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.1T MUREAUX ET ATELIE*tSv1 SAMEDI 5 MAI 1866. E ANÉN E. - No 18. I 5 I. St-Jeaa-BapUste, rive droite, n mille et demi a-dessus de la Maison de Cour. E. . CINQ PIASTRES CINQ PIASTRES PAIL Ar PAR AN: JOURNAL OFFICIEL DE LA PAROISSE STJEANBAPTISTEOUIANE AGEN.T A DONAI.,SONVIIL, E E.EZ A<IT A .A &OI 'VI.'I.OOIT.R.S E. SUPERVIELLE, Editeur dui Drapea P. GRUAVOIS, ,u Saiit-Loulis, ,No. :. Bolte à la poste de lit Nonvelle 1 iléans : No. 15t0. Candidats à Il place de GreBier. lgictieurni ls d diteurs. Veuilez- nuuoneer que Je si* candidat pour la ilnee du Orediler de lI Cour du Q(nstrimnce District judiciaire pour la pa. ruirse 8t-Jean-ll ptiite.. Election 7 mai IP66. <LUMA TRI.PAONIIR. Paroinse St Jeonn-Baptitec, 2. mars 1866. (ai idats à la place le RoeSrder. "[ seýý n ér uditours. Veuillez tiannorcer que je suis candidat pour lit plasîe do Ilceorder do la pnrois. Stt .JeanI)aptiate aux pr<wxlia&lneg életions. Elertion, 7 mai it PM. AD«.PIfi sORAPrEtU. Paroinsu.St Jean-Blaptlsto, 23 mars 1861. Place d'Ahcat dc Distrect Memeur lues déliteurs, Ve'uillez auntmecr ma candidature a la esc. d'Avooat da Diatrict pourle Quatrièmo .itrlct judiviaire tompr.uant les paroiem lt.Jean Bmptite. sttJacq'io, Agrennion et Assomption, aux éloetions du lundi n mai 1 @66. t.Jean-Bapti.to, t2 mars 1 Me. CNdidats à la pluoe d esMrIL Veuilles annonteurmaouidi.ture i laPlace dte .hri< aux procba&nee tleetioim. Louis LOUQUL St.J.am·B 4Jat, 1? blvue 1866. iLoawars i.isar d4dI·tr i,~ de @Wrfif&t ou-ohwaIm éloetlx WI4rsap!tid.0.tâvrio W0. frjçwwooK. JÂIAND DOXW emaidm ale· i I pim e"ýc emamde la e.wuIae 5 mau. -nt u i·qui d.dm! j>e -W bm:-;Woa~ i,, r ôkrird~E 1>r)lrqw · Dirout awW4.w ul. WM. aLroewm · i - 50005 ia j' -rdrlOUItd" QuJ widam U.iribroLas khsw k Ws u : Xr~ ~ ~~ 4-lor'i t~:llyUq, . fhdlrh!m6. Ils .;" 'i~i. -'4 lWjiii rwiY* I MeAdemari I<'R édlit<nrll., Veuillez aniioiice queje mei retire coline àcsàdidat i la pîlaec d uîAè-tot-r. - tJ RXANDRe t n e iai AIS. StJtmn-llnl)tiote, 3 miai 1@ 66 Meuuieurs les oclitcuci, Veuilles m'annoncer comme candidat à la plane d'auemeur de la paroisse SaiutJean Baptiste à la prochaine élect io,. mJ. BarCARD. 3 n'sarn 1j6. Mefosieurn les uditours.. VeuWeilLz aikalucer 31. MORRIS EI)RING TON comme randidt ii la plIne d*atoan»ur dc evttc parui.sc, aux écbcionmm du 7 mnai 1866. RKS T<ONBR 'X AmIs. st Jcan-Baptiste, 23mars 119 Candidats à la place de Corener. Mosieurp Damez & Eellow. Veuillez annomicerle Dr W HAUT oinmcm candidat i la planc de coronur pour la pa roisse St-Jean Baptiste. SES NOMIBRR'X AMIl. ) mulicuru les Veuilles annzbonceePL"adidattro (l R J. COX pnnr la 1place eoroner de cette pa roiee aux electinni du 7 mai IgliS. Ps NWOwIRULtx AMIS. * Meuirs F.4litorp. PImuee aitinouitc the candidature of 8. J. COX for tlhe offUre of Cornncr or thim Puiih I a tbe erllon à(the 7tb bMay IGoe. Mil si NV>IEEus A VatNl PROTECTION DES IMMIGRANTS Nonm nona proposion de pnulieri aujonrditul une .tatlfti1ine aussi complète qiue possible des paroissec St Joen BtaptisteetSt,-Charlte. Main, pour !'roaédPr avec ordre, nons fo rous connaiure d'abord les mesures que la Iégislatiire de la Louisiane a cru devoir prendre pour protéger les immigrante et les sonstraire A l'eIpritde epécultion qui, ici commeno ailleurs, en fa4it ie proietrop facileJ La Législature, uons diîait nn ho norable reproetntant, M. B.