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PIUbNKt 1'*IlYS Pa* PASif81 fiiJvdiu sr au" &i m a- «*, SflrS^ PEUILLBTON. MMUN VlIMN A 1il ecàore des fées ?-Jean. Paul-Frédérie Riokter dit que a. eir sylphea Mt morts de froid l'approche du Réalisme; c'est tenri sei qi l'a écrit.-Mas ce 14e1 du Rbin.-Che nu atres, Gal. lo-Romins, damn l'itérieur des terres, au bords des leures druidique, les to, le sylphes, les gwos aet le gé nia vivent toujours, noa moeias jiee qu'aa temps d'Honoré d'Urfé et de Claude Perrault Ce sotre soir qe la neige étendait "on tunteau dJhermuine sur le chemins, je limis. su coin du feu, une page ré cente de George Sand. Lillustre fem. me bredait del variations ur la mytho. lo.Io poplaire du Berri. Dans ce g<u ell dassit, il était question de toute les oe es rustique qui poétiael la vie. d'illers si terne, de Ia proince. il faut que vou le shie, l'ateur de la Mdlw au Dible voit de appari. tions partout. Quand elle M promi e dua la vale Noire, le oodimes a'é voillnt, les péris de l'Est e dressent tuut à coup sur la mare des étaan ou le loon de prairie. y en a qaui cau meat, il y e a qui Chaentt, ily en a qui provoquet pasrant per un rire moqueur. Si vous rpodes ce rire, ves 4te mort. I Je is bien qu'a deeadest au food des 4me, o o troare tout cela du der nier abmrde. M. Dabiet (de l'Insti tut). qui est un bomuie grave, s'écrie: " &i'u dme! o'est de la supertition"' MI. P.J. Pruudhon, qui est un autre bheaie sérieux, vou di: " Ne faite pas atenti9 : e'est Jd la nymphéoma. nie. " le S t raison ia point de vue dle I'e\iaersie réelle, de n*ae qu'ua prtre qui rmse en tait que Jutr et I,' p iaip *me ai ane t pa. i& 6rn, oe Uaos imaginaire d'es~pr et JI latins - ,t -t il iera longtemps eeore, ea dé6 U de dsbrsu de la phikeei is experi. iimntie. Dea m nu de lpela., qui t le Ilnéme Blerri que je ous iommai taout l'heure, .iuq eOt il~4S pour le meoaltiem et 1 em =l M iae ua bhritae de faeiil. Itiena asurit préarsow oeotre Jlaroe d 'iar tie de eos ledes«. Mol qui sis vr o Wai". juq*la moe- lle da oi, je Ie g ouorm ravoir plus d'am t la jmou gros j» es 7, "n emibuUfl egopoé Aie euia. il y à une vinddm»eiOau viée, Inique usai mous ui.ze..a «mir de wull6g5u m mn mtie s d"" à cdoq Os " à itmonnrw les .q.shwib .irJ; mI.q..dmuaa qJhI atm huis màu~q si àh"i hmqs mud' - g oublillo de j iirsht, h aa-- 4Wq.-lwle Àmà twI $Mesis usrmi 6~~- hru éi., I. auea w & -,10mu". iUk semu h -idelawr bM ohm" de a_ Il « MMFII, « lm.u )i b VOWUI de Juianll, j'ai 4 I6im d. Ciit qui n'a pue - -~me. b - Cela dm & de lgebb m.-j ow ébM__M 0006e_4 ome adea, -a'"*lbomp.joe baftb boume -n tiM aose. dbmer,,eeu qlee& ~ 6 dueq VonemmIe ,asZpflo~sIio mmd deui leu. et.eu.d tri VOIOere uf.mhr emuhe du~ a .=iy, 1ib~~wi tamosuzer n l'a -suetms de mit. M prou""iU bole *kua4l M lee. « u ~JSm~ISe.Q.od hr'dl Jmmi5i t(rl, >ao- Mri I *e pua9C ii h.