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LE RHIN.-, Ohacun emplit Son verre, Son verre A sa fagon: Berlin aime la hi6re, Et Berlin a raison. Cette bi re ele-m. me Engraisse' qte.fque pen. Qualrt an Fran.ais, ii aime Son vin couleur do feu. Soa immorLelle Franco OhI ie-lonlde a t6t6 La vie et reeprance, I/amour, la libert6. Quant A nous, d'Am6rique, Prussiens et Frangais, qui D6bitons la barrique De1'infernal whisky, Pourquoi parler de guerre Sur ce sol 6tranger? Oela ne nous sied gudre Aussi loin du danger. Au Rhin! mes gentilhommes, Au Rhin des Strasbourgeois! Oar ici nous ne sommes H6las! que des bourgeois. J. G.-Louisianais. tVN ROMAN PARISLEN. fl y a une dizaine d'ann-es, la I malson X..... et Y..... 6tait regar die comrme une. des plus richVs et, des plus honorables du quartier t SpsjDin0is. M. ... a. avit toute cbnfhtine en soil associ4 Y. . . et le laissait compl6tement libre dans le maniement des affaires. D'Ine sant6 delicate, it quitta Pa- I ris pit Liqiu.p 0ois, ch ue ann ft las1 ºr1diiUe 1 199i ux A diverses stations £heriales. Danas ees excursions il 6tait tou jours accompagni6 de sa fille, A m6lie, to ewnfant de JApit ans lie reposit topte son ection depuis la mort de Mme X.... Orr,.evenant un jour de Vichy, II ne fat pas pen surpris de trou ver e ntbmos te, commere - fer s1ate; 'Bob bhdigne assoola avait tbf 'lqtild6"':pour son ,propte o f et' aiilt pris Ia cl des com~p . Z, .` ..:. poeds~ait, il ot ueri, wo iotie peroonnelle a erasoode.;;ia ai hon ttsehop me ne vorlut poin.t lasoer mettre as igtin en i tflllte, et d6sint6 resea tons letor kanelers que son associ6 a vai/ju6 u vantageoux MIlX ýý. 6talt coapl tmeait eanu. Le r i:aghiu i1qa resastiti t de ,eett ;et i tRense, 1'aventr de as flllbies alm6a qau'ilvoyait perduetocabl rente panvre hom me m )r j(ioujieau. r,,, t eitapeline de 8-anse t e ~ uuaoe ~e~~t g6 tIýOpe hleaji soen 6tat. ais au. boutde quelques ana.es, Iia er ff.M'd pper, a son tourbal8eranwm eomppasannte, Mlle..,.. uinz e an so vit .perdit p`: et oolttl ,. l . e.Eoutri8e e e e 1)t 6 re 1ne. duý O'est FSwA' ti ii -- -I;- ·- - 4------- Pricipaý1 era Prui ens. Comm ii esatn molns aussi idstructif de connaItre ses ennemis que sei amis, ai vous me le permatte2i je vai voels donner en quelqaci lignes, poetu echaque gendral, les principaux traits caracte ristiques de leur position. Fr}tddric William.--Le prince royal, n le 18 octobre 1831, sous-lieutenaut A dix ans, a compldte son dducation mili taire, surtout par ses visites daii les ca pitales voisines. Sa premiUrue campa gue cut lieu en 1864 contre le Danemark, et on 1866, it fut commandant de l'arm6e de Sildsie, asyant pour second le g ibral Von Steinaetz Le prince Frddric Charles, neven do ia reine de Prusse, eat Age de 42 ans. II camnmansa son m6tier de soldat en 1848. Dans le Schleswig, en 1849, servit com me major dans 1'dtat-major de son oncle, le roi actuel, pendant la campagne de Bade, et fublesa6 au bras A la bataille de Wiesentual. C'est un soldat deter mind. Ii est l'dlbve strat6gique du ge neral Von Roon, le ministre de la guerre actuel. Dane la campagne de 1864, ii prit le commandement en chef apres le dspart de Wrangel, at soe distingua aui bombardement des forts de Duppel. En 1866, it commanda Varmte opdraut on Bohdme. Helmuth de Moltke.