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-Le re-. dp C'alilornie. Slit' V,,,, , r t . J nde.) ' .:i;\ i' ;i isn'' , 1.î juii;:. L';Il il ,, i t (' it chem in e f'r ui 1 li ' ;:: "!':l;<'i'sCO Î1 < N..<l'W '(or . il1 'i I(' 1 l (i )i lli i , 1111si .j' i n i1,; ( a i s . i s i»r f|iic i pai l'o1 (tll'«l y i l l '(4 l\( I 1 t '1"'€Ii 1.:. : 'iit )l !i it l v I (.il lit il . -'o-i ;. ('' l i tl i<, (1 li , ;t 1 i < i ( il lli I'41),-;1111 Iit ]! Vi< ht'! * 1" SQ. i in . i'J!at»ur i; i n;t curn ls uriosi ' i'*r)i.su ir(i 'iiils i!,, t firlc ;iut :'i !:.oi - t<! ,t 1 :4 (lo )i;i & . 1 ' n it 14 -( l '- i j<- 'si .:r.- , cr ii ,ls i lros orire.)il . 'a tl .i' 1;i'i , j 1 u li( t i re .t i : i . -1 -s. I'r h i ' C ti, l Vt» i (lll' l' '.u - ilt ' iî tln ti' .li: i' < 1. s l' )i, .t, < .ds (t l<res I' (l< l . l i \ ll u t 1'"" ;g . i :i !i. :. ;' i t. ,|:, .i n- i (u 1 ol . 1 'i , .qr'i . l r ' ., i r ,i pIi.'t .I l .: u :îî - glrî î i' :! ;t nial <i ls s4nt 1i i -; '" qe vet l' vu.re i à. i ert - 11t ai jni toutrIl14 d e L r 7 5- -à u : t. h l -,'i" h . ( 't l l/'0 4 ri! t *l' à (rI : .1 x ; petit p;s<iles l'u" sinît pa .veul<-siiA , ialt iu . faiit le ti0r0 l', liid e t'a -; Les aill'L s ' ' le ts (a'as les -el Maris 1i ,l oiis ri et quil-en tie e is s oinun on.s lu noe (lc';e sif'r Flla, 1 'r: e i I l! ' .u ; ;;u ;-I'< ; i..al. i l ais 'init tri li',ite des quelques ilndividus que la ii)mii du telps(i (: abattus remonte probablement à s ' grosseT; ' fi l': : );ri, i1;" \vii:.;t a trc i tro-i il e aids. d ( di ,lro, et di'lilie hailuteur (ic *7.'5 a :;', pid.s. ",.Les .arbres <!'.s delix aulîl( r<s 1rou-+ p, .s n; le k .'.delit eu ri ln à (':*IiX <l;i ; pr'cier sons le rapport d, la Ina-i Quielque; mais ils sont été ptisés partit nles touri, int n'n coiitentr Stres: i et l'alutre 3k. (l est du reste aijonrd'hili à p)en pIrs cous-S tar qu ces tombéo s qu'un d e es ouri gantesql n se t pas les svoit lsque lans Cl'Etri, et qu'il a xisrener il y a pune cinture sur. En le versant occidental de la hier'ra Nevada, à une altitude la souche à,000eds et au 27de5pieds. A cette assurelavait Les are trois pieds le Cavermès et de Maril)os; constitrlent nie des merveilles dn inamonde végétal. Leur pge doit treè de donze cents ans i au moins ; de origine des quelques individus que lan main du temps a abattus lremionte probablement a trois mille ans. Quelques uis ont été baptisés par les touristes. On cite entr'au tres: ,la Flleit Monarch (le mon arque tomixi,) qu'un de ces oura gans, comme on n'en voit que d:ius ces iégions élevées, a renver *s il y npeu d'années. En le me suranit de la souche à une place -ot' il s'est brisé vers son sommet .eu.frappant sur !e sol, on a mesuré 275 pieds. A cette cassure tl avait encore trois pieds de diamètre; à la base, son diametre était de 25 pieds (soit prbs de 79 pieds de con tour;) ïle riz.sly Giact (cor gé ant,) un des plus beaux du groupe m. "ous le rapport de lh forme a S33 .Ifiels de diamètre à la base ; non loin de là, le faithfuI cople, deux ; arbres énormes qui s'élèvent l'un" . à côté de lautre et qui, chacun, mesurent 90 pieds de circonfé " renee. Mais le plus remarquable