Newspaper Page Text
LE DEIOCRATE .I ti A OCT 1850. ***** ' •>* ■•/ #** ^Xif**#**** «*«**«*** i CON V U L S T 0 X s i'PASMODJqU-.F ET PleVKKt'SKS hi: I*ECho. | I | j I ' : Daus la partie anglaise de sou avant-; dernier numero, VEcho a produit un chef-' d'oouvre sans ggal et inimitable. Nos lecterns le truuveront rcproduit dans riotre partie anglaise. Le style j • taut celui dee halloa et des carrefours,! ct» resscmblant beaucoup a celui du fa- \ tneuz 'Catecliisme poissard', il nous a ete : impossible de le traduire teituellement, ■ ce qui lai ote tin peu de son chakjih. Ceux de nos lecteurs qui ont quelques connaissances de la langue anglaise, fo-' ont bien de lire cet article. Usyver-; rout, non sans un certain deg'out et a leur grand etonncment, que 1'editcur de; VEcho (qui nous conseillait la modera-j tion il j a quelques eemaines, nous cn montre tres-bien le chemin^ a deeouvert, j entrant.res cAoses, que nous etions un 'fou',! un 'mcnteur', un 'laclie', &c ; que nc de- j couvrira-t-il pas a l'avcnir ? Vrairneut, de telles colferes reutrees, de telles crispations de nerfs, nous por tent a croire que l'agonie de VEcho a at teint eon paroxysme, que la crise est a' son apogee, et que le jour qui verra ses ! derniers acciss n'est pas tres-eloigno, a moins cependant que Yillustre victime ne; prenne force calmants arranges de diffe- ! rentes mani&rcs. Que 1'dditeur en question emploie done mieux, dans son interet et pour l'edifica-i tion de scs lecteurs, ce qui lut'reste de moments lucides, bt qu'il s'emporte moins—il se portera mieux. . | j • i . ; | , I | : > i . ; I : | | M. EDWARD PHILLIPS. Nous reproduieons avec plaisir Parti-j cle suivant que publie noire confrere le • Pilican , journal officiel des Avoyelles. M. E. Phillips, de la Pte-Coupee, est venu visiter notre paroisse en compagnie du gen. B. B. Simmes, et nous consignors avec plaisir qu'il a produit sur nos co-pa roissiena l'impression la plus favorable. Nous le commissions dejk de reputa tion, ct nous aavions qu'il etait un par fait gentleman et un excellent dtimocrate. II l'a parfaitement proave aux Avoyelles. Le Pelican , en se declarantcontre sa c andidature, n 'a jamais eu l'intention de sc declarer contre M. E. Phillips person nellement, maia seulement d'attaquer la maniere irregnli&re dont il avait ete elu. Nous etions certain qu'il etait un bon et sincere deraocrate, mais nous ne pouvions' 1c reconnaitre pour notre candidat offi-i ciel au poste de sdnateur, avant que jus-! tice ne fut readue notre paroisse, et ! que sa nomination ne fut ratifiuc par nos • dtilegne's et le pcuple de cette paroisse. j C'est ce qui a cu lieu safiiedi dernier, j ct aujourd'hui notre devoir est d'arborer i son nom en tete de nos colonnes. M.E. Phillips a agi, dans cette circons tanco delicate, avee une loyaute et un de siuteressement dignes de tous nos dloges. II a doclare que lui-meme, des le sur londemain de sa nomination (faite en son absence), il en avait signale 1'irreguiari te ses amis et avait ajoute qu'il ne pou vait accepter la candidature avant qu'elle i ne fut ratifiee par la paroisse des Ayoyel-1 II Ct plus, a la reception du Pilican ,! rendit chez notre excellent ami, le j PPP'n. W. F. Griffin, ct lui oft'rit de rcnon-j ccr cu sa faveur a la candidature. j Oe n'est que sur le refus formel du gen.; Griffin, que M. I\ Phillips