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orrtial Offciel de la Paroisse Lafayette. Publié par WM. B. BATLEY. Yworillenrile, Samedi, O Fer. 1860. Pua us L'aounaMu;rT-Pour n an , St paga ien d'avaoe, on bien 85 payables a l'expiration 4.aWtroo premiers mois de l'abonnement. rMix m A.sosxcs.-Par carré de dix ligneP su oui, pour la premlèreinsertion, S 50 ; Par errd de obaque publlcatlon subsdquente, 7.5cts. Lui e--mee et les afts sont payables corp teut moins de stipulations.contraires de grdé gr4 awre l'ditear. La publication des cartes en général y compris I'alpp,-et au jornsal. est'pour un an. $12 00. La publication des avis et des annonces pera eautiasde juuqu' reeeption de contre-ordre des Marties intdreMsses. Tes avis judiciaires seront payables le dernier ilr de la publication, oe le jour de la vente. ' Les personnes ci-dessos nommées sont uustitd6e agents de aotre feuille dans et pour Il Paroim Latayette: fugwça iUAsis, Carancro. M. G. Beueosaar. Queue Tortue. VAIrM Baocessmr , Côte Gêlèe. 1iuMXns ROT. Royville. AVIS.-Tous ceux qui doi vent i FADVERTISER, pour sous criptions, affiches, ou autrement sont priés de venir regler immé diatement, s'ils veulent s'éviter de frais. TAcUws r SOLIL.-Danm seM notes scientifiques, un astronome dit que la cons titution physique du soleil nous est encore très imparfaitement connue: cependant. d. temps en temps, de nouvelles décou verte s'ajnuteet sax pr.eéd rke, prçâÇe asu periftionnement des inatrnrI d'ob ervation, les caractères se précisent et le th.orieas oomiment à se formuler. Par exemple, à l'egrd des taches embrempar faitement limités que l'on aperçoit, mmne a rail nu, tur la surface da soleil, deu& 'pilions partageaient Ifn astronomen: omi vaut les una, les tache sont des Millies dias la plihtosphère suivant les autres, ce ont as contraire des ereux. Cette der iutre opinion vient de rcevoir une conir mation indiscutable de la part Jd M. War ren de la Rue. Crt astronome anglain. -rôs avoir choisi oue tacih bima ette, I'a seivi dans son voyage sur le dise solitaire, - nJesq unoment où elle attiignait au bed. A cet instant, il a pirfaitment vu I'éic6acrure qu'elle produisait et il a fixé l'iauge par une épreuve photographiue. Il as duo bon de doute que le t 4.at des creux. aIPLrOIT Ac A towrAriI -Un aréonau t* freuips, M. Chevalier, d'arriver à New. York avec le dessein arrêté d'entrepren el, tkomqe la saison favorable sera venue, w, voyage aérien à travers l'Atlantique. ULe arweillo prowiese étnnerait de la part de toot autre que M.4Chvalier ; mais t-tue intépide voyagear n'euset pas A sol coup direi. j,e« Esrope, il a parcouru en Iq heures les aeptemts milles qui sapa rst Paria de lam MI.s. Une autre fois. il a tmren6 le O.al a -Gaeorgea, de Dub lie em Angleterre. 11 l pte, pour son *pe trMasealtitque, lsr la constand d. mrmata qui rgnest da les h autes ism dI Patmoephse. ikOevmI er a ame«6 ave lui son bal ab M*kebpree.