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avéc le général Peck, se préparerait à attaque Pittsburg. ‘ On a reçu au ministère de la marine un ray port officiel de l’amiral Porter annonçant | prise de Grand Gulf (Mississippi) avec 7 ou 80 prisonniers, tous les canons, approvisionnement: munitions, etc., des rebelles. L’amiral Porte appelle Grand Gulf la porte de Vicksburg, et ! ajoute que la captare de cette place est d’un grande importance surtout au point de vue de opérations futures. On s’attend du reste, dan. les cercles militaires de Washington à appreu dre au premier jour la chûte de Vicksburg. On écrit de St-Louis que le général Blunt : télégraphié au général Curtis que le colonc unioniste Phillips, après avoir traversé, le Z avril dernier, la rivière Arkansas, a culbuté € mis en déroute une bande de rebelles qui s'étai fortifiée prés de Weber Falls, sur le territoir in ien. On ajoute, pour la centième fois peut-être que Sterling Price est prêt à se mettre en march pour envahir le Missouri. Reste à voir s’il ser: plus heureux que son collèguo Marmaduke. Dernières Nouvelles du Sud. L'Era publie des nouvelles venant d’ane source du Sud, qui confirment la mort de Stonewal! Jackson. Le Richmond Exraminer dit que !la mort de ce général est plus fatale à la Confédé ration que le serait la perte de cinquante mille hommea. “ — Jackson a été attaqué le ! courant par le troupes fédérales qui l’ont prise presque san coup férir, les rebelles l'ayant évacuée avec pré cipitation. Ou dit qne cette ville a été prisc par le général Grant ; mais d’après certaine lettres qu’on a reçues il semblerait qu’elle aurait été prise par le général Shermann. Ce qui in diquerait que ces deux généraux sont à une dis tance rapprochée l’un de l'autre. _ —I y a de bonnes raisons de croire qu’'unce grande bataille a eu licu entre Rosecrans et Bragz. Les rebelles disent que Bragg a retraité jusqu'au nord de l’Alabama. Nouvelles plus Récentes. Les nouvelles sont très encourageantes pour la cause de l’Union, tandis que l'armée de la Virginie se prépare à renouveler une attaque gu la capitale rebelle, le corps de cavalerie de l’in trépide Stoneman, pénètre jusqu’à deux milles de Richmond et détruit les cominunications qui facilitaient pour l’armée rebelle les transports entre cette ville et le Rappahannock. — Dans ce département le 19ème corps d'ar mée continue àse couvrir de gloire. Une expé dition sous le commandement du général Dudley est partie de Bâton-Rouge le 12 courant et a remporté des avantages qui scrout appréciés par tous ceux qui sympathisent avec ! Union. Ont pris part à cette expédition, le 30ème du Massa chusetts, le 2ème de la Louisiane, le 161ème et le 174ème de New-York, et le 50ème du Massa chusetts. Les avantages remportés sont: la certitude acquise de la fuiblesse «e l’ennemi dans ces parages ; In capture des bestiaux e la gar nison de Port Hudson et la d struction du che min de fer de Clinton, et la déroute de là cava lerie rebelle. par le colonel Grierson. Arrestation du docteur Knapp. Le docteur Knapp à été arrêté jeudi dernier par ordre du gouverneur Shepley et relâché im médiatement sous caution. Il est accusé d’avoir gagné deux officiers de police qui ont arrêté, en violation des ordres du commandant du Golfe, un contrebande qu’ils ont conduit dans un cab à une habitatioñ dont il a charge au bas du fleuve. L'interrogation de l’affaire aura lieù prochaine ment devant les tribunaux. GRAND CONCERT Pour venir venir en aide ux blessés du Qnd régiment des Attuc Blues. Il sera donné jeudi 21 mai 1863. au T yceum Hall. à l'Hôtel de Ville un GRAND UGONCERT au’ bénéfice des soidat» blessés du 2nd régiment des Attuc Blues. . Les portes s'ouvriront à 7 heures et le concert commencera à 8 heures précises, Prix d’entrée : 50 cents. CAVALERIE! CAVALERIE! ATTENTION VALEUREUX CREOLES ! Organisation d’une Cavalerie. MONTURE ET EQUIPEMENTS FOURNIS. PAIE: $l3 PAR MOIS. çatîe de provisions garantie aux Familles. Bureau de recrutement 22 zue St-Philippe. CAPITAINE E. CHICKA. ERRA" UM, À la première llgne du 2me paragrapbe de l'Adresse au Roi Coton qui à paru dacs notre deinier numéro, au lieu de Thowas Moriffounait, lisez : Thomae Morus gritfonneit. AVIS. Le Ds ROUDANEZ a l’honneur d'annoncer à en ctientelle, qu’ 3 partir ce ce jour il fera ses consultations de 2 à 3 heures tous les jours excepté le dimanche. Bue de la Donane No. 167, entre Dauphine ct Bourgogne. 