-S f4 branche, devait 4tre saile d'un bill ayant peur batde trsporter des émigrants Lufrais.deltat et de recouvrer cette avanoe sa mnyen d'une retenno sLfpirlée tnr les sa laires des travailleu. :11. eat agi avec intelligenac eu adoptan un tel plan, car ol s 4ii . pa à'attendro à oe qo le prooldLW'européen, qui eutdlpia~ as'elpatrier, aildels rs. oarms samfilante ,pour paye; emm pasage sur l'Océan et pour snbse. nir mo mille att. frai qu'il aMra à supporter. Il parait que c'rtakiei personnes offrent d'amener des im migrants sas demander d'autre garaunt; qre l<'Ingagement écrit pris rat les propriétaires de rece voir tes tra'tiltemo* et de rembp.o Et qa'il dévorerm de w deot de lico *Le odanra:BgIso dO mon abition! Oh'! 1usaimsa u Mr! .qua'l meU m ii onalre , Le nioquur... Le vaiuquer, re ens moi peutf»tre, Mqei ler aiidtrM o M doosaeut le oiis Apprmitrai dei poe r la preospire fois ; Moi, oe jeoe iaoonu douo te sleil Ms lève ; Moi, qui eris A Poomar come'U aus at t rtve; Moi, qai usas doas mp9o brlat a sraiot amour . Pour la made psutrorije rgu le jor ! Q.eUlrnave, osi »iean La foale croirat-elle damo nom» Mor uquai tome ma anache isaollo La peur am es uds radm.yoadle feu Qe or euerlquï hlasa.sre Jlxa ! . Ntpo aomst peat lker amu robu"tea éajoew. Et que, &mnfliew oipa pOul Nom, ma,% jdam macher gl* qmp4ocace ..ute.. EfarM do sam haot tout -pe .de orai te., Comme un brave sadat pooams mo cheUmia. Et la. deux brM'oroimi dir imVu'A duamal. Eh bite! puiqa'i tla. qg O *'yt qcump1Ue ! i Qu'il bril'l doàc orr mous àomu oled,umce . d 'e Que sol il, brv4lt comrà ii rT d'aoli, . .. ' Jae pu"-tsea r pp ; * ,.T c i sserse tgeseras ros Men... s Pm wuerove imn ser ensuite les courtiers volontaires qui les lenr auront fournii. Mais nos11 redoutlonI l'angille sous ro che et les subtils ciilcuil deP I'inté rét privé. Qui sait si, dans des com binaisots de ce genre, il n'y aurait pas deux dupes, le propriétaire lonisiantai et l'immigrant curopéen? Voilà ce qu'il faut éviter. Nous con naissons le paysan français et sa condition; il vit am jour le jour, nourrissant péniblement sa famille, et ne touchant guère, comIne ,on dit, les deux bouts de l'annde; le néces saire lui manque suvetit, à plus forte raioii l'épargne et le superflu. Il ne s'agit donc pas seulemient de l'appeler et de lui offrir toites les éduictionii du pays, c'eFt ajouter i a nmisère le sipplice d.' Tantale. Mais supposois la traversée faite, et voyons commient notre législa ture -a pouivu a la plotection de I'étrager quiii pénètre cin pays in conlni. L'acte No. 121, approuvé le 21 mars 1,866, contient lesdispositious principales suivantes : 1. Tontes personnes tennirt tans les viPes de l'Etat des pensions destinées aux immuigrants, devront se procurer, au bureau du maire. une licence annielle dont la va leur est fixée à $10, et fournir ,iii caution neat nt, à la satisfaction du maire. pour la somme do 8500, afin de répondre de leur probité et de celle