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SAMEDI 16 AOUT 1878. EDGAR P. O., LA. XX I' ANNEE--N" 38. PRIX DES ANNONCES: I ONN... EMENT: PAB CAUÉ . E DIX LIGNES: Lu an ............... .... 5 00 Première isertion........ $1 50 Six mois ................. 2 50 Inaertion v satreaes....... 75 'PA YA BLEN IA VANCE. JOURNAL DES PAROISSES ST-JEAN-BAPTISTE ET ST-CHARLES -- LOUISIANE. E".. DCTMEZ &A T. BELLOW. f:ElDA.CTETTIS. VACANCES LÉGISLATIVES Les f-r-çari sont partis a raceanes et les dialogues desmorteae troublent plus le i lmee solennel du palai mytholo gique de Versmlles. Aux querelles et aux mnaces ont déjà suc eld6 les intrigues et les complots Pendant que le sabre de Mac. Mahon se forme en faiseau avec le gouipllon des pèlerins et que le trone et lautel se cherchent ins tinetivment dans l'ombre; que P'EXéCtif se voue à la protection pédBale de "'ordre moral et de "gems de bien que la politique royaliste, les traits cachés sous le masque de la religion, assiste Max finérailles d'Odilo Barrot, le ju rioonsulte qui trouva la formule de "la loi athe que toutes les viles p.siom rugissent au fond de FAme corrompue des aitocra tes et des courtisans; à e moment de t6nébreuse incubation d'un avenir prochain, il est intéressant de paser en revue les partis qui 'agitent dans cette situation ten dae à Pextrtme, et, si incertain que lFon soit d temps qui va ani vre, d'en interroger les dignes. Bi les ancies avaient tort de otenir que la nature a horreur du vide, laxiome banni de la phy sii par la alsee moderne peut être bhopitaltrement jeç dans la poatique où il faut que la scène soit remplie. Or, elle n l'est paa, et le monde gouvernemental est dans un désarroi complet. En Fiaoe, la B6pablique existe de auo, rpond aux veux et Mux be soins populares, est acceptée par Félite des esprits, mais est en même temps combattue et entra ée par les débris coaliseé des ré gimes déchus. Une assemblée qui est nae dans lelare>met de lin vaioo et dont le mandat, sil n'est cotetatble, est rd'alleurs expiré, Jmpuse la Bépblique des or ueaet desamgets qui eotaré la pate.4a gouvernema t dont ils vivent. L prsrient de la Bxpu. bique, grand digaitair du second tpire, ajorS obéissaee passive A la m~r moarchique de PAssmbe 4, si aee podomae, pnugem- n emUrdela dUmoratis la tn de pdpe m ais Se -dL In aenuOlms auoment-nt esstmaltipilit lersaaoD regarde esme éahmie lmiable et im. possible de Versalles, qui se read Justice on - fyanot aise-imae et en prenant nn congé comme un saile oh elle cachera as haineuse impuissance. Le tripot législatif est devenu insupportable au joueurs eux-mêmes, et le triom phant 24 mai, qui a renversé le président Thiers, n'aét6 réellement que la journée des dupes. Lee premières victimes de cette roue rie parlementaire sontles quelques bonapartistes qui ont servi d'ap point à la majorité, eteans les quels cette majorité ne pouvait ae former. On leur a bien voté la reconstruction de la colonne, mais c'est là une fort maigre compen sation; on les a leurrés de Pespoir que Pie IX ferait adopter son fileul, Napoléon IV, par Henri V, le roi sanspotrit.; on les a cal més et endormis avec des places lucratives ou honorifiques, mais nullement inamovibles Ils sen tent qu'ils ont tiré du feu des mar rons que d'autres croqueront, et prennent fort mal le mauvais tour de cette leste éviction. Ils ont beau chanter les vieux refrains à l'oreille du rural et conter aux niais que ee sont les républicains qui ont poussé à la guerre, et que est avec les économies faites sous lEmpire que la patre a sold sa rançon; ces menteurs impudents ne sont pas crs, et leur déconve nue a de quoi prêter à rire. Aban donnons-les donc à leur sort mal heureux et mrité, et sondons le bloc de la fusion des deux bran (hes ennemies de la maison de Bourbon. Depuiscombien detemps n'est-elle pas sur le tapis, cette fi a4on qu'on peut appeler infAme et sacrilége! On en parlait déjà en 