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'Union dcsXaUljitorfyto. Jeudi, 2 4 Wefohi'P 18(51 AGENTS 1)K 1/l'NfoN : A Clout ierville, M. Abel S fhw . . ( Limit? M \U'cv. A Campti' , , r ' I Hyler L rvashbuh. \ In Nlle-Orléans», I' ava & C o. fc'è" Tmit ''nrntnnniqiip 011 rinnonre envoyé I journal HprêR le Mardi soir,, n>> sera inséré i<> 'lui)« le numéro de la semaine suivante. ®®r Toute candidature insérée dans <tte fouille contera $10 et sera, paya le INV AUIAHLEMEN 1' d'avance. 8-$s~' Nous sommes autorisé à annoii •r le nom <h- 11 l' EIIALTA, de Aton Hollge, comme candidat pour place d'Auditeur des Comptes Til lies à l'élection >l< Novembre prochain jBfejJT Nous sommes prié» d'annonce 1 ne Mr J. il. CUN NlNGttAM, est can idat à la place de Sénateur, pour les iroisses /Va Ich itches, Sabine, Cnddo DeSotto. Les élections auront lien i Novembre prochain. Cédant au\ sollicitations do ses nom reux amis, ie Dr. J. W. BUTLER se orte candidat pour la place de Séna •nr, composé des paroisses Natch ito* tes, Sabines, (7addo et D p Sot to, aux ections de novembre prochain. Nous sommes autorisés à an incer Mr J. M. B. TUCKER comme indidat indépendant pour la chambre s Représentants, aux Sections de •vendue prochain. Nous pommes autorisé il annon cer Mr. WILLIAM PAYNE, le Re trder actuel, connue can lidat pour le ème emploi à l'élection de Novembre ochain. i'om* Shcrir. Nous sommes priés d'annoncer que Mr. UN H Y F. TRM'IIKL. est candia»' pou iflii'p do Shérif ft l'élection qui aura lieu en ovembre prochain. , TMMinm* pries il'»- j— W N'OHltlS.est œudWtnl pour 1 office if a l"' nu,a l'eu en Novérn — L'absence d'un de nos ouvriers il la maladie d'un autre, nous obli ,'ont à ne donner que peu de matière ans ce numéro Le Sons Moral ef le Nonl L'orsqu'une nation est sur le point » se détruire et de se re celer ; lorft u'un peuple éprouve ce malaise moral ui lui lait croire et douter de tout, u sque la los est impuissante, pareeque lacun l'interprète et la fait exécuter à » manière ; lorsque la magistrature it, désarmée ; le législateur corrompu fonctionnairs incapable ou conçus. oÏÏnïrire ; le temple une chaire politi que, le commerce une forêt de Bondy la vertu un meuble inutile ; c'est u'alors .soyez en silr, il se manifeste 'nui ce peuple des symptôme* ef ayants qui renversèrent et firent dis rser aux quatre vents, la pu ssante kbylone et ses impudiques richesses : uis voulons parler de l'absence de lis moral existant dans le Nord à tat presque général et au Sud com ' une fraction déjà trop considéra Le sens moral est le frein de la cons •nce, la cloche d'alarme qui résonne i fond de notre am« pour nous emj>ê ,er de tomber dans l'abîme ; c'est ce ii fait le magistrat intègre, le légis teur honnête' le fonctionnaire capa e et dévoué, le temple une chaire de orale, de vertu et de miséricorde ; le mmerce un échange productif mais val, et la vertu la baRc de la société Mais le sens moral ne peut être p ro ndement enraciné dans le cœur de lomme que pav une bonne éducation .emigre. C'est sur les genoux d'une .ère vertueuse, de vouée et attentive ; ar les conseils et les exemples d'un s re dont la probité est la ligne de induite invariable ; par l'obéissance ix premiers guides de notre enfance ; ar la charité, l'abnégation et la reli ion du devoir qu'on peut posséder le ns moral, s 'inculquant lentement ais sûrement dans le cœur des en nts, pour en faire plus tard des hom es auxquels le bien sourit toujours et ii repoussent instinctivement le mal. gA l'oisiveté, qui est presque toujr.irs résultat d'une éducation ou la mora .iv^>aa été la base, succède la dégra iWïï, ^ui en est. la triste mais lo ique conséquence Le sens moral, ! contraire, vous conduit au travail, tte loi immuable et divine auquel '1 ne put échapper sans tomber dans vice ef descendre