consentit aj rester candidat, en ajoutant qu'il etait pret a se somnettre k la decision d'une nouvello convention, si la democratic des 3 paroisses le jugeait necessaire. Le jour m£me de la convention de Man- j sura, le gen. Griffin prdsenta lui-meme M. I I.. Phillips aux delogues nommespoari representor notre paroisse a la conven-i tion senatorial?; ees delegiies, aprfesuvoir t entendu MM. Griffin et Phillips ont, d'une i votx unamme ratiSe, seance tenante, la nidnination de M. E. Phillips. Cette ratification, soumtee a la eon-; vent ion qui siegeait, a ete approuvee A 1 \'HMuimite. ;' M. E. Phillips est done reconnu ct a- 1 ' dopte par les deinoerates des Avoyelles,! ( pour le candidat officiel de la demoaratie! C du IO&ce district, au poste de senateur. Nona i'avoas deja dit et nons le repe teai, 5f. E Phillips est r.n parfaft gentle-' • ' I j " j '! ' j '! j i | | j , i i | _ [ j , j J j 1 | [ i j \ : ■ j j ! ! | man et un excellent democrate. II s : ex-' I prime avec beaucoup de facilite ct d'eld | gance, et notre district aura en lui un j habile et digne champion dans la pre I miere ehambre legislative de l'Etat. La question sdnatoriale n'amfenera ' done aucune dissension dans notre parti, : et nous ne pouvons que nous en f^Iiciter. . —Tout est bien qui finit bien. On nous envoie, sous formes de eom-i | muniques, les paragraphes suivants, que! j l'on nous prie d'inserer. (Coiamnnicationfi.) Frappcz et i 'oa vou« outrira. | • L'avant-dernier dimauvhe, la messe i paroissiale qui se dit tons les quinze jours a la Fausse-Riviere a ete, par ex . traordinaire, chantee en musique. Pour une cause ii nous encore inconnue, la place que nous occupons habituellement ; nous a ete tres-poliment et gaLmmcnt | refusee. N'ayant pu que partiel lenient assister , a l'augnste et saint sacrifice, nous ne I pouvons rendre aucun coinpte de la ce | remonie. Nous ignorons completement : en l'honneur de quel saint les louanges > du Seigneur se sont faites entendre plus splendidement que d'habitude sous les voutes de notre petite cathedralc. Quoi i qu'il en soit, et d'apres des temoins ocu laires, tout a parfaitement reussi; il ne . pouvait cn etre autrement. Les executants, dou^s d'un rare et ; inappreciable merite, u'ont pas ete au I dessous de leur tache, quoique difficul tucuse, et ont parfaitement surmontd les obstacles qui ne manquent jamais en : pareille circonstance. Tous nos paroissiens devraient s'en | tendre, se cotiser, afin que le piano | orgue qui orne notre eglise ne reste plus dans Foisivete;—il a assez pris de vacances. • Quant a nous, esperons que les portes du saint lieu nous seront ouvertes com me a tout bon catholique, en vertu de ce qui a ete dit jadis par Celui sur les tra ces duquel nous devrions toua marcher; ,il est tierit: L'hommc tie vit pas seulement de pain, mais de toule parole qui sort de la louche dc Dieu. Nous aussi, nous avons besoin d'entendre cette sainte parole qui doit nous faire vivre ^ternellemcnt. Tingt - quatrc heures de messe par an ne sont pas de trop pour entretenir de pieux sentiments dans le cceur d'un chretien, quelque priviltigie qu'il soit. U ne vieiixe coxnaissaxce. m. ! | I ' j I s r t t t r , t s s 3 j > j . . t . . . , ! • j j i i ,! j j aj j I t i 1 ;' 1 ' ( C W Monsieur l'editeur, ' La soiree de mardi dernier, 26 juillet a ete, pour l'elitc des jeunes gens