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TER RIBLE EXPLOSION. IEFFETS I)E LA NITIRO-GLYCERINE. Voic'i (ulqucIies dcltails sur une explosionl de 1800 livrcs do nitro ly(-erille qu'(n l clargeait dans 1111 village de .1elgique,. Le village de Quenast est rava ,(tr: lreslite toutes les niaisons out leurs vitres brisdes et leurs toitures endonllnagdes. Quelques 1 unles out 6te Iranldes jus(ue lans I leirs tfondlenlets ; (des lezardes profondes so remarqueut dans les iIurnailles intdricures et extericu rs d'un grand nonlbre d'habita I io( s. La secousse a td6 d'une violeneie tdle (jue la terre a tet dbranlde A pllusieurs lieues h la ronde. A T'ubize mame des vitres out vold en 6clats, et le materiel des 6ta blisscnmeits Morel a 6t6 boulever s.. Tubize est A plus d'une lieue de Quenast. A Loth mime, on a ressenti les effets de la coummotion. Dans un village 6loigne encore, les enfants qui so trouvaient a l'eole out dt6 tous jet(s par terre. Partout, aux environs du lieu de Ia catastrophle, on compare la se consse pIrouvde a' celle qu'aurait cause un violent et court tremble mont de terre. Quaut au th6sAtre du sinistre, ii serait difficile de se faire une id&e le l'aspect ddsold qu'il pr6sente. Les arbres n'ont plus une feuille; leurs branches et leurs trones sont ou bris6s on profondement ddchi rds. Les recoltes sont hachdes sur une grande 6tendue ; elles out 4td en quelque sorte balaydes par le torrent furieux compos6 de dlbris de pierres, de briques, de fer, de Jiois que l'explosion a chass6s "i nu'e unorme distance. Chose presque incroyable ! le vaste et solide magasin a c6t6 du qu1el l'explosion s'est produite, a 6Ct6, on moins d'une seconde, littd ralcencnt pulv6risd. I1 ne reste pas line seule brique qui soit en tiire. Des poutres 6normes out ,it6 hachies menu ; d'autres out 6td lane6es Ai une distance incroy able. Le magasin contenait des us tcusiles et des machines en fer; le f'r entrait aussi pour une forte part dans sa construction. Tout a 4t6 tordu, laeBr6 et projetd au loin. Nous avons vu un 6norme verrou :enfoade de plusieurs pon ces das tin tronc de penplier, si tu6 n pluisde cent mitres du lieu die l'accident; - une lmngue barre de fer---u tirant saics doute--se trouve enrounle, a uwe hauteur considirable. autour du trone d'un autre.peu. $ler,. uquel iI fait com me oine Lorte de bracelet. De la quantit6 considerable de matdriaux con*nus dans daps le magasin gm.hral, il ne reste rien quoe des dtbris Iinimes. et tout a fait m6connaissables; 'des miettes pour dire juste... Trois ours A peine se sent pas sis itpis le moment de la catas trophe, et dji, grAoe la~ctivit4 d6ploy4e par M. Denuit, bourg mestre, employd de la Soci~dt de Qlenast, un certain ordre a gt6 ap fryaanteau~6 gr 1 l tA iosafon. On tdbttlaxfI voje fen.e et le che buis~ 6 tentthsuve on aest j. pliqe avede~hlf soo 'Ic le rn le dreeaikO 4&vietie ep 4. ex. iplosion on i a -rtrouv, entuire scieura qi travaillaient a-udelt1 +Q 3u ui huits .peisonne i (3!r $ raie#'tstotr afl rs , v tx M, )ih u rnagasinier, M. Brisl chuaapetiir, et nhe petite tr * e} nni1Mtei Aug' 'men º.a t e °"tovI6.u * 44 ---------- ----- ------ It r PROGINAIMME DE LA Democratie Nationale, ADOPTe PAIP LA CONVENTION DEMOCRATIQUE. Le parti ditmocrate, ass'embl en Con vention Nitionale, mettaut sa confiance dans l'intelligence, daus 1; patriotiemo et dans la justice eclairie du peuplI, preuant la Constitution comme source et comme de iniition des pouvoirs du gouvernement, et counic garantie des libertes du citoyen, et reconuai3sant que les questions d'csclavage et do secession ont ete reglees pour tou jours par la guerre on par faction volon taire des Etats du Sud, dans lecurs Conven tious constitutionnelies, et qrip ces ques tions ne duivent jamtais etre posees et agi tees a nouveau, apros le retour de la paix, L)E1ANDE : l;-La rec-touration immediate de tons los l:lts dans l.urs droits, dans l'Union, bous la Constitution, et la restitution du gouveriemntct civil au peouple amnricain. 2o-L'amn:istie pour tous les delits et crimes politiques. et le reglement des con ditions de la franchise 6lective dans les Etats par les citoyens do cos Etats. 3--Le paiement de la dette publique des E:tats Unis aussi rapidement quo possi ble, en appliquant a ce paiement tous les funds tires du peorple par I'iwupt, sauf cc qu'il faut pour les besoins du gouvernement administre avec economie; et quand los obligations du gouvernement no portent pas express6ment, on quand la loi en vertu de l:auelle elles out etr emises ne statue pas qu'elles scront payees en especes. elles doivent, en-droit et en equite, etre payees en, monnaie legale des Etats Unis. 4o--L' galit de taxationu sur tonte es phce de propriet6 suivant sa valour rdeile, y cunmpris hIs obligations du gouvernement et autres valeurs publiques. 