lentement jusque ies divers degrés do l 'é ! elfe "sociale. H^lui qui manque à cette ; commune, décrété? par I 'lüc — riche ou pauvre n'est i lui , îu'ini parasite, à charge à I» aociété, carie travail intellectuel ou manuel, peut Beul grandir et honorer la vie. Hom me «l'ép» 5 e ou He plume, agriculteur, ou vrier ou industriel, tous, doivent s'ils ont le sens moral, apporter dans la mesure de leurs forces et de leurs moy ens, la somme de travail que la soci été a droit de leur réclamer. Un hom m ■ entièrement oisif, ne peut être com pare 1 qu'au capital improductif enfoui dans une cave. Le sens moral conduit donc au trs vail qui est la loi de Dieu, de tous les mondes et de tous les peuples. C'est par lui que tout monte et gravite. La liberté ne relève-t elle pas du travail ? Qui engendre la gloire si ce n'est le travail ? Enfin, toute participation a la vie ne s'accomplit-elle pas par le travail ? On ne peut être fiomtne qu'à la condition de produire. Li grand commerce et les chefs po litiques du Nord, gens dénués pourla plupart de sens moral, ne considérè rent le travail que comme le moyen pour eux de s'enrichir dans l'oisiveté de grouper Jes masses dans léB tnanu tactures, de les soumettre à un labeur dur et pénible et de s'en servir eomme voix électorales pour envoyer au Con grès leurs créatures et serviteurs. De ce malheureux ouvrier exploité jusqu'à la quintessénee, il en fit nn philanthrope ot un abolitioniste, pétitionnant pour demander aux législateurs la liberté dont il jouissait lui même, c'est à dire colle de mourir de faim faute de travail, Mais les manufacturier« du Nord, tout en faisant de la propagande et en cherchent à saper les institutions du Sud -fit cela sans principes et sans conviction aucune — laissèrent graitdir autour d'eue le prolétariat pre ique in connu au Slid, et qui r des aujourd'hui commence a être pour le Nord le plus effrayant problême à résoudre. Ils ont semé le vent ils récolteront la tem pête. Les Yankee émigrèrertt également au sud, ou plutôt vinrent y campet, pour partager les trésors de ce qu'ils appelaient > la terre promise. Dans lour, saedß huit ils apportèrent, géné ralement .Utie instruction médiocre, oi'autfcmp 'ü audace, une coniianôe il limitée en eux, l 'art de parler long temps pour ne rien dire et une profon de science d'embrouiller les lois à leur profit. Abolitionistes au iVord, escla vagistes au Sud, ils accaparèrent tout le grand Commerce do la Louisiane en prenant pour devise très significative ces trois mots : faire de l'argent. Chose étrange, et qui étonnera l'historien lors que dans quelques dix ans il sera appe lé a écrire cette époque d'invasion Yan kee ils furent reçus à bras ouverts ; fêtés, choyés et mariés. Puis, afin de payer leur juste tribut de reconnais sance envers ces généreux creoles qui les avaient reçus si hospitalièrement, ils commencèrent par évincer de tor tes los p Ut ces, ceux qui n'avaient pas eu l'honneur de naître sous le ciel des Yankee. Un jour arriva ou la JVelle Orléans et une grande partie de la Louisiane fut administrée, gouvernée et représentée par ceux auquel«, par la naissance et l'éducation première, nos institutions étaient antipathiques. On laissa faire 1 il semblait qu'une sorte de vertige conduisait les Loui sianais vers l'abime. Les vieux créoles si probes et si loyaux excusèrent pres lue la mauvaise foi et l'abus de con fiance : les Yankee appelaient cela Le sens rnotal réfugié alors, seule ment dans ces vieilles familles, sembla emprisonné et. ne protesta que par son silence. Désormais on créa tout à la ^ ankee : écoles et colleges à la vapeur morale économique ot petit format, grec et latin à haute préssion. L'olié ' ,!,sn " co fnt déclarée una injure faite à j ' dont 1 enfant pouvait et devait même s'affranch ir ; et on s'oc cupa beaucoup plus