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journal Oj/icicl de la Paroisse ý -u bfflàP'ar Wi t fALY Samei, Mi 221809 Fii e I US L 3Uxnxu%--POUT un aM. " "la MNt O.Obr$lB*bE abl k Uexpirati wue m xocm-a curé~ de dix ligne. «Momisa loal prml&islnurrtlon. 81 U . Par w~hde juqu'b ieusto du Ceaie-odr dum lp >.pubeionIo, mule Jour de la veut.. P-I po » t-d unm ;mde mOnt de mu b"dam et Pmu M. G. sWâUa. Queue Torftu. * Y.e uram.,wt GdIhe. Wa..,ww mor. ovl. jW Dmrn quelques Jcurs le nouveau duée bTO l'sCatholique dane ukre à».qehr compUbt4. L'acitecture en i~de ou plI àet nous net PpoUons "~ 16â le able et la détermination du Rée. aibmoudI, et Ial'het et tIsse. iu4uuurie âIr. Keify et de Meo vuresm da» l'a oop~ ause e mt ounvÏe~ tact déiré teS qui ams sa grand er»memt à ntevl lue& De la pwlau foee doélsIance la iheeehjspulh reos 1. m - uelule mmît m déeroule &au se iodl, us pemoma dès plub; ti; i' &M uape, de jadims4dus pist@ .é.vmw b de teepmssu, de bois &pâm; e$ '5 ou p d'eeil enchan ltieu et <e igàt 1d51 5 ltero et le Pubit 4u géeulu devrient s'euaPsusse de jouir.__ _ _ _ MM biddêeïmt épâg s'est é-veil h.hmset lms impmovuemuto se mue tl la ê;IËW~sMI juivi à dbjS cou. hoesN ssm~ pse el eti et mou de bM maeguret, qs7i!m 4delipo bi.etk iuln m Tumpie dans. lho fi Ic"tu Pair" est usaiMiat sans dsmihês eu pelinte rud.ats. Pourquoi* $loule§@ pua purmi nous un bo* dentisute vxt*sP 1 poisse IpoM» am4 » ,4JONOVI uSe Po-.,ê bruqu èite déesam et ev ieolré" ;pifeoe, 0* vmte ot pwtuSs smqgb. ver tm' X.. peup q4i à du ceur-mais #a Ivbu..menle sol uee -Iwo&nés um mu -a UNYvI 9E LA samW II pseut iseattre buad et avanttgeux pour une déMsobraie d'voir pnur preéi deits des hommes du peuple, ie dépseseant par aucune supériorité le niveau intellec tuel de en enn«tryen : mais quand il s'a git de diriger les grands intérêts d'une na tion, de prendre l'initiative (dei quelqu-** grande entreprise, et de régler des diff reads internatioaux, on trouve alon c<*n bées coête eàwr cette astisfaction démo eratique. C'est dont on psut se rendre compte àetuellernet en obaervnta la con doist de Grant. DI est visible que le noni veau prési-dent se trouve dans de cruels embarras. Aprôs avoir éte ierc-ré plr se avildes partisns, il as trouve **- pire *ènce de quetlions hie-n autreme-nt diffi ile1 à ré»aude-. L'Vaitr- de- IAlalaleua avec l'Aigletcrre prsed dles proportions inattaodame p-nr le* prewompte-uxs on vernants d - W-hingt'n L'orgueril Blr tinacique s 9évoe à la fin des taquineries de la Jeuan Ame-rique, et pre:'d i son tour une attitude agre-sive. qui comieneco à it qui6ter cetl*-c. Il 'ut maintenant ivide-ne que rAnglesBre aime mieux subir une guerre que le ihuneilantee conlitios, p' se#s par les Etata Unis, qui voient ainsi rieot<nbr sur eux les menaces, dont ils ont été témérairement prdigenéo. Le gouver enaent M trouve aujourd'hui hlacu: amse la suoetiwté de rabattre ee prétentione et de prendre un too plus conciliant; car. quoique son orgueil I'aveugle nsouvent. il empreud bien qu'il n'est pas de fturc à sout-uir la guerre contre l'Angletrre don' l6 puissante marine depuis 1812 n'% pu on blier le chemin de Baltimore et de Wash ington.. Du reste au point de ve moral et international, leeelamatiomns deo Rtta Unis à l'Angleterre