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Vente Publique.> Par le seussignd, encanteur dan. -t Maur la Paroisse St. Landri I E public est par le present a'ti qu'i . scra vendu en vente publiqueC. -us offrant et dernier enchlrisseur,' a a dlrnite residence de feu Ulger Lanclos, decede, a la Prairie Gros Chcevreuil, dans la Paroisse St. iandr~si "a4 o6 eneauteur,e ... Merc.di, 12 ,Septembre prochain, 1860, t pro$ietaes ci-dessons dEcrites ap. partenaut A la successionn n commrnautc entre.t..e ritiers d Ulger Lanolos deeddt, et lent, r ,rý-EuI&lie L audry, veuve survi vante dithf Ulgdi Lanclos, "savoir: UN MORCEAS BE TERRE, si.e: la;jrarie Gros Cheareuil, St LapD dry,.mesurant deux arpents deface. sur qua; rante de'profonieur, borne an Nord par des terres:de Jeat BJaptiste Hebert, A l'Est par Franeojs Robig, a i'Ouest par le Rayou T'' che, et au Sud4 par uue- terre appartcnant A ladite sst esijo. ; JULIR.N nagre A~g~ d'envi;on- 2%ans. Rt)SELINJE, mulftresse Agee d'environ 22 ans, a 'e ion etifant' Eug.nei age d'envi ron tin an.. , ". Un pietit 6to de Moutons, une C& T1heIe, 2 paires de rotes de char rette; un lot deois, de charpente, un eheval, un fusil, une carabine, deux.jinents, deux chevaux, &c. CONDITOrNS -UL tiers payable dans tout le mois de Mai proehain 1861," utn tiers pa y abl~g,!a toUfle ynois de Mai suivant 1862, le denier tiers, 4ap tout le nmois di Mai 18 63- tl.e iacicqurers' fournissant leurs billet viec bonutl:et1sufBiAint eanutibn s dair&'*'l satisfaotibti'de qui detdroit. Les dits illets ,poitautt intdret a raison de huit pour cemi sin-d Telr ch4 nce au p yement, et fats Ir aie:ior&rb die Mme tgger Laclsi Q a' eas ridenBe, .. la Prairie Gros Obe'y i, entre lea meais- d'Andr6 N. Lai ld al~t dt e piiaaterre, et le§ quf6sn ladite suocession :jsqu'au pleia et. eiftler payement dti capital et des interats;, f AlG, A .,....t.oB . .nc .anter.: Opelouss, 11 Aoii 18600. " u tt0 Publiquo SSucession' de Joseph ,Guikry ., Suia p wie present ,averti xu'iI .Z-- eery vondut e ventb publique, au plus offrant et dernier enchiErisaeur, par le'aonasi ggg , e ncattpuripabbio ·anset pour~lao P~aroisse Si.. Ln drrs, stir l'hiibitation c'i-dies3oo;s d8si goeee;tiu;en i os et, iProisse Str Lanlryl ýtant In dernikre rEaidbepce duait dlsfnLt, le Jeusdi, 30 Q oi''ot proctlhain?1860,. lee propridbladei.aemoug dcititeee, -apparte nant i lin u·ccaion'; c fen Joseph Guillory, b. c. l., decd'av .ý 200 Arpe s `Ie WeAe Bois, aitiiee dana le Bois du Bayb Ma;llet, bdoirne an Nord par'de Ia terro-de C. Steel, a P'Est par F," GuillSB tei '·i a~:~~c pr bs paw a >tifp etitres, au ý4ud .par lejl a ; you Mallet, et a l'6uesL par uaneoterro appar tewabt a gdtoiir i uco on, II~zATR~ rotcEArUDE TERRE ;;;;itegari 2 lY fý=I'~ti J m· i` 'acre ,: itet ` t;:i; e *Loto~a co 1 w.sl sia2O 9.4u ,hownipw 6 Sud de la Ran e 2 Eat. ~r,,'-S "<<: er U31r a t;'_; ' "f ;ýir a I , ,ete JA ,, ate 'A~iaej &4la=ipniere; et- eevant A lt reiivr+es,~~ptrant.i nele Jean meat creole , A AM$ f-M JeA one Vaehe o p 81' iine paire Ada 'Bo sua dd tire; t n' Jt d~o I3(rns. - Co inoise-;- Toute. imeade dii pies.~ -tree ata4ilessous, payable le lbr "dAvwil jroohain, I8#6tr toite erone lauesua de dixi piastrea, t nae itieý 4'Cld' vri .Iý d reltiý `1'e Y c vpit .. u a .i- Ele ltee ai tonti Ye0 nea - payableaea trois termes aesueld~ietgaux, a pairdu a er d'M·i.?lrt hl_(; c :;m cuereurs e. avec cau-1 in tiaeiprt }tom !1 V. I~,i!~~ttPt ~ 80"~CU t pý_,t~ty F+it ýy:y eoit re. tion ra e,.1V 4h ?P'Ion ew ran' iawu per J ipli r.en' catnteu, -'ohJ 3d'Ba aeGil4 bonrr, leI ti a titre , Ia propriEte ILa eetiou..4l1dn ik i~' "uBn r: t,, V I w it ja~tirr )allet PP~t # p io "et. ý atk 1tien Vlote h~ F :ý t~iet f Iiat Fiao:a'Jli([kS til· r , fi eo~e ~ uii ii le ;sn p al e4 jrraelzý 1ý 4 .''-I ··.I'I 4, W ) Yl :A vendrabe }' iabje. N LOT )E TERiEE, situd danslaPa roatie .t. Landr lal Prairie Ma oti, ooiteiant 6 es, Artie en boil dresser, t of esicodition& M. J3 H. Sandoz, aux Opalousas, on a Paul L. E. Guillaumain, Notaire, a la Ville Plate. SJuillet 1860. VENTE DE TERRES. UTNE HABITATION SUCRIERE, adaptde . soit b la culture dfucre soit a celle du co ton, contenant 600 arpents; ') d'entre lesquels eont. entourds, et la balance des plus belles terres boisdes de la ParoiýEe. AU881:S : 16O0 Acres de a situde sur f! deux rives du Bayou Rougens a St. Landry. Cette terre eat die e a dessus .la matque deeaux hautes, et peut 4tre transformde en une dV plus belles habitations cotonnibres de ce District. D7iLes conditi s seront avantagef3es. CHEVIS & RITCHIE,: gents pour la vente des terres' W ne, 7 Juillet 1860-tf N SON 2£I? ARG E2 IJTNE Belle Habitation Su criere et CotonniBre, situde A Bellevue, a environ 3 milles de la ville des Opelousas, mesurant 1000 arpents de terre, en partie'bien boisde. Il y a sur les lieux une belle Sucrerie en briques avec une excel lente pmachine A vapeur, un. bon Moulin A coton, et uine des plus belles maisons de resi dence de la Paroisse, magasins A mais, ca bhnes a negres, &c., &c. Etjoignant cette sn perbe habitation se trouve un morceau de terre boisde de 1200 arpents sur lequel lee propridtaires de' cette habitation out le pri .vSile a prendre du bois pour l'usage de Egalement 22 Esclaves, des deux sexes et d'Ages divers, parmi lesquels ii y a 16 tra. vaillantu. Le tout ensemble sera vendu a un prix et A des conditions avantageuses A l'acqud reur. Adjbignant cette habitation, se trouve un motceau de 400 arpents terre, qu'on peunt 6,alement acheter. Pour plus amples=informiations, s'adresser an soussigq6, ou au bureau, du Courrier des O~ ousa ..s. MICHAEL KING, 9 Juin 18601.