~ SMo. ` le sLmha dou fleur osN LE m!CHAtCEDl JOURNAL OFFICIEL DE AINTANATTE SJOURNAL OFFICIEL DE SAINT-JEAN-BAPTISTE. S ï - P. I I I - u I l ' I n -ï <-i. '-L . . en déclamant! Souvent, eu août, il aseyaait dans lo blé , comme un ber r de Matomun ; la griste était à deux ps jouant ave des nielle ou sos pendant de m doigts roes des vers lui. ants comme des fallote A la haie du chemin , elle chantait des ehansauo du jour, et lomain l'accompagnait asr s petite flOte. Il affectionnaient surtout, je me le rappelle, la romance de Cha teaubriand ; Te *ovuieu4u d- lae tra ille gm enteerrui s ty» - vu w t il oSerat le rsu MoUie Et dei a l eechalt ser roea 81 bau ! Dans le jour, i est vrai, Romain as modulait pM de romanme; d'ailleurs, Chateaubriand n'e faimit plus; il pU bliait des brochure contre Louie-Phi lippe, que Romai lisait, comme tout le moode il lisait tout ce qui venait d" Paris , pr epe. eete magnitqu apoatrophe de pote dont Victor Hugo ponuruiitla Bande Noire. COtt.B id Noire, tout etière com poée de oairem, de petits banquir et de os paysans, faiait cette épo que l'oOce des corbeaux apras la b. taille. Depois le 9 thermidor juqu' Mnjoun, on l'avait ve se jeter ur l cadavre e la propriété féodale et le déchiqueter i prad eoupe de bec Paul-Lotis Courer a ptend que o'é tait bieuait, à ca de p tu agri colu; Rorain, qi aimait beaaoep la verv frondeuse do igneron de Vérets, n'entendait pourtant point la ebhoe de la mémim. nuire. Pour lui, la que tion d'art domimas tout. On installait dea machines à tier dans de vieilles abbayes; on eaimit des ogive i coups de marteau, d d'avoir de la pierre; ou rasait des hlteamux Uhi. ri poer le remplacer par une fourmillère de bourgwis. Un tel état de cbomosben. sait s*u prédilection de romanoaig ; le Graeque se taisait alrs pour lasi r la parole au Jeune France, ami du Cêona cle. Voilà 4u'ua jour on aaumoa qu'un ch.aiau d'oringin epqtsm va Mre vendu auo eacbhre; cétait à trois lieue d la petite v lle. RBmala ma. nifeta une grande tristems. n raise des terres et des Armes qui fbraient soa an.exe, le ebtema ne pouvai pas are veudu moiU n d tmouse m mil frmams-Or la smme émi too forte, *eus pour un ricu ad d pr.iee. -Je ne .s pas a rohe pour me rendre acquéreur de la tur, s dit Bo. mai et 'et dommlag. omme ma isette aurde bi*f eu rair d'ue du. c se d'autrefoi lonqu'ee aurait mis à use fethdt, tl d'es t'a lierre d'.I mat Ie Valeis, a petis tee éscil4e, Pareille à M pomme d'ai ! Legraln d daiues du temps jad avaaiet des coleurs pathraDlle ur las jomea, j'«a ri"s âr; e'; par me eageruaoi dae timeaMl byronise qm rEcole somu elle aime l pleaur. Mais 'importe : madame as yotemr pa i a tour. s'ea w., "wr. Teuseai'arni aM .. lqua Sbribe la Bu Nwir)$r je le mi la .., I jour de k laivet, Moye "ui ff I..oa p.$. oqmib .in le âRizih des <Mo t'a «l noma" a. eoti leakg& m6ubh a meublnmt. (Ni mi v.rdispvusol Agam Sool os ldvio.ee etam iPt àhar VL, la roi d. Borpa. à reoSqju4 am UpI> iy av&Wtmesà diu "Md. ismeàe erah .wu de la b v M rw,; ma" o'était hIdsWmtmi., mm dom bàt"ub pdàtirm kltwà4~ w»wbu. il 'yi jdCIbil mure dm'a et crà,pI , 14 demie @mu 48 kt 4M Tb.