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Sn -o BUREAUX ET ATELIERS* I_ SAMEDI 20 FEVRIER 1869. St-Jeus-Baptiste, rive droite, un mille et demi au-dessus de la laison de Cour. XVII' Ai NE E. N 8. ANNONCES i AUIO\%E.IKNT wiee [ CINQ PIASTRES les 10 liane (fornuait la hsateur PAR AN du piaent earré) pe rla premlo IAYAn.LS D'AVANC I l rudoe; 75 ets. lu siavautes.. A 9DVN JOURNAL DE LA PAROISSE ST-JEAN-BAPTISTE - LOUISIANE G AISnne A D.4 NirUVErLI.-ORI.IASa ma A DOuD.on.. E. DUEZ & T. BELLOW REDACTEURS E.-C. WI ARTON & Cle, BIkor des Marchand! M. F LIX RBY NAUD rue Commune, entre les ruoe St-Charles et Camp. LA VIGNE EN LOUISIANE -0 Le droits énormes qui ,peeu sur les vinsa traugerr, le fraudu leaes alteratiou s o zquelles o vit seot soumie par un commee exemptdl teot oetp-e, l'tendu< de note Etat et le pe'. de densit de- . popilatiom. wt uaau ýc nnotfs qf noue font virement y dé sirer t'otroduction adrieuoe de I viticulturo. Des vigperous bour goignons, ne se trouvant pu lei coudées aes franches dans leui paye demadaient dermièremet dei reseignemenats M. Seward el maaufftaent l'intention de venir ai fixer ux gtatas.Unif. l attendant la rdonse du vieux diplomate ame rieai. qui gdneralement parle us lagage i peu pra anusi olair qou cehd de l'oracle de Delpheî, noue allonu essayer de tti.faire la on riositd des itere sse. La Leluteeu 4tot ne enieao coloie frmsis, t4 u MA td patie de - babllC e .. 0t.-e 4dtat rTruagçi o deseodaute di vrçsgae, les mer, le ages i le gete de la *urepetrie s*y se. propagi, et le vin y et etrd po beauooup dao lie r ode alim.a taui. On peevaeit tee e Pteai devleldrait pro~lpteimet r6 g8on viticole, sr lee ladicaiou do le Matre eiseame, er le k1o et l elim prJeet admniblesmeb couvelir à la plte grinpaute qui, mu que la main de l'homme s'eu mtd made, aenlace vlgoureuaseal eau arbres de o boib ou, ave quelque sois, fetona graieu.s muit la fçaie d1 mue aeisona Mais hl'atellgem des blanis It eoflloite par la rudde et orgueil le«se cilta d scr et de ootoa ao pur le algoe au gaie rapidu et faoisl, et les brau dle noir 4tdealt res à reasodato dme vo leeb t de miS .. Tomes ltes foro lai- les taiest allM ieorbde dams lus ** a1oWam*sDt nou 'nusMa la poulr, si,, .i siiad(a séie é riverai o des eO . d'@e -hel sles. oeeutset céer: «d et lte qd l JMSiet bdol ou oo~iip de opiie, , a4çauqp 4et 8 pes ssleu , N sUIteer t g aisat l titerrift « im « pesBssha»iriurlH Su me de i'O~s~I rL l dve , ï : : que la viticulture a débuté et NI colas Longworth en a été le Noé. Il était vean d'Allemagne, fort é1 ger de bagage, et le brave hommq est mort millionnaaire Cinodauti, il y a six on sept s. Le Améri cains buvaient son vin de Catawba pur orgueil plutôt que par plaisir, et le payaient A raison de $1 la bouteille. Pour mieux chatouiller la fibre nationale, Il en fabriquait de mouseazi et peasait éclipser la gloire de la veuve Otiquot. Mais ne rioes pas de ce digne patriarche, qui mériterait mieux une utatue que les grands malfaiteurs dont e'é prennent les peuples imbciles. Le Miaouri a depuis rivalieé avec l'Obio, que