<< Pr s des Opelousas. U lUN CERTAINE I ** ' ABITA1TION SicIlERB s situde diaxs a Paruisse St. Landry, sur a rive Es :du Bayou Crocan ou: Teche, bornde en e haunt ar des terres appartenant A Mudd, et en baaa.desdtereo apperteant a Terrell," ayant environ 18 arpents de face sur ledit BayoU Crocan, sun une profondeur d'environ 40 arpents. plus oU moms, contenant sept cent dix-huit arpents, pins on moins, de su perBie,' ensemble avec toutes les b&tisses et ameliorations gut y sont.4rigdes. Anasi UNI fT .IN 1ICAIJ DE.TERRE, comn iniebt conl . etre Tlio:h json STaac,- sital dans'l a snadite Paroisso t. t Landry, spla riave Ouest de Bayou: CrQcanc ou Tdhe, ayant 14 arpents de face sur ledit bayoun shri une profondeur irregulibre; born. entilit par ddas tierris appartenant A Thos. B Ri hoxeetPrudhomme,' en-bas par des terres ppprtnuunt A, on cotnnaes Ole;, Nu gent Tract, et sur l'arriere psr des terres ivia-a-dviade 1dite habitation tarire, et con tebant.4 8arpenti plus conunhas. i. S. aPour la conditions, s'adresser a Jobhn H.. .isley agent de Richard McAl~ dian's la Pareisi&' ensioan,o & ..eII nll li-i.me, 4 m' ti $d.de btiraltsoville. , 18J.Fd6vriei;,1860-t Arrangemet penur leeaux :basses. B ryagu d bte.d eonim,'ct qd'iOemI.en ar d ,ieette l avig tion:qSpeata -uat-tin dude de ienauxb , Mtant,'p te53ment onstrit ,r upapar aso res rtatu de Wa o irif lei l etmadi q djhard4 i de sr tau do la Notme waist lanti oSa. m a mid: n e.a suigac pt ire str do 'arvepo dela Nid s Or itat . comne naessoI qu'il d~iierat dqct reatr zatieuo entd nto, u . ee* dIr6e das courit d ayouns. Leridfrta eu' P~e~a~spp ,adr eup ~bord on John ul sosi tient d'arnivorde ola Nile. 09!d t1e p IAAes pratiquesqcudiess 4a Ept dtý Rtagabeev Jant ce Nafes.atsd ilc ··a +isiira" 1 ER. en Se &t t e t dese ufat ob, o,f cnii.,, jrs!finpo )[ý{ 5 'ý lre 4t r F. S N flO #l PHARMACIE, DE 4WAS8INGTON. LES saoussigas informent par le pre sent leurs mis at le pablic eq gdndral, qu'ils vienent de reevoir:un assorti meit coi iiddrable et frais dedlrogues et 'e t. insi quan peintures, , parfumerie Its sont agents piir la vente d'une grande quan titd de mEdecines patenties les plus populaires. A'. LOUAILLIER & CO., Av 9, 1859i - Washington,Lne. MOTEL DE L'AIGLE, WASHINGTON. J AM S S. GRE*L E, rcemment du Missis t sipi, ayant acheti cette propri6td, annonce au public qu'il eat mainteeant pr&t i recevoir les voy ageursainsi que des pensionnaires. Cet 6tablisse ment estaitud entre les deux ddbarcadbres et fait face u Bayou Courtableau. Les appartementsoaut uvellement garnis neut. Le propridtaire p6rer par des efforts incessants pouv'oit ren dre £a'maison aussi commode et agreable que-tout autre'tablissement de ce genre a la campagne. 11 y a sur lieux une bonne curie. Washington, La. 14 Jarivier 1860. LE DR. JOHN TAYLOR " ESIRE informer ses patrons et gmis, et Ic pu _, blic en g6n6ral,-qu'il s'est etabli sur la rue Landry, eitr le bureau de MM. Duprd & Garland et celuoi de M.O. IL Mouton, erqu'il sera pr6t' toute heure du jour on de la nuit a se rendre auprbs des malades qui lui ferontal faveur de i'appeler. Opelousas, 5 Mal 1860.-la I E soussigne offre 3 vendre sa propridt6, situde JL aux Opelousas. La maison, spacieuse et bien construite, eat presque neuve, ensemble 'avcc la cuisine neuve et le logement des domestiqees et un bon p-uits, en on nmot, une residence trbs agre able, dans un endroit retire et en mbme temps pros du centre de la ville. Pour plus amples renseignements, s'adresser au soussignL. J. PEFFERKORN. Opelousas, 31 Mars 1860. CET etablissement populaire est de noiveau ouvert par Ie soussignd. II occupe la situation la plus favorable de Wash ington, et a de grandes chambres aedres et propre ment meubldes. Le service de la table sera touiq rs aussi abon dant et complet que lea ressourcese iu pays pour rount le permettre, aux prix suivants : l Pension et logement. par mois, $ 14@0 " sans logement " ^ 1' 00 " et logement par semaine,' 00 o" Attachl i. cet 6tablissement est une 8 spaeieuse et commode, 'aondamment pourvue de mais,de loin et'de fourrage, oil les chevaux seiont entretenus aux prix suivants : Par semaine, . $ 3 00 Par jour, . - - 1 50 D'dldgants buggys et de beaux chevaux de selle seront toujours tenus pr@ts au service par ! McHENRY HUSBAND. Washington, 5 lai 1860-tf • LE soussignB annonce a ses amis et au - public de cette Paroisse et de celles avoisinant qu'ii-est. maintena3t pret i trans porter les .personnes qui voudront se rendre aun Sources de Bell-Cheney, de. Beaver Creek ou de la Pointe-aux-Loups, aux prix lesa plus moderds. Cenux qi, de St. Martin, prenfdoilt la malle conduite par le' soussigni et passant par le Pont-Breau,- paieront au tatg rmnnnime