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SAMEDI 16 JANVIER 1875. EDGAR P. 0., LA. XXIII ANNE M..NI 3. PRIX DES ANNONCES: W £ A AlIoNNEMfcT: PAR C"BR 9E DIX LIGNES: 1 I A |n ................... 5 ) Première insertion........ *I 0 ix moi ............... 2 50> lerdonssaoivantes....... 75 J PA 1 ABLE&S .1A VANCE. JOURNAL DES PAIDI&ES ST-JEAN-BAPTISTE ET \ lIARLES -1 LOU1SIANE. -i/.- - - î - 7 E- T> WIE2 àc T. Fj^ 3. .0O77' .AE LACTTiCTÏTIl, X..B 4 J-A.bTVIER 4 janvier de l'année 1875 res tera comme l'unne des dates sins tres de 'histoire dles Etats-Unis. Quoi qu'il advienne ultérieare ment, il aura imprimé asu front de la nation américainejpe tache indélébile, car lat' t onnitis par le gnéral .n devaIt ITP 'en ce pays a ibilité » lue. En concevoir neulem' jenaée, était déjA une prew curable démence. Aas nor aict vulgaire a . au sondar .rienx gr r 1 allait 'ever le .pete de ignaUot o ioW Il s'eat veralomis .mes de Ma t6 anfliger oette dits,"A qui doit rclees supé riura* mses eSuvres .de la t "I y a une éloquest musrinabt ..« 1 y a anasld un argot sok répagne, et c9est oet, ot que parle Sheridan. On sea so 'lent des etupides et 'jolenta panpo des uaiérables Punifonne brodé et galonné a changé en bêtes, et son vent en bêtes tfa( tes. "Iodre Tègae à Varsovie P dit Pqp; "le@ chasepots eont bit merveille " OéMrie Pautre. Its ane e doutent pas qau'ils font horreur et dégoût. Alfred de Vigny écrivit autrefois un beau livre intituldé Srvâie et grm.dmw mt1afru, oe il peignit le tristes métamorphoses hu. mainee qu'l avait étmdiées sur le vtdaM la vie des eamp. ('étalt «vat le 2 décembre eo France et le 4 janvier on Amérique, deux journées militaires qui auraient enrichi et complété amn euvre. Taleyraod, qui jouasit aid ien avec les mote, ddéclarait, du haut de a loague expérieee des hommes et 4aes Rboes, que "le miltaihe n't Mas cidl" n'était lam écMnité du eslembour, Il poiralt aller plus loin et asrmer que le militaire est uamova Le malheureux est voué SPeobéaisace passive on elet, et et ea debor de la amile, de la .sduéaetdela patrie. l neeou malt ni lois ai onM tattion, il ex& ce des odres; il mange et bolt, digte t dort " comme conud toyees; àais làe borne la resesm. blanoe; pour le reste, i est instr m et e sam e. Victor Hago oigle de ses strophes vengereises, marqne au fr rouge de se chii m te It mortels les glnéuras -ompioes due murtre de la liberMté, Seavait ne *e.cbdedmm ÎÏ#&s leur eu mbo bls it% auiaue r. auen etter ~ V i .. I.i q!t ett. An .!' *i duic.nn chercher à ut; ', -r 4.ols. Le peuple améri-. cain ne peut faire autrement que de discipliner et §ubolrdt'nn<'r cette tbrce avengle. Si une armée de quelques milliers de soldats est capable d'opprimer la nation en un do ses membres %ouverains, de paralyser n des Etaf s mignataires du pacte fédéral, jusqu'o'i n'irait pas ne de ees armées noinbrises, telles que oelles qui sident les monarchies d'Europe à tenir oMss at" J....