe par un Artiste distingud attache a la maison. On apportera la plus granae attention pour le main tien de l'ordre. et l'e.,plication h I't6tnde, conditions essentielles pour 'e progrbs des Blbves. On ne mettra pas moins de soin a lenr former P'esprit. le eorr, le caract' re, !leur faire contracter de b-nne Laure l'halitude de l'orure, de Pl'cono mi-, de la propi.'d, de Ia boune ter.ue, qu'B lea ins tiuire. On veiilera avec le plus grind son sar leur moralite. Eliks demeureront toujours dans l'en cente de Ia maison eat sous lea yeux et la surveil lance mas.rriellt de leairs maitresses; ells ne rece vront d'autr -s visites que celles de ;cers parents qui pourrout 1Ls voir si. ptrloir, le jeudi Yprbs les ,lasses du mnatin, et le dimanche aprtas la grand' merge. L'education Physique recevra aussi toute Pat trution q i '.!e ..4caIrse; u: exerice salartaire qu'on leur `ira p" z'lre chaque jour, des 1icrdations ju. ei.r4es qini tnt,'- -uperoni les longues dtndes, cotribueront po.es~aument a ddvelolwper lea forces du cnrp. en dElassa .: a,. .'blement !'Peprit et le mr -ant ih ,: ae de reprenh-'. i'tude avec plus d ardeur et de profit; La nourriture sera saine et ahohodante; le: -mina les plus affectuenx et les plis iateliigents seront prod guEs aux malades. La reli.,icr e:t la ba seune bone Education; la maiso.i professe a Religion Catholirue: toute fois les jines persorsnrs, Ivii -n professeraient une autre, seront revuas a Is seule condition de se con former aux exercices publicsde la eo, imunautE. Pour nmettre lea parents I m~me d'envoyer leurs enfants plus jeunes au Couvent,-une enfant pent profiter dbs Filge de sept a huit ans et meme plus tts,-de lea y tenir plus long-temps,et d'en envoyer plusieurs i la fors, on a adoptd lea prix les plus mo ddrEs. Lea Pensionnaires payeront $8100 00 par anode ecolaire dedix mois, en deux on quatre paie ments Egaux et d'avance, pour toutes les branches renfermEes dans le programme h Pexception do dessin et de Ia musique; Si elles apprennent la musique, elles payeront $6 00 par mois pour le Piano on ia Guitare, $1 00 par mois pour F'usage du Piano; $3 00 par mois pour la Mosique Vocale, d'avance. Les parents auront a fournir lea livres et le papier, et h pourvoir au blanchissage de leurs enfanTts; lea frais de maladie seront aussi & leur charge. Les Pensionnaires devront apporter en entrt: 1 monstiquaire; une quantitd sulfsante de d t couvertures, serviettes de table et de toilette, ainsi que d'habits pour tous les jours; Pudf forme, consistant pour toute l'annde en u ab bleue, avec pdlerine et pardessus de m~me .U. garnis d'un petit velours noir; 2 Gade-soleil, bleu, P'autre en toile grise; 1 voile bleu, 2 yd 1 voile blanc, 2 yds. Elles devront aussi appo r; 1 cuillbre, 1 fourchette, 1 verre, 18couteau, 1a quet en ferblanc ou en zinc, 1 boite it ouvrage, 1 brosse, brosse i dents, leurs peignes, I pot it Ieau, I1 cuvette, 1 glace. Les externes assisteront aux classes, aux Etudes aux rdcrEations; elles pourrontaussi prendre leur oner dans st maison. On aura Egalement pour elles, pour leurs progrba dans leurs Etudes, at leur bonne conduite, toute la diligence et toute P'ardeur qu'on pout attendre de personnes exclusivement ddvoudes par religion, par Etat