-Quaranto ans d'e.rience. C'est lui qui, danu son cabinet de Berlin, trouva toute la stra t6gie qui, en 1866, prit le vieux BBnCdek par surprise. De Berlin, par le tdld Sraphe, ii disait comment la Saxe et le dianovre devaieut etre envahis, et com meut trois corps d'any6e partia de difft rens points devaieot so rencontrer un cer tain jour et forcer en quelque sorte les portes de Vienne. Espterous quo ses plans rencontreront cette fois un pen plus de diflicultds. Le' gderal'ierwarth you 1~ttenfefd, n6 en 1796, n'it part A la eainpagne de 1813. En 1864, it commands l'expddi tion contre Alsen et l'armne de l'Elbe en 1866. C'est le commaasdaant de la grande forteresse do Coblentz. Edlowrd Vogelt on Talkeanseinentr as service en 1813. 1! brillt es 1'864, fut fait general en 1865 et en, 1866 recut le commandement de I'armde du Mein, qui entra A Frankfort le 16 juillet. (Eutra At Frankfort ! Ce n'dtait pas diflicile, et lea i Prussiens ajoutent qu'il y entra victori eusement encore !) Plus : Manteufel Steinmetz, strata giste habile; ,Le comte Bismarok-Shoubaussen ct Herr von Dreyda, inventear do siindna delgewer: prononces "fusiltA aiguille." It Bataille de Barrebruak. Voici comment le correspondant du Ti. mes, de Londres, rend compte de cette balaille terrible: I "Co fut une surprise pour lea Frangais, car toot i coup 90,000 PrOasies ;apparu. rent msodainernent devani I'arnne Fran Qaise sous le comnmandement du GAndral Froesard,. compoeee.esulemeat de 80,000 i hommes forman' Ic 2mo corps. "Par des mouvements rapldes, lea Prus siena r6ussirent i se mett.e A l'abri, at se I jeterutl dens les born qui environnent Ia ille, d'oi is ouvrirent us feu meurtrier" d artillerie et de mousqueterio Our lea Frsangais. i "L'armee de ifrossard se form .rapide meat on colonne d'attaque, et mprcba re solumpt*it 6ooAewqu ein.reo )dePrus. siens qui, combattant sonus Ia protection de laforet, faisaient pleuvoir une gri1edoe projectiles sur les Frangais, se ralliant sans ceae aprAm avoir e61 repouassn. ,"Plus de vingt lois les Fragais .e sont piseip.ihc avuec u ceurage b.roique jsoe 9ues ar lalisieit do bois, et se sent ruis eve'hb s -apbeduOesit& aaeb i.re iur tea Pruieo~. Mai, bilast ile pe.purest rd. ussir iA 11 eqiaper. 1Iatillerie prusiesn n $irait amre use greids precision, et le fen de riufasterie Mtait destructeur." , -l" ie Frascais, journal de nouvelle I er at APar , ouOnt do.r -booi alti rzal'brasieta de Moli th "'Essentielieemont rodest., za'yant on rset ee "atiea : germaig qui" a fou rre tols steotlation. I perle paep, (p jos bribeppap. ,, orreuardes - ipile qlpps c grsp4 habis pde des ,=e f4 $dig qu'il eat ';. ruasiep.ai e t.i....le , . 'Pepdat , a d , ' it saiait vs a osta me is plus wqia powr ot m44a41 de toptl, da deco +ipawr t t:,qua i1m,*looapoir ' ,. ý ep lntie coqs " slq it- Itsyses eeldilenbour5.". i arisee d. Blle, _______ ~'&toatee lee ~DIA L O Zw"Ffifrr"S air rp b'flq b '_boa. in Fet-l ýrebre u1 AD RE'S 1 E Comite Central 41'Etat -AU-- Parti Democrate de la Louisiane. Aux Electeurs 1Jmocratesr et Conserra ,curts doe a Louisiane: En vue de la Convention qui dolt se tenir I la Nouvelle.Orleaus ki second luudi Be septembre proohaio, et des grands in t6ret.s engages danps l'eleciop de novenmbre, le Comite Ceutral Dwmocratique d'Etat croit do son devoir d'exposer an peuple la, condition politique de l'Etat, et de faire on edergique appel a tons lPe votacts con servateura.pour qu'ils aident A delivrer l'Etat des mains des homwnes corromupua qui l'ont gouverne depuis 1867. IJemoment est favorablp, I'avenir eat