-qui a 95 pieds de haut Mr 'ie piedk de diamètre, et qui contient 00,000 M oe.l. de ga. La laseele ue. me *( a la forms d'une btta de j bubM ;: -1B peut euteir cinquante d«e personoe. Ait daâtrepldre son grand voyage, i quf sam Yit» prbableames so anotS d« pliasm memlsio» peépuatoiaus mus E tl-ki. Ni ra yos peMver ri doo- I er d'avao Plasurane q«I| sMune as- i aMilit, a mim qu'il tro.vera di eMt le pa-ssngset iee eeOo doata bmIOlt 1 tage-r quci iet ii sua ao treapami q-es propers foreese eas ra- I to alieaio e es, qu. pit ,, er 1 4BBB|(BWI& - m in s ommé Bma lrril. t oe- c 1r p - -u9 ""e q u ^ i -- M- Ite w^^r ' y --<Pat prk e-« 1 41 $papers ^^^^ - a gi fa a ui weu--s a^t< ape *rl-| p> * Ui « e it . d: vi||11«iae«T?-' pu . z. " ' v^pMi |?r *d.r*«1 «g.; LA LANGUt FR.XÇAIS. AU CANADA. Nous lisons dans ie Canada d'Ottawa : fous avons pris la peine d'aller aux renseignements au sujet d'un ordre obli deant les personnes qui ont des comptes à régler avec le gouvernement de les ridiger en langue anglaise, et nous avons décou veit que cet ordre était le fait de deux sous-eniployés, commis l'insu du chef du département. Est-il besoin d'ajouter qu'il a dû être tetiré aussitôt qu'il a été porté à la connaissnoe du ministre et que fse auteurs n'auront plus la fantaisie de !e renouveler i Certes, nous ne manquons pas d'employ és, qui ignorent totalement I'usige dt ia langue française, mais nous croyons qu'il serait difficile d'en trouver plusieurs capa bles de pousser la stupidité Jusqu'à s'imn giner que la langue de nos pères doit 6ire interdite aux enfants du Caiada, ui.ique mient parce que leurs professeurs ont négligé de les fWrer à cet endroit. Nous aimons à croire que ces gars, tout pleins de dédain pour l'alphabet couronne par l'académie de Paris, finiront par se convincre que le th in'est pas ce qu'il y a de mieux porté au monde, et que Racin', Molière, etc., asse. distingué6 sous le rap port du talent, n'en ont jamais fait usag,. dans leurs euvres. Oh! mon Dieu, uons n'exigeons pa· que ces citovene d'une origine ftr respect able sans douter se mettent à baraoyeuner le français, indigue de cet honneur. nons demandons seultiment qu'ils tolérent, dans leur miséricorde, que les descendants de la vieille France ne soient pa« tenus de s'ex primer dans un dialecte, qui ne priom. pas précisément celui de leurs prres, quand la constitution leur garantit que toutes 1. oreille oficielles entendent leur propre langue, et gue tout les langues bureaucra tiques sont eu état de leur donner la réplique. Nous savons bien que ce n'est pas le cas, mais enfin la constitution le dit, puis qu'elle reconnait que nomu autres, franco canadiens, nost pouvons faire 'nos petites Iffaires avec le gouvernoment fédéral, en nous msrvant dte expressions, importées autrefois en Augleterre par Guillaume le onquerant. QvarloQco.-Un quiproquo bizarre, loit le PAmr du Litteral, de Nice, nous Mratit l'asthenicité : Deux Anglais étaient descendu dans un les htels de notre ville. C'6tait un mé lecia en oompagnie d'un de es amis, un .eune hommeu. Une après gr di, le doc Lur se disMose sortir, son compagnon restet, et recommande au garçon d'hôtel le me point laiser le feu s'éteindre. 