et par zble I l'Educa tion de la jeunesse. Opelousas, le 15 aoOt, 1856. Pour plus amples rensignements on pent s'adres ser i la Sour MARIE DU DESERT, Sp. . riere ot & M. G. RAYMoND, Cure des Opelousas. INSTITUTION DES OPELOUSAS, POUR L'EDUCATION DES JEUNES GENS. DIRIGBS PAR Le Dr. J. A. A. DELARUELLE, Principal; Pro. fesseur de Frangais et de Latin. W. C. Lwlis, Professeur de Langue et de LittraE ture anglaises. A BITANT eette localitd depuis 14 ans; avant secondt Mme Delaruelle dans la direction du pensionnat de demoiselles fordd en 1844, et qui oas cease d'exister qu'a la mortde la fondatrice (1855), je pense pouvoir rdpondre dignement h la confiance des parents qui me confieront P1'ducation de lenar enfants. Je ferai mes efforts pour aider an dEvelop pement de leur intelligence. et autant que possible. faire naitre chez eux les qualitds intdllectuelles qua doivent ltre le partage d'hommes qui citoyens d'un pays libre peovent ftre appelds on jour au gouver nement des affaires do pays. Je m'efforeerai d'en faire de bons eitoyens, dc bons pOres de famille. Pour eels iltfaut one Education liberale, dEveloppant I'intelligence; une idueation entibrementd6pouiflde d'iddes mesquineset anti-intellectuelles, enfanties par l'ignorance eat la sup rstition, sa compagne ordi naire; une Education doent ees entraves ne seraient par execlet, ne serait prepre qu'h fausser lea idies, abrutir l'intelligence. et d'hommes qui pourraient ftre quelque chose on jour, n'en faire pour Pavenir, *que des 8tres nule, incapables, & intelligence bor rde Mais la connaissanee des sciences, lexercice des talents d'agrdments no suffisent pas h eox seals pouor qu'une dneducation unit complbte; le systbmae reli geux dolt dgalement faire partie ~es iddes a graver dens de jennes imaginations; la croyance en on Dien eat Snasi rationnelle que ndceasaire: Si lea rites dans lesqueis on hbnore la Divinitc soot dif. fdrents, le but esttoujuars le mcme: honorerl/ CrSa t;ar, le Gr*id A.rchi.rte de PUnivers. Nons devone done avoir pour devise religieuse: Toebtrnce, Anmour de Di et de prociat.. Des soi t de taus genres seront prodigods n.x Elbves. Une nourriture saie et abondiiite leir sera donnoe. De vastes terrains seront k leIr die position pour les recreations et lea exsreicesan.ce.. saires h fer santE. Enfinon prendra toutes les mesuree jugdes ind:spensables onor;qbiele moral et le phyesique des enfints soient tonjouer a 'd-a Pstat le plus satisfaisanat Les corrections manellnes exprprdment initer. d:tes. Les parents re-evronttous lea trois mois un b ullPtia de :l sanit et do travail des eufants. 00rNS) ZTIONS: Pensirn et instruction, daps lea 2_ laugues, r n, $140 00 Deni-pewaioa etiinstruction, dana les 2 tan g par iu, 7000 Eater" r an, rn me instruction, 4000 L ar moui " 400 B! 'ge, lar n, 10 0' Rac ig8,par ans 10 CO Lit. ° i500 Frais da aldie.8 charge doe piarnta. Le td deco I l i hoii:; Aucn 'dimiaititio*ine sera accotdd e pour le tsnia d ~aladies' nedpsei nt pea uonibe. Ct eqtwjorestrc . a d'avanee. Taittri metr commencd eat 6ta en entior. ee re doit one'cords do boisa,> l'bhi. Deua rs emens publiec par an,aonutut e.vemen. bre. 4 ' Maitres de dolangue. laest pqtIq &c. 4e btaap etn, innaique, aUra, danad;, s Cheque 4lbav iatsta,/Joi* ia isi~e "., 2 pe dt' r ever, 2 itinu diB d'biver,. 