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Le Depart da Soldat. v?"Lè vers suivauts dit le Mé de St. Jacques qui a été le à,-les. publier, ont été * éftrits f il moment du dépavt, par un jeune Créole, actuellement dans le Missouri, avec le lime régiment de la Louisiane, dont Il Hlifc p&rtiê. Son frère et'plu «feu» de ces parents sonten Vir ginie. Le père de ses jeunes gtm, honorable citoyen qui ré àde dnns une des paroisses de la côte, avait déjà payé sa dette à ■on pays, dans la campagne de ' Oil, Jeptri. eu j'entends une voix qni m'appelle Run aolMeré la saug déj* ntaMlie. Pttaqt'anjoordTiul le Sod » besoin de soldats, Il m tarde l'aller «a^erint des combats. * 0» <«1 crade eneor, c 'est te sang dee met frère», Qri, versé per Ui Mita d'indigne» 6 Appelle & U vengeance ! Iroos-noua 'es venger Oa biea>ttendrons-no<u? H ob . Non. U hat marcher. Liehe «at oahl qui reite taaetifet tranquille, Ttadia qu'A rod par» son braa peut être utile. A-ttlpear de mourir! Qu'Importe le trtpaa t FBeonr gtatNHt la Mort *4aa appas. Mk>, dans I« aeln de l'ataanee. w ; " ' '* al raboadaroé, . «Mn l'Etat, veux être soldat. » j» w4» «œoencwlemétier de 1« guerre! ■t Dieu Mit al jamais Je revenai ma mtoe t Pfifft«»)* paiï pour ne plu* r«venlr;_ 11 nos. yeux devolltr l'aveulr? A»k, if a rgn ea-ia»! eaa marques de tendres Qui daaaMuo «wr ému porteraient la trist« Prtpilu Jwne wldat aa vanta point pleurer. Cht la défait alors pourrait trap ma coûter. '> ' - ' 1 «#1tfiw m ni plut fit la force et le eourage : Mab quand je serai tain, sur un autre rivage, A» alHea des combat«, oh ! pour not priée Dira Car qai aatt >1 jauni» je reverrai oe lien. bien loin ces lugubree pensée», de laues aehunéea, par la mdn da Seigneur, aujprtadeyoas je i Ci ïameûx stbamer.— Le For syth Miïfial, de Ôèorj ce qui suit au sujet du Berpiuda •rrivé récemment à Savannah ^'Angleterre '*11 y a plusieurs jours, unstea n«r blindé, de Liverpool, avec 6,600 carabines, 18 canons, des oouvertures (40,000) et des vê tements pour les soldats est en tré à Savannah. Xes navires du blocus n'étaient pas en vue. C'est «w steamer neuf blindé vec des feuilles de tôle de un pouce d'é Bur, et il appartient aux i Confédérés. Celui qui nous fournit ces renseignements, a vi «té le navire lui-même, a causé ftveo le capitaine qui lui a dit que trois ou quatre autres bati IjBentidiu one a DRT at been try cash the who It ° so même genre étaient en qu'aussitôt que des stea t équipés par le gou t confédéré, le . blocus Är^'jsas que l'arrivée de ce na -H&Siii du , • „i-,,. ., « occasionné une grande ac S parmis les marchands qui sont aw à expédier du café, ^ du sel aux marchanda de etanpagne pour écouler ces ar aux prix actuels. Il a en dire qu'en moins de 40 le café d» Bio se vendrait î Savannah, 12 1|2 cents. Il y m à tmè immetm quantité l d que la levée pdär venir." pdär Vv vovrwj J ackson .— Le 14 jeptembre M. G. M. Smack, du dbœpté du prince George, Mary tfrrété par un détache b de la brigade Sickles et con | devant le général Walker commandait pendant la ma tte de Sickles. Saisissant un doment opportun il tira un cou teau et en porta deux coups mor tela I Walker. Le soldat de gpurde tira sur lui et le manqua, Jfimajqit lui porta avec son cou teau pi coup qui enleva trois doigts au soldat et se précipitant à ttavera les soldats il s'ouvrit un passage, et parvint à s'échapper/ H gagna ensuite les bords du Po tomac et réussit k passer en Vir gjmie; il est maintenant à Ash land près de Eichmond. " .»■ ■ v ' ! 7 ^u Ma. Oartaia marquis vantait an jour k b • ta*» dB Loaii XV, an rwnêde ezoel . fat W «al avait h secret, et qu'il avait ' prendre à on de ssa amis qai était * l'es "Votre ami fut-il guéri T demanda reine. — Madame, dès te lendemain, J'allai k fair, 11 était sorti — Comment, sorti? til était aile se faire enterrer. Bocbejaqualin, pour 'oole baren an moment d'une bataille, , saivea-moi, si je recule vengcz-aoL M Inst. ya and and has he to EDUCATION. POUVENT I)E L'lMMAOüLKE CON U CEPTION, Opelousas, Lou'rUne. Le» D.raes de SthUe Croix ont l'honneur de pie v£.-'rie publie, qu'elles re-ouvriront dan» la. peine ville des Opelousas le. 'il) d'octobre lSSÎ.leo* m«™ d'éducation pour les jeunes personnes de la paroisse et des paroisses environnantes. Le i" quem» ont ehoM, par sa position retirée.le plantation» pleines do goàt qui 1 environ'mit et présentent tout à ta Mis l'ombrage le pins délicieux et l a- pect le aux récréations des elèves, les bâtiments sp 1 ' 1 adaptés k une maison d'éducation consid*rabjemen augmentés et entièrement remis a neuf, raccesra cile de tous les points de la paroisse, la ni oximite ue - vantages extérieurs que les l'Eglise, offre,tous les avantages pareuts peuvent désirer pour leur >. J/mstrûetiouy serasolide, '«tendue, varu e, surton .ai» et pratique. Le cours d'étude embrassera ton te les branches iweignécs dans les meilleures maisons d'éducation d'Amérique on d'Europe ; kectare, thograpliè, Grammaire, Composition. Kiy tonque , 1% locution, Appliquées anx laugues Fran«;atse^et An glaise, dont Tetude marchera de front, et qn on loi mera.avec le plus grand soin les élèves A parler et. a écrire,ave«,exactitude,élégance et facilitè—Ecxiture, Géographie, Histoire sainte et profane, Ancienne et Moderne, Mythologie, Arlthméti ne. Tenue des Livres, éléments d'Algèbre et de Géométrie, Physi que, Astronomie, Histoire naturelle, Economie ao mestique, Gout^re , B ro ider i e , Fl e u is a r ti li »' i el le s , Ue s • ain, Musique Tustrumental et Vocale. Gett.e derniore branche sera enseignée par un artiste distingue atta ché a la maison. On apportera la plu» grande at tention pour le maintien do l'ordre et 1 application à l'étude, conditious essentielles pour le. progrès des