j kan. Mai» puiiquo l'autre no pense point n vous! mariette. Ne mo parlez plus de lui, Jean, je n'ai rien à vous dire là dessus, et cela doit s'ar ranger en moi-inCinu avec le temps et l'as sistance du bon Dieu. jean. Oh ! je ne veux point vous tourmenter, et, pour ce qui est de vous, donnez-moi un bon soufflet si je vous impatiente; mais pour ce qui est de François, j en veux parler, vu que je n'ai point de dépit contre lui, et mémo ment que je l'aime à cause qu'il ne vous ai me point, Mariette, *r levant. Eh ! vous m'impatientez ; qu'e9t-cc que tous en savez î jean. Je vas vous le [trouver, Mariette, ne vous f&chez point ; on n'aime pas deux femmes à la fois, et, tant qu'à moi, je pourrais bien passer vingt ans dans la maison d'ici sans songer à votre belle-sœnr, puisque c'est vous que j'aime et non point elle. mariette. C'est donc vrai, ce que dit là-desaus la Sévèie ? elle ne m'a donc point trompée dans cette chose-là I jean. Si lait, elle vous a vilainement et mau vaisement trompée. mariette. Allons, est-ce vrai, oui ou non ? car vous dite» lopour et le contre, et l'on ne saurait voua comprendre. jean. Je vais vous dire la franche vérité, Ma riette ; il est faux, aussi faux qu'un faux louis est un faux louis, que votre belle-sœur se conduise mal et songe au champi ; la pauvre chère femme, elle n'y songe non plus qu'à moi, et elle l'aime comme elle aime Jeannie, son garçon; si elle l'aimait, est-ce qu'elle vous tourmenterait pour l'épouser ? MARIETTA. Vous savez donc ça, aussi, vous ? vous savez donc tout f jean. I)am ! ça m'intéresse un peu, moi, ces affaires-là ! mariette. Vous croyez donc qu'elle agit de bonne foi ? je\n. Et vous, vous pensez le contraire ? mariette. Oh ! je no sais plus ce que je crois et ce que je ne crois pas ! Votre méchante Sé vère m'a rempli la tête de tant do propos et de soupçons, que j'en serais devenue folle jean. Ecoutez votre raison et votre cœur, de moiselle Marietto, votre belle-sœur est une femme bien honnête et bien raisonnable elle vous aime et voit que vous aimez Fran çois ; elle voudrait vous le faire épouser ; voua n'auriez donc qu'un mot à dire si Fran çois vous en disait trois ; mais François ne vous en dit pas seulement deux, et alors.. mariette» Et alors, François est amoureux de ma belle-sccur, laquelle n'es point amoureuse de lui? (La fin au prochain numéro.) LIGNE REGULIERE Entre Donaldtonrillc et la NeUt.-Orléans, »t.yrow , Le magnifique steamboat, le GENE JBBSbLRAL TAYLOR, Capitaine Emile Tri nidad , vient de reprendre ses voyages entre ia Nouvelle-Orléans et Donaldsonville. Le Général Taylor, complètement radoubé et mie à neuf, offre aux passagers tons les avanta 8 's du comfort et du luxo ; il part do la Nouvelle rléans, les Lundi, Mercredi et Vendredi de chaque semaine, il 9 heures A. M., et quitte Donaldsonville, les Mardi, Jeudi et Samedi, à 6 heures du matin. IiC prix du passage est fixé à $2. Pour le frèt, les planteurs pourront s'entendre à l'amiable, en n'a dressant au capitain e Trinidad. 118* Ajsg, LAFOURCHE AND NEW OR «H&LLEANS PACKET. — The steamer MARY FOLEY, Capt. C. Dalieres , has resumed her weekly trips and will leave Donald' srmville every Monday, at 6 o'clock A. M. Re turning, leaves New Orleans, every Thursday, at 'Jo-clock A. M. A. P. HICKMAN, nö* Agent, Napoleonville. jlf DETENU à la geôle de la paroisse As somntion, à Napoleonville, lo uègre SAM "» J OHN, age de 35 à 40 ans; taille de 5 pieds 4 ponces et f; se disant appartenir à Mme Vve Dalcry, près a'un moulin scie; il a dit aus si qu'il appartenait îi M. Bibb, de la paroisse La fourche Interne; il porto moustaches et barbe au menton. Lo maître dudit esclave ost prié de le retirer de prison.cn se conformant à la loi. A. F. HICKMAN, Shérif. Paroisse Assomption, 21 septembre 1850. JA DETAINED, in the jail of this parish, I situated at Napoleonville, the negro boy call ■Ling himself JOHN, and also, SAM; said he belonged to Mr. Bibb, of Lafourche Interior, and afterwards said he was owned by Widow