5o--Une scule wounaie l~gale pour le gouvernement et le people, le travaillcur et le fooctionnaire, le pensiounoire et le sol dat, Ic producteur et leo porteur de titres de la dette.% 60- TL'iconomie duns l'adu:ini.tration du gouvernenient; la re.tuction de 'arnlme et de la marine permanente ; I'abolition du Bureau des Affra:uhis et de tons les instru ments politiques destine:s assurer la su prematie da uegre; la simplification du sysitmo et la cessation des modes inquisi toriaux employes `pour I'assessement et la perception du revenu interne, de telle sorte qute le fardeau do la taxation soit egalisa et amoindri; le retablissement du credit du gouvernement et de sa circulation; le rappel do toutes les lois pour enr6lur les milices d'Etat en forces nationales en temps de paiS, et un tarif do revenu- sur leos im portations ttrangbres et une taxation egalt, sous les lois relatives au revenu interne, qui, tout en accordant une protection inei dente aux manufactoree domestiques et en n'affaiblissant pas le revenu, imposent ne anmoins le fardeau le plus leger et favo risent et encouragent los grands interets du pays. - 7o--La reiforme des abus dans l'admi nistration, I'expuision dda hommes corrom pus de tout emploi, :l'abrogation des places inutiles, la restauration de l'autorito lCgi time et le retablissement de I'independance des d$partements Excutif et Judiciaire du gouvernement; Is subordination du pouvoir civil, afiu de faire cesser les usur pations du Congrbs et le despotisme iu sabre. 8o-L'egalitE de droits et de protection pour les citoyens naturalists et natifs an dedans et- I' trauger; Patfirmation de la natiojalitd amnricaine qui doit commander le respect' des puissances etrangerts, et fburnitr an exemple et un enconurgement aux peoples luttant pour l'integrite na tionale, la libett4 oonstitutionnelle et les droits individuels, et le maintien des droits des citogens naturalises centre la doctrine absolu.de l'allegeaoce immuable et contre les pretentiens des puissances ,trangbres de punir "ceg citoyens pour des crimes qu'on pretendait avoir 6td commis hors de ia itridiction de eee puissances. En 4euailudsn& oee meaurea et ces rd formes. nnus accusons devatt le peuple le patrti Radical pour son mnpria du droit et pour Ioppresaion eti ia tj~annie sans #gales qui out marque sa carriare aproa l'en a e meet geleihbeft a tanimse des dear CTlI tteae do Ooih9o A ½pt rauivre'` a gtaeie xchssivetaentpour le,niafntien du gouver 'aemeutet.pour lakpi'eervatin ýde l'Union at, d" a oust4itutio. e ,LI a vioild·aintea- foia_ e engagement .S4t4, a vertu d(iquei, auwi 6 ralli~e cetteacoble arnade-volota ire quias coaduit ,ot, drap2auax -, la viotoire. Aq lieu de restaurer l'Union, iUtfiit-tout oe qu!ilpoli % pouwr ; diaso dre , e9.a aenmiodix tatst tps dpajz}aaI proinde, au des otisme iinflitaire ;e ~ a wmstie pegre. II a nullifi Jea.drit de jgement par juri. II a abofi piivire~ d habeas" corus, r~pu , I ~lIrtpde aoia p de II a sabbatitu8 leasuisies et lea: aIreah ui ncs crbitauirea, et la lge$eamntsranrtaiaiee, ettsi ienq uf ºa Vii' dona t b asB arden tea., eux trib*ik obauiationn ela . W:i46~idtsn,.en temps depaix, lI droit du 6 Ai inupt 4e pudi6ions ~~ -It, I ,is j 4 a p ii, *4&~t~iW a*!aqa4 our d'impor. csa ele, devas 1a tribenaF 'I naoe ar d t' .. aa ,aa ' f f III:-; iIpu.dalvnV I Sous ses attaques rep . esIese fondations du gouvernement,6sobntbrtiues,et si, en novembre p'ochain, il ,russiegait a inaugu. rcr son ]Pre.ident, nous nous assemblerious comme un peuple subjugu6 et cosquis, au milieu.des rines de la libert.et des frag ments epars de la Constiatndn. ET Nous DeCLARONS ET R.soLVONS: Que toujours depuis que le peuple des Etats Unis a brise le joug de la courdtne anglaise le privilege et le droit de suffrage out ap partenu aux divers Etats et out etr exer. ces, reelds et contr61es exclusivement par le pouvoir politique de chaque Etat, res pectivement; et route tentative du Con gres, sons quelque pr6texte que ce soit, pour priver un Etat de ce droit, on pour en entraver 1'exercice, est une usurpation flagrante do pouvoir qui ne pout trouver d'excuse daus la Constitution, et qui, si elle est sanctionnee par le people, renver scra la forme de notre gouvernement et aboutira a un