1851, à une période de vide et d'anarchie telle que celle où nous ommes, à la veille nmme du coup d'Etat du 2 déeembre. Twklken ban cherchait à engager la con rersation avec Froehdorff. Mais l'échafaud de Louis XVI n'était pae amse loin, et les flétris de Bel raveSquarene dataient que de la eille. Comment éponger le sang ue Aft répandre Philippe-Egalité, ifaer l'outrage de la citadelle de Blye, oublier tant d'iajures toutes hiches encoret Sollicité en sens ivers, le comte de Chambord de mnerait insensible aux avances et prdat, roulé dau un eoinle ,dra m~u blanc aux feurs de lis, at eodant le bon vouloir de la Pro ideon. Et la plsu AdMles démer alent, eta - Boebaia et -toret, sns soaci nifl émoire du duc d'Enghien et du fossé de Vin oennes, prenaient honteusement la livrée sénatoriale de l'Empire. Comment donc le comte de Cham bord a-t-il reçu et rendu la visite du comte de Paris, et a-t-il remis au prince de la branche cadette le péché originel et révolutionnairel Est-ce franc et loyal, et la fusion est-elle un fait accompli t Non, cette fusion monstrueuse, ce hideux accouplement n'auront pas lieu, en dépit des affirmations intéressées et suspectes, car si lea personnes venaient à s'accorder, les choses elles-mêmes hurleraient d'un tel rapprochement, tant ellee sont incompatibles. I/Empire et in Monarchie de juillet out flotté un instant àla surface de l'océan ré volutionnaire à force de conces sions, n'ont vécu que d'une vie de tolérance, en antagonisme avec la branche ainée des Bourbons. La coalition et la fusion les feront sombrer à jamais. Leur combinai sou hypocrite et frauduleuse avec un régime idiot et barbare, capa ble de rebAtir la Bastille et de ra nimer lInquisition, est leur arrêt demortdéfinitifetsans remise. Les trois ordres sont bien finis et ne ressusciteront pas. Le droit et la force appartiennent désormais à ces couches sociales dédaignées et calomniées que ne fouleront pas impunément les talons rouges ldu dix-neuvième siècle. Certes, le vide actuel trouble l'esprit, et on se demande ce qui le comblera, si les privilégiés y reviendront on si les travailleurs y monteront, si enfin nous touchons à une ère de gràce on de justice. Mais quand le royalistes affectent la foi reli gieuse, les républicains éprouvent la foi politique, et, dans le choc im minent, la démocratie achèvera de broyer la monarchie. Il était sans doute dans l'ordre logique des évé nements que le pasré se présent.At de toutes pièoes, avec son costume séculaire et ridicule, et son cortége de pratiques et de momeries idolf triques, afin que la France et 'Eu rope sussent à quoi s'en tenir et vissent bien jusqu'où il leur fallait retourner en arrière; il était probablement nécessaire que ton tes les cause perdues fussent réu nie devant le tribunal divin et humain, pour que la sentence flt rendue cotre elles eu dernier res ort. Bien de tranquille et de pai lible de doux etd'inofmulf eemme les fameuses "'couche socialee" de Gambetta; elles travaillent, por tent le poids dujour et de la cha ler;, apr,è - oir versé leur sang sur les champs de bataille, elles paient l'indemnité allemande; elles sont le corps et l'âme do la France, elles sont la France même, avec sa bonté et sa clémence; prpvoquées et irritées, elles surgiront dans leur force, et gare alors aux revenants de Coblentz et de Gand, de Frosh dorffet de Twickenham! Quelques mois, quelques semai nes peut-être, nous séparent du dénouement que cherchent à ren dre dramatique les funestes cour tisans et les incorrigibles ambi tieux. S'ils parviennent à déchal ner l'orage, puissent-ils être les seuls à en subir les atteintes! LES MILLE ET UNE CONNAISSANCES UTILES. ccXXV Le docteur Hiron, dans son compte-rendu de la dernière et terrible épidémie de fièvre jaune dans laquelle Buénos-Ayres, avec une population qui ne dépasse pas celle de la Nouvelle-Orléans, per dit, suivant l'évaluation la plus exacte, près de vingt mille