Dalcry, residing ncfàr a saw mill, in the neigh borhood of Thibodaux. Said slave wears moua tachios and beard on the chin. Tho owner of said negro is reo nested to come forward, comply with the law and take him away. A. F. HICKMAN, Sheriff. Assumption, October 34th, I860. J, DETENU à la geôle do la paroisse , Assomption, lo negro se disant nommé X' WILL!AM, âgé d'environ 39 on 40 tins; il *o dit appartenir à Mnio Vve Chris tophe, do la parusse Lafourche interne, ayant pour économe M. Ramagossa; il lui manque une dont. Le propriétaire dudit esclave, est prié de le retirer de prison, en ee conformant à la loi. A." F. HICKMAN, Shérif. Assomption, 20 octobre 1850. |U DETAINED in the jail of the parish /Q of Assumption, a negro man calling ■aj. himselfWILLIAM, aged about 38 or 40 years; says he belongs to Mrs Christophe, of Lafourcho Interior, whoso overseer's name is Ramagossa ; has ono tooth of the lower jaw raissing. The owner of said slave is requested to come forward, take him away and comply with the law. A. F. IÎICK MAY, Sheriff. Assumption, Oçtobcr 20. l fi oU, \ AVIS JUDICIAIRES. VENTE DE SUCCESSION. Succession de Dame Marguerite Landry , dfcèdte, épouse d'André Leblanc, de la Paroisse Assomption. CONFORMEMENT à tin décrit de la Cour du Cinquième District Judiciaire Hans et pour la paroisse Assomption, Etat de la Louisiane, daté le 10 octobre, 1850, il sera vendu à l'encan public, le samedi, 23me jour de novembre prochain (1850,) à 10 heures A. M-, par le soussigné, administra teur de ladite succession, sur les lieux, les deux morceaux de terre ci-après décrits, ap partenant à la succession de Marguerite Landry, décédéo épouse d'André Leblanc, savoir : 1°. Une habitation située en cette parois se, rive droite du bayou Lafourche, dans l'intérieur des terres, établie en sucrerie, qui comprend les quarts S. E. S. O. des sec tions Nos. 40 et 47. T. No. 12 et R. 13 S. E. D. Le. mesurant treize arpents 144 pieds de face surtrente-qnatre arpents 44 pieds de profondeur bornée vers le bayou Lafourche, par la terre d'Anselme Molière, vers le Grand Bayou, par celle de A. M. Foley, et sur les côtés par celles du Colonel Augustin Pugh et du Dr. VVm. L. Logie. 2 e * Un morceau de terre mesurant soixau te-dix-neuf acres do superficie situe au même Brûlé Ste Hélène, quart iYord Est de la Section 40, T. 12 et 11, 13. Il y a maintenant sur ladite habitation, do bonnes cannes, suffisamment pour plan ter quatre-vingts arpents, le tout en bon ordre. Termes et Conditions: — Lesditsdeux mor ceaux de terre seront vendus payables en trois paiements égaux, savoir : un tiers en tout mars mil huit cent cinquante-deux, un tiers en mars mil huit cent cinquante trois, et un tiers en mars mil huit cent cinquante quatre. Los acquéreurs devront fournir de bons billets endossés à la satisfaction de l'admi nistrateur do ladite succession, payables au bureau du Recorder de cette Paroisse. Hypothèque spéciale sera retenue sur la dite propriété jusqu'au paiement final du prix d'adjudication. Toutes sommes qui ne seront payées à l'échéance, devront porter intérêt à raison de huit pour cent l'an, à partir de l'échéance jusqu'au paiement final. Paroisse Assomption, le 18 octobre l^fiO. FELIX GILLET, Ii7,fli Administrateur jNj DETENU à la geôle de la paroisse /Q Assomption, lo nègre JOSEPH, âgé JÄd'environ22 ans; taille, 5 pieds 10 pou ces J; ayant deux ou trois dents qui lui man quent; dit qu'il est tonnellier et qu'il appar tient à MM. Payne & Harrison, Marchands Commissionnaires, rue Poydras, No. 38, Nlle.