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L'Americanisation. Voilà un mot nouveau qui ne se trouve pas dans le Dictionnaire de l'Académic, imais qui reid assez bien la pensée de l'aitfeur de lFar tiele suivant, traidnit du Chronicle, d'Halifax, (ingîrre.) . "Il y v, p nn sa îs-ni'nsi, une foilie extrmnie dntii cette horreur affce tée, Ai lI SC1Il v pS»'-e fule nl«us d( - venou.s aI i(ri'; i lis. Les proIFs t'Il >* e s* ( ) -o tI oii'.- puen dant ces trente derniières anrd s, et <<)ntiuiiiet encore ail ujoilurd'huiti avec une surprenaute rapiditt'. "Tant que le libre ecliaiige ; 'e Tes Etats-rniiq nons. a tait jouir id'une prospjrité relative, et que notre loyanté ne nous a conté au On sacritice, nous avous approu vé le changement dans la route que nous .sui'.ioms, avec la certi (ude <qiue nous étions capables lde détruire t oute teildance a l'auéri *aiiisation, par la seule intiluence d'une miarclie luilitaire on l'argui ument décisif d'une journée de tir, terliiiine par un eoib'it siiimul, dans lequel toutes les règles con nues de la guerre auraient été vio lees imnipuuéniment. "Mais lorsque notre loyauté vint à contrarier nos intérêts, et que le peiple conniença a cher cher ces derjiers, quelques-uns s'écrièrent: Dieu du ieu iel ! nous devenons Amiéricains ! ' "Pour comiprendro l'horreur de cor groupe, il devient nécessaire (de définir ce qu'ils entendent par ce mot: américanisation. Faut-il entendre par là ungrandl nombre de cabarets, d'hôtels, de théâtres, d'églises, de doctoresses, d'avocats sans perruque, la fête du .1 Juillet, les processions fénien nei et Sorosist Or bien doit-on comnprendre l'exploitation et le travaHil, Pl'énergie et le courage, l'immiigration, le développemeint des mines et la vente de leurs pro duits, le libre échange avec qua rante millions d'âmes, une part des ntssources d'ùn immense terri toire appliquées à l'éducation, une pdrticipation aux avantages du chemin de fer du Pacifique, et nul risque à courir pour les querelles de l'Angleterre. Quelle est celle de ces deux ma nières que Pl'on entend par le mot américanisation? Est-c .'un on l'autre? Au public A en Joger. C'est lui seul qui con damnera on encouragera la ten dance. La population seonle pent se prononcer sur la question; elle est franchement exposae devant elle, et ni les exhortations des or gane..q.asi-lo aux, ni Is crainte d'tn ohangement n'influera sur la decision. r Do fait, la rmaehe de l'amzrica- P nisation a dum6 anussi longtemps d quoe none avon's eu quelque chose V 'auia'ger. Si'lesutur' e nos vieilles habi- p tudes commi es, cetteroutine, c legs de nos aie t- 'est vito dissi- II S&kx pr.es o do ie concur rence e rgrs de i nonsois is a ý . Nous devo. thaundr wa. las soit directement atthe* |e an *rment, a notro nmarchie en (svu.u;S, u q - l'esprit d'entroprise public on pAl- co v6 qu Pous psadoni ; Nous devons aux ambricains,- 4 danes une gracnde meaure,-i'e - l nploitation de."de mines et Is ven- r! to considerable de leurs produits. d Nous devonsaux. Etats-Unis one bj profonde reconnaisance pour don- le ner a ceux quit dans Nis ouvelle- i'a Ecosse, lour patrie, no peuvent q subsister, du travail, une pOsition, une aisance relative et la'prosp6- e. ritb. . " On trouvera difficilement d'un .I bout de la province.l PIautre hine d seule famille n'ayant pas aux .-E. Unia quelques-uns do ses mean- tr bres. Pendaiqt la dure de leur qu gnerre sanglafite, lea rapides paul d sations do pelolerriein se fei. 0i salent esaent dans.chaquneviIha je go de- Is NodT elle-Eeoe4 t Od O tons e6t6s, ad comr n o iu avant chaque batail , bien di ege. rs - taientinqaije et i re goilse. 