de liMit .. piastres jusqu'auz Sources. On pouira tpjoutrs qbtenir des clieviaut at des voiltures pour voyage eaii~i:. Confiant dans lee effortis nu'il .fra pour satisfaire le public, le soussigne espere meri ter l'encouragement du public. NOEL LARdADE.' Opelcasae, 19 Mai, 1860. - 3m bGURCES DE. BELL-CHENEY. ,Gette ddlicieuse retraite d'Et, situee d dn la' aPa'oisse St. Landry, an centre dune :pinixre charmatte, a envtiron '36 mailles dOpelousas, sera ouverte le 16 de Juin pour la reception du public. Ces Sources sont favorablement connues dd'lpu bihe de cett' Paroisse et. de celles avoisinantes oetnrid posedadnt des qiralitE rrf6dicinales diurnie geande dfic.icit dans-lea, maladies chionique s de tffBlOep esa .g~l a it6apisinarales:e e ses-eaux ay ant°Cte 4rouvEes, etireoonnues dans une infinitd ,doe .A L tiail.semienieiest maintenaiit en viioe d&nides piarabtiobs et'daml iorations, plusieurs nouaAlaes maisons devant 8tre cohstruites, donnant ainsun logement pour200 personnes cette saison. : xcelleaptcuisiiei (Sylvestre, bien connu, de ceux;ii~ ont'visit6 inon fthblissement) un mat: teed'h6tet ittentifzettdes domestiques actifsuet po. Iis seoiit engages pourIla saison, comme .assi un or. chestre ayagt pour chef Toss le ecIbbre violon Ita lie'n qudi ajottera au plaisir de cette retraite. Deur liunes i'Omnibui feront le triajet rEgulib rement deux fois par semaine, entre Opeloussas et lee Sourcbs.--Et les aisiteura pourront, en faisant adresser lebsa letties etjournaur k Ville Plate, Bell. ,ene/y apri"gs, les recevoir deux fois par semaene. ension et logement pari semaine, -ib00 dd d: par jour, : 21 0O Efansta doinm estiques, aoitid prix. Enaretien.idunacheval, par jour, 1 00 . tti L .d e .. PATIN, Propridtaire. St._Landly 5 Mai i80.. 4m . SOURCLS-DE.,A POINTE AUX LOUPS LE sousaignd informesle: public qq'il jeat d'amdliorer de beaucgnpcet Eta. asement :,'e gai'iieatiuairiteenan'tb rgt recevoir esavisiteurs que Is Iierspec. *:, ",jve do plassir-ou 21ebesoitn d'ausliorer leursant6 pouarront y .conduire. Ces Sources sonts itues our le Bayou des Can nees i 3 riSilles onest des Opelousas. -Parmi las {:sources. i1 yyef a ld4 pbureoses1 de, ferrugineuses eb.!e aiisijales, £ ksl sent toutea trbs aboudantes at tr*is d'jntre elles fornient un bai dnt I'Veau chaa anngern e nt daurl'espace d'une et a nui quart. Enioutre dubainI priincipal, ` il9'eipi troen v tre;bam vigon 500 ppa. daPEtI blisseinent, Ae-i ;at ~burni. par une source, In plus fqide t la plus abondimnte. En aund~i~nant l~i'iuvertuia' de son Etatblisseiment, Is mdussir nen pretend pas en faire ons retraite ofi a fabhiois etle pliaeirsoonla ho.c rincipal.; acm l ut ea stpauat toutjtdoif frlussgejlc zesean a vy i :x dyspetiques et aux malades atteiuta de` finaids; tbtaneee. I a, pdanoitr ps des uaurons et d cd&s i~?stnbra aom oddmaet trles ietebh-h: a saabute e arllt qua faire se pourrael rapport;4estbesoin4 at dies 4Asire z s.evi asjtppa Ulne.P xced Ijehitiave u e, ok ies clihevaux mioa aave e uxqn voudronfa rtmd t gardatiea 1Yiaitt sddititnnelo1s se:. Une grae 1in-tiis viant-d'8tre teatiinse, eqn. tenant i riS n 'billeid at une xbirra ftaur ale'ýý rai;''iirs~ ·et· liqueurs s pour; Es*t rneapseatr :I:ikcpdu ;sfº r serý,mfa9ofrd ydaaaseerix, et, eet r . i 06i '>f. ANý3IE4QfI4$ A ` !ýJRIPiLOSI, . FIRJ1I3II 8. RL LOE& ES iiEouslse s1 dig i Jo br UEI Marsr 186Oien une Soesidt :onp0er-i ilaae taus rt raBoo der ii- u Da;Pr o.pour atenue.d'un ·mipor n ydo Ma mdise. S ibed c ;h, &e z Opelotsaast.. S`ie rffreut btier servioeerauppublio as m , ? ren. i -d vvat occup6 par $irpi ea & seii r2i Me sat pOoptlet Repg·ra .. auvendre. c d ie t apeut .p ds ju2 ~l1 ) do erm.t ut ' Celekb. Machies a Coudre, 'BE GROV ER & BAKER. A+ l 'sageA.a Fanilles et des Habitations. S'C. G-usisd. , agent pour Ia vente de cep a tnoa cines tico ar!ol les, est actuellemet aukiin usa& > 4e eO ctillos de trois de t machines soot ixposes au Magasin de MM. Ney & Dupr6. La supr&ioriti de ces machines eat en ceci : Qu'elles: font une cetate plus forte et plus. belle qu'on no la peut faire A la main ou par tout autre machine. -- i : Qiiles font une couture plus Elastique, qui durera u mieux, ct qui se prf'tera mieux au lavage et au re - passage, qu'aucune autre machine. 1 Quela vitesse avec laquelle cn lea fait slier est plus it grande que ne le permet tout autre, et la force mo i trice nEcessaire pour les mouvoir et bien mo'ndre 'e que cello neessaire B tout autre. Qu'elles marchent presque sans bruit. t Que leur m6canisme est plus simple, et est parcon s6quent moins susceptible de se ddranger que tout autre. Qu'on en apprend plus vtte la conduite, qu'elles sent plus facilement tenues en ordre, mises en dtat de service et changees d'un genre d'ouvrage A un autre qu'aucune autre machine. .e Leur service dans tons les genres de couture par d ticulibre aux menage des familles-- du linge le plus Sfin an plus commun on plus grossier. 