23 avril--1 m. Be- M. L. N. Fouché esi seul chargé do faire des collections peur çe Journal. B@7” Nous croyons devoir rappeler à nos abonnés qui jusqu'ici ont négligé de payer leur trimestre, que les abonnements étant invariabie saent meablea à l’avance, nous nous verrons ‘forcé de cesser de leur cnvoyer le journal s'ils “ne règ'ent pag avec notre cellecteur. Le président Lincoln à lancé la proclamation aivante : ! PROCLAMATION lu Président des Etats-Unis d’Amérique. Attendu que le congrès des Etats-Unis a passe ‘ans sa dernière session unc loi intitulée * ur ‘cte pour l'enrôlement et l’appel des force: ationales et pour d’autres objets ” qui à été ap wouvé le 3 mars dernier ; Atteudu qu’il est reconna dans le dit acte ju'il existe actuellenfent aux Etats-Unis une in -arrection et une rébellion contre les autorités. t qu’il est, en vertu de la Constitution de- Atats-Unis, du devoir du gouvernement de sup vrimer l’insurrection et la rébellion, de garantih vchaque Etat la forme républicaine du gouver rement ct de maintenir la tranquillité publique ; Attendu que, pour atteindre ce but élevé, une orce militaire est indispensable, et que toute versonne doit d: bon gré prêter son assistance pour l’organiser ; ‘ â Attendu qu'il n’y a pas de service plus méri toire et plus honorable que celui de prendre part u maintien de la Constitution et de l’Union, €t par conséquent à la conservation d’un gouverne ment libre ; ' Attendu qu’en raison des motifs énoncés plu haut,il a été décidé parledit acte du cou grès que tous les citoyens valides des Etats-Uni ainsi que les personnes d'origine étrangère qui auront déclaré sous serment leur intention de devenir citoyens sous la protectior et en vertu des lois existantes, âgés de 20 à 45 ans, sauf cer tainesexceptions qu’il n’est pasnécessaire de men tionner ici, sont requis pour constituer les forces nationales, et scront exposés à remplir des fonc tions militaires au service des Etats-Unis, lors qu'ils seront appelés par le Président pour cet objet ; Attendu qu’il est réclamé dans l'intérêt des personnes de nalssance étrangère comprises entre les limites d'âge spécifiées daus ledit acte, les quelles ont déja déclaré par serment leur inten tion de devenir citoyens sous la protection et en conformité- des lois des Etats-Unis; que les dites personnes n’ayant pas exercé le droit de suffrage ni joui d'aucune autre franchise politique sous l’empire des lois des Etats Unis, il ne leur est pas absolument interdit par la déclaration =us dite d'intention de renoncer à leur projet de de venir citoyens ; que ces personnes, au contraire. conserv nt le droit de renoncer à ce dessein ct de garder le privilége de citoyenneté et de rési dence aux Etats-Unis sous les obligations impo sées par le susdit acte du congrès ; Par conséquent, afin d’éviter tout malentendu sur la capacité des personnes intéressées à fuire le service requis par l’acte sus-énoncé et à en obtenir un plein effet, jordonne par le pré sent et je proclame que nulle réclamation fondée sur la qualité d’étranger ne sera reçue pour exempter des obligations imposées par le susdit acte du congres toute personne qui aura déclaré sous serment son intention de devenir citoyen des Etats Unis sous le régime deses loi-, et qui se trouvera sur le territoire des Etat=-Unis pen dant In durée de la présente insurrection ou ré bellion à partir de l'expiration do soixante jours de la date de cette proclamation. Ces récluma tions fondées sur la qualité d'étranger ne seront pas plus accueillies en faveur de telles personnes qui auront, comme ci-dessug, déclaré leur inten tion de devenir citoyens des