Loegworth avait illus trd. Sur les borde du grand fleuve aquei oet Etat doit aon nomi on aperçoit ls jolie petite ville de Her mano, nom teutonique qui révèle a-se la provenanee de ea habbi tante. Rien que des Allemande et rien que des vignerons. De ce borg gerlmai pat n samphithéeA tesde oolHue oevebrtes de e. que Pierre Depont veut appeler "l'arbre divia," et en purfut tt de culture. Oa s'y croirait aux euvirem de Di jon ou d'ppernay. M. George Hus nmann frWnarm nnahla Éla Il'uneut maun, vigneron notable de I enrolt, a drMst Mo onCmis~liredeCPA griculture dem 3Ia&-Uais *que lr tWore.sate, f sd r la fpie, a. otrne r ses produits es Amdri que, tade qui Oi g are de le de nier rapport de oe fonctioanaire as Oolgrè. M. Humaun a une foi tris vive et un ealhousiasme qui pase un peu le borues. Il sootieut par exemple que les " fameux orui do Norton, Cynthiana et Her. bemoat - eraignet ps ceux de Jobauniaberg, Chambertin et Chi teaLo-LBtte et que, a le Jory de I'Brpositon franisin de 1867 m'o pas doeenid la.pale à ose soble vie aumricalis, c'et uniquement pur jaloel et dUpiL Nai l rln seU de la Gaopsude, petit trfb tWre dea UWoier, cooa Irtprt. de vigloble de ermuas, et d.i lonrs boe au e de atioes s'oalrgi M. BHumai, derviet fnt Lt viguroca misourien dont moMs ri a't osepmedant ps par"t iB i' pâetooru I'Ikrope et seblb -voir ~d di le proodds nombree de culture de qui ·7Uht bsfiu à pease gq. im S y , a' - e II pa indikre· les plants européens; on doit se borner à perfectionner les espèces ou variédts qui oroissent natorelle ment fol. Dans l'OhIo, le Missouri, l'Illinois et l'Arkansas, euivant lui, la vigne peut rendre mille gallons de via à l'are, soit ciaq mille boa teilles on plus de seize pièces, et le producteur devra pouvoir livrer son article au commerce à raison de 50 à T6 cents le gallon ou 1 à 16 cents la bouteille. Ce jour-là, les vins ordinaires étrangers et le whiskey national seront détrônés. Ces calculs sentent bien un peu l'illusion, mais le succès n'est qu'une question de temps et on a vu combien vite, sous l'aiguillon de la nécessite, l'Europe avait su faire pousser le coton sur un sol plus rebelle que celui des Etats de Sud, pendant notre mortel blocus américain. Le système protectio niste aidant, et surtout les fraudes au moides asi maadroite que cou pables des marchandset importa teurs d'Europe, nous nous nurrons à nous-mémes pour le vin comme ailleurs on s'est saffi sol-mmo t.AI -1 s,' Les oomsoaires des Etate-Uni à l'Exposition du 1861 mentionnent à diverses reprises dam leur rap port le afait bie ooena déjà que la vigne eime un sol léger, maigre uaM4bt alt~ exemptl le c'ob liUs de la Obmaiga eet de 1 Bsr gog9e, les*penes de Medo.et fle rives du Rias. Nous e es 4(tioo doue point trompé en pensant que la vigne e plairait dans la pin~ire loauiianaise. Us fait, que noeq ve none d'appreadre, coufirme ejore notre opiloon. m. J.