plein de promesses. Nous n'avous quai nous unir, a nous organiser, et A marcher A la victoire. D'autres Etats nous out donnm l'exemple. Au Nord, an Sud, A l'Est et a l'Ouest, lea folies et les crimes du parti radical ont non setlement 6veille cheales populations le sentiment du dan ger, mais lee out animees 4d'uu esprit de justice retributive eovers ceux qui out fait metier et marchardise de leur loyaut6 et trahi leur mandat. La tnalhonnetet6 et l'incapacitz ont control6 et perverti lee af faires nationales an point que ces expres. sions soent devenues synonijues de parti r6e publicain. L'Orego'. a repondu au Con necticut, et New York a declare par une victoire de plus de 80,000 voix de majoritE, non pas que le radicalisme doit etre tmais qu'il eat reoverse. . Bien que notre intention ne soit pas de none appesantir sur lea sujets de politique nationale, it pent etre utile de noter lea symptioes indubitables do mscontente. mert mauiflests dans chaqte section contre l'adwinistration federale .actuelle. Pour le peuple des Etats-Unis, centralisation eat synonime de despotiame, et les pas rapides faits dana cette direction par le Congr&s ont, a juste titre, alarmE6 le pays tout en tier. Suns' ancn respect pour lea droits des gouvern.s, des Etais ont et6 subju guEs, la representation au Congres a et, vnie, Ia voix de majorites 4,crasautes a dte dedaignee; et, comme pour mettre le comble a tons ces actes d'iufamic et d'usur. pation, le Congres a porte sea maias souil Ides jusque our la Cour Supreme. Souis la ddmination do patlti radical, la vEnalite et la corruption sont devenues respectables, et le pillage systEmatiqne da trEsor national eat devenu one profession honorable.; lea! imp~ts out 4te accrus terriblement danas I'inotert d'uu odicux systeme d'espionnage adoptE pour la perception; des monopoles Ecrasanta out Ste crets pour opprimer le travail ; et, anus ,le fallacieux preteste do "eadeana," lea emplois do gouvernement national sent vendus au plus offrant, on distribues conformewent A un systime Chonte do ndpotisme. Si ces vices et d u'tres semblables d un parti currompu out ameun les populations d'autres Etats A comprendre lea dangers qui meaaoent de lee engloutir, pourra-t.on dire quo le people de la Louaisine eat morns sensible aux abus qui out surgi danas son gouverement 4~Etat pendant lea i trois loogues annEes du joug radical, abus qui, s'ils continuent, menacent de chbaser eo travail et le capital de l'Etat et do so. mer la ruioon dana chaque foyer ? On an contesters pas que notre dernibre ILgislature ne ftt une oute pour la oivi. lisation et la libert4 civile. Ell a foul6 aux pieds touter lea ve tus qui soot I'apa ,nage des gens hororablrk et rile a fait so piedestal A chaque erime qu'elle surait du reprimer. ),ignorance, l'effrouterie et le vice Etaient les qualitas requises pour oc onper un siege sur lea lanes radicaux de ceste assembles, et qugnd le trEsor Etait vole, le people pills, et des actes legislatifs vendos au pluo offrau pour des green backs, ees umembres fataieut simplement bonneur & la trinite i laquelle ils de vaieut lcur existence of cielle. L'espace rEserve A cotto adresse ne per. met pas i votre comit6 d'entrer dans lea details do tons lea actesinftmes passes par Is Legislature radicale aveo I'approbation de l'ExeeutiL La detse publique, sons le contrble radiesl, eat amontie de douse i dis-holut jllimon de dolklars; lee taxes se soot Elehi ees