Etats-Unis, et au ront exercé à une époque quelconque le droit dv suffrage on toute autre frunchise politique dan l’intérieur des Etat=-Unis, conformément aux lois du gouvernement fédéral ou de quelques-tns des Etats. En foi de quoi j'ai apposé à la présente le sceau des Etats-Unis. Donné en la ville de Washington le huitième jour de mai, l’an de Notre-Seigneur 1863 et de l’indépendance des Etats-Unis le quatre-vingt septième. ; ABRAHAM LINCOLN. Par le Président : Wumw. H. Sewarp, Secrétaire d’Etat. ADRESSE AU ROI COTON Par Eugène Pelletan. JTs (Bullrß.) “ A mesure aue l’émigration américaine défri chera ce qu’on n’appellera encore qu'un Terri toire, la Conatitution étoilée accompagnera en quelque sorte pas à pas, dans l'Ouest, le travail nomade du pionnier. Lorsque ce nouveau Terri, toire aura atteint un chiffre légal de population la Constitution le saisira immédiatement ponr l’incorporer dans la famille «äes Etats, et tune étoile de plus brillera sur le dräpeau de la répu blique. “La fédération polype repoussera ainsi de bouture, et enlacera toutes les nouvelles éclo <ions de coloniez, à l'Ouest, dans les liens simple d’une unité qui protége toutes les partie= inté grantes de l'Union, eans jamais pouvoir en asservir ancune. Et, pdurtant, qui le croira ? Ce chef-d’œuvre de Constitution sortira en quel que sorte du hasard, ou,° si vous aimez mieux, d’un compromis. Un destin eaché l’aura san doute dicté, comme si elle devait un jour porter un monde. , ur “ La liberté seule a le don de création ; grâve à la liborté, la république américaine fera explo sion dans l’espace. L’homme y gagnera le temp de vitesse. ÀA peine le douzième où le quinzième fils d'un même père aura-til tonché l'âge de raison, qu'il attellera une charrette et la char gera du bagage laconique d'un émigrant ; l embrassera ensuite s& famiile et il fouettera sou cheval. “ Où ira-til ? Au grand Ouest. Quand il aura trouvé une propriété convenable sar le demaine commun, il a ttaquera la forêt à coups de hache, il ensemencera la clairière de* maïs et y bâtira une cabane à la lisière. Le jour où il aura un toit pour reposer sa tête, il pensera que deux têtes y reposeront encore mieux ; sur cette ré lexion, il allumera ga pipe et retournera sur son bidet au village de son enfance. “Il y viendra chercher une compagne ; il ‘pousera la première venue. Il pomra mettre u hasard la main à la loterie. Il y puisera toujours l’esprit d’ordre et de travail. La vertu voilà la dot de la jeune fille américaine. Quant t l’antre dot, il n'en sera nas question. Com ment vivront les enfants ? Ils émigreront à leur tour. “ Sitôt que le pionnier aura reçn la bénédic tion nuptiale, il reprendra en compagnie de sa f-mme le chemin de sa cabanc ; mais il emmè sera cette fois un mobilier et un troupean. Quelque temps après, le prédicant à cheval, chargé de distribner Dieu dans le désert, pas sera devant une nouvelle ferme imporisée; eteiiÿ verra un e=-aim de marmots jouer au senil -de la porte sous l'arche embaumée d’un ro<ier. “ L'homme attire l'homme dans la chimie s 0 ciale, comme la molécule dans un autre ordre de composition. Une nouvelle cabane viendra chercher le voisinage de la cabane déja constrni te, par raison de sympathie en même temps que de sécurité. Bientôt l'indu-trie apportera son concours à l’agricultüre ; le forgeron allumera -a forge à côté de la ferme pour battre le soc de la charrue, le charron suivra le forgeron et le menuisier le charron, et ainsi de suite jusqu'au tailleur, L'agriculture disperse, l’industrie con centre. Le village naîtra de l'indu-trie. Ai-je besoin de prédire le premier monument publie qu'on y élèvera zur l'épargne de la commune ? Cc sera toujours la maison d'école. “Et pourquoi non ? Le culte du pionnier pro testant n'est il pas la Bible ? Sa piété n'est-elle pas. l 4 lecture? La première condition d'un ci toyen libre, d'un pays libre n’estelle pas de sà voir lire au moins son journal ? La religion remisera d'abord dans la salle de l’école ; mais, avec le temps, elle aura