gouvernement unique, cen tralise et consolide, dans lequel l'existence saparee des Etats sera entierement absor beo, et par suite duquel un despotisme sans rescrve remplaeera l'Union F.ddrale com pos.e d'Etats egaux. Que nous regardons les actes de recons truction du Congrbs, ainsi appeles, comme usurpateurs, inconstitutionnels, revolution naires, nnls et de nul effet. Que nos soldats et marinus qui out pote !les drapeaux do notre pays A la vietoire contre uon ennemi brave et rdsolu, doivent atre l'objet d'une reconnaissance eternelle, et que toutes les garanties dounnes en leur fdvear dcivent etre fidelement mises a exe cution. Que les terres publiques doivent ,ttrc distributes lib6ralement an peuple, et qu'on doit en disposer soit an moyen de la preemption des terres de foyer, soit.au moyen de la vente en quantites raisonna bles, mais seulement aux occupants actuels, au prix minimum etabli par le gouverne ment; et que, lorsqu'il est necessaire, pour encourager des entreprises publiques im portantes, de faire des concesions de terres publiq'ues, on applique le produit de la rouente do ces terres et non ces terres elles mmoms A I'objet en vue. Quo le President des Etats-Unis, An. drew Johnson, en exerpir.t le pouvoir de ses hautes fonecions poor reister aut sg gressions du Congres contre les droits con stitutiuoniels des Etats et du people, a droit a la reconnaissance de tout le peuple ame ricain, ct qu'au nom du parti dm:ocrate nous lui uoffrons nos remerciments pour ses efforts patriotiques dans ce but. Avec cc programme, Ic parti democrate fait appel a chaque patriote, en comprenaut sous ce titre tous les el.ments conserva teurs, et tons ceux 'qui desirent soutenir la Constitution et restaurer l'Uion, en oubli ant toutos les anciennes differences d'opi nion, poor s'nnir avec nous dans la grande ldtte uotuelie, pour les liberths du peuple, et qu'a tons ceux-la, a quelque parti qu'ils ai;ent appartenu prdeddemment, dons ten dons Ia main sincerement, prets a accueiliir leur concours comme celui d'amis et de frres. .... ETAT DIE LA LOUiSIAI~ . Cour de District. St. Landry.-No. 109$3. SuccaESION D'ALPHONtE COULO. ETIENNB COULO, de la paroisse St. Lan %4 dry, Administrateur de li succession de fen Alphonse Coulo, decid6, derni.runent, de la paroisse St. Landry, ayant euregistr6 unT'ableau de Distribution et Reglement Final de la succes sion susdite, accompagn6 d'une petition deman dant r'homologation d'icelhi ;-Et attendu qu'il a b66 fait droit a la deman]e de Ildite p6tition par un ordre.de la Cour en date du 27 Juin 1868; Ex co1naquence, avis est par le present donnr6 aux mtinr:aes daus cette succession, d'avoir a faire opposition, si aucune ils ont, par dcrit, a mon bureau, dans la ville d'Opelousas, daus les trentejours qui sraivront la date du prdsent avis, pourquoi ledit Tableau'ne serait, pa:; approuve et homologpu, l'Administratenr dechargd de toute respousabilit6 ultdrieure et son obligation cancellie. A. GARRIGUES. Grrficr. Opelltsas, 4 Juillet 1868. Etat de la JLouisiane. Cour de District, St. Landry.-No. 3131. Succession de feu Omer Poiret. E-MiLE POIRET. de Ia Paroisse St. Landry, . Administrateur de la succession de fen Osmer Poiret, ayant enr6gistre un Tableau de Classifi cation des detjes de la dite succession, accompa gn6 d'une petition demandant l'hqmologation d'icelui ;-Et attendu qu'il a 6t6 fait droit a ia denmande, de tadite p6titios pat mui ordae de la Cour susdite ep. date du 22 J.aillet 16R; tsn doaiqi6mq ee, avis est phr le prsesit doim6 aux int6ress6s dans cette succession, d'avoir a faire opposition, si aucnne ils ont, par 6crit, a mon bureau,dana la ville d'Opelousas, dans les treate jours qui suivront is date du pr6sent avis, pour qpoiledit tableu noe .erait pss homologun. A. GARRIGUES, Greffier. Opelousas, 25,Juillet 1868. SEtat de la Louisiane. Cour de District, St. Landry.-No. 3130. Succession fen Orgin Jackson. A.CHILLE DUPRE, de la Paroisse St. Lan -.M-dry, Administrateur de la succession de fen rgin Jask~son, docede. de la paroisse St. Lan dry, ayat prAent6 an Greffe de la Coum susdite un Tableau final de Distribution des fonds de Is dit sauecession, accimpapr d'une petition de maudart I'homologation d'ielui :-E't attendu qn'fl a Lt fait droit a la requate de ladite p6tition, £1 t. i .prdre de la Cont en date du 22 Juiilet -En consequence, avis est par le present donne a-u it6reasa dsaas cet e succession, d'avoir a .e ositnioni saacines its Ont, par ecrit, pai $ . Vian, Ia8 villa d'OipeAlo s,cdabs lea [e snp r a: asuprsentat qn oC4a aitpa hoomologue, radmira hrgde~onte reiponsabilit6 A. ARIGTES, Gre j . pejloade i5 dwJwilet 1868. 