The Opelousas courier. [volume], March 05, 1870, French, Image 2

About The Opelousas courier. [volume] (Opelousas, La.) 1852-1910

Image provided by: Louisiana State University; Baton Rouge, LA

                
i\fh~rc~ C~:baincs.
.11 f i': 1 . oe'le ires pcu
(, < o .. ;iji;d'lni pou t vfter
iii r liE I ',g'Il .iE< i;;ft!l td<e W ;as'
rin ut l ;i . olir ide Son ;ijititli ad
Sgdr<l des Cul;aii)s i.s; ' l s.
Lb'opiion publih i e, i j.l -wio:
ble ds ils tout le pli. -i à la coi
Iiizssilanc, vient ile't eore 'su
excitée par tn 1;it grave dont
voici le résumé sieiiiet :
Le <diimanche i lévrier, quatre
Aîunîrienis, MM31. Isai.c Green
w-aith, larry Foster, iluligil Johl
îson et (G;ar<din<r Wells , passa;eint
près du Tlilatre Taeon lorsqu'ils
furent assaillis, sans auniuiie pro
vocationli, par iun in<livi<ld qui,
sous prétexte qu'ils portnient dles
cravates bleues, se unit à leur par
ler d'un ton violent avee aeeoin
pag'nement dle gestes menuaçants.
Tout cela se passait en espiagnl;
(dif sorte que les q<:atre auniricailins
'y comiipreiiaient mnit. V<oynîit
qu'on ne lui rdponit pas, I'indi
vidl tira ln1 revolver et lit fel suri
les (qlatre prollielielrs. reeîi
Tvalli t'lt tt:e sur le coup; l'oster
et Johison flireit grivreiie t
ble.sse.s. Wells, piils hleiureux, se
sauva..
L'inldividnu an revolver eut la
précaution de dlispiurnitre pendant
le tiiiiu ilte quli suivit.
Le eapita i nie-giéIraI D)e olodas
a inis toute la police sur pied
pour dècouvrir l'assassin, et a
offiert llne révompenlse de ýl,000
à celui qui le lui aumènerait.
Les victimes de ce crime odlieux
étaient arrives de New York de
puis quelques semlaines, avec l'in
tention d'établir une fabrique de
cosmétiques et dle partfumlneries.
Le consuil dles Etats-Unis a reen
les téu(moignagres de Foster, Jo.iî
son et Wells. Tous sont d'acord
à d(lire Ique l'assassinat de leur in
fortuné compagioI n'avait été
provoque par quoi que ce fit.
Quand Greeniwaitl est tombé,
une bande d'individus a entouré
la victime et les deux blessés en
criant : Mort aux insurgés! "
Hlarry Foster est miortellement
atteint ; quand à Joluison, son
état est un peu plus satisfaisant.
Les autorités espagnoles olt
compris la gravité de cet odlieux
attentat et les conséquences qu'il
pouvait entraîner; aussi, faisant
contre mauvaise fortune bon
coeur, elles ont déployé une cer
taine activité et l'auteur du meur
tre a été arrêté le 12; c'est un ser
gent du 5me bataillon de volon
taires. Il a été traduit immédiate
ment~~~~~~~ deatu cneldonnre
Cette répression isolée donnan
juste satisfaction aux Etats-Unis
sur un fait individuel, ne modi
fiera pas la fureur fanatique, la
soif de sang des volontaires. On
est à se demander si ce sont des
hommes on des monstres alterés
de sang et de pillage. Il n'y a
pas de jour qu'on n'ait à les accu
ser d'un meurtre on d'iun vol.
Les journaux Américains font
remarquer avec juste raison que
les E.-U. sont bien mal payés de la
complaisance qu'ils ont déployée
en faveur de l'Espagne, qui seule
profite de ce qu'on est convenu
d'appeler la neutralité.
Le sénateur Morton a saisi avec
empressement cette occasion (lde
plaider encore la cause des Cu
bains insurgés. Enfin, vendredi
dernier, M. Sherman a présenté à
la haute Assemblée des résolu
tions très catégoriques en faveur
de la reconnaissance.
Sans se laisser démonter par
'incompréhensible et déplorable
opposition de M. Sumner, l'hono
rable M. Sherman a protesté en
termes énergiques - au nom de
toutes les populations de l'Ouest
-contre Pindifférence témoignée
par le gouvernement aux etfforts
d'un peuple qui combat pour con
quérir son indépendance.
