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En vérité, la Loauisane n'a guèR à Fe louer dms princes en gé,îéral et (1i Comn te <i$'Wga) Bii lier, #p*arlant Id dle. pera nnage mtaug royval, nons <Ionis ceux-dlela Framo, iîl < romment i rancîiate m1 1nie liii traitée aillsi qu'une vile niarcliati dlise par Louis XV qui la WCda i l'Es;inerw, et pinS tard linr Napo 10en qul4e vendit &nx itas-U.'is C'exet pourquoi M. Rameau, iN pro ,os (le ces Indignoi trafics, n'a pli retenir n'e Ilainte auèr, danîs Il ?ff lPÇi a ivre rà' "w&afIr Colo *4riegLI tg4.sa :lgbnriU? dumu ntu«arebiesq de mcM 4à ,bfrtune ilà, moqi 4es, rertu? & eM]itpI ç jgenvuwnqwvtn Ail ~en f ê.v<tfeÈPFIto de Parib j4ôir, beau. inmas de tout, r fait une lataro** pionptea o sternée, l'épée dans les reins des C&t%~nfifpartie ~ 44~~ eut. dlc<rPa Npscds de. tmmpn edm bveffl * n IcL '6~ b donot 1i ma MMs iiiHe caYiibno~ ·Ppul dama l·Ues a ~C regard Avait paait*metcomprml )m mom - -M'êt IM Doweii et apms adv'ersie *n8 Imc a moi J&JW-~ · , nlval>ant4A on ad dIngfaaatamri lm inuw-p Tlainom valms;oei d'1a titi rqi~bm ius vain-B P" .4U é'' 44Wr -YeL -Pf 11, à--à.[w C picii--19l s~s~ss~s~ iarw Ai a.i mfrQM)iLdaiJvre rdu comte Je'Pyi'lbl t uent de la Looi siane, de Beauregard, et avant tout de la justice. II venait de louer l'auteur et de 4ui témoigner nae vive sympatl ur I e ral, en q n'a -prince avya lei a poser bra ent on dans la guerre d'es t1 r e suite noblementles loinirsque d'or. dinaire dissipent follement ses pa reils. Vi tel iirïnée ler-ait comp ter sur un accueil sympathique dans la République des lettres, dout unl citoyen n'aurait nirme eu l'idée de soulponner le comte de Paris, coiittu pour étre eniiemi de toute intrigue, d'avoir spécule sur la guerre d'Amérique et rfêv dlt~ monter tur le trôn/e de soI aTeut par ni eseafifr délocrfntq.e. Lipisainais de naissance et secré. taire de la légation des Etats-Unis à Paris, M. Vignald a condlié les extgeitceed deadiix torhra dce so paisé et deson présent ava c une iîr itèligç.ce a.lnprieirFt uue dignité parfiite, >Mns nnq tcipe #orrecte de diploimate avec L.. mamettC. tMe meftattBf~lon a. son ftatenit de travail, il a nsubtitté aux vetrges d'uneM tritiqe acerbe nn bouquet de rotes dont les cpinea ;i irdnt. 4 peinD.efleur l'épiderme du comte de RBri&:ÂAp.iP*abir memtioi..d ks témoignagektflt# ldehX afteuar impnrtants" du, (tatné ilîtair, le gépIi f4 ~lea reg9rd et aPU a< Judant g4~tal , JolB,; il a line mett et dtlicatopen, u tourné la positio dr rtihe,et hain miontr6 le mng*rsug"»eMlih det mut et de IdoM d16i its veines de Beâure gard, eila panvreLouisiaue,'bran. che desséehé.e t oubliée du tronc fraçdiis. Par' e moop.dment de aflme M: Vipjaed devait toucher à fouaâimw di caoltlcParir Que ciaoe aim ajo@tr-w Laeoate de Pari est VenU en Am4rique * iVe~g s do cWt6 de aes b o bmtaAitl qui n'ont ea qa'6 w mlaer tomber de leur sim ple $oldl sut les imatanges dédu oe dei o...itdiattudo al. P.ais lo rva deanoi dtaoi l Bt çalt9rflmia .ua 4 Vos. l~c* tMBaist qae ft pqu'a 16 bé LCbOM .de 4h oeDWVuàir ýr-àa W tiogto Îb la touda tio ai vtde e noirs d l-' toMemudumis lqe Dlet q'a il Igtla é deo brlndl c ça-dMil lé' m ïlts de Parta` 0oqiqe et dt ni e I de Marigyox I 'flitasn I. pqjaLp d .t$laenapis eentCndu, il aue qlastine d'aunuep, dela bogaajaedi M. d a Madger, d de YMarigy W 4 édbTeax' que Plua tu<a -i a ia l.d9ptalie. Nouas s mi1e op