-Orlèans. Il a une cicatrice à ia lèvre supérieure. Il a premièrement dit qu'il se nommait Henry Jones et qu'il appartenait à James Foulk. Lo maître dudit esclave est prié do le re tirer de prison en se conformant à la loi. A. F. IIICKMAN, Shérif. Napoléonville, 13 octobre 1850. le et la à VENTE FAR EE SHERIF. Julien Labotière vs. Vincent Labùrdc. TOT AT DE LA LOUISI -\N E — P aroisse Assomption — Cour du Cinquième Dis trict Judiciaire. — No. 241. En vertu d'un ordre de vente, à moi adressé par l'honorable cour susdite, dans l'affaire ci-dessus intitulée et numérotée. J'offrirai en vente publique, lo Samedi, 2me jour du mois de novembre prochain, 1850, à 11 heures A. M., à la maison de cour de cette paroisse, les propriétés ci-après décri tes, savoir : Un cheval Américain, un cheval créole, une charrette h pain, une charrette à. cheval et une pendule. Termes et condition > cisdessus seroul vendues à douse mois d crédit; Les acquéreurs devront fournir leurs obligations avec des cautions solidaires bon nes et solvables, portant intérêt fi raison do huit pour cent par an, du jour do la vente jusqu'au parfait paiement. n7,2ij A. F. HICKMAN, Shérif. Paroiss e Asso mption , 17 octobre 1850. "vente publique. IL sera offert en vente publique, le samedi, 9 de novembre prochain 1850, à dix heures du matin sur les lieux, par A. F. Hickman, Shérif et encanteur dûment commission!»; ot assermen té dans et pour la susdite paroisse, la propriété ci-après decrite, appartenant à Jean Valcourt Porche, savoir : ■>^7^ 1° Une certaine terre ou habitation, située Lll'il d ans cette susdite paroisse, au Bayou Pier re l'art, mesurant six arpents moins huit pieds (plus ou moins) de face, sur une profondeur de quinze arpents, (plus ou moins,) bornée d'un côté par la terre de Joseph Trabant et de l'autre côté par celle de Simon Simoneau, ensemble avec toutes les bâtisses et améliorations qui s'y trou vent, consistant en maison de maître, cuisine, etc. Termes et conditions: — Huit cents piastres payables en tout mars 1851, et la balance deux termes égaux, moitié en mars 1852 et l'au tre moitié en roar« 18 L 'acquéreur iWm fournir ses billets endossés à la satisfaction du vendeur, avec hypothèque spéciale sur ladite terrejusqu'au parfait paiement, et toute somme qui ne sera pas ponctuellement payée à. l'écht an ce, portera intérêt raison de huit pour cent l'an jusqu'au parfait paiement. Paroisse Assomption, le 9 octobre 1850. n6,3i F. O. LORET, Député Sherif. Les propriétés Etat de LA L ouisiane. — paroisse Assomption, — Cour du Cinquième District Judiciaire. — Attendu que Cléophas Pénisson, a présenté une nétition iV la cour, à l'effet d'obtenir les lettres d'administration de la succession de feu Jean Joseph Boudreaux décédé intestat, avis est par le présent donné à tous ceux que cela peut concerner, d'avoir à déduire sous dix jours, les raisons pour lesquelles il ne serait pas fait droit à ladite pétition. Par ordre de la cour. Asromption, 16 octobre 1850. n7,2i] DESIRE LEBLANC, Greffier. y«TAT DE LA LOUISIANE-P aroisse *™ Assomption. — Cour du Cinquième Dis trict Judiciaire. — Attendu que Viléor Le blanc a présenté une pétition à !a Cour, à l'effej d'obtenir les lettres d'administration de la succession do feue Rosalie Landrv, veuve Hilaire Breaux, avis est par le présent don néà tous ceux que cela peut concorner; d'a voir à déduire sous dix jours, les raisons pour lesquelles il no serait pas fait droit à ladito pétition. y Par ordre de la cour. n<,2i] DESIRE LEBLANC, Greffier. Paroisse Assomption, 17 Oct., 1850. CRANE'S Patent Compound SOAP, patent ed January 29th, 1850, for saie at whole sale and retail by RICtfARD & TEMPLET, 17, Mississippi street, Donaldsonville. Also : 300 barrels white sakd for plasterer's use - s 1 5,n2» tfHE ! THE ! ! LE soussigné vient de recevoir un envoi de Thés assortis, importés par la compagnie connue son« le nom de New York Canton Teâ Company , et l'offre en vente. ANDREW GINGRY, n2»] Age nt de ia Compagnie, à Donaldsonville n. e. assiïttnéâ I t; _ docteur ek medecj5e, dûment licencie, Tient son office à l'habitation de M. Jean Dugas, un mille plus hautfjue Paincourtville, (Bayou Lafburchc.) ?I3.ii2.3m. VENTE l'Ait LE SHERIF. Wm. Rockel vs. E. L. Terrier et H . V. Ivy. ETAT DE LA LOUISI ANE. — Cour du Cinquième District Judiciaire, clans et pour la paroisse Assomption. — No. 152. En vertu d'un writ de alias fi. fii à moi a rl rossé par l 'Honorable la Cour susdite, dans