~i lm ude lus4h.iiio.ib ha lees êdhlà~ vent db FIl tub MW h 4 q posit. mi & aoiqpgSpr9 doUt deb h~ .i duttsm u- tro di jtê But~" à ow QaMi &u .k.?"mt kg à mm bo£mp.u.dm. uouwn eu du liMnguIe.sI vilhaÀule. -J, miqus uvhh. vkni~ zmaI I ow mme moprenat e D'y ornait ca S de". On treport A la ville, daasa ai nobie de rêveur, la totalité de lot; R&: main pah huit jours A rangr ses wou veaux vieux meubles comme uI ri cheses d'un musée. -Sans moi, murma rait.il, es sM batés de la Bande Noire aursies fait de belles choses! Je suis sûr qu'ils es aent ou peu s'en faut, taillé des to. choas d'auber dns la tapissrie de l tendre Agnè orel. Pn : .e5 St, .'.i.~ la.xia @'£* sayer oon lom. 11 sxa les oeatrells ag l'..iare et joua. Quelque choqe comme un nuage pa a sur se yeux et le obscurcit une mi o.te ; s main droite tremblait, la smeur perlait sor son froot. Romain n erut sur le point de dere nir fou. C'était A peu pres js : il était inspir. -Comment diable cela se fait-il ? se demandait le jeune omme tupéfait. Pas plus tard qu'hier, je savais à pein raler ue ritourells; aujourd'hui, je joue omme un des aag qui s* grou pot autour de sainte Cécile. Il jouait, ea ffet, dirienenat. -A mme denrir voyag à Paris, re -reai-il, j'ai ens~a l Ni.lo Paga.mi, sur les planches de l'Opéra; Paganini ne ma viendrait qu'A la oheville. I joua emeoe une fois. De tous ests. le voisins ouoriret les femaies all de l'entendre. -Ah çA! li dit s grisette, est-e n- tu a repandu 1 ~MA de ta petite M- das ton violo ? -Je ne mis pa d'où ça vient, r pondit ormain, mais me voilà artist juqu'au bout de doigts il n'y a p de resigeol, danas l peuplier dI Cbe-, aui ait dans le gMoer tout ee qu'il y dtas ce violon. Il erait rire. et i diais vrai. Co violon magique, oet itnmsmeat emreelé, fut blntt son unique pré. occupation. Les eoeerts qu'il wu donDaitearmaimt tet le mods. IDn la peite vilk dt i t MeMestio, , Sle point le plus eem l et le milieu l te la Frune, legouveraement ï avait eMvoyé. par mwoue de sI reté publique, un double dépit de ré fgiéd puoloai drw e w in~srg eps gesi gà a mai-e fel reMI ser Fe dinand Vil 1 Ta suite des g.émrau Valdes, Vio et Min. Tous ee boi. mes éd*i a -u ravissement. Test 4 ep, mu rime ai raU co..re m dr, arna eema de n-o voir. L eL' . .iaa . i use postée e S il de l vis, ru miaomneuente souré d'arbrt. M s'y eodia et pa to aon tepi Jer pplu d'airs, de thèm = de ik qu'il D'y eM a jamis es îda l te a i ftmded Beethoven LI grisMte, que ertte exutece claub trak Uie omn it, trorvat un maein la poortem te. pri Me vel et diua. r arve ma élégut de pes , qui l'e ellet Mex eaux de V iV y. -Ne prruche rat partie, him d rasr! disait Be in. iDes - s- eunaer et dirm-. rms eu* sr um etan . De mélaoo lique quil avait -é, il - réreila un m" plus gal qe ) pigoa de .