perdent singef)ièr mut de leur valeur, va que les améri ains agismentaujourd'hui «avere rpagne tommle es Anglais ot agi -vers fus pen ant la guerre de Conféderé*. Ils four ilesgst ss Cubai. dms arsas, ds as enFe, ai«s -eM neiços, qui s-mbie 1* a 4. tout- réoeipreité dua" le d-e venirew de la seutralite. Au eurplu., e- qui va contribue t ialm.r le elsprit< di N. er. C'est la sourelle plausible, sinon pwetive-. d'ao triple alliasei etrs )'Angiterue, lu Frane et I'bpagne. qui tonte* les troi seraient résolers A imfener i Répahtiqou. no respect du deoit de» faibles et de. neu tres. 11 et dPa relits qui pmassnt i l'état de tradition, et qui. bien que deimenties par Ie fait, a'e nex tut pa. smeins deaa IN oirrelatioa du baenalités. Ceat ;a*n-i qu'. ea ms n lat pasde répiter que la France n'a pas 4s-titudfe. et qe son gOuverne ment est e pare absolutisme. Mais tout le démostce: la vérité eat que la Frain euet aotuediémst l'en des pays les pli, libres; Mar à 6eCe g4* ide n'Ume de tiber.t hioividedl et poltiquae on y trouve la *earité dm pevoanmes e1 des propriétes. et as seomplte épglité wsaut ln jestioe, jamties intégre dont le sIrvilan-* eletoora' a'a p ao iftéta .6re. Vali om qui eo* vre, et as q'on peat dire mven regret, 'et que le p ple Françaiea, s. meMue pas u. em* e 'a obm ve la liberté dae le i l'erre publie t la md*i darit litvottwmmèn du. emelhe domitL me' mut *poff»goeasdjfm F«d«A"mimukbi"m 4d rniý au. loir-lm uvui&merde mme~e..VOI6 m miad etI~e detr Lia; - . - L > -',au;s de Pls.&peadquusIs olle £ u21 armum dmi *ails e M , oti » *MIO"ra 4t M olie e' là lé qui p idw le "idt d'edio &&eIit su o (Suis se), résid«oe de Manmi. A Ta nouvelle de cette trwid4h levére de poignards, te tialieas ae sont indignés; ils obt ait prier We goeverbeiwmnt eivtiqje d'sspdlser rharriMi pomoteiur de tomes es aseMi noat. Ou préted que la Suisse, malgré as large habitude d'hocpitatié. a invite Mausini à chercher on re-fuge ailleurs. La situatinu de l'Epapne reste toujourna à l'état proviWoire; comme la Grèc.-, la Panin nle cherche un roi, et bien que jle. prétenidants ne manqueant pis aches Ilie. elle sadrsmse aux roysunmes voisins. Cet te position de plus e-n pluet comiqie, et 6te SI'E*pftne lia prestige st \- crédit dont ell saursait tant besoin pour faire fae à see nimbarram multiples. Le soulèvement de '-a provinc-a costinuat et l'insurrection eu baine prend de* proportions slarmantes. On par!e à Miadrid d'an nouvreau candi det as trône Celui-là serait le prince Etienne Léopold Charles prince herédi taire du duchie de- H'eh-nsx îlern Silemarin son. Maisi oen Carlos n'entend point cé ler la place à un nouveau venu. Le bruit 'e-'t répandu qu'il a'pprertait à s'en aller en guerre-. Le Portugal liini méne '-nmble subir la conteagin d-a troublea civils. lesnourelle de Liabonne- deviennent inquiéiantie. En pr'-e*nce d'unee Mituaition il dt la gravité se m*tiittet par d'iiiee.-antis agita iens, le roi del Piortiîial avait fait appAIl au dévoue ment de Salisanha, liii offrant le port-f.