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teasesde éputee. Aoaan brait de *!, personne au debors La vie -, suspendu, le silence règne à <, lIqnes minutes du joyeux quar. t. *r latin. On se figure avoir sons les yeux un décor de mélodrame, et l'on s'étonne de ne pas entendre un trémolo lugubre joué par For uhestre de PAmbign-Comique. Dans l'ancienne rue du Champ de-l'Alonette - aujourd'hui rue C('rvisart-nous voyons, sur le mur ,d'uu jardin, les traes du mo nament qui devait perpétuer le souvenir de l'assasinat de la ber ti.e d'Ivry, commis par Ulbach en' 1824. Entre les rnea de Crotlebarbe et du PetitGenti ', s'étend, en ligne brisée, le long pamage des l:eculettes, espèce de boyau qu'on :iurait besoin de vidkler plus sou Siit. " Repect à la loi et aw pro prid4Ut dit une ordonnance de police. Hélas! on les respecte si 'îleu, qu'on est obligé de prendre (d:ls précautions iufiuies pour ue pa:i soulever de puantes ienteurs. Iue des Gobelins, une demeure lukaisiance préseute des spéci mens de linteaux remarquables. Terminous pIr une bizarre fuai t.Laie d<e iropriétaire. A l'endroit où la Bièvre se perd sous Paris, je m'arrête devant uue maison du Ibolevard Arago. A droite de la porte d'entrée est un chapiteau d'ordre composite avec cette in scription au - ius : EIe van* 1228. La c tion commence. La r Blnche régente, &aiscLouis roiL A gauche est un obus prussien, aveo ees mots:A .IstrJ la 1871. . O ella.me I, Empereur d'AUlemagne. P.-L. IMBX BT. (TA r n awprockdia numéroN. Un jour, ces almentuee bercent d'in beau êve. Ils poIuraiiveit longtemps e iaounge, ans y croire. fli lie dieut qie aijnaminidc nr pays N .marrnv impor eux, il en visitewont 'lrnoiie msutier. I I reprenrolmnt pon S.4c <«les cette terre qui leur est del\ ,iue msarée, parce qu'il, la con tniidelthWec la jiutice. Lejqior luit, on effet, où la France ir est rendne. Et ils vont, du lien lien, tm«lter, nmonnattre, erm lir:tuner lehobiets, leo~purwgel qu'ils :-vuicnt évoqniu de hinu, Iua espoir '>e le* atteindre Jamai. Pt.ertua enfin réalisé; mtl da pays chuigé en joie ; comme rd, pour 'cui. qui retrouve s pays, la jeu emsie revenait avee chaque brin 4iirbe. Je me souviens d'un tmps, i J'vbls peine i me figrer deu flear pdimtaMère, de psysages eatIe on radieux, sous un régime qui voilait et eulaldisait & me yeux touteechoses. tlle at, il eertaie mqe te dars ipoeudantes s'épanouiplalent et diit de notre deail. 4 notre retour, aous aveo voullu me rseseiter aveo elles. "Coi pfit, ditdnouMa, aves-vous blen pSeoueire, peadat que nous étles Zlls se amot ezeuées de smtle a iMua, disant: CO a'eer pas aiui q.l ayomao souri: ce at ao eemair des, e eellesa mit 4ét pganiegr tes ataua da Lafih s qui les at fltries asvat trbree. Pu. sou. , Mous o'avoua vraiment souri que depuis votre retor. Veaet vols en saMrer." .Yeui o qu om s eat ripousi le oeara. Airs nous avoue dit au printmeps auprmier rayon du jour, à la mer de-Normaode et de Bretage, aux caemde des Pyrides: Bas*yoeso a jr, vor s vMou 4.» vTtu de pourpre et d'er, peast que nous &euaesa deuil. *Caade was aver boui 4e joie,*~ua que cous éous s Mi, ariohl, dame lleseetsdaua Ptal. "Artis des fudeés, vous aves depe ml.aptemwds el , pre . Stml a plelmim àur eoes." 4rheqd iud upu ai bl mm wve dté~a xil." Ia mer de Bretagne nous a dit à Poreic: "Aasl longtemps qu'a duré votre absence, je n'ai roulé que des flots noirs et amers. Demandez-lu A mes rivages." En les entendant, nous nous soni mes laiss