u s last e utendu, ilyaane qlipxaie ds a nedsD p del i bede belKqMuasJl at mues, prabble « r » - * «* t I qu'il nnrait tiré l'éDpie de Jemma Spes et dle Va;aiy soepvW<le. e Confédération du Sud, car nous sommis tous luns on moins créa tures d i milieu et jouets de la cir nristlE. Le v~~ix roi WP V renl R t a Ait la 'oire, i l moi cr de bilan'; Savait/ fait niMnaissRan ici, .i n cette' tape. deson exil, ave. Sun fruit louisianais, la pacane, il Ss'en faisait envoyer chaque année, Set on Mtontre encore dlan la pa Sroisse St-Jean-Baptiste un arbre , vénérable qui porte le nom de pa. i canier de Louis-Philippe, pnrce Squ'il fourniasait son contingent à i la table du monarque apporté par Juillet et emporté par Février. Ces détails pitérils sout souvent les Smeilleurs jalons du temps, et for ,nenit parfoigile ciment des édifl ceis listoriques, Que de hoses A dlire encore unr ce· Mnjet (illicilJe Ai)uwi Sachotw 1 noIs borner et terminos en re Sediimiilnrdanit n eomînt.e d Paris, s'i par afenture ij prehld la peine ie . ousa lire, mie uitnl«timi alini tileni et récflchie de l'état politi que et s<cial consacré parle trioum phe alquel il a pria part comme Bdida4t etopnmiie éc'rivain, un exa wlé ut. uie revitedo ce coin de la France 6éwriicainu qui dsapnllle la Louisiatie; il y verra tont ce qui est frguWaHi, iIdividus,. n-murs, langage, frappé dte prowscription et d'ostracisme, et il recounaitra l'in génieuse courtoisie avçc laquelle M. Vig -r!d, l'écrivain louisianais et le diplomnate antéricaln, 'a levé là iRtfen, your la léfenué de l'hon weur et de la gloire de la Frane duii la proviuce qui, d'esprit et de o tnr et evers et contre tOus, est reete religieuaenmut françiise., LES 1ILLE ET UNE ' oo0 AISSAÀ CES UTILE8. q*,. * " --- " . CCCLXV. Au ombre des influences abs. traiter qui m.it de véritablW rtwiu.lBoà dais l'art le guérir, il faut paer la gwté et la joie. I r'rvatiomt prouve que cn pawinm s"d iatat4itiq esn'favorisent dc(nelpnièk remanruiabl4 la gu-é rjaoh d.nimaladies. Ein détermirmnt l'expansion et en pVrtiit les mouvements vitaux vers lI iériphérie, elles allégent les o~na intenies de tout le pidjêji i maladid uai q s'y cwCu mtmieoit et. Iermettent.à Péoono mie de Misairir ses forces. •"TIejoreux gnérisaiittonjouae," dimit Ambroise Paré. 81i leapraJu:e est aui.4 sala taiUete pamee qu'elle est une Sbfeilla».1. una à-coipte ear ' le -ueur. " f Un modltcatear du ispnt or dre, qal senftle troer dans. s,le ap de ' Phnamse nn»e aptitude td4lt fI.rticnlible pdou eun resen tiS les eèfet, c'est lharmonie. SAnsi la musique était-elle con sidérée.ch.é les Gtres comme une des bnudmbes de l'art médical. Apollon, brillante exlareWion de l, Inamière, étit à la fois le dieu de la musique et celui de la mé deciA.e. ~ti niythologie greeque, en nt triimaut ce double rôle an fils .de Latoue, eachait nue vérit6 onus le voikede la lettob, SElle expriîittit par noe alléso rie ,hrug6niead- la puJiaee du tibthmi e couameia oye de r~ gala riser le jeu de nos organes et de c;diser itNpdbleuïs. La lyre, qui était uni dles attri buta d'Apollou, peut êtro consi dérée comme le symbole poétique. de notte organisme. ('est4nf yltet ,i lr une aérie de pltits oiontem nitf oui fb vibrn; ttlts, qte.la vie s'agite deia'no.s tiIàna. Le coer et le poumon frappent une iwmere A deux temps. ' T'ote lt science tlu médecin Is réduirait, suivant Bacoi, à aicor der et A toucher