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PRIX DE L'ABONNEMENT: JOURNAL HEBDOMADAIRE, v1.50 par An. ParaIssnt le Samedi. Entered at the post office at Reserve, . CHARLES LASSEIGNE, La.. as RecESd claR miaîl matter. ST JEA-BPIT) Administrateur. VOL. 57. RESERVE (PAROISSE ST. JEAN-BAPTISTE), LOUISIANE, SAMEDI 27 FÉVRIER 1909. NO. 9. CHeOES ET AUTRES. La flotte américaine, de retour de son voyage autour du globe, est rentrée lundi dans Hampton Roads, Vie., son point de départ, où le président Roose velt l'a passée en revue. Les Cubaine veulent être ma*tres er eux et ils se proposent de voter une loi qui portera que seuls- les Cubaine née sur l'Ile et reux qni ee feront naturaliser auront le droit dacquérir des propriétés. Toutes transactions d'affaires visant à l'achat de propriétés par dea étrangers doivent être suspendues. Plaée entre un mari maladif et un amoureua empreeaé, Mme Joséphine Mimejewieki, de Natrmsa, Penn., n'a pas hésitê sur le parti à prendre: elle a mis lu poison dans le sacre dont -on mari alait s servir pour adoucir son café et un moment après elle a eu la joie de le voir se tordre dans les afres de la mort. 'est ce qu'elle aconfeesé comme une ohoe toute naturelle, et elle a été aus aitt arrêtée sos l'accuation dé mear tre. Pbdment la guerre cile, le nom de sefferase Davis fit effa6c de la tablette de l'arcbe d'un pont qu'en a qualité de I u crtaire de la guerre Davis avait fait - contruime travea la vallée de Cabin John, dane le Marylmad. Depoui qgaina amsun mouveasent avait été metrprie Spour taire rmtituer ou so Aila plae t qu'il .vait occupéi, ma m t avait re: - t d woppoari I.e a t - mut r ' id 44~~ Ii~:gc - ietde.eIpbat" t'mttd ira iviiw avlaik" ia tba *ou pi e dUiee ha tom «de -là~uents i duttumoeIW MF-mm t puaI deKm ·*d: b leu" - 4.h -. u~dm1 M ~.. ~uÏ. wmâ dl. swu dormir, et pour sauver son ame timorée il suppliait ses amis de le tuer. l finit par porter une hache à sa fille et la prier de l'en frapper. Elle refusa d'abord, mais comme il insistait et menaçait de tuer ses deux tils, trop lâches pour l'a chever, elle con entit et du premier coup de la hache, elle fit voler la tête de son père. Après meu enquête les autorités ont déclaré que l'action de la jeune fille était justifiable. Ce n'était pas que les parents de la jeune et jolie Anna Wisgent e'oppoe eassent à ce que Anton Tunanis, un gars de Chicago, l'aimât, mais ils jugeaient qu'ils étaient trop jeunes pour se marier. Ils demandaient A Tunanis d'attendre encore, mais l'impatience du gargon était telle qu'il n'entendait pas raison et voulait enlever l'objet de sa flamme. Oe qu'il craignait c'est qu'elle devint la femme d'un autre. Anna était trop sage pour écouter l'inensé projet de son ardent fiancé et cherchait A modérer son impatience. Mais Anton. jaloux, se figura que le refus d'Anna provenait d'un autre amooc. L'autre soir, en vi site chez la belle, il se facha et déchar ge tous les canon de son pistolet sur Anna et on pre, réservant le dernier coup pour lui-mê.. Il s tua et infli gea à la jeune fille une blesure mortelle à la tête. C'est jeudi prochain que William Howard Taft aomera les touctions de a président dela république des Eats Unis et qu'il annomoera la composition du cabinet qju devra l'aider à gouverner. C e abiet se-r ainsi coompoué: Secrétaire d'tat-Phba ader Obase AhX » llX de là e aatne id as Hit ck, leMa