1.i est îtnpo~i0b1o ý& iptwê pcp. lation de ne po'int aimue mi;r pou 1ei l u am ont- aé qeut la~o .d ... ...e..... cianti ~ ~ e le*1e os meilleures qualités de toutes les nations; elles ont donné au peu Spie une instruction dépassant la moyenne de celle des nations les plus éclairées du monde; elles ont - bâti des villes dans des solitudes, et fait fleurir le désert comme une Srosv; elles out couvert les solitui *des de rails pour transporter les n'a rcliiulises de l'Est dans tous les port: de l'Ainiqne; eils ont reniu la unation 11ea]al»le <le sup >porterla pi ;-ia;nîltde toutes les guerres, de la terminer heiureuse mient en se servanit d'elle pour ci nienter une union plus forte que jam ais. Notre province ne peut faire au tremient que d'admiirer le peuple vainqueur aussi bien que celui vaincuàVickeburget (iettysburg, qui a réparé avec une si merveil leuse facilité les désastres de la guerre. MORT D'UN EXCENTRIl'E.--il jour. i nul de Londres annonce la mort de John Andrew Malketh. Il a laisse une fortune de 500,000 francs qu'il a gagnée a la su. rur de sa bouche. J.1. A. Malketh a exercé pendant trente. !inq ans la profession de quatorzième à t Tbe. Toujours habillé arréprocliibleriienit, Sce ge-nllemais e présentait à l'heure des ditseuints repas duns les maisons où il sa vaitt que l'un tenait table ouverte. Il de. mandait sM on avast lbesnin de lui, c'est-à. -lire si l'on était treize à.table, et si l'on d .siriat un quatuorzinme. i la répuonse était nAgilive, Malketh S'en allait avec beaucoup de dignité. Mais <i la séponse étiist otlirmnative, Ma.lketh entrait dans la salle 1 nmanger, saluait de la tête les inaîlre:s de la maison, s'asseyait a table et mnangeait trèi tranquilleîment. Le diner fini, il s'esquivait aussi digne ment que p,'uible, et ens sortant il recevait, soit du niditre de 'hltel, soit d'un donies tiqujie quelconque. une livre sterling, quel iiuefit'is deux, selon l'inportance et la lon guitur dn repas. l'P ndant trente cinq ans Malkith a rem pli s$n ministère avec >'.èie. Osu n'a ja. mai eu à se plaindre de lui. Il n'a pas sof frt d- la moindre indigestion, et Dieu sait s'il n'ctit pas expose à en avoir ! 1 Soutent dans la même journée il a dpjeu-. né de"t ou trois fois, il a diné copieuse- I ment et il a fait partie d'un long souper. 1 Le haeard lui avait fait chuoisir ce fati gant métier. Il était ouvrier relieur, il avait de bonnes manières et travaillait près s de l'hôtel d'un banquier. On se servit deux ou tr-is fois de liai pour ne pas être treize à table. Après cela, il quitta la re hliure et se voua aà cette spécialité. Malketh n'était pas vieux, il n'avait qu cinquante-quatre ans. Il n'était pas ma rié. Sa fortune passe à son neveu, qui est un des«inateiir de talent. Avec Malketb ne s'éteint pas la profes sion de quatorzième. Londres possède en core doux on trose gentlemen qui exercent ce rude métier, et vivent avec tout le con fort possible. AMOUR MATERtEL.-Uo voyageur qui a parcouru la région montagneuse du Pé rou, cite un trait de l'amour du oomdor pour ses petits: Un pauvre Indien, voulant s'emparer d'une i ichée de petits condors qui se trou vait sur la cime d'une roche très élevée, entreprit la périlleuse asGension on matin, pendant que le condor était parti. Ses compagnons, qui l'attendaient au fond de la vallee, le virent escalader péniblement le sotmoet, pénétrer dui une anifractuo sité du rocher, en ressortir avec les petits condors dans un sac et reprendreqa péril leuse descente. - Tout à coup, ntm-tacLe à peine visible apparu<.lçr l'azur du ciel, et presque nuIs sf, rapide comnme l'éclair, un énorme condor se précipita sur la tête de l'Indien; le malheureux, vaincu par le choc et la douleur, tomba d'une hauteur énorme dans le fond du précipice. Quand ses compa gnons épouvantés accoururent, ils ne trouvèrent qu'un cadavre ayant l'orbite des yeux vides et sanglant, la tète horri bletent brisée A coups de bec et d'ongle,; lefreese oipeau s'envolait oependant dàe. l'air, tenant daas ses urm le sac dans les quel étaient enfermé sea Ppetits. * Un jour de plaie,le capitaine Vin. ceSt ile a 3ème du 4inmeV'ennuyait fort danis sa phambre. Une ides lumin"use lui vient.A rppelle son brosseur et lui propose de joudr aux bouts rimes. ,J'itaor complètenment, ciap'taine, dit le troupier surpris et interdit, cé qué c'est que les boute rimées. -O'est très simple, mnbécile, et on dqu . mots par un exemptle-, je vais t'ap. O1*0a' la manière de s'en servir. Ainsi je dis: Brosseur, JOai embrasaé ta smeUt. f.