convaincre. Nous avons cru aux caresses et aux serments des tlenre, des flots, de cascades, des brins d'herbe. Et ponrquoi ne pus les croire Qui n'a besoin de croire aujonr d'hni à la terre natale T Qni ne cher che un refuge dans les lieux solitaires, pour y reprendre haleine f C'est au fond des forêta que s'exhale l'espé rance. Venex la cneillir avec nous dans les bruyères. Elle germe, elle vit, elle parfume les champs, en dé pit des orages. Entrons dans ces Baetier, <r'où elle n'a pu être déraci nDe un seul jour. Qui saraitjamais pené que l'amour du pays eût besoin d'être ranimé d.ns les coursa Ce ne sont pas des raison nements qui feront ce miracle. C'est la terre elle-même qui parlera aux bommes par la voix des choses, des lieux aimés. Les oiseaux ausi crieront: "Prenez pitié de cette terre de France; elle est faite pour être libre comme nous " (&ntiers de Praoe.) EDoAR QUINET. ** Les trangera, arrivant à Paris, vont généerlement visiter le munée de Clnny. Un voyageur anglaisn ons écrit pour nous demander pourquoi on ne voit plus le diable dans ce con nervatoire des produits des siècles Nous n'avons paa compris tout d'a bordlaquestion. Mais nousnous som es renseigné, et voici ce que noua avons appris. Il a été acheté, il y a vingt ans, par le musée Du Soumuerard, un prie diea do nmiyeu Age. Nontl'avons vu; il ert en bois noir, sculpté à Pita lienne, ayant un fronton élevé et épail. On peut s'agenouiller sans qu'il se produise le moindre phéno mène; mais, ai on touche un eertain idvot, le diable apparat, hidenx, horrible, menaçant et lançant- an li quide de s boiuche contourn.e. On amnre que ceprle-dieu a appar tenu autrefois à rIlquisition. Oit ne le montre plus au publie depula qu'en 1858 une dame a failli succomber à la peur qu'elle rementit à la vue du ma lin, crachant l'eau contenue dans un réaervoir pl.ous ose ailes. Notre co r ddan st t mainte nant pourquoi -nble n'est plus vi sible à Paris. .LAVEr. Dernièrement a en lieu transla tion des restes de M. et de' ,iand Gouffé, de l'aucien au cinietièrt de, Beaune, ldpartem la Côte-d'Or. Armand Gonffé de Beanregnrd.' e précursenr de Béranger et de D(au giers, né & Paris en 1775, eat mort le 30. rtoibr 1845 & Beaune, qji. l était venu habiter eu l18, p r s a ille et de mos gendre. Voiri son pitaphe faite par lui naemet qui estgravée a sa tombe: Le Iplu gai troubadour, An boat de a carire, Veut tracer or la pierre Quelques moto, à Mon tour. Rimeur vieux et perclua, J'adopt etje paraphe Cette eourteépitaphe -Ci-gt u moort de pha. T. OBMANT. MOULIK  MrZ DE THOMPSON ]oO 6lO a &OaPetaw, et62, m et S Degar, Joui1..oa . la SOOli &*se aux pdu sufvaats: deam pout le No 1, j son poor le Ne 2, et i dseun peur le No & Sm sgn.tee.estfournis aux plan. tioeP, sur deuaude~ adresse a ALCIDE GIRARD, oimnT, 26d74. P.-O. Box 2w. .PACKET E*GUIER,. BONNET c ARRE O NOUVELLE-ORÉAENS meiedo~lediet , Bonnet CUM le mrdi, la jeudi et le samedi. 1~wi, prixdduUa, Arr <ord lu ua*rn F eu uiooà , a "be ebet lard lm0 amble .. as nee id whla.y, via. 1.00 balb de obar-u eosd boa........ 50 lard....... 0 Zd $ Grati, etc. 60 MW... . ....I . 