2 gic et14iwo~ie uee o6enr~ rue eo cverture ao~Z .l -1.11aroe 2' ~~ervfate, do t.bl~ di for ' ue "=g.do poche, 1 qoot rt dt ite Mane; I ue1c: e vet, pesiquie, I bdent.. B dF 1, W.vte:_ " ton Joseph D l ?·idr·-gi)d~r - F ...;;;"';;;;;;;;; his Mars, 2u:-. isI~C- ·~ ' '~4~-- ·· . val." ý .ý.. ef4fp ~P 1Qe~~~t"~ s ~ C INSTITUTION IITETIAIUB DBS OPILOUSAS, Lole prtprire pesr . n .4cadrmnu de P Union. "TolErance eantire, religieuse at politiqpe." Pasonaas.: C. E, Ditrirtzi, Principal; Professaur de Franms, de Ltan, d'Histoire et de Matidmatigqa. M. Nalft*Alat. Moss, Profesm r d'Anlais, de GMo mtrie, de G&Sraphie t djeErlture. Pension, put ann~e, $140 Externes, par annde, 40 " par mois, 4 FOt!NITitaES. Bois de lit, matelas, oreiller, par trimestre, $1 00 Blanchissage, par mois, 1 50 Chaoue Eltve, pensionnaire et externe, dolt une corde de bois pour son chauifage et fournit son Eclairage en hiver. Deux examens sEmestriels et publics auront lien :haque aniue. L'annE scbolaire est de 12 mois, y compris le mois des vacanees. Lea reductions pour le temps des maladies on autres causes independantes de la volontd, seront toujours accorddes avec la plus parfaite Equitd. Le mddecin et lea frais de maladies seront h la charge des parents. Le mddecin sera & leur choir. TROUSSEAU 1 moustiquaire; 2 paires de souliers; 2 paires de draps: 2 paletots d'6td; 4 serviettes de table: 2 " d'hiver; 4 " de toilette; 2 pantalons d'dtE; 1 cuvette; 2 d'hiver; 1 vase de nuit, I peigne, 6 chemises; 1 brosse a dents; 2 eravattes; 1 brosse h habits; 1 brosse 2 gilets; h souliera; 4 paires de chausettes; 1 miroir; 1 chandelier; 2 couvertures de laine; 6 mouchoirs de roche. O)elousas. 5 Mars. 1859.-Ia. de St. LanidrVy. L E soussign~ tient constamment en mains un as Eortimenu complet et bien choisi de Drognos, Produits Chimiques, Pehltures, IIniles, Teintures, Vernie, Pinceanx, Vires, Parfumerie et Articles de Funtaisie: Vn:s et Brandys purs, h $isage des ma lades; Fournitures de Bureaux, papier, plumes et mrcre, etc. ; Graiues de Jardinage, Cigars de la Ha vanc Taben. Sc :gent de J. C. Ayer aux Opelousaa, pour Ia verte du Cherry Pectoral. des Pilules Cathartiques, uoe., dgalement agent de Moffett, Louden, Champion, Hull, Woodman, Rowand, Radiway R. R. R. & Per ry Davis, et de toutes autres mddecines et mddica mentt populaires patentds. Les prescriptions sent soigneusement prdpardes h toute henre du jour et de Ia nuit. Le soussign6 sollicite respectueusement rencoura gement des mudecins et des habitants. 6 Nov '58] JOHN POSEY, Pharmacien. LE soussign6 informe le public qu'il vient de monter, dans la maison, ancien cafM de M John Cochran, Main Street, prbs l'ancien magagin de P. & V. Roy, aux Opelousas, un Magasin de Meubles de toutes sortes, que les circonstances lui permettent de vendre aux prix de detail do la Nouvelle-Orlans, pour du comptant seulement. Dans la nomanclature des meubles qu'il offie a vendre, se trouvent: BOIS DE LITS EN ACAJOU: BOIS DE LITS EN NOYER NOIR: BOIS DE LITS EN BOIS JAUNE ET AUTRE BOIS; ARMOIRES EN ACAJOU, NOYER NOIR ET AUTRE BOIS; TABLES RONDES EN ACAJOU; TABLES carrdesen noyer noir et autres bois. CHAISES POUR SALON. CHAMBRE A