de I meurant autour dc la Faussc-Iiivierc, j une de celles dont le souvenir se grave " j dans la me mo ire pour ne s'eteindre qu'a '! vec elle. — II y avait bal dans la somp ' j tueuse demeure d'un de nos plus braves '! habitants, M. M ichfl O linde. j MM. les Rois n'avaient certes rien ne glige" pour que cette soiree-dansante soit empreinte de co digne cachet cr^ole qu'aucun autre nc peut 6galcr. Rendre compte de tout ce que nous avons vu et entendu, serait chose impossible. Notre faible plume ne pourfait qu'imparfaite ment decriro tout ce dont nous avons etd temoin.—Que d'oeillades lancees de i toua cojes, que dc phrases cntre-eonpees | ne sc sont pas (Jchangecs sous un scrre | ment de main: que de soupirs ne se aont j pas envoles! — Dke qui portait la plus , belle robe ct avait la taille la plus i svelte, nommer la demoiselle qui avait i le plus de grace en dansant, se rappeler du gentilhomme le plus galant et le plus empresse, serail non-seulement tres | difficile, mais encore une indiscretion, faute que nous ne tenons pas & commet _ [ tre.—L'entrain, la gaite, la joie, etaient j dessinds sur tous les visages; la musi , j que, les toilettes, les parures, lea bijoux, J tout enfin contribuait i rendre la soiree j attrayanie et a faire de ce bal, pour ainsi dire de faniille, un des plus beaux 1 que nous ayons encore vu. Term i nons eu disaut que notre vigou reuse et petulantc jeunesse a trfes-bien mis a profit (sans en abuser, comme cela arrive mallieureuaeaieBt quelquefois), | sa force, ses talents et sa santd, choses 1 [ que dame nature refuse rarement k ceux ' qui ont la sobridte et la chasteUi pour legle de conduite: .n.-,v^rv ' Ifif ixvrrK. j c .— w Ve'.idrcdi dernier, '29 juiltet pour clore 1 ! la saison des classes, un bal a ete donne au college miliiairc Povdras. Nous som mes impartiaux en toute chose; mais le grand desir que nous avons de ne blea ser aucnne susceptibilite, nous reduit an silence. II y avait de nombreux invites, mais tous n'avaient pas bonne conte nance; beaucoup meme, a une certains . lieure dc la nuit, faisaient triate figure! Mais arretons-nous, notre programme | est deja depasse, et endormons-nous I dans l'eaperance que l'annoe prochaihc, ' ii pareille epoque, Pegalite et la frater j nite seront mieux respectees. in em. | 1 ' c 1 I NOUVELLES D'EUROPE. s Le Moniteur dit que les grandes puis-! sauces neutres out eohange des eommu-j r nications avec les belligerants, et leur j t out offert leur mediation; mais leurs ou-1 t vertures u'ont ute accueillics qu'aprfes t que la tlottc iran^aise fut sur le point de commencer des operations contre Venise r et qu'un conflit contrc Yerone fut immi , nent. Ce n'est qu'alors que l'empereur d'Autriche s'etant declare pret a delibe t rer sur les propositions qui lui seraient s soumises, l'armistice a ete conclu. s Londres , 13 juillet—Une depeche dc 3 Frauce dit que Napoleon a publie, a "V a j leggio, un bulletin dans lequcl il fait connaitre la conclusion de l'armistice qui > a ete conclu le 7 juillet. Aux termes de cette treve, les liostilites devaient etre j- suspendues jusqu'aiv 15 aout, et pendant ce temps l'Adriatique devait rester libre j . ii la navigation commerciale. . Les 2 empereiirs ont eu, le 11 juillet, j t une cntrcvue a Villafranca, ou la paix a ete signee. _ L'Autriche cede la Lombar . die ii l'Empereur des