de leurs agents ou cour tiers. Sur motif suffisant, le maire pourra révoquer cette licence. Tont propriétaire depensfon devra, sous peine d'une amende de $50, afficher en évidence, dans s s cham bres de son établissement, en allemand, hollandais et français, et porter sur les cartes qu'il fer distribuer, un tarif des prix, par jour et par semaine, pour pensiou et logementet pour simples repas. La marte contiendra le nol du propriétaire de 'éta blissement, le numéro de la maison et le nom de la rue où elle est sihée. Elle ser déposée. à la NonvelleOrléans, au bureau de l'immigration, et, dans les autres villes, au bureau rdu maire et de r'agent d'immi gration. Faute par le proptiétaire d'ob server la loi ou dans le cas oh il exigerait un prix supérieur au tarif affché, il sera passibled'une amende de $50 à 100. Même peine contre tout mautre d'hôtel ou courtier qui engagerait coaumo h6te un immigrant sans lui remettre la carte imprimée ci dessus prescrite. Tout maitre d'hôtel ou pension qui refusera oo ngligerade prendre dans les dix jours la licence exigee, era condamné à une aoende de 8100, plus $50 par chaque période de dix jours pendant laquell continsera Je refo ou la udgti gence.,. 2. Aucun maître.de pension n'aura. sur les bagages ou effets de son hôte, pour fris de penlion logement, emmaga&-nage, &c. an prvilge jpour une somme dépassant le prix du tarif affiché. Pour détention illé. gale desdits bagages oi effets, le maître d'6tel sera paible d'nne amende de $50 à $100. et do la prison jusqu'à paiement de l'amene. 3. Lu .coartiem qui s'emploieront à fournir des immigrants ea pensions de vront être pourvua d'une iHeeae de 820. asoir foutm un cationnement de $300. porter une plaqe revtue de l'inemription Scourtier d'nlim gu.t dament licencié," ainsqa de laimebeion db *on nodm t du numéro de'o lies». le tbut sons peine d'un emptW)l aeusate de trois mois à un an. 4. Le cr da burea d'immigratio proIns charger ertains persnoau de dl rmndre I bord 'de navires vessat de l'é.tang, sof la taition de la Quara i tié, eit( daus le port de la Nouvtlle Orléan a dn de préenir les immfgrants iqui s'y trouveraicnt contre les fraude' auxquellle ils sont expo"sé. 5. Toute, personne se chlirgeant d'enrgiis trer les inuuigrants et recevant d'eux de I'airept tyjur frais de voyage et transport de bagages k l'intéricur, aura un bureau public ouvert à l'inspection du chef de bureau d'immigratinn ; paiera une licence le 820; soomettra les balances et poids destinés au pesage d'es effets et bagages à l'examen de l'inspecteur deo poids et mesures ; exposera dans un endroit appa rent de sef bureau une liste en anglas. allemanil. hollandais et français, des prix de passage et des taux. par cent livres. <lu transport de bagages nnx points principan x du pays, ,t remettra une copie de cette liste au chie ou à l'azl>nt dls bureau d'im migration. lToutes franddls constatrés seront punies d'in emprisonnement de six mois a un an. M -nie- eine pour toute violation des engagements contracts. par ces éta blissements à l'égard des immiprants. Faute d'avoir pris une lic nce ou d'avoir remis à qui de droit les cartes et les listes pre-crites par la loi, le propriétaire d'un tel burean encourru nui emprisoninment de troi à six moir. La licence nlu sera del;vré qu'à dr. p'-rsonies joui.isant d'une bonIne réputat'o i et de la qualité de citoyen des Etats-Uniti. 