l 'affaire ci-dessus intitulée et numérotée, j'ai saisi et j'offrirai en vente publique, à la mai son de cour de cette paroisse, le samedi, 2me j jour du mois de Novembre 1850, à 11 'teu res du matin, la terre ci-après décrite, ap partenant audit E. I«. Terrier, savoir : I n morceau de terre située dans la parois se Assomption, faisant face a lit Belle Riviè re, bornée d'un côté par.le Bayou Maxile et do l'autre côté par le Bayou Long, con tenant cent quarante neuf acres et douze centièmes d'un acre (149 12[100,) étant les lots No. î), de la section No 21, et lot No. de la section No. 28, dans le township 14, Ouest de la Rivière Mississippi, delà Ran gée 13 Est, ensemble avec toutes les bâtis ses et améliorations qui en dépendent, sai si pour satisfaire le writ ci-dessus ot les frais du procès Conditions — Comptant. n4,5i] A. F. HICKMAN, Sherif. Paroisse Assomption, 27 septembre 1850. Y EN TE m SUCCESSION . Succession de feu Graviel Placcneia. TRT.VT DE LÀ LOUISIANE. — Cour du Cinquième District Judiciaire, dans et pour la Paroisse Assomption. Au nom et par l'autorité do l 'Honorable la susdile Cou:, il r era offert en vente pu blique, par A. F. Hickman, shérifde cette paroisse le jeudi, Slme jour du mois d'oeto bre IHfjO, à 10 heures du matin, au Star Coffee House, situé en cette paroisse, à en viron 10 milles audessns du village de Napo léonville, sur la rive gauche du Bayou La fourche, l'esclave ci-après nommée, savoir : Marie, négresse âgée d'environ 40 ans, appartenant a la succession dudit Graviel Place ne ia. Ladite négresse Marie sera vendue com me mangeuse de terre, et sans aucune ga tantie quelconque, [à l'exception des titres.] Termes et Conditions — Un tiers payable comptant, un tiers payable on mars 1851 et l'autre tiers payable en mars 1852, l'acqué reur devra fournir ses billets avec une cau tion solidaire, bonne et solvable, payable à l'ordre de Mr. Désire Placencia, administra teur de la susdite successian, payable au bureau de la Banque du Canal de la Nou velle-Orléans, à Donaldsonville, à la satis faction dudit administrateur, avec hypothèque spéciale jusqu'au parfait paiement, et toutes sommes qui ne seront pas ponctuellement payées aux échéances, porteront intérêt à raison de huit pour cent par an. n4,5i] A. F. HICKMAN, Shérif. Paroisse Assomption, 26 septj. 1850. AUX PLANTEURS. MT . J. CR ANE, Forge ronet Ingénieur • Mécanicien, a l'honneur d'annoncer au public qu'il est maintenant établi près l'habita, | non de A. C. McCullum et quMl entreprendra toute espèce de travaux concernant sa profes sion. Il s'empressera aussi de répondre à ia de mande des habitants pour les réparations des machines à vapeur, bouilloires, moulins, etc., etc. Le tout, à des prix modérés. n 7* Ska» auauEEiJ& s.n'2* hotel W ashington, a natolf.onville. M. GAUTHIER, le proriétaire du bel tablissement connu sous le nom d'Hôtel Warliinglon, remercie les babitans de cette pa roisfe ainsi que les voyageurs, du bienvei.lant pa tronage nous lequel ils ont pris sa maison. Jaloux de jiiKtitier l'empressement de sa nom breuse clientèle, M. Gauthier n'épargnera ni soins ni dt penses, pour faire do son nôtel un établissement des plus confortables. De nouveaux bfttimens, aussi vastes qn'élé gants viennent d'être construits à grands frais, et l'Hôtel Washington est aujourd'hui l'un des plus beaux et des plus fréquentes de la campagne. 8s,ni* ( ;OM MERCI AL HOTEL, Donaldsonville, encoignure Lafourche et Ibeni/Ic. M. FELIX BESSON prévient ses amis iäi'H et lo public en général, qu'il vient d'organi ser sur un nouveau pied, son bel établissement connu sous le nom do Commercial Hotel. Une p-ap.rk , oïl les consommateurs trouveront tou jours des Liqueurs, Sirops, Vins, etc. de premier choix, est attachée à l'Hôte!, et dans la salle du Café se trouve le Billard. M. Félix Besson, qui s'occupe activement et exclusivement de l'amélioration successive de son établissement, espère que le public voudra bien lui continuer le bienveillant patronage