-<a 4n'ist p»s trai, mniais lu ibis, Bros !(tiour riment ensemble. i, Captaine, j'ai embrassé vot' le.j'sais pasia ça rune a.enmble. mais g Srai.e ]JieV zcTsJ est diffieile.ý ~rtgir les choux contre ho ehedi» et utre inecte qu lesUtrisstr ced6 Itéirioraatkae feuille. dus jnue pleut«.~ mai. leb . Cette p oudrè-opvend ordinairemient chez les pharacies etdroguiste.. l.Pour far pi.oeec o.x uffl*de' mettre quelqiu.gra-.>s h hl a inîsu de la pomme, loisqup ceU.40j commenice i se ,former. k Cm dqw prMo*46.Mmputsloy6s ~e eplus<~ ues sans. tLillustre auLeu duDe4~Wl~ dutaIif" AlEets ý vsu.id, VOIO u embe4r. Psu, esfhit, ualteouêu Ieîala.ltI*fror~s4s Phu-~rg1 ~dite Dameaa&,*~6uysau ~xl auà W 8Wà lè Vente Publique. Succession dejeu Eldonore Chachere. EN vertou d'no ordre de I'Honorable Is Cour des Preuves de la paroi-se St. Landry, it sera vendu aux enachrers ppp. bliques, par lesoussigo6 tuteur, ou par tn Encanteur, & la dernicre residence de la defunte, daus Is ville d'Opelousas, Le Mercredi 14 Juillet 19GD, lea proprietes suivantes, appartenant a la siuc,'ce.-On de feu Eleonore Chachere, e po(iuse d:ccd.e de 13. A Martel, i savoir: 1. L habitation connue sous le nown de I,'idelon I'lantation, situee en cette Pa. roisse, 'prys du pont Rider, sur le c6teau des \Vybles, contcuant soixante-cinq ar ',ents de terre, plus ou moins, ensemble a vee routes les b.fisses et ameliorations qui s'y trouvent. Celte habitation est en tiereimint sous barrtlre, bornea nu Nord par Villeneuve Bordeton, au Sud par les he itiers d'Andre Wyble et autres, a I'Est par le bayou Delpunte, et i I'Ouest par le chemin public qui conduit d'Upelousas a la Prairie Laurent. 2. La dernicre residence de ladite de. lilnte, siture en la ville d'Opelousas, con sistent on trois lotsou arpents de terre, en semtble avec toutes les bAtisses et amelio rations aui s'y trouvent, consistant en utine belle rebidence, une cuisine et buit autmes bitisses; Cat emplacement eat connu coanine I'ancienne demeure de M. Robert Taylor et du Dr. Boagni. 11 y a un beau parterre at plusieurs bosquets d'erbres etc :1. Fn lot de terre, sitnue dans la ville d'Opelousas, atunt le bureau occup6 pie sentement par 311. Martel & Hudspeth, avocats, ainsi que la b.tisse servant d'im. primerie au "Opelousas Journal", seitu vis-i-vis la Maison de Cour, ensemble avec toutes les bAtisses et ameliorations qui s'y trouvent, i I'exception d'tne nouvelle ba tisse apparlenant a Thi:o. Chacher6. 4. Une carlaine terre, situ(e en cette paroisse, dens la prairie de I'Eglise, pros le Bte. Noel Roy, borneo au Nord et au. Sud par aI propriete de la succession John Samons, a I'Est per lee terres de Salomon Harman, et a I'ouest par contenant 33 acres et 67 centizmes. 5. 