4.50 Bri4l id 4.00 .........1 s?73 c.plmIe MOIN BOTQ<T7ET SONNET hln vérit, I'om Mairalt bien (lde choses, Si le boa Dieu faimit purier le fleurs. v. JACqUAiT. .Te possède an bouquet de pauvres fleurs fanées, Que je garde, jaloux, comme ou garde un tiréor, Car, dans ce cher débris, je crois trouver encor Le parfum de la main qui' me les a doniées. Et quand mon souvenir remonte en son essor De mes jours do bonheur les rives fortunées, Sur ces roses que seul le temip a profanées, Un doux rayon d'amour sème des reflets d'or. Pauvres fleurs!... bien des fois,-lnutiles rosées, Les larmes de mes yeux vous auront arrosées Sans rien vous rendre, hélas! de votre éclat vermeil N'import, je vous aime, 6 reliques .,dies! Restez là, sur mon cour, et mes lèvres ternies Vous presseront encor dans le dernier sommeil! LOUIS H. FRÉCHETTE. It Moulin à Riz et Scierie à vapeur 8 0 il T i Paroeie Bt-Charle, rive gauche li mille au-de.ous de · Eg.l e Rouge. Ces detx naiune sont actnellement en pleine opération. Le MOL'LI A Riz pomiède toutes les améliorations nonvelles, et peut écaler 100 barils de rit par jour. 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Carré, rive droite, asr l'ancienne pro priété de la famille Luminais entre celles de M31mes veuve Auguste Chabud et Boobleau, offie respec taeunement ses servies sa public des paroises de la Côte, qu'il s'efforcers de satiiire par s ponctualité et es conditions libérales. Le docteur Mermilliod se traspor tera chez les peronne qui lui feront 'honneur de l'ppeler, et répondra à toute« commnnicatio adressées à Edgar P. 0 St-Jeas-Baptite, et aux bureaux du JMechaedbW, rive droite, et rive gancbe, chez son beau-frère, M. Guillaume Duhé, t. PETER'8 STORE. Le docteur Mermilliod a établi, sur la propriété de M. E. Boyer, rive droite, un bureau où il donne des con sultations touillejours, dedi heures du matin à deux heures de l'apr midi. lui8a. LA CHAM81 ILL USTRE E Journal de# Olmer et de la vue à la camp"i.. Iiebdouadalr& Prix 'deu àbozwe« ung~4JQ. Sdùreoee 3ràizbureduMloeeAaMh(b. >ln,'i7i. Moulin à Riz (0C IL- ALLENST 89, 91 & 93, rue Tchouptouilas Nouvelle-Orléans. 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ST-JACQUES. rs.ST.JAOQUU AVOCAT, J' rr r' r i rofésioti d(evaiit Ice cni N (lit -le distriet jditrinaire, pa S3t-Ubî(rle4 <et Ar(,n,4ionn, ct, d<utut la Co(iruî Siiri-nîu de l'lt:ît, deîîvulle Orlqiv a.1. ÉMILE~ lE"EN IbItE1, IF~.X1.ioi xle.1-Oîléaisti 1'. O., Couvu4Lt.l. ù. Bo~îte 1ý1t. S-;<("R LEGENDI RE & I'P)UIlI -1 VO(IiIS 9.'i-Rne Rovale, Nortvellie4)r14ne-25 8tJlu·c1 a l,- i ti reaideime. dî I F.- P. Poobé, l'rtt de la ulni:4nn de (uour. tV''iiii tlte t*ieoe-i( s, tf ruviieraî tolu< leu JEimI>Is< ai liit de ('naur dle Sci.î.,ian-Bap t Z e' CHARLES LOUQUE .A.VOCI&T lOvuc do la Douane, ma.e.iuueo morale. e. ncre de la manque&*@ Clseyems, M~euv.rle.rWaue GR.UMGNURD & SClNEIDER -Gros et détail Tabac à Fumer et à Prier F abrieantM et Importateurs directs de Oigavoe de la lavaiue. il rue Deestur (ci-devant Vliel.L*vdo)q en face de la Poule, Nouvelle-Orléans. 2@dl1 a. CHIEZ H. J. MULLAN & CI, QtUNCaILLERtE le toui genre AutBICAINE, ANGLAISE, FaÂNçÇan. 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'n PMA auo"thtdp do iu,>oemu en si.» m BSua; Dex Di AdouneguM a d* ou* Ail mu gisais wliid O Slows ïI. amilwüWimiuu a, pour bois et oabmoo, Qs*ul de olu.îlu4m, d"e toIosrMadjur, BAT*553E Da Cuaîwu, 4e touts qto ln i MIrI ooieso mmtxdoieu arve moi et psiUWi.Wsin ·dpai Meéh*. rnla· RucIWQOrldeA eoIIi.tt.ds e~clga4wioasr de C.~dn, Bacre, MôIaue, 2iz, PUu.uxet aUWf WodGiSr, à la voute dfleu Il do. mi* eft pinMpt attention et dons il wu.dtsUm pt. ustisrat 171w1& ·b 1. W. BouX 1M. EuSMN I. W . il 0M A IVMAN A&4ll. tIpcHio s 941-0 8 f e, WifANSlbr DU L. W4Cgr &CItëà De e 84...rue.Osumnu..M.O 'NOUVEL LE.. ORL *ANe. @(a