-uil le du mitaistire oles affaires éitrangière et la présidence dua conseail l; mais ce peroinna go politique a det-line jtsqci'i préient toutes le- propneistins qui lui ont ete faitea, mous le prétexte que la situation ré clamerait des meaures énergiques %1i des uas des formes die son- grand &g-. V»oià qui east peu raissetirant pur Dom Luis, [Renaiumssne Louiaasise [)SPART a0 L'ARCHVEQUe OoIs. Nouna ditach<ntii du Propagateaur Catholi que les ligne< miatnte-': " Comine -n a pu le voirpar la Lettre C rculaire qui est eon tête de ce oniném»o, Mgr l'Arrh-vèqfe- e-t parti our lEuro|i« henuece-p plicat6t qu'il ne- uonp'axi, et. pour ainti dire. l'impruviate. *- Mgr était revenua mme li. 8 nsai, de la campagt", oA il avait pasé une douzaine de jourr. et -ià i avalit epi ieuvé un- iimli. ratiobn au-ilt - iais son etat. Maie à peine re-venu * a ville il avait r leeeett le inéine ma'Ai-e et le t mme épuim-nie-nt qu'isperviest. * e méiam. j nar, MWr Dtlteuis evyu de Galv.-aton. étant arrive ici, * t e* dfip - suent à prtir pat "'Eer.p-, fn a pe-n-se q1 Mgr Odin devait phffit rde **ti.- .-tt Ioi pour partir ausi et les deux pré'ats sa-i partia lundi msuir pour se rradi. a NY w York. où il* doeiv.-ct prendre Ii -te-meii-r françA< aujourd'hui atlin-, mnme-li 16 mai. -4mgr les mu Ainsi tînt viulguquutr hecures pour se pr-p.tr.-r à r.' .'n voug.., et il li. a eté Wu péniblde de we ràpur, si bvuq-u.... de su pvêut* auuq.ad il ..Pt si aitiehe et qui le. *-Mt $si id.4. de ce pouvoir vint, uot en&« %ue MU la. mnuuuua*i Meinicums .t We eabi*.* umimots de oburité auxque-ls il port,. un -i Le poiîlaa devant muiaim au purhueit conciP. qui vrmim.'mbliab'&-mtnt, owp(o absence durcs au uiâoin ume «sidue Pe'n "éra, M. '4b wc4 4iilu., du dio.Llésc, ngir à la place de. l'Arclw,6 que. Beautoup de bruit pour Rien. (lu verr. ur un p.atrait du Courrie du AlÉmjLê éZpi. 1, qut resuu *u m atltUni% idr Welter, qe devantli . 86*4,rêletSfrsjwms -palu 16j4 Drast Le pubde mu-ad avecs in WCa: Uweic4m, g. àe Mirii devi etlu « to mité tul pvmuaicçd'ap oi4tguv -t lén«4 à- - daiel -r1e 14,uv es à4eai..ut Pa aux nebemgu.c.ue mm% ~yko**b*e bo rN aaa sers eaté.c qu.' sU.atla.Cu î leu k OSS.u àm#. que lé*% RICRHESS ANGLAISm.-L IMi sée» Xcette époque de l'année surtott, n'est chose rare en au ein pays, mais nous ne savons pas si on trouverait ailleurs des exemples aussi triste et aussi poignants qu'h Londres. La phi lantropique Angleterre, qui s'oc cupe tant dui sort des noirs, juge bon de laisser les blancs mourir de faim sous ses yeux. Il y a deux jours. une femme et son enfant mouraient sur 'an grabat Le médecin, appelé par les voisins, s'y rend; c*étaient la faim qui les avait tués. L'autopsie a mis 1 nu des en trailles qui n'avaient reçu aucune nourriture depuis plusieurs ours. L'aspect de la chiambre ou gi saient ces victimes de la faim, di-' sait assez leur dénuement: pas de meubles, bien attendu, mais un amas de chiffons sur lesquels dormaient le père la mère et l'enfant; une chaise détoncée sur laquelle avait été déposé un frag ment de bois, servait de table. Pas de carreaux aux fenêtres; un vieux morceau de tôle empé chait la pluie de pénétrer par le bas, mais non par le haut. Mais mourrir de faim! Ny avait-il pas des voisins pour venir au secours de ces malheureux, et leur donner un morceau de pain? Hélas! les voisins ne sont pas plus riches. Il y a six chambres dans cette maison, y compris la cuisine. Il y a un ménage dans chaque chambre, excepté la cui sine, où il y en a deux. Un de ces malheureux répond au juge qui lui demande s'il n'a rien donné à cette mère qui se mourrait: Mon Dieu nous aussi nous couroes après notre pain, et nous n'en avons pas toujours! En voyant sa femme et son enfant morts, le mari, ouvrier sans ouvrage depuis plusieurs mois, est devenu fou. LPays de Paris.] NELAIGES. UNE jIVERIS. -Un mariage, ou du moins la probabilité d'un mariage, fait en ce moment jaser tout Loudres. 