The Lafayette advertiser. [volume], March 28, 1896, Morning, Image 6

About The Lafayette advertiser. [volume] (Vermilionville [i.e. Lafayette], La.) 1865-19??

Image provided by: Louisiana State University; Baton Rouge, LA

                
tPartic francaisc.l
Pour Representant.
Nous sominieïf autoriists 'i ailli.1
,que
Mr. J. O. BROUSS. AI)D
se pr(sente comme (eniliidat p'iir la
IAgislature, a l'électii du nii i l'A
.vril proehain.
Avis aux Lecteurs Franc;ii
Dans quelques j ,urs noinu ricctvr. Il
,une quanltité de rm ani> l'f;ie i d('4
prix trè, bas, c'e-t --dlie ;i 1o( ;- et ;
15 cts le voluime. No.n en anurii
nuasi à des prix plus dlevées '1',i, ce
volumes sont des éditions i,'înlllt- et
sont très demandiles ipartout. Velt'n
faire votre choix a I'offic dle l'Adver
.ti er.
Nouvelles Lccales.
Le Rev. Père Forge ac.-t rendu il
Ibérie Mlaidi pa-r-é.
Mme. L. Nollive s'est rendtli;:, i St.
Martinville Mardi poIur 'endi vi- it.
a des amis.
Le meeting chez Mr. Bhe Av\.nti
Samedi dernier d'arprèi ce que iisil'
avons entendu était uii gaiiil :iuccû.s.
Nous regrettons de u'avoir lp assister
et de ne pouvoir en donner un ompjlte
rendu.
Lundi dernier est décédéle à St. M:r
tinville à 9:30 du matin à l'âge de 4,1
ans, Mme. H. M. Baiiley, née Eimily
Fleming. Le corps a été tran pirprt; ici
et enterré daus le cimetière catiilique
Mardi à 3 heures. Mine liily se eul
.--.4ait indisposée depuuiîs <qu. les teiimp'
mi'is rien n'indiquait que la lin était si
proChaine. La défutiie tait très es
timée par notre ipopulation et beau
coup la regretteront.
Nous n'avons entendu que des élo
ges sur le compte du niouveau vuyer
de cheiniu du troisième ward, Mr. L.
Billeaud. Il se donne beaucoup de
peine et entend remplir son detoir a
la lettre. Nous sommes heureux 'le
mentionner ce fait. Mr. Biileaud s'eet
mis à l'oeuvre ausiitôt que son appoiin
tement a été fait et jusqu'à ce jouri
on pett voir les changeiiient it éjil
opérés dans les cheminis qu'il a sous sa
charge. Une grande partie de la rou
te de Scott a été ris eu de très bon
nes conditioni- et cet ouvrage terminé
il se mettra a l'oeuvre sur le cheminii
de Carencro. Nous félicitons Mr. Bil
leaud et nous guaranti!sons queles ha
bitants seront satisfaits de son service.
Les messielis Martin et Comeriux
mériteit aussi une large part d'élges,
car ils ont été d'un aide substantiel à
Mr. Billeaud. Espérons que nus au
rons bientôt a en dire autant des au
,tres voyeme.
UNANIME.
Unanime, voilà le résult, 4 ..é.
lection de Lundi dernier en veur des
WVater Works et de la Lumimre éleeti
trique. Cent trente votant proprié
taire se sonit rendus au pole et. a un
seul n'a voté contre la taxe spécile de
Snmills. Lafayette aura doueats sys
tèmes de water workset luotti6Èc.
trique et pourra être classé frrmi les
premières villes de l'Etat. L'avenir
de notre ville est des plus prospères,
a propulation est unie et travaille pour
son bien-êtie, aussi verra-t-on bientôt
,un revirement complet.
Les capitalistes qui jAi I& vou
laient point investir à lJ tte à
cause du manque d'eau n'an pld
de raisons i .ous émettre, bientôt
abyez oertait aous aulons d àtireé.
liorations d Mentionrer. Il a peine
deux ans, Lafayette était rosidéré
comme une ville très peu progm ive,
mais depuis elle commence à suivre
la marche du progrès et nons pouvons
dlire qu'en bien moins de teiap elle a
.dépassé d'autres viles qui ot. é bâ
tie sans autre but que spéci et qui
arriv6é un Ictain degré dé< golent
en quelques jours. Lafayett~ a mar
ché lentement, mais suremepl^on suc
cés ne s'arrétera pas la. UIT que le
iésultat sera connu partout 'oa ga.
rgeouts lue uous enteadro a,.,bientôt
prlier d'autres instilutiona., roo.
dront l'y établir. Pourquoi'alen see
rai nt pas ainsi Nous avoueo fait
d chemisb de fer, rien qi. ~.
