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iELa ILLETOK DU P MX&JHÂCE'BX iiia Iwims uÂarm~r.i PREMIERE PARTIE. Mauvaise tête, mais bon cour V SECOND CHAINON DE L'INTRIGUE (surrzs) I demanda, la voix tremblante : -Je ne vois pu de lettre? Mon frère ne vous a rien dit?.. -Peu de hbome... --Vous remettreaoeciau comte. Qu'il e me remercie C'est inutile! Et que jamais il ne s représense devant nous. J'ai le droit d'ordonner. Et j'or doaner Laurent bai la teLte. Il 'était aeparé la veille de an frère en lui disant qu'il allait ee tuer. Oom ment Michel savut-il qu'il n'avait pu doaen suite -a rédolutioa? Oette pea. be fiotta un moment dans aom esprit, main s » 'y arrêta ps. Nul aoopoam ne pouvait lui venir. A deux repriaee pour de petites som ms, Miicel l'avait aid de la môme ta. go.. détait son écriture. L'hemme «alu et voulut os rtirer. -Attendes! fit Laurent. Il grifwoma deux lignes, lee mit sou vel ioppe et le tendit & l'inoonu. -Vou retournes A Nogeatt -Pr le premier train. Je n'ai pM d'autre oouse. -Voue remettrae ceci à moa frère. -M. le marquab m'avait ordoean de ne recevoir de vo aucu lttre poor lui imai quej'ai au r' noeur de vocu ledre... -O voas en pie!l -Sit fit rlhomme apréd eomrte et il se diri ver la ports. I alla"t oiir quaad lLarnt dit, msa savoir poerqoi iladremit pareile dusa two: --e ns soe mi jmmU vu m u m Pm t" m reow DqDin tmdeiroka cle b iYnwig nwavit pont Pm " Nogoat. TA Oulu" qm": -Vo. &%$ora pu Nmaitbl Vom ~ rasmnt anginin..is~ @'Leu. pYtâOài, mi& fui du6 âIev amAb6Qu.~j, pr'ci~ L-Ks lusm. b* p d'amOtrul~/ qumados#Amal^t -No100"m.rad, mSR. dm»" Om I saqin. fly -- - - E 4r.*rkoSi . 1 d tiladlma Mais Bertignolles devait, à présent, ne plus rien ignorer de ce qui s'était passé au cercle. Comment allait il le recevoir? -Monsieur Bertignoles, dit le jeune homme, vous savez tout? -Oui, fit laoniquement le père de Jenny. -La dernière démarche que je fais auprès de vous m'est très pénible. J'ai paru démériter de la confiance que vous aviez placée en moi. Vous avez vu, mon sieur Bertignollee, avec qu'elle empresse ment j'avas accepté le poste de direc teur de la mine de Sans-Souci. Je ne vous ai pas laie6 ignorer qu'avant de prendre possession de ce poste, je vou lai, en travaillant avec les ouvriers, m'initier leur vie laboriere. Depuis trou mois, je fais comme un simple mi neur partie de vos équipes. -Je le ignore pas. -Je suis sn ressources aucunes et je viens vous demander, monsieur Ber tignolle, i, après le scandale du cercle -un scandale qui n'est que l'acte de ven geance d'an ennemi inconnu-vous ne me retirez pas votre confiance n me re prenant le poste d'honneur auquel votre intérêt pour moi m'avait élevé. Et comme Bertignolles se taisais, Lau rent continua, d'ane voix plus basse et profondément émue: -Et si vous ne vous êtee arrêté à au cune dcision, monsieur, si je n'arrive p- trop tard, je vous supplie de ne pas me tenir rigueur d'une mesure prise con. tre moi, à lineu de mss amis et du comi té entier... Bertigolln e laisait parler, plongé dans e réexions. Ss'orait à lui ane occason qui pou vait e déciidve. l devais en profiter en jouat artes sur table. -Momiieur de Soulaimes, dit-il, per mettes-moi, avant tout, de vous faire re marquer que voua avez manqué à la re .eonnisnee que vous me deviez en me laiseat ignorer votre dette de jeu et en ne venant point m'emprunter, pour payer cette dette en tempe opportun, les cent mille francs qui vous étaient nécessaires. Je vous es eusse preé et je vous les offre enore. -Oh ameri, mosiear, merci, dit Lauret, touach jsqu'au larmes. Hea reuastet, je pui relever le front. tte