à cultiver le rW wr que l 'étude des arts, des sciences ou des lettres. La société était donc malade, étiolée gangreuée, se mourant faute de Pair pur de la probité, lorsqu'éclata heuren sement l'œuvre révolutionnaire de la Séparation. Il était temps, le Nord allait fiuir de consommer notre suicide Le cri d'alarme poussé d'un bout à l'autre de la confédération provoqua 1 ardeur patriotique et réveilla dans le cœur du Sud des sentiments géné reux depuis longtemps endormis. Le sens moral n'était pas éteint. La guerre, qui fut et sera pour nous i ne expiation nous purifiera en nous régénérant. Les temps sont proches ou le sens moral reprendra son empire et, nous demeurerons" convaincus que sans lui il ne peut exister dans les ins titutions des peuples rien do solide et de durable. "• a | REOEN-srMF.iiT — Dans le recensement décennal de 1860, la population de la Louisiane est porté à 354,245 blancs a et noirs libres,*ef 312, 1S6 .-n tout 060,431 habitants. sclavps MORT HF! MB. PRÜDEM D'ARTLYS Dans son numéro du 12 Octobre, L' orcjanb C entrai , des Avoyelle nous apprend la mort de Mr. Prudent d'Art lys rédacteur du Pélican. C 'est seu lement après quelques jours d'une ma ladie douloureuse qu'il a été enlevé à sa famille et a ses amis. Né en Normandie (France) Mr. Prudent d'Artlvs habitait depuis Ion Son exis , «cannées la Louis.ane. tenpe de bol,ê ' ne littéraire, lors de ses debut9 » la Nell-Orléans, semble un chapitre détaché des œuvres d'Henry j Murger. Il fut le premier fondateur ! de plusieurs journaux, entre autros du j (^féahacébê) ou nous lui succédâmes j Depuis sa prise de possession du Vil ! lageois qu'il baptisa du nom de Pélican sa verve paraissait être éteinte. Une ' ironie sanglante et trop souvent f a . taie pour lui surnageait seulement au milieu des amères deceptions de sa profession de journaliste. Prudent d'Artlys finissait do boire à la conpe d'amertumo de la vie, et son existence pleine d'orages touchait» son terme. I Quoiqu'il en soit, littérateur et journa listeil laissera des traces de son pas sage et, si sa vie eut quelques erreurs, elle eflt ainsi de3 instants ou le mé rite, le talent et le cœur, effacèrent atec éclat les imperfections dont notre pauvre humanité est toujours affligée DE TOUT^N PEU. 1 Il faut être vraiment bien présomp tueux, en ces temps ou nulle anecdote no circule ; ou un silence morne et triste règne parmi nous ; ou les événe ments de la guerre sont presque mu ets ; ou les journaux ont ordre de se taire *. de chercher à trouver au mi lieu de ce silence précurseur do l'ora ge. quelque chose d'intére?sant pour 'offrir au public. En fait de vieux neuf, nous avons 'organisation de la compagnie do mi lice. et voiln tous les Citoyens ae la a 45 ans bien et dûment enrégimentés. Les chasseurs à pied, quoique faisant partie de la milice ont été maintenus comme compagnie, grace aux démar ches du cap, J. B. Cloutier qui est resté fidèle à des hommes qui lui avaient donnes librement lefirs votes dans \ine élection sérieuse. Le main tien d'une compagnie qui a déjà ren du des services à notre communauté, n'est qu'un acte de justice. Tous les échantillons de notre mili ce sont donc représentés publiquement deux fois par semaine : le mercredi et le samedi. Garçons, veufs, hommes mariés, gras, maigres, jaunes ou rou &cs, petits ou grands.cn un mot toutes les silhouettes tie notre ward s'exhi bênt bi-hebdomadai rement» Disons le avec regret pour tes jeunes filh.-t et veuves à marier, le stork do gen.i propres à faire des maris middling fair est loin. Lo plus brillant de no tre jeunesse e*t parti, laissant le champs libre à la réserve, qui ne s'est signalée par aucune victoire matrimo niale. Eu effet, depuis déjà long temps les flambeaux do de l'hymenéô sont éteints, et, leur lueur mystérieuse et pleine d'ànour n'éclaire plus le reli . 