élèves. .. la » .. B On ne mettra pai moins de soin à leur former i es &rit, le cœur, le cahictère, à leur faire contractjer de onne heiire l'habitude dé l'ordre, de l'écouornie ue la propreté, de la bonne tenue,qu'à les instruire.,yn veillera avec le ptus grand soiu sur leur moralité. Elles demeureront toujours dans l'enceinte de la mai on et souâ les yeux et la surveillance naturelle de leurs maîtresses. ; elles ne recevront d autres visi tes que celles de leurs parents qni pourront les voir an parloir le jeudi après les classes du matin, et le parloir * apres la grana meH»e. ■ M vuuu «tiou liiiy.sique recevra aussi toute 1 atten tton qu'elle réclame; un exercice salutaire quor leur fera prendre chaque jour, des récréations judi cieuses qui entrecouperont les longes études, con tribueront puissamment h dêvelopj»er les forces du corps, en délassant agréablement l'esprit et le met tant à même de reprendre l'étude avec plusd ardeur et de profit ; la nourriture sera saine et abondante : les soins les plus affectueux et les plus intelligents seront prodigués aux malades. .. La religion est la base d'une bonne éducation, la maison professe la religion Catholique ; toutefois les jeunes personnes, qui en professeraient une autre, seront reçues à la seule condition de se conformer aux exercices publics de la communauté. Pour mettre les parents à. même d'envoyer leurs enfants plus jeunes au Couvent,—une enfant peut profiter dès l'Age de sept A huit ans et même plus tôt,—de les y tenir plus longtemps, et d en envoyer lusieurs à la fois, on a adopté les prix les plus mo irés. Les pensionnaires payeront $100 par année scolaire de dfx mois, en deux ou quatre paiements égaux et d'avance, ponr tontes les branches renfer mées dans le programme a l'exception du dessin et for mois, en deux ou quatre paiement.: ce, ponr tontes les urar - ' niées dans le programme a l'exception de la musique; $'» par mois pour le Piano ou la Guitare ; $1 par mois pour l'usage du Piano ; *<J par mois pour la musique vocale, d'avance . Les parents auront a fournir les livres et le papier, et a pourvoir au blanchissage de leurs enfants.; les frais de ma ladie seront aussi A leur charge. Les pensionnaires devront apporter en entrant: une moustiquaire, une quantité suffisante de draps, -©ouvertures, serviettes de table et de toilette, ainsi que d'habita pour tous les jours, l'uniforme consis tant pour tout l'année en une robe bleue, avec pete rine et pardessus de même couleur,garnis d un petit velours noir; deux garde soleil, nn bleu, et 1 autre eu toile grise ; nn voile bleu, 2 yards ; un voile blanc, 2 yards. Elle devront apporter nue cullicre, une fourchette, un couteau, un verre, un baquet en fer blano ou en aine, une boite à ouyrage, une brosse, nne brosse k dent, des peignes, un pot-à-eau, une cuvette, une glace. Les externes assisteront anx classes, et études et anx récréations, elles pourront prendre leur dîner dans la maison. On aura également pour elles, pour leur progrès dans leurs études et leur bonne conduite toute la diligence et toute l'ardeur qu on peut attendre de personnes exclusivement dévouées nar religion, par état et par zèle & l'éducation de la suuesse. Onelousas, 17 octobre 1857. P SŒUR MARTE Dû DESERT. On peutaussi s'adresser pour renseignements k m. G. Raymond, à l'Eglise JNSTIUTION LITTERAIRE DES OPELOUSAS. E ooli raKr.vRxroiKB poub iïs A cademies. Dirigé* par itf. C. JE. DURAND . C onditions: Pension par'année HW <j'j Externes par année *0 OU " par mois * «JJ Bols de lits, matelats, oreiller 1 00 Btinchissage par mois » »0 Chaque élève, pensionnaire et externe, doit une corde de bols pour son ohaul&ge en hiver, et four, nit son éclairage. Deux examens semestriels et publics ont lien chaque année. ... , , L'année soholalre est de lî mois y compris les le temps des maladies on de vacances. s'jMrar le te _ antres causes indépendante» de la volonté, seront Les réductions toujours accordées avec la plus parfaite èqmté Le médecin et les frais de maladies seront k la charge des parents. Le médecin k leur ihoix. A5 K^' tembre 1860.— la. is Nouveau magasin. LE8 soussignés ayant formé une société de com merce sons la raison de Ney & Duprl, ont l'honneur d'annoncer à leurs amis et au public en général, que l'un d'eux vient d'arrivee de New York avec nn assmtf meut complet de Marchandise» sèches, Quincailleries, Chaussures, Groceries, Liqueurs, Boissons, Faïance, Article de fantuMe etc., etc., en un mot tout ce que devrait tenir un magasin de la campagne. *■ Tout en voulant écarter toute sorte de charlata nisme dûs cette annonce, les soussignés n'hési tent pas, néanmoins, k annoncer qu'ils pourront vendre leurs marchandises fi ' 1 u " t du détail de la Nouvel ..... it à meilleur marché qu'elles se sont vendues ici jusqu'à aujourd'hui. lis soussignés se reposant snr cette oonvictlon que le système dès affairas au comptant est le plus sur et le plus avantageux aussi bien pour l'acheteur que pour le marchand, ils espèrent que ceux qui voudront bien les encourager ne les mettront pas dans la dure nécessité de répéter constamment que vu la modicité de leurs prix, leurs affaires ne ~ feront qu'au comptant. H b occupent le magasin anciennement de P. & s du Maine. ^ EDMOND DUPRE. I860. Boy,rue i Opeloosas, 17 m A VENDRE. Lei Sourcea da Beaver Creek. E propriétaire désirant foire un voyage en Euro A pe, désire vendre cette magni fique retraite d'été, qui n'est sur passée par aucune dans l'Etat, tant pour la veitu de ses eaux minéra las que pour ses autres avantages. Ces sources sont situées sur un des tributaires de la rivière Nez-piqué a 30 mille« de la ville dea Opelousas. La patente qai comprend ses sources est de ôo-ioq auras et les améliorations consistent en hotel, dea chambres séparées, chambres a bain, ma gasin,: cuisine, écuries et de Jolies savannes. On peut facilement logé à cette retraite 350 personnes et en y trouve tout ce qui est nécessaire A un ' ' t. Ou vale grandavantaged'avoir B à un mille et demi. moulin à scie à t ribier. Ce sont de belles prairies qui abondent en tel que, faisans, bécasses, perdrix, bécassim s, etc., et des plnières onduleuses où l'on y trouve des ours des chevreuils et des dindes sauvages; et lesruis. seaux limpides qui li abondent en poissons. 