8-ulemeant, pour dwner cet ordre, ;1 traduit avec r exnactitude servile l'es preasion anglaise (Dom't let the fre go out). et, l'carast britannique aidant, il pr-nonce ctte phrse : Ne laissez pai sortir le fou (feu). Le. jeune homtriu reté seol 'installa au coin de la cheminée et se mit à lire. Au bout de cinq minutes, le gn'çon entre et considJre un ientant l'étranger, qui de «on cbté le r(garde avec surprise et mauvaise hbumeur. Le domestiquedisa parait. Cinq minutes ?'ecoulent. Nouvelle visite do garçon. Cette fois, l'Anglaii outre de grabnd yeux étonnés et murmure quelques mots donrm langue. Le grrç»on Pe retire pricipitaniment. Après iu interralle, c'eut le na.ltre 'bhtel qui paraut.. L'étranger, n'y con prenant plus rien, er lève d'un air cou roucé, fait un geste brusque.... Le digne eidtre d'hôtel recule épouranté, sdtt bien vite. et ferme la porte à clé. Teumpte à l'intérieur. Le jeune hom me agite le loquet, ebranle la prte de coups violents, éclate d'indignation, oublie les quatre mots de frança.i qu'il pouvait savoir, s'exclame, iaB.ce et crie en g'ain. La terreur règne das I'lh6tel. Ies ïoupes se (orment On s'ilterroge, 'o j alarm. A cet instant, le médecin rentre et voit 'anexiété peinte sur toua les visages. -Monsieur, lui dit le mattte d'h6tel, prenes d'autre mesures, je vous ea.pri, il nous est impossible le garder votre co;o pagnon. Il ia't pan paisible: il vient dt~tre dans un accès de fureur. Le docteur réfécbit, Me rappelle sa phrase M teco treme, on s'esplique, et tout rentre bientôt dnr Perdre aouatumé. Prnostics et Proverbes "iLAirs A0 last. Le temps rouge q ecouchant. Annonce pour le lademain du reLt Lu ne roa, Flllsea t levsal a aueres le bom tees p VenadS midi qui gIe, Vent de Nord -qui dig6i , Fumn qu prs esi0, Pout meavaa O. Arme &rulths aun6e de be, Anm*de pti*. ieaplithete.r, Vet de midt, 1 A dégvmit k Oan-e» de9 chevHll«e d'or. M. BERRYER. S3. Charles de Lacombe, raconte dans la lGazette de Francee qe que M. Berryer p rpelait "san premier essai de plaiioierie. Son père avait eu pour cliuOnt, les g'né raux incriminés dans I'affiiri Mallet. Un n ami de la maison, craignant Td'ê.tre comn promis dans les poutrsiits, vint lui t1"-1 mander asile. B1rrer me rencontra, potn S'le jours après, dans un salon ami avec Deinarets, le chef de la police, qui :'etait laissé mettre i la Force et f.i-ait tOit i'l monde pour se ftire parldonn.r ses erre,:ir. " Eh birn I qu'sat-c.I qU.i, viii av *z dlit, quand vous vous .tres vu à la F'ore.. lui (lit qui lu'un."-" Eh ! rp>oin)lit L)Deiis.irstl, j at cru qu.i- c',tait vrai.-Vraitnent!-Oui; j'ai cru que B-rnadotte l'avait fait as.assi ner.-Olh ! mais vous n'avez pis cru que le Sénat avait prononucé la diéchlane Alai reprit Desmîrests, il en était bien calable." t "J'étnis dans un c.,in,racontait M. ler a ryer; j'avais vingt-deux an~ . Iirméiu e -ux; ardent. je im'l!aulc c -mrn'i un chi - v vrean, je vais i D'-ma-re.si,. je lui <lis: 'J'easpre. M»>nsit.iur, que vous rep6tereIz ci' que vous venez C, diire devantt l- c,,nriii de guerre !-Conmmenit! Comm.-nt! --"Oi, il y a là di- mat!hureiux-offidiers qui n'ornt pas commis d'autre crime qui do cruire, comme vous, que te qu'on leur disnit était Svrai. Si vous, dignitaire de la police, voun Savez pu vous lai.ser tr.,mper, e-,niiiuit n'excuusrait-on pas leur err-ur? Vous leur l,-ves de parler, et de les arracher à la mort par votre tém.,ignage." Le nobi jtnh.fimnie ne se e posslit Splu : on q'e liva àd salon. Tout le monde Sétait saisi de stupeur devant ce'tte inigni tion, si gé6rrease, mais si haidie, pour un pareil temps.-[Relaiswance Louici.naie. UTILITR DEn I.'f.S1CTIOt CHFZ I.a< FmioEs.