6. Le conrtage eonsistant î procurer des clients anx entreprises de transport est interdit aux fonetionnaires don -Hverne ment dus Etat.-Unis,. ceux do gouverne ment de l'Etat de la Louitiiane et aux employés du bureau d'immigration. sous peine d'une amende le $100 (k 300. 7. Les amendes imposées par le présent acte seront perçuen an nom et au profit tu l'Etat, et ver..ées au trésor pnblic. 8. Le chef du bureau d'immigration annexera i son rapport annuel à la Légis-4 lature une déclaration sous sernient qu'il u'oa uecou intérêt direct ou indirect diu les trausactions relatives, 4 la lienion des immigrants et à leur transport dans l'in térieur de l'Etat, et qu'il n'a tiré aueuni profit ou lvantage des acquisitiont de vivres et fournitures, d<ls adjudicatison. dei contrats et des octrois de licences. privi lege et emplois divers au service du bureau. 9. Les lienes de pen4imî d'immigrants seromt refnsée.s toutes personnes tenant carés on débits de liqueurs en g6néral. Si les Enropéens qui se propo sent do tranî porter parmi noius leur léger bagage lisent la loi que nous veiiinn de réimnner, ils H s eroiroit i Sl'eiitrée d'une véritalle fret de Bondy, où les attendeo t des. milliers de larrous et vampires eii emnibi cade. Pour quiconque conuit, les ports de mer en ggtnéral et la Nou velle Orléans en particulier, il n'y a pourtant rien d'excéamif dans ceM niiuutieuses précantions. Une fois le' daugereux passage de la menlré polà du Sud opéré, l'émigl'aiut se trou vera dans lai campagne knuioiainaise, régibitl pts saine et pliti hoiinnte, dont nous décrirons la condition et les avantatges. -~ -ira». ....-- " uIàe Soemlearte dI i. A. MIalrot El UNE LETTRE DE M1i6eJ. Mietltfftl L'mrtiode snieant, emprunté nue reine sècetliqne d4M. Victor Xèn. nier, utezjr&i*, dé î'.i &uou ,ql~' isak du 4 aviil deruier, sera laovec, intErft· à St.Jean-B.ptt.te;i$o~·oliB tient une lettre de MÀIe MfWbe!ét, née IIialaret4 lQttre templie <e la filnu et exqtiîso délcteOsse quiI'On trouve dans la' prEaca de IrOUMm., 4lailtliie 4U oia'pàrtie écrite de la O voix qui me parles avec tant d'harmonie, O veiz myst4leuse et que j'écoute encor Me verser I'venir en vos paroles d'or! Moo .il ne vogu toit pua, et pôdrt.ot, <bbic l>Afrangn Je ue amis qui me dit que roos étàs tin ang, Un ange que ma mère, en mourait dins mes bsras, Fit descendre d p~ o iaut poqr me gdaer en bai:. , Demiaiio ! demain !, Xa pi6 toi, e': Ie peuple, app1aàdi«Bnltîm m a eiadTà';là,l'b" Et sur do blancs feuilleta l'inscrivant mille fuis, Me nommer demain avec as grnde voix. Oui, demain, A cette euTe.lQ. puit grave et sombre Fera flotter sor nous son *itAo pénombre, Mcn nom, ooonu de tous, par l'écho répété, Volera triomphant dans la ~gide cité. Demain, ponr me sirire et pour me faire fête, La ville de rayona couronera sa tête, Et comme uOnmeflerA Jto t tfes EB M votW^ema..m . .*.iêal.. ^'1,1 ' : lt a ex meMletyor I f 'Wi! l r tin i * b* A,.re ,..er.o.,+ ï. p+- ,,:rëa - à. w+- ,u. î; Les mai me .. v. i *is. e su i j' ...;,m Mr mmmur Et...