81 quelqu'un désire acheter cette retraite, il ta'Ipû de faire application immédiatement au sous !Xes termes et conditions sent avant» geuses pour J*achetcur. J. M. MILSTEÛ, Agent. Opelousas, 15 décembre 1860— jno A Vendre, TTN morcean de terre sise snr le Bayou Mallet u «— — ■ cette paroisse connu comme le "Chnrles casse 's Tract" dans le Township cinq Sud, d Big et six Sud deux Est. Tout ce morceau de terre est bien boisée et contient deux cents arpenta mpéifleie, équivalant à cent soixante nent '2j-l acres. On peut eu voir nn plan déposé a ce bureau étant h section No 5# T 5 8 1 E et la section No 41 T6S SE. Cette dite terre sera vendue à un prix et a des termes raisonnables. Pour plus ample in formation s 'adresser k ce bureau ou an sons-igné. RODOLPHE CHACHKRE SJftvlSGl Agent. AVIS. %N demande à acheter une petite habitation qni / pourrait contenir de soixante quinze h cent ar ntnde Rnperficie et dont un morceau serait boisé Û* " p Ar ie eet habitation soit située ' :i plus de trois mille des Opelousas. S 'adresser r bôreau da Patriote. 1 ^Opelousas, 16 mars 1861—* in BATEAUX AVAPEUR. Arrangement pour les iiati tes cawx. T K paquebot regulier et fm marcheur Jj SIMMBS, Capitaine (i. E. Lowu • * | 1er, partira de Wa^nington tous le* d ; manches ft. ü heures <Ui niatin, et, de , la Nouvelle-Orléâdstous les mercredib a o »tun ae uÄ"lv«pe»r solide et tin marcheur AN NA PERRET, capit-aipe J.-A. ^ a, 'P'V Washington tons les mardis à 1 heure de *1 - midi, et la ^ouvellc-Orîeans tous les sanied « ht Le e Rateau i\ vapeur, ALINE, . ca P^" e -JJ Neal, sera aussi dans la navigation, mais se j '^Les^passagerS et'fes consigna tics peuvwit ««^ ter sur nue stricte exactitude quant aux depm . iî\i Simules et du Perret. he taux dn fret sera le m6ine que ci-devant, sa v,> ' f: . * 2 00. Sucre, par * Melasse, par baril Coton, imr balle I,e fret <le retour, par baril. 24 novembre 1S60. O. oo 50. IINC^ET & Co. AVIS IMPORTANT. LES soussignés pharmaciens droguistes ont réso lu qu'A l'avenir, ils restreinu.-ont autant que possible, leurs ventes dans les limites du Pour leurs clients ponctuels, des comptes seront toujours ouverts, cependant les soussignés se ) < vent la faculté d'eu demander le paiement a la un '''Vl est Je leur désir de solliciter le patronage pu blic et d'élargir le nombre de leurs clients, autant que cela sera compatible avec les principes daffaj res et aux intérêts mutuels, qui doivent existe! en tre l'acquéreur et le vendeur. . Ils saisissent aussi cette occasion pour prier ceux qui leur doivent de payer immédiatement ou tout an moins de venir n'glCT «ins dHai. P? LEONCE 'HERRARD, A. LOUAHJI j IER A. 'CO., îmars Ittel— Cm J. A. M. HcMIbLAN. Notice aux consignateurs rte fret. N'OOS les soussignés annonçons respectueuse ment à nos amis et au public en général que vu la crise actnelle dans les affaires, il nous est im possible a l'avenir de faire des avances sur fret, et consèquemmeut nous sommes obligés d adopter un système strictement comptant pour fret et, magasi nage. Aucun fret ne sera livré par nous doréna vant tant que tous les frais n'auront été payés; et is ne recevrons aucun ordre v°ur fret à moms » ne 80it tom Âfï MEIj.VNSON, TTTUB & COREIL. Washington, La.. 14 dec. 1860— la îp, $300 de Recompense - -^aUTI marron de l'habitation de François Ito ^ bin de la Paroisse 8t Landry, 1er juin 1859, un jeune nfcgre nom „.ä Jim Brabbon , Agé de 20 ans, de couleur noire. Sa "taille est de 5 pieds 7 pouces de hauteur et il pèse euviron 150 livres. La récompense ci-dessus, sera payée qui conque l'arrêtera de manière A que je puisse l'obtenir, ou en me le livrant a la Nouvelle-OrWana-, che» M. b. W., en coignure Gravier et Baronne, 2 juin 1800. François Ito % J. M. WILSON. Marchandises Nouvelle». A BON MARCHE, Ü magasin de M. Raphael Hollier.sous la dl jfc. rection de M L Desbret Les habitaus de St Landry sont par le pré sent avertis, que je vieus de recevoir de la jy Nouvelle Oléans, un assortiment complet et magnifique demarebandises^ue j'offre maintenant h mes amis et au public eu général à des prix les îlus modérés; mon assortiment consiste en partieen: Marchandises sèches, Habillements confectionnés. Bottes, soulier, chapeaux, casquettes, Quincaillerie, Faïence. Tabac, Cigares et Groceries de toutes qualité, eu un mot jai tout ce qu'on peut dé sirer dans mon genre d'affaire* Veuez examiner mon stock. RAPHAEL HOLLIER, Opelousas 6 oct 1859 Washington. N B Aussi un lot de merrin de 3 pieds et uu lot pieux de six pieds, BAZIL. IE cheval aura 4 ans le printemps prochain, cou > leur baie, crinière noire et jambes de Ä même couleur — élevé par le juge L. J. Du pré de Rt Landry, issue de Boston Jr. et _ de Prairie Flower, Boston Jr. de George lartinet delà jument, Boston, de J. F. Miller. Celle-ci îs de Boston le célèbre cheval de la Virginie. Prai rie Flower, issue de l'importé Sorrow et Madge ïs e de l'importé Leviathan et de Lady of the Lake. Ce cheval servira les jument» la saison prochaine »20 chacune, payables invariablement d a .ance, 11 se trouvera aux ecuries de M. Henry L. Garland près des Opelousas. Ceux qni sont éloignés du 'tage pourront laisser leur juments à l'habitation elles seront bien soignées à raison de cinquante ' Bonne chance pour les hommes d'affaire. J GIBBS offre k vendre la maison à deux étages • occupée par lui actuellement comme demeu re et magasin, avec une bonne cuisine et les bâtis* es en briques dont il se sert pour un dépôt de voi ture. Le terrain a 100 pieds de face sur une profondeur de 169 pieds. Je vendrai aussi mon stock de fournitures, pein tures, et je louerai la partie de l'atelier de voitures ini joint k celui de S. P. ("Mark, qui continuera à aire les autres branohes d'ouvrages en bois et fer. A ceux qui out les moyens nécessaires et des ha bitude qui conviennent a la communauté, voilà une excellente occasion pour faire de brillantes affaires. 