< r i.M~ un.J , Le pepea- i rodomo., own, agent pro vanteur dai tisme et précur meur du 3e tt(ine, ne so contente pas d'outrager Etat de la Louis. iane, Il brave enore le Congrès américain, représentA par nn eowe t d'enquête, et tranche Insolem. sent ce que ce comité avait la mission de dénouer. Il formule et oeentue les pnlus aburdes men snges. Esqueirol,ledocteullniste, ne s treompait guère le constatant quie I métier des armes désorga nise les naults mentales, et si les membres républicains du Congrès avaient conservé quelque tueur de sens commun edx-mêmes, ils tra duirasieut le général maniaque de vasnt un conité méddical qui décide rantdu genre de traitement réclanté d'urgence par un tel accès de folle. Des #ournaux influents et t r sonnages marquants i ré. publeain onut dbéj voné le crime dn 4 Jan t il qst pro hable que le dur«- ieta de la mo derne Durandal aura fendu te rocher auquel we cramponnaient les ambitieux et les pervers de ce part. Quant an parti démocratique, Il ya delajoie au fond de sa colère, et ae d'attendait Fpas à tre servi per dauges énormes fautes. Pour emprunter en le modifiant le mot d'aNu Franuçais spirituel, comme il tn est ecore quelques-nna dans le aombre, le sabre de Sheridan et la plus belle carte duo jeua démocra tique. Le 14 sptembre, les 2 et 3 Cette dame luiii dit: -Va au château de Beleil; tu épouherus âne pri Le soir, le petit vacher raconta $oinrve aux *de la ferne. Il ne aemnblaki. pas trop répugner à* ,u re le enseil de la dame à la nibe de drap d'or. LesonntB gens se moquèrent du Dauellat, comme de raiM Le lendemain, à li mrême 4aure, il .'endormitf e Io veau sons le mémo arbre; la datne lui appanir f ul dit pour la seconde fois: -Va au chteau de Beloil; te 6éasueras e pria OeOM. *i Mihel reont.a encore son rve, et oni lui rifan uesde plus helle. -NWimportel At-il, ialla dame mI'apparat ie trlwèmae MM, je lui obéirai. ie jour silvant, on n fat pias pou surpris àMouooutigntie sv-Boe, quaanid vers deu leures on ouit cf: 4« pall,64 etl rea z I O vàaqes et tes , Côtatlte petit facher qui ripenait 0oU troupme à r'étable. LaftnDiere ntre onte lbi eM Brana solère, q* rto -illedo p ent:--Je p.r*! nt soa poque% *t a à tot le m@nde et partit reteoment. àj eut u» fre V er Am da haimm et, de Am de l btte, a gen regardèrent, ma risat 6 s tenirU e6te,. o ft qui arpentait bravemnent la vTilie 4e MI p aet as bout d'as bon. CYriN M t", qae s. bleo couase va à e àlar.de a'ils etroavltaa chaesau de BUe& douze i t S1 . t n.. tas ma voie, et JUngres periste dans sVn uibjectin. Sheridan n'anurnit point ngi ot- rlié plus à pr»jibwm ioMr la dIiInIocrie, s'il eût été s>ntdoyé à New-Y<« par Tanunany Hall, et affilié à#a ligne blanche de la 1 NouvelI )rlians. Un répinl»licaiu 1 tant soit Mu éveillé et mali.' - f dra ce hm6e pour un fanx frar, ' le redoute& cooine in tratri* Le'monwtestcritialueno o; la Louiiaie qui a \irté ju- , boat son lard fardeau, no> s,'! le parti 4dtKiocratiqne dans tt* rôt duquel ès événeinents op -i ¶eut aveg au ensemble ptrfit. Wai pour learti réubliîcain y,' rgmÇuue Ufj*fnna, et va bii;,di succomber sus le poids de <c victoires. (Otentend des craf'w.r i ments partow il semble qu v ca)iunt ae didique et que le C i(' gr.e déchire Laftorî matéri..i ' est un eimenOut tm|eiir, et il n'v ; que la force mtle qui dot émilces politiqB ea