-Je an connain pour le doux sexes que deux clamses réellement distintes: cWles des gens qui re sont habitiés à penser, et celle d.s iens qui n'ont jamais pensé; et cette différence, quoi qu'on puisse allegaer, vient presque uniqu:iu unt de l'inatruclion, comme vous Il'v.-a sans doute remarqué. Si vous êtes d la pr. mière deces deux classes, il ne faut point que vous alliez avec l'autre; car le plus .grand charme, le plis purs deéliî"s de la soc:iété voaIs nimnquent. los.iie, ayant unn femime, rous êtes réduit à pinser sq-ul. On n'a pas besoin die savoir les lanIn~siiue q''it parlé In Grecs et Ies Roin-tts pour être uni personne honnête ; mais il e.t inipos sible que voua nies . coriîitme iquell chui'ho- i de vrai. qu'un esprit cultive rend seul le commerce de la vie agréable; et c'est une triste clhse pour un père dle fmnille qui sr plilt dansa mai.son. que d'6tir frce ] de s'y renferm.-r en lui niino et de n, pouvoir s'y faire entendre à pirsonne D'ailleurs, comment ona femme quis ne sera pas habituédele bhomni heure A reti' chlir, elievera-t-ele ms n enftnis?! Co"mn ment disacerîra-t-lle les cho) qai I-ur f ero.m.nimit <d ceMi4 qui ne leur coin vim*nrent ps t Comment leI di-pobsra-t elle aux v.-rtis qu'ells n'aura pas sogiie - pratiquer el:e nmme, au umrite dmnt elle nu se ar* fait atcune idée- Elle nes rla v -que le fla.etlr ou les menacer, I*. rendre F insolents ou craintils; elle ne fera den f etourdiia ou de sinlges mnlniièré, j minmis de- I bans esprits ni des enfants alaieàblle. g SONN ET. Par un ciel étoilé. sur ce beau p.nt des Artu R.eveua. tard et seul de la cito qui gronde, J'ai mille fois révr que S'EJen, on eo monde, Serait de mener la moun ange aux doux regards. De fuir bo~n et paaiuntA, lui crin, le viee épar ; De lai montrer le ciel, la lune éclairant l'onde, Les coastellation, dans leur courbe profotid, Planant sur ce vain bruit dea homimes et das chars. J'ai rrvé l6 i dnnnr un hoiiquiet an pIiowa<. A la rampe accoudiA ne voir que son vin,- e On l'aaseoir oa ban*s d'un mol é,;lat blanchis. Et quand son Ame est pleine et sa voix oppressae, L'entendre désirer Je gagfter le ogis, Suspendant & mon bras sa march en peu lassée. SAt.Tt-BsttV. -Un amoureux de 20 ans, c'est.à dire timide et.... *rMf eiprimait es feux I i dame de wa peéeees, suprès do liqemle il était à table' en appuyant saoereuaemeni mou pedleP~retu de I'adorée. tle.oi; aprèa avdir seppfrtl peedan quelqie temps oette laaiaoovr trIp 6lo quente, agFace, hrs d'eotiaàm ,~ I s leva et 'écria M is'adreM i à son interlocutet. *Peur Dieu I moniieMr, si vom m'aimei dites-le tout haut, mais (e me salisez p* les bas!" _-, --- ---------- Société. E IE sousigp.a ont formé om société i . da& r. du 1er Octobre 1868, sous I raisuù M. Lanesquaiic & Co., dans le bu de conduire nue maison de Commsisnds e' p smlt, aims wiudlle la ]UOuldmu&k boeriq et tegasies, 17 re St.-Phi.ipp prs du dépbt du ehemin de &r dea Opi oouss. M. LABrsqtnrsa, 4 H. P. Spa8ixa s, 14B nc. fOi. Lart DPLzzIx. FPente Pu.blque, Succession de P oiieio.sie tiourq. N vertu d'un ordre de l'honorable .Ej Cour dte Paroisim, ,lans et pour la pa roisse Lafayette, il sera orert eh vente pu blique, le M'errredi 3me jour de mus 1869, au plis riffrantit et dernier enubérisseiir, le propriétes auivantes appirtenant à la gsus dite we-ession, Mavoir : Un certain morceau de terre -itni(,e dan...s c.tte Paro- sur lAe tté Eýt du lI:avo Vermillon, contenant Hluit acru.