de ses habitants, rapporte ce fait addi tionnel, pour établir les propriétés prophylactiques de la quinine, à savoir que "sur onze praeticantes (étudiants en médecine) de l'hôpi tal de Hombres, huit prirent de la quinine à une dose de trois grains par jour, et tous les huit eurent la fièvre sous une forme bénigne. Trois ne prirent pas do quinine, eurent la fièvre très forte, et l'un d'eux en mourut." Si les faits relatifs à cet impor tant sujet sont trop peu nombreux pour permettre une conclusion dé finitive sur l'utilité et la nécessité d'administrer la quinine comme prophylactique aux personnes ex poe6es à 'atmosphère de la fièvre jaune, il est d'autres faita qui dé montrent que la quinine n'agit pas tant comme "antidote" au poison que comme "antidote" aux efets du poison dans le système, eu pré servant Fiutégrité du sang, régi larisant et provoquant les excré tions, égalisant la circulation et fortifiant le système nerveux con tre l'action. du poison. Suivant Binz, la quinine a le pouvoir d'ar r'ter la putréfaction et la fermen tation, et est un poison actif pour tous les organismes inférieurs, ani maux et végétaux; et le docteur Grace Clvert a confirmé les ob servations de Binz et reconnu le pouvoir qu's la quinine de préve nir le développement des fungus. Ces faits ont servi à expliquer les effets de la quinine sur la mar che de linflammation. Ainsi, selon Conheim, le pus étant principale ment nue collection de globules de sang blancs qui ont passeé tra vers les parois des vaisseaux-la quinine ayant le pouvoir d'arrtter les mouveimnts des corpuscules blancs et prveinant par :l leur sortie des vaisseaux-l'alenloïdc arrête ou tout an moins diminue. lai formation de pus pendant la marche de l'inflammation. le fait bien établi de la quinine produi sant un abaissement de température dans la./ère a été attribué à sa propriété le détruire le pouvoir ozinisant le certaines substances; et comme les corpuscules rouges ont ce pouvoir, on suppose que I: quinine dans le sang diminue l'oxy. dation du tissu et par suite la pro. duction do la chaleur. Ainsi itanke et Keener ont trouvé que les alté. rations de tissu étaient moindres sons l'action de fortes doses de quinine. Zuntz a observ6 que la quinine à la dose de dix grains, réduit d'un tiers ou plus l'excrétion quotidienne d'urine, et Unruh a fait la même observation dans les cia de fièvre où la quinine est ad ministrée. Harley a ajouté de la quinine au sang et a constaté que ce sang prenait moins d'oxygène et rendait moins d'acide carboni que que le sang qui n'était pas ainsi traité. Zuntz et Schute ont employé les changements dans l'al calinité du sang pour la détermi nation du même fait. Ainsi, lors qu'on tire dn sang frais, un déve loppemenct d'acide y commence, et continue, rapidement d'abord, puis plus lentement, jusqn'à ce que la putréfaction arrive, et il résulte des expériences de Zuntz, Scha ronbroich et Schute, que la quini ne, la bebeerine, la cinchoniue et le picrate le soude amoindrissent a divers degrés la production d'a cide, et préviennent conséquem uent l'oxydation du sang. Les expériences de Binz sont particulièrement instructives dans leur rapport à la question de l'ac tion directe de la quinine sur les modifications chimiques du sang, ou de son action indirecte par l'in termédiaire du système nerveux, car elles montrent que, lorsque des liquides putréfiants sont iijectés dans la circulation, la température du corps s'élève, tandis que, si les fluides sont préalablement mélan gés de quinine, moyennant quoi la putréfaction est arrêtée on suppri mée, la température cesse alors de s'élever on monte infiniment moins vite. Non-seulement ces expérien oesjettent de la lumière sur l'ac tion thérapeutique d'alcaloldes tels que la quinine, niais encore elles établissent la véritable nature du développement de ces maladies, dont les effets sont modifiés ou ar rêtés par la série d'actions chimi ques qui se produisent danslesang. 