dM rkUa o'auoevjanm Q ni as faliblesse réelle que loram'elle est mani. par un inaenaé bl que le générali Sheridan. LES MILLE ET UNE CONN4ISSANCES UTILES. - CC'OVII On a qualifié do préjugé la ré. pulsion qu'on éprouve générale inment à entrer <hus une famille dont un ou plusieoirs inembrt-s we soint rendus cupsiles d'un crile. Il y aurait, en dtet, de l'ijiijs tice à rendre, d'iut. manière gné-. raie, les enfinltit kIt4Mlbsalblet4 d41' fautes qu'ils n'ont pas commises. Néanmoin., il esti démontré que le ;,e.ichant au crin we transmet héréditiremtent, indup*Uldamnment de la contagion du asauvais exem ple et de l'infueuce du milieu im pur où 1'enfuut a pu naître et grandir. Lhihtoire et le anailes judicial res e. fournisaent de nombreux exemples. Un homme dont Pexpérieume fait autorité en areille matière, Vidouq, dit avoir remarqué, "qu'il existe de» families dans lwsquelles le crime se transmet de gésarationU en génération, et qui ne paraissent exister que pour prouver la vérit6 l. l.1i 1 u1 ce point e 1 .i . la r'fponBe de1 cL S..oie, qui w'excusait en reije iaiut sur nue disiposition d'uqgani xaition lhéréditaire le crime de mal traiter son |»re. " Mon itre, s'écriait-il, a battu inon aïeul; mon aïenul a traité de mfnic-e inan INtentl, et vous voyez mon fils: cet enfant n'a.ra. pas 1 'Ae 'homrionrne qu'il ne m'épargnera ni les sévicesI ni les coups." Loi même philomophe a transmis i jsqmiipà nous le cri de ce jIère %ilee sin fils taiitait par les cheorcveux à i la) orte: " Assez, assez ! mon fils, *" '"i pas trainé plus loin mon u r- hleu et. pali.-'t 'fe lihéré *r »t ~n' * par diea i! 't' umion mal v.- hysiolo 'a:* 's a'4 :i a 'î'mi *l. t1fection8 mi-. h ' *( 's 'a''ir r it» tend î !t irait par e d'un *u . a a'. opposée iw .:l &,i <m r '*, ;i rn euer '*> . ,: al.- l'a.> | »' *H !';t fi 8tO <l It o ; 0miïni s ! * : ri ;e ' ateur, I tt l ;i''' ' '. 'ta !t 'ie.lib a'. con S^t< * -tin i. onder , at* *tail a ' lutte **«'i; , ii *.<b si n rid *lT tain», t aa .i r. : irans in "'t' a 'a ai.'. a i'atitudes !ws boat;îaa aîriltés.ta a < "ar q a':; au t vielhne!. b de î'aor mUimtmatu<'c . vitrp daiîa le i ie au fiittil , li 'TiAH.;\ eo * th.i n'-t i.;4 . U v >inp:iii'i; **v 4 ta t ri "i 1.1. t. i rea m aini ère m' a*t' ' ii, iT - r s f i 's lu ,rfi. a i a l- aiii' 8i l. 'e t' e 'i'rt'T la e*' ** 1 rI . t i. ' I)t. 'Ia fis . r.'* a*m''l ''t a.lhai 'r a p mdlera t i.I> f.a - e ''mI r 'i stt it iaen le si '. 'ai j ;i ' lr.aa. * ail 'l. a " 1 !! . .i ' .f',' ^*V' it r'..-t il, si n I i l ai ta 'U . i ita.' 'ti t'j l i t a a'. t, i Ia. 11.mm ,'a , 1a' 1 1i11 'i k ' j'a ' i, I letv 1)i - (fii'll it E a al lo at, ili l* f a on E. u*1bt, mi. adwi; ai .S l. i mia' W'il 'Illm (PU ,r '.* . ret ,i tr on *ni it ! t' .'' If*** ,* rr.m:asii-. tam l'aîaa' mail e n t'I f'tl lm u *' l, <i itiI l ' aila'ti\ , aI>; '1',aa<'ci;y taailr a' -' i '' "i" . af le * v <''ac aga'a ar 'î q ar' i'cii oumi a.' t '*ai' '. Le mamia; u t" \ a etrat con-' siilarr souna du' *fs (airiu' i jo01ea îta 'onmmae. menatîi dets ;mn.'i.es.f hier''itan; " ',i.1-. la a' a''i" i 'i<' C . '; * *.. i. 3 i". '.»nit l;. ii;-< r, , .u qu '<' - .a mmîtIfa t' . ti.