9 mars 1861 JOSEPH GIBBS.' PERDUS OU VOLES. AUX Opelousas, il y a environ nn mois, rfne mu le noire. Elle porte denx marques: Tune à peu près 8 U et Tautre le propriétaire ne s'en sou vient pas. Elle a aussi les marques du collier et de la selle. Quand elle dispaïut sa queue et son crain étaient rasés près de la peau. Elle à neuf ans. Aussi même lieu et temps, un cheval créole, con teur brun, ayant une barre blauche le long de la fi gure. On ne se rappelle pas la marque qu'il porte. Quand 11 disparut il avait le crin rasé et la queue coupée courte. Il a six ans. ~" Celui qui ramènera cette mule et ce cheval an L. V. CHACHEKE. 400 arpents de terre a vendre. XTNE superbe terre, située prfcs de la traverse u d'Ashworth sur le -bayou Nez-Piqué, conte nant 400 arpenta de superficie, mesurant dix ar pents de face sur le bayou, et ayant un beau et maguiSque bois. Cette terre se vendra a des conditions avantageu ses pour l'aequérenr; pour pins amples informa tion, s'adresser k J. M. MILSTED. Opelousas, 21 Juillet 1860. * ALEXANDER LEVY. BON maçon et faiseur de briques, otTre ses ser vices an public de cette paroisse. Toute ou vrage à lui confiée sera achevée dans le plus court délai et de manière h donner satisfaction. Opelousas, 30 mars 1861— Gm Bois ! ! Bois ! 1 1 J. A* McCOY, Washington, La., a toujours à vendre toute espèce de bois de charpente ainsi que de bols feudu, qu'il offre aux plus bas prix du marché. Bureau, Hotel de F Aigle. 13 juillet, 1801. Dr. J.G. RBOOKS. S'ETANT établi aux coteaux de Plaquemlne, of fre respectueusement ses services au public, Opelousas. 28 avriMSCO— -la DICK, LE fameux étalon du Dr. Thompson sè trouvera aux écuries de M. Pierre Comeau pendant cette saisou, jusqu'au mois d'oc tobre prochain. 11 servira les juments américaines à $20 pour lasaisou et les juments créoles à raison de $10. 13 aviil 1861. AVIS. LES soussignés vieuceiit d'ouvrir un établisse ment de tailleur, rue du Maine k l'encoignure de la maison qui fait partie de l'Hôtel de l'Union. Ils sollicitent le bienveillant patronage du public, certains qu'ils sont de satisfaire promptement et les plus modérés ceux qui voudront bieu oiiti.iuce. MON NET i PHILIPPE. Opelousas, 6 avril 1861— tf ^ rrrx-Tx,r <>„» — 7~ —1— Ç^UIMNE.— 300 oncee, il vendre à bon_nisn n aux prix les plus modér.îs ceux quî voudront bien les honorer de leur couS.itice. P. L. UELRAEL 1 ''{'Ji^uncs française impr 4 Hviîlantines en couleur. RS. WILKIN'S, Washington, 1-e. Vient de recevoir de New York et de la Nouvelle OiSsuu gmud et. magntflque assortiment # aîlÂchantise» pour pn.Uempa et et,. Elles consistent et : es et América ines, Brillantines t.. rv ~ . Mousselines Suisses et » I)i> Book et Bishop Lawn, Gants, Mitaines, Bas, Cbaussona, etc.. Marchandises pour les habiUints, Choctaw Mariner i-t Osnabuig • tripe. , Ghickesaw et Keepstone plaids, Pen iuis bleu, B ,, fl .i.iet5-4 Coton de Lowell nui et rayé *' Säää'Ä? Opelousas. 1« avril 1Sλ. Washin gton, Le. /Charrettes, wagons a canes, bijg n (ÎIKS etc^-I e soussigné étant l'agent pour la VTl : Hfoii .t- Po„ manufacturiers, habitants, eharret ut VRRBTTE8. WAGONS * e soussigné e . maison de BuslJ Littel! Wheelin" Va.; peut lonrnir aux halutants, uiane îp, ws"r«s b w.tlc, 't des tenues lea plus rai Munlblei^ & 'habitants sont priés de m envoyer leurs ordres le plus vite possible afin que je puisse î®"™, "nre rci dont Ils ont besoin Washington. leur procurer ce dont i eaux ne deviennent basses. Opelousas, 16 avril 1859. DISSOLUTION. LA société pour la pratique dn droit qui existait ci-ilcvant entre l'IJpn Thomas H. Lewis et e soiiHsItrné a été dissoute le M inai'8 uernicr pal la mort de M. Lewis. Les affiiires de la société seront Uatiidées par le soussigné, Tous ceux, qui ont des réclamations contre la dite société, sont prlés de le» présenter immédiatement pour être paj. es et tous ceux qui doivent li la société, Bout pries de VC M avril 1 "' JAS. M. POR TER. Salle d'escrime. M ALFRED DUCHATKAU a l'honneur d'an . noneer aux Messieurs de cette paroisse qu il vient d'ouvrir une Salle d'Armes, rue du Marne, logement dépendant de 1 hotel Uuion. Il i- epar gnera aucune peine pour donner satisfaction au.\ personnes qui voudront bieu 1 honorer de leur pa 2 mars 1861 T I A vendre. ÜN moulin 4 scie il vapeur de la foicc de vingt chevaux, situé sur la rivière Calcasieu, A en viron S0 milles de son embouchure, avec maison de maitre. forge, etc. Ce moulin est en parfait état. Les conditions seront avantageuses; pour plus ample information, adresser au bnrean de cette feuille. Opelousas, 9 juin I860, fj DANIEL SIlKlitLK, MARCHAND TAILLEUR. A l'honneur d'annoncer k ses amis et^pratiques qu'il vient d'arriver de New Y., avec le plus bel assortiment de marchandises dans son genre d'af faires, qui n'ait jamais été introduit dans notre paroisse. Son assortiment de draps et au tres marehaiHlises pour la confec tion des habillements k la derniè re mode, ne laisse rien à désirer et ne peut être surpassé par au cuu établissement. Il est prêt à tailler et k confec tionner dans le dernier genre américain et français tonte espèce d'habillements d'homme. Il invite ses amis à venir voir son # tock . Opelousas, 19 janv 1861— là TERRE, TERRE, TERRE, A vendre a des termes et condi tions avantageuses aux acqué reurs. qui a vendre les lots suivants à des prOpelousac corderont avec les temps, savoir: La i O. du 4 N. E. ae la section 13, T. 1, No. 0», E., sur le bayou Lagone près de moulin de Bassett ainsi que les 4 et £ section suivantes sur le Bayou Crocodile en cette paroisse. 