'Qu'elles emploient le fil on la sole dans leurs bo bines origiuelles-c'est-a-dire comme on les obtient des magasins. Qu'elles finissent leur ouvrage et arratent chaque bont de leur couture ; chaque point dtant indepen dant de son voisin. Elles n'ont pas de courroie en cuir. m[Un enfant de dix ans les peut faire marcher facile ment. s P' Le sonssign6 est egalement agent pour la vente des Moulins h Coton dit " Eagle," des Machi u nes h vapeur et Moulin A Scie de Goulding, Bagely & Suwall. C. GAUSSOIN, Agent. Opelousas, 5 Mai 1860. DEPOT ET MAGASIN DE VOITURE8. Le soussign6 a continu ellement a vendre aux prix de - la Nouvelle-Orlians, de jolis Buggies, Sul kies, Roekaways,. Hacks et autres voitures, avec on sans harnais, 8dche, et fouet, vu que ces de'o,.ys se vendent avec les voitures ou saparsa'o. JOS. GIBBS. gtrousas ler Octobre 1859: '. Monsieur LAYIUR, e OUVELLEMENT arrive dansacette ville, a ae LI'honneur d'annoncer qu'il vient de prendre tn atelier spdcialement pour la reparation de voi tures et de meubles, tels que peinture et garniture de voitures, vernisage et garniture de meubles, et autres reparations en tout genre. II esphre que I'didgance etla solidite de son travail, joints A la modicite de ses prix: lui attireront bientft la con fiance d'unenombreuse cliedthle; I1 fera desou vrages a fapon et se rendra sur les habitations des personnes qui voudro;t faire c9nfectionner chez clles. Son atelier est dans la maison ile 1Rose Thierry, rue-Bellevue, aux Opelousas, 12 juin 1860--6m L E soussignd prie toes ceux qui lui doivent pour achat de, bijouterie, rEparations aux I montres on autrement; de venir riglet sanri ddla, autrement its se feront faire des frais. II saisit cette occasion pour annoncer li ses amis et an public en gdndral qt'o partir de cette date 3 ii ne vendra ou travaillera plus que pourdu comp r tant. F. DELARUE. OpeloumaQ, 17 Mars 1860. Le Dr. NIoleILLAN,, Washington Lne. A l'enseigne du Mortier. rue Maine, Ih Washington, on trouvera .constam ment on assorfiment complretde pures et fraiches DROGUES, 1MEDECINES, ET PREPARATIONS CHIMIQUES. Ce q'on pdurrait ne pas t'irouver en main suar de mande sera obtenu par ehaque retour do bateau. Leaprescriptions des: mddecins seront preliares avecIle plus grand soin et diligence b toute heure. p ILeDr. McMillan offre see services, comme mddecin, I tous ceux 9qun auronthbesoin. Washington, 19 Mat 1860-1a Eelaappes, DPE, chea-le soussigneia i Belle vue, dans lo.mois d'avril dernier, r un jeuite Mulet: Amdrieain, cou leur brune, pas de marque,.poil gris au nez, autour de la'boucheet des yeUx,, guee rase, bout de la queue blan;, porte les marques du collieret des traits ;- Un gros Cheval Crdole blanc, views, mar que oubliee Ce cheval: a dt e61evd a la Prairie Mamouth,. t Quiconque,rpmnera ce mulet et ce cheval, on l'un ou l'autre des deux, sera libdrale ment recompense. BENJAMIN S. HAW. Bellevue. St-Landry, 14 Juil. 1860-3m ID.omiptage de Chevaux. LE ,soussigpd domptera et dressera tant les Chevaux farou ches que les "Chevaux vicieux, .l e les faisant aller tranquillement soit'sous la selle, soit sous le harnais. II montera on atolera. n'importe quel che al on lai aminera gratis. SI1 domptera les. chevaux et lcs corrigera de tout vice, aux,conditions suivantes: Pour tout cheval vicieux, - $10 00 " 'ý . farouche, - - - 5 00 S'il ne donne pas satisfaction entiere, ii ne charge rie. G. B. MILLER, 23 Juin 1860-tfj A Washington. LE soussign6 n dtant plus au service de M. Delarue, a ý'honneur d'annoneer an public qu'il s'est dtabli aux Opelousas, oh ii rdpa rera les pendules, montres et bijoux qu'on voutra bien lui confier. Les buvrages les plus diflicat.s ei lhorlogerie, tels:que reparations de ehronomb tree, patent-levers,letc., Juisont familiers et ii les garantit: pleinement. a. Sot aterier est situd rue Bellevue, entre Maine et Cour, aux Opelousas. :2 juin 1860,. W. H. JUDGE. oiE soeusignd dtatun ancien commip de, bvette - saisi cette occasioo, pour annoncer A ses amis et au public en general u'i vientde piendre comme ignt In direction pu Caf dle M. .'bGoinig; a Wash ingtion, of il se fera toujours' oa plaisir de aervir lea melleures boisonas que l'on puisexse procnrer aux aeni. ;J. J. , DRINKARD. Washington, La. 4 ofot 1860. in, AGElNCE BDE TE'RIES. ' UPiRE' & GARLAND agiront comme agens d. U es Terrebi s'enq;,erront de la validit&ides titres destoried, et dchbteront :t venoront; des:tea p g Ltu, ru Yid.d, aiux Opelouas. I , !5PIrdvrier 1860. icaIN.: s A .TFAUCeR,' LE FOIN. O N trouilera, ,en vsente., .aR Magasin de re.y ;& Dupr6, diverpes ( Maehines A Fequihe~le ~gin .. [ J28aillet I$0, 'T 'JL-.Ada'-abli d'una imansure pipruanente a S iWashiigton, 'ioYre sea servies B co.ti6om e tel e tow, ceuo gni voudront bien. l'hoporerde leri con. SSo,t ueau eaten face la Phamoaci, de MM Lou si:.llier &B ioncez.2,yie dlle. ýHR $ LEaS;NEIES MARRItNS ! E s de i tieit uh nei etet aceel en i abi. pour u cmptan t [N Jesillet ei'oeeixrsn ro Ijan pub itour l;price Brear nduiieozarrier, onentri'smains do leav ra `i ai iaasitto, qt, Bemuede Anti- DyptheritiqueC Pour (a guirison et la privention du mal degorge. AU. PUUITSLE SE su:ccs constant ue jai obtenu enradmini Straht ce remade m a decd a le mettre a Is port6e:; -tos:i. Cette maIiie, qui jette la ter-. reur dane I'esprit de tout le monde, cede ficiteme.t ace remede et ecarte ainsi tout danger de mort. Lea mysthres qui ont