COUCHER ET AUTRES; iDOAS; BERCEUSES: BUREAUX; SIDE-BOARDS ; GARDES-MAGER ; LAVABOS; Et une infinitd d'autres articles dont l'6numdration serait trop longue. II saisit cette occasion pour annoncer h ses amis et au public qu'il continuera & faire et rdparer les meubles, comme par le passe, et qu'il dchangera maintenant des meubles neufs pour les vieux. II sollicite une part de l'encouragement du pu blic, et insiste ee e que 1on vienne examiner son assortiment de meubles. LOUIS VATTER. Opelousas, 11 Ddcembre, 1858. Votre Attention en Instant !!! NOUVELLES EXTRA.ORDIN.AIRES. S. LEVY, au Magasin a bon Marchd des Opelousas, offre a sea Pall pratiques, amis et au public, en gd.dral, h des prix les plus modd rds, untmagnifique stock de MARCHANDISES D'AUTOMNE ET MARCHANDISES D'HIVER, CoNssTAsT as : Marchandises Seches, Magnifiques Mantelets pour dames, Magnifiques Chales pour dames, Magnifiques Robes pour dames, Mdrinos, Casimirs, etc., Habillemens pour Mes sieurs, de tout genre; Bottes, Souliers, Quincail lerie. magnifique, beaux Fusils anglais, I'istolets, Parfumerie, etc., etc. ; en on mot, tout ce qui peut plaire, et 6 des prix si bas, que toutes les dames, ainsi que lee messieurs, s'dcrieront: le "Magsin a bon Marchd des Opelousas " est en vdritdlse# l eudroit oh Pon puisse acheter h tres bon marchd. Venez voir de suite, et faites vos achats au Maoasme A Boa Macud. DEs OPILOUSAS. Opelousas, 15 Octobre 1859. 8. LEVY. JOSEPH HAAS, Tailleur, Rue Bellevue, a cOtd du Salon du Coifeur, S0FFRE ses services aux habitants des Opelousas et de cette Paroisse, en g6neral. Espdrant satisfaire tose lee gotsd il r6clame une part de I'en couragement du pnblic. Coupes selon toutes esmodes et bon marchd pour do comptant. (26 mars'859 la Nouvelle-Orldans avec un assor timent choisi 'et considgrable de .Bijouterie, consistant principale ment en parures completes, pour dames, dpinglettes, bracelets, chasses, boucles d'oreille-, et en rdsumr de tous bijouxde la plus grande richesse et des derniers gofts, ainsi qu'un bel assortiment de mnontres en or et en argent, pour damesat pour messieurs, qu'i; vient de rece voir d'une des maisons de commerce lea plus con siddrabies de New-York, et qu'il vendra & des prix moddrds pour do comptant. 11 profite de cette moccasion pour innoncer k es amis, et an public en gdndral1 qn'il saest assurd lea services d'un horloger expdrireatd et adroit qui sera constamment k la dposition des exigences. S F. fELRUE, Eneoignure des rues Maine et Bellevue. Opelousas, 29 Janvier, 1859. BOtIME.'& RAPBdt ENIGO, COLLECTEUR8 P.RENDRONT en collection lea rdelamations de toteots ortes qui pourront leur Otre confides par cenx qul out des effets i collecter des Par;i ees St. Lau.dry el de celles avoisinantes, alosi que de Ia Nouvelle-Orl6ans. Iis esptrent mdrlter, par lear as. siduitd etleur exactitude, une partie de l'eneourage ment duopublic. Leer Bureau eeat ax Opelousas, ie-A-vis M. Provost, rue de IMaise. - Opelbiies,-15 lJanier 1859-la SIIARRON ET TBIIRNIEUR L. E uauignE offre see servioeu atiz habi. Utets de cotte -Paroise, pour la oon. Sctieti d toues sortesld'otrneges de-char. ro nages, por habitation on enutres. II a Esleutea Etebli an Tou zaw lequcl ii pour. ruts doranewent toweur tautes sorter d'ou. I aa et oaisio fouranon rcerqun'ii no pt ta ler quo pour d omapteat et qu'aef'ouss okg. aosrtic do Won: atelier sans evoirtE payE aujrdalable, on innseE. trei d u w Is e wt #siE Atendua qu dsýtTk:sfr K doM· diedidel ietor __·?