1^ i N. O. de la section :J1 T. It. "2, B. I* l N. E. du i B. O. de la section :U , T. 2, ft. E. La J N. E. de la section 17, lot 5 de la section 3D, Ouest du Bayou Crocodile T. No 2, II. S. 2 K. Le 4 N. E. de la section 31, ï. 2, il. S. 2 E. Ces terres sont bien boisOes et pour la fertilité ne sont surpassées par aucune dans l'Etat. 8 dec I860— jno J. M. MILSTED. à HABITATION A VENDRE. LE soussigné offre à vendre uu belle habitation sise sur le Bayou Bœuf A dix milles ■ a de Washington. 'Il s'y trouve de bon nés ameliorations telles que maison do jSiSftis® maître, moulin à coton, moulin à gru, etc. Elle contient en tout cinq cent iSSSSIsSio trente et un acres de superlioie, dont cent quarante sont défrichés et bons k cultiver. 11 vendra cette habitation pour la somme de dou ze raille piastres, nn tier payable comptant, et la balance à un, deux, trois et quatre ans de credit. On peut acheter aussi quelques nfcgres avec lTiabi tatiôn, si on le désire. Pour plus amples informa à Belles Montres et Bijouterie de choix. A vendre pour du comptant a bon marché. I 1 H \ RLE3 N. EALER, Horloger et bijoutier, V.' - - .'«'IRniire Main street, Opeiousan. est a présent préparé a porter Unite eon atten- /fîtfl tian a tontes .les branches de sa profesaion. «Siio Ik.jL aussi un assortiment choisi de montre«, bi jöiiterie, et belle coutellerie de poche, qu'il vendra k hon marché. II achètera du vieil or et argent. Opelousas, 3 novembre WtiO—la Sources de Bell Cheney. LE soussigné ayant Tintention de monter nn moulin à scie à cette magnifique retraite d'été, pour la rebâtir en plein, en fera tirer un plan de ville, et offre k vendre des terrains de grandeur suffisante pour y bâtir une maison do demeure et une enisine, pour la somme de deux cent« piastres payable le jour que l'acte de vente sera passé. Il fournira en sus a chaque acquèteur vingt raille pieds de bois pour $300 payables quand il livrera le bois. Les acquéreurs auront libre jouis sance des sources et des maisons de bains; le soussi gné se réservant le droit exclusif de tenir Hotel, Café, etc. Ceux qui achèteront des terrains n'au ront le droit d'y bâtir que dea maisons privées pour demeures seulement. Ceux qui désire profiter de l'offre qui leur ast faite feront bien de faire application immédiate ment, afin de s'asanrer du choix des terrains. I premiers vc-nus serout les premiers servis. 23 fev 1801 LOUIS A PATIN. ARRETE. IL a «Ht- arrête le 10 courant par le soussigné, un mulet américain, couleur alzau, ngè de 4 à 5 ans et qui porte ft peu près la marque suivante sur l epaule gauche. II. Ce mulet n'est pas dompté ni à la selle ni k la tire ou s il 1 est ou l a été, il y a longtemps qu'il n'a pas servi, r V I ä propriétaire est prie de venir prouver sa pro priété et payer les frais. Belle Cheney, 22juiu 1801. A vendre. mARPENS de terre bieu boissée, sise au (.»rand Bois, k environ six milles de la ville des Opelousas. Pour termes et conditions s'adresser k Onezime A. Guidry ou au bureau du Patriote. 24 août JAMES M. PORTER. AVOCAT, -V changer son bureau, et occupe ma il.tenant ce lui du juge C. H. Mouton, encoignure des rues Lan dry et du Marché, presque en face du bureau du Greffi « r - 13 juillet 1861 -1;, Avis. LE capitaine Charles de Courson, architecte et arpenteur, ofTrc ses services concieneleusement aux habitants de St Landry. Tout ordre laissé a 1 hotel de l'Union, rue du Maine, recevra son atten tion immédiate. On l'y trouvera tous les samedis 9 mars ism i lj Miller, nue belle montre en or ayant une chili ne de gaiirne élastique a laquelle est attachée clé d'acier. ! Celui ^oi me rapportera cette montre recevra j rêcompanse libérale. PERDU. i t E 15 courant, dans le bois en face de M Henrv i JL/ Miller, nne belle montre en or avant imp I 22 juin 1801 JOHS H SHEAREîî, A »K F.SSES. _ / George W. Eudspeth, avocat . On le trouvera toujours an bureau de lllon. John E. King. Opelousas, 23 marsl8uL U . .. Edmond D. Estilette, Avocat et Conseiller. Bureau, Rue Bellevue, Opelousas, Le. '21 janvier 1800— la. c a & e! mouton , avocats. E. M outon, Bureau, l'irmi/lionnl/l i c, II. M outon Bureau Opelousas. "" Opelousas, 7janvier ISoO. J ■ ToiÏNK. KINO, A vocat .—A transport U son Offiee il l'encoigiiiire des rues Landry et. Marché, etattenaut A son domicile, presque c il t ace du bureau du Greffier. Opelousas, 7 janvier 1800. rfcVKZIMK A. OUiOB-Y, Notaire cl Kn \J auteur pnbllcdans et pour la Paroisse St. Lan dry. Bureau à la Maison de Cour. Opelousas, ï janvier 1 MO. Inns MACDONALD, Notaire Public, dans et poui la Paroisse St Landry, ofiVe ses services Il ses timis et au public en general. Toute uffiiiie " lui conli'-e scia exécutée dans le pins court délai possible. mur " T OUIS S'L'AÖG, Encanteur Pnhli« flans I i et pour la Paroisse 8t. Landry bureau a ia Ville Plate. , „ Ope'.on a«. VJanvler ^60. J.B KAU CM AMP, Kncanteiir dans" et . pour la Paroisse St. Landry, exécutera avec promptitude tonte affaire qui lui sera cunlié. lin i aux Opelousas. 