8iiuesssion,: des Enfanint Mineuro (~1LD~ PS ~tECT 2T. XiANDRY. ITT j SMITH, deina Prioisa St. wry, avant enrkgiatr6 a Glreffe de is dit. Corr one petition demandaut i ttre nom. me6 A -inuen cddk, devniernemetde la Paroisse St. issue de eon WmpS*Y*. %ritadiio En co nance, avis eat ar prfaent donne lee diejonrs qux a nla. a urte d rsent avies lee iraisofls, e ak s fea', ýýe ý a y o ý%simr·Ei F~i~ petition q ! ý'-zJ -n' A", 0 1V ?E suak r ye ttun on dew, : 51n Jogoaeut. a un pril 0 an i do Ceuirraer Vente parle Sherif. Etat de laLouisiane. Frangels Feray ) Cour de District, VS. Paroisse St. Landry, James HamItlin. No. 10917. EN vertu d'dn ordre de saisie et vente lane6 dans l'affalre ci-dessus intitulee. par la Cour du Huitieme District Judiciaire sigreant dans et pour la Paroisse St.Landry et a moi adresso, j'of rirai en vente publique, an plus effrant et dernier encherisseur, devant la porte de la Maison de Cour, en la ville d'Opelousas, Le Samedi lcr Aout prochain, 1865, commengant 1 11 heures du matin et continuant de jour en jour, s'il eat ndcesaaire, tons lea droits, titres, int&rets et pretentions de James Hamer lin, le defendeur, a la proprietl ci-dessons ddcri te, saisie pour satisfaire ledit ordre, savoir: UN MORCEAU DE TERRE. 6tant la moitid Onest do quart Nord-E.t de la Section vingt-trjs do Township Sept Sud de la Rang6e une Est, dans le District Sud-Ouest des Terres de la Louisiane, contenant quatrevingts acres (plus ou moins) de superficie, situ6 dans la Paraisse St. Landry, pros du Bois Mallet, en semble avec LES BATISSES et les ameliorations qui en dependent. Couditions:-Comptant. JAS. G. HAYES, Shbrif. Onelousas 27 Juin 1668 VENTE PAR LE SHERIF ETAT DE LA LOUISIANE. Anastasie Savoie, adm'e. Cour de District, vs. Paroi.se St Landry. Pierre Pitre et al. No. 9790. Lastie Duprb, Exkct'r. ) Cour de District, vs. Paroisse St. Landry, Francois A. Pitre et al. . No. 9562. E N vertu de deux writs de fieri facias, lan 4 ces dans les aftfires ci-dessus intitulees, par l'honorable ]a Cour dou HnitiBme District ju diciaire de 1'Etat do la Louisiane, si.geant dans et pour Ia Paroisse St. Landry,et a vioi adress6s, j'exposerai en vente publique, au plus offrant et dernier encherisseur, devant la porte de la Mai sou de Cour de cette Paroisse, en la ville d'Ope lousas, le Samedi ier Aout prochain, 1868, commenoanit a I hboures du matin et continuant de jour on jour, s'il est necessaire,tous les droits, titres, int.er.ts et pretensions de Francois Antoi ne Pitre et Pierre Pitre, les defendeurs, a la pro priet6 snivante, saisie pour satisfaire leadits writs, savoir: " UNE HABITATION, sit.iee sur les Coteaux de Plaque mine, I environ 4 milles t 1'On i r eat de la ville d'Opelousas, bor - nic I l'Ouest par lea terres de imoe. Charles Pitre, anu Nord par les terres de William B. Lewis. a l'Est par des terres appartenant .ci-devant a Kinchen W. Mc Kinny, ot an Sud par los terres de Minfme. Mal. veanx 4,t Felix Dbjean, ensemble avec tout-s les Bf.tisses et les amn liorations qui en dipendent. Conditions:-Comptant. JAS. G. HAYES, Shei if. Opelousas 27 Juin 1868. VENTE PAR LE S.1IERIF. Etat de la Loultiane. "' Sarah A. Gordon, femme,) Cour de District, vs. ) Paroi. Est Feliciana. 'amnel A. Dubose, mari, No 1708. - 1N vertu d'un ordre 6manant de I'Honorable l.a Cour du Cinqui;me District judiciaire de 1'Etat de la Lonisiane, siegeant dans_ et pour la Paroisse Est Feliciana, et i moi adress6, j'offrirai en vente publique, an plus oifrant et dernier en chrisseur, str i'habitation ci-dessous designee. dans la Paroisse St. Landry, Le S'citedi lr Acut prochain, 1868, comwenuant h 11 heures du matin et continuant de jour, s'il est necesssaire, tons les droits, titres, inteiets et pretepsions de Samuel A Dubose, le I, fendeur, au i proprietd suivantes, saisies pour sItisfaire.ledit ardr'e, avoir: UNE HABITATION, situde dans la Paroisse St Landry, con tenant six cent einquante acres (pils on = moins) do tenre, do superficie, etant sla mime archetde par le dcfendeur,de George Hyde rt George A. Il'uty, en l'aun1e 1857, description de laquelle. ninsi que dos ameliorations, on tron vera dars l'acte de vente dadit Hyde: et de l'an tse, dndit Ilney, ainsi qu'elle est enregistree an Bureau du d Recorder de la Paruisse St. Landry. Aussi: Trois mulcts; Cinq bceufs de tire; Un wagon a bceufs; Un lot d'instrument d'habi tation ave quinze tites de bates & comes, le tout sur l'habitation et en la possession de Calvin Gordon. Conditions:-Comptant. JAS. G. HAYES, Shlif. Opelousas 27 Jnin 1868. Bois de Clmrpente. 