La résolution a été renvoyée au
Comité des Affaires Etrangères.
Il fant espérer qu'elle n'y sera
paa enterrée.
Le crime de la Havane a ravivé
les sympathies de. la nation pour
les Cubains et son horreur pour
les Espagnols fanatiques. arro
gants et barbares.
CyNapoléon III doit être bien emibar
rasé. Counient s'appelle-t-il ? il o'en
saitrien. Chaque organe public l'inti
tule d'un omi particulier.
LeIjournal Offciel l'appelle officielle
ment 8 M. l'$uspsrar.
Le Coniwtatiounn, respectueusement:
S >faeItsé PËmpereur.
La Fr.e., tout bonnement: l'Empe
leur.
Le Pdya, tout naïvement: Sa Majesaté.
Le Sik.le, familièrement: Napoléon III.
- Lfa C&teatladldflremeat: Napoléon, b
LeReill.agfdablement: l'Exécutif. b
l«e sfp, pirituellement: César.
Lq arftet en outre, qu'il a a
de»a "les bottes fortes de q
Oaf wez.e Tvous et.car on bottes ?
IM Ite blement: Sar- bi
uajHi élogabale. Quand
,*î elle ajoute: Sar
0 .1Iluai l reine Hurtense. ei
S I , c ;1 1e > l 1';l e. <W
SI -. Il) &' il tt<liii l<i'-il e1trop l ,i'uJ i ut
pcrHfe tioliiir.'oi cdi'atC îion. A;;s
si. m>.;i.-. ci n' tli "tpifi iieit bi'oill
v('** avrc la -ianillnaire, il hli ;ir
rive souvei'nt vle ile en t'uid \ave
lIortilo.iit H lit, t (1e O ii iom et ire
( aissc.z lailitasti(ilues e*rreiirs.
.11111re soir elle ava;\ it réuni
qiieliI»les sill).s ;i souper, et parini!
eux se trouvait le spiritiuel S... qui,
con tre son lialeine de trist esse et
dle iielanicolie, dleoupuit vee
acharueiement, sails rieni dlire, tous
les plats qui se presentaienît sur
la tablec. Dès qIe le maître d'lhô
tel appiortait un mets nouveanu, il
s'en emparait avec frénésie et lne
perImettaiit i nuil autre de lui ve
uiir en aide. Etonnée dle ce ila
nige, la belle M... D1)... tinit par
lui dire:
-Mais q3 ' 1 vez-vnOS dotc, mton
clher a1ni ! Elts-volls malade, filque
Volls ne111 nialteZ paIs .
-Moi ! Je Ii(e porte à merveille.
-Vous nle trouvez pas le sou
per lhon !
-Au contraire, ee filet mie pa
rait d licieux.
-:l1 biei ! manu:gez-en alors.
- ie ne suis pas invité !
-Vous n'avez (doic pas reçu
i ,.;, !"ttre ?
-Trîs exactement; la voici,
tenez : Venez sans ftaeon coupir
chez moai; et je coupe, vous
vovez.
-Ali ! que je suis folle, reprit
la fantaisiste Sévigné, j'ai oublié
la cédille !
1 l11ONNETETC A PARIS -L'-flicqc't
d'une boi.iir police a créer des habitiuds
(l'hounnteté d iSis une ciiiiiiiaue, fne peit
tre itaieux ét:l'ic- qufn par lef li'es piuibli
ées trni lem IluiinuZ jours d'urticrles trouvés
dai a les rues et les voitures d Paris et dé
posiMs à la préf eulire de p lice. PeniLdait
les deux seiiiaites q'ii sn'ivirent la Noel,
dix huit niontres fiitet mpru.Eria''a I ii I Îp6l
par des pj'r.auoitea i)i itns iV Iiii- riit -
!ées dans leý runs t i 1-m ;u 'ICP p l>: -
il j f, Zt f i 2; a 'lE.i« II; tr lri)i e-s
di d oH Iv.- r tllàmàlre- P"Ol '<i " -111.* Il lI' Q -:1.