5 Tinl n Vls.ilir b rnc.... a--- .o hrn; I a. une voiture 6 4 roues avec harnais, deux mulets et une jument arnérirains. Conditions:-Pour. les propriétés fonciè res, un tiers comptant et la balance à un et deux ans de crédit, du jour de la vente. Les propriétés mobilières seront vendue s pour di: comptant. Les acqiiéreurs à cr. dit fourtiront leurs billets payables à leur propre ordre et endo-sés par eux, avec bonne et solvable caution à la atisfaetibn mndit tuteur. Hypothèque aera réservée ainsi que la clause de non aliendo pour as surer le paiement des dits billets. B. A. MARTEL, Tuteur. Opelousas 19 Juin 1869. PREMIER PRIX ET MEDAILLE D'OR Accordé au Poêle de Cuisine dit BUCK'S PATENT BRILLANT STOVE. A PRES deux jours d'essais à la Foire 1 do l'Etat de la Louisiane, tenue à la Nouvelle-Orléans, en 1869, contre lous les meilleurs poêles manufacturés aux Etats Unis, le Poêle de Buck a obtenu le 1er prix et une médaille d'or. Il a ansasi ob tenu le premier prix à toutes les Foires de St. Louis depuis 1866. Plus de 300,000 de ces poêles ont été vendus, dans les E. rThis seulement, eteuis ont donné satis. fiictioa générale. Unn réduction libéra!e sera faite aux agents dans l'intérieur de l'Elat. H. HALLER, agent. No. 49 rue du Camp, Magasin de dépot No. 188, rue Tchoupi goulas. 20 Juin-la] NLLE.-ORL.ANS. P-Louis DEBREST agent, Opelousas. A vendre a l'amiable. VTIE propriété consistant en une peti UJ te maison de résidence et deux ter rains, située dans la ville d'Opelousae. Pour plus amples informations s'adres ser au bureau du Courrier. 28 mars 1868. 42tf-LDV AVIS AU PUBLIC. P ERDUES.-Trois obligations, cha , cume de trois cents piastres, datées d'Opelousas le 27 Mars 1866, sonuscrites par Edgar Vanhille, Achille Dupré et Onézinje A. Guidry, payables, une à un an, une à deux ans, et la troisième à trois ans de crédit, à compter de leur date, faites à l'ordre de Mme. Wm. M. John son, portant intérêt à raison de huit pour cent par an à compter de leurs éch6ances respectives, et endossées par Mme, Wm. M. Jobnson et Wm. M. Jphbnason. Aussi, une antre obligatiop de $216 95 cents, souscrite par ledit Vankille,datée6 26 Mare 1868, payable & un joUr de date, portant 8 pour cent d'intér6t, à l'oqrdre de Bloch, Dupré & Co., en liquidatipD., Le public est prévengde ne pas négo cier ni trafiquer ces obligations, attendu qa le patement on a ét6 arrat. BLOCI, DUPRE 4 CO pa liquidation. OpIlousass2 nai1869. 5.tf P. WÂRTELLE. çit ôté *IddhéO4W4 Volnst 4111 Op" elu.a2 1 Ka`Il869. -- -lui 1 PRES DE LA MAISON DE COUR, lem OPELOU7SAS, Lne. Nouvelle Pharmàfkie. MEDICAME S FRAIS APPROVISIONNE de nouvean cha que semiline avec des drogues pu res du pays et de l'étranger. On y trou ve toutes les inédecines patentées les plus renommées. zo r4L PRVINS DE LA MAISON DE COUR, OPELOUSAS, Lne. et liqueurs pour p harmation mdicales. MEDIPARFUMERIENTS FRAIS et articles de fantaisie pour toilette.a que semaine avec diles, drogues pu res du pays et de l'étranger. On y trou et toueintur les. Cigares patentéde la Havane, Ta pluîs renommées. 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Ceux qui ont du coton à vendre trou veront toujours chez nous des acheteurs qui donneront le prix du cours de la Nlle Orléans. moins les dépenses incidentelles à la transportation. Nous continuerons comme par le pnassé notre commerce de groceries et de com mission, et nous ferons des avances libé rales sur tous les produits qui nous seront consignés, soit pour être expédiés, soit pour être vendus. W. A. ROBERTSON & Co. Washington 2 Janvier 18G9. 30tf MARCHANDISES NOUVELLES LES soussign6s appellent I'attention de leurs amie et do public en g6neral A leur grand assortiment de marchandises de Printemps et d'Ete, quo nous venons de recevoir de la Nou. velle Orleans, et que nous offrons A ven. dre A bas irix pour du comptans. BOIS DE CHARPENTE. Nous avons toujours en main un assor timent considerable de bois de charpente, pieux etc. que nous vendrons egalement A bon marche. Ceux qui voudront faire de bone mar. ches feront bien de venir examiner mos ma'chandises et nos prix avant do se ren dre ailleurs. E. DUBUISSON & Co. 27 mars. Washington, Lne. Le "Général Morgan." îh E cheval de race Mforgan pur sang, servira les juments pendant la sai son prochaine, à l'écurie de Wm. M. Daymsn, à Opelousas. - Le "Général Morgma" a ôté élevé par le Col. Simeon Orr, du