301 000 pfeds de hean BOIS DE -ý V ,CHI-ARPENTE a vendre a bas prix et A des conditions avanta getses. S'adresser A E. PHILLIPS, prie M. Ealer, 51tf ] Rue Main, Opelousas. A VEIDRE A L'AIMIABLE. UTNE petite propriet6 en la ville d'O _ pelousas, parfaitement situde pour un commerce quelconque. Pour plus derenseignement, s'gdresser sans dilai au bureau du Courrier des O pelousas. ]21 Dec. 28tf JOHN M. TAYLOR, AVOCAT, OPELOUSAS, Lne. EXERCERA dans les Cours du Haitilme 1 District Judiciaire ainai que dansla Paroisae St. Martin. Les affaires qui lui seront confi6es recevro. te prompp l #oIo1 ddd, it ine atten tion pa l alike aer3 appiq .eo .I.coidction des reclamations et a la poursuite des affaires dont on vyordra bien le charger. [15 sept 1866. JOsBPH M. MlOOEa JOHN J. 3MEWAN MOORE & MORGAN, Avocats, ONT form6 uie societ6, et cxrccrout leur op'o. ft osi014 efauc lea Paroisay de SIt. Lan dry, ·Calc a~iieu, 4afayettte, Avoyge ea at Poiute Conpt'e. [117 Aoitt 1867--10tf. John H. Overlton;1 kVOcATJURIUCONSUTIhý, a ieprii sap ro Isfýqa ý rp e redf i ams leg fnru da Tine. e~i . tet Uta duiAA aireoatie eet Etat. sonk u r'eit 1p`Olouspe, rue Befls , prslsa IMaiaon de Cdur. ,19 Janv. R. D. ESIJTTE, AVbcat, 1$EItGýER A ýalprdiessign daps' 1es'Paroieeeý _I'I ' St. Laindry, hafre te: ; erinz'ion et 'Calca sieu. Bureau a Opelousas >. a"I'8=;51: X XERCERA sa profession dans lea Paroisaea Lala ette, Vermillo St. Landr St. Mar t ý' "_` es;_i~~ FI~9~f~P · IXRCBRuON6T dans lee Pa~.isee St. Mar __' tin, Ste. Marie, Vermilion, Lafayette et St. Landry. Bureau & St. Martinville. Gary & Fournet, •Avotmtr .41. W, ltlavAS l La3e., NTetr S. d iot, i dnse, li' Pa ..Marie 1atayett iý.1 n# ij[A 4 e issee St. CLe. B Ve Bt. V miar tin et COdssien. ] 'Bureau 4 Vernillonvile. HACE ile seconds main,, ftoet em Won ordre,avecr n hainais. 8'adresser aub t~ reau dtr Courrier. [1 sepjt. 14 A VENDRIE, o1600 l Apl caR de Terre. S19l certain morceanu detre, sis da e la Pat NJ roiuse St. I.ndry, sur le cot6 oues..au Boil Mallet, i envirob 10 mnilles de la ville d'Opelou sas, au quartier commundaent 'appelE l'Ause Bourbeaso, consistant en lariection 7, Tou'nship 6 sud, rangfo 2 eut, contenant 1362 acres et qua tre eP.titemes. 4tant gautx ,. 1600 arpents, dont environ tn tiers eat terre hictn boisdc. Cette terre est la mInme qui fut conefdde et confirmce . lIa veuve de feu Antoine Boisdord, par acte du Congrls, et rapportde par les Commissaires, dans leur certificat B, No. 1109, et conaistant en qua tre morceaux de 400 arpents chaentl. Le uior ceau entier de 1600 arpeuts sera vendu d'utn scul lot ou divis6 en morceaux de cin. arpents de face sur quarante de profolndeur, de tmamni±re a favoriser les acqudreurs. Le plan de cette terre Iourra Otre examind au bureau dujuge Martel, A Opelonsas, qui donnera toutcs les naforimations v relatives. La situation est excellente pour y 6tablir nn moulin h scab. Conditions:-Un tiers comptant et la balance 1 termc. JULIEN A. PROVENT, 21 Dde. 28tf Administrateur. E. DunuissoN. PAUL ST,.G. E. Dubuisson & Co. Washington, Lne. A PPELLENT I'attention de leurs amis f et le public en general a leur stock de marchandises, qu'ils offrent aux prix les plus bas pour du comptant. Nous avons constamment en main un as sortiment considerable de B OI S, scid et fendu, que nous vendrons egalement aux plus bas prix pour du comptant. 1 YVenez noue rendre visite avant de vous adresser ailleurs. Wasnington ler Avril 1868.--tf Hotel de l'Aigle A LOUER A BAIL OU AUTREMENT. LA belle propriGtd connue sons lec nom de "LHOTEL DE L'AIGLE, tenu ci-devant par M. Jesse Hays, et plus re cemment par M. Omer Poiret, sitnu vis-A vis de la Maison de Cour, A Opelousas, et consistant en un Hotel spacieux, cuisine et chambres A domestiques en briques, ine Ecurie capable de contenir une qua rantaino de chevaux avec remise et gran ge, une maison convenable pour tenir un caft., une grocerie, un magasin &c. Pour plus de d6tails, ainsi que pour lea conditions, s'adresser aux soussignis. EMILE POIRET, CLINTON B. ANDRUS, 4juillet. 4tf Tuteurs. A VENDRE. Un wagon neuf, venant d'e. tre acheve. On le cedera ' tres bon marche. Aussi: Un char.·.banc neuf, un Buggy decouvert et un autre char-A.banc leger, de seconde main. \ S'adresser & P. GOSSELIN.. Opelousas 4 avril 1868. 