1 gieux autel. Je suis b.en certain que j si on demandait à ces charmantes 'jeunes filles de dire la vérité vraie elles répondraient î | j j . , i es mes au "Ne cherchez pas à pénétrer les douloureuses appréhensions qui nous agitent et les secrètes espérances que nous nourrissons. Noa cœurs ne sont pas ici, ils sont là bas Potomac à la ville dn Croissant ; dés plaines du Missouri aux retranchement du Fort Smith. Ne nous parlez pas mariage jusqu'au jour ou ceux qui nous sont chcrs, rentreront triom phants. " J'avoue franchement qu'il serait très difficile de ne pas approuver une pareille réponse, et j'engage fortement les miliciens amoureux à mettre une sourdine à leur cœur, jusqu'à nouvel ordre. S'ils peuvent acquérir les grâ ces inili aires qui caractériseront nos jeunes volontaires, on leur fera la fa veur spéciale de les classer dans la catégorie des maris de rencontre. Du reste, il ne faut pas se figurer que les devoirs de l'exercise et les douceurs de la tambouille, fassent oublier à nos jeunes soldats, Natchitoches et les j ' charmantes fleurs qui eu font l'orne- ; ' ment : ce serait une erreur fatale des ! l ) [home lore. Un déluge, de lettres arrive j toutes les semaines, dana lequel claque, volontaire expnme le regret amer ! être éloigné . Alors Eh bien Ion taire , . i S' at '' e,lx de celle qu il préféré: Il dé sa famille ? précisément. 8 a ville natale ? n'y êtes pas . térêts qu'il laiss« ici ? eg de chose?trop vé suis pWs. e v0 . chen, messieur p1us clmr poignants lit en le mantes jeunes fille d 1 At, pour bonheur do voir ne pas s'en souvenir toujours. jeune défenseur de la confédération, ne trouvé pas de plus agréable distrac tion que de s'entretenu* le roir, dès jours ou la paix la plus p rofonde ré gnait dans le pays, et ou le trouble ravageait tous les coeurs. Au son mar tial du tambour, il aimerait mieux la douce mélodie, naissant sous les doigts i 9 ' 1 ' 0 se battre souvent, afin d'avoir j pl &tô* une paix qui détruise 1 Union j °t ^ a88 ° célébrer la sienne. i Hy a donc accord parfait, et l éléc : traité sympathique lie tousces cœurs I co l >en dant bien éloignés les uns des autres. Aussi, ne doutons nous pas que le concours do nos charmantes musiciennes, ni *oit acquis au concert qui sera donné au profit des blessés de notre armée, et que Mr. Félix Métoyer veut organiser pour le mois prochain. Les secours, si faibles qu'ils soient, envoyés dans nos hôpitaux sou lageront bien de» souffrances et pour ront peut être conserver à la vie des êtres chers à leur famille ot à leur fiancée. T veaux émja sont Cents loppe, et stamp tante lion P réparatifs du N ord . — L'expédition navale qui s'organise maintenant à New.York, pour se joindre à cello des vaisseaux qui se trouvent maintenant il la forteresse Monroe, sera formidable. Elle comprendra dix énormes steamers de transport portant en tout 15.000 hommes. De plus, on vient do lancer G0 bateaux pour une expédition contre la Caroline du Nord ; ces navires sont i>iir»<itîa vt porteront 350 hommes. DERNIERES NOU V E L 1. ES. Richmond, 18 oc t. — L'armée du Po» totnac a l'ait un mouvement rétrograde et s'est éloignée de Fairfax dans la nuit de mardi à mercredi, entre minuit et la pointe du jour. Le mouvement s'est opéré avec régularité, ordre et promptitude. Si le but était de pren dre une po sition plus avantageuse, ic but a été pleinement atteint. Croyant que McClelland était sur le point d'at taquer, Johnson s choisi sun terain. Notre avhnt-garde occupe Fairfax, les résidents ont tons quité la ville. Le secrétaire du Trésor a reçu une lettre des commissaires des emprunts sur les récoltes dans laquelle ils disent qu'il est désirable qu'on augmente le chiffre des souscriptions. Le secrétaire du Trésor consent à «no raisonafde Prolongation de terne pour les Ventes, mais