soua lequel il a pris lo Commercial Hotel. n7+ A V is A U X Gl) L RÂLÊJ S ! ! ! RESTAURANT BAl'DOT. MLC PETIT PAPA BAUDOT, dont les gourmets ont depuis longtemps apprécié la cuisine et sacré le talent, prévient ses amis et le public en général, qu'il tient toujours ouvert l'appétit des amateurs de la bonne chère et des vins généreux et délicats, son bel établisse ment de Restaurateur, situé -à Donaldsonville, encoignure des rues Mississippi et Lafourche. Le petit papa Baudot, tient en outre une CONFISERIE, où l'on trouve toujours des pâ tisseries de toute espèce, depuis Je chou glacé jusqu'au géteau de Savoie; enfin le Salon de CREMES A I.A GLACE, du petit papa Baudot, ( St ouvert chaque soir aux dames. Le triple établissement du petit papa Baudot, se recommande autant par le comfort que par le choix des mets, vins, gâteaux et glaces. M. Baudot se charge encore, et aux plus justes prix, des rafraichisscmens pour bals ou soirées. 8e-nl-* A ANNONCES-ADRE SSES. m vrbrier. sculpteur. M FERDINAND PLATTEN, prévient le • public, qu'il a reçu un bel assortiment do marbres, pour Fontaines et Ornements Fu néraires. Ses ateliers go trouvent à i-Afr- de l'Eglise Paroissiale il invite les habitant* du Ba you Lafourche a les visitor et à. lui continuer un bienveillant patronnage. M. Platten s'en montrera toujours dig, o?, par la beauté des mar bres qu'il fournira, par le fini de ses sculptures et par la modicité'des prix ni* _____ _____ MR. AMBROISE ROUGE AU, établi de pu is quelque temps à Donaldsonville, en qualité de relieur, offre ses services au public. Les nombreux ouvrages qu'il a déj.\ reliés, sont garants de son goût et de son adresse. Ses antécédents joints à la modicité de ses prix et fi la garantie qu'il donne do la perfection de ses reliures, lui assurent la clientèle de toutes les personnes de la campagne qui tiennent il avoir une jolie biliothèqno . Ss-nl-ïa G. c. ra bv , avocat. Exerce sa profession dans les Conrs des pa roisses Assomption, Lafourche Interne et Terre - bonne. sl5,n2* A. GEWTILK, Jlvncatj a JYapoleonvillCt Exerce sa profession dans le Seme Dis trict Judiciaire, composé des paroisses As somption, Lafourche Interne et Terrebonne. Il donnera tous ses soins aux affaires qu'on voudra bien lui confier dans ce district et les ^voisinants. 15s.nl* A. L. PLOUGH & FILS, »ENT2J5TES. Tant pour les opérations (nte pour la fabrication des Râteliers et des Dente- Artificielles, ÖFFRENT très respectueusement leurs ser vices, dans les différentes branches de leur profession, à toutes les personnes qui voudront bien les croire dignes de leur confiance. 1| M osent esp< rer que, par leur stricte attention à leurs devoirs, ils mériteront d'obtenir une nom breuse clientèle. Ils se transporteront avec em pressement au domicile des dames qui les feront appeler. Il suffira de s'adresser chez M. Gauthier, Ilôtel Washington. Le docteur Plough s'appuie respectueuRoment sur la recommandation de Messieurs Thomas Whaly et Valentin Landry des paroisses Iber ville et Ascension, et de celle de MM. Le Dr. Tusson, Paroisse St. Jacques. Ascension. Mo. do. Assomption, do. do. P. T. Landry, do Bercegeay, do W. C. S. "Ventriss, do Severin Landry, do Alcide Landry, do Anatole Landry. do Comme on peut le voir par les certificats sui vants : Paroisse Ibkp.ville , 1er juillet 18. r i0. Pour rendre justice au Dr Plough, nous nom plaisons à reconnaître quo, d 'après nos observa tions personnelles et l'expérience que nous avons faite de ses talons, il est comme dentiste, d'une habileté incomparable. Nous avons eu occasion d 'en employer plusieurs autres ; mais, notre avis, le Dr Plough est le seul dont les opérations no laissent rien à désirer, et dont le travail mé canique soit d'une qualité vraiment supérieure. C'est par conséquent avec une entière satisfac tion que noiiR le recommandons nos amis et A tous ceux qui peuvent avoir besoin du concours de son utile profession. Thomas Wiiai.y, J. V. Landrv. Paroisse Sr. Jacques , le 19 juin 1817. Monsieur, Plusieurs