-J. &Cxrdt, probablement encore un All.y·ad, a oommaeé ea 1800 ue plautatio près de Bastrop, paroisse More. bouse. Interrompu dans ion euvre Ipar la guerre, il 'y est remis de puis deux ane, sa plantation est Smaintenant de uoiq acre, et il a récoltd la fia de 188 au vin dont i le connaisseurs foat grand éloge. i A Batrop comme ra ann, l'a i cre rend mille galtlon. M Schardt considère le parmeo»-Mdrehoue, Claiborne, Jackson, Boseer, Union, Set autres parsses septentrionales i de l'tat, eomme 'arttoi)èrement ipropres à la eitulre di a rigne. Ily a plus, ra.W del 'grio.l iteur de Morebiouse .reosui Aoe Spoint que phudsir de paroimse Sd Nord s'eatoudeig o moment ddas le btde favsier: ie mi igiei de vismro r e et voici ce qu'elles ns proposent de taire sans retard. Environ 60,000 acres de terre seront mis à part et offerts par lots de 80 i 60 acres à chaque ftnille d'immigrant, sous la condition expresse d'y cultiver la vigne. Un titre en règle sera dd livré au concessionnaire et les he bitants Pl'ideront à faire face aux premiers frais d'installation et d'en tretien. Avec de l'industrie, de I'Pnergie et de la persévérance, il pourra franchir les trois ans que la vigne met à prodnire, car illui sera loisible de cultiver, peudant ce lapI Sde temps, le male, les pommes de terre, le tabac et autres articles de consommation. Au bout des trois ano, la période d'épreuve sera fiie i pour lui, il ser maitre et seigneur i de la terre et en plaine roulant. Les pionniers de la vigne, dans l'Ohio et dans la Californie, n'ont pas ea pareille chance. Ce que M. Seward, le secrétaire d4'tat, pourrait faire avant de sombrer avec l'admini tration Johaeo, oe serait d'enjoin. dre au msistre Dix, antre étoile filante, d'istraire le publie fran çais des avantages offerts aux Jean sans-Terre de la vigne gauloise, ci au besoin d'utiliser la marine de guerre asdricaine, maintenant en disponibilité, an transport gratuil da us.~ homia utiles. Ainsi. catte terible marine peupleait le I tay aprèe avoir contribu & le ddpenpler. La Loeisiane a un fort grand in. térat à seconder le monvement qui naît daos se paroisse da Nord. Ce n'est pas seulement à cause de son intelligente appréciation du jus de la vigne, malre - sw poer des raisons plus graves. Il lui importe que P')ailibre du nombre soit au monle établi entre se popelations blaonbhet noire, et que le terres en friche soient mises e valeur. El pois, ai ma. ifaodon de saag neuf et vigoureux est néessaire poo. retremper la race blamee amol li par l, prosprité4 esualte deor-e par Ld4vertfn , que ce ol de oe aog riche des plébéieou françai, des vigaereasuoois. L C6(e de Allemaids a jdf colobiséeear B I a ils apporteeat lei pea,.eté et le eerage et aret la pros pmrit. Biutrmpne-moaoes done dans les ro oesM materelles de larope, 'aPelons les virmroar d'ootrem ar e et nous célèbrerons notre résurre O tion en communiant sous la saini t espèoe du vin. MAISON BLANCHE 157......rue du Canal......157 Nouvelle-Orléams. L. GALLOT Importateur direct de Vins, Liqueurs, Epicerles, Conserves, Cigarte be la aomaue, cr. j'Toujourenn maius un grnnd uasortimout de vin» e Xérds, de Malère et de Porto; Cognao, Rhum de la Jamlqaueo, Genlivre, SWbikeys Irlandais et Ecosaess, r voMMs deo doelu de Leatmre 61 G l. JOSEPH BRUGÉII ~MA&ÇHAWii COMIS3iukNWAIaE ICT INIOLTATZUR Do Vin% Coguaa, Absinthe anime, Kules, Eaux-de-vie, Frult, Vermouth, Champagne, &o., d0., &0. M ....U de la DoMame .... 