-, hobie: ai nord prr la t.rro e e Veuve Mi che.l Trnhar,. stl I par la t.rre d'AJela!il Hibc-'t épnuis d'[lypv;litd Savoiî, est pir terre di* Ursin 1. Broussard et ouest par terrn Valsin Vince.t. Termrs et Unndition. :-Tou'ei Rsm mes au dessous de vngf piastres payale Comptant le jotit dt la vent,. et louts ummrne de viint piastres et au-desRui, . un credit d'un, deux et trois ans du j.tir le, la vIf ne. Ls1 neqn6reuirs frnurniront leiirs Iiilets :art-c ieux ho enn, et s.'rb::b!O a<ufriiitit in soli;d. à la ;sti.-f.,ti cn ,le I'ri iinnitrateuir, payable à son ordru ai bu; rtu.i 1e M. E. Girard, conditiomner à por ter iritbrits à r:ii<on dh hlnit pit r cent par an de !I-urs maturité jiusqu'ai .aic:nrnt. Les proprieti's stj-tteý i hypo:hi'·'! res teront Fpériiement hypothq'uéeP.s ri fi v-Iur de la dite sticession, jusu'u. p;aii ment du prix d'achat, et I.. intérêts. L'ac iq..reur n'aura pas le droit de disposer d:-s propriétés mobiles acqui.e, avant le plein paiemient du prix d'achnt, et en cas que i'îcqué-reur dispoierait des propriités a van It 1 ma'urité des dits billets, alors ils it-vriendront immédiatrement payables. Les pr,,priétt. sutivantes isera vendu le Jetudi le lime. jour de Février 1869, sur les même conditions ci-deasus: U.B MAISOY DB RKSIDENCE, Muai-in à maïs. Barrière, Charrette à Bœeaifs, Beufs de tire, Bêtes à cornes douces, Chevaux, U'tensils ara toireq. Ulsttnsils de cuisine, et Meuble. de maison, Riz, M.Lis, etc.-etc .. et. A. MONNIER, Greffier. 30 jonvier 1869. rente Public. Su~cicesion de Severin lebert, décédé. EN vertu d'un ordre de I'Huooaerble Cour de Paroisse, dans et pour lu '.roir-s Ltaftyette, il sera offert en vente .uibliue. le Marii. 23me. jour de Février 1869, ou p!i* 1ffrant et dernier enchérisseur, leI :,prié?tes nivanten appartenant à la see l'te *IIcCv,.Msi>n, savoir : Un morceau de terre situé loIna t p-tr»oieo Ltfavette, ét-nt le W. i lu S j du S. E. 3.qtion 36 Townnhip ». M. a E. cnnt 'B 68 011lO0 werer. Tn autre morceau de terre Sp'r 20. hboné par I-1e terres de .éêleon *;ch.rd, Neuville Broussard et Zenon Ljrtiavir. Maison de résidence-Cuisine -Cotonnerie-Ma;t..-in à miiia-B.rière -Ieuf. dat tire-Vîche« et reiaz--Che raux et Jants-Cocliona-Charreti e à Roouf. et chtrrette a cheval-Charrues lerrsar-Outils-Miibl.m de maison LUbtrn-iIa de ouisin.i-M :ïa-Cotoa en rain- u'n Fusil et Un C'arbine. etc. T'lrmes et Conditions: Toutepssaomnme de cinq piastres et uo lessronq comptant, et avant litratson des arcpritpri ,cheté. Toutes sommes ai-iles sus <le dix piantres a un credit d'an deux et troai ans du jor. de la vente. Les ac qterîrrs fonrnissant leurs billetq avec deux ,u plus, bons et saotvblsr cautions soli ilires, à la anti.faetion des parties inta remées, conditionné à porter interet a rWi son de hnit pour cent par an de lesnr phaianese~, jusqu'à paietent, et payable a l'ordre et au domicile de I'ndministtateur. 1es propriétér gnj-ttee à hypothéque rei tront spéciatemnent hypothéqués en fa v-ir de la dite a*eecssion, jurqu'aW paiî *s.nt de prix d'achit, et les iritérèts L',icqiuereur n'aura p.s le droit de dispomr ldet proprété su'q»ti~n, avant te p'ien'pa4e inmit dis prix d'achat et les intérê6t, si il y »-u a, at en ca que I'rcuéreur dispoie rait ldes propriété&s vant la maturité tdet b;llets. alors ils deviendront immédiat. itent payables. A. MONYNIER. 