Francais, lequel re . cede cette conquete au roi de Piemont; . Francis-Joseph conserve Venise, mais , cclle-ci entre dans la Confederation ita lienne, qui est placee sous la presideuce honor aire du papc. Napoleon felicite les troupes sur leurs belles actions, leur dit que la guerre depassant la limite des in terets de la France, il a cru devoir s'ar reter; il annonce ensuite son depart im mediat pour Paris, apres avoir laisse le commandement provisoirc de 1'armee en tre les mains du marechal Taillant. 14 juillet—La nouvellc annon9ant la conclusion de la paix entre les Frangaia et les Autrichiens est pleineraent' confir mee. On no sait, cependant rien de plus, au sujet du traite, que ce qui a deja transpire dans le public. Les grands dues de Toscane et de Modfcne repren dront possession de leurs Etats. Le London Post dit que le papc est | priv e de toute puissance, mais qu'il con- j servera 1'ombrc de la snprematie. ' 15 juillet—L'avis dc la conclusion do! la paix a ete accueilli par des applatidis-j scments prolonges a la Chambre des j Lords et a la Chambre des Communes.' Scion une version, ce serait l'Angleterre, ct selon une autre la Prusse, qui aurait propose l'armistice. Lc traite inspire geueralement de la defiance cn Ang-leterre. Napoleon etait parti pour rctourner a! l'aris. On 1'attendait dans cette ville le 18 juillet. Le ministfcre sarde a envoye sa demis sion au roi Victor-Emmanuel, et le comte Anez a ete charge dc former un nouveau cabinet. Le comte Cavour s'est retire du cabinet parce qu'il condamne les termes de la paix. L'empereur d'Autriche s'etait mis en route pour retourner & Vienne. Dans son ordre du jour, il dit qu'il a du accep ter la paix a cause de la situation politi que qui lui etait peu favorable, et parce que ses allies naturels n'etaient pas ve nus si son aide comme il l'eaperait. —Une depeche de Milan dit que le j mass acre qui a eu lieu & Perouse a pro- j duit une grande effervescence en cette j ville, et que le 2 juillet le peuple a brule j en effigie, sur la place d'Armea, le Papc,' le cardinal Antonelli et le coloncl Smith, j Ce dernier commandait les troupes suis-j ses qui ont cominis le massacre. On assure que 3,000 soldats sardes I sont partis pour Bologne, afin de prote ger cette ville contre 1'insurrection, et goutenir le gouvernement provisoire. 16 juillet—Dea lettres de Paris par- (( lent du grand mecontentemcnt qui y i existe sur les termes dc la paix. Le | Siicle s'etonne de ce qn'on souffre que f 1'influence autrichienne se maintienne; encore en Italic, et demandc I'expulsion des petits princes italiens conf«deres dc' 1'Auttiche. i ! | j ! | j j j (( j -L' Univers ayant public de nouveaux ! j articles reprouves par le gouvernement, un 2eme avertissement lui a ete inflige. Napoleon III doit se rendre directe ment a St-C'loud; il renverra plus tard son eutrec offieielle a Paris, afin de pou voir se presenter a la tete de son arinee. Le roi de Sardaigne est entre ii Milan • le 12 juillet, et a ete reeu avee un en thousiasme beaucoup plus grand «pi .i sa ! lore entree apres la bataille de Magenta. | ! —Victor-Emmanuel et Napoleon sont, jentres a Turin le 15, et ont ete chaleu-j j reusement regns par la population, qui s'est livree au plus grand cnthousiasme., i On rapportc que l'annee franeaise a 1 ■ commence son mouvement de coutrc * i marche, que le cardinal Antonelli doit ! etre destitue, et que Garibaldi doit, sous | peu, lancer une proclamation; il est tres-douteux qu'il mette bas les armes. 