la lyre iiiiumiiUe, de manière ià en obteniri dles s.onl forts et agréailles. Qui ne coiiiilt l'influence séda tive dn rlytiiine sur le systièie nervenx I Le balancement cadencé du ler ceau et. la imélol.6e plaintive d'une nourrice ie suflis.it-ila pas son vent potir ameneer le calme chez le petit être qui soulitret ('liron joniit du luth pour apai ser les eiilporteinenut d'Achille. La harpte <le dDavid calinait les fi rears de Saiil. . Quand les roin grecs partaient pour jes combats, ils plaçaienct au prèft de leusii épousesi den iiiusi ciela rlhar~ie d'entretenir luir claistetdeii jouaiit nsr le mode dorique. lie chalcelier.. Tl nns Morns sé servait de lai iiiu.lmpie pour adou cir l'hunieur nîeariftre de a femme. Polybe attribuait la férocité des Cynéthéens à ce qu'il étaient le seul peuple de l'Arçadie qui ne connfût 1n la musique. L'a lmusique néaumoins peut huissi, suivant nsoIn aractère, pro diire dles effet inoitatifs. 'L'exemiple le plus frappant que nIon fournisse à cet égard Planti filité est celui d'Alexandre, que Timotheé pouvait jeter dans la fu reur en jouant sur le mode do 'Phrygie, et qu'il calmnft Mur-le. chiaip ein passant an mode lydien. Le rhythire sonore peut, en ldonlant une nouvelle, impulsiou an rhythine vital et wen relevant les mouvéements du cour, faire ouser l'état de iyueope'et de o . thlrgia. Alibert raeonte qu'une jenne femme plongée dansi nne mélanco lie profotide, et atteinte n e convul sioun et de svynoolpe qui duraient lde heures entièrer, fut guérie par les sons mesurés et. barolonieux dn célèbm violoneelliste Bnauet. Cet artiste lui-meme rapporte qu'à la suite d'une ièvre typholde qu'il avait eue dans as jeunesse, il iavait été tiré .d'ane profonde léthargie qu'en enltendant la Mar che des Tttares de Kreuer, jouée sur un orgue de Barbarie. Quarin cite rol.servatlon d'ufte jeune fille qui fut guérie de l'épi lepiic par la musique. Lui maliade ayanit an soir en tonildi de la muiique n imoment où elle res.tntaitfk- signes lpé erusertrs dl'un acrè, inen tpmronvA que les prélndes. Ce remède fit répété toutes les fois que l'~t acè devait se montrer, et la natu1r, contrariee diinsi ses djapo0utiqns vicieiuse, perdit enfin l'habitudle des nionvements oornvnlift. Les anciseis avaltit l'habitude de mêlerla musique et le chant aux plisirs dts frstina. Imc oenvveh' chantaient amtei nativement ou tl euthar, tenant à la main nue Irnnche dé myrte on de laurier. ltotre lirgese ,I n'est. jamiai plus facile que osqum'u émotion douoe et modérée, oomme la galté, vient s'auseoir à notre table. Un m&desln distingué rapporte qu'il lui est arrivé plauniern fois d'attribuer l'origine d ertaines gtitralgieb et affeetLim hbpoon drinques l'hlbituode qari t le. patiente de prtndrelebar nonr rinture seuls d.t sdlencie , On a swreauqu que eis tOre- i g> peaux paissentplU. lqngtelui jt avec plus ld'aqt& tédl mo i~ I geolet on de la cornemuse, ce qui fait dire aux Arabes que la mn-.. qne les engrisse. On a raconté qu'ui d'les minde cins le le' E cedètlB de notre épo! lque, led.I itr Itlinier, envoyait tous oa r ss l'eti4Nes et ses gaf; tralgiqiesi la colotine Veldôwe, pour y enteitlre chaque soir la re traite et suivie les tambours. C'est le men E praticien qui, con sulté p»our une dyspepsie grave iwr lune très lnoble ldaun. écrivit .Ia prescription alnivatt(e: "ILestonile aiue le 11rh1thltie. "Madame la nmrquise prendra ses repas 111 soin du tam)bour." La prescription fit ponctuelle ment exécutée. La malade loiii deux tambour del la .garft ui tionale, qui, le matin 1u dcjeuniier et le soir a:I dîner, vinrett peU dnut deux mois exécutor des roui leinents sons.les fenêtres de la salle A manger. LJe spiritutel docteur Véron di sait qu'il tne pouvait plus digérer saii iniisiquie. l'oypéra du (iiïd, où le tambour joue uin granod rôle, lui faisait sur tout unt hien extrénie. Il y a prè. de trois siècles, J.