S,.d4d ser: iafay·tte w tro n
a' uidea plus
S. . desp i .t, .ous ,',
,: ;?cai e»jMHdtim-B,·
^S 'M^^ ^ elluaw fitoû
t nu ti R .'v iile T)im :1 '; 1 i'"i . i "i'
S* it . ili'î (r:. te. I.l iù v . t ;.-u i-:;l u'lit.
ti) 'al t tt l, itU - l:;l iîeih ,e I'lîirii iiinic
1, 'u u s hq li ,. .. u ,i . ,1 ,.i: . ,
Stii-lrl ,u.t-aiin et i c.lh s ,li t ir t ii -
.-ir (- t't :'voir n ] (! ; 'iir t l':! l
i l -tri t il nl t l'l,"' "" 'i, ' t l'"
tickt l hi;lI',, - ( ': '! .ll ] , ,:t i'
Jii-tr ft i :t l I ; i> it I t1 i iili ' 1,
;i u t, e l l' '-1 <, .. L . +, < l- u :i , l -.
) 1v . .1. . 1, ' l- ll- 1 ) -' 1i t u ' 1 . ... i !t x I, ' < L .)
,l t Im I.,' ii l, ,, ti » lit.
l't ,l - ('lii. l 'il t t lijt u r lui r o n
;i\v;l t, taiu li- < ;" l rr ."' iirM e ,.-t ,li i,
']l i t l l t t l ]' " t , h : !,'.' .-1.' l i t tutll\ <lu
oi i li ' it i t iin i l u: I; l it ci s !t
l l'r M r. .1. I1 . i),u ;t' ,:i IX. e t iM r. L..
ioris pli a e apud iet t
I, tA.li a riirl U ti I lni l'i .iii , it~ t
t'. I I .y, e ,s . et .tair l.; lt t t,- ien Is
.A t,,iiniu l'h ,lirt:;uxt , l . I. l ,y, l ii,' -
L veu .i I lini-', l'httl t i Tl rahi ,
oraeuwr et 11an1 u- bo rtflulio ex
tli r 't:it M r. rt' i ,u rt ?I.; tin, candi' -
d iit pto ur le ,,'uit, iui i ;it fait n dis
ie Iturs qui a 'ait ',i ient a|ipladli et
Ia ll;en î ud ll'nl t.
plicitre ; dilt .lin 'r le:- matai envres de
el) ji.re ý r)'Billit C étatit le qisctni
la ti'ction Mv utlii( n-li'ri -sr iislt . le
juge ta dliu'i unie 'rétpone trirs satis'ai
V-aite tour la re'siîa:l tiu)t qu'il avait
donté il yi a (quellus tnnieis et ds
auditeurs out ;,pit )ir i.vte -o i atr eumtent
en di-ant qtei c'était lui qu'ils w<u
laient pour jtlge et lin Muton illus
tre par I'Aoteiia lement.
L'hon. A Win. Campbell a adre.-sa,
l'audience avec (ut de ces diictpour
dans lequel il s'exprime toujurs oi
lert nimentit et sais lhrtuases voilées.
Lorsqu'il a terminré ldes cris lde
'Iuairral p-ipor Canipbell ont retleti
sur toute la ligne.
,Mr. AA. Chargois a donl t une enti'
re exoplication des "'truc nhuis" i)Iur
lesquels Moutonr et sa clique ('unn1
sous le nom de "sîprinmacistes bhlaic,"
sont renommés. Il disait qu'avant lde
se taire passer pour tels il fallait pos
séuler un passé qui correspoldait et
sur ce point l'assemblée toute entiie
approuvait par des applaudis-eivments.
qu'il était correct dans ce qu'il avan
çait. Si Chargois est élu (comiinme il
le sera), le peuple sera satisfait qu'il
n'y aura pas de combinaison faite en
tre les offices d'Avoca:tt de District et
celui de Sheriff, et ceci indie pliius
qu'on ne peut réellement exprimer,
principalement pour les votants de la
paroisse Vermillion.
Le Dr. Scranton, étant indisposé
n'. pris la parole que pour quelques
instants. Le Dr. Scranton est très po
pulaire et remportera aisémeut la vic
toire.
Le Dr. Gladu a été très humoriste.
Ilentreteun l'audience par un dis
cours des plus hilarants et les specta
teurs n'ont cessé d'appliaudir à chaque
jeu de mots qu'il faisiait. Le Dr.
Gladu eat un candidat certain de son
succs et les votants de Royville l'ont
bien expripé.