7 janvier 1800. TOSKPH A. OAUTJiHKAUX, Collecteur | fj offre ses services au public comme tel Tout ordre laissé il sou bureau, ou elles A. Mills paugh, A Washington, sera promptement oxeenté. Opelousas, 13 oct 18130. JUS El" 11 A. G A UT H B K AUX, Kncan teur Public dans et pour la Paroisse 8t. Lan dry tout ordre laissé îi sou bureau ou chez A Mills paugh, à Washington; -era promptement exécuté. Opelousas, 7 janvier lrt«0. ALPHONSE DKBAH i LOX , Encanteur Public dans et pour la Paroisse fit. Landry. Tout ordre laissé cher, lui ou Au bureau de T. S Robin sera promptement cxecuté. Opelousas, ï juavier ISGO. A F. ESTILETTE, CEI EU B PUBLIC. OFFRE ses services comme tel aux eneantenrs et administrateurs de cette paroisse et des pa roisses iivoisiuuutes. On le trouvera to. jours au firand Coteau. Tout-wdre laissé au bureau d'Kd raond D. fcVtillette aux Opelousas recevra son ut tent on immédiate. Prix très raisonnable. Ope|..n»,M. M fev IBiH—ly X>K SAMSON EAGON, DERNIEREMENT 1)E LA VIIUil.VlE, Avant pratiqué la médecine depuis 183(1, gra dué del'l'niversité de la Virginie et de l'Eco le de Médecine de la Nelle-Orléans, s'étant inPn tenant fixé il Homesville. Le., r.fTre respectueuse ment ses services aux pewonne» de ce village et de ses environs. '23 mars 1861— dm Hotel de l'Aigle. Vis à-Lis le Courtablean, entre Us deux port, pour lea bateaux, Washington , Lne. I' S soussigné ayant tout récemment acheté et J mis A neuf l'hôtel ci-dessn», prend la liberté d'anuoncer * ses amis et au public en général qu'il est maintenant prêt à recevoir tics pensionnaires il h. journée, à la semaine et an moi« A des prix très modérés, J. S. GllEENLEE, propriétaire. N.B. Le local de cette maison est très avanta geux pour ceux qui ont à voyager dans la malle poste ou sur les bateaux A vapeur, lis n'auront pas A changer leur bagage de lien. Washington. 3 mars IMiO — jno. — Dr WM A, ROBERTSON S'ETANT établi d'une manière permanente ft Washington, offre ses services à tous ceux qui voudront l'honorer de leur patronage, Bureau, rue du Maine, vis-à-vis la pharmacie de M M. Lonniilev & Bouchez. 14 avril 1860— la ÎÂrFÏMBËRG & Co. Marchands en Eros et en delaîl. MARCH ANDISEK SEOUL-. HABILLEMENTS FAITS. ' QUINCAll.LElîte, VKI13ERIE, fence, chaossnre.*, chapeaux, ca-ijuettes, etc. Opelousas, 111 mars IBtil — ly J. M. WHITE, Charpentier. OFFRE hcs services aux citoyens dee Opelousas et. des environs. Ses entrepi i*es seront rapi dement poursuivies, «on ouvrage sera parfait et ses prix modérés. Il sait très bien monter les monfins h coton et toute espèce de presses patentées. Tout ordre laissé à ce bnrean recevra son attention immédiate. Opelousas, 10 jan 1801— 6m Atelier de marbrier anx Ope lonsas. ISIDORK GRAOUiLLA, F ils Pit O P U IST A I UK Tout ordre aéra exéenté dans le plus bref délai Les prix sout modérés. 8 dec 1800— la OUA r RAGES EN MARBRE DE LA N LLE.- ÏBERIE. DES Plans, Spécifications et dessins, seront non mis par un agent voyageur chez tous ceux qui désirent des informations ou faire des achats, S'adresser .1 CASPER LUKSE, 2« avril 1860— la Nouvelle Ibérie. nn de et il ast HENRY L'HOTEL, MARBRIER, vient d'établir k St. Martinville, un atelier de monuments funèbres en tous genres, fait le» inscriptions et se charge aussi des fournitures de grilles pour tombeaux» Se référer k Jonathan Harris. Opelousas. 18 août I860.— la un 5 sur la qu'il H. LASTMPES & Co. Emplacement T. C. Anderson If Co., Wash ington. VIENNENT de recevoir un grand assortiment de grocerie ftaiehe, telle que: Farine, Riz, Café, Thé, Epicéa, Bœuf salé. Jambon, Porc, Epau les, Graisse, Fromages, Chandel les, savon, vins et boissons de toutes sortes, bière, cigarre8 et tabac à fumer et à chiquer des meilleu res marques, ainsi qu'un assortiment soigneuse ment choisi de grocerie fine, conserves alimentaires le tout comprenant des variétés trop long k ênu raérer; qu'ils vendront à aussi bas prix que posai* blo pour du compt&ut. On pourra également se proenrer de la dant toute la saisü ington 18 mai 1801. AVIS—PRIX REDUITS. LE soussigné A partir de ce jour v ndra son bois sur place à son moulin à scie situé sur le ba you Bourbeux aux prix réduits cnmm ■ suit: Pour Copal et Laurier 1 j cts le pied comptant ou 2£ cts le pied A ci edit. Pour ChSne blanc 3 et« le pied comptant et 34 cts le pied h crédit. Pour Noyer et l'rêne 21 cts le pied comptant et 3 cts à crédit, Il fera toujours une déduction raisonnable pour de forts "bills." S. V. RICHARD, 8 juin lStil—tf Agent. A vendre DEUX beaux Diables avec écrou, parfaitement neufs. Pour prix s'adresser au bureau du Pa triote ou à l'un des soussignés. ONEZIME A. GUIDRY, 30 mars iöl — tf ALBERT DEJEAN. Peintre et tapissier. LE sonssigné, fixé d'une rtîanitre permanente à Washington, offre ses services à ses amis et au public en général. Il exécutera promptement et d'une manière à donner satisfaction, toute ou« vraj?e qui fait partie de ses métiers. S'adresser à lui même à domicile ou aux MM. Louuillier & Co. à Washington. Ses prix sont raisonnable«. 13 avril — 6m HECTOR LAUNEY. I AT EST LYE OR SAPONIFIER, for sale by P. L. HEBliAKj). i S t. La a il ry— Actio a in ^ A ""i"' v " Oeroudsur enconan QlJEtout le • ' .se«* •• Defeudenr "'de se tienne nrmiMrl »'« Arnims, dpiii " î-oulditui P?»ri» ÏTUwSt'f ï 1 '"'! 11 " 0 A «dm»' g"«*lr.' ' „, f^ i» i ^tuna 1 '""V 1 > i» moi souääjgn«: , tli dite paroisse «a w-Utioii «r, u,nZu le y2mp jour de Juin a! I' ^ ^ oies ont Ville de Washington en laï.3»."® W ™ dits chevaux ont été pcriîus ou Elî^' '1* quel,pi un n lui enconnn. """Moamijs „ ,. , ciiconnù. ~ '" ^»doamies Il declare en out chevaux pour les ho ins qu'il lour ♦ for «uns qu'il leur n poftés H maude pour un writ ,|e s a i F l e „ SsUfe Avis, donc, est par les présente« An' lÊ" 'iuâ moins cîueTpïï^Pêlic ! , . T1< ; v ?*;nn#»nt äeuiiet ln d» j ® ^ pîo la petition du dit Theodor A^i.1 5 Pr T' r "*» uceoide par ui loi. Ich iuiihums luaioiii!.