* 0.,. se . .+. .., .ï).: [ .I.,. ..: ,, . ) mni.n de Mine Mliclielet. On reinar (l,'ia que ie nom de l'honorable fa iille dont est descendue la fliiiine dl' grand historiei frarlnaim, est écrit suivant l'orthographe primni tive. C'est du désert que nous nrrive l'e.ai de photogranpie sur .uirre dont il va être question. ('et essai ouvre une voie. L'an ter est parent par alliance du plun aimé parmi lI plui admireÀ d nos historiens ; M. A. .ialaret Beckmn1l et le bean-lrère de M. J. Miclelet. La chose toute nue détachee de l'homme et des circonist:iMn; n'intérezscrait que les artistes ; elle iiit ressera tout le monde quand on aura pri.s connaissance de ce chapiiont extrait d'une lettre e que nos lecteur me remercieront de leur avoir comuiniqua: ..... Je place sons vos veux un petit travail, d'un solitaire du h'ouveau-Moînde qui, suns autre secours qu'une grande volonté, a déji fait quelqnes decouvertes. " MN[i frère, que jy vous pré.sente ainsi. hailite la Louisiane, d'où nous venon.i ir ma mère. Il vient do traverser la périlde Scitique de 1'éniiuiiiptioi, et simplement, d'une nme sereine. il a pris pour lui et les siens tootes lei privations qu'entratnent la guerre et le passage de l'ennemi sur le Schamp'q>i vous noumrit. "Pendant seize mois, lui, sa femme et (ses enfants, dont un infirme, se sont servis Seux mmieui et ont vécu presque exclusive 'ment de pain de mais. Le sel a souvent manqué dans la soupe, parce que c'était une deurée prohibé&, et que mou frère en avait besoin pour ses expérieccea. Ils se volaient tour à tour, sa femme et loi, et trouvaient ainsi moyenude rire de leur infortune. " " Mo frère, panti presque enfast pour l'Amerique, a touiMrs vécu loin des villes et s'est éleve lui-mOrpe. Aujourd'hui, il vit en famille sur la lisière des grandes forèts, ayant devant lui le Mississipi, et derrière k' htis. les e'yprières impratica. bles, lIs marais dormantr, remplis de rep tiles.' I(e lh, kMl a l, s ve l a nture, et n a en qu'elle pour l'élever et l'inspirer. Privé de livres et. de Vlcho de viesux oonde qui sait toutes choses. n'ayant personne il qui parler, se communniquer, il a travaillé seul, presque sains ressources matérielles, (dans ces dernières années, il ne pouvait plus s'approvisiouier des Matiîres de première Ié ceilé)~ et tirant presque tout de lui, et par l'ultuitaio, il a fait uae petite décou verte ingdnieuse pour 1' télégraphie, que d'autres rendront applicabl. 't VIeleC nsiMtenarm monsieur, un autre genre de découverte dont je ne puis appré cier la valeur. Mon' ftlréeti'ltend en tirer profit en aucuo cti. éome vops le terrez en lisant sa 4ticeC. Etfe voius semblera peut dtrc.îutéresaaste; mais cequi le sera pour vous, j'eup wu shre, c'est la patience et la voloatd 'un o.maote pour lequel les plus graudea épSreuwev.eL le mamqe de secours sont an aiguillon. A. mtcuHI.K'." .M. Mil .i-Beck.II prend une plaque de maivre plani, décapée, polie, l plonge pendant une minufe environ dans ubo so lution aqueam de aWlfated o oaivre et de sel Sarin, aiguis4e de quelques gouttea d'an acide quelconque, l'essuie avec un vieuz ,lie, :* frotte saeo une lanelle douce, et la plaque est préparée. Pour t'hnprselonner,Il l'etpose derrière une.graypre ou un gatif sur verre à la itrff re' slafr'.. cint inq i' stx rmi nutes, op k.14 Ju)' dif.ef pendant une hebr et dvatn g 1fie l'iage en plongeant la plaque one solution d'hy posoute de -soude ddltlonnée dé quelques graihM oc éebiorant drgettt; '' , .