~ib·~lad 7s-f~-~b~iXfd~W .~~ - - ,--, `,` -. _ ;rt e 3~-- _ :,r"-- PAQU3EBOT REGULIER EaTRX LA NOUtELLK-'OILEANS T aES OPsLOUAss. Les prix uemont leI mnmes durant route rlane. Attangement pour les Eanx Bawea LE bateau-b-vapeur b fai ble tirant d'eau CAMDEN quittera le port tous lea Di manches. a 9 heures do ma tin, pour se relier avee I'ANNA PERRET, capi taine G. E. LOUAILLER. Par eette nouvelle addi tion lea habitants et lea expdditeurs peuvent Otre assurds que leur fret sera transportd avec diligence et sans retard. LE PRIX 01nT LES MEMES, A SAVIR : Coton par balle, $ 0 75 Melasse, par baril, 0 75 Sucre par boucaut, 2 00 Fret de montde par baril, 0 50 f-L'attention des habitants et des expdditeurs est appelde b la consideration que tout le coton qui sera ddposE au ddp6t du Hard-Times Ware House pour cette ligne de bateaux sera franc du magasi nage. O. HINCKLEY & CO. Washington 17 Septembre 1859--3m PAqsaEBOT REGULIER ENTRE LA .ELLE-ORLEANS ET LEs OPELOUSAS. LE bateau h vapeurBAYOU BELLE, Capitaine Joan LY ons, ayant 6td complbtement rdpar et mis a neuf, quitters Washington toua :es mercredis, & 9 heures du matin, et la Nowveilet Orldans tous les Samedis, b 5 heures de I'aprbs. midi, s'arretant h tous lea ddbarcadaires iutermd diairea sur l'Atchafalaya. Les planteurs et lea expdditeurs peuver' a'assu rer de la rdgularitd des voyages ccmme aussi des soine qu'on prendra du fret et des commissions qui serontconfiEs a ce bateau. Opelousas, 27 AoOt, 1859. GRS OCERICIE GROCERCIT!! LE soussign6 tout recemrient de retonr de la Norvelle-Orleans, avac un assortiment bien choisi de GRO CERIE FRAICHE, a i'honne~ur dluntormer ses amis et le public, en general, qu'il en continuerala vente i un aussi pabit profit que possible. En* autres provisions ii tient de la Farine fraiche. Jambons prepars anu sucre, Brandys, Whiskeys, Vins, Annisettes, Epaules fumdes, Bibre, Porter, Poissons sales, Tabac, Fromage, Homards, Saumons. Sardines, Haricots sees, Sucre, brut, Sucre raffinE et Sucre en pains, &c., &c., &c. -II a .galement constamment en main des Cor dages, Peintures, Hui!es. TdrEbenthine, Vitres, Clous et Ferblanterie. A venlre au vieil empla cement, rue Main. C. STEEL. Opelousas, 17 Septempre, 1859. RIe Bienville, encoignure Passage de la Bourse, NO U VELLE- ORLE.NS, ONT l'honneur d'annoncer h leurs amis et au public en general, qu'ils ont ouvert, au No. 52 de la rue Bienville, encoignure Passage de la Bourse. i lPadresse ci-dessus, un Magasin de 'Meubles de tons genres, tels que Lits, Bureaux, Armoires et Lava bos, Tables de centre et autres. Sosas. Tete-I-tLte Chaises, Fauteuils, Chaises, Matelats en crin, h ressort et en mousse-plume, &c., &c. Its entreprennent lea reparations, echanges, et prennent des meubies en magasinage. Its osent espErer, par leurs soins et efforts, obte. nir une part du bienveillant patronage de leurs amis etdu public. Nouvelle-Orleans, 27 DEcembre, 1856. ECURIE PUBLIQUE DES OPELOUSAS. [ Tenue par Nascxssz JonES, Palfrenier. ] CETTE