,'rante-t-ceuit Io !11-e u <; ;tý il 's * fil 4.i
rnant plus f co-nt : !iP ir-i i s ESa a
metiiiîtplii <I CEr..m onEE Ira r
" 'nîiîtijitiorne l 11 ii i 'î.îî" ii'ii'i C* ii Eiii-*-**
bijouterie, de luge t es, do"n :EErit %p
* parteBai.t aux d - .- l2", IE pli- E im
qUarai)te'E.'tra r r iE ..'E- r i E ' E<îE .
y a miniie ilE. r ; 1 | .18 ne1; i
[ monnaie d' ilix * i- x i
Strouverail i F . .iEE r-.
La causile c'i'r irv-p-'Ei p< I iE ii E
I bl e p at tre t' i , . i
uii'aucune piEir ' E i riiiit-< i -f 'E
Strouvé, n et tr ':"i len 1 t lE s '
Sée par un ..IilE ui Eii l.ai I,- f- ii s
c iCcbh r8, il i, inv >'E' r v ; i' i si ' ei d.l-d
Sla police Li -i nt i. niiiiî. :iii IE di
lefs voitu''-e li s dî- d dj' .tq d vI.
leur, a rè * pia i- s les no dir ,e il . <,»
% oit:irîs, ei-t uenD'i-iî ie- c -î'r-' qig -i t i s
ne rapopi tp'i pi [c,> o'j e!s à la ;cfeitu
Sre. Dl'ua Aui r>I cAe, les uojEcei tr.-uves
par les cochli rs leur suin reniidus -'il. io sont
pas réclames au bout d'un an II1 la !
i 'pe n'xi*'t-t-il pa-irout un pareil sysiètme
Sde police ?
Rt i O I tlr.phlie de. Nasiville, Tenn.,
en daite d, 27 :
"Une < uintiip'ê exécution omuni sire
t vient d'avoir lFti innis noîrf E'Nat. Pnns
à la nuit de diianctie. un blanc, le celonelI
Poleman, a été aaiisiné par cinq Iioninifes
de coileur. Arrêtés Je mardi suivant. les
cuplribles ont été enivovés en prison à Hin.
tingdon Mai- d:ans li s- irée du métiie jour,
une banda de deux CeNts liriiiiies à clI-val
a envahi In ville. l,a pricon a été forcée
Set les priaî'ii.i rs rii!.vês. Co:.dyils dans
Sla canipag;e voiîini, f lr'nq '*eres ont
- été fisilltis Pt enterres pièa dle la route.
SAucun des réciilateiirs n'étiit onimqiiu. et
l'on assure que tous les principaux liabi
tants des enviiiious unt partiicipé l cette ter
rible application de la loi du lynich."
ETRANG.ES COINCIDIENCES -Nias trou
vons, dains ni ouiivrage piblieé d'rniè,eiaent,
de ceiriaus'-s reinirq'ue ai sujet de plusieurs
Pré.sidents des EKts-IJnii.
Joflersoin est ne jiaste hait ans après son
prédécesseur Adatis; Madiuon, huit ani
après Jeff -rsoi et Joh-b Quiincy Adamis,
Shuit ans a,,rè Moiinroa.
S Adamis ::vlit uiiarite-i ait<, lors4u'il
est sorti de chiartTi; lilndison, !oixante-*'ix
ans ; Monro', soiixante-s ix ans; et si John
Qiiney Ad :av ;ivt été r-iélu poir un
second teriamu, il aurait anqsl quitté la
Maisoui-BlIiehce à soixantp-six ans.
Adams, Jeffferson et M'onroîe iint tousi
trois morts le 4 j .ilict, anniversaire de l'il
depeudance auiéricaine.
Au TRIIuNAL.--Une bone. scène de
tribunal aiiilais.
L'accnsée est one voleuse.
Son avocat, bien connu pour son habileté
à "retourner ' un t4mnoin, s'adresse a l'un
d'eux. un cordonnier.
-Voua prétendus, lui dit-il, que l'acea
sée est une voleuse.
-Certainement; ello me l'a avoué elle
même.
-Mais n'est-il pas vrai que vons l'avez
gardée à votre service après cet aveu ?
-Oui.
-Etes-vous prêt à le jurer ?
-Je le jure
Et l'avocat, s'adressanat au tribunal:
- Je vous le daniadde, messieurs, en
bonne conscience, tmuient voulerz vous
ajouter fui au teu ignage d'un homme I
avouant avoir pria à son service une femmie
qui lui avait avoué ses friponneries ?
-Tiens, riposte le corduonnier, j emploie
bien dAes bomnes de loi.