^ - st-ront prises pour ol^mrun Äffkli chevaux wua un w,a dVxee'iSÏÏTÎ?? c " (s fc gale, «eront vcodus i ur k- Shrrifr.ï i I Une Habitation a Ven^-e L'habitation bien«,,,' . d " ^PiiRine K. Kj __ stjBsur la rive 01,« j, n. you 1 cdie. n envi -on cinq niillpg e i ,w . ville des Opeloneauet troi B milles du Ct p " re, contenant plus de deux mille awû. des améliorai ions des plus excellent« ™ i„ ' rotsse entre soixante dix et qualr^J" '' gr f3 ,1 rois cents acres de récolte de mai,«! et coton; bêles à cornes duii"e< h f ..„r. j vaches » lui., mulets, dZÄ" 1 de voiture et voi' ures, moulons, cochr.ns ch? vres, churetles, ;liarrue.j et tout fenè» V ' | habitation il ferait, bien da venir l'examiner a et il ft A vendre en sulido avec tin «hMc cm» tant; la bulance il un laug credit eUïea ii èt modere. 31 août, 1861. E ' LiTIELt " Pensionnat de Demoiselles aus Opeloutsas. IA rentrée de cette Pension aura lieu mardi i» J octobre prochain, sous la direction dufifvT F. White et de sa dame, Cet établissenent ayant été iocorpf.r« r^r \?w est maintenant en même de donner"o&Mfart» achevée aux demoiselles. Elles pr-:i r...» ' Äu iy ? perfectiönntr dj^Us les art« d'agréoieut. PROFESSEURS; Le Bev. B. P. W bite, prudent, o?t ckH fad partement collégial. Mme S M White, mtvtronfie, est ehargi tement académique. Melle Josephine V Wvnn, est chargée du tin tement primaire. M. E D Estillette, est chargé français. M. Bodemnller, est cbarp;é du département ai ) cal. Pour le terme de quarante semait«: Anglais I)ep. coll^jfia' ï>ar semaine îl 25 î w ûcadt'miq ie " i oo \ " " primaire " ï;» Français " collégial 14 75 14 " primaire " âO. ... Musique " collégial " 1 îi ' M primaire " l no. .. . j Usage d'înatrumeuts de musique 2A A rts d'agréments aux prix ordinaire?. Pension par semaine .$2 3Q.....J Blanchissage 75 cts par «lotizaine. lies comptes devront être payés tens les tnir, très en avance. Les "Cotton Confederate H-tad seront re<,*us en paiement 25 août 1801— la B. P. WHiTC. 7 EDUCATION. Ecviture, Tenue, des Livres, Ma thématiques. Grammaire ia glaise, Dessin, etc., ]lf K KATING, Professeur au CoWare dn fi» i.fX» Coteau, pourra denwr sMfnivs à ,|Vfc' tion de cinq 00 six ëîfTes', pewknt ic.*; và«a» prochaines, qui commenceront le 20 de «:e mte. On peut pi entire des iiifornuiti'Jiis dir?, k j - seur, Grund Coteau. ' 10 août ! Avis. IE soussigné Jk 1 'étant fixé aux Opelmtws w I jk à faire toute espa ce d!ouvrage f^i fait ,- it métier comme peintre, 8è« prix sont \v • Il eapère mériter rencoin'flgement public- 'f« 1 ordre lai° J é A la phanHftde ue 51." P. Hebmwfo vra une attention immédiate. JACOB CUM 11IXG8, Pcnui» Opelonsas, 12 jan 18 >1 . PEIIRA ULT : , Agent général pour Collectif, Balm- ht - OFFRE respectueusement ses serVjè* («» tovenä de la parolssèSt. Ltindrj »t de IM p^uéral dans sa cnpacité susdite. To«« »PP tion pour faire entrer des terres ■ m»'"' 1 #'®: choix de terre , warrante, collections it r contre l'Etat, rédemption de terres «S»«"" 1 * fisquées par l'Etat pour non psiemer.t Jt w tonte autre aff? re. rc-evroutnne *rt«Btios j?rt»F te et toute parti» ni i ère. Opelousas, 16 juillet 18/50. k Habillements confectionnes, T ES habillements d'homme les inieus e™'«^ I j nés, de la meilleure qualité. mode qu'on ait jamais offert en ce v vent cfiei M. Daniel Sheublé, i rues Maine et Sud. Ses prix sont tri? rat««» Opelousas, 2G jan 1801 —- jno . v i îflil 6 HABITATIONS et de» rtflliffl terre, k vendre par . JAHK • Opelousas, 23 mats 1 861-*-" 7Ä VENPRE, J,»««!' wa «M Ä» l»'# 378" 54 [lQf) arpents de boieée. UN beau morceau de torrt b®«. cette Paroisse, à dlx m iH « 0m« ^ des Opelousas, au Bois Kall«, u à q„ T. S. e, de la B. S. 2,. Est, du Dhtnrt dos terres de la Louisiane. . ,. M . r t Conditions av antageuses. B j. m T m ILSIE ? P. B. On en peut voir 1« plw äaäritil bureau de cette feuille. Opelousas 18 août Opelousas 18 août Avis* to „s wars û'ipl agences. Ceux qui .rultit . y . rlî ', „ ront bien de venïr me W W* ** fa i, ou de m'adresser leur» lettres * m™ te A Washington, Le. i. tir Jjbm 8*y Pendant mon absence f le Dr J«P sou attention k tonte appn™*J „imixi««! « Je prie ceux qui voudrai»» t w conflaneede me rendre 00 des propriétés, qu ils désire j0$} î. Hit"" Opelonsas, 23 mar« 1861-1» Voles ou DE l'habitation du »"fîfftïïntel».''" 5 . y a cinq mois dcci.ladc n * t piïa tiil( l'antre blanc, talllo^inalrt- ÄW soient sur le Bayou R ""f Celui qui me les ramè^^ SfeSJAKl" ' i " i Opelo. L Ha S ,i2janlK6U3 Lwasns»*-" - " taire crédit sux oBents- sb0B gE W 9 mars I8G1 ,~Z pilÎME assortiment 8 siwr!im en 'f , et Mèdecinesainsi ^ [raleJ „Säe médecine 23 avri l 1859. '»"Ivs'-t ' |- E DR- •> oHN R uaTlet ü ^ "l® L> 3ur b°^£/Ç ,se - ' Sept. M, 18«!-^ \n\n Théodore Auilrus vs. Defendant Unknown. State of Louisiana, Parish of St Landry. Action in Rem. KNOW ye »II men by these presents, that 'I heodWe Atidrus a resident of the parish of St. Landry, State of Louiaiaua has addressed to in», a. Miltspanfrh a Justice of the Peace iti &«*d for the aforesaid parish, a petition, wherein he sets forth that on the 22d day of June last A. D, 1861, a pair of Creole ponies were left at his livery stable in the town of Washington in said parish; moreover, that the said horses have been lost or Abandoned by ini&One unknown to Mm. Petitioner further states that he has a priv ilege ou said liwses for the keeping of them and their maintenance and that he bas sue;', ont writ of provisional seiiure. Now let all men take notice that nnless the owner or owners come forward and Gle an answer to the petition of the said Theodore Andrua, within the time specified by law, the measures indicated by law will be taken to ab tain a judgment and said horses, under a writ of execution, after the legal advertisement will be sold at