*.- '* 1, nu . pi d at' r i tn i- ai t .r' -t : *; ' a eu ii ui 'a:..*i>'. princesses mervrellie mentbeDtes, mais on molm fières, et d'ailleurs ai déla et et vraiment primesses, que si en Avait mis un pois ' fond de leur lit, elles l'auraient seut à travers dis Um4". On racontait entote 'elles menalent une vraie vie de plrinrase, dtruAMt la mationde et ne Ms levant qu'à midi. Elles avalent ilo lis, tous dana la méînîcham bre et, thoe étowinaantc oen qu'on les iqfermAt à triples venrru.s, claque aLinao uvait leunrs soulimers de atia Quand onle Quand on leur dman es qu'elles avaient faitdarant la ult, olesil r6ipondal 'elles avalent dormi. On n' ivait, et eC4t, ou! aUC lit dans lear chaminhre, et on C@ imvaltewpremmdre s lears soluers s'Geiisst ainil tout ea&M. Le dnur de Bele avai t pablier à son de trompe que quiconeque dé6eonvri maent Ms ies a"saient leuars rlls, colraliait sau pouse parmi elle&. Une foule de prince s' t prisenté4 pour courir lI'arventre: ites avalent rell 'i re la porte Mntr'5 verte de princesses, mals I main matin on ne lu avait plI sves, et nul n' pa dire ce qu'ils étaie deveous. IV' se artiaat M ehteau, s'en fatt droit he le, WardiB«« 11 of fit M servi Celaui-cl veait juwài inte aor son gAron.u Quoiq aot e lul ngars blen dru. Il l'emBa I peatq'lplaJ auM princeses par M jolieturs et m bkt< eh@ wôlés. 1 U lée et tosd'abord ql'H e dulevrfl devait teà que au bonql at Mal% Qu plu dS& Saa it à rais, de lusdésgréabIe. -' Il peut faire déchoir, il pent ré. habiliter. Il peut éteindre, 11 peut rallumer. Si oielquefoiu nn véritable ns s)nitiii5s5simnot 5'ojre flaim (nIe ta mille, o(n ine prend pas gaorde iiqu'il i'est poiit dû au hasard, mais à la eoicidesclvde hI mnriages smulitaires. fini otut purifié le sol organique de la failill econtaminiée. Ainsi, pour relever une tfamillo dle s. délhéance liielitaireiv, il l'hat, 1 l'aigle <'41nn1 W.k tion initelli gent, Vcoulbiier l»s lliinier< de ni»mière i' neutraliser, par l'olupoi tion <ldes constitutions et des tem pIHCamienits, lesa léments d'hérélité worl»ide dont refliorescence est à cruindre chez l'n ou l'autre des deux ép nix. Celui qui compte dsna sa pa renté dIe épilcptique Xles liystr riqueg, des ( niailues, etc., doit rechercher nue famille oi le rhytih me de la vie nerveuso soit calme et régulier, et dont les umembres, plutôt apathiques que doues d'une imagination brillante, we ilistin gieut ipar la solidité du jugement et lei modération dans les idées. Un scrofuleux devra s'unir A une personne d'nue constitution robuste et d'une fibre kclhe. Ou évitera d'allier deux indivi dus uerveux à l'excès ou doués d'an tempérament lymphatique exagéré. Dans le premier cas onit ènernit les névroses, dans 4e se coud les scrofules. Ou se garders bien de marie ensemble deux sujets tres saiu gutisi, et dans Pascendance des quels existent des exemples de maladies organiques du cour, d'a. poplexie, de goutte, de gravel le, etc. En faisant une sage application de ces préceptes, on arrive pres que toujours A modifier la consti tution des familles tarées on débi les, de telle sorte que l'iniiuence hréidlitaire finit par s'éteindre complètement au bout de quelques générations, si le croisement est rigoureusement observé. Dr L. IOIROT. MOULIN 'à RIZ DE THOMPSON Nos 61,U&J&65 Peter@, et 62, 64 et 66 Decatur, Nouvelle-OiIt"ns Le moulin écale BflK prix suivants: j de @ogr«fýle No,1, *som. pour l No 2, et ît~re son pour le No 3. Smtt gratu toeinet fournis soi plan teustitr emadeadrestiée à ALCIDE GIRARD AGBNT, 2Wd4. - P.