jusqu'a aujolrd:hui entour4 cette maladie ont etc dissaEs, et la maladie pent maintenanta tre clossse dans la catEgorie de celJeJ que le proverbe universel d6finit ainsi : " II y a un rembde pour toutes lea maladies.,d J'avance done avec conviction qn'un remede certain pou' la guerison de la dyptherie a 6tI trouvd et je l'offre ici au public avec la garantie d'un succs certain. Ce rembde eat prepard comme sirop on solution et en pilules. Les enfans en bas age ne repugne. ront pas de prend're lesirop, et ceux d'un fge pluis avance distingueront ditllcilement le goilt dans la solution. Les pilules sont prises avec le sirop et la solution. attendu qu'elles sont composaes en parties des mbmes ingredients que le remde; le tout constituant une panacee pour la gudrison cer taine de cette maladie vdndneuse. - Ce remede non seulement guErit, mais encore previent la maladie chez les personnes aptes a la contracter, previent son caractsre contagieux trbs positif, on le reud inoffensif meme si la maladie existe dans la famille. Beaucoup de chefs de families et autres person nesconstateront avec plaisir les rdsultats ci-des sus annoncds, lesquels aprbs avoir cid en proie a une terreur de cette maladie, out aujourd'hui une confiance illimit#e en ce rembde Comme tous les autres nouveaux rembdes, ce lui-ci sera en butte a Ia jalousie et au prEjuge, mais a un public qui saura discerner, je dirai de i'essayer eR toute conscience, et it n'aura bient6t plus besoin d'autres certificate que ses succes. Les directions se trouvent dans l'enveloppe de chaque fiole. Le sirop et lea pilules devront ttre pris ensemble. A vendre par P. L. Hdbrard et John Posey, pharmaciens, aux Opelousas, et par lea e.utres pharmaciens en general. On demande des agents dans toutes les localitds. Adresser: C. A. HavDY, M. D., chez P. L. Hebrard ou chez John Posey, Opelousas, Lue. 28 Juillet 1860-3m Gruau de Sante. VERITABLE HYOIENE DES FAMILLES, SUBSTANCE ALIMENTAIRE ET REIIEDE PAR FXCELLENCE. Ddcouvert et prepare par M. MARMAY. ETTE nouvelle et prEcieuse ddcouverte eat patentde pour la France, I'Angleterre, I'E cosse. I'lrlande, la Belgique, ainasi que pourlea Etats- Unis. Les constipations les plus rebelles ne peuvent resister A l'emploi journalier du Gruau de Sante; on en prend alors deux potages parjour, un le matin et I'autre le soir. On le prend comme aliment sans Etre astreint Sun regime particulier. II estagrEableau gofit, excite l'appdtit, .facnlite la digestion et guerit plus on meinsvite, mais toujours infailliblemnent toutes lea maladies de l'estomac, connues sons le nom de Dyspepsies, Gastrites, Castralgies, .igreura, Migraines, Crampes d'Estomac, Constipations, Foamissments, Diarrhies throniques, 4c , 4c. I Lo Gruau ail SantE, cet alim:-nt unique et in coinparatile, cialme aussi lee irritatibns deal -poi trine,latoux et le mal de gorge, ii gu6rit egal'e ment I'enrouement et l'extinction de voix. s-On se trouvera bien, ,.endant lea premiers mois au mains, d'en prendre le matin et le soir Vente en gros et en detail par A. RENAUD FRABER. agent gentral pour les Etats-Unis. DEp6ts dans toutes les villes principales des Etaes-Unis.-A Ia Nouvelle-OrlEans:'Fue Conti, No. 44. entre Cihartreset Royale ;aux Opelousas. aux !harmacies de M. P. L. Hdbrard et' de M. Jdain Pony. - 3d e 1859 -la s Bell -heney a vendr . La soussignee vendra S. . l'amiable. cette Retraite d'&' e i.i(loyalement encouragee et bi es connue, ies Sources de Bell-Cheney. e. Le morceau de terre sur lequel se trouv. 1e cet 4tablissement contient environ 200 ar pents de superficie. Les Sources se trouver - an centre d'une charmante piniere dont . terrain est podtiquement accidentd, A environ 36 milles an Nord-Ouest d'Opelousas, danu r, la Paroissee St. Landry. Les eaux ont 6ti a- analys6es et on a ddcouvert qu'elles' posse z, dent de grandes proprietds mindrales. Les nombreuses cures qu'elles ont operd, m.m u dans les maladies chroniques d'une virulene extreme, soot venues confirmer cette aonalye. r- et eesSources jouissent mainrenant d'une rt- a nominee xtendue et d'uu encouragement Ii biral et meritd. 1. Cet 6tablissement peut maintenant rec' a- voir commoddment 200" pensionnaires. Sa position gdographique commande de grand avantages, attendu qu'il est situn entre la n ligne principale du Chemin de fer des Ope 7 lousas et la ligne d'embranchement destinge A le relier au chemin de fer d'Alexandrie et ,t du Bayou Bweuf, A pas plus de trois on qii. - tre mills de la ligne principale et A noi: a [, d'un milte de lal hgne d'embranchement ; mt le dep6t qui. devra 4tre 6tabli A :i Prairie [I PiniBre no se trouvera pas A plus do six on il sept milles des Sources. Qoand le Chemin de fer sera termind, Bell-Cheney sera une a des retraites d'ot6 du Sud les plus encoura gees. ,qg-La soussign6e vondra l'itablissement en entier, ou disposera d'une moiti6 indivise l en faveur de quiconque serait en :nesure d'ap porter dans une societ4 les moyens et les dle mens necessaires A la continuation de l'ex ploitation de l'dtablissement, avec les amelio ration que pourra ndcessiter l'encouragement toujours croissant de cet 6tablissemeat. . Polir plus amples informations, s'adresser a anu Bureau du Courrier on a . E. PATIN, propridtaire. Ns.. B.