Ecurie offre de grands avantages aux voyageurs et aux personnes qui dosireraient loner des chevaux et voitures. L'habilete proverbiale, l'attention et le soin recen nus de Narcisse pour les chevaux confiAs a sa charge, sont d'une importance majeure, i part I'avantage d'un fort approvisionnement des meilleurs fourrages; Mais, Avoine, Son, Foin et Paille de la meilleure qualit6, constamment er mains et a I'usage des con sommateurs. JOHN POSEY, PropriBtaire. Opelousas, 6 Novembre, 1858. Ate Dr. in, I. f ,tt S'ETANT 4tabli d'une manibre permanente h Washington, offre respeetueusement ses ser vices an public. On le trouvera actuellement. durant la jonrnde, Mla Pharmacie de MM. Louaillier & Boucher, et dutant la nuit.h Is residence de son pere. Washington 9 Juillet 1859-1a SE Dr. EovUaD PuLArr, re~u par Ia Faesek de LA Paris, offre les services de sa profession A ceun qui voudront bien I'honorer de lear confiance.-Offllce et rdsidence, i Washington, Lne., dans la .iaison qu'occupait M. Evte. Debaillon. [6 aofit 18i9- Ian. L E soussigns ayant pris le contrat pour le transport de la Mafle de St. Mar tinville, par le Pont Breau et Gros Cherreuil aux Opelousas, continuera a transpdrter les voyageurs an meme prix que l'ancienne malle. Lesvoyagenurs qui voudront se ren dre de St. Martin aux Sources de Bell-Che. ney, pourront le faire par ee moyen, (et en venant prendre l'exprAs du soussignE aux Opelousas) moyennant la medique somme de huit piastres. NOEL LARCADE. Opelousas 5 Juin, 1858. AVIS AU PUBLIC. SE soussign6 saisit cette occasion pour re __ mercier sea amis et le public de l'cn couragement qui lui a 6t6 aecord dans l'achat des produits, et it annonce qu'll continuera a payer lee plus hauts prix du cours pour. le coton, la laine et lea peaux. Ii paiera soit comptant, soit en mandats sur la Nouvelle Orleans, et a'efforcera do meriter Ia confiance di public, et ainsi augmenter sa client~le. J. L. COURELT. Opelousa, 28 Avril, 1869.-la. epgate' Arpentear des Etat-Unis. Baton Rouge, Louisianc, ONNERA une prompte attention X la rentrde D des terres au Bureau des Terres de 1'Etat, A Baton Rouge. (29 Octobre 1859. - HILAIRE DESESSARTS, Collecteur et Orfeaur d'Ei~ ans, S E chargera de toutes collections et de tous en cans qui pourront lii 6tse confi4. II u'est aseocid avee personse ni pour t'une ni pour l'autre de cesdeux breaches. Opelousas, 13 Mars, 1858.-1 a Betss JFIarches a faire 2 2 L E souesign6 desirant clore sea. affaires et liquider, pour cause de magvaise san.t, offre A vendre a bon march6 et :& des conditions avantageuses, nn stock de Mar. chandises Soehes et de Groceries, Quincail lerie, Souliers, Linge fait, et beaucoup d'au tres articles. II vendra rgalement son Etablissement si. tun an Pont .·uszenme, oid. it tient actuelle ment son M.aas;, eonsistant en un Magasin, nnetMaisodio residenoe et en d'autres ba teea a esiseu. J. B. PERISSIN. rairi. Laurent, 6 Novembre 1859,--3m IEPOT iT MAOASIN DR VOITURES. Le soussigne a eontinu eIlement a -vepdr. aux priz de; la NosWallEO h do jobis Buggies, d1a. kies, Rockawavs Hacks t Cixtmae voitures, avecOo.t ease. harie, flehe, at f ne*.vu qu. oes derniers se vendeut avee lea voi t, t eqo separEmau tt:. . JO.S Gnu . SOpelouste ber Octobre 1ISO. ON·. DEMAND] OORDES DKXvOrg B04 ,iee, soit Cho,- dvaunt. te iiv,6 cRs I& momuru =i ot Octob e, daen Is viIIskOpouuag. 