1 — Ou assure que Kossuth doit propo-| ser un gouvernement monarchique pour; la llongrie. — Le pape a adresse une lettre auto graphc a Napoleon, pour lui annoncer son intention d'en appeler a la protection i des puissances catholiques. —La Suisse a ordonne le desarmemcnt' de ses troupes, et la Prusse a fait faire j halte aux siennes. Paris , 16—On vient de reccvoir la j nouvelle que des trouliles ont eel ate a: Milan, dans la Vemitie et a Florence. i —La presse de Londres dit que le j compromis austro-fran^ais n'empechera! j pas l'Angleterre de continuer ses prepa-j ! ratifs de defense. | Lord Palmerston, interpelle au Parle-! ment sur les clauses du traite de paix, a | repondu qu'on nc pourra rien savoir! avant Ic re tour de Napoleon a Paris. Lord Graham a appele l'attention du P arlemont sur les ilottes formidable ! de la France. Irlande —On annonce qu'il y a eu, le 8 j juillet, divers rassemblements tumul-| tucx sur plusieurs points de l'lrlande, SceDE—Des avis de Stockholm confir-J ment la mort du roi Oscar, fils- de Ber nadotte. L es canons RAYes —On ecrit d'ltalie: j Les boulets des nouveaux canons sont j de forme oblongue, ecrases aux 2 bouts.! Leur tir, jusqu'a, 3,000 metres, est d'une i justesse iuouie; on a calcule qu'ils met-! tent 14 seeondes pour arriver jusqu'au but; la ils edatent et font des ravages epouvantables. C'est cette artillerie qui a completement demoralise les Autri-^ chiens a Solferino: ils ont profite de l'o-j i - age pour battre en retraite. Jean ne ment pas. Tous les jours pourquoi ma chere < T'asseoir au bord du rnissean, Ah! ce n'est pas, je 1'esperc, Pour te regarder dans l'eau ? Mais si, repond Madeleine; Jc ne vais a la fontaine Rien que pour me* voir ia-bas, Car Jean dit que jc suis belle, Or il faut, ajouta-t-elle, . |' Savoir si Jean ne ment pas ( bis ). j Pour bien voir ton doux visage, • < C'est pcrdre la bien du temps, 11 suffirait, je le gage, ! Tout au plus quelques instants '/ Oh nou! repond Madeleine; Uu mois suffirait a peine Pour me tirer d'embarras; •< Jean dit qu'en moi tout sait plairc, ' ; Or il faut du temps grand'mere, i 1 Pour voir ei Jean ne ment pus ( bis ). ^!a voyons dis-moi ma fille, Qu'a rdpondu le rnissean, Te dit-il la plus gentille Du village et du hameau ? Mais oui, repond Madeleine, Baissant ses longs yenx d'ebfene Et se souriant tont, bas; II vantc tout;... ma figure, Mon pied, ma main, ma tournure, Et dit que Jean ne ment pas ( bis ). LE VILLAGE 1 WAREHOUSE, LE Sonssign^ donne avis au public qu'il est 1 en train de conptmire un grand et com- j ' mo<le MAGASIN de d^pot, lequel sera termiae': le Ier Septemb. proehain, et sera pret a recevoir, | ' exp^dier et eramaga^iner tous produite. marchan disea, colis et eftete qu'on voudra bien lui confier. I II sollicite la clientelledee habitants de l'Anse, du Noiiv-iau-Texaa, du Rsiecourci tt du public en general. Son magaaiu de depot sera pres du Raccourci. TariJ des Prix d ' Emnuujannagf : Coton 10 cents? par balle. Sucre...... 20 id. par boucaut. Melasee.. . 15 id. par baril. /,. V. Pnr?rfffi Village. 