Missiasippi. Le dit étalon est né de "Carl Burr," qui a été élévé ar M. Carl Burr, du Long Island, New YoA. .j Il a 16 paumes de haut; couleur, noir. Coxirmows :--20 pour la maison, pay ables d'avance. D'excellente pAturages, sur l'habitation du Dr. Burr, près d'Opelonesa, seront à la disposition de ceux dont les Juments viennent de loin. Réfdrences ;-KM. John Beed et John Woodburn, Washiagto%, Lne. SAM'IL. P. CLARK. Opelousas, 6Mars 1869. Sm. SSEELBY, 'un sapârtb cheval gris, lde jp.au.es de haut, pro 1POS4,4 "1a Morgan, et d'au jamet de raee Me MCragrvisa'J.HMt m jasheeoories. à , pendant la 1aM preolmine, A lpnra saiBon, payables d'avance. On evr observer s=ritement eete dernière règle. We, M. JORNSTON. Opelousas 27 eévrier 18. 38tf i pi* épave, ver s vo éi et vMer e submurye1. fai .l'nl Ionla sa.c,2 a 16. ros PAQUEBOT REGULIER ENTaI Opeleusas et la Nile. Orlean. SLe bateau A vapeur fin mnar à cbeur et d'un faible tirant d'eau ANNIE WAGLEY, Capitaine W. BURTON, Commis, M. KENISON, P ARTIRA do Washington le Dimnan che à 10 heures du matin, et du la Nouvelle.Orléans le Mercredi soir à 5 h. Lq fret et le passage seront aussi bon marché qu'à bord d'aucuu autre bateau de la même navigation. 24 Octobre lb68. 20tf PAQUEBOT REGULIER ENTRE Opelousas et la Nonvelle-Orleans. SLe Bateau-à-vapeur fin mar J cheur et d'un faible tirant d'eau J. G. BLACKFORD, Capitaine C. C. PICKETT, Commis, J. B. SCuMIT, - PARTIRA de Washington le Samedi à midi, et de la Nouvelle-Orléans le Mardi soir à 5 heures. Le fret et les passagers seront trans portés à aussi bas prix qu'aucun autre bateau dans la même navigation. Les affaires seront faites strictement pour du comptant. AGENTS: A Opelonans, Théodore Cliaclicr. A Washington, Pitre & Carrière. Au Port Barré, Ravymiond Deshlutels. ---- PF. Dupré, fils. 28 Décembre 1867. 29tf HOTEL LION, RUE DUMBdIEn, NOUOELL--IBZRIE. TENU PAR JOE DECOURT. CFT Hotel, qui vient d'etre remis i nenf, eat aujourd'hui prat a recevoir lea voyageurs qui voudront bien favoriser cet aucien etablisse ment. Le propridlaire, Joseph Ddcourt, ne ue gligera rien pour fournir sa table de tout ce que le pays pourra ofrir de meilleur. [8 mai. Boucherie d'Opelousas. L E soussigoe a I'honoeur d'annoncer a ses clients et au public en general que dorenavant il.detaillera la viande de beuf au narche de la ville a raison de 8 cents Ia fivre. et par 50 ou 100 livres, au-des sous de ce taux. II ose se flatter de pou voir santisfaire (taut sous le rapport de la qualite de la viande qu'autrement) tous ceux qui voudront bien I'encourager. " JAS. G. HAYES. Opelousas 5 Dec. 188.. 26tf Chevaux et Mulets a Vendre. SLe soussigné a constatm-, ment en main un lot de chevaux et de mulets à vendre à bon marckéi pour du comptant. On peut »e§ voir en tout temps & l'habi tation de Dupré & Comeau, (aucieu ha bitation de Joseph Gradenigo.) A vendre aussi, Juments furdhches. S'adresser au soussigné, à Opeloiusas. ALCEE DUPRE. Opelousas, 17 Août 1867. 10tf. PIERRE GOSSELIN, Charron, A L'HONNEUR d'annoncer au public 1 qu'il coutiuue à travailler à sou ate lier, près de sa résidence, à l'extrémité Nord de la nie Dumaiue, à Opelousas. Il ne négligera rien pour satisfaire ceux qui voudront bien l'encourager, et il travaillera à aussi bon marché que qui que ce soit, et il espère qu'après 18 ans de travail dans cette branche il ne perdra pas l'encouragement de sees anciens cliens. [14 Novembre 1868. AVIS. L A Législature en 1865 à passé une loi défendant de porter des armes à feu dans les entourages de tout citoyen sans le consentement du propriétaire, et sasajetissant les personnes qui enfrien draient cette loi a une punition. Je donne avis au public par les présents que je ne veux pas que l'on chasse dans mes en tourages, ni que l'on y passe d'aucune manière. LEONCE SANDOZ. Opelousas, 13 Mars, 1869. LE RAMIE, SA CULTURB, SA VALEUR. LA culture do ramié est reconnue comme de vaut être une nouvelle source de ricesase pour le Sud. Elle ne convient qu'aux climats chauds et aux terrains humides; nousen pourions tirer un monopole durable. Le travail de cette innovatl6u est facile et non dispendieux. En voici l'inatrpction en peu de motis: Plantes la racine à une yarde cariée d'espace, comme on plante la pomme de terre; lei pre mières pousseu seront, eh deux ou trois mois, aises hautes pour être renfoules. Marcottes-les et laisses fmire soche. 