personnes de ma famille ayant eu besoin des services professionnels du Dr Plough, j'ai eu l'occasion de reconnaître et d'apprécier ses talons comme dentiste. Je vous le recom mande, en conséquence, comme un homme très capable, et vous engage à aVoir recours ù. iui dans le besoin. J'ai l'honneur d'être votre, etc. Tt .ssos. Donaldsonville , 7 juillet 1815. Jo soussigné, atteste, d'après ma propre ex périence, l'habileté et les connaissances pratiques du Dr A. L. Plough, dans sa profession de chirur gien-dentiste. P. T. Land h v, Arpenteur Général del'Etat de la Louisiane. Donaldsonville , 10 juillet 1850. A Madame Edmond Le Blanc. Madame, Permettez-moi de vous recommander le Dr Plough, dentiste. Si vous avez dans votre famille quelqu'un soutirant du uibl de dents, vous pou vez aveuglément vous confier à. lui. Je base mn recommendation sur l'habileté dont il a tait preuve dans l'extraction et.l'orification des dents de Aime Bercegeay. Suivant moi, il est impos sible de mieux faire. Ascension , .'il août 1844. J 'éprouve lin vrai plaisir à declarer, d'après mon expérience pratique et mûr examen, que jo considère le Dr Plough comme éminemment ha' bile dans sa profession de chirurgien-dentiste. W. C. S. Ventriss. Assomption , le .... 18 is. Nous avotlr; individuellement ou l'occasion d'apprécier, dans nos familles, les talents du Dr Plough comme dentiste, et pour rendre hommage aux preuves qu'il nous a fournies do son habileté , nous nous faisons un vrai plaisir d'attester qu'il opère avec autant de dextérité que do succès. Severin Landry, Alcide Landry. Anatole Landry. Laurel Valley, ) iafourche Interne, 26 sept. 1815. y Je déclare quu le Dr Plough a fait dans ma famille, un travail très-difficile sur la dentition. Je ne crois pas que co travail eut pu être fait plus supérieurement. En conséquence, je le recommende consciencieusement à toutes les personnes qui auront besoin du ministère d'un habile dentiste. Joseph W. Tuckeh. Bayou du Lac , 7 novembre 1846. .Te recommande avec plaisir à tous mes amis le Dr Plough, qui a fait dans ma famille plusieurs opérations, . toutes couronneos^ de succès, qui denotent un habile dentiste .J. M. Pelton. ARTICLES DIVERS, récemment reçus et à vendre par les soussignés, savoir : Clous de Weymouth, Craie, en pierre et en Fer à forger, du Ten-! pondre ; nessee. (Lampes, à huilo, k gaz Plomb, en feuille et en et à Cam phi ne; barre ; .Moulins à maïs, à café Drays et charrettes î ! et à poivre; Charrues, p ioches et Cordage en pitre, en co pelleB; | ton, etc.; Haches, étrilles, etc.; Ferblanterie, Poterie; Harnais de buggy ; Huiliers américains et Selles, américaines, an- français, etc, etc.; glaises et espagnoles; Verrerie, parfumerie; Montures de brides; Brosses à barbe, àche Martingales,croupières;! veux, à blanchir, à Eperons en acier, en fer, 1 en cuivre, en plaque; Peinture blanche; I Huile de lin, et lard oil Thérébentine; Pinceaux ; fourbir, à cirage, à épousseter.à peignes, à dents, àt ongles, îi habits, à poudre, pour I enfants, etc, etc.; j Habillements confec Ciment hydraulique; I tionnés; Le tout à des prix modérés. RICHARD & TEMPLET, ni* Donaldsonville, 17, rue Mississippi. AUX TONNELIERS.—Les soussignés ont tont récemment reçu des meilleures ma nufactures de Cincinnati, un assortiment com plet d'outils de tonnellerie, et do charpenterie, qu'ils offrent à vendre à bon marché pour du comptant. RICHARD & TEMPLET. . 17, Rue Mississippi. Donaldsonville, 5 septembre 1850. ni* ■POR SALE — 2 waggons, 2 horse cam * 1 ox cârt, 1 dra^, iron axles. 20,000 Fire Bricks ; Five tons Tennessee Iron, different sizes, or sale by RICHARD & TEMPLET, n4* Donaldsonville, 17 Mississippi ft. GRAISSE, CHANDELLES, LIQUEURS, &c.