Sheriff's sale to thè last and highest bidder to satisfy the claims of the said Theo dore Andrus and to pay the costs of the suit. Thug done and signed at Washington this 6 th day of September A, 1) 1861. A, MILUSPAtJGH, Justice of the Peace. September 7th, 1861. P« et à >. Opelousas Female College. mHIS Institution of learning, will open its next X term on Tuesday, October 1st prox., under the direct supervision of Rev. B. P. White and Lady. This achbol having been duly chartered by the State, 1» competent to graduate young Ladies in any and in all branches of a solid and ornamental education. fALCUTY. Bev.B. P.White, Prest. . . and in charge of Collegiate Department. Mra.S.M. White, Matron, , „ and in charge of Academic Department Itiss. Josephine V.Wynn, . in charge of Primary Department. E.D.Estllette.Esq. in charge of French Department. H, Bodemuller, in charge of Music Department for term of forty weeks. English Collegiate per week, 11,25, $50 00 " Academic " " 1,00, " Primary " " 75, French Collegiate " " 75, " Primary " " 50, Music Collegiate " " 1,25, " Primary " " 1,00, Use of Instrument " " 25, Ornamental Branches at usual prices. Koard per week $2,50, rashing. 75 cts. per dosen. All tuition due quarterly, and will he taken In home products—Pariah or Confederate Bonds. B. f. white. Opelwaaa, August 24th, 1881.—ly. la 40 00 30 00 SO 00 20 00 . 50 00 40 00 10 00 100 00 NEW STORE. . THE undersigned having formed a copartnership for the purpose of carrying on the Com murcial business under thè firm of Ney A DU««, take pleasure in announcing to their friends Md to the public iu general, that them has lust arrived from NewYodr, with . ... of • one Mr' a complete as* DRT GOODS, ^ HARDWARE, SHOES, BOOTS, etc., GROCERIES, L iquors, BRANDIES, etc., CROCKERY WARE, FANCY ARTICLES, 111 a word. «11 that onght to he found In a coun While desirous to avoid anything lite " s undersigned, nevertheless, will not ay that they can sell their goods ■ as low as they can be had In NewOrleans. at retail, probably at a lower price than they have been sold here heretofore. try store. Whi quackery, the t hesitate to say The undersigned being hlly convinced that the cash system Is the surest and the best, as veil for the buyer as for the merchant, hope that those who are desirous to encoifrage them, will not maki It necessary for them to repeat over and again, that owing to their low prices, will do business on the ° Theyïeoïpy'tîc store kept formerly by P. Je V Boy, oa Main street, Opelousas. B« NET, EDMOND DUPRE. Opelousas, March IT, I860.—ly. Important Notice. JJ1HE Undersigned Druggists, have determined IE. unuer.igiiru */ruKKi.w, mi *< uwu.«« th at in future they will restrict their sales as nea rly aa possible to cash. For punctual customers, accounts will be opened whlcn, however, they, reserve the privilege of ol#. sing at the end of every month. It is their wish to solicit, custom and patronage, so fkr as la strictly conformable to huslness pnnci pies and to a mutuality of Interests totween pur. chasers and seller. ( nd no further. w They also avail themselves of the occasion to Invite all who n re ' nlebted to them to make imme dfate nayment, or, at least to come »r-j settle 1» out delay. JOETR VOrfBYf P. LEONCE HSBBAD ssm. J-i»riv J. A. McMILL Opelousas, Marc h 9th, 1851,— 6m. A. LOU A ILLIER t CO. «ILL®I. the» Springs before then, the proprietor will Mcommodate them as well as possible. % PATIN. Jone 15th ,861.— 7t. larly open for the reception of vistt itora on the 1st of Jrfvnesfc should eome he desirons to visit Fine Watchœi & Jewelry. CHEAP FOR CASH. He has «lao on hand a select stock of Watches, Jewelry and Une nooket Cutlery, all of whioh is cMnd cheap for cash. Old Gold and Silver bought. November 9, I860.—ly. CHA8. N. BALER; Watchmaker and Jeweller, «orner of vain and Landry streets, ». Opelousas, la now prepared to direct his HQ Mrmaal attention to all branohes of his oi» Education. Penmanship, Bookketping, English Grammar, Mathematics. Drawing, Ire. M KEATING, Professor at, Grand Coteau Col . lege, is prepared to give attention to the ed ucation of five or six young gentlemen, durihg the approaching vacation, commencing on the Inst. Apply at his residence in Grand Coteau. August 10th, 1861. For sale. Oi)A ACBES of land situated In the Parish of OZV/ fit. Ijindry, and fronting the Atchafala ya river on the West bank, four and a half miles about Capitals Lyons', with a good dwelling house and kitchen. Fify acres ot this land are cleared and one acre Is fenced in for a garden. Terms and conditions easy, apply to J. M. MILBTED. Opelousas, december 15th, 1860—tf Fencing Room. Hfl ALVBED DUCHATEAU has the honor to jyiii - las a et has opened a Fencing Boom on Main street in a room adjoining the Union Hotel. No paias will he left untried, that he may give entire satlsfectio: to all who will honor him with their patronage. Opelousas, March 2 1861—tf. KOTIGE TO THE PUBLIC. mHS public Is hereby informed that the na X signed la determined to rid himself of hit Stock at Summer Goods, and « ill sell the s oost priées. In order to make room. Persona wishing cheap bargains for cadi i wall to call^and_we before purchasl Hay 1%, 1860. tf Ce tel et Notice. Is desirous to purchase a small which might contain from seventy Bve to arpents and a small portion of which would I m woodland. The farm must not he over three miles from Opelousas. For further information apply at the Patriot' Office. March 16th, 1861—tf. James M. Porter, »-rrntjMEY AT LAW. AS remove * "rotn " *><■'— Thomas H. Lewis & Porter to the office of. U. Mouton, corner of I*andry and Market Istn eta, nearly opposite the Clerk 's office, O bs U i U sss , July IStb, 1801— ly. ' r