w wttl; Secrtaire de lgriculture -lJaes 1 Wilson, de i'owa; Secrétaire du trésor-Wlis Van De- a vauter. de Wyoamg, ou Frank Me. a Vsagh. de Chicgo Ilnteadioa du futur prdsident avait dté S'apple au poere-tlile du trésor le sénateur Hgmew.y, seai Boosealt a s'y em oppoesé s vlirgqiement que M. i Tst a womae, malg am indépem dmce, à oaicr atm mamecréaim. J. iiiý - 48M wam.E an k. Mim dui Xkeded6d, Vu"mta surs laId du stops"4u *n~e pet tOh»O d.w*o ttr ·içêi UBBbs4III ) ij s"itimm d.eIi bis de h lpa rwww.pr6sWtaut.. i ~uU. s ~Ig. - bd.M .~uq h.t, 77n a année, à moins qu'ils en soient dispen t ajé ou autrement excusés pour une cau r se légitime. S 2. Un seul plein repas par jour est permis, b l'exception du dimanche. 8. Il est permis de prendre un petit Slunch, communément appelé collation, i le soir. S4. L'Eglise exempte les personnes Ssuivantes du jeûne: celles qui n'ont pas encore 21 ans, les malades et colles qui sont ai faibles qu'elles ne puissent jea ner sans causer du tort à leur sant6; les femmes qui nourrissent et toutes celles qui sont engagées dans de dure travaux. 5. L'Eglise impose à ses enfants l'obligation du jeûne et de l'abstinence pendant la mainte saison du Carême, mais leur rappelle que c'est un tempe où ils doivent, d'une manière spéciale, pratiquer des euvres de piété et de charité par la pénitence pour leurs pé chés, en e'abstenant des amusements mondains et en taisant l'aumOne. 6. Par dispensatio spéciale, l'usage de la viande est permis à tous les repas 'du dimanche et au principal repas du lundi, du mardi, du jeudi et du samedi, & l'exception du samedi des cendres, le 6-mars, et du Samedi Saint. Mais il n'est pra permis de manger de la viande et du poisson au même repa, mame le dimanche. Les cufs, le beurre, le fromage et le lait sont permis chaque jour du Carame. 7. Le matin, il est permis de pren dre du thé, du café ou du chocolat clair, avec un morceau de pain. 8. Quand il ne convient pas de pren dre le diner à midi, il est permis de ren verser l'ordr en prenant la collation le matin et le diner le soir. 9. L'usage de la graise de pore ou de la graisse provenant de la viande roi- *B( iM-KB d.an ta pcépasatis de .tur-.oedss^-·:: 1005, n permettoan i toos, l tra veilleurs et A lers familles de manger ! de la viand au principal reps de tonu le jours de jeûne et d'abtinmiae, à l'Peeptioa des vendredis, du mercredi des cendres, du mercredi et du samedi de la Semaine Sainte et de la veille de Nol. . (De même, tout membre de la famile t «ar lequel le ménage dépend pour aon soutisa-quee soit le pre, lfls ou M la fille, peu importe-s'il et libre d'uaer I de l'indlit, obtiait le privilge pour tl famile eintib ). 12. Les p6onoes qui sont 14giti- I moment ebLeuds ou dispenaes de 'obligati. o du jeane et de 'abtinee ceat la penanioa de manger de bi vian de plus d'nea loie l jours mentJiona" el-desaua. Opendant même A ceux qui eont libre d'user de m priv.lge n 'est d pa per. de manger de la viande et du polMo au mame repa. M ai mco- I aie u am du O e st e antille- a menBt l tme de iteee, nous com omi M n"uis meeux qui prannent avatage de oet aiduit d'aecoMplir d qielquaa sete de meuortlifeaia tlsa que a atIebMade des boias eivraIte, de r e pa téqIaeter le tatrat a Tes les etbojiuaes qut ot aiteiqt ge popre sat tenu de reovo~ir di- a «gement aiate commmunion pendant 0 r4poqae p»eIcae, qui 4tead du premier