5 stes Cbartres et VieiUollvdo lumv*UO·-Orllrrm d26 la r FI ROMUN, oommis.] 1. W. HOMAN J% Cle, M POISIS IN 0108 W? NACUANDS DI LIUUEJURSO VINS, TABACS, &C. 41. .rue Tohoupitoulas.. .41 eutre "rivI et Prodres NOUVEL LE.0 RLÉ ANS. dU la JEAN DUVIC Caau Cf mlteu..--lMe et **J,,-e.Bapdtlee, rive gamee. Livrer sur oommande etave pamtitds, i toute lese personne,-as db etioa d oouleur, d'ge, de sexe oa d'opinion politl ques,-qui voudront bien l'honorer de le patronage: liotr, abelk , ilNerai, rusefln, oaé., de touns gel m , mais di bomie qslité reulm enr Le l chausur e emo etIonnse par Dvise ont,-par lmI déWl g e, soliditd et bon mar -le tri Savutage de atter notre vaitd, de réjou noe extrdmités iadrleuree et... d'épergnel notre boearen lii la NE GASPILLEZ PAS VOTRE ARGENT S UR de piesl ali boa marchd, eoma~bid sn uer .dl de a p*tete PArruoA, qui us aot M abaleoent iastilM, mali pietenu, tMinds (t'.l M«et et ddprs e vot roe -re. A vous rooles avob rasurnce d'obteak m boa prix 4d prod;l de vas uam, sabete l CtPI&WDBJ P.rvria qi aqjouawdhb et Mu rival et at univTr«lemt admis daa rEta oomme le Msel modde e olarlcwtiM du jfu de *omm par leu audse Mieura, ave strla de ctlitld quse de (4flidM. V..B. MARltLLIOI Wtmas & BIccIs MaeP... MAlaminsLis Tue. P. MaT B. & L.Taoruas & CWe OavaI Birau. Bosinti DawrMrsVoo BATBL & BIe, ebitattaee a UTlo,. t oambre dtures plaites loulabamib. Apparirs hrI·lls l QA r eim taW dolir 4" fa (*ecI mible et adre11ede à ls Wias e "&= de iM leveMoerbilse laT - No.144 rn Royale, I prèla MaiamndeCon, N/l. Orldam. I St.Jean Bapliste. LOUQUE & DEPOORTER SAVOCATS Exereeront leur profesion dams Ihparoltmo% Orltan, Jefforouu, St-Chaerle, 8tJeon.ar. ;7 tite, 8tJacqum et Ameenalon. am. et DMIl.E LEGENDIIK, ÉLIX P. PICHu Cantrll P. O. Connt P. O. SLEGENDRE & POCHÉ AVOOAT8. Bureaux, aux riddences de E. LP.isluni: t et de F.-P. Pocu n, paroiem StJaeque. SExoreront lonr profemimn dams In parois. e m LtChale. St-Jea .iBaptiate, t-Jaquses. Ascension. Asomption e Iberville, vt duvtu la Cour unprem de 'litet. IWI L'un des associE s trouavor toous l - JEUDIs la Maison de Cour do 8tJeJ«a Baptiste. JULIEN IICH11 AVOCAT 12, Exchal ge Place, Ille4rwls (Boite 2526.-N. O.-P. 0.) Exercers sa profeuio dans les paroies St Charles et tJean-Baptiste et perdevat la Cour 5uprime de l'Ett. oo 13 lau HIRtMA H. CARuVR WILLIAM SIma *ee«e de dis., te dist.jd'rs CARVER & 8$M AVOCATS Exereroat leur profesoon et et chargerout de toutes les fatires qui leur soemt eoaide daau les paroises 8t-Charls, St Jani-Bap tiste, 8t selJaoqu, AÀMelua e*Asomptio. FELIX REYNAUD AGENT GINÉRAL DE TERRK ET AFFAIRUB Do~amoWniHm, paroist Amenion, Le. Domwa aun attetolen apcdale à IYeqilsi tion et i la rete d'babtatiom suerit6s e atres aaritde . Med. 1m P. B. JUDICE iApammw et iaiulur Cliol Arp.utagea t bornag chd'/aebv*ou, trou planeet dvisioUn d'habitaio", et., etc. MM. Duuuz & BULww, 41k... de