~~, eI: queo ïecodes d'im neiaar-, . a A. UametSeOknIPnell, -oa ,.oit '.'pw ve blWechi dans laeI e o ougsa ; les bres puenmset une teinte violacée pour virer définitivementi Et saiisamnt au vol les cris les plus ardents, Saloora chaoun d'eux avec l'beume aux ded;- ·- i'ulb srroiut de pleurs, des larmes, des hlbaspllde Deé -iAedictioan, de sanglants anathèmes... ý v ',! Oh! la fièvre me brtle, et danr mmon cor qMli ,Wt L'eperanee rayonne... Oh: vienne l combat : " PENDANT Le Jour de IJElet~ten. '4~~ Et des amis n'ont dit: " Eo parlant aux onhi '; " T n'as pas su dorer les rebords de* clloe r, : " E tes mains ont 4t6 trop avares de fleurs .. - "Pour le maltre exigeant qui donne les faveo ' Auraent-elles dit vrai, toutes ces voix que j'a Auraient-elles menti ? Meni ! e bla s Car elles ont oavert A mwe*ambi0 Le vae tojours pleine» consolatlwI. I. Ai dbo il f6adr a peopro por POU Quet ethii e uy u an mandat fpa Dans la por ut ses deux gieox pl b aO Comme nso se co t i te, Aà' Qu'un imp dan i, feordé rles qu'il j1 Lui dit oj a et le fronct et lU * e " au noir. ("cet à ce momtw préciis qlu'il faut retirer la plaquei pour I'agiter % vc ment dans une cuvcLtoe coutlnst nl dt' t:i pure ; après quoi on enlèvele dépOt noi rhftre qui formait lhi onbrer, ai micon oni n'aime le laisser sulbaister. Dans ce cas yi lave h grande eui, et l'on sèche rapidement a tvec une lampe à alcoul donniit une légire flamme. " Comme les noirs de l'image sont for més d'une poussière qui s'enlève au moin dIre frottiiement. on leur donne de la stabilité en recouvrant la plaque d'an vernis trans Sparent. IE gravcnr peut alors l'attaqner iirdiment avec son hurin. Aucun proeéd6. ique je sache, ne lui fournira un décalque plus fidèle du dessin qu'il veut trausporter sur cuivre. Mais si l'on vent essayer la gravure chimique, il faut dépouillit les noirs au imomient on je l'ai indique, la ver ensuite la pliquc sous un fort jet d'eau et la plonger, sanis cliher, dans le liquid' auquel on a doi:né la préférence comme mordant." Dans la seconde partii do Fn note, l'an teur expose ses essais de gRvuüî'. Le défaut d'espace m'empiche de les reproduire, umis ceux que le sujet inii rcssen'v perdront, in; le travail de M. 3Iialaret Beckinell pcm paraitre en entier dans la PmUs .idtr.li iue des Deux-Mlndes. 11 y trovuvront Iet formules que j'ai dût supprimer et les de tails pratiques qu'il ria falluibhrcger. iOn lira également avec plaisir queilues rtfle xions sur la nature du la couche sciaible avant et après l'impression do la plaqu'. L'auteur anssi modeste qn'ingenieux ter minie en disant : "On voit que j'en suis encreMlapérifrc' * des tâtonnements. Sans doute le lecteur c serait moins surpris s'il savaitdans quelkes conditions ingrates je suis.oblig d'opérer. (Le lecteur le suit maintenatit.) Quolfn'il en soit, j'ai expose avec ance ;ititre can dcur