j 5aqU'i 6 pour cent,, sttei goait presque ani li]ite. de 'la confisca tion; on a accord# i des individus et i des corporations des privileges eztraordi neires e xolasi.f eon eaetradietion aveo Ia librte do travail st da.eapital; d8Enormes oammes out 6t6 saeordnes an: d6pens d'uo trdsor en penurie A de " particuhers pour des services triviaun o inutileb, et des em pllis inatiles em oppressifs out 6t6 cr46 pour des plaoes i des vagab6nds da parti qai ggeut aiasi lear ie ea eztorqmgta d lar..tst do tootes lea iodustries ho.ntes. Dams A'eapoir de s..perpdter am pou. voir, l:Legislature a Ipass l oisd'aors. gibtremast, d'elesoioniot de milseu, lois qui out seo k sanotiona ds ' lc]Eetif -at qua soat peut are les pereorea lea pl~ odiesaes, lea plus it4uatms at los pluseppreaives qui asiem jaemis soill6.,; . arhies d'amsoa Siat. a faos a. folia..eaa perversit, sello a peas. diaes, por mettre qa vguesr I'4agli'A . a8o00 roRgdmen de 1if. retes rtaces 'hommee, mail des mm.nuvsi $o O0¶KIPO5" ,jat jaa. D)ana iponpIb.u, at os Oau re motdit ~as. A1! 5 pa d;dezns r lea blmnca 4 t ,td.r u rq ¶2 ;a eq ,ore sur p4eqou lstr; teotte oge PrI*~" .do rtgler 9om es Mies amusemaots gEuatiop., ret, 1li 4 de1863 ` X169 et de 1870 pew ! , } nde ain, quatre F 4p p'eu > pa . as. aeuslu is 1*s rangi a de ce pars dns 1l qus Thomas t. Da rant, et comme ii est plus sincere quo see amis politiques, son tdmoignage n'eu est, qne plus concluant en faveur de la v6rite de ce que nous avons dit. Itans ma lettre datee du 22 join 1870, et adress"e a M. J. S. Sonde, en parlant des meneurs radicaux dans cet Etat, ii dit: "II faut qu'il y ait separation ab'olue des hommies nmalhonnetes et incalpables qui out gouvernd depuis 1867 !" Ceost li un langage beergique; cepeno dant it est strpasse en sdveritE par uone adresse rdpublicaine qui vieot d'etre lancde avoa l'endos du comit6 central d'Etat re publicain. Cette adresse dit : "Citoyens et rdpublicains ! AprBs une experience de deux annees, sous la direc. tion d'un 16t de poliliciens les plus malhon latles et les plus corrompus qui aient juamais souilld l'hisloire politique d'aucun des Etats de celts gloe ieuse Union, vous etef! maintenant appeles i arracher l'Etat des mrjns d'aventuriers politiques qui l'ont amend d la veille d'unc banqueroule !" On voit par li qne notre verdict est ap. prouve par les hommes principaux du parti republicain, et cependant, au mnoment meme ot ils constatent l'iufamie de leur propre parti, ils sollicitent une continuation do l'appui du peuple, sous pretexte qu'on met tra enlºvant danas 'avegjr des honnetes geos. Si le salut du parti depend de cette Epreuve, it partagera indvitablement le sort des villes des plaines, et son requiem seral chante en novembre prochain. Ce verdict n'est pas seulement le notre; c'est eclui de tous lea hommes bonnetes, endossd par M. Durant lui meme, qui comprend com. bien ii vaut micux pour son ignoble parti d'etre battu que de survivre sous la direc tion "d'aventuriers politiques corrompus" tels que ceux qui afltigeut actuellement notre Etat bien-aimd. Les consequences pernicieuses des actes du parti radical daus tout l'Etat out etc earieusement senties par toutes lea classes, blancs et gens do couleur, natife et etran gers. Tonus out er pilles, ddqus, oppri inds, et restreints dans la jouissance des droits garantis par toutes lea lois humaines et divines. En consequence, afin de deli vrer notro Etat, et do