50 Si l'extraction de sang locale peut convenir dans la première phase, contre la congestion de les tomae ou des reins? la saignée gé nérale est préjudioable par la dé pression qu'elle opère sur le eoar et sur le système nervnx. Les vé icatoires doivent être employés avec précaution, et sont inutiles dans la maijorité (des ca. La circu lition sera avantageusement in fluencée par les ventouses, les si napismes et les bains de pied chandl s la moutarde. L'extrac tion de sang, en forte ou faible quantité, répétée à divers inter valles do temps, est ii isible en ce qu'elle réduit le pouls d'une façon permanente, abat la puissance vi tale et hâte le terme final. 6o L'emploi interne des acides minéraux, tels que le nitro-muria tique, d'après les bons effets qu'on lui attribue dans lo cas de la jau nisse, ou la teiuture de sesquichlo ride de fer, d'après la prprriét qiu'on lui suppose d'artriter on de prévenir le voinito noir, produit des résultats très douteux. S'il est recounu que le vou:ito noir a pour accompagnement ou pour cause une altération sinon nne suppres sion complète des fonctions des reins, et s'il faut jusqu'i un certain point un effort de la nature pour purger le sang d'éléments vén6 neux, ces agents n'ont que peu ou point de vertu curative, et ils sont souvent pernicieux au contraire par l'action irritante qu'ils exer cent sur la membrane muqueuse gastrique congestionnée et ra mollie. CHEZ H. J. MULLAN & Ci. QUINCAILLERIE De tonu genres AMERICAINE, ANGLAISR, FRANÇAISE. Ferblanterie, Instrument aratoires Outils, Cordes, Harnais, . Peintures, Huiles, etc. 52 - rue du Canal- 52 69 & 71 rue de la Commune 69 & 71 NOUVKLLE-ORItAS. j'tl91 la A LA CORBEILLE DE FLEURS 4....... IE Ste-AINE ....... 4 ENTRE CHALTKES ET ROYALC. N. BOETVVIZm. FABRIQUE DE PARFUMERIES EN TOUS GENRES, LIQUIDE SUPÉwIBUR pour la Teinture des Cheveux. Méthode d'aprbs laquelle oa peut iliminuer à volonté la teinte noire, sinai qu'il est expliqué dans la prs eription qui accompagne chaqubotte. 2Mla. I IION FRANÇÂIBE BUarEaU ELUE WP-UIJS~ Nê 9.8 NosUe-OrUam. Les de andes pour tnvaifleus%, ouvriers pt" emdploly, mont recuss4o 9 heurendomatuinà4 heuresde P'aprôs midi. qui oberont accepter son défi t Et d'luear, est-ce qu'il y a pour le philosophe d'antre publie que les homaes qui pensent et raisonnent t Or, aux yeux do ce geêni, le duel n'est-il pM le plus absurde comme le plus bar bare des préjugés f Que prouve cette logique qu'on ap prend'dans une salle d'armes Un coup d'épée bien ap pliqué, n'ent-ee pas là un magnifque argument Parez tierce, parez quarte, vous pouvez maintenant démontrer tout ce que vonA voudrez. C'est bien dommage, ma foi, quand le pape excommuniait comme hérétique le mouve ment de la terre autour du soleil, que Galilée n'ait pa songé à appeler Sa Sainteté en duel pour lui prouver que ce mouvement existait. "An moyen-Aâge, le duel avait au moins un motif; il était la connéquence d'une idée religieue : noa grands parents croyaient Dieu trop juste ponr laisser l'innocent tomber sous les coupa du coupable, et l'isnue du combat était regardée conmue un arrêt d'en haut; maischezs noua qui eommes, grâce an ciel, bien revennrs de cri folles idée et qni ne eroyonn A la justice teiiiporelle de Dien que sons bénéflee d'inventaire, comeniet le duel iUet-il se juntiler, et à qunoi srt-il T "Vonu craignes qu'on voul acciIeo de manîquer de cou rage si vous refntse nn cartel; niains coe mniltheureux c>li font le métier d'égorgenrs et qui vous défltett parce qu ils mi eroient iAq dle vous tuer, quel croyez-vons done que ,oit fler courage ? celui du ouclier qui é;grge un mot ton qui a les pattes liéea, celui du chaiseur qui tire mans pitiét nr un lhsvre en forme ou msr l'oiseai qui chanut; mur mon arbre. 