de tous a cessé d'exister, mais il en reste dles débris qui suffisent à at t" ster les magnifiques proportions qu'il avait atteintes. Ce roi dea forêts, quand le groupe fut d( cfuvert par les blancs, gissait dé racini sur le sol et était en feu. Il continua de brûler pendant 4 mois, jusqu'à lI saison des pluies. Ce qui en resteo prouve qu'il mri-. tait vraiment le nom de Géant des SforAts, qui lui fut donné. en effet, JLJaea.re 126 pieds dei crconf6 rence à la basem tandis quels trce. de son corps sur le sol et les tron Sons noircis que l'on trouve les uns à la suite des autres, s'allon gent sur une longueur de 400 pieds. Si est à regretter que la plupart Sde ces arbres isuperbes aentété atteaqus ler baspr le fiýý que les Indiens allumnt dans les for6ts pour brûler les brouissailles quelque temps avanti que' le glands du .hie, les 4amandes du pin franc et 1~esautiè fruite.dont fil se nourrissent ne soient en..a tritë. Dans qelq a z açs *ese » c:renua d v e chambres' me.~b.nui d'un u. ..des p1iu 4rtre roujpe peut o0lrtaC'i r lieap1uie A:· lkndaDut l'été le 1 S5O, les Colonsž fliii titîitdvilt L:t11>lis A leloti> d(es r <e(liu Smiî .Ioaquin, de la 3Ler-ceed c'n, (lit F'rsuîi, cuirent beaucoup Ù rîSoWli. ti 14.i dépriédtionîîs (les lix i 14 sti .ii~i( -J 1: 41f11 H l>>i'siPcl>le <1 4144 >i~ ;t'iji cîI't''it, <uti isii;.;i 1'41r.'1S 0l('iel'5s q\ ttil'l cnlevie' nivit siiî i;ii i J ie·.-i·s Syar axce, (t~i1îaî-ehaiîd tii î~ ut etald fut deaainsr1 qui avai <1<'NI11U<Oil un uu'gitýi 'eSur.l le bords- (1i,1 Iitsiio. Ce Savai'e, 1>14 ,ii'c i ecl 'i1 di;tîtici\;i le I tiXe e de uitle- hi;xi .'-Jîuu'4(t'iîîîîs i>iiu'i; l:rIi îlev titt cil prat queil crit-l' (·;~,i;!i·i-c1:1 dov; i-·; i i fv (Io, tl 4>11 i 'iticii · ti.c <l iii leii" vdedýtit l î î S oii 14iirf csiilCS in-l 41klî.î în'îitaieîuti habi< tat lque Itde ,;s f 1iemmes 'il(2iltS (le ii1iqueiles d . , i e1 d > l ue 'l t i I'îvu, a'îî. le eIlîif l>4It ip t 41 lit 1 p i '- 1ï o i-J ;f l' s' l ' I lua i 1 )ii 4 't it lit IIJ ;;l , toit ta> ~ ' l1 II, Lit 0 il 111 t' > iI' (t <t ~ ~ ~ ~ li jil v uh14 ) 1 qui 14> 1 1 4 - t lOt I i' t <' v >î i<ti [>1 1111 le 1i 41-t1 - il a & îl.îî litn- r i'inp Utlii 1(l... \ýI 1U 1 - n'b e sis(b11und j- iLIIIcIIIioii pI K)I1ll|iu..' ni I(.irOrJu va-llée; cependani t elic tihil pIar ."i'e occiliper assez pour q('iiin journia liste, ayant vendu son journail, al Iit fonder un hôtel au milieu de la vallée, hôtel dout 1l revenu quoti dien no s'élève pas a moins doe »0(J dollars pendant la belle saison. On pinètre dans cette vallée à son extrémité inft'rieure, par une descente de deux ou trois mille pieds de long, sur le versant d'une Smontagne rapide dont l'ascension Sse fait de l'autre côté par une pen te assez praticable. A cette ex tréinité, les nontagnes se rappro cheut de façon à former une gorge profonde dont les murs coupés per pendiculairement, sont regardés comme inaccessibles. C'est l, du reste, le caract:re distinct if des murs qui s'élêvent do chaque côté de la vallée, dont la longueur to tale, à partir du point où elle com mence à s'élargir et à devenir pra ticable jusqu'à l'extrémité supé rieure, où elle se divise en plu sieurs