-Les lettres pourront Otre adressees a Bayou Chicot, Paroisse St. Landry La. e 4Aoat 1860. 35 Terres a vendr :a l'amiable UN MORCEAU.DETERRE BOI SEE, situ6 sar 'le Bayou de la Petite Praipie, dansla. Paroisse,. St. Landry, pres t de l'liaiitition de C. L. Swayze, mesurant 481 acres et 42-100mea- - Conditions, $5,000 un tiers payable comptant; qn tiers A un an,. t on tiers k de.r. als de' rddit,. compter dou jour dea vente. w.. UN. AUTRE MORCEAV "DE TERRE,. situd au Bois_ du Bayou Mallet, en cette Paroisse, h 9 miles envirbn desi pelousas, mesurant deux cents" arpents de superficie, tien boise, borndau Nord par s des terres dAsa. Durouaseau; h c: 1:,i au Sod.par a des terre de-Frariqois Simien, b. c. .:, h lEst par la terre de Jacques. ,Droussea h o.' I., s ns 1eq amiioratisons.-Conditiois., $1,500'; 'un tietspata bie h? m an, n. i tiersi deuar ans, et on: tiers htrois ans de erddit, avece poor cent d'interdt cempter du jopride ia uente... C. H. MOUTON. Opelousas; 25 Fevrier 1860. MARAi NDISER D'TE AU PRIXU COUTANT., 1~OUS avons la faveur d'appeler votre atteotion ..ik hpotre SLo* 4di Marelhandises d'Etd, que naus a , 4s.miiud 1,de vendre, ,dIes prix tr s b asK aiivisirsoeandrons notre assortiment d'etoffcs pdOur idni es imlldle ormarch` ge'onh no lee a ven uese auiper~i :-t~ Notre asedtmetit "dtoffes poor m esieursod'habillementes Ionfogo",ndA oola ite l }rinipa ueat orabits et paitons eo alpiaca uoir, qne tOouitronsau psis contaot, ,fin i:e faire -e Is place bpoule db. b&IM o'de' do' ne 1rbih'diss d'au- sitoine; Less soulieieeomme .issi les ei ipeasx1atemelles ment t1 . ai, M:ao + vendusau gix .oet.i. . i +"asbit)Hde$.3 . 2. i montapy,;:ý :ii . .+" m+ a,. i m1,n `tagte . (·il eei , 1(eI I : ; .[f. l-€ -,·; 'J " P :d1ufijtcive, toousl les ~r~t b are s ijlosti apr. ~.u qu'ooelatesae ahater i No svelle.QrM aani . Pporvo a jvous de bonne ienre - - BW(G, Ft flBýiR G&'S C c p4. e o 1ER, OpelaJ-ss. ' •r E soa aigon offre sea seorices comme agent en terrespou r vendre, achleterou toutes au troe affaires concernant lea terres. Son intention estde teaj r un r6gistre oil sernt inscrites led: terres doi on lui conlera la venta, alnsi que l localit, i nature du sol et l~ production dont elle,.sonto suaeptib es. Ces terres seront affich(bi et lea affliches circules a telles places, dans cet Etat et dans d'autres qui a: runt jugies devoir en effectuer la vente. La commission sera au taux habituel.. Son bureau eat sur le c6te Nord dela Maison de Cour, pros de I'encoignure Israel. JOHN MACDONALD. Opeloulaar 21 Avril 1860. Marchand de Foin, Avoine, Ma~s, etc, No. 105 (autrefois No. 62) Vieille Levee, NO UVELLE. ORLEANS. rtr Les ordres adresses de la Campagne sont promptement exeutes. [19 mai 1860. GA'IRIEI. PASCAL, MARCHAND COMMISSIONAIRE. Ddtaillant de pro..iits-de l'Ouest, Pork, Breuf, Graisse. Farine, VWhisky, 4-c. No. 97 rue de la Vieille Levee. 12 Mai.] Nile. Oritans. DUlIESNIL & III ARTIN, Jt1archaftltbs Qommis sioalIfrCirn, No. 71 rue Caronde/et, NO U VELLE-ORLEANS. HENRY A. DUMERSNIL. DR. J. T. IiAWrrIS, EnxDsn Ii. MARTIN. en commandite. 17 Decembre 1859.-1a. TW. L. ALLEN t& Co., _Marchands en Gros de VINS, IJQUEURS, CIGARRES ET TABACS. (Au plus bas prix du cours et garantis sous tous les * rapports.) No. 35, Rue de la Commune, 17 mrs'60] NOUVELLE-ORLEANS. A. ROtrSSET. C. A. GEaNIs. No. 83 rue du Canal, pres la rue de Chartres, NOUVELLE- ORLEANS, MPORTATEURS et Marchands de Quincail lerie, Coutellerie, Peignes. Brosses. Parfume rie, Papier et Fourniture de Bureaux. articles de Pache, Jouets, et un grand assortiment de mar chandises de fantaisie, d'importatlon directe. 12 Iovembre 1859. Rue Bienville, encoignure Passage de la Bourse, NOUVELLE- ORLEANS, ONT Phonneur d'annnncer a leaurs amis et au public en general, qu'ils ont ouvert, au No. 52 de la rue Bieriville, encoignure Passage de la Bourse,i Padresse ci-dessus. un Magasin de Meubles de tous genres, tels que Lits, Bureaux, Armoires et Lava bos, Tables de centre et autres. Sofas. TAte-a-tate Chaises, Fauteuils, Chaises, Matelats en crin, a ressort et en mousse-plume, &c., &c. Ils entreprennent les rfparationst Echanges, et prennent des meulites en magasinage. Ils osent espirer, par leurs soins et efforts,obte nir une part du blenveillant patronage de leurs amis et du public. Nouvelle-Orleans, 27 Dcembre, 1859. Depute' Arpenteur des Etuts-Ulns. Baton Rouge,'Louisiane, D ONNERA une prompte attention a Ia rentree des terres au Bureau des Terres de-r'Etat, A Baton Rouge. (29'Octfbre 1859. E E. COCHRANE, BncantetiU Public. ON Bureau est it Marksville, Avoyelles, au bureau du Greffier, M. Ludger Couvillon. Toute affaire de vente adressee ast bureau du Gref. tier recevra la prompte attention de l'encanteur 25 Fdvrier 1860-1a. V. CORMIER. Avocat, Bureau i 1Washingto, Le., S'etant dtabl d'une manibre permanonte h Washington, s'occppera attentivement de tonte affaire confi5e i ses soins dans les Cours de Justice de St. Landry et ties Paroisses voisines. Washington, 23 Juin 1860-Ia AMERICAN AROMATIC BITTER CORDIAL & Amer Toni-Aromntique, Cordial pour Ics dames, lea personnes