23 Jai. 'O9. Gre ir r. Vente par le Shérif. ETAT DE LA LOUISIANE. Gall & Co. contre Frueiar . Piquette, No. 2870, Cour du l)istrit, S Paroisme L[fayette. E N vatti d'al writ de Fierie Factis dé· Lia dan s l'affaire ddesas par te t'mar doul) rict dans et pour Is peroiss Lafy4ette et l* s-dit Etstret à moi adre *é, il iera eltposeen d 'P« plique, 1, maison di Coér de cette patmiie, *e Sneia*N jeiwr de Fvmftr.4'89 entre 11 hea«es A. M. tI 4 hIl I.. M, pour du COoPTAST, tons I-* tyvt, 4ro intiett et prétentions .FrancI E qul*te, le défeakdr à la proprb4 suivait f aisie poar etisIuitledit ArdsM ae ir: Un Bgck, .-hIrP t n bg «y et hbauis-l- oiturq It bsramis 40 tltet de,IMï à lrmne.- tfl têms de 4li-vaux, créle ed anetricau -Un tot de coaIooa. ,„ Barema do 8f6rit %er*ilionville, ce 20me our de jaBnsir 18.1 GIRARD LAtOtt, PiRhit ENGAinTEUB rasr et 1iar Panr1e La showe». AVEC L. H. GARDNER & " Cic. Imlporteurs et Trafiquants en dro. DE MAARC'IANDISES SECIIES. NOS. 91, 93 ET 95 RUE COMMUNE. r!Pas DU Cirt IorTKI..] NOUVELLE ORLE.IAS, LE. SJan. 23, (.-- 3.. re.acE Public. .So c,-Iiin d- Michel Adriun R :card. i- N ver!u Id'f.n orire de l'lI.rnorable C. ur du o lI'rois-»>, dains et pur I* Pl'tri.R' [sfIytte, il aera off rit cn vente 1p[iilUt e, Le Sa'indi 13 FPorier 1869, 'n .. i "l '..' i t 't de! i.ir eicl:tri-seur, le ,ro'ri<i ét sivaites a rppartrenauiit àa 1 sue :e t~terre bois'ée dans la Pa r, 'e I.'ttL'a te, sur le <:!,' E-t du Bavou 'o;;;:::!'.:: .n, ;si-strantt lun demi atpent de fteet, par ia prfoldeur deit quaraHte arpent? p!us ou iilini', uistnr le rnibne ach, té pati le dt'fiunt due I:ni'iii Vincent. par acte No. U'n cr;it>. Uà. :w.p.sn M minï, Chair r.-te a ,hr »:il, W»ag'mn et hlarnii, Mais, Coltonnerie;, Moniiin a gtiu . I)ipnse, Lot de Planches, Une etilte hat:ssi, Poul lailler, Chbrrnes, Iers.s»,. Bairière dejar din, 1269 pagées de tbarrire,, Bugg7 et harnaimt Vachers t venux, lochons, Cane A sanre poir trrains, Chevaux, Jumentes t Mulets, Meubles de rmisons, Ustensils de cuisine, Pierx et potlaux, etc., etc. Termes et Conditions:-Toutes sommes de dix piasttes et audessous, Coomptant; toutes sommes audess@u à un credit d'un, deux et trois ans du jour de la rente. Les acquéreurs fourniront leurs billets avec deux boiti et solv»ht!e seouri tés in solido a la autisfaction de l'admin trice et les parties intéressées-condition lés a porter intérêt a raison de huit pour cent par an dle l'échennce jusqu'au pay nent final. Totte proprieté suseptible rlhypotléque. sera spécialeiment hn1poth-é Iuée en faveur de it succession jusqu'a par fit payement, aucun acquereur de ptopri été immihéliere ne pourra disposer de la propiété aequise a la vente, avant dt 'avoir payé-, dans le cas contraire, tout le montant de la dette deviendra imrné iiatemen t dueet demandable. A. MONNIER, Clerk. 