gorges qui vont toujours en se rétrécissant, peut-être de 8 à 9 milles; sa largeur varie de un de mi mille à un mille. La vallée pro prement dite se trouve à une alti tude de 4,060 pieds. Depuis le pied du sentier dont il vient d'être parlé, il y a près de 5 milles pour se rendre à l'Hotel IHtchiug dont il a été question plus haut. On peut dire que le chemin est pour levoyageuir une suite de mer veilles. A la vérité, de chaque co té les montagnes s'élèvent à pic; mais ces gigantesques masses gra nitiques, que le soleil colore par places de ces tons chauds dont il dore les belles ruines que l'on ren contre dans les pays historiques, différent entre elles autaut par la forme que par l'élévation. Une des plus remarquables, que l'on rencontre sur la gauche, est un roc prodigieux qui semble se détacher de la masse générale. Presque perperdieulaire, blanehâtre, poli, aans fisures, ce rocher dont P6él6 vation est de, ,100 pieds au-dessus du aivean de la valléei a reçu le nom d'll Capitan, en Indien Tou toea .non-lah, le grand chef Il n'est pas le seul haut, mais il est un des plurs mposants. C'est de Pautre cot4, resserrée entre des m.ra de granitjaunntre de 2 à 4000 pieds de haut, que apehappe la première cataracte qe l'on aper oIi le lPohono, baptisé par les A maicaius du nom TBrida eil, (volelealaieée). Unpeu puls phet o oo, a thédra et nom d4teeooaq eièttelinde, Vlhaloin .,Ks toris per la vae~~; dMlso Contre ce groupe, et près de l'ngl e que fait la vallée e tour niant au sud-est, existe ce que l'on plourrait appeler un bouquet de pices escarpés, dont le plus élevé alltcte d'une manière singulière, 'et sur une hauteur (le mille pieds, la l;orme d'un obélisque rigulière miuet taillé. Cet olblisque a été Inommné la Sentinelle. A trois quarts de mille au sud-est s'élève le D)ome. Directement en face (le la Sen tinelle, de l'autre coté de la vallée, 1on aperç'oit la chute du Yosemite. S('* cours d'eau peu profond a une vingta(ine e pieds de large; il se lpricipite d'un seul bond d'lne ha terr de quin:e cents pieds, après quoi, il opère par une série de cas cades une descente de 626 pieds en 500 pas, pour finir par tomber au centre du vallon par un bond Sliinl (de 400 pieds. C'est à une lieue au-dessus de cette chute que init hl vallée pro preimet dit(e. Là ellc se divise en t rois g esgrge étroites qui s'ouvrent pour laisser easser la rivière Mer. c'd, le (hreek Ten' a et l'l!ionet te. .\A p)'n <d" dli.s(a;c'e, en amont (de la j+ i îil ioTil, y r l <.l )h s( du' TenîavI, ' :~,v I i pic b, pi'l inmposant <d t);'' it''! ie région, 1e DL i'li-Dolieî, :;!i:,-i ,iimiu dl e < ce qu'unle di s. e.'s cs r (' lontourli' 'nl fornitl de d<uîe, tandis <uIe l'a1it:e, (coIIue '' pl'", s, dre.1s0e p)rupidiculair' iiit>it 't i a l;auteiir cll.itavaî te dt :4,i;: ,p . IS. Il s! llt, , i'!it lu1'iln nci t e'n li'c dot s( i qI ue la p) irti.' k-if, ;(1 41 ê 1( I »H'l-(is<. ueme!linr e ( l'/OIlit - i f" 1 fï:s:il.((Hi[ l,', ,l'.,+il: , 1, (l 110 \L;tai l' . o'uiî ant it hit ar)ou e«r *iu'uine; i (h' Iiri de rocih l et rill :i,«s 1 /; ' it; t'e dle la formation g-ê s!a i ,; u '' e;;voisintI;nte ne pmi>r ili ji't iii,.r ,:.te th,éorie. Si P'on 'il( l < (" i'' ii 1)0.11r' l la colooil ilie <tc V,\.;]iIiL.;ton, Il,.s A rl'c es dll îuoi It ti ;w il n illiaturv, le LJa' 'i' . - i ;1:'à < iu aii i m ltiitionul 11 non Is 1b.'o ,.'