q d .Ba lBe du Sam ae dinanbe de is i T!ail. Lea pareate doivent voir qae tean a et adeuat alge .de l SioBani t ^et -rtsa nOinTO 4ae ai. 1 d I *-- :' ^^^^Bti^^IHl^HBBHlaRB^ ' ^. S*'^ -*^ *::*"*Îi - ·L:î^ t^ *.,ï*; ,* :- *" ^S^^SI'III^'^ trat et tout allait pour le mieux pour lui quand soudain tous les mineurs, ne trouvant pas d'or, déguerpirent en mame. Il ne resta dans toute la ville que l'éditeur qui en avait encore pour un bon bout de temps à compléter son contrat, dont le paiement était assuré, et le malfre de poste dont le solaire avait été fixé à $1,00 par an. Mineurs, marchands, cabaretiers, joueurs, tous, enfin, étaient partis, excepté l'éditeur et le maitre de poste qui continuaient à faire très bien. Ils s'entr'aidaient, bien que leir besogne ne fft pas dure. Le mattre de poste n'avait A s'occuper que de l'expédition des quelques exemplaires du journal, tirés une fois par semaine, toujours avec la mnme matière, sur la quelle il distribuait l'encre tandis que 1'éditeur faisit mouvoir la presse. Mais il y a une fin à tout et les der nières annonces ayant paru, l'éditelr, n'ayant plus rien B faire, se prépara à partir aussi. Il restait au maltre de poste encore un mois de son terme à servir et il conclut que son bureau pour rait dorénavant prendre charge de lui même, vu que personne n'y viendrait réclamer sa malle. I tourna la clef dane la serrure, l'y laissa et s'en alla avec son compagnon, laisant la ville déserte. THE MESCHACEBÉE. OP ~Ma beau rdpadre en tou lieur lah mbiteê de 1 ivuilsmwem, 1 a ysas tajoaa deaseas -sea fuTages Pour 20 pour Ment d'ant pghagesn gent leurs morts pour les honorer. Ls habitant. du Thibet coniddraint au tretois que manger ses parents, c'eet leur faire les tanraille les plus honors. blee--oh peut-on être mieux qu'au sein de ea famille COei 'eet ruanthropopbhagie benfaisan te ou sentimentale. 19 pour cent de anthropophages mangent les gpdma guerriers morte pour s'approprier leur courage. An. i thropophagie 4golatel 10 pour cent lefoet par haine et pour panir teurs enemi. Enfi 82 pour cent mangent la chair humaine par goat, la irge Chrétleas. - * Immue chrdtine ,ayes ooad.s oec de votre admirable inftoece, exeroes-la, partout, exerces-la, toujours; exeroes la, jeunes lneS, exerces-la, épouses et mires; exeros-la, regieouement, exer. 1 es-la, vierges rtiennes. 1 *VieId e ller au del, ae nom rpltei dira plus lumineux'autour de certaine utiea que le titrie m.are, car a. le .a Nage est saint plus sainte eat la irgi. nite, mime gard danas le amoBde., *Oette eaiosa e son autoriott. LT paroie de C4ma.aOhrist aimrant que oelui aaeimbruase la viirinité devient sempablean agae du ciel, ne dit p que la virgini n'est peble que dans las eiotea. .Cete bvoatioer a oar but pratiqua. Que di bonmmse oUvre as soat Bites pa la vierge shrétioiaa, et mi peuven r o da tote leur -pereo quep arme . Beetplae laUtte d e suenabesd quitpeoirvnt li jeajseus; on eaisipdoe laeelire; nlantiaut, potamse at eaDwsag* les Odirea de barit sepa*agMat du eamp.at "abei. *Oute t faso a as nala d'otss agea ,seea1t, la résUat d'm aw. - 7 7 ginique t a d««aet; eerpour S glc u1. S*f filles de Dieu, continuez-la comme lee anges: SFaites peu de bruit, qu'on entende à peine vos pas et le son de vos paroles. aVivez humbles, petites, ignorantes de tout ce qui est inutile à votre dé vouement. Moins vous vous mêlerez des autres, moins