agees, etc., etc. C ES deux amers, Je premier se prend par md lange avec quoi que ce soit que Pon aime, et le second, qui est tout pripard, se prend pur; on pout prendre Cgalement les decx mlanges ensem ble, et par ce inoyen obtenir suar le champ au amer plus ou moins amer, faible ou fort; enfn. l'usage des deux reunis, on de l'un ao I'autre seul, entre tient la santd en rdtablissant les organes de la di gestion, source de tant de maladies pinibles, telles que nerveusee, foie, gastrite, ddbilitd gdndrale, &c., &c., et toute convalescence accompagrine de grande faiblesse, a la suite de flvres quelconque; rien de snpdrieur pour ralppeler promptement lea forces et rdtablir tout-h-fait le convalescent. A vendre par A. A. PEYCHAUD, Pharmacien h la Nlle-Orieans. et par S. Lavr, agent pour la Paroisse St. Landry. Opelousas 8 Octobre 1859.-la Le Dr F, W. LANTER, Chirurgien-Dentiste, Rue Mountville, Washington, Lne., SS'ETANT depuis bien des anndes 1. consacri I la pratique de la chirurgie dentale, est ' mgme d'exdcuter toufe opdration, quelque difficile qu'elle soit, avec la plus graude precision: it excelle dans fart de con server les dents naturdlles, et s'y applique paiticu librement. Le Dr, Lanter consacre tout son temps et son attention a I'exercice de sa profession. Washington, 26 Mai 1860--a Arpenteur de Paroisse, S'OCCUPERA de tous les travaux confids 3 ses soins. Rdsidence aux Opelousas. Opelousas, 17 mars 1860-1a E. W.L. ,1 .MIT , . frpenteur Dans et pour 'a.Paroisse St-Landry. j-"Tout ordre depose entre les mains de M. 8. J. Barry, a' Grand Coteau, sera promptement executd. [23 Juin 1860. DepZitt Arpenteur des Etats- Unis. -El Bureau a sa rEsidence, encoignure des rues Court et South, aux Opelousas. 9? Juin 1860. OR DONNANCE Ainetdant les Sections 4, 8 at 9: de 'Article III et de 'Article I Vd'une Ordotnance intitulle " Or donnauee pouer potrvoir a an revenu pour la Ville des Opelousas," ordont& e isO Avril 1860. AnsttcLSI -L Bureau de Police de la Ville des Opelousas ordonne' eo0 me suit: Anr. II-Que lsa 4me-section de PArticle II de la suedite ordonnance, prdlevant oune taxe annuelle sur les billards et cafes et qui dit : " sur touts et chaque table de billard, tenu6 dan uan but lucratif, vingt-cinq piastres,"-soit amendde' de manfare I dire comme suit-. Sur tout et chaque table de billard tenu'dans no but luEoo f, vingtecinq piastres, et sue tout et chaque Cafe cent piastres. Art. rIIn2-Que la 8Sae section de 'ArticleIII-de l'ordonrinnce' s'ndite, prdlevaftt ine tase annuelle s.e le sapothicalrsi on droguistese, qidit: "our tent et cheilue apothlc~ire onu droguitet' dix pisastres,; soit ainmende doe irnire dire'k coimemait : sear tout et chaique'apothicaife eu tdroguiste .vigtceinq pias tres. 'Asi. . V-. Qu . s 9s. e section de PArticle III de l' suadite drdbtianshde, prlevait on taxe rnnuelle sur lee bijoutlers,; dif dit a" Sdt tout eachebque bi jontier dixpisetree," sol.tnmite de mannlre i'dire comme suit: sur tout et chsquti bijeutlda-:Wngteinq Ax; Y QuP fticlE@ 4w.nde e'ordonance sjs dife qaui dit : lQ`a les taxes prdlevdes par rArtti ceIl de` eidt oroninaceb seoreit imposdes our et colfdtec tdebtoite et ehaque- malon esparde tedne psiiarlituti peiano Ineintlnnde dane ledit Artile III" soit ansidt de mianitre .. lireecomnme suit : Qtae ti taxis prdlevdes par Al'ticle -Ii do adtt ordo n nItaae . arontiI.apoes ier et colleatee de te d et chaque maison s~parde aena-aue r toute petodone aniftloinnde dais ledit Artiele II;, et iot et Cheique salsi6i danrsehabcon de dtate,.rofessiona oti oc·: piat iessujatah uuD tnsz Oidonfet2 S JtellBtA. -D. . SB . . D J1- & RAME& Y, Prdsdidrt Jos. D. RBttuea, Greier. GOULDING, BAGLEY & 8EWALL, FABRICANTS rT FOND.NRS DE MACHINES PORI.A. TIVES. DRE UOILLOIBES ET DE MOULINS A SCl6... Agence pour le Sud, au Magagin de Ney & Du, pr6, rue Maine, aux Opelousas, Lne.., 'CAMILLE N. GAUSSOIN, 4.gc;. iM L GAUSSOIN s'empressera de donner toute .L..,information desirable touchant ces ma. chines h toutes les personnes qui desireraient en acheter, et est I meme de fournir, a demande, des machines h vapeur de la force de 5 aB 50 chevaul, aux prix de la ouvelle-Orl ans. et aussi des scies circulaires et des moulins h coton dit Eagle. Les planteurs qui disireraient adapter Ia force de Ia vapeur h leurs moulins i coton, trouveront h leur avantage de sadresser h M. Gausaoin, qui mettra one attention particulibre au pourvoldecaes petites machines, propres aux moulins coton, et s'engage h lee livref, machine bouilloireat,. le tout complet. h aussi bon compte quaonpeut les obtenir h la Nouvelle-Orldans. Opelousas, 16 Join 1860-tf Aux.habitans du Gros Chevreuil, et des Prairies circonvoisines.. (Changement de domicile.) SE Doctetr HENRY s'empresse d'inforr~e L habitans de la Praire du Gros Chevreuil, ains que ceux des Prairies circoivoisines, qu'il viet de transfdrer son domicile dans la ville memers Opelousas (ancirtnce maison du Dr. Acher), o1il I va continuer l'exercce de la M1decine. 'e ddpl.cement n:oc qs;ornnant de soapr~eide. .ieroneri e. u un eIoigne. " 't P eS1Ique iwgni nt,, II esp.re b:l qclue, comme; Is p)asSe: ip al.le plaisir encore t serrer cordiak .