81 voustvotlepropager, faites dus boutures avei la seeonde pousase, dea lue leuti"e aoratpris'boepf et quelques pieds e ba3ieur.h Chaque bout de cinq à six pouces suflra pot faire un nouveau pied. Lorque la somebe araW a-es 4pale pour rapprocher aa voi l, dil i et &>tes de fiant ave les ftrç. pens. deu aelaes extraites. Le sol lquisiansea at si pO e la reproduction que cent pieds ont reproit jusqu' cent mille pieds par an. Oneommesee à couper dès que les tiges mûris sent; ce qui s'annoae pr l'altraien de feuilles et par la nUireisan de l'écorce. Le rami est une ortie, et s fibre étant conu. tenue daasl'éeoree comme le chanvre, les che nilles an in etes rongeurs ne peuvent l'st teindre. Le procéd de l'extraction par la machine con siste a préenter en brassées les tiges a la dent asre do cylindre tournant. La force d'un homme suffit àa rotation. Une seule personne peut l'alimenter La fibre collante extraite de la tige dégage au gomue et ses matières végétales dans un bain de! lessive. Elle blanchit et prend sa fonrme de fiasse en séchant. Le rendement est, en Louisiabe, d'au moins 600 livres de fibre par arpent. Il est pinvé que la culture do ramié donne plus d'argnt et exige moins do travail qu'au cune autre récolte. La fibre vaut actuellement 60 coa. la livre en Europe: les maisons du Nord ont reten- <'avance tout ce qui se produira. L'immenq cosaomauaion qui s'en est fait en Chine et aux Indes, est un sur garant de sa va leur commerciale. Le. feuies et la pulpe des figes broyées font une excelleate nourriture pour les bestIaux. Déptde ramié Mexicain du botaniste Bénito Boesl, à la Rmeaiswce Louisjliasi, No. 48 rue Conti. Prix du plant :-&50 le cent de pieds. TERRAINS A VENDI1E. lTN toerain situd sur la rue de l'Union, L près du Couvent catholique. SUn ter i usitu6 sur la rae de la Cour, preque l'extrémité sud de cette rue. S'adresser au buru du Courrier des 0 pelousas. 27 Juiin. PROFESSIONS ET METIERS A. BAsJBT & E. S.EVWILETTE, AVOOATS, R eA1nQUtemONT dans les Cours de PaI rolesa Ut. Land%,Ldaettt, Vernillio, leasieu, 8t. Matin, use. Marie et Avovelles. Bureau: Opelousas, La. [.5juil. John H. Overton, AVOCAT.JURISCONSULTE, a repri asapro fession et exercera dans les Cours dea 7me. et 8me. Districts judiciaires de cet Etat. Son Bu reau cet à Opelousas, rue Bellevue, près la Maison de Cour. [19Jauv JOSEHII M. WOORE JOHN J. MORGAN MOORE & MORGAN, A v o c a t . OPELOUSAS. LNIE.. O NT formé ni.n scieté,. et exlreurirt ler "profiession dans les Parois»'.s (le St. Lai dry, Calcasitu, Lafatyette, Avovelles et 'oiutte Coupée. [17 Août 157-Ift f WtVILLIAM i O»TON, Avoîn t. E XERCERA sA profession dans les Paroibgem Lafayette, Vermillon, St. Landry, Mt. Mur titi et Calasideu. llran l Veruilliiiille. ALC. I)EULASC. ROUIT .8. lEiRRV. DEBLA C' & PERIIRY, AvocatN, XERCERONT dans les ';ai., . St. lar tin. Sto. Marie, Vruiillon. lniifauvyette -t St. Laudry. Unrciu à St. Martinville. Louis J. GAr. GABKIEr. A. Fo-.Er. Gary & Fouriie., I Avocats a Mt. Martinville, Lue., L XERCERONT leur professioii daus les Pua i roisses St. Martin, Ste. Marie, Luafayvette et Vermillou. fa Fe'. ly ED. E. W-OUTOV, Avocat, E XERCERA sa profession dianis les Pa-oisi-s St. Landry, Lafa.ytte, Vermillon. St. Mar tin et Calcasitiu. tiBureau