9 jan'ier 1860. ET'AT DE LA LOUISIArf', PAÂOISSE LAFAYETTE. Cour de Paroisse. A TE ND U que M. E. Girarlde S.L.Il paroisse L:bftvette, avant enregistré n la dite Cour une p-tition pour être oitném6 Tateuir do IlTeriette enfant linetir de coieileir. Tou ceux tqui onut intention de s'opposer la *lite nomination enrigistretront leurs ppositiun danl la dit Cour, aiun la ville le V.rinillnitvi!le, dans les dix jours qui iiriront la publication de cet avis autre lent la dite nomination sera faite. Par nr.lre de, I'llon. Cuùr, en date du 6 Janvier 1869. [L. S.] Donné sos ma signature officil n mon Bureau à Vermillonville, lea 2me. »ur de Janvier 18C9. A. IONIlEL, Greîir. L'EPOQ UTE, JOURNAL HEBDOMADAIRE, Piubid le Dimanche par L. PLACIDE CANONGE, Rédacteur en Chef. Et L. E. MARCHAND, OCrant. -o- CONDITIONS D'ABONNE.BEN'. an n ............................ 0 .ix mois............. .............. S 00 J- Le prix de l'abonnement eet lovrlable ment payable d'avance. a 'o'ur foI ahnmtmeinnt, sanones. commu ïication'. s'adt-reser aux burerux du journal, rue e Chairis. 122. iW Boite da l'EroqU sa Bureau de Poste Nouvelle-OrItas, (Lnck Box) lette. LASUSQUIII, im ll & Go., Marchands Commissionnaite , 17 Rue Si.-Piillippe, entre Chartret et Lee, Noivellr· eO a. Achats et Tete de proddute de la onamagu Volaili, fEautr Pomrn dei tere, Onion,, Harricots, Ria, Frwitn,. ois, Sdecn, MYlam, Coton, MoaMos9 Cire jaune, Peaux, Bois "jo elmrpete C-oriet Suif,. Boi- de corde, Forgtres, Fer, o., e., ho. l 'occuppbt apéceiî,lPieB«t de uai plce,. l demande .E iKnit. : Irefnce,--J. B 1ivios, Onu. a et(o. J. O. Moutoa. 14 nov. 'ft-It .dyIWS. A-LR oet. p&.si pardevant Théodore . Guyol, Notire PubliP, le 4 Juin r88S, M. ADOLPat A. Mo'rTon, do la maion C. . Moutoa & ClO, 1#o. 1 0 rwe Commine, est chargé de me prooo"tion apétdale comme liqmideSdur de ta maieon O.Broutard & Co. 2j,1..-.a : P.P. PECQtOTT. £DUARD £. MIrUTrN, AVOCAT. PRAT.QIQERA s rM proRfrbbs tn par. IL tffSt.-ialry, Inft~yetVerlUon cf -senlia. Wr. a '"l'., .11*1 r E soussigne a l'honneurr d e'nrmr L iimiis 't le i.blic en g-'-rérrti, que !4 oustèime jaur du pr6éent iei,, il cuvrira de nouteau, au vilinge de Vermillonville, son institution, dans laquelle il e pr>opose d'ense .ienr : La langue franrçaie, la langue anglaise, la rhetorique et la composition dans ces deux langues, la géographie ancienne et la moderne, la p;hère, l'histoire générale, la mytho!.gic,, ains! que les mathemathi. ques leinetntaires comprenant: L'Arith. mtiiti ue, la 4;éoimétri, la Trigonométrie rectiligne et sphriaque et l'application de l'Algèbre a I'Arithm6tique et à la Géomé6 Srie. CONDITIONS: Pour !a pension et l'enseignement par sessioa de 10 mois: $180, payables 800 lIrs de l'eitrce de l'élève et (90 six mois IEXT ~RNe. Pour la langue latine, la langue frai' uçise et la ian:gue anglaise $î par mois. Por la lahg.e française et la langue anglaise t4 par ihois. Ancione déduction ne sera faite pour t,)tii absence qui durera moins d'un mois. Les o',jts de literie seront fournis par !cS parents. La discipline sera douce et paternelle et exempte de toute punition corporelle de quelque nature q'n'elle soit. N. B. Afin de faciliter les parents qui voudront bien lui confier leurs enfants, il prendra, au prix courant, chevaux dompth on non domptés, taches ifiitibes ou fa rouchea, bcufs de tire ou de boucherie moutons, eabris, graisse, etc, ete, etc. ALCEE JUDICI. Vermilloniille, le 9 Janvier 1869. A VIS. £TAT DB LA LOUIYIANB. PAROISSE ST.