LF Leas cygnes ont beau faire, il leur
est impoesible de boire i petite cous. j
\ TE 1':LÎA I P -1
T 1 t "'''-I a' v
j J |. r l r ei ' e 'l, . '- . % i ''
t i - I. X 1 . 1 ý , : , i . ! . ( i - - 1 , l it - f. - -, . t . . ., !
l ' Pu - i . l-Utir , i'i-S ti lb - l;, eit tlir in
m nt i . S -. . I lit t il.-- Li ~ d va -' à
i. ;] iti ii < ;1Lrs ll d: t' ilo- t t - A -
i>' ii rîî'<i n< P tI iL il t-i», v.îr' tii' dr lu <i ', -;i
jjBpi1tu*iei' idiie d'un mdr W ,
* Terre Boisee,
.s iliiee l fin un rile det d re (Il - . nI I A
sis f-uir .s deux (c tts titi cli'tî:ii'i pl ; '
4111 conduia de Washiigton à Vil e là' Piat. t
fiîtan fce au B>yru Ciirt.ibl, i1 el ciil
rant jibsqu'aiot Bnoy i Teche in Ld'îele,
et crnienant suixhttle.dixsml avies, et Si-'7
c iinièincs, oit quai re'vitigi-douze ar|iiet(t
et 2 cenîtièmes de superficie. il
La moitié indivise (le la
Mite ons titi Qiart Nr Ntrd-)iisl s de lit
Si-cioii vi iit-deux duTowi)slri|) deuix Sui
de lit Ialiuie quatre E ut,-Ia inoitii' 111Clî.
tvisi- de Ilit Moi Ouest diu Quîtrt NSot
( )ui' i ils lit St iitti revilgt-trii-, 'ra>w n thii»i
ieux Suid le la Bleitemée îîr e -c t;-i. -
t1l1îîe itiliv ti'e (il li Mqind iv Ié e-t lti Qî; ri
SNrd-t Oiest. et là Moilié lit- i Q-t N.d .
Est île I d u Si-tiutri v gi ni-dii\. et t le iuirt
S.iî-O,-i t d e le Q àiairi Sii E.,( dit Q.in tt
Nord l.e)st li' t-t . S- tdii.n i-t Tlut ts ii
le 'lTiwi4itiit p diix Sinl ditu la Rtahigl'e qui
Irie -'t,- i i eitif' in diise tde titli It Ijt
nil ri) deietix. e xclib é le (èi;rt Nr rd- l i.
est idu Q art Ntld E-t duiît Lobi;-id lit
nititif iîîîlt i-' i Q î;irt S :ii t'I t *ml ( la
SeClit vitn t -tri, eltii> liw il.'l ti) L. S i i.
la 1Tongé.ic q ui i>re E lt,-Ie otît i<n iig)t»-i
t e-î cit, ili)ti7. acrti es di ' ,'tî til t s e ls
siji)eritcie. Iîýiî's suir le BiQuo l NRi riii,'
Tout le Quiirt Midi-Est de la
Seclion niei, ie tltu le Q îtrt Niil. Et >it,
li Sectii't ti- t'ii l, Tîwiisliij i ctt I 41 1 ut lte
It;ttuig'e >ix E" , cotit' itati t crint vinlt
a re t c't 2 c'iitièiià'ls de stiî| tiitt , .itu -
sur le B uîivoîi l euige.
Toute la iiioitié Est*îdi q ai'rt
S tNord-Est le la tSet li-t sep|t. « ir-i Ls t .i
dliix, trois. s'jet, hunt iI ;i S >i- t Il aî.l,
i Is li* S tl-Iix, oint- , dix dri.- lit S- r;ii
Ix, 'îT -ti. ilîi1ji ritil Sii( île t U.îutg-- -r,1t
\''-. cuti titi -i iii 1iitr. c ni (t-u irt.i i :ri 1- t t 1it
nerres of 20: centlelè.r*s def *-llieri lie, .»lltu S
-ir ;i r u ière Aiciu.il v .
Toute la neeti ii fiat tion
liu îtrd t- riîtîet', 'eta n- Iîpt. citî lS- uotc
tn iîie.i iTri tii-r, 'l'u c i!j)t - îlCn Sti ('le
i\ gl e h-riiii 'I jîf:tt lèru tif sai-t
lI. ,-\t( nintë 8-ir>H(;llll('--r :7.rt 6[
l* it ènifbs. vellfhI:' à li t .> ir, ï
1-! c.s eier A l( !it'i \ a.