-i ldevril. Bomie deam wn bal I toute la je= I..me pays; id a M sial le faai de iiminaire, de 6abaklmisser ' et de -uuier; il joua seul. Il s'y tnra deuz -ents danseos, qi damêreit eoonme ku t ... £hh, s. O~d n.litljm. à b N'ain, à ré pe~muie~ a» vi'a& lm - Me là !. de bm DieiL la Ir Bdsdu mm - lui damâs &a' ,4mih-eu,, il my a ps de 1qr.A t~ ar~ rtc.e gli mep. res bici' ir dE, ~i ruse. asou i mmii vid,'.ue*ýMdffi qe leh ds. je e&X'umezds - u,.fr.pl., J1.ris v ioles: co" b... , ru qsk Jl. be 4ii. p "amuq, =m'tusIgse&a e. c'Ca bise; z sowm am 1podtre tim; eê vallU dser da iu6m; wnd t , l, il - oruh irr, cri. j'M au u mwm o*ai d -CW bm talM MM b· de iftw;; lui,. &'em égl, il oc. mtiem , Ce n'était que trop mrai. Au bout d'un a, il était foroé de vendre un do maine que deux beufs avaient de la peine a parcourir en un jour. Pour se consoler, il donna une fête énorme pour le pays; un tiers de la ille y était et se soûla de vin, de m. sique, de chansons et de propos mu renus. Le lendemain, au petit jr, visite de .'ioale. -Te voilà bien avancé maintenant, r-u.if~sw , lui dit-i S-E! aucun doute, ber looek, répondit emain : je viens d'ajouter une M-ge au doux livre de ma jeuneme. Un r, quaud je erai goutteux, sumen-' par 1'ge, tuuwant dans les cendres et rachant eu détail ion auie du matir ou sair, je repaserai oe souvenir com Sles autres épisodes de mon histoire. Ce ra du soleil pour mes vieux ansa -Tee vieux au, mon pauvre garçon! quand ils sonneront, tu porteras la b mce. -Tant mieux, cher oncle ; la besa est, à tout prendre, une chose poétique. Je sais trois grand hommes qui l'ont prtée, ans compter lu autres : Homè re, Eape et 1 illon, un aveugle, un bosu et un voleur. Qul beau réqui. toile faire, si voua e avies le temps t si j'en avai* la patience ! L'noole se retira en disant : -C'est un garço perdu ' Efetivement les paroles de Romain étaient de jolies phrases peut-être, mais crtainement de mauvaiseraisons. Noua avonsu o mndo l'enttement dans ! déordre; mais le pauvre musieien était incorrigible. Courir d'un bout du dé - tement à l'antre, son violon sous le br;faire daser les joli les sous = rmue ; aeoompager les chansons boire, il n'avait plus de goût que pour ela. Toutes les fois qu'on rencontrait, Slong des elairière, un village e lise, gar~en et file, ou pouvait P rer ecop asr qu'il était en tête de la bnde. Ce qu'il y avait de particulier da- l'alaire, c'et que, ootraireme.n à I'ge. le daau nrs an payaient M i le ménétrier; c'était toujours se rphée rabelaiien qui pyit et atts blai leu daneurn. Il lui restait une petite métairie à trois charrues: il la vendit. 1 vendit a vigne. Il vendit ejar dia. Il vendit m argenterie. Il vnooi - livres,-les livres du Cénacle. Il vendit la tapiserie d'Anéè Sorel. -Je garderai mon violon, toujours! -Dis donc que too violo t gare ra, malheureu ! lui Udisit oncle. Il fallut quitter la maisonnette en tourée d'arbres, et se hire un nid dam unc chambre garie. Quand Roaim peasai dams le rume, cenr qu'il avait invité" es fetes tuurunrent les yeux. D'autres disaient: ' Quel malheur qu'il soit tougwé C'é us b o enfant a; mai etoe pe de vioom ai a tet pri! " Le moment arriva eà il 'eut pl= - monar u de pa I smeiette me la &W. Rendum »u oas km- de Viole. eauest,-vg ro.h lae 4 . - (Il i es aat troiS làisasime). nomi. nqaas&m