-O. el1 204&. A. SOCOLA NARCHM DI RIZ ET Â0BNT au S4t3U? nova& istmu i fflaeHI £W'Av.aeo Ubé'sZ nr oemaiga A. 8SOCLA, 13J8 et 140 rue Ddcatisr, )Xede la rue TeouIae, Nouvelle Il se posta donc devant Phuis does prineess«mm avec es d.ese bouquets dans une corbeille. 11 oe présenta un à chaeuoe ds sours, et elles la prirent flérement, une re garder le garçonnet; mala Lina, la plus jeune, fxant uor fai e uo grand* yex de velours, s'écria: -0k1 qu'il est mignon, notre nouvean bouquaetier I Les antrea partirent d'an éclat de. rire et la seur atdée lui remootra qu'une prines.e ne devat point abaiser ses rearda nr an garçon jardionier. Michel u'ignorait pas ce qu'on raeoatait deos péten dast&. Grace aux beaux yenux de la princesse as, Il n'en resentit pau moins an violent désir de teter l'en t im. ar alar r il n'omst s'offrir, craignant qd'on e se moquait de lai et mnme que, pow prix de a outreeui* dane, on ne leo mait à la porte. V *. Cependant le Badelot eut un nouveau rve. La4ame à tla robe de dmp d'or lui apparat tenant d'uae m»lW deux jennes lauriers-an laurier-ceriae et an laurier rose«;-de l'autse, une petite pioche en r un petit eaa 'er«et aun emssie-ioeaina n anie. Elle lai dit: -Plante ces deux lauriers dans deaux gra pots, pioche-les avec la piochette, arrose-les avec le seau et eesale-les avec l'esole-maals. Puis, quadi I auront atteint la taille d'un*e greette de quinse ana, dia à e" esa d'emm: "Xes beau laurier, avec la piochette eon or je t'ai pioché, avec le petit seau d'or je t'ai arroié, avec essuie-mains en soleje t'ai esnyé." Demande ensuite ce qu'il te plaira, le luari«en te le dooneront. Mi]hel ruierciala dame à la robe de drap l'or et, à *on réveil, trtqvantles deax lauriers, 11 exécuta de point s peint e Qut'e I.lni avait recommaadé. CHARLES BMLIX. fLa suite au prochai» »sdro.) ATA COR(BEILLE DE Fl£UIIS 18 .... Rurs~te.tNINF .... .18 EN'iTr r, C ,HARTIII'. rT EnTALE FABRIQUE DE PARFUMERIES EN TOUS GENRES, fdiniiimmrû ÀVolontéi I.i(ëi.1t4> noire,* cri pbtiali qui IIcco>jIgw page &liiiUelxoîte. 24flia. MAGA8INX À PI>IX FIXE!1 BOTTES ET SOULIERS à la portée de toutes les bourse%. Vèe?-i e e-a.ni.ier lime lnevwrhrndisea et no.'l pri.'-, VOUS qej-a toijours lea AUCUNlE PEINE POUR MONTRER F1£8 MARCHANDISES. Rtappelez- vola ml'aneienne place B. APADIE9 r. ue s.uc .NseI cas" ti <*irtru .0 Vd8~ L? 21n"174111. DAL* PERIET, sollicite dedmodgiJsUtions de Oeton. Sucre, Rua~e iz, Peaux, et autref p,-odnit., à la Yt3nso dueaquel* il don uca itnu prompte attention et dont Ji rendra un compte batlsfai.a4. 171aula. GR&LGNARD à SCHNEIDER --pro,% et dé,tail Tabac à Paer et à lPvle et Imottnimdresde Ogr deola Havane. 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