°t la mainra clients des bords da Bayou T'&ch, t ef qualiti de vieil cmi, sort en qralitd de vieux medeia, Opelousas, 21 Juillet 1860. Uine Habjtation bien etablie. OUS sommes autorises h vendre une prop.j.g' tM situ6e a la Prairie de P'Eglise, a envires trois miles des Opelousas et h one egale disetanc de Washington, consistant en 175 acres de terre, 45 desquels sont entourEs. Les ameliorations sont completes et font de~ fa propriEtd une residence comfortable. On est I. meme d'acheter avec ou sans cette pro priEtd de la terre boisee. DUPRE & GARLAND. Opelousas, 19 Mai 1860. , A VENDIRE. UNE SUPERBE HABITATION, situae e trois milles du Port Barri, oquatre des Opelousas et I quatre milles de Washing on, situee sur les deux rives du Bayou Tgche, ayant 680 arpentasur Ia rive Est et 400 arpents sur la rive Ouest; 450 1 500 arpents desquels sout entourEs, et lereste est terre boisae. Les ameliorations consistent en une bonne mai. son de residence. cabAnes A nbgres, sucrerie, co. tonnerie, etc., etc. DUPRE & GARLAND. Opelousas, 19 Mai 1860. A VENDRE. NT E BELLE HABITATION SUCRIERE U eitue sur le Bayou Beut, consistant en 1700. arpents de terre, bien am6liorEe comme habitation sucribre. A environ dix malles plus haut que Wash. ington, dans Ia Paroisse.St Landry. DUPRE & GARLAND. Op.'eugas, 19 Mai 1860. "A vendre a I'amiable. UTNE Habitation cotonnibre, bien Etablie, sitode sur le Coteau de Plaqnuemine, k environ 8 milles des Opelonsas, mesurant quatre cent vingt arpents de superficie. avec la rdcolte sur pied,, comme aussi 2. eselaves qui y sout attachds,et les chevaux de tire, bestiasx, etc. Ces propr:EtEs seront vendues h des conditions: avantageuses h Pacqudreur. Pour plus amples informations s'adresser au bu-. reau du Courrier des Otelausas. 126 maslS60 .Mloulin a Sucre a reaadre. UTN bon Moulin I Sucre. a chevaux, avec SJ un jeu de Chaudirres. le tout en bon ordie,''. sera vendu I, un prix modre'. S'adresser i John. P. Hudson, A Bellevue, ou au bureau da Coarrier des Opelousas. (9 JuLa 1860. .i vtendre a ,'avniable. ST N morceau de terre de 800 arpeots a, )U superficie, situe A environ 15 rilles di village des Opelousas, dont environ 400 sr pents de bois, le tout bonne terre cultivabile. Cette terre sera vendue a $8 l'arpent; la moitid payable comptaut et la balance inn' an de credit, sans interet. Pour plus amples renseignements, s'iadres. ser a ULYSSE PRUID'IIOMME, a Washington, on au bureau du Courriei des Opelousas.. Opelousas 18 Fev. 1860. la. HABITATION A VENDRE, S ITUEE sur le Bayou ,licuf, contenant 804 acres, dont 150 sont bien defrichbe et entoures. Ce morceau de terre est cgal en fertilit6 A n'importe quelle autre terre sur le Bayou' et sera vendu a des conditions avantageuses. S'adresser au Dr J. A. TAYLOR, 19 nov 1859.] PrBs des Opelousas A Vendre a ~Paunlable. U N MORCEAU DE TERRE situd a la tete du Bayou Slow, St. Landry, dtant le Quart N-O. et la Mloitid 0. du Quart N-E. de la Section 6, Township 5 Sud de la Rangde 6 Est, contenant 242 85-100mes acres. Pour les informations, s'adresser a Aug. N. Robin, au bureau du Recorder, ou a Mame P. Labyche, aux Opelousas. Opelousas, 8 Octobre 1859-1a. Reidence a vendre. U NE RESIDENCE, situde. dana un des bons quartiers de la ville des Opelousas, sera vent due a des conditions avantageuses. S'adresser au bureau du Courrier. 12 Mai 1860-tf A vecndre a I'amiable. U N MORCEAU DE TERRE, mesurant200 arpents (plus ou moins) de superficie sitail dana la Paroisse St. Landry, dans'le quartier apps. 16 I'Anse des Cavaliers. Pour plus amples informations, s'adresser a M' Daire, a la Ville Plate, ou au Bureau. du Coarrir des Opdlousas. _ Opelousas, 7 Juillet 1860. BOIS DE SCIAGE. L E soussign6 ayant ameliore et traul . portd son moulin A scie A deux milles du PortBarr6, sur le Bayou Courtableau, est actuellement pret a scier- u'importe quelle quantite de bois de toute proportion et joh qu'A 42 pieds de long. Le bobi sera livre soit A son moulin soit au Port Barrd, et le forts devis eeront remrplis A des prix modedrs CHS. CLOSE:' St. Landry, 20 Novembre 1858 L E public eat par le pre-ent inform6aque Saml. P Clark eat pleinement auto' rise6 agir, comme mon agent durant Ia o aksence, JOSEPH GIBBS. Opelousas, 23 Juin 1860.-3m JOURNAL OFFICIEL DES OPELOUSAS j. Public le Samedi par t JOEL H. UANDOZS WILLIAM I. SPIIB:., COQNDITIONS"' , i Le prix de P'abonnement est de TROISo p1 s4e pa~an, payabled'avance, ou erATBs piastregtoas ble > la in de I'ann-e. Aucun abonnement ne sera revu pour un tem moindre de douze mops. Aucus abopnement ne sera discontinue aIva que les arrerages ne soient payds. , Les abonnis qui voudront arr4ter lear aDflh1 mentdevront on donner avis, par Ecrit, an inseima mois avant le terme de leur abonnement. Les avis seront insdrds A raison de cinq cents la ligne pour dheaque publication. Une dddnction lib6rale sera laite pour lea avis i I'anhdeou per. manents. Toutav~iakmoins quil n'en soit autrenhe O#r donn..sera pnhid en frangaia et en anglsist JU qu'h ce qu'il olt retire, ou jusqu'h ce que lese ternajugent t propbs de le retirer. Les aris on communications annonfant un:'isa didat se paiaront dix piastres et d'e ance,