près la misné -m vieille iumerable, l4,... deu érentés, comum dit un poète purme Mieux que Sonobole etaun lui fire de diàeors la Minè riW ik emapr.dre qu'il avait e« Srt. -Mas je te tiens, dit-lle. -Ah! ce 'est pu Mr, repartit Re. mas u dtaiW au fm&d mr homme q jour, m décembre Il étit reutré lui pour dépoer. es fustaid.il àvaâ mimé trois ss dama mma àr. -.O'ea bon. Je. hl mm ehlttc, fl4mm.L4.uau pde beurr i' ms *M.i.Ii.ak p'u m moaude bois damsI blée . OaPrendre ` ~ON.h pulotri S*jou~,lmorW Pdbéu.me.bre Os 1,4 jPêmý" "Mabomb! On rc Volt rait oip-II dn àtPt la . -4à w d·qiaïea Î& ïg Lâ,do ils a u i et bsn..ulmrqo 1, mr.W- ~ I~ lmmsuuci.yuklftue Mrs. Juidro qO~UL h1 wée del'Ik. ijumefr ai la Utm de. <asile. I ce mamehe brU h e0. MW .u m it enedre; c'était hles " . s'en Borais menu.im..ebslês*'éord demim; m de & -mp . met dr. A )aduroik ' e bos`-, api. av*ir rupl - a brétt de fer Mru as dette defaems: . -Allons, je k" guri, seiaw.u. .Mimât., mu divorçon' Il l venir mou ondle. -Je ne suis plus violoniste, lui dit il. Faites maintenant des synecdoquci tant que vous voudrez. L'oncle pleura de joie et lui ouvrit ses brna -Je te prête cent louni à .ix pour cent, pree que e'eut toi, lui répondit-il. -Chler trésor d'oncle ! J'ai inei.é, en commençant. mir ce point que l'histoire st réelle ; j'insist encore.-Sauf le num du héro., tout est rai. Romain était toujours jeune, toujours beau. toujours homme distingu ; il de vin entreprenant. fit de l'indistmie. Il y fut heureux. 11 a épousé, il y a 12 ans, la fille d'un maltre de firge< qui lui a donoé une grome dor. 11 eq au jourd'hui millionunire, claique de l'é cole du bon sena (ce qui est une fai blesse). conervateur un peu exagéré et ennemi de la musique. Quand un lui parle du passé, il ré pond : -Mon omelette a été pour moi l'eau merveilleuse qui dte l'esprit, la u'é moire et le mens poétique. Quant à moi, je ne veux tirer do fait aucune conlusion ; j'ai raconté : voilà tout. Philibler AUDuBRARDo. Paris, 4 mrs 1866. PIANCOIS ABADIE, DtPUlJ LA JNUVgLLE-OLEAIS JUS QU'à DOCALDISONVILLE. <Ravr droitea.vJeeen#) L E Souasagc e Iré1i Ieur de prévenir m Lamis et lap blc qu'il collectera toua lms .o n qu'ou lu a dvelasa pour Iririedroite du= mie. Il irs touits Me g*mties désire bleu prle .me du aompts qui lui s rs'omie Chas M. AndN Faucheux, S4so-Baptia, (rive dro"te). Nouvael.Orv«wike. IM. J. Bonnmvlllceue. Pt-Anneet Royale. Uê.C awk t.mrt* %Clingru liJus-Naptie . J. F. c't. e4 lIJqau J. a. Amaad I ddo 84-. LAVER LE LINGE. Iu Aauie" ayant aerhid de 1luvemicur =. le db roit eidlell de fabriqer et de tamd h dk 'rrt a avr l nIL domi la pui o... St-Chbuli, & Jc& bQb.0t.Julu m et semptio. àLam fbesùàqse isvention. u'il ut à racevoir loIM oS Pourl livre cm m Uke. JIl bu ghetBimiiilt datmo ribumni firrIair dre = %Ua ulex iquer toue lus &'tagruq 1'm mddomvute, ut dc u nterre chia. de ictu diinemmlo.. por prouve Y.