ils se mêleront de vous et plus vous vivrez heureuses. a Gardez la joie dans votre ceur et le sourire sur vos lèvres. Tante et grand' mere sont comme deux synonymes qui désignent les mêmes vertus, le même dévouement ingénieux, les mêmes déli cateeses, la même condescendance." MONTsABRÉ. lEILLETTES. Le docteur X.. s'est avieé tout ré oemment de se convertir au spiritisme. Il passe tout son temps en évocation des défunts. Quelqu'un le raillait. -Quoi d'étonnant ? objecta douce ment un confrère du docteur, il a bien le droit d'aimer à causer avec sa clien tèle. Mot d'enfant. Toto pioche on histoire, qui lui vaut à chaque instant des pensums et des retenues. Tout à coup, d'une voix sourde, avec un hoihement de tête: -Je comprends bien maintenant, soupire-t-il, pourquoi oe dit que les p.upls heuarex n'ont pu d'histoire! Terres à Big de Choisie 600 arpente de terr à ri de doua daoe la paroiose Pointe-oupde, examinée par un expert. - 8'adreear A. J. LOUPE, Pointe conpée P. O., UL SALON DE MODES. lm E NAIEÂIIX uBtC Iws 4o <MJoe d,3~-g ~ br DuII \n\n THE BEST WAY To let the Public know you have something to sell or rent, or you wish to buy or rent something, isto Advertisein . .. .. . Growl from a Bachelor. Some women regard marriage as a blessed emancipation from the neeed sity of caring how their hair is done ONE PUMP WITH 1 INCH SUCTION and 0 iach dishbasea in mood oreer with pipes. Wil mell cheap. 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The State license should be paid before the first day of March, 1909, and the Parish license in the same limit of time. If not paid at or before the afore said dates, two per cent. interest per month will accrue, and the same will be turned over to the attorney for collection with costs and penalties. PAUL BERTHELOT. Sheriff. Sheriff'sOffice, Parish of St. John the Bapt ist, January 28, 1909. Notice to Ta>-Payers. Notice is hereby given that the State and Parikh taxes for the year 1909 also poll taxes for the said year due by the male inhabitants over the age of21 years, as per list on file in my office, are now due and colle:-table, and unless paid within the time prescribed by law, the same will be collected with interest and costs. PAUL BERTHELOT, Sheriff and Tax Collector. Sheriff's Ofiee, Parish of St. John the Bap tist, January 23, 1909. Registration Notice. Public notice is hereby given that according to law the office of registration will be opened at the following plages. from 8 o'clock a. m. to 4 o'cloek p. m., and on the following dates : 1st ward, at Paul Berthelot's Store. Wed nesday. January 20; 3d ward. at Alovon ranier, Thursday, Jan uary 21; 4th ward, at Chas. St. Martin, Friday, Jan uary 22; 5th wardat New 8anpr Belt Club. Saturday, January 28; 6th ward, at Garyville 6th Justice's Couat Building, Monday, January 25; , and from there to the Courthouse until the closing day of registratioo. 8t. John the Janaray.6. - B . i.DRe . > z. txl ee<. U. fl ~nb: U : hkind of Inveetinem& PHONE MAIN 938, (Zeta Budldhn) 849 SnvIer St., NEW OULUANS. - We buy. mull, rent, ezebsage, suction an rort mr prntsrty anywhere. We will iusure your property, repair ft sad colect your ret on rrasonabte terms. s8TGAR PI.anTAXIONs AND MWE LANDS aPECIALTIEL I Ysre yer uk in the Penn latual fe Inurance Co. of Pemaylvans. Represeated is 8. 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