-B. P.rrta crit-. aoir trouvé dians la musique une pa.nacée universelle. Il prétendit que dles instrumenrts fahriquns avec du bois dé plantes inédiciuales produisaient ne minu sique empreinte desi propriétés cu rati-eQ i6liérenttes à. ces végéta«x. D'après sa théorie, aucune ièvre intermittente no rMisterait aux ac oords d'un violon eti bois de quin qdina. Iestnodulatioin d'in)e clariniite en bois résiueux seraient .sotre. mines contre les afftctions des voies reapiratoires qui réelumenit l'emploi deMs imlamiques. JIes sons d'ufie tfiute en bois de galrn guériraient iifatilliblement le rhumatiAme et li goutte. Pardonnons ces alerrations thérapeutico-inmu.icales HI cé6è1re physicien qui, quelques années plus tard, immortalis.oqpiuoim en d6onuvrant la chambre obscure. La musiqne exerçait sur Pira gination mobile et fnondml des Gtecs un empire qui tenait du prodige. Anssi comprenons-noits que 'eq peuple ait exagéré la puilsanee de eAt art comme moyen de guérir les maladies. Mais mmou notre climat et dans l'état actuel de imn meurs, noas ne pouvons admettre avec Baglivi, Deanlt, Bouvet,Kireher, etc., que la musique ait pu guérir des ais de phthisie, de goutte, de peste, d'hydrophobie, de sciatique, etc. No( ne pImuon|s laqmqu de eoa jours aucnn malade wMit dispoAué imiter cet homme de qualité dont parie Vigienil de Marville, qni, cla que fois %n'il était Annfitant ani lieu do recourir aux uiédecilis, fai sait appeler les violon. . Quelque limitèe que puisent tre les vertuns rbémpentiqnqu de I*tlnsUique, on noe lnt tontefola refnuer à ce miodifeatenr moitié pbhuique, moitié moral, nne'actiôt puisantd dans'cettaines maladfer 'iervenues et mentale.' " Commane jagt de d\It~ asIiop mo rale, \. musique peutA e , atté muantt le sentiment de a douleur, faire cesser Ie m:iae tinps lirri tatios qu'elle produit. - Elle peut gnérir des maladies spasmodiques, en imprimant ota ibres un mouvement réglé dont elles fuissent par prendre Phabi tade. * Elle pent, enfin, remédier à la perversion da rliythme des facul té: phyliques cbh les gens vapo runx, le hypocondriaques, l...ri tériqoes, dout tous les mouve ments sont fbruaques, asacadés, imparfaits. muhique diramnatique qui est la pim prre* T"trfir tw*rPolie médecimie. "'C'est re genre de musiique, <it Ig(OleSdBiPll'a l'il. lmïsiomî dount elle (.t etiviroisléo f iMlaM(·(i*4'iOtIuh 1~. t, qi(ui cx ,eite doilli'âu I cîUlesw gralndi wouve nmnte, ceR éknotiofl potba utes que Vi',m, pent, à fuRte titre- nom um;e·r i,,uédie·:îtriees~?." Dr L. riOIROT. Contes Nègres III ~ivjo~5w>i omtint -u-kImme Lap»mu lévé et li swliti li faii apé gagné h. 1,i cl relicé tlît rôté <Iii caibanue, li .Iba tii vé 'aïeQ poit mainté. ,i paurti couri 'côté Com'pair Rouuki. Tanu hi rivé, li ouâ Compair Bouki npé gignuoté cmn dizo. -Eh! Compair Bouki, me té Vini dijiuîê avé toi; ma oîut t, pa gsgué umékichoge joiù -Tewi dire, (oîuupair Lu»piaÉ na3 pi renition dan c jnbanmue(l-cWé (lizO eilà ki 8étdi4 (ComJiRir Lapifn) zoniflé tan. &;* -Ehà beIn Conilpoir BoukYi,'f to olé, tio va'conri la ehacfnhe dé« tort i' *-Topé 1 aBo, no conri ti RUXW. Conpair Bouki wuaauî 8o pjQg avé an la pioce et yé Iîr*t letaI côté bayon dan di Loi. -Oompah~ Lain!ii, Mo pii UOii#5f conri la'chache dézeftorti; Vié bew."n koné trivéb m.i y s -Pa kété, COUIlmIP r N Ope~i toWn tan trlvé plAce k*4 -o*é pondi dézef. -Toi ta fony4a * Î .': lin yé rivé an ru bsy.u 4.