C|>M>[I*TH'\S:- I.; nitf iid\.- h
ri -;-aii dle Iurrrr ierer.ère lll< litý durril s6».
' i n tit i ir dIiu < *tu t ai' ; i t-r, a |);iiiin'ctr
mst plla ecltupaio vt a lractin
ti ge a I Il,-tix ainx dor nruil, -à cin j>l<d r
j ir dI lit v<-!te 1 1. s ti' oiî.(t'itirs no'r.
l1-.1î:it : thiîle rs gluît eris < npti cIi iltîlt',i à.
l à la 8,1- 1rst r es 7 d.In il il. de droit,
11l e,-(n-l. o l);!pte ! rount]li>i 7rlinl i n' é à
'iiin de huit |iiun r cetiti piar 1it à <.liiitfr
d <tlir dtlc, jh' i à n .iri.t | 'ii .
rt <'n i titre. les 'res iiir ê run t ,;tri't!t
l t'iifii hy(>po> lh uf-e auix vn i.l t-Itir- in
qu'i pirliii puaiemitil tanti d(it pti p
que des inieré s (I tntiroi r 'u r lotir.
LEU2NCl F. LASTlIAIES,
ntcaiteuir.
Opploleisrbs .5 Février 1S70. e
(La Vieille Banque .)
Ruc Landry, plés la Makiisi de Cour, Opilousas.
JAMES G. HAYES, propriétaire.
C E vaite étalliisemehlit aynit été entiéèr'nipit
réparé e-t remis ià :out. it les aideis ariiani
impritanti's y avant étél ajutées, ett Ii tfl est
aàj.iiirdl hii rapiatle de recet-voir cf lugîrT in
( i;nte petisioiniaiirs.
La table sera pourvnue de ce que le mnuir-lié
pourra fournir de miil <r, Kt le< îinipliii-aia's
irt is suins as-idus qi lion proligiiera aux fta
nilis et antrrs pînsioniliira qui sy ai ue'rnut,
ucontribuerunt à l'agi-émîn-t que p->ut offir cet
Hlotel.
Oi prendra des pensionnaires par jnour, par se
maiie et par miist; et les prix seront moderes.
Opeloiisss 2 Octoubre 1»U69.
AU-DESSOUS
Du Meilleur Marche.
L oE aounsigné arrive de la Nouvelle Orléans
avec titi grand assortiment de marclhandises
sèihes, vêtements conife-tionniés, draps, imasinirs,
jeans, mérinios, &c. in Iieuines, museiiutes, co
toins lainage de tout gcnre,
Qiii.icaillerie; en un ront tout ce que 'on doit
trouver dans un magamin de campagne bien as
sorti., qu'il vendra à <les prix aii-dessîitns du taux
actme-l Il est convaincuii qu'il dinnera ssatisfac
tion entière, autant pour ce qui regardle la qilali
té que pour ce qui regade le prix, etjil oiiliîite
en ionuséqtenre la eoin inuation de l'eicourage
mient du public. L. DESRET.
L. DESBREST.
Agent 'eour la vente desi Fourneaux iélebres de
cuisine dit Biick i illiant, iir le»sqiiels il a
ENCORE UNE FOIS REiIIT SEs PRIX. 1
Opelousas Il Décembre 1]69. 27tf
-AVIS AU PUBLIC.
LE souspirnié a établi un blagasin de Dipot
ià fancieu emplacement de Wai. A. Ro
hertaon & Co. a l'encoignmre Mlain et Levée, à
Washington, où il ert piéparé à recevoir le coton
destiné à être expédié i la Nouvelle-Orléans. à
raioun de 25 cents par balle, sans frais extra».
Les frais sur le fiet de retour seront réduits dle
20 pour cent sur le présent tarif des m4gasins de
élbpots, ainsi qu'ils sont annoncés parla cuonbi
uaiemin des Magasins de Dépot.
M. D. KAVANAGH.
Washington 12 Février 1870. Im
BI'RrAUl DE LA COMPAGNIE DU PONT ET
DES CHEMINS DE LA PAROIsSE ZST. LONnDt y.
Washinigron 1er Janvier 1870.