rous affranchir du joug d'hommes incapables et corrompus, i i faut nous unir cotume un soul homme, sans distinction de race, de couleur on de con dition anterieure, et les chasser des places et du pouvoir, pour muettre dans les em plois publics des gens honndtes et des pa triotes. Les interets des blanca counme des noirs sout identiques dana cette lutte. Tous les droils et touns le privileges dout ile jouissent en vertu de la Couststution sout sacrds, et le devoir de chaque citoyen est de veiller a ce qu'ils soient mainteous. Le parti ddmocrate a toujours soutenu et ddfendu la Constitution du pays, et, au jourd'hui comme dana le passe, il protltera et defeudra chaque citoyeu dans le libre et complet exercice de tous les droita garan tis par ce pacte. A la derniere election -i New York, si triomphante pour la demo cratie, la seule accusation portee contre le parti a. etd qu'il favorisait lea citoyens de couleur dana leurs privileges constitution nels. La population de couleur de cet Etat pent done etre assuree que la demo "cratie contionera a sentenir lesgrauds prin cipes qui l'ont ci longtemps caractdrisde. Comme la plus graude partie de nos maui eat imputable a Ia derniere legisla ture, it est au pouvoir du people de remd dier i une grande partie des abus par I'Elec tion d'homanes sinc~res et eprouves i Ia prochaine legislature dont les membres doivent Etre choisia en novembre prochain. De cette fagon nous pouvona enoore sauver l'Etat d'uune plus ample ruina politique et finanuibre. A etteo fin, qua lea 6leoteurs dEmooerates et eonservateura nomment leuro meilleurs citoyens comme candidats t Ia legislature, at qu'ils emploient tous lee ef forts 1igitimes pour assurer leur election. Outre la legislature, ii y.a ia lire un Auditeur et tIu Tresorier d'Etat. Notre plateforwe so reutue dins lee a mote d'oonomie at de reforme. Nous von Ions ddbarrasser I'Etat dson oorme dette, diminuer lea taxes, faire coustruire nos levees, faire renaltre la confiance, ameuer f I'accord du capital et du travail, entre l'homme de eouleur et le planteur, entre le planteur et le nEgocSent; encourager I'im migration et dvvelopper les immenses res souroes agricoles de las Loisiaue. A oette fin noue demandons Is oo6peration de touns lep bons oito. ens, sous quelque now qu'ile s'esoaieet;t." ousacroyons ponvMbr obtenir an grand triomphe. Lo r6publicaniame a prodait des truits smers qui Is condamnent; sea jours loot computs daos notre Etat.! Us patti qui plaide publiquement is cause de-la corruptioe ; qui eberohe i remoetre anso pouvoir des hommes qui se soeat con ~erts d'une infamie inefegable; an parti deont not d'ordre Et6 a fraude, Ia dim simulation et de fausses promeses ; pour qui lhonntet eat on a ujet do ridicule; qui proclame as legislation a pour but Is ppohatiou et I'oppreaion,--ne surait soe pe6enter devaot les votants louisianais et demander ler appui. - Noas eugageone instamment le peuple a s'ordsuiser sans retard. Les oomitae des diflteates peroisees saon pries de convo quer leoars 'luba, Elire des deleguos & Is Cotibttiou et traos.iettre, le plus tot poe uible, lea noms dees eter'niera sa secrdtaire da co ith Central d'Etka-, .. Colint.ppielt l'tentioa des votana rl'adreIas do wmebree d6moraetes, du Congrbso a rtotit mur I partie qui recom mtibSýf e eosler fer candidatures au: hom mes do parti ls plus tpsables. & aeur-li siuloment qui peuvent preter le.sermont ad'prev et nque n fra' ias