23 millet 13.V,'. ■ I • i • I 1; i ■ | tj *. i ■ | I I i s i • .! i ': i • I j I ' 'j ! i j ,| i I j ; ! j { • ! I I j i i j ; ; ' ; j j j 1 ! ! : . ' ! I i ! , . : i i 1 ! ■ i i ! | t ! • | 1 1 i j j i j | j j j i < |' < •< ; 1 1 1 ' | ' ■ I EPAVE. • i A i-re arret l'o . par Mme. Augufte Ltfoaard, dans le "Village, prfert da magswin de MM. • Eastwood & Loomis, une Jument baie. ag«5ii de 10 it 12 ans, ayant une tache blanche au front et sur l'ceil droit, ainsi qu'une cieatrice sur lai I jnmhe droite de derri^re; elle a ir> mains de liaut. | Le pvopvi^taire est a la veuir ou l'aire j reclam"r dans les 70 jours qui suirront la date j de cet uvi«: cinon. ( lie ser:' r -nilue an bureau du j sou- -insie. couformi'ineut ;il? loi. 1; ' W. II. 1'OOI.E. .ttijje de paix d ' line Distiiet. ' Pointe-Coupee, 30 juillet 1S5W. i ■ | E PAVES. tj /^VXT t : it : arr(?ti : - par Yalmaul Hergeron. une . •U VACHE noire et ses deux suivants,: *. de diilerents ages: la vuclic a une eloile au 1 i front et lea deux cote's blanes. Lc proprictaire est pric de veuir ou do les faire ■ | reclaruer, en payant les frais: sin-m, ils seront I I vendus au bureau du sou.-sigud. daus 70 jours, se lon la loi. staviuMi rornciAr . .Tuge de paix du 1 liMuc arrondi«wutent. Pte-Coupee. juiu ISo9. i - " s EPAVE. i A e'tc : arrete , par Terence Samson fils , les • A 4-6 join, en face de rhaliitation dc veuve ! .! Terence Samson, "a la Fausse-Riviiire, un TAU i REAU rouge. ;'ig(5 d'environ 4 ans et de moyenne ': grosseur.— Le taureau ci-dessus de'erit a ete esti i me ! a S15 par H. Knaps et The'od. Chfinevert. S'il n'est pas reclame dans les 70 jours qui suivront • • cette publication, il sera vendu, couforniement a la loi. lSjuin. Ch. F. MIX, juge de paix. I ATTENTION! j AUX HABITANTS COTONNIEIIS. I I' rcssc a Colon ! PRESSE A COTON!!; LE Soussignd vient d'aclieter la pntente d'- la ' Presse a Coton en Fer, brevetee. a MM.: ' \V. F. et C. J. Provost, pour les paroisses Pointe 'j Couptje, Est et Ouest-Felieiaua.—Cette presse est ! reconnue comme etant de beaucoup superieure a I i toutes celles en usage jusqu'a ce jour, soit par! j son habilete, sa force, son dldganee. sa duree. le J ,| pen de placc qu'elle occupe. 4c., Ac., et est la; i me in e a qui fut adjuge le I'll I A' a la foire d'Etat.. I dans le Mississipi eu 1858. Le nombre de ces ma-1 j chines vendues dans les Etats a colon, est fabu ; leux. ce (jui demontre ses avantages.——Le prix | ! est des plus moderns.—Sa force est celle du vis et, j levier combine. { Ceux qui de'sirent voir ces rnachiues, soit par j • curiosite ou pour faire des achats, n'ont qu'k sc | ! rendre k Bayou-Sara, <»u le soussignt' expliquera j avec plaisir tous les details de cette presse, qu'il! fera manceuvrer devant le public. ' I Le soussigne etant charpentier et (fin xcright de I profession, placera lui-meme. chez Inhabitant, j chaquc presse qu'on voudra bien lui acheter. Avec cette machine, qui est de tres-petit volu i me, on peut presser plus de 40 balles de coton i par jour, quelles qu'elles Soient. — En sortant de j cette presse. les balles de coton etant carrees et ; re'diutes a leur plus petite grosseur, l'habitaut au ; m non-seulement moins de fret a payer, mais cn ' arrivant en ville, les balles de coton pourront ; etre directement expedices en Europe, sun" avoir j btfoin d ' etre rrjrressies it la Nourdlc- QrWartt . Taut d'avantages ne inanquerout pas d'at tirer j j l'attention dee plantcurs de coton. II. TEXNKY. 