dette ut payée. -Ah! vous ave trouvé quelque usu rir, sans doute? -Nom, mm ftrre s'est dévoué. BertignolleB eut un imperceptible son rire. -r'en parion pluI. Mais que oea nv mmrde Ie"oe. Tooteois je dois dise que l'adeore samdale qui vient de ae tire aumar de votre nom me rend "mi-mmeaM ort perplexe, en oe qai me emoaere. La mmnede Saane-Sloodet trèe hipotmate. Le intlirts engagés y sont esid~rh)le. Les ouvrier mont nom breu.' l est besoin, pour veiller & os intrt. et ooaduire les ouvries, d'une mai bo.nes, d' ana owers quiib en. ti d'un bomladoe à à rpatatio iitacts, devaut lequal on s'iuolie u e que l'on s-apeCe. Coompoeu-.s-uPst -oar-s, u i plaises bemoopet J. use MXn duta beis, s jevoutavoo. sei que asiprealu6»cpeiséen 6 de rosa epynadi votre post eat de vou lai er A vu avaoi i pbMnatas.I - Mtiagnollel9 vous Jure... . -SatMet de junes gen... aSrment dkig dit16 rid cs loBuer de ba timsa boast la tIe et ain aoudant a*e tu boBt toute pateraell... -A quidae.ae m'attBendre, dès lors? -Jre s vM dit qua mpremire pe-. &a*6e t se os. Mai derines - ê** t*Mt.. qui aeas» BLartenes-M Oh allait catliouer, 1*8 one de4ubtiust trouble apparent... Alors Jenny regarda son père. Son regard interrogeait, semblait dire beaucoup de choses: - Pourquoi est-il venu ? Est-il ques tion de moi? Sait-il que je l'aime? Va-t il enfin se départir de sa froideur et, s'il m'aime, faut-il lui faire comprendre que ma fortune ne pourrait être un obstacle à notre bonheur? Bertiguolles, doucement, de la tête, fit un geste à Jenny. Cela répondait: -Va! interroge-le toi-meme, avec ta finesse de femme, et sache de lui, tout de suite, la vérité! Jenny comprit>et, enhardie par la pré senoe de son père, tendit la main au jeune homne. -Je suis heureuse de vous voir, mon sieur, dit-elle. J'ai appris par mon père ce que vous avez tenté au puits Sans Souci, avant de prendre la direction de cette mine. Savez-vous que c'est très beau et pas commun? Se condamner, ne fût-ce que pendant trois mois, au rude travail de ce monde souterrain, dans l'u nique but de se faire connaltre et aimer des ouvriers, c'est une résolution qui prouve chez celui qui l'a prise beaucoup d'énergie et que j'admire. -Réserves votre admiration pour des choses qui en valent la peine, mademoi selle. -Et maintenant que je voua ai com pliment6, je vais vous fhire des repro ahes. -Des reproches, moi, mademoiselle? -Mon père, que vous rencontrez sou vent à votre club, voua h invité à plu sieurs reprises aux fêtes qu'il a données depuis un an. Voua etee venu, damn les premiers temps, puis vous avez cma.é complètement de nous voir. Vonu savez eependant que mon père-il ns me dé mentira pa s--'et pris d'une amitié vraie pour vous. C'et donc très mal de ne pas répondre à ase avances désiatéressée et de négliger ses amis. -Je suis moins coupable peut-être que voua le pensez, mademoiselle, mai croyez que je suis très sensible i ce re proche, venant de vous. -Galanteriel dit-elle en haussant les épaules. Voua n'en continuerez pas moine de noua fuir, j'en suis certaine. -Et qui voua donne cette eartitude, mademoiselie? -La distance qui nou sépare.. -Mademoselle... dit-il embarraé. -Je suis tranche, moi, momler de soulaimes. Oeque je pense, je le di toujours. On e m'a pas appris à garder de la contrainte, et élevée dans la soli tude, je ne suis pa non plus habituée aux rafinembntsde votre civilisation. Je suis un peu sauvage. N'en soyez pa sur prie et as croyez pas de mal de mol Ele était charmante, ae yeu étalent humides, imploraient et strtaiset. Et ai jolie, avec cel, ai aduisante, ad dan g.reuae. -Oui, la disance, reprit.elle. Votre