~ rlLm&parioi. Cutcsr umoinu a 4W patentée au mo de Chrlatnphe galhlu rrJ, cmmaë lu& et, depus lIwo, am utité e<S Wmlt4 ont été nt ôt dam tous h. rçaion et elle &d e* deimy. Lr00 dtuê. uuMande. au mouésaied. pBIUim. St-Charkes, recevrront mm,.oqMeIdO tlo&. W. 8. àâw"lu1. St.Cberh. S mur, 1555 SUkVuWSAI. Xouw*UvOrZ#aur. S mari USO. AULH..)& & smm C, qPM à lai lm ef 4 V"qdeme d ai Soi iav 0i quir Pi lumpamnu. k bmi oqu v.u ha.je m'i% esin qa. duL@ 'aeU bave mm ePll de leu Jours Va@ PW de aneIml t» m ue" osu =qiu quaire· p«*«_me; tdio t*av«@QPO »W chine j n'ai boula quw de tftvan d'mor Poe. autanp~nUt cd@ .o rlar rli ` q liey n sm am Ji « omb p a r et m m ecde»wâ t pu de MO&011, Y être S Ico Y·d nnrci n. hrIYude wqq b» & di(iJ · ff pi asro" dfm Imi'. deM îftll.i OnaappOeeqm Dh oahe de.. 1 bob, l" . a Z, eriai~b àmfu 'hm *I lBouger", de SecwIMbo, stJcen Daptaiât, s evli leu8 1t, VALSAIS NANEILLOS. NHABITATION FOMAU FIkUES. (réa câr* l S: L3UU £1rr UU cn.j Su rk.......... si Pua im.e .............a La Avit. m aear<m.mt m Id la im, #Ir &,ie d td.wtee, »MW PbUI et 0U4la8 et «emfrmf pmdau tria mm CfTM CAM PRI-i DI C. JAUBERT A 'ANT mMatatmnt sa _• fort 1 eau stock de I ARCl ADISES eu informe re-p- t e-ument leW Damu et MXaeurs Le soin qu'il e appurté duse t ebeos de ses marhand.e lai hiow-nit d'aanier aux 4*.*Mre q Na.ue u .a marmt, oonmme a r.te d'uoti bonté d'Etofi'. et surtout at d.cité dia xrz, ne la.ese rien à dsiirer Son Assortiment se compose e : E(,«*ar laine, laine et soie et demi lait. SMnuselin," lines, n cooukurs et noiree ( 'icemit. -, Alparas nouvesut dessoiaM e' unr deuil ; Bar~s pour rubes et poor voile Bballa, MérIfo. dffdrente nuances; Vrlaulv. i primup e; Cobourgp; Popelines uai et . r.eL; Teutau; Valmariaes Indiennes de toute» roukuars et qualité Casinet et Cotonnadei *,eVmSZ dwbet1; Dra prur umtala, . Mantelets oeoeftionaé, la Tama. Semerie. .ouires et couleurs, pour robe; Marcell-. Plorams et Sol.isa broebdé ridebs. Assi.: Bredwiem, DetedlaW, Robemu ,Oom, Soie couleur et noire, Gaats, Bau et Chai't Mettee M laisM et en ooton. CHiUSS6RmS EN TOUS GENRES POuR DBAUJ, ROMMlS "T lPPAWrS. HABILLEMENTS D'HOMMES. 1BOMETERIE, SCABQIETTES ET u AMsetmlutm r QUINCAILLERIE MERCL 7X.E. Cy U1 p)esems- qui v.,drot) bis »> tear mauMalc" de â t- Jaiquis et 8.st J« Baptiste se eosvaiucroi.t filtn.ent que l'on ns peut rhoeter que ebes bdi, I l ceani, as mnmo pri qur la Ntiaopl Orlda."l légroe ndasetioa t to-.ourn (îite aus aus elamdWs o ns puesno s qui achbtmet pu A à LOuER Ou A VIRIEZ. U N Ebarmmut. habittiuu n Jr rAd d.we, .séaMa bu rie b--à Big M c. f. V Potr ;8ami 1: oipwokmII&M, fidri.ýý marIN omai brc deJour naL CmvAlt tmolVm daàbe lm tmote jouLrrù lom bea tioma dudit avis, et L %,Oei eal)m im rv bDuliiu3 avri ~N 38 *kW SoSTe r 4IIr . CAFÉ Wmoci M et leA82 pour-u ta le ail A toluiMil éî=ïî; 61.u=se ut,. ; à LAAu -~-. -D ~Ja \n\n lbepu on# «Wlo *0 &MM a d"nos 1 SL lu~~ ~~ VAAjus*EfJO N OTICR i s~ t sube·ait« = yMr s Cr.ol bar 1 tion fuid iidu, W pay t--e cSu r Ir luu é "-'A.Yridl4Y1~ T u urawlo ' G ItOumw UI * l uhlffl la -- .LtiWiBm nhh ..-14,I h4Ir.t bA ïuablkw Wh.. M UOiIbSf ! r " 4Itiur~ n~Xrn