., mais du mi(ins les priî cip',/'s p.ri!i>i les merve(illes que la V \li/(ée de YV,-Sernito otire à la ciiu riosilt- du \ <vag'ur. VENTE PUBïLIQLE. Su1ccessi(on d'Eléonore Cliacheré. ~N vertu dl'nn ,rdre de l'Ilonorable la Cour I .! I, i uiii :eii District Judiciaire de l'Etat dé ia I.,ii ne.ii ., ;i.''-nt dans et pour la laroisse Sr. Laid-y, le pi lic est par le pr'sut a'vern q 'lt s-ra '.iil aux enehères pnbliqup.e. par le s i:-sý i 'n , T iir. ot par lu Elncalitrlir d Ïûment coiiin;is-,ioiic,(. t ':i i l uiiii Pre résideuce de la dé fulite, da :.l vi',ic , Opelousa«, le Mlardi 24 Aout prochain, 1869, la rop''<r4tlé c i-a;is.décrite, dépendantde la iuc ces.itii do, 'adiîct t'ui danie Eléonore Chacberé. époaus dércédé de Bl A. Martel, savoir: La d .rlièrr résidence de ladite tl .'iniiite. située en la ville d Ope i rie . as.s. c ,onsistant en tiis lots oi l'l+ 'tlrlents der terre. en3semble avec tiite is es batisses et amélioratiuon qui en dépen dlelt, consistant eIn ne belle et spa:cieiuse maison de réside<l e, une cuisine et huit antres bâtisses Cet emplacemeniift est connu comme l'ancienue derniure de' liubert Taylor et du Dr. Boagnii. Il y a un Ieau parterre et plusieurs bosquiet d'ar brf -eltc. La proprité cbi-derisus décrite n'ayant pas, con fi( iiiéiinti r la li. rapporté le prix d'estimation, 'l!c. sera estimée de nouveau et vendue le jour pli1' haut tidéignlé. Coud'iions:--Un t;'rn comptant et la balance à un et deux ans de crédit. Lacquéreur fournis sant ses obligations payables a son propre ordre, et par lili endossées, avec bonne et solvable cai tion solidaire U la satisfaetion du Tuteur. Hy por»hèlque sera réservée ainsi que la clause de '*non aliendo", pour assurer le paiement desdites obligations. B. A MARTEL, Tuteur. Opelonsas 17 Juillet 1869. Savon et Chandelles. L E sonssigné. fabricant de savon et de chandelles, informe le public qu'il prendra du suif en échange deea marchandise. Ceux qui ont besoin de ces articles se trouveront bien de l'échan ge libéral qu'offre le soussigné. Il garan tit que ses chandelles de 6 à la livre, dureront 9 heures. A. BORME. Opelousas 12 Sept., 1868. 3m GLACE A VENDRE, A 10 cts. la livre, ou deux livres pour 15 cts., Chez ANDRUS & BLUM. Opelousas 8 mai 1869. 48 A vendre, un piano de secon de main, très bien conservé, à 6j octaves. S'adresser au bureau du Courrier. Opelouasa 15 mai 1869. 49 PREMIER PRIX ET MEDAILLE D'OR Accordé au Poêle de Cuieine dit BUCK'S PATENT BRILLANT STOVE. APRES deux jours d'essais i la Foire do l'Etat de la Louisiane, tenue à la Neuvehe-Orléana, en 1868, contftetous les meioleurs pomles apanufacturés aux Etats. Unis, le Poiae de Buck a obtenu le lr prix et une médaille 'or. Il a ame ob. tenu le premier prix à toutes les Foire de St. Louir depbis 1866. Plus de 800,000 de ces poéles t été ve.nde, dans les. . (Tfas U "mletmnt, et toua ot doaoé sati» . faction générale. Une r4duction libérale sera faite aux agents dans l'intérieur de I'Etat. H. HA4LER, agent. S , No. 49 rue du Camp, Magasia de dépot No. 188, rue Tehoupi. roulas. o0 ST'i.le- -1a NXa.L.Oa.LuAs. g' gLous DBsABREST agdnt, Opelouasea. A VENDRE. TR REVOLVERà 6 eouo . .) 