11 s'agit d'un is raélite richissime qui va épouser une chrétienae, jolie il est vrai, mais dont la position pécuniaire n'est pas des plus brillantes. On dit que le père du jeune homme est même décidé à déshériter son fils s'il persiste dans ses idées de mariage. Lejeune homme regret te ambrtment que l'ancienne loi ne soit pas en vigueur. Autre fois tout juif pouvait se passer du contentemnent paternel, sans cou rir le risque d'être entièrement déshérité. Il fallait pour cela faire un compromis avec sa con science. Un jour, un Ilraëlite anglais du nom de Boaz de Paba, déshérita son ils, qui voulait épouser une chrétienne. Le fils éperdGnmett amoureux, alla con sulter un avocat, et il apprit I sa grande satisftaction qu'en se fai sant baptiser il jouirait du béné fiea de la loi anglaise, qui accor dait au juif apostat la moitié de la fortune de son père. Le fils n'hésita pas un instant: il vint déclarer son père que s'il refu sait son consentement, il allait entrer dans le giron de l'Eglise chrétienne, Boas resta confondu. I se rendit en toute hâte chez Henry Fielding pour lui deman der si une loi aussi monstreuse existait. Fiplding lui répondit affirmativement, pui« il ajouta : -Je pourrais peut-Otre vous enseigner un moyen de frustrer les e1pProes dp votre ils. -ParistI pale»p! s'écria I'i* raéfite aveç viéscité. -OM^ptf aoi d'rabord vingt -El v6us am'assure s'e poirreH é mon ftlss et qut'il ttamut pas droit à tt pen ny ? -Je vous lé prometa. -Eh bIe.m toeu, voila les empocha Jarget, puis il dit au juif: -Le seul moyen qui vous res te est de vous faire chrétien à votre tour. (Mternati.nal) Riquier, du Vaudeville, est le modèle des régisseurs et des met teurs en scène. Sa mémoire est prodigieuse. L'autre jour, il fai sait répéter une pièce dans la quelle une artiste doit travailler a une tapisserie; il demande cet objet au garçons d'accessoires. Ce dernier, nouvellement installé dans ses fonctions, revient ati bout d'un instant, disant qu'il n'en avait pas. Riquier insiste; il est impossible qu'il n'y ait pas dans le théâtre quelques mori ceaux de tapisserie, cet acces soire est indispensable dans une foule de pièces du répertoire. Nouvelles recherches du garçon, même résultat. Impatienté, Ri quier se précipite dans le cabinet d'accessoire, ouvre un tiroir et en tire sept ou huit morceau de ta pisserie. -Eh bien dit-il au garçon qui le regardait faire sans émouvoir, en voilà des tapisseries! vous n'avez donc pas regardé dans ce tiroir ? -Oh monsieur fit l'imbécile, en prenant un air offensé, je ne suis pas curieux. Jean de Lutèce a un mot de la fin fort drôle dans sa chronique de Paris : Un passant.-Est-ce frais, tout ça? La marchande.