et sais restriction, tout ce que j ait .I faire par moi-mEme. Je souhait4qn'au plii heureux touche le bat près lnaqnel ,tni passé sans pouvoir l'attein 1re,'., ' "'" Aussi gnédreux que mo&~i i:: ait dit en commençeont : ' OS "Je crois qu'un artiste hbae'.rl.,joIX .pprovisionin do r6ectiB qdc.psbbill suis. arriverait à une solution aï%,fi t'tdii problème. C'est ce qui aie hl 'pn blier mon procédé jusqu'au I ftý 4,~n l'ai conduit... Dans le eu où il seraa t réservé quelqen avenir, Nan in«andonne d'avance tout le imrite k l'naii'it'ht qnl voudra' bien I'expérimenter etg1i M~rt@ les perfectionriements qu r6qheI'i 'uImw détail." r . VICTOR MELNIIElt .5ff!r: La faveur avec laqueHlie ,Mblîc a accueilli la réapparition do J..jfuid: ti et de ' rY A nt-.CoGn r non permet, au bout de aix mois de oet Ustuyl6f existence, d'agrandir notre .fViat. i nous continuons i être aiIsî encobra. gos, nous reviendroËs bihttlt'rax ua. ciennes dimensions. Noua.proioans da l'occasion pour remereote du fond dn coeur les amis qui sppréduioa ctaecon. dent nos efforts, et nos leur t4moilge roos notre reoonnaisaaneo'etredoublO t d'énergie et de dévouessent dian lasc complissement do nos fblstibi iderw naliates. lR*.Re cr'ler embmte à,i..i , : J. de Lobel-Mahy, de MWJa..iqa, por I'envol du Neus, du World eti.diffi,' de New-York, et du Pioauý'd<li Tresi de la Nouvelle-Orleam; Max Beenel, Et E. Seutille, de Stean-Daspte, p des journaux de la ville. :. ;yrr* .: .- \n\n Messrs Edtitora. Plenase run,neethat I sm a candidate for the .ofice of Clerk of. the Fourth Judicial I)iutriet Court, in and for the Parish of St. John the Ilaptint4 Election 7th May, 1866 NUMA TR1PA4INIRR. Parish ot St. John.tho Baptist, 23rd May 1,_oG. Moasra Editors. Pleas anlnoucu that I am i can lidatr for te. offieo af Recorder of the Parih of St. John the Baptist. ~teetion,7thMay,1988. ADOL.PR ROR APrRCt. Pariah of St. John the Baptist, 2ard March 19g6. Moesrs. Kditors, Please announre that I am ecnndidnto ae D)iitriot Attornoy in and for the Fourth Judicial Distrlet compruiain the Parihsi of $t. John the Baptist, St. Jame. Amonsion and Assumption. at the dlection of..on day, the 7th O May, ieee. TagRrPH P0MptWR. St.John the Baptht, Marse r d s18e. Ymea. Editoru. o Pti'e, alnnnu~rIa th· m·alll~ o tho o0a' di e ert t mt eleettq, tUIEo LOte uy a St· John the Baptiat, Vehvuer' ntith cae. Xinam. iditoros, Flea.e apoamc- flv& £ awl am da *did.W far the ab.e o(Ueth D tU. de!'sy lOt,. At. John the brpfir, vebratº ob.to. Pih.. Raurm *I.WN D DON' Plr rw~f o[8t. dew tN DOd-l NA!AON a. aYmmi~das fr Ike .56 d at ,b mart MIeI - -i NR.e 'h, tt, hbis ry 17th, 1166. { Mc.rs. Editors, Please announce that I am a candidlate fl the ofii'e of Assessor for the 'narish ,f St. Johin the Bnaptit at the coming clectiol. J. ItZRCARD. March 3rd, I1~C. Moemru Editors, Pleasc ainuououe Mr MOIRlIIS F.DRlU! TONJ as a candidate for the nflie of Assessor ofthis P'arish, at the election of the 7th May. 1866. IllS XOEROt S FRIG\D8. SIt John tLe ic ptist, )larch 23rd 1866. Mes-rs Pumez & Iello-w, Plense annu.nc Dr Wi HART as a candidate fr the o.ee of Cproner of the parish of St. Johnl the Bhlptit. mlls XCarMEOOt rnlrIDs.