8'adresser uiaburean .e Courrier. 24 Octobre 1868. 2tf DIES op - r " crii t4 - PRES DE LA MAISON DE COVR, OPELOUSAS, Lne. Nouvelle Pharmacie. MEDICAMENTS FRAIS, ' PPIIW'P VISINN: \ de nouveau ciia <i. que seinain"e ar.c d(,s dIrogres- pii rIes du pais <;t die lYtr;i!;.er. 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N OUS avoni acheté le Magasin d'En trepôt, situé sous notre magasin, à Washington, récemment ouvert par MM. Guidry & Thompson. Nous nous char gerons, en conséquence, de tout fret qui nous sera consigné, promettant de faire tous nos efforts pour donner pleine et en tière satisfaction à ceux qui voudront bien nous honorer de leur confiance. Ceux qui ont du coton à vendre trou veront toujours chez nous des-acheteurs qui donneront le prix du cours de la Nlle Orléans, moins les dépenses incidentelles à la transportation. Nous continuerons comme par le passé notre commerce de groceries et de com mission, et nous ferons des avances libé rales sur tous les produits qui nous seront consignés, soit pour être expédiés, soit pour être vendus. W. A. ROBERTSON & Co. Washington 2 Janvier 1869. 30tf MARCHANDISES NOUVELLES SES soussignés appellent l'attention de - leurs amis 't du public en général à leur grand assortiment de marchandises de Printemps et d'Ete, que nous venons de recevoir de la Nou. velle Orléans, et que nous offrons à ven. dre i bas prix pour du comptant. BOIS DE CHARPENTE. Nous avons toujours en main un assor timent considérable de bois de charpente, pieux elc. que nous vendrons également à bon marché. Ceux qui voudront faire de bons mar. chés feront bien de venir examiner nos marchandises et nos prix avant de se ren dre ailleurs. E. DUBUISSON & Co. 27 mars. Washington, Lne. S6SHELBY, Un superbe cheval gris, " de 16 paumes de haut, pro venant de Gray Morgan et d'une jument de race Mes senger, servira lesjuments à mes écuries, à Opelonsas et à Washington, pendant la saison prochaine, àA 20 pour la saison, I payables d'avance. On devra observer strictement cette dernière règle. WM. M. JOHNSTON. Opelonsas 27 Février 1869. 38tf A VENDRE. 'n Un wagon neuf, venant d'é tre achevé. On le cèdera à trés bon marché. Auei: Un char.à-banc neuf, un Buggy découvert et un autre char-à-banc léger, de seconde main. 8'adresser P. G08SELIN. Opelous 4 avril 1868. 48 A vendre a l'amiable. NTNE propriété coansis t'en nne peti Ste sainao d résidence et deux ter raina, situé dans la ville d'Opelousas. Pour plauamples informations s'adres- 1 ser au burear du Courrier. 28 mars 1868. ..tf-LDV PAQUEBOT REGULIER tNTRE Opelousas et la Nlle. Orleans. len >atpaui a vart)etr titi mnrir Cilur et d'un fiaible (irant miiii M4NIE WAGLEY, Capitaine W. BURTON, Cmi .KE'NISON, S)ARTTRA de Wa-hington le Phu-in. cime à 1!> heures (lu imaltin, e(ci(If lit Nouvelle. Orléans le soicredi ·oir à 5 il. lie fret et le paS;itage Scroîni eiiimîNi lmmm mnamrclhe' qummi hbord d uiiieoi autre baittui dI la meime naj«Iglforn. I24 OctIbrie l-6S. 20t1 IPAQUEBOT ELIGULIER. FNTRIij IOpelousas et la iN velle aiîs re Iiateaîit, . ilaî ilm mar J. G.