à Veruilluuville. Leonce F. Lastrapes, 1 NCANTEUR PUBLIC dans et pour L la Paroisse St. Landry. Bureau à Opelousas. Opelousas 18 avril 18G8tf J. K. DIXON, Notaire Public. Bureau a Opelousas. Lne. [20 aviil. Hinckley & Stagg, Iarchands comnmissionnaires et Expédi-. tionnaires, Washington, (enipla- i . cernent Hinckley & fils ) WasbinRton, 6 Février 1869. Ôim.i. SWilliam Pe'rry, I -e RUE MAIN, OPELOUSAS. I E soussigné a transporté son atelier de SSellier, rue Main, vis-à-vis l'écurie pu blique de M. Johnson, où il est aujourd'hui prêt à faire toute sorte d'ouvrage dans les difflrente! branches de son métier, telles (lue selles, brides, communes et fines, et toutes finies solidement et avec goût; har nais de voiture, de wagon etc. et répara tion généralement de tous articles on cuir ou en peau. Tout son ouvrage sera ga. ranti tant sous le rapport de la durabilité que sons celui de l'elégance. Prix modérés.-Comptant. WM. PERRY. Opelousas 28 Novembre 1868. 6» INSTITUT ST. CHARLES. Dirige par Madame Clara Lefranc. PENSIONNAT ET EXTERNAT POUR LES JEUNES DEMOISELEES. Nos. 104 et 106, rue Bonrbon, Nouvelle-Ortlans. L A riouverture des classes a en lieu dans cette institution le ler Septembre. Aux professeurs de musique, et si fa'vorable ment connus, attaches i I'Institut, la Directrice vieut d'adjoindre M. Eugzue Prdvoat, t qui elle a coni6 sle solfge, I'harmonle et le chant. Cet "mineut profesaseur commeneera sea cours le ler Octobre. Lea jeunes personnes qni ne sour pas 6lves de I'lustitutiom seront admises i sea cours. L'anglais eat enseign6 avec la mime sollicitude que le Fraugals per des professenrs de grande experisace. Pour les conditions. et pour prospectus, a's. dresser a la Directrice, ou par lettre "Boite de la Renaissance Louisianaise" Nile.-Orlans. 17 Octobre 1868. if JOHN GELVIN, Xagon, O FFRE se servicos au public en cette capacité, soit pour la construction de btisses, de tombes, de fours, de citernes en briques, de chemiàées, de pavage, &c. ou tout autre ouvrage de maçonnerie. Il os espérer par ,son ouvrage, son ex actitudeet la modicité de ses prix, de me riler l'encouragementdu public. . Sa résidence est chez M. Maxwell, à Opeloueas. (5 Déc. 1868tf A VENDRE, 1le Arpeats de4 Terre. U N certain morceau de terre, ais dans la Pa roles St. Landry, sur le côté ouest du ItBuis Mallet, à environ 10 millea de la ville d'Oie-lou sas, au quartier communément appelé Il'Anse Bourbeuse, consistant en la section 7, Townslip 6 asud, rangée 2 est, coatenant 1362 acres et qua tre ceptibmes, étant égaux à 1600 arpents, dont environ un tiers eut terre bien boisée. ,ette terre est la même qui fut concédée et confrmée à la veuve de fea 41ptoine Boisdoré, par acte du Congrs,etrapporté par les Colmmissairm , dans leur certificat B, No. 1109, et consistant en qua tre morceaux de 400 arpents chacun. L4 mor ceau entier de 1600 arpents sera vendu d'un seul lot ou divisé en morceaux de oinq arpents de face sur quarante de profondeur, de mabière à favoriser les acquéreurs. Le plan de cette terre pourra être examiné au bureau dajuge Martel, SOpelousas, qui donnera toute les n ormations y relatives. La situation est excellente pour y 6tablir un moulin à soie. Cette terre sera vendue par lots de 37 acres chacun. Il y a 36 lots, dont 19 lots de terre de rairie, 7 lot* de terre et bois, et 10 lots de terre Conditiona:-Un cinquième comptant et le sur plus à un et deux ans. JULIEN A. PROVENT. 21 Dic. 28tf Admninistrateur, A VENDRE. Uh wagon neuf, venant d'e. w tre achevé. On le cèdera a (réa bo mnarché. Aussi: Un char-à-banc neuf, un Buggy découvert et un autre char-à.banc léger, de seconde main. S'adresser à P. GOSSELIN. Op.louàaj i avril 1S68. 