18 juin a Bayou-Sara. Machines a Coudre. j grand dcpot pe MACHINES a COUDRE AU magasin de MM. GRAUGNARD 4 Cie., a la Faiisse -ltinire, Pte-Coupee (Le.). Ce sont les calibres machines de MM. Wheeler 1 et Wilson.—Pour la facilite' et dans l'inte'ret de ! leur clientele MM. Grangna.d 4 Cie., negociants, ! ont en depot un tres-grand nombre de ces machi : nes; ils invitent respectueusemcnt les families, les dames e! les demoiselles a les veuir visiter. Elles J seront vendues au prix de la ville. 18 juiu ; a. . FABRICANTS & MARCHANDS j Mff MOPTTJMENTS FUNEBRES, j Tombe! et Accmoint . ' Statues et statuettes pour cimetieres, jardins. 4c. Cette tnaison. avantageusement connue, depiti. ! de longues anue'es, a des succursules a Baton I l;oi.'^ e et k Bayou Sara {Le.}. L'Etablissement principal est situe au coin de 1'avenue Ridge et Guard, a Philadelphe [l'en sylvanie]. II dde. | i C. B0CKEL, §5[|{L!L0iS[B ' l Bayou-Sara { Le .). . jgjL* FABRICANT de Selles, Har- ' nais, Brides, Foucts, Colliers, 4c. yf Toutes commandes qui lui se tJSssdi\S£&Si ront faites seront promptement | executces; toute espfece de reparation sera faite | 1 avee soin et diligence—prix moderns. L'atelier est "a l'encoignure Commerce el Sun. ! 20 nov. 1858. C. BOCKEL. RESTAURANT i ET ; A Bayou - Sara { Le .). i ! /g&x f—> Les citoycns de la paroisse de la i Inlir Pointe-Coupee et des environs, sont! respectueueusement inform(5s que le , soussignd a ouvert et mis son restaurant sur un j . pied en tout scmblable aux restuurants les ruieux tenus de la Nile-Orleans. Am aux gourmets et aux amateur ?! Dans cet etablisscmeut, qui ue laisse rien "a de-! : sircr sous tons les rapports, on y trouvera ton-1 i jours, et a toute heure, toute espece de comesti- < i >>les, ainsi que des huitres fraiches pre'parees avec! soin pour tous les gofits. On trouvera egalement, dans cette exeellente | maison, avantageusement connue, toutes sortcs j 1 de patisseries, gateaux et bonbons assortis, pour ! rep is soraptueux, noees, bapW>mes, soirees, bal. i ■ etc., etc. Lc chef de ce bcl et bon etablisse i ment sera toujours pret, et continuellement "a la i disposition des persotines qui voudront bien l'ho ! norer de leur confiauce, pour tout ce qui le con | cerne et a rapport a sa profession. 20 nov. 1858. CHARLES STCER. A. SZABO, sa^iESEiMi!) A BAYOU SARA, I En sa Nouvelle Maison, situee entre la residence de Charles Ilofman, et le " New Livery Stables" de J. IT. TTen t «hav. rtie Princir.rile (-<•). fiUQsaiiij Eiiisasi ANNONCPj qu'il est pret, euuime^A par le passe, a T0URNER LES MOULUfS A CANNES. SA league experience eu ce sreure ue travail «' dfliait . iui permet de garantir le rueefs lepltiK h 'ureux.— Ou p- ut se retf'rer. pour plus ampl'V informations, a MM. L. A'. (Josserand. Ternant. O. Bouis. C. W. Allen. F. M. N-m L. K> r. F. I'—i tVc , -— Kesideiicc a la 1-ausse lii'. 23 avril t. moi--. S&f M lillllitll 'ulllLlI iiSlia M i 1 i 1 a i r e P o y d r a s, Paroisse de la PoinU - Coupt 'c ( Le .:. A. W . JACKSON, president et pruiesseur de seieneea phvsiques. J. H. TREZKVAN, prnfeKseur de langues et de litteratures aneicnin:«. professeur de matliematiqueii. profbsseur dc- langue ui de; lit terature Iran9aiaes. TERMES: Par session de 10 mois, payable semi annuellciiient et d'avance : Internes $2.">0 Inscription $10 I'our plus amples informations, s'a dresser ntt presidcnl. 