ý BLACKýFOIhtI) Capmitainme C'. C. Piehi t r U<ummrmmis .1. Bt. tic'mii. P ARFIRAde W-mntî eiid p à Midi, ct de lat Nuoinlît 1it ii-, le Mardisi oir à 5 ]clieures. Le.c fret êt It , seronr:ti. ~·rit trail--; I por.slie aiiiwsi b.las ii'<qt pri iC micni aiutire iteiidans. la mêômeilamvi 'mtimmi. A., \\'(aslmi ogtmmm, I 'itiec &e .( a m'riQrî·(. - lx. .); eumlîiri e s;7. t r te en HOTELI LION, ~ RUE DUMAINE, NOUVELLE IJZrIf3 (DE'! IailJ,ii <,i·ii 'jenr ··r<~t . R ;ii rmH a 4i:;~ 1 i..iht. l i Ct'prtm' ram·i :~.iir f;.um,,r ·:i t.die i ,·r< tutii r.~ <t'' ;Boucherie d'Ouelousas. J J es clivaics et tiPi ti generI qu déAvit Pot i3l îlé!t.r la'i-)àlq mICAlo vute suaots île ce <aîms. Il se se fI ite·r dc ota - F. ýjIS . sotus de ce lai!u. Il , se .e flilt r d-' po, voir natisfaire (ani)t so's le rippor t do li qualité de la vi iiind: lui'autniit) touin ceux qui voudront bit't lI'rienouriiin r. JAS. G. I1l ES. Opeiounas 5 D.e lc 1-i!. * itf Chevaux et Mulets a Vendre. -î- Le sols'ii- ]ni : a ;i 'i: ;tiln-'.. - nipe t c ii iiiii i. l,,t d<', tl^ Lilchevaux et lde ni:hlts "* - vendre à bon marclié pour d cimilptantt. On peut les voir en tout tempji Ià lT i tation de Du)lpr & Conleau, (anien l hia bitaition de Joseph Gr;idenig,.) A vendre aussi, Jiiin<its fitroiirelha. S'adresser au soussiign. à Op)eloisas. ALCEI' DLU'IE. Op<elou:nsa. 17 Aouit I'..;. 10tl'. PIERIIRE GOSSELIN, Charron, , L'IIONNEIEi d'annoncer au publie _ qu'il continue à travailler i son ate lier, près dlesa n sidence, ai l'extréinité Nord de la rue Dunai'ine, à Opelouisas. Il ne négligerai rien pour satis.aire ceux qui voudront bien l'encourager, et il travaillera à aussi bon marché (iue qui que ce soit, et il espère qu'apr'ès 18 aiis de travail dans cette branche il ne lpirdra pas l'encourageuent (le ses anciens cliens. [14 Novembre 1i 68. AVIS. A Législature en 186.5 passé une Sloi défeindant de porter des armes A feu dans les entourages de tout citoyen sane le consentemenit du propriétaire, et asaujetissant les personnes qui enfrien draient cette loi a une punition. Je donne avis au pnblic par les présents que je ne veux pas que l'on chasse dans mes en tourages, ni que l'on y passe d'aucune nanière. LEONC}E SANDOZ. Opelousas, 13 Mars, 1869. LE RAMIE, SA CULTURE, SA VALEUR. LA culture du ramié est reconnue comme de vant être une nouvelle soice. de richesse pour le Sud. Elle ne convient qu'aux climats chauds et aux terrains humides; nousen pourions tirer un monopole durable. Le travail de celte innovation est facile et non dispendieux. En voici l'iusiruction en peu de mots: Plantez la racine à une yarde carrée d'espace, comme on plante la pomme de terre; lea pre mières poasses seront, en deux ou trois mois, assez hautes pour être renfoules. Marcottez-les et laisses aire souche. Si vous voulez propager, faites des boutures avec la seconde pousse, dès que les tiges auront pris corps et quelques pieds de hauteur. Chaque bout de cinq à six pouces suffira pour fair un nouveau pied. Lorsquè la soucbe sera asse épaisse pour rapprocher sa vol. sine, déterrez et faites du plant avec les frag