43 ANNONCES DE LA N.oRLE J. L. (OLRETl' Marohand Commia~ionnair, UE COUTI, No. 10, encuignure des to Umill et CLay. Nlle.Orlcnrlý. se hages ti is vents de tons Lea liroduix (liii uli aerger.l d( fnik, et fera des avauieeli (t" colds .t toile de balinge stir Ia colon qui devra lui rItre b ptol S. BLOCII. J. ILvcjg Bloch Freres, T'ýACTEURgSde Coton et MIrinarclida Con112 I' siOoIaire"v, No. I i I rio & a Crnrthun l Orieaiis, apportrra ruIe, strictro. Ctib p a tout,. lea affaires qui letr irgnt 4oifilc«. 'I Su( ndr, 6 expeieitifir lais se c1i1 . I Y IWh &I (Q o Oar lousaR. reervro~nt tine prompts at tt~t~lliirll J1. A. BiOinnlfoiI, A ,FAR(HAND C'OJI?*IOSl0NNAITRF gg1 IL viral iit nIerrhIIiiiei d. V;, i. Ea ai.V1 Cordinix. &c., No 20 Rue Conti, .tilre Clar trey i~t \'iell :.ere I,-F-QILF .1j Nonvelle-Orli·Rll, 3o (r .Lptlltr1lllre jyb5 A. DES YIARIE MARCHAND COMMISSIONAIRE -, F T-- - No. Wa. meii ta,,(u i,, lf SJuly 1--3) NOU V}:.I,. (I 4 Joseph Beraud. J P. G. Gibert. Opelousas. ( j Nnrlle Orliéans., BERAUD & GIBERT, FACVEURS de coton et CMardcad Comi-. sioinnaireB. No. 20 rue Caroi'hleit, entre le, rues Canal et Commune. ait ]er ttrre, NOUVELLE ORLEANS. N. f.-Par procuration spéciale, M. Pierr Roy a e droit (je fairue usage du nom de la Suciéît. * t S.ptem.bre lf4J. Iy II. S I l t I .t I I.Et . tt*J. i.AITIi.tJ Suberbielle & Gautreaux, M Ali(-'HANDS de e»mestibl,» eg gruosfte u fl(ttail et Marchali;ds (Conuiii.ionunaires pIour la vt-ute de toue le,. prodtnite dg la caampa. p1v', Rue St.-. Aune Xo. 11, ":I.jatv. ta] NL.t. OiLEAS'A L. MOULOR, SUCCESSEL'R DE J. B. LANG, No. 53 rnie Vi-ille Levée, encoignure BUityilie, et 141 rite de Cihartres, encoignure Tuilo'te. , ANUFACTURE à la vapeur detahac à . nj fumer et à primer, et importateur de toute espèce de Cgiares de la Havane, tahar i chliquer, pipee. &e. NLLE.-ORLEANS. Blanichin & Ciraud. [ ARCIIANDS COMMISSIONNAIRES et Simportaleurs de Madère, (ld vins rngms, veroubth, absyntht, liqlleur-i, rugnieS. kirzch, sardines et antres couserves aliin-itairus. huile <d'olive. &c. No. 63 ruu de la viil!e LUvee S12 Juiin 1869 J N -ORLEANS. Maison Blanche, No. 157 Rue du Canal, NLLE..ORLEANS. L GALLOT, importatur dlirect de Groce. e* ries, Vims, Liqueurs, Couns'erve alimentai Sres. Cigar-es de la Havane, &c. &. On a toujours cu mains, un grand&asortiniet de Sherry, Madère, Vins de Porto,>'Bgue, Khium de la Janaique, Whliitskv Eicossain et Ir. landais, GCin du Lniidon Dock &c. Nlle.-Orlinas 12Juin 1869l . la ^j.T P. Scarrcassin, Manufacture de Tabac A LA VAPEL'R. SNos. 91 et 93, encoignure Chartre et Corli NOUtVELLE-ORLEANS. IMPORTATION directe de pipes Fra. t s. çaises, allemandes et anglaises. Ton de joura en mains un bel assortiment de ta lu. bac en feuilles, pour cigarres, ainsi qu'wa ui choix des plus coin|lets de cigarres du es pays et de la Havane. Nos cigarres de , es la Havane sont d'importation directe el et des marques les plusi fuvori-ées. >r- Le soussigné informe ses aminis et cli. a. ents de la campagne qu'il a toLjours .a lir mains un excellent stock de STABAC A FUMER ET A CIIIQUER, prêts à être dielivré sur commande. Ses PIPES DE MEARSHUM de racine de Bruyère, de Cioutchouc et de terre, ne peuvent étre surpassées à la Nouvelle-Orléans, quant aux prix et à la quailité. 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Celui qui deBirera 0;5*U soù abonnement dtvrt eon (lurnel avia pas i à cet effet, et payer les arréirges; et alreux a* nement ne sera suspendu ai les aîiérugesasSg réglés, à moins que l'editeur e fle juge i pre Les eaves se paieront cinquaite c. utls Pore' polir chaque inserii.,n. Huit l;çiîc o0 *** colàstiltue-niit lin (.lée. Les avis qui sBroul envoé.s pour tre pubw seront insérés eo Frauîçai.s et nl nAnglais (& 1ei qu'il uncî soit ai tr nici or dî.r )jjiisqua <c** 1 éditeur juge à propos de }t. di.:ovtitniC. Les caujiiati ai x avruis . >it. liqie' d5t t paver quinze pi.,tires i a'.i; sYt. v le st @