19 iiuirs I 'ii'.-* It 1 '■ *. < L. T. MADDUX, a £> Ji* & & *5 3 A li ' tyou Sara [i-t*.], A TOUJOURS EN V E NT E, Fans s#n atelier, un assortment coni|»ler H»> lit <;<jIES St H 1 l.'l>t : (.' iJUS . ain-i d' - liar nais de toutes fa^ons. qu'il otl're a uu pri\ mode rn a ceux qui voudront bien I'honorrr de b ur coufiance. • — Toutes sortcs de reparations seront faites dans le plus court delai. 20 nov. 1858. / !' MADDI .1. S. PARR, NEGOC1A iV T en COME S Tll» L E -S ET PRODI" ITS DE L'O I EST. BAYOF SARA (/.-••). D. S xockixu . I). 1.. S tocking , Pointe Coupee, Le. Ilayou Sara. I.e. CHIRURGIENS-DENTISTES. LES Docteurs 1). L. et 1>. STOCKING sent prets a se reudre a l'appel de tons ceux qui ont besoin de leurs services professiouucls. dan.- n'im porte quelle partie du pays. Le Dr. 1>. Stocking pent toujour* etre vn a La demeure de 51. l'.j M. Moore, a la I'ointe Cou ple. Tfev-ly. HENRY TENNY. CHARPENTIER et MEXU1S1EU, bavou s,i i: a (I. e .). Al'honni-nr d'annoncer k ses iiniir et au public . qu'il tient eonsUiniment eu main nn asserti ruent couiplet de OERCUEILS MICTALLIQI'KS PATENTES de CRANE, a son Atelier, iniprt-s de l'ecurie de M. J. H. Hcnshaw, "a R hvoii Ssru. M. I'BMOUY est mon Agent pour la vente de ces cercueils, dans la paroisse 'ii In Pointe Coupee: il en a toujours un assor. lm nt complet en disponibilite. 10 avril II. TI'VsY P. A. ROY, •AVOCAT , CONSEILLKU NOTAIR E' PUBLIC. oi* kick i. a maison hk corn, Pointe Covpee ( Le .}. Direction : '■ F acsse R ivikhi . (L i ..) 7 '. ayoc.it i - rr : xsj :ii.L/;K. Son Bureau est au No. 11, Kxeltaugo I'lace, n la N Ue-Orh'ans. €. Gr. HALrfE. a E O il IE T R E , 1N G E XJ EC IL AHPENTEUR DE PAROISSE. SE charge de la location de brevets de kit " des Etat.—1'nis dans l'Etat du Missouri et le r«rritoiro d'lown. U se charge aursi de la veuie rt il< 1'achat dc ;crres en eommission. yjf 31. HALE a le plaisir d'annoncer a w* imis et au public, que. ayant etediiementnomnie :t commissionne Arpentcur de Paroisse pour 1# paroisse de la Pointe Coupee, pur Sou hxcellenee Robert€. Wicklitl'e, GotiVt.rneur de 1'Etnt de la Louisianc. il oft't e ses services 3 ses coilCitoyeii* Ejn cette capacite. Son domicile est sur le bord du fletivc a quutre niillesdu Cln min Neut. l' J av Pointe (Joup«M\ 3 avril -tds H. C. MOUREY, PEINTRE ict TAP1SS1ER. OFFRE scs services aux llabitans de cel t'' pa roisse. eu ce ryti coocernc sa profession. S'adrcsser au bureau dc VEcho . Pointe Coupee. 18 janvier 1858. \n\n ME CII A NIC S. IXVKNTtJRS. AND MAN facturers.-Twelfth Year.- Prospectus of the SCIENTIFIC AMERICAN. This work differs materially from other publi cations being an Illustrated periodical, devoteu chiefly to the promulgation of information relating to the various Mechanic and Chemio Arts, Indus* trial Manufacturers, Agriculture, Patents, Inven tions, Engineering, Milhvork, and all * which tlie light of practical science is calculated to advance. T erms or SiBscnn-riox— 1 ">0 a year, or I for six months. CLUB RATES: Five copies for six month? * ^ " •• '• twelve " r „ ■ 1 * S " „ ^ 22 Fifteen' 1 wentv '• " ' • ■ ' ..i For all clubs of twenty and over, tlieyinv subscription is only 1 )o. Post-pay all letters and direct 10 r MUNN & , janlSy 128 Fulton Street. New 1 oH. P. O. LEBEAU, _ A V 0 C AT ET C ON S E1 L LE J'. fiTTICr. A I.A" Maison de Ccvr .