-MABTIN. A VIS est par le présent donné par le iroussigné-que les billet4aiviants, i lui appartenant, ont été perdis dans le courant du mois de Septembre, dernier. Le public est averti de ne pas aceter, tranférer ou néguéier aucun des dits bil lets. Les dlits billets opn été faits paya blet à l'ordre du Dr. PIcnHoLoUP, sur de mande, et sont datée du ler Mars jusqu'au 25 Mara Inctrivement-exceptés le billet de Mêne. Bilaire Déceir et celui de Mr; Hubert Thériot, toue deux payables à ait mois de leur date, ceux de Mme. Bal thasir Dêcuir et Théodqle Roméro, tous deux fitt payables à un an de leur date excepté. aussi, le billet de Mr. Bélisaire lonin qui a été fait payable en Mars 1868. Toun oes billets portent huit pour ceat d'inté66t de leur date. LibTu DEB BILLIT : Jn*eph Thériot, 849 50; Paul Landry, $49; Mme. BRlthazar Décuir, (.7 50; Onesifort Landry. *14 0 ; Clament Mire, $63; Thiéodule foméro, 25 ; Hilaire D6 cuir, $32; Dolzet Malet, $20; Uber Thé riot, $42 50; Leo Breaux, 834 50; Leo Breaùx, $15; fypolite Landry, $18 0 ; Artémise Eb.t, i9 00; Joseph Duroehél, 32 60; Trèville St. Julien, b.e., 26 ; Hy laire Bernard, 44; Gfrmain Fabre, 84 00; Simon Landry. 85 ; Marcel Breau, $23 50; Elizabet Aubrey, 9 ; Philogène Landry, l1 50; Alexandre Ursin Landry. 84 00; Hypokite Mal«t, 41 ; Jos~ph Landr,, 83; Charles Bourq. 48 70 ; Tréville Landry, 8 d60; Victor Lan4<y, 6; Alexandre La& drt, 8; Alexandre BFrpard, $4 o0 , Beli. Eae Bonin, 80 00o. DL. PICHlkLOUP. 12 décembre 1868.-Im. ETATDB LA LOUISIA4N PAROISSE LAFAYETTEL Cour de Peroist. A TT'ENDU que Azelie Cqme de t Parse iL. iafayette. Titrice naturelle dée la succeelo le Jean Baptiste Duolise Lsnoiy. d<ced, B en reïgtré en la dite cor i tableau des comptes de son asministration des prèprltete en comneu a.etd eatre elle et Mse eeftatîlme1e de lai m* rlae avec Jean Bte. Duclie Iadry, avec re inete que l'avis voul par la l l'oti publil ec le dit tableau dament boamlegud. Et attenwu que la ale" de la dite Tutrice .4td ac ol pr un ordre de dite ilti cour, en i. du T Janvier Y869. Eo eoaqeuae avts est ar prsept dooea aux ,eMwoMes Ipîtéresees, d'avoir a pre..nter ds a»lïae ee.-, dras ke S jours qitalvremiM ' dte dlab premire publictIma de eet ari, le, raisos, si elles en ont, pour lesquellqm le dit te bI iproévisofrome seait point approuve et h - Poenc sOs mea îgnarte re dt e ne mo ao rem, a V¥erfllailT l 7 Janvier i189.' A. MONNIeR, Grgasr. \n\n d qpLOdtSJN4N, : PARISf OJJ, LAFATLrrE. Pari.A Coutrt. 117H3RA ieflbe Comeaug of Soe Pis T1YU94 o byetb., e ". T~arit, ba Si~ account of ter adminhfration ltrb pF ft ty bt usamj blowien fImkeif and ý lUmae mrq ofbsr meedega with Jean lI DOeLaee Lwdry with s plttion pta(iflg that the mae be advtbrL d aeerlmgq to lawn d then duly hostologated. .nd wbheras tb4pwayer of said Natural Tutria rein s by an order of sail Court, ,dated 7th of Jan IC). . Now 'therefore notic is hereby given to add )eiar iNete~fd, to are their` appý siion, and show cese, Man they have, is aid Chum with in 30 days from th publication~ of this notice, why the a orthssc i ahit,"au shold Not be home= Given undeor my lllrfl signaturee in said Court in the town: of Vtwiloovillk, OW 7th day of Jrwsary 1;869, A. jlONNT ER, Clerk. )DOUARD E. MOUTON, .'ftttrtt at Left,, LLV~L practiee his prohv·rrion in the parlor/ W r f St. Landry Lafaytte, Vermiiion,ant aitº '3d 'l