8'adrsuerau bwusreu du Cowretr. ja :8t . .•.MsveNes .. L"*WIYESl Dn MBIDECl V FAMILLE, a c. () Pbhilaelphie, E . bE Pennsylvanie) organisfe dans le but d'r tat de maux provenant de Pusage de mauvaises et elIes preparations mbdicales secretes, et de lear suaes tuer des rembdes de famill str, a envoyt r sUn. Posey on asortiment de ses pecleusel pre ar. . Mixtion tonique de Rowards, pour Ia gueln de la favre et du frisson, son Sirop de racine de ronce, de Rowands, pou-' gudrison de la diarrhde, &c. per Is Rembdes (de I'Universitdl pour les maladies de poumons, &c.; Remade pour la dyspeie ou s senterie, &c. ; Rembde pour la coostipati o lules) ; Remade pour lea maux d..peu. Rem"de pour le mal d'oreilles ou sundit. •. ; R ernade mal de dent; Remade pour la fihvre et le rUr j en forme de pilules. fris Diffdrant der divers remedes secrets du jour ceux-ci ne comptent que sur leur eflicacit-e Pour, rendre populaires. A vendre, en ,gros et Onourse par JOHN PO. 'iy Opelousas, 19 Fevrier 1859. PHARMACIE D1 WASHINGTON. LES soussigh4e infnrment ')ar !e pie ltnt leurs amis et :e nub!:c e: gý,ml, (u'iis fiennelnt do rIcevoir un ns0so rmeiet ccas;'Ierale et frtis d rrogur et n~eaecirwl·- ainsi qnr , eintures, titres, pa,fumerie ee toutes so,:eh, 2ic. Its -cunt agents pour ;a vente d'une grab1e goan tite i", !Ildecines pate 'zes les pi qilanonu! i 9LO.UA snrIipgto5 jO Av 9; 185911 Waaaanigton, I~ne. IIs-L..L ImTlE DE CAUI. -E soussigý,ý, agent rpur la vente du Bi-.'-';hite de C;:.ux, de U]ler Lauve, en tiendr4 constamnient un approvi. ionnnement A TWashington et au Port Barre. Les habitants aliront Ia bont6 d'averrtir le sou.sign# de huit A dix j.,urj A avance de leur demande, afin qu'ils l'obtiebnent Cons tamusett frais. G. CARlIEREF Washington, 17 SepteroL'e 1859. CHAUX , CHAUX I . 1| . BARILS DE CHATX, igale e, qualitY, sinon supdrieure, i la marque c&16bre de Thomas ton, en omains et a rndrc par ie sonsaigne. Ceux qui auraient besoin de chaux pour blath on pour autre usage, feront bien de se procu rer cet article, cousiderant qu'il n'est infe. rieur a aucun autre et qu'on pent se le pro curer i bien meilleur marche quo la Tho. maston. A vendre en petits on en gros lots, soit sur les lieux, soit anx Opelousas. 9 Octobre. 1858-tf F. LUTZ. BOIS BE $CIAGE. SE soussigne nyant am6liore et trans. porte son moulin i scie a deux milles du Port Barre, sur le Bayou Courtableau, ett actuellement pret a scier n'importe quelle quantite de bois de toute proportion et jus. qu'a 42 pieds de long. Le bob3 sera livrd soit i son moulin soit au Port Barre, et les forts devis =eront rempiis g des prix moderes. CBS. CLOSE. St. Landry, 20 Novembre I"58 1'. & E. REILLY & Co. IMPORTATEURS de Marchandises Shehes JFrangaises et anglaises, et ma rchands en detail de merchandises pour habitations.--~o 12 Rue du Canal, entre Royal et Bourbon, Nile.