43 A vendre a l'amiable. U NE proprihte consistant en une peti te maison de residence et deux ter rains, situes dans la ville d'Opelousas. Pour plus amples informations s'adres ser au bureau du Courrier. 28 mars 1868. 42tf-LDV Armuri er. JOSEPH SKINNER, rue Landry. pros e du Pont, Opelousas, reparera les ar. mes A feu, et fera tout autre ouvrage du ressort d'un armurier. II repassera aussi lea rasoirs, les ciseaux, les couteaux et autres instruments tranchants, a des prix moderbs. F2 mai--5m. A VENDRE A L'AMIABLE. U NE jolle residence situde en la ville d'Opelousas, consistant en up ter rain, une excellente maison, un magasin, cuisine &c. Aussi: Un fonds de Grocerie, meubles de mnaison, &c. Pour les particularitds s'adresser snr leslieux A ELEONORE LESASSIER. Opelousas 11 Janv. 1868. 31tf A VENDRE A BAS PRIX. TTýNE propridtt saite & VillePlate. cbnsistant v) en 10 acres de terre, unemaison de r6siden oe, une batisse pour magasin, &e. S'adresser a THOS. H. LEWIS, Opelousas. 20 avril 1867.-45tf Chevaux et Mulets a Vendre. Le soussign6 a constam-,.. ment en main un lot de chevaux et de mulets A vendre A bon march6 pour du comptant. On peut les voir en tout temps A l'habi tation de Dupr6 & Comeau, (ancien ha bitation de Joseph Gradenigo.) A vendre aussi, Juments farouches. S'adresser au soussign6, a Opelousas. ALCEE DUPRE. Opelousas, 17 Aodit 1867. 10tf. PENSION BOURGEOISE. E soussigno ouvrira, ie let de Fevrier prochain, dans les bAtisses de la Vieille Baniue, pros de Ia Mfijson de Cour, a 0. pelousas, une Pension Bourgeoise pour la convenance du public et des families, soit par jour, par semaine ou par mois. Il espere par sea soine at la modicit3 de ses prix, satisfaire tous ceux qui voudront bien le favoriser de leur encouragement. JAMES G. .AYES. Opelousas 25.Janvier 1868. 33tf BEUF! BEEUF! . (DES satjonrduhai nous ponvons d6talller la I.viande de bceuf a la Halle , meilleur mar ch6 qu'habituellement. Dormavant nous la d6taillerons A raisoz de six cents ,la. ivre, ef par 50 on 100 livres, au-desqous de ce taun. Nous esons nous latter de pouvoir satisfaire (tant sons le rapport de la qualit6 de la viande qu'autre mept) tons ceux qui vendront biea noes encour a . COMEAU d J. G. HAYES. Opelousas 20 Juin 186$. eif TERRAINS A VENDRE. TU N terrain situs sur la rue de l'Union, U pros du Convent catholique. Un terrain sitne sur Ia rue de Ia Cour, presqne' I'exttemit6 and do cettemrue. S'adresaer au bureau'du Conrrier' des 0. pelousas. 27t Jhuin.' Leonce F. Lastrapes, . E-NCANTEUR PUBLIC dane'et poor Ia Paroissa St. Landry. Bureau & Opelousas. . .Opelounsael8 avril- 418tf A VENDRE OU A LOJER. TU NE rasidence situue dans un qsatier Sretire et'tranquille de 'Op sas, corahiant aine mnaison spapa itt '- et deux autres biti.ses, environ tr6.'n r pents de terre, jardin en plein rapport, &4e. Pour le prix et, lee' corditiis- s'au dresser aMu ous5igan, sur lee lieu;.:bit iu Bureau du Courriee,. a J. A. GAIUTTIER. Opelousas, 13 Juin 1858. Itf PHARMACIE DE ST.LANDRY. A L'EMPLACEMENT DE 20 ANS! O FFRE toute espece d'encouragement aux m6decins, aux marchands de la campagne et aux habitants. I1 pa lourd'hui un beau stock de midicamwits frais, et qui sera coIstail ment renouvele. On y tient egalement des lixrcs d'ins truction, pour les Ecoles; Graines de jar dinage, tabac, cigars, tabac i priser, vi trcs, peinture, huile, teinture, parljume rie, brosses, peignes et autres articles de toilette.-Vins et liqueurs pures pour un but mddical. C Les prescriptions seront soigneuse ment remplies de nuit comme de jour, et des mr6dicaments de choix seront toujours employ es A cet effet. Conditions:-Comptant, strictement. JOHN POSEY, Pharmacien. Opelousas 28 mars 1868. 3m Prenez avis. E public est par le present averti de Sne pas acheter ni trafiquer avec ma femme, Anastasie Miller, aucune des pro pridtes de la communaut6 existant entre elle et moi, ni lui vendre a credit sur mon compte, attendu que je ne serai respon sable d'aucune transaction semblable fai te par elle. THOS. CUMMING. St. Landry 30 Mai 1868. Im A VENDRE A L'AMIABLE. U NE BELLE HABITATION de 800 arl,ents de terre trbs fertile, situde au Petit Bois, sur le Bayou Tdche, Paroisse St. Landry, clout nne partie boisde;-le tout exempt de coco. Aussi:-UN TERRAIN, situ6 dans la ville d'0 pelousas. i-Pour les conditions et autres particulari tMs, s'adresser au soussignd, sur l'habitation plus haut ddsigude. J.F. RAVIOL. Petit Bois 21 mars 1868. 41-tf Charron. SE soussigne informe respectueusement L les citoyens d'Opelousas et de ses en virons qu'il a ouvert un atelier de charron sur la rue Dumaine, pros de la forge de M Jobin, oni ii est prepare a executer tous les travaux dependant de sa profession avec promptitude et a des prix moderds. ALFRED PERRY. Opelousas, 7 Mars 1868. 