A une assemblée du Hiuretian des Direcînirs de
cette Compagnie. tenue ce jour, ila été or
donné que doreravant iicun ticket ne sera vetn
du à moins que ci nie soit daus le but de facili
ter le cliaige.
M. D KAVANAGHI, Secrétaire.
5 Février 1870 Im
GANTS DE PEAU.
GANTS de peau. pour dames, de toutes cou.
leura, à vendre à 75 ceint la paire. hez
E PHILLIPS. (
Opelousas 12 Février k-70. 16tf à
Pi ~ î1 1 et si*. ' 74. s1 1t.4 Là Nàl14I 4 1 ql t
144Y( i ei CI vastu c:'4 :4 1 id vii il <I 1 C l4 ý
t 1 vl a 4' v4I4 ilii 4'l ti . "f 'I'r i ''<f li 4t< 111 i f)iiI -Ci
c t st ;i I ij.iî :ii 1j 1à 4à 1 i 4 c4 V 144'4i4 l.'1e
1 e1 i lil il('S, I>.s V<4Viigiiw1i 4s 4 et l public A1
luiat vil exc\t <hi-t mille>. La~ tble tI4".'4L
14411 c4441 du>' Ile:4 1.î:t 4- <> 441'
von11t pasl> deL.îut, pouri' i>iîld ce' t maison,4
de l4>44;441'HôI(tel est i<<hP spar4ic'4 J
seo Vîîiîi 'e roi ,4'4 4 'i'çIS les. 4144'-va145 414'
44*1g4 -,et 4411 l"onl polurr l' uer vile 41
vau4ix~,444'44j (s, Iîi-tkt &c.
1.4'sî>4' Coîne .tinuîera ài tranîsporter
le- fre't vt les4 de44114115' <l a';sll '
ton1 ici et v'ice Vtilsîil à ses$ al*ieIIIs jîlix
et Dionîbstaiît le t.1rit (lu pontî à l4(.:4gtP.
W. MN. .1017NSTON.
AVIS MlEDICAL.
J r* 4'~~g4~ a~ 418in et reçoit Cnt14! 44>4
,d el'4-lia
4 Au Depot de Medicaments.
de St. Landry,
l'lia t i :-I.. l'i <44 là i ..t 4444 :4s 44
é'e té '' > lit''-4:4 ci vil- >44''41- 1:: 41 tir l
I'. qui4
r>~~~ :j.q caavf; q1 pour'4s!>'~*4~ 4
ri itiliii fi 4 !t-1 i i., lt lit i4- il>44 4 :,.> 4 1
tili>4 . 1444:4'14- ail 4. 44!44 Toi ~
di-n-it .44 >4444444 ::. 'c
>4~ ~~~~~~~ sa4,4' >4044 41;4 1
plalia' . lui444 444 1 L:4 14.4 4:1
> '> la 4-41:- tC4:-'> I..
VM Fr E E.AUN-IE-VII'
44 4444444-I ~ l 1-44r>44 : 11J4lS g4::ude j' tir- fi. II tir
111d,:,:> -. u1blo 'lli N'r.t
lir eu u a -o b.1,I.IIN 10-e
MEUBLES NEUFS
Ilhii >-44f414> de>4 (lit144'. >î reptre 44e4
44 4441':e "> .~ <44.4]X 01 444i 14'4' t'r>'::d "41e>>
Aor'eîé dei:5 ,es 1-rix. î'< i j '> è'' :4il:>j' Ile.
et24 ali541 41 1 ubi:c eni généeral c.
1, 'A TT 17 .
0pw'!44îsnls 81i.î~1>îIS<) ':
MARCHANDiSES NOUVELLES
I ES sonis-i.ips appelltnt I'i 'cn ion iî
j leurs ai9ts 1 du p(Mi c en ru gin r;il
leur grand isitanctat de imiare adise
d'Automne et d'Hiver,
(fue noni venons de recrt-t.ir di lia N11
vtlf (Irlains, et que nous <f: *n'. à veil
dlie a i.s prix \poutr dlu cuipiaii.
Ceux (qui vtt:rnil f.iire d& bhou rtn:r
clie.s eirittu bien de vrinr fxaniiiir no
nma ciharidises et tnos prix avant de -e ien
( L. a illeurs.
i:. [>tîiw:Sc'cN & V,.(
"27 mars. W tthintL!tt. 1-t
Cochons Whits Clic3tor.
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