-Orl~ans. -'.T'akt nee N mes amis et eonnalssances le St. Landry et des Paroisses avoisinantes. que j'en. trerai dans cette maison le 10 Janvier prochain., o je serai toujours pret A leur vendre, A des prix mo dereset h des conditions anssi avantageuses que n'importe quelle autre maison de la Nouvelle-Or. Ieans. tout ce qui concerne ce genre d'affaires, et remplirai avec promptitude tous les ordres qui pourront m'etre envoyEs. LOUIS A. PATIWl. Opelousas 11 Decembre, 1858. TOUT RECEMMEFNT REQU A LA Pharmnncie des Opelousas: 2 doz Yellow Dock et Salsepareille du Dr. Guysot ; 2 doz Salsepareille de John Bull;1 4 doz Salsepareille de Saa,da et de Townsend ; 12 doz Tricopherous de Barry ; 3 doz Tcinture Depurative du Dr. Meng ; 4 doz Ongent de Gray; 2 doz Moutarde de Cincinnati, en bouteilles; 6 doz Moutarde du Kentucky, en boitee ferblane, et I vendee par P. LEONCE HEBRARD. Opelourae, 21 Mai 1859. C. i. MOUTON. ERASTE MOUTON. -Opelonsas, Le. --Vermillonville, Le. , XERCERONT leur profession devant la'Cour de District de St. Landry, Calcasieu, Lafa yette, St. Martin et Vermillon, et la Cour Supreme aux Opelousas. Lears Btreaux rent aux Opelousas et A Vermil lonville. 130 avril 1859. THOMAS BACON, Crienr d'encans, AMFFRE see services aux habitans de la Paroisse St. Landry. Ses prix seront moder6s. E16 Avril 1859.--1a. TCARISTB DEJE AN, Enganteur Public, Ej XECUI'ERA avec ponctr 1ite toutea IS venteq. soit de successions. snit privees, qui pourrn't lui @gre conbdes de la Paroisse St. Lar:dry. Scrz Bureau eat auj Opelou:sas. Opeloasr , 19 Evrier, 1859-1a M. HEIRMANN BODEMULLER, - Rut Bellevue, pres de l'ancien local de Rachel Gradenigc'. II enseigne 18 mt.3ique cur le violon ec Ia guitare, et r6pare ~aleenent les Instraments do Musique et accorde leQ Pianos. Opelouazui, 29 Janvic:'. 18b9. JOHN H iLS, xiorhti3r et lijoutiler, S'6tart fixdd'une rani re permanent. sa Opel, isaas rue Bellevue, anrien magaei' Je 1 :.mo, offre s's servlcesau public en general. II nttoie et rpase lee, -undules trt les mcntrei de touterr fauriqucs, comme aussi lea bijoux do to..tes sortes, e touitartistement, promptement et a ux prix lea plus moddrts. LI I Sept. J .H. & TEOWA8 OV7RTON .dcaets S'ETANT asesocis pour ia pratique de l.ur pro fession, asesiterou rigulibrement aux Cours de,.. District des Paroisses St. Laindry, Calcasieu,' Ba pides et Avoyelles, ainsi qu'aux sessions anaetiesU ie Ia Couo Supreme, l Alexandrie et aux Opelonsas Bureau aux Opelousas, Lee. 124 av 1858. D epre ds Garlaned, Avocats, P RATIQUE-RONT dars les diff4entes Pa roisses composant le Quinzibme Diltrict Jo diciaire. [12 Mars, 185w. Emtur s pazirta Pare, Enrulnteur your la Parorisse St. Landry L39 COIS1 Pmsblse k Samedi par CONDITIONXW 14 prix do "a bonnoment eat de mTae piastrieq Cfarae payabl d'avance, OU QUATaIe pj tLes jRave bt la 6in de 1'anude. Aucun abonnement ne sera zogu pou} in temW rnojudre do doneo muos. Aucun abonnement no sora discontinue avaij Sque lea arrera es n soigne payds. Lea abon ~a qu; voudront arrdqr ]cur, abonne. mega devront on donner avis, per 4. v4, q moigs un "iis avant l~tqrn o do leur aboqntramt. leIavis ye9gpt inars 3 raison ciu q cents Is Iigne puns ehaque pub BUlic: tign. Une deduction a sera Isitepoai tea avia , lannde on per Toei avis1 &i1 mh 1 qtjJ n'en soit attremen or done. soreD pDB 4in fIrnyuis et es aitglais, jus. qut'*ee qu'il soit retire. on jusqu'a cc que l'Editew jugs . propose le retirer'. Lea avis, t communications annonvant Un cal b~I~oi~td~i pimeikoeaot d'aivanee.