grand nom voua éloilge de nous. Et oomme vous etes pauvre mais trè fier, notre Wortume vous oblige à vous tenir sur la réserve. Pourtant, quand vous oonnattre mieux mon père-et mo mime, monsieur de Soulaimes-vou oomprendres vite que nous attaahons tort peu de prix à la ortune. J'ai connu la misère dans mon enfance, une mieère d'affamde, comme on m'en rencontre gure dans vos paye d'ourope, et la mi èrene m'efrai· p. Je joui caertes de de la fortune d mon père, maie mon p6r sait que j'ai des goats simples et que e mpdaerai la ridh a elle ae me permettait de relever autor de moi des malhearex et des vaincus, uai oa-. vent que j'e reaontre. Vos mcroyes? -Oerts, Je emi depuis longtemps que v.u edites per votre bouté, par votre doueeur, per votre harme, toue lee doos que la aature voau a prodigues sans compter. Votre bharit6 inépuisable fait oublier que vous ite trop ri.he. Et votre simplicité tait pardoaer votre trop complte beauté... t Eue baisa les yeux et eut un petit friaeon. -Ah! dit-elle doucement, vous trou ves que jq suis belle? Bertigollea, aMie A oa burea, sui vait oette scène en eileoe, comme un pire beuaeux du bonheur de Ion enfant. Jenuay ait quel ques se pa6mi Aà son coreage. Bie e avait ddtaMé re. depoi quelques eooodes, etl teait la main. Alle regarda Laurent aves mne eorte de «alute, ongiags-te à la péensée qae -ee outee U r. i Ue bta a tober cette eM r ap *oedr uSl^iii^'" 'e'o *: b."^''^'s i^Ks/ que je t'aime... et parce que c'*et ainai que toujours je voudrais vivre... dals la paix de 1mo bonheur." Il la ramassa. Et quand Jenny rouvrit les yeux, elle vit qu'il la lui tendait. Elle repoussa doucement sa main et la fleur. Et très bas, presque défaillante. -Je vous ladonne, puisque vous vous êtes baissé... Et ce que je donne... je ne le reprends jamais... Et confuse, elle s'éloigne... Laurent se retrouve seul avec Bertig nolles. Is sont diversement impression nés par la charmante hardiesse deJenny et ni l'un ni l'autre ne songe à parler. (A Suivre.) \n\n J. JOBERJ JT IVARDE ATTORNKY AT 1AW. 308 Hennen Building. New Orleans, La. Will be at St. John Court-House ewery Tha.rday. James V. Chenet, ATTORNEY AT LAW. Office and Besidence, Mount Airy, La. Will be at Court-House, at Edgard, every Wednesday. Jameo Legendare, ATTORNEY AT LAW. Hennen Building. e n Fedel and t Practioes in Federal and State Courts. L. H. Marrero, Jr. ITrOINEY AT LAW, 8aite 307 Hennen Building, P .bo, MaIm T177-Y, -ow Odrigs, Ia. B. J. DERBBi, Ja. C J. TASSIN. CetUed Pablie Aeesetant. DERBES & TASSIfI Public Accountants 814 GODCHAUX BLDG. P oin Maim 1717. NkW ORLEANS. Dr. U, J. ORY. DENTIST. GARYVILLE, LA. Dr. N. J. BEDCEL. DENTIST. OFFICE AND RBEIDENCE EDiA.n P. O. La. Dr. I. 000rNOVIH. DENTIST. Oice and zade.ce. at Gleandadl Lacy P. 0., La., Will be at thersidee of Mr. J. F. Ch(ampaga, above Edgard, every week on Tuesdays and Wednesday r_ e.* a A 5Ias.. Dr. Fernand A. Keller DXNLTIST. f.g sae. m ak Dmelilag. ea r... T,. esu 8 A. M. toS P. M. 8undays8 A. M. to 1t H. G. H. DUGAS. FlACTICAL HOSESIIOEB, GARYVn.LE,. s. I make a specialty in Sboeing road and track horses. All lame interfering and quarter crackers are permanently oared by my new and Improved proces. Ilso make a spcalty in shoeiag ~ATa ACTIOt m Gale. SAyISA CrOl GUA1LAITBD. THE NEW SUsGA BELT CLUB P. RBMg XONTZ, Proprietor, ianiuaers for Cimaeria 1rawilhers, TRA8S TO HIRE, BARBER SHOP, 1arY TO oDGAoRD. Best wiles, qugers and Cigars. sIu fra U to 1 .naM AuD MUOOGI LARGE HALL FOR BALLS, CONCERTS ANDO IEETIN. -0 AID MIYw 1s AnD 0Ie ar. 3uAIu RKSRVEY. LA. 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