sa demeure à part, une église surmontée d'un campanille, et la eloche célébrera dans le vent la naissdiice d'utte nou velle commune. “ Pour peu que la commune trouve une circonstance locale sympathique à son deve loppement, elle grandira en quelque sorte à la baguette. Ce n'était qu’un village, lu voflà pe tite ville, puis ville ordinaire, grande ville enfin, métropole de cent mille âmes, que disje ? de quatre cent mille âmes, et tout celaen wne vie d'homme, sur un sol oùt la veille encore le buffa/o broutuit en liberté. * Que scra-ce done lorsque la vapeur aura douné à la civilisation américaine une âme à la taille de son audace ? Tout ce qu’elle fera désor mais, agriculture ou indu-trie, elle vondra le faire à la mécanique, labourer à la_ mécanique. moissonner à la mécanique. Ln surface du sol tout entière ne sera plus qu’une immense ma chine haletante toujours au travail. L'Amérique du Nord, armée de ln puissance de la vapeur, mettra l'impossible au défi et ira jusqu’à contre faire le miracle. Eile jettera, par exemple, un chemin de fer de mille livues en reconnaissance, et la locomotive, emportée à traver: l’inmensité du vide, appellera éperdûment d’an coup de sifflet le fantôme encore enfoui des villes futures, et ces Villes sortiront de terre à l’appel de la va peur et prendrout place au soleil. * S ; “La nouvelle de cette prospérité à tonte vi tesse passera la mer, et la population du vi-ux monde, déshérité d’une part au sol. traverseru l'Atlantique et couvrira d'ane alluvion vivante la terre prédestinée de l'Ouest. Ce veva la croisade du travail. Toute l'énergie de l'Eu rope, car il faut avoir la fibre trempée pour courir la chance de l’expatriation, viendra ain-i enrichir l'érergie de l'Amérique, et de la combi naison de l’une avec l'autre, et de l’ation et de ia réaction de leur donble électricité, eile for mera une race à part. hors de mesure, qui geguera un pouce de hauteur à chaque généra tion. . * L'elément saxon fera le terroir en quelque sorte et donnera le bouquet de la nouvelle civi ] sation. C'est lui qui imposcra à l'émigration étrangère le calte du travail et de sa mère la li berté. Il fera l'office du tonneau de Heide.berg, où l’on versait chaque année un vin nouveau qui prennit aussitôt le parfum de l'ancien, Alors apparaîtra un homme inconnn, le dernier mot de l'homme, l'honume maître de lui-même, son propre souverain, son propre gendarme, son propre prêë tre, le moi absolu, le Yankee, T n'atten-dra pa que l'Etat le protége, il se protégera ; que l'Et.t l'enrichisse, 1l s’enrichira ; que l'Etat l’affubile d'un culte appointé su budget, il choisira lui même «a religion ct il la payera de son épar- vne. ° < Plus d’oppression de conscience ni d’aucune nature, ni d’une clas+e sur une autre classe, ni d’une armée permanente eur toutes les classes de la vociété. L’Amérvique du Nord n’aura d’armée que pour la montre, une douzaine de mille hommes tont au plus se:és par petits piquets sur toute l’étendue du territoire. Il n’y au nla ancune mauvaise queue du passé : ni droic d’ai nesse, ni académie, ni brocderie, ni distinetion, n 1 mondicité d'antichambre, ni sinécnre sous le nom de fonction, ni aumône -ous le nom de révompen 8 L'homne vaudra ce qu'il vaudra; on n'y respectera que le travail où le dollar, inearna tion du travail; mai<s 11 faudra le gagner à la gueur de son front, «ar l'opinion regardera le fa' nrente, en Amévique, comme un vol à la so mété. Elie g'orifi-ra, cn revanche, téute e<pèe - de métier… Travaiilez n'Hnporte conmi-n” ; “ovez ce qué Vons roudrez: bottier, l:mh*ur.—j:n‘c!î..ïri'. avocat ; Fates ie méder que vous voustrez, pour vu que vous payvz loyalement de votre personne. Tout état en Amerique porte avec lui sa nobles se, et un président de la république pourra sortir d'uu atelier de charpente. ” (A continuer.) Smmonces £ Atis Dibers. ALCIDE PEROSSIER.. Salon de barbe, de coiffare et de coupe de cheveux, rue St-i.ouis, No 71, eutre Royaie et Bourbon. 31 déc - 6m À. 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