-Oh! m'sieu!... -Avez-vous l'empereur en pain d'épices ? -L'empereur.... il ne noun en reste plus, m'sieur; nous n'a» vons qde des cent gardes. Le passant poursuit son che min. La merchande, se ravisant: -M'sieur! m'sieur! -Eh bien ! -Y m'en reste un... du tempe qu'il était président ! Nous connaissons un cockney qui chaque fois qu'il veut voir sa Dulcin4e, passe sous ses fenêtres en cr'k : "-Au feu! au feu! "Une blonde tête parait à la croisée, "-Le feu ! oh donc ? Là, mon Angélina 1 s'6crie le jeune homme en mettant, avec delire, la main sur son cour. -L'ami L... venait témoigner devant la Cour des Etats-Unis. Quand le conseil du d6fendant eut fini son contre-examen, il lui fit les questions suivantes : -De quel pays etee-vous, monsieur L...? -Je suis Anglais. -En France. -Vraiment!... Comment cela ce fait.il? -Mon père et ma mèbre étaient à Marseille lors de 1évbnement. -Alors vous êtes Frauçais ?. -Non, monsieurje suis Ami ricain. -Tiens! Et comment cala -s fait-il ? -Parce que j'ai tenu un offieé au Texas. -Bah! alors vous êtes citoyen des Etats-Unis ? -Pas du tout, monsieur, je suis citoyen mexicain -Voilà qui est drie. Com ment m'expliquer cela t -ParWe que mi femme est mexicain*, et que j'habite le Mexique. On se dispensa du témoigna1e de ce citoyen Anglo-Franc-A méricano-Mexicain. Voici un extrait.'en Journal am6ricaiu sur nd cél64brités . L'homme qui rit - Smiler. O(ifek. Lihomume quboit^Tate». Louloai qui fum-rn L'omme qui G-d d-d-Wade. Aprh çae4 Ïqdelw - n'est pas bion de jouer piquet, attuim qui oeje oa est toujours oblig6 dse meotrer le eaiMMV * SALIT AU PtNTENPS. 1»i boelearde et de la ni, Rofth là neige disparu A cédé sà plae se beau temps. salut, printempa! Joyeux, le rofsigeol commence Le pslùJde dé s romance. ftè, mi, fa, ol r,é. mi, sol, ut Printemps, salatut ! 1Tot -ut booheur. juoie, allégreas Yn aht s'ou v rir sous ta caremse, Roses et cours Pm amne temps. Salut, printemps! Mler, je vis une hiroadelle RkveiaIr, co"pagne "i61l, As bord de mou toit vermoule, Prtfietp, salut! Nous pouvons offrir aux li!ettes Un fnrais bouqtet de viotettes. Depuis siM aois, je les attends. Balur, printemps! tère nature enin mous livrt. Quelques feuilles du nouveau livW Qu 'persionne incôre n'a la. Priuterapa, "latl On va péavoir à la aompqae S'en all*r Avec a ompgMe LoiM des regards inquiétante. Balut, printemps! *r tor,toouit 'enamt Sur has rive" AUssi, quoique tu Do* arrives Un psa trop tard qu'il n'ut falle, Printemps, salut ! B. BaoxTr. AVIS.-Toùs «ta qui doe veut à l'ADVERTISER, pour moue. criptions, affichèé, ou autrement sout priés de venir r6gler immê diatement, sal velant s'"vite des frais. le Cntrbualestea pàt"~ là& snal de Masi, peur pqer la -Ter d'us Peur fflt ws"? tolftbe les Fr1#Ié ;maw. *ue% twm hdfta u deTaxe urezr: liens le temwp Foula pst lo, sion '*'ea »M~ rtildesnt hkoea 94. o.t'r et Il u~ addnaMsel de das Oernt par moilà Mr, le aalm de lé SUe. ja tu mom uaunce M po seqrae " toujeita mu beaisu IM file maii6b de coùv, avoiW ~* te clecter tobten'tum à doquoerIMITN A-u.eiwir et CoI!otuur desti'mina d'*., Vemil.uvll,10 "miU0 vendre la prannd>W&a u'pssî de fw e. mât megeru.eme Isiqiel~ a.touei e4e inyi sie et l Pour bibe aat là"?gutut uf duqu, inIiKrsm âm U.pwm. 4%i4 Msanu&ctmr de T"t~c à à"Po* ma àA1~ dimol deb" Mr «m m de a46h bves. Mei~46 gobiae daemku et..u Wa po 4. 1uu dLe buMa 90spl u1& tutunc m.9. BdnhUsdeBO 0lm. '.-ei. Id n. "s-11.