39-3m Avis. LES amateurs de 1'd h1ve des chevaux sont prdvenus quo TOM, issu do DICK, sera livrd an public pour Ia saison qui commeucera le Samedi, 4 Avril 1868. Pour la facilit6 des fleveurs, ce jeune dtalon, si avan tageusement connu, et qui a fait ses preuves, quand lai beautd et 8 la sup4riorit6 de ses pro duits, stationnera lea Samedis et Dimanches de chaqune semaine. h l'4curio de M. John Reed, it Washington, lea Mereredis et Jeudis chez 11. Ur sin Cormier, au Carancro, et les Lundis et Mar dis, chez son propridtaire, M. Joseph L. Carribre, an C&teau de Plaquemines. 7 Mars 1868. - PAQUEBOT REG-ULIER ENTRE Opelousas et la Nouvelle-Orleans. Le Bateau-,-vapeur fin mar cheur et d'un faible tirant d'eau J. G. BLACKFORD, Capitaine C. C. PICKETT, Commis, J. B. SCUMIT, P ARTIRA de Washington le Diman Sce matin a 10 heures, et de la.Nou velle-OrlEans le Mercredi soir a 5 heures. Le fret et les passagers seront trans portds a aussi bas prix qu'aucun autre bateau dans la mnme navigation. Les affaires seront faites strictement pour du comptant. AGENTS: A Opelousas, ThBodore Chacherd. A Washington, Pitre & Carribre. An Port Barre, Raymond Deshotels. C. Comeau. 28 Ddcembre 1867. 29tf E soussign6 ouvrira, chez Madame I. M. B. Campbell, a Opelousas, le ler Janvier1868, unanEcole pour les gar ons. CONDITIONS: D6partement primaire - $4 00 Classes avanc6es, - 5 00 Francais, - - - .... Payable a la fin de chaque mois, en mon naie courante. ~ e B refces: Hon. Geo. R. King, Hon. John H. Overton, E. D. Estilette, Col. F. Brand, Jas. H. Houston. WM. HALL. Opelousas 24 Decembre 1868. 29tf Avis d'Enreglstrement et Blection. LES .Commissaires d'Election, lee D4put5e A Sherifs, lee Messagers et autree persoAnee ayant'contre le Gouvernement dee r6clamations concernant le derniir enregistrement et la der Dibre Election dans la Paroise St. Landry, au ront h lee presenter sans ddlai au sonesignu, Chef du Bureau des Enregistreurs de la Paroiese St. Landry, pour @tre approuv4ee. T. G}. COMPTON. Opelousis 9 mai, 1868. Joseph Blum, V IENT de transporter son magasin en trala demeure de M. Block et le ma gasin de 1l. Pr6vot. I1 saisit cette occasion pour annoncer a ses amis et au public en gendral qu'il continue a vendre ses marchandises a aussi bon march6 que qui que ce soit. Opelousas 6 Juin 1868. gO 000 BARDEAUX de choix vendre. 8'adres.er au bu rean du Courrier. [8 Juin--52. Moulins a Sucre, EVAPORATEURS &c. MANUFACTURES AU KENTUCKY. C YLINDRES horizontaux, pour mou lins a ,sucre a vapeuy ou a chevau., cylindres verticaux pour moulins a sucre a chevaux. Evaporateurs pateut s, en cuivre ou en for galvanisd. Machines a vapeur, stables et portatives, avec bouilloires; Chaudieres a sucre, Mou. lins a acie circulaire, roues pour moulins a ean, &6d: &. 'y?'Envoyez chercher un catalogue. .' PEARSON, AIKIN & Co. Rue Main, entre 12e et 14e. SJuin 2--4mI LOUISVILLE, KY. A vendre on0a echanger. S UN HABITATION bien 6ta blie, mesdrant dedx cent quatre. vingtsept arpents de terre, situc6e sur la Rivivre Rouge, a 12 milles'au-dessous d'A Iea'ndrie, tsutnt une bonne maison de re sidenceet autres dopendances, ninsi que barriares&c. Cette habitation sera ven due aebon marche, on echangee pour une 'petite habitatida situee dans le voisinage d'Opelousas.! 8'adresser .& T. G. Comp, ton, au Bureau de Poste. Opeloupas 1 avril 16A 3ilt ANNONCES DE LA L,~RLEANS, P. CA SS, If ARCLIAND en gros "-t o :( ;lli 'r e 1 1 ries, provisions, vi,:,. I, -uur &c. No. 16rue Conti, (ioui;-' [-JLes ordres de la carn:i: . n:. temnent executes. : Fet r I -. J. I,. Co)I Pe:'l'. Marchand Commissionnair, UE CO()N'I'I, No. ,I, .. vto, Nouvelle-Orleans. (e p: .ra , vente de tons les proditits q"i I t ten.s, et tera des avances Id '~ .I',.,,,_ ballage sur le cotou qui dcl ie ,,i x ;.l,, t i,," 22 iuillet 1865. S. BLoctI. J. llt .IC Bloch Freres, F ACTEURS de Coton et Ma rchands C'nn,. sionnaires, No. 181, rue de la CtiminueNlle. OrlBans, apportera une stricte attention a tout.s les affaires qui leur seront coftife. I.nt c,rdr out expedition laisses chez J. 1Tch! & (, i Ore. 