il s'oppose à ce que lu gouverne ment fasse dos avances pour l'achat du coton, disant qijs la Constitution ne lui donne pas ce pouvoir. Il recom mande aux planteurs de s'adresser aux Banque^. Il avertit les commissaires des emprunts des quinze initiions que le tout pourra être pris dans les futu res souscriptions en vertu de l'acte du 19 août. ,, CIMETIERE Dû C.VMl' L k \VIS . — Ce Ci , rnrti ^ re a d ^ jà dcux tombe8 . p llne ei( : occupée par un long Illinoisieu do 9 pieds, nommé Abe Lincoln ; à cause de | ' a taille incommensurable du défunt, on voit sortir un vieux chapeau défoncé à l'une des extrémités de la fosse, et à l'autre bout des bottes percées. Au pied j surgit un cactus, emblème du caractê re d'Abe ; en travers du tertre, un pieu ^ ( j em j f enc j„ avec une hache deux tranchants ; à la tète, une planche re vêtue d 'une épitaphe en vers— Tout près s 'olève un autre tertre marquant la dernière demeure de Seward ; il est moins long que son voisin, r>f course. Au pied, on voit une planche derrière laquelle se cache une bouteille dewhis key ; ce qui prouve quo bien que le gran I Seward ait maudit publiquement le whiskey dans sa vie, il avait tou jours sa bouteille particulière derrière la porte. Son épitaphe, plus lisible que l'autre est ainsi conçue : traduc tion libre de l'Anglais : Arrête ta marche, ô passant, A la vérité fais outrage, C est le moyen de rendre homage A Billy Seward ici gisant. L igne C una RD. — Punch, commentant es ^ an ^ aronna( Ies, du Nord prétend que a v ' e '" e ' ! o" G f ^ es Canards, a été rem ) ' acc '' e P ar une ''oit' de Canards améri Ca ' n ' S p iKnD , E . _ I« 8 u mé d 0 rapport de la bataille Ä Ma,par Me Do»-ell • r/,.,.,- i /;j; lv „. T imbres et E nvelopes .— Lea nou- 1 veaux timbres de la poste ont dû être émja à Richmond le 30 septembre. Us sont rouges et portent la figure de Jefferson Davis, avec l'inscription Five Cents au dessous. Une nouvelle enve loppe, très avantageuse vient d'être inventée, comprenant enveloppe, lettre et stamp ; le tout eoû'te moins que ne coûteraient les parties séparément ; le stamp ne peut être enlevé, chose impor tante lorqu'on songe que près d'un mil lion de lettres était jeté au reluit, an ellerneut au post-office de Washing t,ftvec le nouveau système, la rnar ton ^ poste est toujours sur la let qne d(H$ servir de preuve et de tre et pel.'* date, le contenu, document pùlé|« justice ; enfin, la devant les coiu\ d(3 papier, de l'en réunion do la felfc «^nomise beau veloppe et du sta. ( 1 (1 ' °"t a £ x pé coup do temps à c^i.d ance * dier une forte co ^«P^daction de L'O ROANE C entral . — LtS- CIÎ '* 1 ' ïlA '' la partie française de i,'ocAi<r vient de passer entre les mains Leon Philipon de foi simple, loyale et très bien écrite, il se place en dehors de toute coterie et s'affranchit du joug posant des poli ticiens. Salitt et réussite à cette nou volle recrue de la bonne cause. chant donné t) £on Dans une profession^ F rwhojït . — Le Statesmen de Colum bus, Ohio, publiait en 1856, cette laco nique biographie do Fremont : Epoux sans mariage, — millionaire sans argent, — homme d'Etat sans dis cours, — législateur sans suffrages, — capitaine sans batailles ! Place au co lonel Freinent. t f, LISÜSTK, Pliarmaoien, Front street Natchitoches. A constamment en main nn grand assortiment, «le Drogues ralches et de première qualité. Produits chimiques importes nou vellement de France, de la célébré maison Menier, de Paris. Constamment en main. MédicRments fran çais et américains. Grand assortiment d'ins truments et appareils de chirurgie provenant de la maison Charrier* de Paris. Les prescriptions dos médecins recevront une prompte et attentive exécution. Tonte prescription portant une étiquette Ncincht, ne doit être employée que pour un ftsasre interne ; — étiquette rouge, usage erlerne. ffcâTAU MORTIER D'OR.