—100 barillets de graisse première qualité ; 12 caisses Star Candies ; 6 barils de Whiskey ; 35 paniers de Champagne ; Liqueurs fines, Ketchup, &x. à vendre par RICHARD & TEMPLET, ni* Rue Mississippi, No. 17, Donaldsonville JMBRAIRIE — Livres de Classe français, an ni glais et espagnols, à vendre par RICHARD & TEMPLET. ' Donaldsonville, 17. rue MississippiSUCCESSION SA EE. Succession of Marguerite Landry, deceased wife of Andre Leblanc of the Parish of Assumption. G REEA BLY to an order of the Fifth ** Judicial District Court in and for the parish of Assumption, State of Louisiana, bearing date the 10th of October 1850. Will be sold at public aucti n, on Satur day, tho 23d day of November 185D, at 10 o'clock A. M., by the undersigned, adminis trator of said succession, on the premises, tho following described two tracts of land belonging to the succession of Marguerite Landry, deceased \vife of André Leblanc, to wit : * 1st. A Plantation situated in this parish, on the right bank of Bayou Lafourche, in the back part of the lands, established as a sugar farm, composed of Quarter S. E., S. W. ofSectiohs Nos. 46 and 47, T. No. 12, and R. 13, S. E. I). La., measuring thirteen arpents 144 feet wide, by thirty-four arpents 44 foot long; bounded towards Bayou La fourche to the land of Anselme Molière, to wards Grand Bayou by the land of A. M. Fo ley and on the sides by the lands of Col. A. Pugh and Dr Win. L. Logic. 2d. A Tract of Land, measuring seventy nine superficial acres, situated in same Bru lé Ste. Helena, Quarter N. E. of Section 46, Township 12 and Range 13. There is at present on said plantation, a quantity of plant canos sufficient to plant about eighty arpents, all in very good order. Terms and Conditions. —Said two tracts of land will be sold payable in three equal instalments, viz : one third in all tho month of Maich, eighteen hundred and fifty-two, one third in all March eighteen hundred and fifty-three and the last third in all March, eighteen hundred and fifty -four. Purchasers to givo good endorsed notes to the satisfaction of ihe administrator of said succession, payable at the office of tho Recorder of this parish, and special mort gage to be kept on said property, until paid. All sums*iot paid at maturity to boar in terest at tho rate of eight per cent, per an num from maturity till final payment. Parish of Assumption, October 18,1850. FELIX GILLET, »"'»Si] Administrateur. la •f DETAINED, in tho parish jail of *1 the parish of Assumption, a negro boy, -Staged about 22 years, calling himself JOSEPH, says be belongs to Messrs Payne dc Harrison, commission merchants, No. 38 Poydras street, New-Orleans; is about 5 feet f of an inch i" height, says he is a cooper by trade ; has several teeth missing; has a scar on the upper lip; when taken up ho said his namo was Henry Jones, ançl that he belonged to James Foulk. The owner of said slave, is requested to come forward, take him away, and comply with the law. A. F. HICKMAN, Napoleonville, October 13. l fi 5Ô. Sheriff I VENTES JUDICIAIRES. SHERIFF'S SALE. Julien Labotière vs. Vincent Labordc. CJTATE OF LOUISIANE. —P arish of A ssumption.— Fifth Judicial District Covrt. — No. 241. By virtue of, and in obédience to an order of sale; to me directed by tho Hon. the above court, in the above entitled and num bered suit, I will offer at public sale, on Saturday, tho 2d day of November 1850, at eleven o'clock A. M., at the Court House of this parish, the following described proper ty, to wit : An American Horse, a Creole Ilorse, a Bread Cart, a Horse Cart and a Clock. Terms and Conditions: —The above prop erty will be sold at twelve month's credit ; purchasers being required to furnish good and sufficient joint securities, bearing inte rest at the rate of eight per cent, per annum, from the day of sale, until paid. Assomption, October 17, 1850. n7,2i A. F. HICKMAN, Sheriff. " STATE OP LOUISIANA?— Ï^rTSH'W^AS sumption. — Fifth Judicial District Court, Whereas Cléophas Pénisson has petitioned the court for letters of administration on the estate of the late Jean Joseph Boudreaux, deceased in testate. notice is hereby given, to all whom it may concern, to show cause within ten day«, why the prayer of the said petitioner should not be granted. By order of the court. Assumption, October 16, 1850. n7,2i DESIRE LEB/, ANC, Clerk. ClAl'h OI LOUISIANA— Parish of Assumption.