tVLo. personnea désirant faire exdo.terdes travaux sent pridée de laisser aux bureaux do Nachacébé lu Inutructiomu à mst .1, le plut tôt posible, afin que ces travaux pah MI Mma «e4utés avo pheusd pde dtad& et iàoins de bs. le mai la N. Liguq e,,B loi U eUILle H. P. 51'SiOlE I. LASUS4JUIIIU6 CIe. IMICROM aminiumaimllfUtl HAN7IA2 m -NHISIIU mE17 Prs Io fp du deigmi de fer do ACMT ET VI 0£ Ç UT8 N LA VoIbloes u, Uatio* am est% Ton V., ole., Ma véium , xr'.I3*6 OoutrUtmn, Pomas . à* Wild cote, (Wo"mes Doit de, 0* cae dm. Bum. cr# · TI'TTTr Tl ~, " ii ti4W 948 la *0001*'Io11 'b r ff VIS rp .1 y nAl ~ ti rl ,iP Ir~ICf , go * le va -bi. * -v 94za. sa,* c >f i!/ ~ .~ 4e 9e lwb ,fimwd PAI I.l rT ·I; iJ. ri. mi1.. pw~ diêmmoem tr~es â.. ~p- iD~w · d.b~~r IC - hh~~d4i~FBubIhmLhutoi le gumdvl, SmI m de mâï a DoMiMlus ui dit: hLuu raî »»! pu idpoule, 08,tsro~ P~ niai row-ýum-v M"d t mtA ~ mo th às&~ooJ~ 4ls. L4 i~pIu mifl1 rAm 1uqd rmUb à du 11% :94~iwCP --ae~ a it Va"ihU4L ib pu de a'i Eilr LÏ wph.i lhpo doa »oe mafia d'e eo.aumie1 ouJ le u toute Sueu e, e. de zýâ.=uî.04 plu mi que uffa rrilveuo ie& &mi. avoié vehernautum$ de sV*avir dWM à pair pour uiho.... Avoué m déaIrt l e.. Umm" mt u mmm P or l - p a m ew qui ~r de amide d la'oqa Vmnuu aMiussd Affl# de pu* pu Baddwiui~w~, luneoo a s Avm 4.r >utrker mmu Delium ut unesu E;uy" &M Au. : Mrvar i9g Lés * p .m Mao ., àf j run so dcW oisl, Limam puiti rle q uiltor peahat urne bea Orife.t pouvoir niai da.u I. rehe de neEhr .iée, am p4n, epoodi -g. =ý* « de 8taméourg;oà u vous . ot ui le uplues la o Ilbut ton. PM ka oW&e îo4 lm a k· iaqsgi de ùm& jer4 . lei bM de dm ~.u Ima à Puis, ibm sm ami l am. Il s'aida&i à onr bum un boramsa Mié cuze iume de caimbre, »OiUo ou eoremi. LCa tiraville. Pour devf de &Iem , I flit qlu se . rtidip n à tnravam r àA eou to.ur-Je t dm dè p ie ux.--D'all-nr, sa i s drema q'eus iade. Dis q j s i ilbr , o m d ra doe tosaw r. Ba Ui eM to t murto à Mauoutir, oi t duadeois Il'adrm dII Lvj oleC. C'st uM juif trs.eh qrie qda j dm llM|mIIsre4 h4o0dte rm Mofrs _e ds k nl a, o q r~rn es seu e n M,. l r te la I d'u'. vcis ua qui va de Semrs à Nacey. i t' M a wplse de boo mar. De N" i Prito, e qmate t raes un&s Va, m fill, «o. dulatot bimn et s tliuqot pa de yoplrats dus .e doe nulvellsnt. Veil tobuim- o Mr te ver. , à le fore d'une &ame. Je as peux plu te servir d protete.u D'avlru, u* vert qui besoa d'u smt m vaut pu ai guorite. 81 to dpis ma tourner, tou pine s peut pihe à'e» empebr; mais n'oublle pu qu'ua piaMv flle oimme toi et trop Ibereum de trouver aI mri/ mue Ide. No moag qu'à loi. Le boonber d'usme femms das I'mor t dau el'iem de ao muru Loa stn. elW qu eUire. DI que u s i arrirve à Paui, t ' m mirne, ds qu' Ims. Mol. de ms edW, derbie i Lory ombrae pè In a ugetat. "' Co( re,m. ie, l. dit Dolbliu .'m, ha.mt à trolatem; DM protre or qplisMeuoa amoe en li. Adiè, Lory. Je vs s pr .o portoJ - je n M' o Mierl pu; je te rulede msas eoer mu iborM, mm A omdiahr que tl 'abserms pus de la tionoe. Adieu, mu heat kse, tea prF p Arie peor toi )" (La seni an pro:M»n *u*dre.)