Mr. W. B. Bailey a a'.dressé égale
Senequelques mots à 'assemblée qui
ont 6té très appréciés. Mr. Bailey est
on ancien confédéré, un journaliste
rqmgaitm, un des meilleurs greffiers,
' qui le rend très populaire. Il a été
appointé il y a trois ans par le Gou
verseir Foster et fortement endossé
po.r l'office par l'hon Overton Cade,
et nous préisumnons qu'avec l'assistance
et linfluencé de ce deraier Mr. Bailey
remportera une des plus brillantes vic
toires. * -
Dés résolutions ont été pasL en
dossant l'hon. Robert Martin et tout
le ticket DeBiillon-Campbell. Tout
ont promis leur support i ce ticket dé
mocratiqus et représentant la supéma
tif btOinche.
UY CADIEN.
Thomias Haley et Peter B. Ganfield,
deux aliermaai de la Nouvelle-Or!
léans condaminés au pénitencier pour
avir trafiqué de leur position, ont été
'mnduits jeudi à Baton RBuge, od Dau
dous.«t les a précédés.
_..-.---
SJusqu'au pieux Wanainaker, l'an
ienu directer t des pnstes,qui s':nue
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il I. U Ct1; 1
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4>l1C -> I>>:.c 1:4~i4ic liîtelici ri.>
m->>!'~ î 44j44 Ii b ru 11 q*ý 'o>
pendant le couroge ditl -.jrtl)tlvt,' "rl ( l(! llt'lltt
itali n Iu 'itiii j>iiii ci> a i, lit il
dili :11il lonvo lit, 1.4<41te
t',t 44e (t 'c- : prix> et~> ip [It
lItlI>441141ll(4 ,4 ii>î>ii>eî> 4> . ( 'o
aifllI.14 I>i4t m14I41>t114 jîlir 114 I - 1:
itio>1Vi, S> ,.( uneV vilo 1 l it >e >44 i
114 144> ie:t.r du4 iizi->,Cct i î vi qu4 14i ll14
naI e Cilit paix dit- cal> S>>c1:î c->it>c
ltI>>î1Iîl>cIî~p uý, nt..~ v: le lli> l
en Certains lieux, à' la di.rii,liiti.i b ai -
tuite de graines dec liaiiie lue f;ai;
le gitnveiiemeit. Celle ,iibtttihl; .
avait été suispendue par le s'crItair,
i(e l'.grieiultue Motn, ui a a-uz iL,
sens l,)ur cmprendre (u'elle tic fait
ice bien a peoun-time et. îte ltc autet:»
an gi. vernament. Maizi le.. p liti
c;ins, qui trouvent un piti-isant atxi
ilaire dais ce- grainei pour faire va
loir leur cniidiilature, lie part;i'gen pall
l'opiniion dte M. Morton et cruient tel
lemiient en!i la vertue de cette tli.-trilii
tion gratuite qu'ils ont fait vi.tr iine
tli qui la rend obligatoire. I)anis, ce
but, 812...00) ont été vots p., r la
chat et :la distritbutioin d'uni milli.ii !do
papclles «le graines, dont les dt nx tiier.
passerttO t ];par le.-s maiiis de.' s,'iitit.tiî
et les rel )ie iantis. P :i- le 31.
Morton ebt foicé de i.t: i r <l,
gîrai,.es, nous lui cdnescillots de s'; n
Sprocuirer de bonnes au n i .ins et ld'e
faire uu chliix qui convienne ian dilT
icntel sectiiis du paiys, qu'il n linc
envoie plus, par exXmtila', <l' g'iiiiieî
ld'<i iiois (qui sont i.iC:Ip[a; l.ýt s de f':iii«
lde b)lbltes ici et mii ins dle s.ailfis et
d-'pinard. Quant auix larie,,ts, qui
jouent un si granii rôle tliis ces Ii'
tiibutions, qu il en mette Itu litre ai
niins dans chique cillection, afin que
les iiénagères en piis-ent faire des
purées.
TUn Ris-e et in l Tartare traversant
les steppes en comipîlanie, s':ipeirçuiiit
que leurs provisions de bouche étaient
-- ·:1 · i. . 1 1 it xl,
fr1: i: a' k h P
l I z 1 1 C l i
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d'cit t eil
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LAFAYETTE, - = LOUISIANA.
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ttai~io Iei i ii ii ipit bc-u'cna. Commntnunea
tolnr, Fi 'ily rr:n.lteu:iil. A Iiandbonk I[a
fior:atn iii.h!iilufl Pattents and bow to oh
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