— Fifth Judicial District Court —Whereas Viléor Leblanc has peti tioned the Court for letters of administration on the estate of tho late Rosalie Landry, de ceased widow of Hilaire Zîreaux, notice is hereby given, to all whom it may concern, to show cause within ten days, why the prayer <«f tho said petitioner should not be granted. By order of tho court. n7.2i] DESIRE LEBLANC, Clerk. Assumption, September 17th, 1850. VENTES JUDICIAIRES. SHERIFF'S SALE. Wm. Kochel vs. ' E. L. Terrier A- H*. N. Ivy. gTATE OF LOUISIANA— Fi fth Judi ^ cial District Court , in and fortlio Par ish of Assumption.—No. 152.—If.- virtue of, and in obedience to an alias writ offi. fa. to me directed by the honorable tho aforesaid Court, in the above entitled and numbered suit, I have seized and will offer at public sale, at the Court House of this parish, on Saturday tho 2d day of November, 1850, at 11 o'clock A. M., the following described property, belonging to the said E. L. Terrier, to wit : A tract ol land, situated in the parish of Assumption, fronting Grand River, bound ed on one side by Bayou Maxile and on the other side by Bayou Long, containing one hundred and forty nine acres and twelve hun dredths of an acre, [14!) 12|100. | being lots No. .'J of section No. 21, and lot No. 13 of section 2S, in township 14, west of the Mis sissippi River, of Range Iii East, together with all the buildings and improvements thereon and thereunto belonging, seized to satisfy the above writ and costs of suit. Terms —Cash. Parish of Assumption. Sept. 27, 1850. n4,5i] A. F. HICKMAN, Sheriff. SUCCESSION S \ EE. Succession of Graviel Placencia. gTATE OF LOUISIANA— Fifth Jtidi cial District Court, in and for t ho Parish of Assumption. In the name and by the authority of the Honorable, the above Court, will bo sold at public auciion, by A. F. Hickman, sheriff of said parish, on Thursday the 31st day of October, 1850, at 10 o'clock A. M., at the Star Coflee House, situated in this parish, at about ten miles above tho village of Na» poleonville, on the left bank of Bayou La fourche, tho following named slave, to wit : Marie, a negro woman about 40 years of age, belonging to the succession of said Graviel Placencia. The said Marie, will bo sold subject to dirt eating and without any warranty what ever [except the title.] Terms and Conditions —Ono third paya bio cash, ono third payable iu March, 1851 and the other third in March 1952, purcha ser to furnish promissory notes, payable to the order of Désiré Placencia administrator of said succession at the office of the New Orleans Canal and Banking Company at Donaldsonvillo, with good and sufficient security in solido, to the satisfaction of the administrator and to remain mortgaged un til paid, and all sums not punctually paid at maturity to bear interest at tho rate of eight per cent, per annum. Parish of Assumption, Sept. 26, 1S50. n4,5ij A. F. HICKMAN, Sheriff. . to planters. MR- T. J. CRANE, Blacksmith ami En gineer, has the honor to inform the public, that he keeps his Blacksmith Shop near the plan tation of Mr A. C. McCollum, where he will un dertake all works concerning his profession. lie will be happy to answer to the call of the planters who may require his services for repairing their steam engines, boilers, mills, &.c., &c. His prices will be moderate. n7* pmr, DR. JOS. II. — Docteur Licencié. Paincourtville, Lo. GÎNGRY, ANDREW — Grocer, opposite the Ferries, Donaldsonville, La. té DR. PAINCHAUD, a établi son domicile chez M. Gauthier, à Paincourtville. A M A UEO MOREL, NOTAIRE PUBLIC ET JUGE DE PA IX napolkonvil tf, assomption. G. C. RABY\ ~ at torney at law, «£^soa3oauaaopoacE>aa» (ïiôaa«) Practices in the Courts of the Parishes of As sumption, Lafourche Interior, and Terrebonne. acilllle richard. a. m. templet. RICHARD &. TEMPLET, 17 Mississippi Street , lfij®aaaiUcil!S3ca>aa\yü.aa