**m4 pair Lapla aito6 Din cèmaiie gard6 bois eût"it, "- là Beui t l rBtB 'h*e. ' -Comlafr Bouîki, t.ti b aud Sà manft ti ilMê'?a t ia6 pate et H p joudi S. déecd*à tm*r pi Il mfth tl l>rhî uqabe bn y# il partlL6 feihllon seon. &I* bite, Hà 1 Otc! felle là Ié et 6iTAo .'.é Wto la pioce, site ta trivé dlkW CoMpair Bouki fé ça. Çb~' Lapin dlii, et yà6 "A ein ta.g" npé Ceéré dau troit .1. -t'ampait L4)i0, tgimYw4qa nionefe; mo bon tnitan pg*É,ii6¶#1* POuiit~oz*ril. (.· CAU *iT LApi ,i MtaVt hi doité la moké à Coýp#pr4 IWP. -CO(mpoir huki,ý u*» boë cou ii4 in% j4. naqzé î4 ke~inedhsfUstotmu* *bt ',q iüim e pé J) porté nu be..êo Mo fame poaffé yê tobL Ye ounri plhmmeo eye ty w b (Jompair Lapin toozsuas.6~l( ack~enne ; Ootn)PulrEou9LIpqUiÉIl léz<ciI;llHêtéyéSbto.àa osr -Ohomaear Boakri, mri uué` inga o ~w tmtno towuJ.t Comtupir Lapin, ilion nefQy·' i g a · u *0 .%UI3'4 PL' fC *41~ I, Ir - 3k*42 VE ·lcrC 'ig ·*.r . e.: dm ouêlmf ?Dm ebn;.e ton*s5debmnn elottmew qui et de èý *boa sy~k itb~y mcr ng î ' j'm iliqil né voulspa utri d. aI .mt odi.Ionids ~ E~ . ~ â~ bo bqoJ a ber.d ouiem Jorrri Jm81 P. us roupir tI iJ*siu9mrt4e qU·e i ir h dsI, tt qu nà e.ew O B Lol9 rp t~gtoirp~;ga~~~t)a mure% aclL v'~ ta cora 4"ol S1'a Ots~ voear k~~~~- éVnM~Iraiiiai(tia~i'iba ~r;p n~nnsr dnl· i e*daatgqu ndIcrnood, siI~ndoou'sr uirr .4re·awjmsr ·~aib. bl~~ j.ur~~c~ap~ UIcu, i IQ~EJ u.J00 d e ~I!iq.I n·n~~iLr Votre go6t, me* amonrex, West mouhé janque danst lm. clitns de lindaftrie vnlhpfr*; ulen' le ehoqne; tant vous Accuaille, tOut vous Iillat, mlaa c. dU a Où le ai Itacqjase ducnement Je m'ai poe bmoud dat e.eu.uUnbrct fa mlis. ritd que doi#edt Prendreles tfimteulls, les tables, ke ne esu.ire du salon. -Ob peiu, danà ie rnru meut le pluacorrect, itrod nire une gràce, un liaser a e, urne 1l4ke irv4ulorit6 bar monienhe qi rompt la sq,éfie, en lui doontU du blièèe. -Laorde arlmél, ruuaae tot les =bslus, ddoate sWtist la "mDPthe qne le déhordre. b1% m jeuness, J'ai luaru des gensaiumables, hon. pitalied d'liMati» quise 'ermetùele paL - de dépla. cer ultafaeuIl dimnu teur mleu'; et qué, pour pl*@ de gst6 @ici ont attaché baM -t q On e muntait tSilifé, dansm'owftteb.ic.m, Op .ppelt ce soo: 'bdM orhm$ dw MOIAn ,.Ou - 'y On n*uJt trop q'im1eainéA b"ut li q umus meis, pomîmu ne viot j première habUeut I'<.e uiuttd de inulseù,gmC de ajihmur I.% Pa4"I= ba fi 4. iii , 410 th« tWmmde- ar de ýà$umdffl Peu Y I41IM & ;tii 7 I"'' _(1) si modeste qUi> pu zloi Larsla taa, sa prutdu cmiat del Ij ;i asr1il t. I àakhqs à les *)i"ir. Sje DOm etlpisds radhur tu pr4mdMN6ciJlW 1Ilri$yr à Moisir aos enucanemis" EntrebllleW 4mo votre porte, aviot & tidt6, pr aVOir pu à la démontpiLa~vo d'une iwaption oadao deond. JW*W Bles e.q6ts, Pr ua'svr pusà la t fu*. v 'tqpsA i . ommences de bose) à mesur q_ o bons, poru'av.fr poailk d'ocasuion, 1.-Jour d' unete o d'oo s~ ~ syslabfen amiied tu q.e peuv sbscdor t. liaa G-a~p4~