~©a r. SJV. TABER m & A toujours en main un grand assortiment de Médicnmens, Articles de Fantaisie \ itres, Feintiirea, Vernis, Huile. VIN T S «t BRANDYS FUR3 Pour In préparation de Médicament*. fi^l-es Ordonnances des Médirins seront soigneusement préparées à toute heure k jour et de nuit. line Washington, Natrhitmfcs, La. Iï ALLER FRERES, Ferblantiers & Chaudronniers Encoignure Si-Denis et Seconde, SUCCURSALE DE 11 ALLER FRERES, Rue Tcliopitoulas, 188, N Ile-Orléans, ONT toujours eii main un grand assorti ment. de Ferblanterie qu'ils vendront en gros et en détail. Grand stock de Cuivre, FerblanC, Zinc et Per en feuilles pour couvertures de maisons. AÛSSÎ : Cuivre, Ferblaric, Fer Tuyaux pour dalles. JtfâT'lîs se chargeront des ordres qu'on voudra bien leur donner pour poêles, cuisines, &e., iftc. 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Succession de Dr. William P. Ilowell. TOtIN C. Hill ayant demandé à être t) nommé administrateur de la Hucces £on du Dr. William P. Howell, décédé, est [par ces présentes donné à intéressées d'avoir "Suire dans dix jours les raisons t^es quelles la demande du péti a %»., nescrfiit pas accordée P° ,,ri B. J. BOUtS, tionna*h®ci Greffier. 10 Au Prix de la Nelle-Orlans ! JACOB ISRAEL Ayant transporté son domicile à l'an> cieii magasin de M. Dupleix ; il a main tenant en maîn : Un Stork entièrement NouVenii Depuis la crise, le dit ma£ri*in peut vendre ^ Ps marc andisesau pl s tas prix pour du CASH et ou peut s' n convaincra eu visitant cet établissement. TOUJOURS En Slaiu : Assortiment, de Dry Oool ; Articles de nouveautés : Habillements c n'öotionn:s ; C H APE A U X , BUTT KB , et M- t'LIKIW, Four bouune, dame et crtfnifs de tout ïrr<\ aussi : f'OO Imrils de Mais à if I 00 ; 60 barils Farine S. f. i". 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'lisses veritable eaujt 0 "WM "W R éy*nt serf déso MO ULIN " *' À Scie n V apeiif î^es K.nssignés ayant eo np|( . tö m ;;ï ar ï"V^ e ^! r( : s : V '.^imonlin à I 'Cl®, stnd a six milles de la tjn c - n , lt •retH iremplir tous les ordr* m '; i,.,', seronfenveyçs, poU r du bois fc tonU . ui leur deseritionet avx mix iubit ^, U ']it ' remefien! le publie du bienveiJIan ' ou trou*«, qu'ils aaçcordre \ le* établi* semet et espèrent en meriV^ i. ... tinuaion. me "t«1a mu CARROL & Tus la bills envoyés j dinie de I- Louis Dupleia^ 4 ' aujN atcitoches, seroni proiptitiie. ^ouviSö i>( 8 ACRJR-çci iuelqui personnes ay ftr , lo bruit K «os classes pa s'ouvfco rnrne d'habitv ans aux u'ents qui ont ' cci r âgés 1 établissement tre aura* 0 'o premier tore et s ' eg couditic/r fernes. ' Mada-nSo'oawJ doit direct» à M 1 2 sept m ^ t' h \n\n Howell: ,to be Succession of Dr. William JOHN 0 Hill having applied E, appointed administrator ofthi cession of Dr. William F. Ilowell, de ceased, notice is hefby given to all whom it my concern to show cause within ten days why the applicationof the pétitionner should not, be granted K J. BOTÎÏR, Oct. 1 0, 1861, Clerk. To whom it may concern Take Notice. CONFEDERATE BONDS, taken at One per cent Premium ! PARISH BONDS taken at Par !! On the eVe of his departure for the seftt "f War, the undersigned will take thereafter, Confederate and Parish Bonds, as above, in payment of all sums due him by notes or otherwise L. DUPLEIX. I M A irons Steam Setâtyn npins superior sa^mg!, X ration and ils "wn'îrk.,!.- ■ all orders s-nt to Lii„. i ' prompt attention to Mii-li^ j fu iutitjV ti» l.lie town, are hi A.' . X" «Winand that excellfut^|,j to our Community. P1UCR or LUMtîîj 1st Quality nt (lie mill V •'•Within 8 mil's 2,„, Other nullities in /'roportj:,. AIL Hi/Is payable after si, h . Gnfoi l left vvitli Louis 1^],,; x " m NatrWtocl.es will receive^ faitinul atU?nt»o|. MAKTLV, t son* N^. 29 I860. 1 pef