lequator. imene anmendement; Uti'ogres Radical a ddalarf que lea aslni tqut i ieverit pren dreel seriment, on dnoots rEhabilitation t'a pser 6 itE e, oe iegeroit: pba 'dates ee obrps. Nuns ie. devona pies ons arretfr ' dtleuteri". I~ s of5 5 a e t lidits des stles dti ioURgl; lbrprieuoe toitiq prend qu'il At re ir4 ti de bal ae as a te soeat pan frap. i. C4 e pt O I fxat `d la. Ldlouisl 1ss, o Ish ipltheotstsoe i' ,. i ma eoapablue . honnetes oc. pnape plocp de ot ia i sious a. rose aeidltgeisor xp6 tsete t.4tt lee, -il ne' pc d' obeta le'sa bohbonr et i laproisperi "du'peuple Notre sol est ý'tune incomparable fearlite et uous posse donsde grands avautages naturels. Soy ons fidles a notre mission, et les bientaits inateriels dont lonus jouirons seront aussi grands que nos pertes oat ete deplorables. La base de la representation, telle quoe l'a revue et fixde Ic cooite, est d'un .di, le. gu6 pour chaquc trois cents, et un pour chaaque fraction au-dessus de cent cin.q.n te votes donnes A la dernibre election g. ndrale. Chaque paroisse a droitr i an roins un representant. La regle s'appli ue a chaque nouvelle parois'e. F. I II. HATCII, President du Cumit6 Central Dgmocrate de I'Etat. TttoNr s S rEEL, Sccrtlaire. [].-Lesjournaux qui favoriselt le but quo se propose cette adresse sout pries do reproduire cc qui precede. Le tableau snivant indique Ia base de a repreprdsentation adopt6e Ipar le Comith Central: Ascension ................... 3 i)ek6gu~d. Assumption...........-- ...... 5 Avoyelles .............- ..... ..... 4 .. East Baton Rouge ................ 5 West Baton Rouge ............ I Bierilile ........................ ----- - BUI ssier .......................... .. Caddo .......................... 10 Calcasieu ........................ 3 - Caldwell ................2...... 2 Carroll .......................... 3 Catahoula ...................... 3 Claiborne......... ........ ... 10 Concordia .............----...... 1 . P 'Cameron......................... .. De Soto ........................ 4 East Felihciauu ..................... 5 .. W.st Feliciana.................. 2 .. Franklin ............ ..... - 4 (,rant. ... .... ......... .. 1 lberville ........-----------...... 2 lbetria; ............................ .Jar rksoo ..............-........... 5 J erson ....................-------- 7 Lafayette ........... .......------ 5 Lafomrehe ....................... 6 Livings.ton .."--' M adison ......................... I Molrehouse ............ .... : Natchitoches .................... . ()r.lea n; s.............. ............. . O nuacl:ita ........................ 4 Plaque mine ...................... Paoite Coulpec ................... 3 -! Rapides .......................... .5 . Richtlnud ...--... ----.........----- ...... 1Saline..............-------- ......-- 3 SSt. Bernard ...................... 2 .. St. Charles ..... .I.. .. 1I St. Helelna ..... .................. 4 St. James ........................ 3 St. John B:apltist ...... . .. '2 .. St. Landry ... ................... -- 1 St. M artin....................... ' - St. Mary ................ ...... St. Tamrmaty.................... 2 Tensas ........................... 1 T er,.me . ..t.. .... ................. . 4 Tangipahoa ...................... I Union ......... .................... " Vermillion ...................... 3 Washington ................. ... 2 Winn .... 2 M. 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