'ousas. recevront une prompte ttil:. Isaacson, Seixas & Co M// ARCHANDS en gros dI ('; rrotibles et de I Grocerie de famille, et in:prta, urs de tvis fins, borssons et liqueurs, No. 66 ru, 1i !a ,,m - mune, NOUVELLE OI LEANS. ALF. H. ISAACSON. HENRY O. SEIXAs. [Sept 29. lc;tf J. A. Bonna~ I, M ARCHAND COMMISSI SNN.lT: I:, ng;. n6ral et marchand de Vins. Eaux-de.Vie, Cordiaux, &c., No. 20 Rue Conti, entre Char tres et Vielle Levee, NOUVE.I.L: -OnrIuAs. Nouvelle-Orlhans, 30 Septembre 1i-5. A. DESIARRIEf, MARCHAND COMMISSIONAIRrT - i, T FACTEUI.t EN C()TON, No. 56, rne Carond, . July 1--3] NOUVELLI (R..l .N. Joseph Beraud. P. G Gibert. Opelousas. N BERAUD & GIBERT, FACTEURS de coton et Mar! :: C' .lni sionnaires, No. 20 rue Ca. ,. t, .!. les rues Canal et Commune. anu lr e':7, NOUVELLE ORLEANS. N. B.-Par procuration specti.!. M. Pierre Roy a le droit de faire usage du nu!:: I ,1 ia Sc tlee. 8 Septembre 1866. Iy L. MOULORh, SUCCESSEUR DE J. B. LANG, No. 53 rue Vieille Levee, encoignr'f, i irr, !:ie, et 141 rue de Chartres, ene i..',e T ,< M.fANUFACTURE a la v tj'ur ir aH: ac a IVLI fumer et a priser, et importatu:l«r de toute espgce de Cigares de la Havanr, t.h: -. chiquer, pipes. &c. NLL,-I"t:-,\LEANS. r. STURZENL E3ER, lnmportateur et Marchand en Gros de Marchandises Etrargeres ET D0 MESTIQ UES, M3archandises de Fantaisie, Ob. jets de Gout, &c., &c. hNo. 43 Vicille Lerde, Yu uclle-Orihans. N OUS vendrons nos marchandises at.x prix de New York. M.A. Deni.:anciennemant de la maison F. Rimailho & Nevrey. ,st adjoint a potre maison. [16 iNov I~67-99m J. P. Sarrazin, Manufacture de Tabac la vapeur, Nos. 91 et 93, encoignure Chartr~s c Conti, NOUVELLE-ORLEANS. IMPORTATION directe de Pipes Franiaises, Allemandes et Anglaises. Toujonurs 'u mains un bel assortiment de tabac en feuillhs ponr ci garres, ainsi qu'un choix des plus couiplets de Cigarres du pays, et do la Havane. (Nos ciparres de la Havane sont d'importation directe et des marques les plus favorisees. Le soussignd mforme ses amis de !a campii ne qu'il a toujours en mains un excellent st:ck de Tabae a fumer et a chiquer, pret . ttre delivrd sur commande. Ct·s PIPES DIB MBARSHUM, de racine de BruyBre, de Caoutchonc rt d. terre, ne peuvent 6tre surpassbes a la ~,v ,uu i;. )Oiie ans quant aux prix et aux qualit<;. ,s anci.n nes et nouvelles pratiques trouverorit un rrand avantage en vtsitant sa menufacture A v:ipeur, ainsi que ses salles de vente. Ells si s: t l. coe - nues en Louisiane et dans les autres Etats. et d2 fient toute competition. J. P. SARIL\ZIN. 4 Janvier 1868. la PREMIER PRIX ET MEDAILLE D'O1( Accorde au Poele de Cuisine dit BUCK'S PATENT BRILLANT STOVE. A PRES deux jours d'essais A la Foire de I'Etat de la Louisiane, tenue A la Nouvelle.Orleans, en 1868, contre tous lea meilleurs poeles manufacturse aux Etats. Unis, le Poele de Buck a obletnu le 1r prix et une mldaille d'or. II a ans.,i ob. tenu.le premier prix a toutes les Fuires de St. Louis depuis 1866. Plus de 300,000 de ces poeles ont ate vendus, dan lees E - Unis seulement, et tous ont donne sati* faction generale. Une reduction liberale sera faite aux agents dans l'intlrieur de I'Etat. H. HALLFER, agent. No. 188, rue Tchoupitoulas. 20 Juin-la] NLLE..ORLEANSS [1 Louzs DESBREST agent, Opelousas. mrio. Armstrong, Ci.devant de la Nouaelle.Odeans, Lae., No. 511 Pine street, Philadelphie, Penn. REMPLIRA toutes commandes et tons ordres pour quincaillerie, machines de toutes sOr tes, instruments d'habitatious, graines de jaidina ge et autres, fournaises portables en terrine, poe les, charbon, &.e., ainsi que toute autre comman de ou affaire qui pourra lIi Stre coli6e. II sollicite respectueusement I'encouragement de ses anciens amis de la Nlle.-Orleans et des campagnes de la Loaisiane, comme aussi de tons ceux qui pourront avoir besoin de sea services. II recevra des consignations et en fera un prompt retour,-pour le tout desquels it refire "a tout's les anciennes maisons de quincailleric de laNUie. Orleans. f6 avril Gm. Le Courrier des Opelousas, Publie 1g Samedi par JOEL H. SANDOZ. CONDITIONS: " L'abonnement sera de quatre piastres par as, payables d'avance, on cinq piastres payabl's a a fin do I'annQe. Celui qui desirera suspe'nre soi, abonnement devra en dender avis par Ecrlt, a cet effet, et payer les arrerages; et aucun abohe nerieut ne sera suspeudu si les tmrerages ire sent rigles, a moins que. l'editenr ne Ic juge a prrop'S; Lea avis se paierout cinquarte cuts par care pour chaque insertion. Huit lignes ou moies constituerunt un carrb li6 Les avis qui seront euvoyes pour etre publis seront inseres en Fran ais et en Anglais (a n.;i's qu'il n'en soit autremeut oldenrre)ju(qu'a ceque I'editeur juge a propos dle les disclntiluer Les cantJialts aix Inverls puhliqges di ll paIlll.e quinze pia.,tr :, ia. ance . 1 , r:-. -