ments des racines extraites.. Le sol louisianais est si propice à la reproduction que cent pieds ont reproduit jusqu'à cent mille pieds par an. On commence à couper dès que les tiges mûris sent; ce qui s'annonce par l'altération des feuilles et par la noircissure de l'écorce. Le ranié est une ortie, et sa fibre étant con tenue dans l'écorce comme le chanîvre, les che nilles ni les insectes rongenrs ne peuvent l'at teindre. i Le procédé de l'extraction par la mechine con siste à présenter en brassées les tiges à la dent ure du cylindre tournant. La force d'un homme suffit la rotation. Une seule personne peut l'alimenter. La fibre collante extraite de la tige dégage a gomme et ses matières végétales dans un bhin de lessive. Elle blanchit et prend as forme de filasse en séchant. Le rendement est en LoAuiiane, d'au moins 600 livres de fibre pai =rpenL t II est prouvé que la culture du ramié donne plus d'agent et exige moins de travail qu'au cune aunre récolte. La fibre vaut actuellemen 60 ets. la livre en Europe; les maisons du Nord ont retenu d'avance tout ce qui se produira L'immease eonsommation qui s'en est fait et Chine et aux Indes. est un sûr garant de sa va leur conmmerciale. Les feuilles et la pulpe des tiges broyées fon une excellente nourriture pour les bestiaux. Dépôt de ramnié Mexicain du botaniste Béuitc Roesl, à la kstaissance Louisianaise, No. 4F re Couti. Prix du plant:-$50 le cent de pieds. TERRAINS A VENDRE. iTN terrain situé sur la rue de l'Union Ul près du Couvent catholique. Un terrain situé eur la rue de la Cour presque.à l'extrémité sud de cette rue. S'adresser au bureau du Courrier des 0 pelousas. ." -.1;. PROFESSSION-S ET METIERS. A. DAILEV & E. U. EDA'I'IE ETTE, AVO(ATS, x!xxxxAN(PN is I.'' xir i John H. Ovelton, 1 i Ui < N1 4 'la.1I 'i I, 1 i 1: ) - a i i lé lu L Ii-. k M I- I I< 1-rj îîî.ILx :xx: i '! E I xl 'EI: iiii i:x l ·-;i i x:i.- xI xt' , 1'.i- A v . xx' ;ix.i r' xii t'c.. ii PenE LO VSA S. L N l NT tilt i t isi x i xx N x . X El E 1 svil1S-: )NT lotirSo;!io n~li, 44 xxixofl. t NiiiV St l,,xiii!xii: . 1' xxx xx t c I xx ;! XEUVER A pré'!'.5 ,lit et ;i es Btiremi il. GnC arysur &c iouu ra1ct t. lii. I ue xi . uoîio . .I i Fv % L rit,: t xx'. 9vix! t~c! j cxn\\i ri'.Hcliit~ 1 d:xtx"aii il 1îcîu·rniér Ix uni 'xxqi Odî1'tici sas.iéiiu J. K,· i)IXN rgi;not ;ilnire uilIi! Ilinckley & Stagtge SACIRIFICES! CHEZ E. PHILLIPS, :En Indiennes. En Bareges. .'En Chaussure dl. tout genre. En Ch-apeao«ux. En marchandlises blaný,chs., En Brod'erie. En Co tons blancs et ecrus. 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Les jeirns personnes qui lne sont pas élèves de 1'Iiutittion seiont admises à iss cours. L'anglais est enseigné arec la nime sollicitude que le Fiançais par des professeurs de grande expérience. Pour les conditions. et pMor prospectus, s'a dresser à 'la Directrice, ou par lettre "Boite de la Renaissance Lonisianaise" Nlle.