'nai conn::, moi, Iphaieur. de ces geus-l1 quii n'avaient pan seulemenit la ferm.eté do <e faire arra cher une dent; et danns le nonmbre, coimbien y en a-t-il qui omraient oir nt oiir à leur e*onait'e contairn.ement A la volout l de Pi'hmu,,e dont. ils d,éI-leR't ? (' ILAr' ai TI.LIER. (La ute 11 prochain usmnér.) \n\n ION ONCLE BENJAMIN wuv~ ~ult dm m I.Mm'b, mrn - pM4S i QI i. .p,,iuumr~L1 ph. 4. UWlIII, bqII I msên à - uhué,I à qii Iim de mu arwdd; meep ter W" aîtdol pu "W rç 6 vd" de uma pan qu je em maii à courir r lar crde teudie d'a la provoca ti d'a fha mbule, on à travermser de mer ear bl d d'an proa~iu ..e natation t Et quand bien même l auaee rimi t dégle entr nous, quand on conclut a turi, il mt qu'oa espère yp er quelque chose; errijes t pe, (fet je "ai te épr qje m)sae f mler veadmo bi, rb i x Jea fane as un marb6hde dupe. ml mrt, udePs-vou, que tout homme provoqué en ilta bâtt. Qul aim aunmeartrier de grand chmin -miBis r.iukàl ddr a ire ne je ae fa aucun de o i édehb per hà im do1"de de bonae@ jambes, tuï d st-m menauerd d·le ma ime met auar i sMs la I Jo e iratEobli d'aller me jeter ur am I s. 6épée ! "A iomp capi gs aq taditviu, que vou ne cou a-ses que poue li avi pr mégarde marché sur le VieO, oe "Mbmr, "trouves-vous, &elea bhee, a tel edntit, -a oqoe Bie la tlrfaction de vor égor er, a ttioal de te qlte que voua m'aves ite," il i qu'euaaede a uz odre* du quidam, etqa'om preaL e eb gm maearss de le fire attendrel Chose truange! a y a s bsmsil qu le vs rtoqusit pa mille frans par rlamer à leuar mi, la fve à lear père, et qui kq.M. leur rie dam u dul pour pnae éld t etpoa n r d de trve Mat l alors, qu'est ..-qe lw viel e a'et dm plu un i be ai le quMto kuis Mert eait fu . p de boet o'est donc - ihdiaBenqir jtte aun hliafmner qui pese, ou une Ypi is de ue elsedb qu'eo abandonne as premier avoaMi quii vrirlebthater n rote frenftre t Iexigent sjaJoue vie à répée contre celle de M. de Pont eQ rejms Juai sent frKanc ave lit l'impériale ou à la triomple, Je eiris au homme perdu de réputation: le molmdre asetier d'entre eax ne voudrait pan de moi pour gendre. 11 faut donc, selon eux, que je sois plus prodigue de ma vie qu de ila agme nt Et moi qui me pique drêtre ploophe, e réglenra ma conscence Mnr l'opinion de tels casites a u .it qu'est-ee donu que ce publie qui s'établit jge de nos n aonu Des 4piciers qui vendent à faux poidi, des drapier qui minent mal, des taillears qui habillent lers amot rau dépens de len pratiques, des ren tier qui fot Poumre, des mère de unmlle qui ont des amuats, et en oamme, un tas de grillon et de cigales qui ns savent ee qu'il chantent, du niais qi disent oui et unn sas mvoirpourquoi, un aréopage d'imbéciles qui n'est pas capable de motiver ses eoneludons. Il aerait beau, ma , qe, mal qui suis médecin, e m'avisame, parme que as Mdmad acrolent que aint Hubert gaérit de la rage, denvoyer aun hydrphobe dans les Ardennes angeaouler deaat la ebae dee grand saint Choisis exs, da reste, eaux qau se d6écoret da nom de sages, et vous verre comme ilus sot conséquents avec eux-mémen: lers philosophes ettent les hanut cris lorqu'on leur parle de ees pavrn femmes du Malabar qui as jettent toutes vives et toutes parée su r le 4cher de leur époux, et quand deux hommes se eoapent la orge pour un fétu, il leur déeernent une courone d'itrlpiit6. "Vosr dite queje suis an iAche quand j'ai le lon $neun de refuser i eartel; mlas, selon vous,, la Iheté, qu'eat Ee done t f la lAcheté consiste à reculer devant un dan pr inutile, o troaveres-voa un homme couraieux ? i de veO, quand son toit eraque et flamboie au-demun a tté rese à river tranquillement dam. son lit ! qui, lormqu'l est sérieuaement malade, n'appelle le mnde cin son secours qui enflp lorsqu'il tombe dan ani Henve, ne cherche à s'accrocer aux arbuAte* int rivage f Encore une fois, ce public, qu'et-il f un lâche flni prlMIe la témérité 8uppesona qnu'ai lieu do moi, Ientjanin lit thery, ce boit lui, le public, que M. de Pont-Cüasé pro voque en duel, combien y ca aura-t-il parmi cette foule