-Orlé4us. 17 Octobre 1868 tf JOHN GELVIN, Mason, O. FFRE ses servicos au public en cette capaicité, soit pour la cionstriiclion de1 bALisses, de tomibes, de fours, le citernes en briques, de cheminiaes, de pavage, &c ou tout autre ouvrage de inaçoinnirie. Il ose espérer par sori ouvriag, son ex actitndeet la uiodicith: do ses prix, de né riter l'encourngement i!u piihlic. Sa ré.sidence est chez M1 Maxwell, à Opelousas, [5 D;c. l1GUIf A VENDRE, 1600 Arpents de Terre. U N certain morceau; de terre. sis ldans la l'i roisse St. Landlry, sur le «,etîr ouest dIu lHoi Mallet, à environ 10 milltes td. lai ville dl'in.loi sas, ait quartier conuiiiniuii:iitie t apnllel li'.An.te Bourbeuse, consistaiit cu lt arect ioni ;, T'owrnsliip 6 sud. rangée 2 est, conte-naiit 13h;2 acrest t qiii tre centiènme, étaut éganx à 1til) arpe-nts. dout environ un tiers est terre bien toir et. Cette, terre est lu même qui fut .oncctlec et ioniiiriimt. à la veuve de feu Antoine B<,isdorî. Iiir acte tiu Congreè, et rapportée ipar les Co.uniissair< , dansi leur certificat B, No. 110, et consistanit nii qua tre morceaux de >100 arlpents clharinii. Le iior ceinu entier de 1600 arpents sera vediiliu l'in .î'iitl lot ou divisé en nmrceaux de ciln arpents <de fiace sur quaIuritc dle profondeur, die niritre à favoriser les ncquriurs. Le plani id cettr terre pourra être examiné au bureau duIiu i Martel. & Oiplousas, qui idnneira toutes lesi iiilirnii.i iion. y relatives. La situatiou est excelliente pour y établir un moulin à scie. Cette terre sera vendule par lots le 37 acres chaeunc. Il y a 3f lots, dont 19 lol. de terre de prairie, 7 lots d terre et bois, et 10 lots de terre boisée., (onditions:--Un cinquième couiptant et le uiir plus à un et deux ans. JULIEN A. PROVENT. 21 Dée. 298t1 Administirteur. PE.1ION BOURG>EOIu:. NE dame demeurant dans un ,ndrujit retiré de cette ville, prendrait n1i ori deux penu sionnaires air moin, avec oi sutliii .genieit. , is. pr.t uo ti b a'.. ,r an i::l' :n i !ju c'u il r- :.. ANNONCL) J 'A il Marchant P 'o1i. d, 2 r' Bloch Freres. t i -v- vri j tir il,- 'hti iv ' i t' r t mail :q,~· .~~ ~· ). A l . "Il A I1 E, MARC1IAND COMMISSIGINt ,U~ --ir r-- .1H5' --:l NftV.1. Joseph 13eraud. Ç P G Gibert. BERAUD & GIB.E ilT I ' i ir' .' 2I·. `.t·tre grnn i lltl 1 fii al CtL t'fil liilri'.. r.îî l' fy Nil'~:\ -I'ii.. preu'î ti 'if'' 'f ir.j -I i?' î'''îb J-f;;. T) -. SciI> er li iIe C 1 :tr'rx 1 il t rn Il»., - P. J.I.O1.11%(P A Ni'iAý( TI1E a lit vi'.jî tir l.taidie% t.ttu il.-r il à 0 !:ry .*, 'iri?, ->pvl l,- I ( r.em d.- la 11avanri i v i p oI prtvIif'f ir.s de N iri'. dk Y.'[ S s'irlirj,"q ut vilifw'5 fiifii<'i'ii'S I 'J ., "-, No M. 63t 1ue d& la '.il i.' Maison Blanche~, N 15l, Rue du Caitzr-l.NII.-:LAS i-e. f Wuarmiiie la Havant-, &' - (>72 a :nîjofîîra f-il mailla. nill grA n. ...I r" lit- Madèv,3Iire, Viri" d -"~ i '"r~ .:qiclti. Ghin dii Lotidn 11-(k liv. Manufacture de Tabac A LA VAPECR. NSs. 91 et 93, oncoigniure (Chaiirtre ,.t (Ciiir NO l'V 1LLE-ORLEANS. M 11POiRTATIO)N direci-, e p;" Fran Sç isesz, iltlulianI es et nu ':îg .- . Ton jours en ri ins un li ',l .-ririiiiuniL de t a [me en ftîillf-.e, p'o>ur cig ires, uieit isi qui lnn rl.ix dic' pl+ m nI)I'I|I| |; die cid'f. rf it c l i s h i la i l.tia: . Nos ct?.fii reso di) -i Ili ait!n ..lt (I ti I.i ' u i:inos diu-cct-- et '-t's nmnrjluef les pin.» lfavoi-i.s. 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